6 janvier 1990
La Sainte Vierge :
Ma fille, les hommes ne changent
pas : leur impureté, leur dureté de cœur les empêchent
de comprendre la Loi de Dieu. Celle-ci est foulée aux pieds et outragée
par les hommes qui ne se rendent pas compte de la grande tribulation qui
va tomber sur la terre.
Vois mon Cœur, regarde-le bien, ma
fille. Il est gravement blessé par la perversité et la malice
des hommes qui jettent la confusion dans les Lois de Dieu. Regarde mon
visage rougi de honte : les femmes ont perdu le sens de la pudeur et de
la modestie. Satan leur a fait perdre leur dignité. Par les modes
immodestes et le péché de la chair, par la luxure il fait
de grands ravages dans l’humanité. Le démon a aussi séduit
une grande partie du clergé. Il se sert de la Loi divine de l’Ecriture
pour la confusion des paroles, entraînant de grandes masses vers
des doctrines fausses. On s’est laissé séduire par Satan,
ma fille, on a abandonné la prière et le sacrifice : l’orgueil
les a fait tomber dans la luxure. Ainsi mon Cœur est blessé gravement.
Baise le sol, pour tant et tant de
péchés commis envers mon Cœur Immaculé, ma fille.
A cause de cela, mes yeux répandent du sang et des larmes de douleur,
car j’aime tous mes enfants. Je pleure car ils rejettent mes avertissements
; Je pleure parce que les hommes se haïssent ; Je pleure parce que
mes âmes consacrées ont perdu la vraie foi. Ainsi souffre
mon Cœur de Mère. Je fais un nouvel appel à toutes ces âmes
qui ont perdu la dignité et qui foulent aux pieds les Lois de Dieu
; qu’elles changent de vie, qu’on fasse une bonne confession et une bonne
communion.
Le Père éternel va
repousser mes supplications et appliquer sa Justice aux hommes. Mon Cœur
en est attristé : les hommes oublient Dieu et s’occupent d’eux-mêmes.
Aussi Je veux des âmes capables de réparer les péchés
de l’humanité. Les hommes s’entretiennent des choses du monde et
ne s’occupent pas de Dieu. Quelle tristesse en ressent mon Cœur, ma fille
! On veut cacher mon Nom, parce que Satan me hait comme il hait l’Eucharistie.
L’ennemi rend les âmes scrupuleuses pour recevoir le Christ ; il
fait haïr mon nom car les deux chemins du salut sont l’Eucharistie
et Marie.
Venez à mon Cœur Immaculé,
vous les affligés, Je serai votre refuge et votre guide. Ne me décevez
pas, mes enfants ! Tous ceux qui auront méprisé leurs biens
matériels, qu’ils les oublient pour penser aux biens spirituels.
Pensez que mon Fils vous donnera cent pour un. Aimez nos Cœurs, qui vous
préserveront des embûches de l’ennemi.
Je vous veux détachés,
vous aimant comme des frères et humbles ; celui qui s’humilie sur
terre est grand aux yeux de Dieu. Soyez humbles,
mes enfants, ne cessez pas de réciter chaque jour le chapelet, ma
prière favorite. Approchez-vous de l’Eucharistie, et donnez
de l’importance au saint Sacrifice de la Messe qui est le renouvellement
de celui du Christ au Calvaire. Soyez doux et humbles de cœur.
Et vous, âmes consacrées,
revenez à votre ministère et soyez des pasteurs au cœur limpide.
Ne soyez pas aveugles, mes enfants. Ne voyez-vous pas que Satan veut s’emparer
de vos pauvres âmes ? Revenez à Moi, Je suis la Mère
prodigue du fils prodigue et mon Cœur vous attend pour vous protéger.
Recommence à baiser le sol,
ma fille, en réparation pour tant de péchés commis
par mes âmes consacrées.
Sois humble et répare pour
les péchés de l’humanité. Tu ne peux avoir la gloire
sur la terre avec celle du Ciel : les âmes victimes doivent être
victimes en tout.
Levez tous les objets, tous seront
bénis avec des bénédictions spéciales pour
vos pauvres âmes, mes enfants, afin de changer le gel de vos cœurs
en feu divin.
Tous les objets, tous ceux qui sont
venus en ce lieu, ont été bénis, avec des bénédictions
spéciales. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père
vous bénit, par le Fils et avec l’Esprit-Saint. Au revoir, mes enfants,
au revoir.
MENSAJE DEL DÍA 6 DE ENERO
DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía,
los hombres no cambian, porque su suciedad y su dureza de corazón
no les hace ni les deja comprender la Ley de Dios. La Ley de Dios es pisoteada
y ultrajada por los hombres; no se dan cuenta, hija mía, de la gran
tribulación que va a caer sobre la Tierra.
Mira mi
Corazón, hija mía, míralo bien. Mi Corazón
está herido gravemente por la maldad y la perversidad de los hombres.
Los hombres confunden las leyes, hija mía. Mira mi rostro, cómo
se ruboriza. Las mujeres, hija mía, han perdido el pudor y la modestia.
Satanás les ha hecho perder la vergüenza y perder su dignidad,
hija mía. Se ocupan de las modas inmodestas, y el pecado de la carne,
de la lujuria, está haciendo estragos en la Humanidad. El demonio,
hija mía, también ha seducido a la mayor parte del clero
y se vale de la Ley divina de la Escritura para confundir las palabras
y arrastrar a grandes masas hacia doctrinas falsas, hija mía; se
han dejado seducir por Satanás, se han abandonado en la oración
y en el sacrificio, hija mía, y la soberbia les ha hecho caer en
la lujuria. Por eso mi Corazón está herido gravemente, hija
mía.
Besa el
suelo, por tantos y tantos pecados como cometen a mi Inmaculado Corazón,
hija mía.
Por eso
mis ojos, hija mía, derraman sangre y lágrimas de dolor,
porque amo a todos mis hijos. Lloro porque rechazan mis avisos; lloro porque
los hombres se odian, hija mía; lloro porque mis almas consagradas
han perdido la fe verdadera. Por eso sufre mi Corazón de Madre.
Hago un
nuevo llamamiento a todas estas almas que han perdido la dignidad y que
pisotean las leyes de Dios: que cambien su vida, que hagan una buena confesión
y comunión.
El Padre
Eterno va a rechazar mis súplicas y va a aplicar su justicia sobre
los hombres. Por eso está mi Corazón entristecido, hija mía,
porque los hombres se olvidan de Dios y se ocupan de sí mismos.
Por eso quiero almas capaces de reparar los pecados de la Humanidad, hija
mía; porque los hombres se entretienen en las cosas del mundo y
no se ocupan de Dios. ¡Qué tristeza siente mi Corazón,
hija mía! Quieren esconder mi Nombre, porque Satanás me odia,
como odia la Eucaristía. Por eso, hija mía, el enemigo hace
que las almas tengan escrúpulos para recibir a Cristo; y también
hacen que odien mi nombre, porque somos los dos caminos de salvación:
la Eucaristía y María.
Venid todos
los que estéis atribulados a mi Inmaculado Corazón, hijos
míos, que yo seré vuestro refugio y vuestra guía.
¡No me defraudéis, hijos míos!
Y todos
aquéllos que os habéis desprendido de vuestros bienes materiales,
olvidaos de ellos y pensad en los bienes espirituales. Ya sabéis
que mi Hijo os da el ciento por uno, hijos míos. Amad nuestros Corazones,
que ellos os preservarán de las asechanzas del enemigo.
Os quiero
desprendidos, hijos míos; quiero que os queráis como hermanos
y que os humilléis, pues el hombre que se humilla en la Tierra es
grande ante los ojos de Dios. Sed humildes, hijos míos, y no dejéis
de rezar el santo Rosario todos los días; es mi plegaria favorita.
Acercaos a la Eucaristía, hijos míos, dadle valor al Santo
Sacrificio de la Misa; es la renovación de Cristo en el Calvario.
Sed mansos y humildes de corazón.
Y vosotros,
almas consagradas, volved a vuestro ministerio y sed pastores limpios.
No estéis ciegos, hijos míos; ¿no veis que Satanás
quiere apoderarse de vuestras pobres almas? Volved a mí, que yo
soy la Madre pródiga del hijo pródigo y mi Corazón
Inmaculado os espera para protegeros.
Vuelve a
besar el suelo, hija mía, en reparación de tantos pecados
que se cometen en mis almas consagradas...
Y tú,
hija mía, sé humilde, muy humilde; y repara los pecados de
la Humanidad. No puedes tener gloria en la Tierra y gloria en el Cielo.
Las almas víctimas tienen que ser víctimas en todo, hija
mía.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para vuestras pobres almas, hijos míos, para que se pueda trocar
el hielo de vuestros corazones en fuego divino... Todos los objetos, todos
los que rodean a este lugar, han sido bendecidos, hijos míos, con
bendiciones especiales.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
Adiós,
hijos míos. Adiós.
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3 février 1990
- La Sainte Vierge :
Ma fille, regarde mon visage, comme
il manifeste la douleur de l’amertume que ressent mon Cœur en entendant
crier les hommes qui ne connaissent pas le Christ. Baise le sol, en réparation
de tant et tant de péchés qui se commettent dans l’humanité.
Ma fille, aujourd’hui nous allons parcourir le chemin du Calvaire, tu m’y
accompagneras. (Amparo voit Jésus à Gethsémani.) Regarde
prier mon Fils, vois comment le sang jaillit de son visage. Vois l’ingratitude
des hommes. Touche, ma fille. (Sanglots d’Amparo. Elle touche le visage
de Jésus et ceux qui sont présents peuvent voir que ses mains
deviennent ensanglantées.) Recommence à baiser le sol, ma
fille, à cause de la douleur que ressent mon Cœur ! C’est ainsi
qu’est répandu le Sang de mon Jésus. Jusqu’où ira
l’ingratitude des hommes, ma fille ? La sueur abondante coule de son Corps.
Ses veines s’ouvrent comme des sources et son divin Corps est ensanglanté.
(Amparo ne cesse de gémir, en proie à une grande angoisse.)
Regarde mon Fils : pour apprendre aux hommes la prière et l’amour,
Il prie la tête sur le sol. (longs et vifs sanglots d’Amparo) Regarde,
ma fille, et personne n’est capable de tendre la main pour consoler le
Christ. Le reniement de Pierre et la trahison de Judas continuent, se répètent
mais avec une différence, ma fille, c’est que Pierre pleura sa faute
toute sa vie, tandis que les hommes se réjouissent dans le péché
: quelle ingratitude !
Jésus est condamné
à mort mais ce n’est pas cela qui L’afflige. Son Cœur est attristé
à cause de la damnation des âmes, à cause de l’ingratitude.
Consolez-le, mes enfants ! L’histoire se répète. Les hommes
ont gravement offensé Dieu et continuent de l’offenser. Satan est
en train de construire une nouvelle société et les hommes
veulent vivre dans cette nouvelle société de haines, de jalousies,
de rancunes et de crimes. Les mères tuent leurs propres enfants
dans leurs entrailles, les foyers sont détruits et les pères
donnent de mauvais exemples à leurs enfants par leur manque d’amour.
Satan s’empare de l’humanité. Il le fait d’une manière invisible.
Les hommes ne se rendent pas compte que Satan avec sa ruse veut la mort
de l’humanité.
Regarde la jeunesse, les parents
ne se préoccupent pas des âmes des jeunes, ils s’occupent
seulement du corps. Satan les fait tomber dans le vice de la chair, de
la drogue et de l’alcool. Il les entraîne dans le chemin de la perdition.
Regarde mon Fils, ma fille, aie pitié de Lui ! Comment les hommes
peuvent-ils dire que mon Fils ne souffre pas alors que le péché
augmente chaque jour davantage dans l'humanité, il y a aussi un
nombre important d’âmes consacrées victimes de Satan qui se
laissent entraîner et séduire par lui. Elles n’observent pas
l’Evangile et emmènent avec elles des milliers et des milliers d’âmes
dans le chemin de la perdition. Beaucoup de ceux qui se disent enfants
de Dieu sont lâches et ne donnent pas le témoignage de la
vraie foi. Ils ne se donnent au Christ qu’à moitié, non totalement.
Combien de fois répondent-ils : " Je ne Le connais pas ! Je ne connais
pas cet homme ". L’histoire continue, ma fille. Un très grand nombre
d’âmes demeurent sourdes et aveugles en face des vérités
de l’Evangile. Elles n’écoutent pas mes appels à la prière
et à la pénitence. Leurs cœurs sont durs et froids comme
des blocs de glace ! Ils veulent la paix mais la paix dans leur bouche
est vaine : la paix ne réussira pas si eux-mêmes ne construisent
pas l’unité et l’amour. La paix se construira seulement si les hommes
s’aiment et ne se haïssent pas à mort.
Comment mon visage pourrait-il être
joyeux, alors que les hommes méchants se laissent entraîner
dans les pièges de l’ennemi, et entraînent un grand nombre
d’âmes dans l’abîme ?
Apprenez à prier, mes enfants,
et soyez doux et humbles de cœur. Que votre cœur devienne semblable à
celui du Christ. Regardez le crucifié sur la croix par amour des
hommes et mon Cœur transpercé de douleur, en voyant que l’humanité
s’enfonce chaque jour davantage dans la boue du péché. On
ne pourra faire un royaume de paix que lorsqu’on apprendra à aimer
et à pratiquer la charité : c’est le premier commandement
de la Loi de Dieu.
Pour cela il faut des victimes de
réparation pour sauver l’humanité. Je demande des victimes
se dépensant jour après jour pour les pauvres pécheurs.
Je veux que chaque jour on m'accompagne un petit moment sur le chemin du
Calvaire, mes enfants. Mets ton visage contre terre, ma fille, pour prier
comme le Christ. Si les hommes s’humiliaient, ils comprendraient la vérité
de l’Evangile. Apprends la prière du Christ priant à Gethsémani,
ma fille. Les hommes ne savent pas prier, c’est pourquoi ils ne savent
pas aimer. C’est seulement lorsque les hommes seront capables de s’humilier,
fléchir les genoux devant leur Créateur, que le monde prendra
un tournant. Les hommes sont lâches et beaucoup, après avoir
reçu tant de grâces, restent à moitié chemin
; ils craignent d’être méprisés, marginalisés.
Donnez le témoignage de la vérité, mes enfants, et
réfugiez-vous dans mon Cœur. Je suis le chemin pour aller au Christ.
Suivez l’Evangile tel qu’il est écrit. Je veux que la jeunesse apprenne
l’Evangile tel qu’il est et aille de village en village, enseignant aux
hommes la vérité et la parole du Christ. Ne vous troublez
pas, mes enfants, et renoncez à vous–mêmes ; ceux qui ont
renoncé à leurs biens, qu’ils renoncent à leurs goûts,
qu’ils ne restent pas à mi-chemin.
Ma fille, une autre fois, nous suivrons
le chemin du Calvaire, continue d’être une victime de réparation
pour l’humanité. Mais Je veux que tu sois très humble, et
que tu fasses connaître aux hommes la vérité. La vérité,
c’est le Christ, le Christ sur la Croix par amour des hommes. Comme les
hommes sont ingrats ! Pauvre Fils de mes entrailles !
Chaque jour dans le monde se renforce
la fausse paix. Aimez l’Eglise, mes enfants. Jésus-Christ est la
pierre angulaire. Ne la méprisez pas. Les hommes ne suivent pas
les lois telles qu’elles sont écrites. Tous ceux qui n’y obéissent
pas seront jugés et recevront leur châtiment. Ne faites pas
ce qu’ils font car ils n’entreront pas dans le Royaume des Cieux.
Priez, mes enfants, formez de grandes
communautés où règne l’amour, l’union et la paix.
Criez à voix forte que vous êtes catholiques même si
les hommes veulent vous confondre. Vivez comme de bons catholiques et aimez
l’Eglise de tout votre cœur. Aimez le Pape, lui aussi souffre beaucoup
en voyant que de nombreux pasteurs ont le cœur tiède. Priez pour
eux afin qu’ils reviennent à leur Ministère, au troupeau
du Christ, pour que toutes les âmes qui écoutent des doctrines
troubles invoquent l’Esprit-Saint et voient la lumière et la vérité
de la Doctrine. Aimez-vous les uns les autres, mes enfants, comme mon Fils
vous aime. Toi, ma fille, continue de contempler le visage du Christ, méprisé
et outragé par les péchés des hommes.
- Amparo :
Ah, mon Dieu, mon Dieu ! Que puis-je
faire, mon Dieu, pour t’aider, pour réparer tant de douleurs ? Et
toi, ma Mère, ton Cœur aussi est transpercé par tant d’épines
! Apprends-moi à prier, Seigneur ! Apprends-moi à être
davantage victime pour consoler vos Cœurs et pour enseigner aux hommes
à consoler vos Cœurs.
- La Sainte Vierge :
Enseigne aux hommes qu’ils apprennent
à prier non de bouche mais de cœur ; ils remuent seulement leurs
lèvres mais leur cœur ne s’enflamme pas.
Comme Je te l’ai dit, ma fille, si
les hommes se mettaient à faire des œuvres de charité par
pénitence, ils parviendraient à l’amour. Les hommes n’aiment
pas car ils ne pratiquent pas la charité. Ils prient mécaniquement
comme les pharisiens. Pharisiens hypocrites, remuez vos cœurs et non pas
tant vos lèvres. J’aime la prière qui sort du cœur car c’est
la prière qui communique avec Dieu.
Aujourd’hui, il y aura une bénédiction
spéciale pour tous ceux qui accourent en ce lieu et tous seront
marqués avec le sceau, de quelque partie du monde qu’ils viennent
! Ce sera une protection pour vos âmes.
Levez les objets, tous seront bénis
avec une bénédiction spéciale pour votre salut. Je
vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par le Fils, et avec l’Esprit-Saint. Je vous laisse la paix, mes enfants.
Au revoir.
MENSAJE DEL DÍA 3 DE FEBRERO
DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Mira mi
rostro, hija mía, cómo refleja el dolor de la amargura que
siente mi Corazón al oír gritar a los hombres que no conocen
a Cristo.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en la Humanidad...
Hoy, hija
mía, vamos a recorrer el Calvario; tú me vas a acompañar,
hija mía. (Luz Amparo ve, en este momento, a Jesús en Getsemaní).
Mira mi
Hijo orando. Mira, ¡cómo mana la sangre de su rostro! Mira,
hija mía, la ingratitud de los hombres. Toca, hija mía. (Llanto
de Luz Amparo. Extiende las manos para tocar y, enseguida, aparecen a la
vista de los presentes ensangrentadas).
Vuelve a
besar el suelo, hija mía, por el dolor que siente mi Corazón...
Y así
es derramada la Sangre de mi Jesús. ¡Hasta dónde llega
la ingratitud de los hombres, hija mía! Copioso sudor, hija mía,
brota de su cuerpo; sus venas se abren como manantiales y su divino cuerpo
queda ensangrentado, hija mía.
Mira mi
Hijo orante, para enseñar a los hombres la oración y el amor,
hija mía; ora con la cabeza en el suelo. Mira, hija mía,
nadie es capaz de alargar su mano para consolar a Cristo. Se sigue repitiendo
la negación de Pedro, hija mía, y la traición de Judas;
pero con una diferencia, hija mía, de la negación de Pedro:
que Pedro lloró su negación durante toda su vida, y los hombres
se regocijan en el pecado. ¡Qué ingratitud, hija mía!
Jesús
es condenado a muerte; pero Él no siente su condena. Su Corazón
está entristecido por la condenación de las almas, por la
ingratitud. ¡Consoladle, hijos míos! Se sigue repitiendo la
historia.
Los hombres,
hija mía, han ofendido gravemente a Dios y siguen ofendiéndole.
Satanás está construyendo una nueva sociedad y los hombres
quieren vivir en esa sociedad de odios, de envidias, de rencores, hija
mía, y de crimen; las madres matan a sus propios hijos dentro de
sus entrañas; los hogares están destruidos, hija mía,
y los padres dan un mal ejemplo a los hijos con su falta de amor. Satanás,
hija mía, se apodera de la Humanidad; lo hace tan invisiblemente
que los hombres no se dan cuenta de que Satanás, con su astucia,
quiere ir demoliendo el mundo, hija mía.
Mira la
juventud: los padres no se preocupan de su alma, sólo piensan en
que disfruten de su cuerpo y Satanás los introduce en el vicio de
la carne, de la droga, del alcohol..., y los arrastra al camino de la perdición.
Mira mi
Hijo, hija mía, ¡tened compasión de Él! ¿Cómo
los hombres pueden decir que mi Hijo no sufre, si el pecado cada día
aumenta más en la Humanidad? También hay un gran grupo de
almas consagradas víctimas de Satanás, que se dejan arrastrar
y seducir por él y no cumplen el Evangelio, y llevan consigo millares
y millares de almas al camino de la perdición; y muchos de aquéllos
que se llaman hijos de Dios, hija mía, su cobardía no les
deja dar testimonio de su verdadera fe y hacen una entrega a medias; no
se entregan total a Cristo; y cuántas veces responden: “No le conozco,
yo no conozco a ese hombre”. La historia sigue, hija mía, y gran
número de masas de almas se quedan sordos y ciegos a las verdades
del Evangelio. No escuchan mis llamadas a la oración y a la penitencia,
hija mía, y sus corazones están tibios y bloqueados por grandes
bloques de hielo. Quieren la paz, hija mía, y en su boca la palabra
paz es vana; no conseguirán la paz, si ellos no construyen la unidad,
el amor. Sólo se construirá la paz si los hombres se aman
y no se odian a muerte.
¿Cómo
puede sonreír mi rostro, hija mía, si los hombres malvados
se dejan arrastrar por las asechanzas del enemigo y arrastran a cantidad
de almas hacia el abismo, hija mía?
Aprended
a orar, hijos míos, y sed mansos y humildes de corazón. Haced
vuestro corazón semejante al de Cristo. Miradle, hijos míos,
miradle crucificado en la Cruz por el amor a los hombres. Y mi Corazón
traspasado de dolor viendo que la Humanidad se introduce cada día
más en el cieno del pecado. Sólo se puede hacer un reinado
de paz cuando el hombre aprenda a amar y a practicar la caridad. Ése
es el primer mandamiento de la Ley de Dios.
Por eso,
hija mía, necesito víctimas de reparación para salvar
a la Humanidad y quiero que estas víctimas se vayan desgastando,
día a día, por los pobres pecadores.
Quiero que todos los días
me acompañéis un ratito, hijos míos, en el camino
del Calvario.
Pon el rostro
en tierra, hija mía, y ora como Cristo, hija mía, con el
rostro en tierra. Si los hombres se humillasen, comprenderían la
verdad del Evangelio. Aprende de Cristo orante en la oración en
el Huerto, hija mía. Los hombres no saben orar, por eso no saben
amar, hija mía.
Sólo
cuando el hombre sea capaz de humillarse e hincar la rodilla ante Dios,
su Creador, el mundo dará un giro. Los hombres son cobardes, y muchos,
aun después de recibir tantas y tantas gracias, se quedan en la
mitad del camino por su cobardía, por miedo a ser despreciados y
marginados. Dad testimonio de la verdad, hijos míos, y refugiaos
en mi Corazón. Yo soy el camino para ir a Cristo. Y seguid, hijos
míos, el Evangelio, tal como está escrito. Quiero que la
juventud aprenda el Evangelio tal como es, y vayáis de pueblo en
pueblo enseñando a los hombres la verdad y la palabra de Cristo.
No os durmáis, hijos míos, y haced una renuncia de vosotros
mismos. Aquéllos que han renunciado a sus bienes, que renuncien
a sus gustos, que no se queden a medias.
Hija mía,
otro día seguiremos el camino del Calvario, sigue siendo víctima
de reparación por la Humanidad. Pero te quiero humilde, muy humilde.
Y haz que conozcan los hombres la verdad. La verdad es Cristo; Cristo en
la Cruz por el amor a los hombres. ¿Cómo los hombres son
tan ingratos, hija mía? ¡Pobre Hijo de mis entrañas!
El mundo, cada día, aumenta
en esa falsa paz. Amad a la Iglesia, hijos míos; Jesucristo es la
piedra angular de ella, no le despreciéis porque los hombres no
cumplan con las leyes tal como están escritas; todo aquél
que no cumpla será juzgado y recibirá su castigo, hija mía,
pero no hagáis lo que ellos hacen, ya que ellos no entran en el
Reino del Cielo.
Orad vosotros,
hijos míos, formad grandes comunidades donde reine el amor, la unión
y la paz. Y gritad fuertemente que sois católicos, aunque los hombres
quieran confundirlo. Cumplid como buenos católicos y amad a la Iglesia
con todo vuestro corazón. Amad al Papa, hijos míos; él
sufre también mucho viendo que los pastores, muchos de ellos, sus
corazones están tibios. Rezad por ellos, para que vuelvan a su ministerio,
para que vuelvan al rebaño de Cristo y para que todas aquellas almas
que escuchan doctrinas confundidas, invoquen al Espíritu Santo y
vean la luz y la verdad de la doctrina.
Amaos unos
a otros, hijos míos, como mi Hijo os ama.
Y tú,
hija mía, sigue contemplando el rostro de Cristo despreciado y ultrajado
por los pecados de los hombres.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
Dios mío, Dios mío! ¿Qué puedo hacer, Dios
mío, para ayudarte a reparar tanto dolor?
¿Y
a Ti, Madre mía? ¡También tu Corazón está
traspasado por grandes espinas! ¡Enséñame a orar, Señor!
¡Enséñame a ser más víctima, para consolar
vuestros Corazones y para enseñar a los hombres que consuelen vuestros
Corazones!
LA VIRGEN:
Enseña
a los hombres que aprendan a orar con el corazón, no con la boca,
hija mía. Sólo mueven los labios, pero su corazón
no se ejercita.
Como he
dicho, hija mía: si los hombres se pusieran por penitencia la caridad,
conseguirían el amor, hija mía. Pero los hombres no aman
porque no practican la caridad. Sólo piensan en rezar mecánicamente,
como los fariseos, hija mía, hipócritas fariseos.
Moved vuestro
corazón y no mováis tanto vuestros labios. Me gusta la oración
que sale del corazón porque es la oración que se comunica
con Dios.
Hoy habrá
una bendición especial para todos aquéllos que acudan a este
lugar y todos quedarán sellados de cualquier parte del mundo que
vengan. Será una protección para su alma, hija mía.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos, hija mía, con
bendiciones especiales para su salvación...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
La paz os
dejo, hijos míos. Adiós.
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3 mars 1990
- La Sainte Vierge :
Ma fille, me voici pleine de douleur,
mais mon Cœur vient aussi rempli de compassion. Je viens à nouveau
et aujourd’hui mon Cœur est plus affligé car je viens avertir les
sentinelles du peuple de Dieu qui se sont endormies et laissent le troupeau
du Christ être entraîné dans les mains de l’ennemi.
Les âmes tièdes et faibles ne font plus d’efforts pour lutter
contre leurs passions ; les âmes tourmentées ne cherchent
pas la consolation et la paix dans le Christ et chaque jour leur cœur est
plus affligé : l’ennemi fait des dommages dans leur cœur ; les âmes
pieuses sont tous les jours plus tièdes, ne voyant pas la profondeur
du péché ; les âmes consacrées ont abandonné
le chemin de leur ministère qui est d’enseigner aux hommes l’amour
de l’Eglise et sa doctrine. Malheur à vous, âmes consacrées
qui n’avertissez pas les peuples du grand danger qu’il y a dans le monde
! De grandes calamités tomberont sur la terre ; de grandes catastrophes
détruiront la plus grande partie de l’humanité. A quoi sert
à l’homme de construire, si ce qu’il a édifié vient
à être démoli par le produit du péché
?
Pasteurs de l’Eglise, retournez à
votre ministère, mettez en pratique la doctrine et veillez sur le
troupeau du Christ ! Et vous, qui vous dites catholiques, à quoi
vous sert-il de vous appeler ainsi si vous ne mettez pas en pratique la
doctrine du Christ ? Reprenez votre chemin en pratiquant les Sacrements,
mes enfants. Priez. Si vous ne priez pas et ne faites pas pénitence,
vous périrez tous ensemble.
Mon Cœur est triste car l’homme ne
connaît pas les desseins de Dieu, et comme Je te l’ai déjà
dit, ma fille, ils croient seulement en sa Miséricorde mais ils
ne respectent pas ses Lois. Priez, âmes consacrées, jeûnez.
En priant et jeûnant, vous pourrez vous abandonner corps et âme
à la " pierre angulaire ". Mes enfants, à quoi vous servent
toutes les choses du monde si votre âme vient à se perdre
? Pasteurs de l’Eglise, enseignez aux hommes à s’aimer comme des
frères, enseignez-leur à prier. L’homme ne pourra se sauver
que par la prière et la pénitence. Détachez-vous des
choses de la terre, luttez contre la tentation de la chair. Mon Cœur est
blessé par la perversité des hommes.
Je ressens tant de douleur, ma fille,
en voyant que les hommes ne sont pas capables de s’humilier devant Dieu
leur Créateur… La situation du monde est grave, très grave,
les ténèbres l’aveugle et le pouvoir de Satan est en train
de s’emparer d’une grande partie de l’humanité. Je veux qu’au moins
un tiers soit sauvé, mais je vois que l’ennemi est en train de s’emparer
aussi de ceux-là.
Venez en ce lieu, mes enfants, et
laissez marquer vos fronts pour que l’ennemi ne fasse pas de dommages à
vos âmes. L’astuce de Satan envahit ce monde. Ne vous endormez pas,
mes
enfants, priez, priez et mettez-vous en communication avec Dieu, votre
Créateur. Ne vous laissez pas entraîner par le roi du mensonge.
Contrits et repentants, venez à nos Cœurs ; quittez l’orgueil qui
ne sert qu’à introduire l’homme dans les éternelles demeures
de confusion. Humiliez-vous, unissez-vous dans l’amour et l’abandon.
Tous ceux qui accourent en ce lieu
recevront des grâces spéciales pour l’âme et beaucoup
aussi en recevront pour le corps. Le monde est au bord du précipice,
les ténèbres rendent les hommes aveugles.
Baise le sol, ma fille, en réparation
pour tant et tant de péchés qui offensent nos Cœurs. Et vous,
âmes consacrées, petit nombre encore restant, mes filles,
remises totalement à Dieu et non à moitié, oubliez
le monde, travaillez pour Dieu. Que mon Cœur puisse se réfugier
dans votre petit groupe et y être réconforté ; il est
si réduit qu’on n’y trouve presque pas de réconfort !
Dieu est en train d’envoyer de grandes
calamités à la terre : la fin des temps approche. De grands
tremblements de terre frapperont la terre, de forts ouragans arriveront
; l’eau débordera des mers et rasera de grandes cités. Quand
tout cela arrivera, un petit nombre d’âmes restera sur la terre en
désolation car celle-ci sera comme un désert ; l’homme n’y
trouvera ni aliments ni boissons, mais même dans cette situation
l’homme ne criera pas vers Dieu. Jusqu’où va la perversité
des hommes !
Le salut est si simple quand on aime,
mes enfants ! Si l’homme était empreint de l’amour du côté
du Christ il ferait son salut. Priez, mes enfants, car chaque fois que
vous prierez, Je serai avec vous, afin que cette prière soit plus
précieuse aux yeux de Dieu. Fléchissez les genoux mes enfants,
ne soyez pas orgueilleux. Il n’y a qu’un seul Seigneur des seigneurs devant
qui on doit fléchir le genou.
Et toi, ma fille, unis-toi aux douleurs
du Christ et avec Lui répare tant et tant d’offenses qui se commettent
dans le monde. Si les hommes s’aimaient comme des frères, Dieu aurait
pitié d’eux mais ils sont comme des bêtes blessées
et dévorent leurs proies comme des loups affamés. (Pause)
Regarde jusqu’où va la perversité humaine : on se tue les
uns les autres, on tue les innocents, les cœurs sont endurcis par la haine
et la malice. Ayez compassion du Cœur du Christ et de celui de votre Mère
! Priez-Moi, mes enfants, car Je suis Mère de toutes les grâces
et Je vous les accorderai. Approchez-vous du Sacrement de la Pénitence
et cherchez le sacrifice. L’homme ne vit pas seulement de pain et vous
ne pensez qu’au pain, pas au sacrifice.
Toi, ma fille, continue d’être
victime pour les pauvres pécheurs. J’ai tout dit, mes enfants, prenez
mes messages au sérieux car lorsque vous voudrez vous repentir,
il n’en sera plus temps. Levez tous les objets, tous seront bénis
avec des bénédictions spéciales pour la santé
du corps et de l’âme. Je vous bénis, mes enfants, comme le
Père vous bénit, par le Fils et avec l’Esprit-Saint.
MENSAJE DEL DÍA 3 DE MARZO
DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía,
ya estoy aquí llena de dolor; pero mi Corazón también
viene lleno de compasión. Vengo otra vez, hija mía, y hoy
mi Corazón está más dolorido porque vengo a avisar
a los centinelas del pueblo de Dios que se han dormido y dejan arrastrar
el rebaño de Cristo en las manos del enemigo. Hija mía, las
almas tibias y débiles no se esfuerzan para luchar contra las pasiones;
las almas atribuladas no buscan el consuelo y la paz en Cristo, y cada
día su corazón está más atribulado y el enemigo
hace mella en sus corazones; las almas piadosas cada día están
más tibias y no ven la profundidad del pecado; las almas consagradas
han abandonado el camino de su ministerio, que es enseñar a los
hombres el amor a la Iglesia y su doctrina. ¡Ay, almas consagradas,
que no avisáis a los pueblos el gran peligro que hay en el mundo!
Grandes calamidades caerán sobre la Tierra; grandes catástrofes
destruirán la mayor parte de la Humanidad. ¿De qué
le sirve al hombre construir, si lo que el hombre ha construido va a ser
derribado por el producto del pecado?
¡Pastores
de la Iglesia, volved a vuestro ministerio y practicad la doctrina y vigilad
el rebaño de Cristo!
Y vosotros,
aquéllos que os llamáis católicos, ¿de qué
os sirve el nombre de católicos si no practicáis la doctrina
de Cristo? Volved a vuestro camino y practicad los sacramentos, hijos míos.
Orad, hijos míos, que como no oréis ni hagáis penitencia
todos pereceréis juntos, hijos míos.
Mi Corazón
está triste, porque el hombre no conoce los planes de Dios, y como
te he dicho otras veces, hija mía: sólo esperan en su misericordia,
pero sin acatar sus leyes.
Orad, almas
consagradas, ayunad. Sólo con el ayuno y la oración podréis
entregaros en cuerpo y alma a la Piedra Angular. ¿De qué
os sirven, hijos míos, todas las cosas del mundo si vais a perder
vuestra alma? Enseñad a los hombres, pastores de la Iglesia, que
se amen como hermanos; enseñadles a orar. Sólo por el camino
de la oración y de la penitencia el hombre podrá salvarse.
Desprendeos de las cosas terrenas, hijos míos, y luchad contra la
tentación de la carne. Mi Corazón está herido por
la perversidad de los hombres.
Siento tanto
dolor, hija mía, porque los hombres no son capaces de humillarse
ante Dios su Creador... La situación del mundo es grave, gravísima,
hija mía, y la tiniebla los ciega; y el poder de Satanás
está apoderándose de la mayor parte de la Humanidad. Quiero
que se salve por lo menos la tercera parte, hija mía, pero veo que
aun de esta tercera parte el enemigo está apoderándose de
ellos.
Venid a
este lugar, hijos míos, y dejaos señalar vuestras frentes
para que el enemigo no haga mella en vuestras almas. La astucia de Satanás,
hijos míos, está invadiendo el mundo. No os durmáis;
orad, orad, hijos míos, y comunicaos con Dios, vuestro Creador.
No os dejéis arrastrar por el rey de la mentira. Venid contritos
y arrepentidos a nuestros Corazones; dejad la soberbia, hijos míos,
que la soberbia no vale nada más que para introducir al hombre en
las mazmorras eternas. Humildad, unidad, hijos míos, amor y entrega.
Todo el
que acuda a este lugar recibirá gracias especiales para su alma;
y muchos también las recibirán para el cuerpo.
El mundo
está al borde del precipicio y los hombres los ciega la tiniebla.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como ofenden a nuestros Corazones...
Y vosotros,
almas consagradas, aquel pequeño número que todavía
queda —no os digo, hijas mías, entregadas totalmente a vuestro Dios,
sino entregadas a medias—, olvidaos del mundo, hijas mías, y trabajad
para Dios. Que mi Corazón pueda refugiarse para recibir consuelo
de aquel pequeño grupo de almas; ¡es tan reducido, que casi
no encuentro consuelo en ellos!
Dios está
mandando a la Tierra grandes calamidades; el fin de los tiempos se aproxima.
Grandes terremotos caerán sobre la Tierra; fuertes huracanes; el
agua se desbordará de los mares y arrasará con grandes ciudades.
Cuando todo esto suceda, un pequeño número de almas quedará
en la Tierra en una desolación, porque la Tierra quedará
como en un desierto y el hombre no encontrará ni alimentos ni bebidas,
y ni aun en esa situación el hombre clamará a Dios, ¡hasta
dónde llega la perversidad de los hombres!
¡Es
tan sencilla la salvación, hijos míos, con el amor! El hombre,
si se impregnara del amor del Costado de Cristo, se salvaría.
Orad, hijos
míos, que cada vez que oréis yo estaré con vosotros,
para que esa oración sea más valiosa ante los ojos de Dios.
Hincad vuestra rodilla, hijos míos, no seáis soberbios, sólo
hay un Señor de señores al que toda criatura tendrá
que hincar su rodilla.
Y tú,
hija mía, únete a los dolores de Cristo y repara con Él
tantas y tantas ofensas como se cometen en el mundo. Si los hombres se
amasen como hermanos, Dios tendría compasión de ellos; pero
son como fieras heridas y devoran las presas como lobos hambrientos...
Mira, hija mía, hasta dónde llega la perversidad del hombre:
se matan unos a otros, matan a los inocentes, sus corazones están
empedernidos de odio y malicia. ¡Tened compasión del Corazón
de Cristo y del Corazón de vuestra Madre! ¡Pedidme, hijas
mías, que yo soy Madre de todas las gracias y yo os las concederé!
Acercaos al sacramento de la Penitencia y buscad el sacrificio, que no
sólo de pan vive el hombre, hijos míos, y vosotros sólo
pensáis en el pan, no pensáis en el sacrificio.
Tú,
hija mía, sigue siendo víctima por los pobres pecadores.
Todo lo
tengo dicho, hijos míos, tomaos en serio mis mensajes, que cuando
queráis arrepentiros no habrá tiempo, hijos míos.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para la salud del cuerpo y del alma.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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7 avril 1990
- Le Seigneur :
Ma fille, en tant que Fils du Dieu
vivant, J’ordonne à tous mes anges de sceller le front de tous mes
enfants, cela à cause de la persévérance de ceux qui
accourent en ce lieu. Tous les fronts seront marqués et ce signe,
le roi du mensonge, de l’envie, de la luxure, de la perversité le
persécutera mais il ne pourra rien parce que les portes de l’enfer
ne demeureront pas toujours ouvertes. Mais tous les habitants de la terre,
ma fille, qui ne voudront pas reconnaître Dieu comme Créateur,
devront épuiser le calice de la colère de Dieu, à
cause des offenses et des péchés qui ont fait souffrir nos
Cœurs. Quand les hommes me reconnaîtront, j’adoucirai ma justice.
Je veux qu’on reconnaisse ma Mère comme Mère de la nature
divine, non comme les hommes qui la reconnaissent seulement comme Mère
de la nature humaine du Christ. [mère de Jésus qui est vrai
Dieu et vrai homme, Marie est mère de Dieu en ce sens que les deux
natures divines et humaines ne sont pas séparables en Jésus
: note ex plicative de JesusMarie.com]
- La Sainte Vierge :
Me voici, ma fille, comme Mère
de l’Eglise. Aimez l’Eglise, mes enfants, plus vous aimerez l’Eglise, vous
aimerez le Christ. Le Christ a donné sa vie par l’Eglise et pour
l’Eglise. La sainteté de l’Eglise vient de la sainteté du
Christ, mes enfants. L’Eglise est riche parce qu’il y a en elle des canaux
de grâces pour le salut des hommes. L’Eglise est riche, car en elle
se trouve l’aliment exquis de la vie éternelle. Malheur à
vous les pasteurs qui vous écartez de l’Eglise et qui faites souffrir
nos Cœurs ; prenez conscience, mes fils, de ce que vous faites et que mon
Fils vous a donné pouvoir de lier et délier, mais avec justice
et sainte crainte de Dieu, non pour votre caprice. Ah ! mes fils, comme
vous mesurez ce que vous avez à donner à Dieu ! Cela ne vous
fait-il pas de la peine de voir le Cœur divin attristé ? Vos cœurs
de pierre font souffrir les nôtres. Revenez à votre ministère,
pour que le Cœur de Dieu puisse venir chaque jour à votre rencontre
et que vous vous humiliez et fléchissiez le genou devant sa divine
Majesté. Ah, vous les guides du peuple ! N’êtes-vous pas peinés
par tous ces mauvais exemples que vous donnez à l’humanité
? Mon Cœur vous aime, mes fils, aussi Je vous avertis car votre péché
est terrible et le ciel réclame justice, mes enfants. Soyez de bons
pasteurs d’âmes, dédiez-vous à votre ministère
et laissez les choses du monde. Satan veut tirer profit de vos âmes
et nos Cœurs en souffrent, mes fils.
Le peuple a besoin de vous, de votre
prédication de l’Evangile tel qu’il a été écrit.
Enseignez aux hommes à s’aimer pour faire cesser les violences et
les guerres. Apprenez-leur à prier, mes enfants. Ah ! fils prodigues,
revenez à la Maison du Père, qui vous revêtira d’un
nouvel habit, un vêtement de grâce.
Accourez en ce lieu, mes enfants
et vous serez protégés du 666. Les temps sont graves, très
graves. L’ennemi, le roi de l’enfer, fait des ravages sur la terre. Ne
vous rendez-vous pas compte, mes enfants, de la perversité du monde
? Réveillez-vous, vous êtes endormis, mes enfants. C’est le
roi du mensonge et de la destruction qui engourdit vos âmes pour
que vous demeuriez sourds et muets devant la grâce. Regarde, ma fille,
cette armée d’anges qui marquent les fronts. C’est pour sauver l’humanité
que j’insiste tant et que mon appel est si urgent. Vous serez tous marqués
pour être protégés contre l’ennemi.
Des milliers et des milliers d’anges
sont en train de sceller les fronts. Vois, ma fille, comme cela vaut la
peine de souffrir : ma fille, tu as la récompense à tes douleurs.
Sois humble, très humble, pour empêcher l’ennemi de nuire
aux âmes. Baise le sol, en réparation de tant de péchés
qui sont commis dans le monde.
Elevez votre cœur, mes enfants, soyez
vigilants, priez et repentez-vous de vos péchés. Levez tous
les objets : tous seront bénis avec des bénédictions
spéciales pour protéger vos âmes.
Tous ont été bénis.
Récitez
le chapelet tous les jours pour que votre Mère vous protège
de Satan. Je serai celle qui foule aux pieds sa tête mais
maintenant c’est le règne de l’ennemi. Des milliers et des milliers
d’anges des ténèbres font des ravages dans l’humanité,
divisent les peuples et refroidissent les cœurs. Or lorsque vient la tiédeur
du cœur, l’homme devient insensible et sourd à toutes les grâces.
Réveillez-vous, mes enfants, réveillez-vous, âmes consacrées,
guides du peuple de Dieu, n’endurcissez pas votre cœur pour Dieu. Revenez
à l’Evangile et prêchez-le tel qu’il est écrit. Soyez
de bons imitateurs du Christ. Renoncez aux choses du monde. Vivez dans
la pauvreté, l’humilité, la chasteté, l’obéissance,
mes enfants. Je serai avec vous. Ne vous laissez pas tromper par Satan.
Au revoir, mes enfants. Je vous laisse la paix.
MENSAJE DEL DÍA 7 DE ABRIL
DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía,
yo, como Hijo del Dios vivo, ordeno a todos mis ángeles que sellen
todas las frentes de mis hijos. Por eso, hija mía, es la insistencia
tan grande de que acudan a este lugar. Todas las frentes serán selladas
y esta señal que el rey de la mentira, de la envidia, de la lujuria
y de la perversidad, perseguirá; pero no podrá con esta señal,
hija mía, porque las puertas del Infierno no prevalecerán
abiertas.
Pero todos
los habitantes de la Tierra, hija mía, que no quieran reconocer
a Dios como Creador, tendrán que apurar las heces del cáliz
de la cólera de Dios, producto de todos sus pecados y de tantas
y tantas ofensas como han hecho sufrir a nuestros Corazones.
Cuando los
hombres me reconozcan el poder que tengo, aplicaré mi justicia.
Quiero que se reconozca a mi Madre como Madre de la naturaleza divina,
no como los hombres la reconocen: sólo como Madre de la naturaleza
humana.
LA VIRGEN:
Aquí
estoy, hija mía, como Madre de la Iglesia.
Amad a la
Iglesia, hijos míos; cuanto más améis a la Iglesia
más amaréis a Cristo. Cristo dio su vida por la Iglesia y
para la Iglesia. La santidad de la Iglesia viene de la santidad de Cristo,
hijos míos. La Iglesia es rica porque en ella hay canales de gracias
para la salvación de los hombres; la Iglesia es rica, hijos míos,
porque en ella está el Manjar exquisito de vida eterna.
¡Ay,
pastores que os retiráis de la Iglesia y hacéis sufrir nuestros
Corazones! Tened conciencia, hijos míos, de lo que hacéis;
que mi Hijo os dio poder para hacer y deshacer, pero con justicia y con
santo temor de Dios, no a vuestro antojo y a vuestro capricho. ¡Ay,
hijos míos, qué cuentas tan estrechas tenéis que dar
a Dios! ¿No os da pena, hijos míos, del Corazón de
todo un Dios entristecido? Vuestros corazones de bronce, hijos míos,
hacen sufrir a nuestros Corazones. Volved a vuestro ministerio, hijos míos,
que todo el Corazón de un Dios sale todos los días a vuestro
encuentro, para que os humilléis e inclinéis vuestra rodilla
ante su Divina Majestad. ¡Ay, guías del pueblo! ¿No
os da pena de tantos malos ejemplos como estáis dando a la Humanidad?
Mi Corazón os ama, hijos míos, por eso os aviso, porque vuestro
pecado es terrible; al Cielo está clamando venganza, hijos míos.
Sed buenos pastores de almas y dedicaos a vuestro ministerio y dejad las
cosas del mundo. Satanás quiere aprovecharse de vuestras almas,
y nuestros Corazones sufren, hijos míos. El pueblo necesita de vosotros,
hijos míos, necesita de que prediquéis el Evangelio tal como
está escrito, hijos míos. Enseñad a los hombres a
amarse para que se acaben las violencias y las guerras. Enseñadles
a orar, hijos míos. ¡Ay, hijos pródigos!, volved a
la casa paterna del Padre, que os revestirá con una nueva vestidura
de gracias.
Acudid a
este lugar, hijos míos, que seréis protegidos del 666. Los
tiempos son graves, muy graves, hijos míos; el enemigo, el rey del
Infierno, está haciendo estragos en la Tierra. ¿No os dais
cuenta, hijos míos, de la perversidad que hay en el mundo? ¡Despertad,
que estáis aletargados, hijos míos! Sólo el rey de
la mentira y de la destrucción puede aletargar vuestras almas para
que os quedéis sordos y mudos a la gracia.
Mira, hija
mía, qué ejército de ángeles está dedicado
a sellar frentes. Por eso mi insistencia y mi llamada urgente, hija mía,
es para salvar a la Humanidad.
Todos seréis
sellados, hijos míos, para que seáis protegidos contra el
enemigo. Miles y miles de ángeles están sellando frentes.
¿Ves
como vale la pena el dolor y el sufrimiento, hija mía? Tienes recompensa
a tu dolor. Tú, hija mía, sé humilde, muy humilde,
para que el enemigo no pueda hacer estragos en las almas.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en el mundo...
Levantad
vuestro corazón, hijos míos, estad alerta; orad y arrepentíos
de vuestros pecados, hijos míos...
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos, hijos míos, con
bendiciones especiales para proteger vuestras almas... Todos han sido bendecidos.
Rezad el
santo Rosario todos los días para que vuestra Madre, hijos míos,
os proteja de Satanás. Yo seré la que pisaré su cabeza;
pero ahora es su tiempo, es el reinado del enemigo; por eso tiene miles
y miles de ángeles de la tiniebla haciendo estragos en la Humanidad,
dividiendo los pueblos y entibiando los corazones; porque cuando llega
la tibieza al corazón ya el hombre le da igual todo, se queda sordo
a todas las gracias. ¡Despertad, hijos míos, despertad, almas
consagradas, guías del pueblo de Dios, no endurezcáis vuestro
corazón a Dios; y volved al Evangelio y predicadlo tal como está
escrito! Sed buenos imitadores de Cristo: renunciad a las cosas del mundo,
vivid en pobreza, humildad, castidad y obediencia, hijos míos. Yo
estaré con vosotros, no os dejéis engañar por Satanás.
Adiós,
hijos míos.
La paz os
dejo.
|
5 mai 1990
Ma fille, aujourd’hui mon Cœur est
rempli de douleur comme si souvent, car les hommes ne font pas cas des
appels du ciel et ils vont périr comme les hommes de Sodome et Gomorrhe
qui se bouchaient les oreilles et tous périrent ensemble. Je reviens
faire un appel aux croyants et aux incroyants.
Vous les croyants, qui vous appelez
ainsi et êtes éloignés de l’Evangile, vivez de la foi,
de l’espérance et de la charité. Mes enfants, vivez l’Evangile.
Les temps sont très graves et vous ne faites pas cas des appels
de votre Mère. Et vous, les jeunes, vous vous laissez entraîner
dans la drogue, l’alcool, la chair et tous les vices par l’ennemi qui veut
vous séparer de Dieu. Ne voyez-vous pas la ruse de l’ennemi ? Car
le démon vous montre un chemin facile mais pour votre perdition.
L’homme n’a pas faim de Dieu mais
du mal : dans sa superbe, l’homme s’enorgueillit, se croit fort et très
grand. S’il reconnaissait sa petitesse, il penserait davantage à
Dieu et s’humilierait. L’homme croit qu’il vaut par lui-même. Ah
! aveugles et ignorants. Mes enfants, sans Dieu vous n’auriez pas la vie.
Dieu est le commencement et la fin, le chemin et la vie. Là où
Dieu n’est pas, il n’y aura pas la paix mais seulement la mort.
Et vous, ministres de l’Eglise, quelle
indifférence ressentez-vous devant le Christ ! Vous l’abandonnez,
mes enfants, le laissez seul et vous abandonnez votre ministère.
Mon Cœur est triste, parce que vous avez reçu davantage de grâces.
Mon Fils a permis que vous le portiez dans vos mains tachées par
le péché. Et vous, le petit nombre des âmes qui suivez
l’Evangile, consacrez-vous à mon Cœur Immaculé, consacrez
toute votre volonté, faites-vous victimes de réparation pour
les péchés de vos frères, pour que l’agonie de mon
Fils ne soit pas si dure. Mon Fils continue d’être en agonie à
cause de ses âmes consacrées.
Réveillez-vous, mes enfants,
sinon vous allez périr tous ensemble ! Accourez en ce lieu, car
vous y serez bénis et protégés. Tout est proche, ma
fille. Regarde, quand cela arrivera… (Amparo contemple le cadavre d’un
personnage avec une mitre, entouré de hauts dignitaires et d’un
peuple nombreux chantant à des obsèques sur une très
grande place)…
- Amparo :
Le Saint-Père ! Ah ! mon Dieu,
je vois comme si le Saint-Père mourait, ah !
- La Sainte Vierge :
Quand ce saint homme disparaîtra,
ce sera pire chaque jour pour l’Eglise.
- Amparo :
Ah ! mais est-ce bientôt, ma
Mère ?
- La Sainte Vierge :
Cela va arriver très bientôt,
ma fille.
- Amparo :
Ne le permets pas, ma Mère.
- La Sainte Vierge :
Les hommes ne font pas suffisamment
de prières, de sacrifices et de pénitences. Le monde est
au bord du précipice. Toi, ma fille, ne te décourage pas
en te sacrifiant et en souffrant pour le Christ et le salut des âmes.
Mon Fils élèvera ton esprit, il te donnera de la force ;
la douleur ne dure qu’un temps qui est court et tes souffrances iront en
diminuant. Mais l’éternité est longue.
Quant à la jeunesse, ah !
ma fille, prie pour les jeunes dont le cœur est endurci par les vices.
Satan les rend aveugles et sourds à la parole de Dieu. Il leur fait
voir que le corps est fait seulement pour les plaisirs. Il les rend attentifs
à sa parole mais ils se bouchent les oreilles à la Parole
de l’Evangile, ils ne veulent pas l’entendre. Ils prennent ce qui leur
plaît : pauvre jeunesse entraînée dans le vice et les
plaisirs du monde ! Cela ne vous fait-il pas souffrir, mes enfants, de
voir que vous augmentez les souffrances de la flagellation du Christ et
que vous rendez son agonie plus cruelle ?
Croyants et incroyants, venez à
ce lieu pour fortifier votre esprit, voir la vérité de l’Evangile
avec clarté. Aimez l’Eglise, aimez le Vicaire du Christ mes enfants,
priez beaucoup pour lui, car il est parmi vous pour peu de temps.
C’est seulement par la prière,
le sacrifice et la pénitence que vous pouvez obtenir que Dieu Créateur
ait pitié de vous. Ne soyez pas ingrats, donnez un peu de consolation
à nos Cœurs ! Baise le sol, ma fille, en réparation de tant
et tant de péchés qui se commettent dans le monde.
Les temps sont graves, le temps presse
et les hommes ne changent pas. Priez beaucoup pour le Vicaire du Christ.
Le cœur des jeunes est endurci, ils ne respectent pas les lois de Dieu.
Mères, priez pour vos enfants et faites des sacrifices et des pénitences
pour eux. Vos cœurs souffriront beaucoup en voyant vos fils entraînés
dans le chemin de la perdition, non par manque de grâces, mais parce
que les plaisirs du monde les attirent. Vous, mères, la plupart
d’entre vous êtes coupables des péchés de vos enfants.
Eduquez-les dans la sainte crainte de Dieu ; exigez le sacrifice et la
pénitence et veillez sur vos enfants. Ils se sont échappés
de la main de Dieu mais vous êtes responsables et devrez rendre compte
à Dieu votre Créateur : il vous reste à prier.
Regarde, ma fille, on vit dans l’hypocrisie,
dans l’erreur et le mensonge.
- Amparo :
Que puis-je faire, moi, Seigneur
? Je ne puis faire plus, je prie et intercède pour eux, me sacrifie
; que puis-je faire de plus, mon Dieu ? Je m’offre comme victime de réparation
pour tous les péchés du monde, donne-moi la force, Seigneur.
- La Sainte Vierge :
Recommence à baiser le sol,
ma fille, pour tant d’offenses envers nos Cœurs. Regarde le mien, les épines
y sont chaque fois plus enfoncées. (Plainte accentuée d’Amparo
qui se prolonge durant le message.)
Ces larmes, je les répands
avec beaucoup de douleur, ma fille, en voyant les hommes ingrats et refusant
la grâce. Toi, continue de souffrir en réparation de tous
les péchés qui se commettent dans le monde. A tous ceux qui
accourent en ce lieu, j’enverrai des grâces pour le corps et l’âme.
Accourez, mes enfants, et tous vous serez bénis et marqués
avec une croix au front.
Mais attention à ceux qui
vont de village en village, de voyants à voyants, car la plus grande
partie d’entre eux sont faux. Tous ceux qui ne sont pas avec l’Eglise sont
contre le Christ ; de même ceux qui disent qu’ils sont réincarnés
; l’Eglise n’admet pas la réincarnation : c’est lui désobéir.
Priez et faites pénitence, les temps sont graves.
Levez tous les objets, mes enfants,
tous seront bénis de bénédictions particulières
pour le salut des âmes. Je vous bénis, mes enfants, comme
le Père vous bénit, par le Fils et avec le Saint-Esprit.
MENSAJE DEL DÍA 5 DE MAYO
DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía,
hoy mi Corazón, como tantas y tantas veces, viene lleno de dolor,
pues los hombres, hija mía, no hacen caso a las llamadas del Cielo
y van a perecer como cuando Sodoma y Gomorra; los hombres cerraron sus
oídos y perecieron todos juntos, hija mía. Vuelvo a hacer
una llamada para creyentes y no creyentes.
Vosotros
creyentes, que os llamáis creyentes y estáis ajenos al Evangelio,
vivid de la fe, de la esperanza y de la caridad. Vivid, hijos míos,
el Evangelio. Los tiempos son muy graves y no hacéis caso a las
llamadas de vuestra Madre.
Y vosotros,
jóvenes, que os dejáis arrastrar por el enemigo, y os introduce
en las drogas, en el alcohol, en la carne, en todos los vicios, para apartaros
de Dios, hijos míos, ¡no veis la astucia del enemigo! Porque
el demonio os muestra fácil el camino para vuestra perdición,
hijos míos.
El hombre
no tiene hambre de Dios; tiene hambre del mal; el hombre, su soberbia,
hija mía, le engríe y se cree muy grande y fuerte. Si el
hombre se reconociese su pequeñez, pensaría más en
Dios y se humillaría. El hombre cree que se puede valer por sí
mismo. ¡Ay, ciegos y necios!; sin Dios no tendréis vida, hijos
míos; Dios es el principio y el fin, el camino y la vida. Donde
no está Dios, hijos míos, no habrá paz; sólo
habrá
muerte.
Y vosotros, ministros de la Iglesia,
¡qué indiferencia sentís ante Cristo! Le abandonáis,
hijos míos, le dejáis solo y abandonáis vuestro ministerio.
Mi Corazón está triste, hijos míos, porque vosotros
habéis recibido más gracias. Mi Hijo ha dejado que le conduzcáis
en vuestras manos manchadas de pecado.
Y vosotros,
aquel pequeño número de almas que seguís el Evangelio,
consagraos a mi Inmaculado Corazón y consagrad toda vuestra voluntad
y haceos víctimas de reparación por los pecados de vuestros
hermanos, para que la agonía de mi Hijo no sea tan dura, hijos míos.
Mi Hijo sigue en agonía por sus almas consagradas.
¡Despertad,
hijos míos, que vais a perecer todos juntos!
Acudid a
este lugar, que en este lugar seréis bendecidos y protegidos.
Todo está
próximo, hija mía. Mira, cuando esto suceda...
LUZ AMPARO:
¡El
Santo Padre!... ¡Ay, yo le veo como si se muriese el Santo Padre!...
¡Ay, ay!...
LA VIRGEN:
Cuando este
santo varón desaparezca, hija mía, la Iglesia irá
cada día peor.
LUZ AMPARO:
¡Ay!,
pero, ¿es pronto, Madre mía?
LA VIRGEN:
Muy pronto,
hija mía, va a suceder todo esto.
LUZ AMPARO:
¡Ay...!
¡Ay, Madre mía, no lo permitas...!
LA VIRGEN:
Los hombres
están faltos de oración, sacrificio y penitencia. El mundo
está al borde del precipicio.
Tú,
hija mía, que nada te desaliente, el sacrificio y el dolor que sufras
por Cristo y por la salvación de las almas. Mi Hijo elevará
tu espíritu, hija mía, y te dará fuerza; piensa que
el dolor se queda en el tiempo; el tiempo es corto y tus dolores, hija
mía, irán disminuyendo. Pero la eternidad es larga.
¡Ay,
la juventud, hija mía! Pide por la juventud, que sus corazones están
empedernidos por los vicios; Satanás los deja ciegos y sordos a
su palabra de... Los hace ver, hija mía, que sólo el cuerpo
está hecho para gozar de él. Para su palabra les hace abrir
los oídos, pero para la palabra del Evangelio los hombres la cierran;
cierran fuertemente el oído y no quieren entender el Evangelio;
se lo aplican tal como a ellos les conviene. ¡Pobre juventud, cómo
es arrastrada al vicio y a los placeres del mundo!
¿No
os da pena de Cristo, hijos míos? ¡Cómo aumentáis
su flagelación y cómo hacéis su agonía más
dura!
Venid, creyentes
y no creyentes a este lugar para fortalecer vuestro espíritu y veáis
con claridad la verdad del Evangelio. Amad a la Iglesia, hijos míos,
amad al Vicario de Cristo; rezad mucho por él, pues poco tiempo
estará entre vosotros, hijos míos.
Sólo
la oración, el sacrificio y la penitencia... puede compadecerse
de vosotros Dios Creador, hijos míos. ¡No seáis ingratos!
¡Dad un poco consuelo a nuestros Corazones!
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en el mundo...
Los tiempos
son graves, hija mía, el tiempo apremia y los hombres no cambian.
Pedid mucho por el Vicario de Cristo. El corazón de la juventud
está endurecido y no respetan las leyes de Dios.
¡Madres,
pedid por vuestros hijos y haced sacrificio y penitencia por ellos! Vuestros
corazones sufrirán mucho viendo cómo vuestros hijos se arrastran
hacia el camino de la perdición; pero no, hijos míos, por
falta de gracias, sino porque les gustan los placeres y los gustos del
mundo. Y vosotras, madres, la mayoría de las veces sois culpables
de los pecados de vuestros hijos. Educadlos en el santo temor de Dios y
exigidles penitencia y sacrificio, y vigilad a vuestros hijos, hijos míos.
Se han escapado de las manos de Dios. Pero vosotras sois responsables y
tendréis que dar cuenta ante Dios vuestro Creador, hijas mías;
sólo queda que o... (Pausa en la que Luz Amparo muestra admiración).
Mira, hija
mía, así viven en la hipocresía, en la mentira, en
el engaño; siguen engañando y mintiendo.
LUZ AMPARO:
¿Qué
tengo que hacer yo, Señor? Yo ya no puedo hacer más: pido
por ellos y rezo por ellos, y me sacrifico por ellos; ¿qué
más puedo hacer, Señor? Me ofrezco víctima de reparación
por todos los pecados del mundo. Dame fuerzas, Señor.
LA VIRGEN:
Vuelve a
besar el suelo, hija mía, por tantas ofensas hechas a nuestros Corazones...
Mira nuestro
Corazón, hija mía; cada vez están más profundas
las espinas, hija mía... (Llanto profundo de Luz Amparo, que se
prolonga al mismo tiempo que sigue el mensaje).
Por eso,
hija mía, estas lágrimas que derramo las derramo con mucho
dolor, porque veo que los hombres son ingratos a la gracia y la rechazan.
Tú sigue sufriendo, hija mía, en reparación de todos
los pecados que se cometen en el mundo.
Yo prometo
que a todo el que acuda a este lugar: derramaré gracias sobre sus
almas y sobre sus cuerpos.
Acudid,
hijos míos, y todos seréis bendecidos y marcados con una
cruz en la frente.
Pero ¡cuidado
de todos aquéllos que vais de pueblo en pueblo, de vidente en vidente,
que la mayoría de todos ellos son falsos! Todo aquél que
no vaya con la Iglesia va contra Cristo; todo aquél que diga que
es reencarnado, es falso; la Iglesia no admite la reencarnación
y están desobedeciendo a la Iglesia; ¡cuidado, hijos míos!
Orad y haced penitencia, que los tiempos son graves.
Levantad
todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos con
bendiciones especiales para la salvación de las almas...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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2 juin 1990
- La Sainte Vierge :
Ma fille, je continue de donner des
avertissements aux hommes et eux s’obstinent à ne pas les écouter.
Comme ils ne changent pas, leur salut sera difficile. Mes enfants, allez
au Christ en qui est la lumière, le chemin et la vie. Combien d’entre
vous vont perdre les choses du Ciel pour ne pas avoir délaissé
celles de la terre. Vous vous plaisez dans les ténèbres !
Allez au Christ qui est la paix, ne cherchez pas les guerres.
Et vous, guides des peuples, conduisez
les âmes par le chemin de l’Evangile. Ne mettez pas de limites à
mes messages. Qui êtes-vous pour limiter mon temps et mon message
? Laissez les hommes se convertir. Etudiez l’esprit du message et vous
verrez d’où il vient ; mais n’allez pas faire obstacle aux plans
divins. Ne profanez pas le sacrifice du Christ. Il a vécu, est mort,
est ressuscité pour payer la dette des hommes. Dieu est le Père
universel, non seulement de la parole, mais de tout votre être bien
que votre chair indigne soit la cause du péché. Pour vous
sauver, mes enfants, il faut faire le bien et pratiquer les commandements.
Maintenant, ma fille, Je vais t’élever vers différentes demeures.
Le Guide qui t’emmène t’enseignera à chaque île de
lumière et chaque paradis. Regarde, vois-tu ces sept cercles ? Explique
comment tu les vois.
- Amparo :
Je vois un très grand cercle
comme si c’était une porte, comme la roue très très
grande d’un chariot. A l’intérieur, ce sont des prairies luxuriantes.
(longue pause)
- La Sainte Vierge :
Ce sont les sept paradis de la lumière.
Regarde, voici les cavaliers montés. L’un d’eux est avec du sang
et répand le sang de toutes parts. L’autre moissonne et donne la
mort à la plus grande partie de la planète. Celui-ci, c’est
le cavalier qui va recueillir le fruit de la récolte. Celui-là,
c’est le cavalier des trois circuits de la demeure universelle du Père
qui approvisionne le Ciel et la terre. Regarde le foyer de lumière.
Il t'embraserait si on ne t'avait pas mis cette protection. C'est la demeure
universelle du Père. Ici résident le Père de l’Univers,
le Fils éternel et l’Esprit-Saint infini. D’ici se fertilise tout
le créé. Bien peu de monde parvient jusqu’ici, seulement
quelques bienheureux. Regarde toutes ces autres demeures : tous ces points
de lumière, ce sont vingt-et-une portes, gardées à
l’intérieur par vingt-et-un gardiens pour que personne ne puisse
y entrer. Vingt-quatre hommes les gardent. Ces demeures sont préparées
pour tous ceux qui observent les Commandements. Ma fille, regarde ces ruisseaux,
que de lumière, que d’énergie divine sort de ce lieu. Que
les hommes sont obstinés en n’écoutant pas ma voix. Celles-là
sont des îles de la lumière du Père mais ton esprit
ne peut s’élever plus haut. Il y a des milliards et des milliards
d’âmes à l’intérieur.
- Amparo :
Ah ! Mon Dieu, quelle beauté
! Et les hommes refusent de croire… !
- La Sainte Vierge :
Ici au centre vit la Famille de la
Trinité. Le Père, le Fils et l’Esprit-Saint. Je te redis
que l’univers entier et le globe terrestre sont alimentés par cette
énergie divine.
Hommes de peu de foi ! Quand allez-vous
ouvrir votre cœur à Dieu et ouvrir vos oreilles pour écouter
mes paroles ? Tous pécheurs que vous soyez, mes enfants, venez contrits
et repentants, le Christ vous attend les bras ouverts. Mais malheur aux
hommes qui se bouchent les oreilles !
Regarde ceux qui se perdent, ma fille,
et regarde où ils vont. (Amparo pleure et gémit devant la
damnation de tant d’âmes.)
Ne pensez pas tant aux choses terrestres
mais élevez votre esprit vers Dieu votre Créateur. Regarde
mon Cœur affligé par les péchés des hommes. Il souffre
plus encore pour ceux des âmes consacrées. Baise le sol, ma
fille, en réparation pour tant de péchés…
N’endurcissez pas votre cœur, mes
enfants, écoutez mes paroles, priez et faites des sacrifices pour
les pauvres pécheurs. Que puis-Je dire de plus ? Je vous ai déjà
tout dit. Ne vous laissez pas absorber par le monde, vous êtes accaparés
par les choses matérielles !
Ma fille, un autre jour, tu continueras
de voir d’autres parties des demeures. Priez, mes enfants, et faites des
sacrifices. Accourez en ce lieu, tous ceux qui y viennent recevront des
grâces spéciales pour le corps et l’âme. Mais pensez
davantage à votre âme qu’à votre corps, mes enfants.
Et vous, qui vous êtes retirées
du monde, n’ayez pas votre esprit uni à la terre. Qu’il soit toujours
élevé vers Dieu, votre Créateur. Renoncez à
tous les caprices et vanités terrestres.
Levez tous les objets, tous seront
bénis avec des bénédictions spéciales pour
votre salut. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous
bénit par le moyen du Fils et avec l’Esprit-Saint.
MENSAJE DEL DÍA 2 DE
JUNIO DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía,
yo sigo dando avisos a los humanos y los humanos siguen obstinados en no
abrir sus oídos a mis avisos. Como los hombres no cambien, hija
mía, su salvación será difícil.
Id a Cristo,
hijos míos, que allí está la luz, el camino y la vida.
¡Cuántos de vosotros, por no dejar las cosas de la Tierra,
vais a perder las cosas del Cielo, hijos míos! Os gusta estar en
la tiniebla. Id a Cristo, que es la paz, no busquéis las guerras,
hijos míos.
Y vosotros,
guías de los pueblos, guiad a las almas por el camino del Evangelio.
No pongáis límites a mis mensajes; ¿quién sois
vosotros para limitar ni mi tiempo ni mi mensaje? Dejad a los hombres que
se conviertan, hijos míos, estudiad el espíritu del mensaje
y veréis de dónde viene; pero no queráis estropear
los planes divinos. No queráis estropear, hijos míos, el
sacrificio de Cristo; Cristo vivió, murió y resucitó
para pagar la deuda de los hombres. Dios es el Padre universal, no sólo
de la palabra, hijos míos, sino de todo vuestro ser, aunque vuestra
carne indigna sea la causa del pecado.
Para salvaros,
hijos míos, es necesario que obréis el bien y que cumpláis
con los mandamientos.
Ahora, hija
mía, te voy a elevar a ver varias moradas; el guía que llevas
te irá enseñando cada isla de la luz y cada paraíso.
Mira, hija mía, ¿ves estos siete círculos redondos?
Explica cómo los ves.
LUZ AMPARO:
Veo un círculo
redondo grande, muy grande, como si fuese una puerta, como una rueda de
carro, mucho más grande. Hay frondosas praderas dentro de ello...
(Larga pausa).
LA VIRGEN:
Son los
siete paraísos de la luz, hija mía. Mira, aquí están
los jinetes, van montados; uno de ellos va sangrando y derramando la sangre
por todas las partes. Otro de ellos va segando y dando muerte a la mayor
parte de este planeta. Éste es el jinete, hija mía, que va
recogiendo el fruto de la cosecha. Éste es el jinete de los tres
circuitos de la morada universal del Padre que abastece el Cielo y la Tierra.
Mira, hija mía, el horno de luz; te abrasarías si no te hubiera
puesto, hija mía, esa pantalla protectora por delante. Ésta
es la morada universal del Padre; aquí mora el Padre Universal,
el Hijo Eterno y el Espíritu Santo Infinito. (Explica después
Luz Amparo que esta morada está protegida por tres misteriosos guardianes).
De aquí se abastece todo lo creado. Aquí, hija mía,
llegan pocos, sólo unos pocos bienaventurados. Mira esas otras moradas,
todos esos puntos que rodean de luz, son veintiuna puerta más, hija
mía, con veintiún guardián dentro, para que nadie
pueda entrar dentro de ella. Veinticuatro hombres las guardan, hija mía.
Esto está preparado para todos aquéllos que guarden los mandamientos.
Mira, hija mía, qué riachuelos, mira qué luz, qué
energía divina sale de todo este lugar. ¡Y que los hombres
sean tercos y no escuchen mi voz!... Todas éstas, hija mía,
son islas de la luz del Padre; pero tu espíritu no puede llegar
más arriba. Hay billones y billones de almas dentro de ellas, hija
mía.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
qué belleza, Dios mío! ¡Ay, ay, ay...! ¡Ay, qué
grande! ¡Ay, Dios mío, y que no crean los hombres! ¡Ay!...
LA VIRGEN:
Aquí
en el centro vive la Familia Trinitaria: El Padre, el Hijo y el Espíritu
Santo. Y te repito: se abastece todo el Universo y todo el globo terrestre
de esta energía divina.
¡Hombres
de poca fe! ¿Cuándo vais a abrir vuestro corazón a
Dios y vais a abrir los oídos y escuchar mis palabras? Por muy pecadores
que seáis, hijos míos, id contritos y arrepentidos, que Cristo
os espera con los brazos abiertos. Pero, ¡ay de los hombres que cierran
sus oídos!
LUZ AMPARO:
¡Ay, ay, Dios mío, ay,
ay!
LA VIRGEN:
Mira lo
que se pierden, hija mía, y mira dónde van.
(Luz Amparo
llora y se lamenta al comprobar la condenación de las almas).
No penséis
tanto, hijos míos, en las cosas terrenas y elevad vuestro espíritu
a Dios, vuestro Creador.
Mira mi
Corazón, hija mía, está afligido por los pecados de
los hombres. Y más todavía sufre mi Corazón por aquellos
pecados de mis almas consagradas.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en el mundo...
No endurezcáis
vuestro corazón, hijos míos; escuchad mis palabras, haced
oración y sacrificios por los pobres pecadores. ¿Qué
puedo decir más, hijos míos, si ya lo he dicho todo? No os
apeguéis al mundo, que os quedáis en el tiempo por estar
apegados a lo material, hijos míos.
Otro día,
hija mía, seguirás viendo parte de las moradas.
Orad, hijos
míos, y haced sacrificios. Acudid a este lugar. Todo el que acuda
a este lugar recibirá gracias especiales para el cuerpo y el alma.
Pero pensad más en vuestra alma que en vuestro cuerpo, hijas mías.
Y vosotras,
aquellas que os habéis retirado del mundo, no tengáis vuestros
pensamientos en la Tierra; que vuestro pensamiento esté siempre
elevado hacia Dios, vuestro Creador. Renunciad a todos los gustos y caprichos
y vanidades de la Tierra.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para vuestra salvación...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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7 juillet 1990
- La Sainte Vierge :
Priez, mes enfants, si vous ne priez
pas vous perdrez le regard de Dieu et ne serez pas en communication avec
Lui. Contemplez-Le et adorez-Le. Moi, dès mon enfance, J’ai été
en constante contemplation avec le Père et dans une constante prière.
Je fus unie à sa parole. C’est pourquoi la Parole s’incarna en Moi,
Parole qui serait un jour expliquée aux hommes. J’ai eu le don de
nombreuses grâces, le privilège d’aucune créature,
Je l’ai eu. Toutes me sont venues par mon Fils, le Verbe incarné
dans mes entrailles. Pour le " oui " que J’ai dit au Père, Il me
concéda tous ces privilèges, non seulement celui d’être
Mère du Verbe incarné mais aussi celui d’être Mère
de l’Eglise.
Et les hommes veulent m’écarter
d’elle. Mes enfants, comment pouvez-vous vous séparer de votre Mère
qui vous montre le chemin du salut ? Sans Elle, vous êtes orphelins.
Priez, ne vous séparez pas de la prière. Louez Dieu et faites
des sacrifices de réparation envers la Majesté divine. Ne
soyez pas des lâches : donnez le témoignage de la vérité.
Vos cœurs sont tièdes et les vices, vous les voyez comme des vertus
et les vertus comme des vices. Vous êtes dans les ténèbres
en n’ayant pas la foi. Vous vous guidez par vous-mêmes : laissez-vous
guider par votre Mère. Elle vous enseignera à aimer l’Eglise.
Ah ! Conducteurs du peuple, enseignez
aux hommes l’Evangile tel qu’il est. Sinon, mes enfants, lorsque vous vous
présenterez devant le Père, quelle tristesse ressentira mon
Cœur quand Dieu dira : " Allez, maudits, au feu éternel ! " Regarde,
ma fille, ce guide divin : Il va te conduire au Maître universel.
- Le Seigneur :
Regarde, ma fille, voici mon Trône.
Tu entends ma Voix et tu ne me vois pas mais Je suis. Je suis Celui qui
est. Laisse-toi guider par le Moniteur de mystère. Tous ceux qui
se laissent guider par le Moniteur de mystère seront protégés.
Ma fille, celui qui me voit, voit le Père. Nous sommes comme la
pluie bienfaisante qui détrempe les champs. Nous répandons
comme de grandes cascades où toutes les créatures sont approvisionnées
par ce Maître universel. Tu vas être conduite devant les portes
de la Divine Sagesse. Regarde, ma fille, les voici. Ici se trouvent les
Trois Personnes Divines. Elles seules connaissent les chemins des grands
paradis. Tous ceux qui se laissent conduire par le Moniteur de mystère
arriveront à avoir cette sagesse et cet entendement. Tous ceux qui
obéissent aux lois divines arriveront à ce lieu. Vous êtes
tous appelés, mes enfants. Tous ceux qui se laissent guider par
ce Moniteur de mystère navigueront sur de grands univers sans fin
jusqu’à la rencontre avec le centre le plus important de l’Univers,
où est l’étincelle de la Divinité. Ma fille, les hommes
ne comprendront pas ces paroles. Mais je vous dis, mes enfants, que tous
ceux qui sont capables d’accepter avec bonne volonté l’Evangile
et mes paroles, seront conduit en ce lieu.
Regarde ma fille, l’île éternelle.
D’ici sortent des fleuves importants : c’est le ciment de la création.
S’il n’y avait pas ce ciment, rien n’existerait. C’est l’île éternelle,
l’île de l’amour, l’île qui n’a pas de temps. Cela vaut la
peine de renoncer à tant de choses de la terre pour atteindre cette
beauté ! Les hommes se tuent entre eux par envie, pour la richesse
et les plaisirs. Ils n’arrivent pas à jouir de cette éternité.
Ma fille, celui qui arrive ici à ce Maître de l’Univers, à
l’Ile de l’Amour vivra éternellement dans la joie. Pour cela je
demande la prière et les sacrifices. Les hommes ont oublié
Dieu et le commandement principal de l’amour.
Beaucoup d’entre vous qui êtes
venus en ce lieu, vous avez reçu des grâces, vous allez devant
les hommes et vous avez honte d’en donner le témoignage. Mon Père
vous reniera devant les Anges.
- La Sainte Vierge :
Récitez
le saint Rosaire tous les jours. Tous ceux qui le récitent seront
dans mon troupeau et protégés par mon manteau à l’heure
de la mort. Aimez-vous les uns les autres et renoncez à vous-mêmes,
mes enfants.
- Le Seigneur :
Et toi, ma fille, occupe-toi de m’aimer
de tout ton cœur et de toutes tes forces. Laisse-moi m’occuper de tout
le reste, ma fille. Je suis Celui qui peut tout. Je t’ai dit que je mettrai
des personnes sur ton chemin pour soutenir mon œuvre, c’est ce qui est
en train de se faire. Que rien ne t’angoisse ni ne t’attriste.
- La Sainte Vierge :
Embrasse le sol, ma fille, en réparation
pour tant de péchés commis dans le monde. Les péchés
des hommes affligent beaucoup mon Cœur et le Cœur du Christ.
Soyez doux et humbles de cœur, et
qu’il n’y ait pas de discordes les uns contre les autres. Levez tous les
objets, mes enfants, ils seront tous bénis avec des grâces
particulières pour le corps et l’âme. Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par le Fils et avec
le Saint-Esprit. Au revoir.
MENSAJE DEL DÍA 7 DE
JULIO DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Orad, hijos
míos; si no oráis perderéis la mirada de Dios, hijos
míos; no estaréis en comunicación con Él. Contempladle,
hijos míos, y adoradle. Yo desde muy niña estuve en constante
contemplación con el Padre y en constante oración; estuve
unida a su Palabra.
Por eso,
hijos míos, la Palabra se encarnó dentro de mí; la
Palabra que un día tenía que ser explicada a los hombres.
Yo tuve el don, hijos míos, de muchas gracias; el privilegio de
ninguna criatura lo tuve yo. Todas estas gracias me vinieron por medio
de mi Hijo, el Verbo encarnado en mis entrañas. Por el “sí”
que di al Padre, hijos míos, me concedió todos estos privilegios.
Y no sólo me concedió ser Madre del Verbo encarnado, que
también me concedió ser Madre de la Iglesia; y los hombres
quieren apartarme de ella. Hijos míos, ¿cómo queréis
apartar a vuestra Madre de vosotros, si os tiene que enseñar el
camino de salvación? Sin Ella, hijos míos, estáis
huérfanos.
Orad, hijos
míos, y no os apartéis de la oración. Alabad a Dios
y haced sacrificios en desagravios a su Divina Majestad. No seáis
cobardes, hijos míos, y dad testimonio de la verdad. Vuestros corazones
están tibios, hijos míos, y los vicios los veis virtudes
y las virtudes vicios. Os quedáis en tinieblas al no tener fe, hijos
míos, y os guiáis por vosotros mismos. Dejaos guiar por vuestra
Madre, que Ella os enseñará a amar a la Iglesia, hijos míos.
¡Ay,
guías del Pueblo, explicad a los hombres el Evangelio tal como es!
Si no, hijos míos, cuando os presentéis ante el Padre, ¡qué
tristeza sentirá mi Corazón cuando os diga: “Id, malditos
de mi Padre, al fuego eterno”!
Mira, hija
mía, este guía divino, va a guiarte al Maestro universo.
EL SEÑOR:
Mira, hija
mía, aquí está mi Trono. Oyes mi voz y no me ves,
pero existo. Yo soy el que soy. Déjate guiar por el Monitor de misterio,
hija mía. Todo el que se deje guiar por el Monitor de misterio será
protegido y será salvo.
Hija mía,
el que me ve a mí ve al Padre. Somos como la lluvia que empapa los
campos con buenos fines y desembocamos en grandes cascadas donde todas
las criaturas se abastecen de este Maestro universo. Vas a ser conducida
ante las puertas de la Divina Sabiduría. Mira, hija mía,
aquí están las puertas de la Divina Sabiduría. Aquí
están las Tres Divinas Personas; sólo Ellas conocen los caminos
de los grandes paraísos. Todo aquél que se deje guiar por
el Monitor de misterio, llegará a tener esta sabiduría y
entendimiento.
Todo el
que cumpla las leyes divinas llegará a este lugar; todos sois llamados
para ello, hijos míos. Todo el que se deje por este Monitor de misterio
navegará a grandes universos sin fin, hasta encontrar el centro
más importante del Universo, donde está la chispa de la divinidad.
Los hombres
no entenderán, hija mía, estas palabras.
Pero sí
que os digo, hijos míos, que todos los que seáis capaces
de aceptar con buena voluntad el Evangelio y mis palabras, seréis
conducidos por estos lugares. Mira, hija mía, la Isla eterna; de
aquí salen ríos frondosos. Este es el cimiento de la Creación;
si no existiese este cimiento nada existiría, hija mía. Esta
es la Isla eterna, la Isla del Amor, la Isla que no tiene tiempo.
Vale la
pena renunciar a tantas y tantas cosas de la Tierra para alcanzar esta
belleza, hija mía.
Los hombres
se matan unos a otros por envidias, por las riquezas y los placeres, y
no llegan a gozar de esta eternidad, hija mía. Todo el que llegue
aquí, a este Maestro universo, a la Isla del Amor, vivirá
eternamente gozando, hija mía.
Por eso
os pido oración y sacrificios. Los hombres se han olvidado de Dios
y del mandamiento principal del amor.
Y muchos
de vosotros, hijos míos, de los que acudís a este lugar,
y habéis recibido gracias y las negáis ante los hombres y
os avergonzáis de dar testimonio de ellas, mi Padre os negará
ante los ángeles.
LA VIRGEN:
Rezad el
Rosario todos los días, hijos míos; todo el que rece el santo
Rosario estará en mi rebaño y será protegido con mi
manto y asistido en la hora de la muerte.
Amaos unos
a otros y renunciad a vosotros mismos, hijos míos.
EL SEÑOR:
Y tú,
hija mía, ocúpate de amarme con todo tu corazón y
con todas tus fuerzas. Lo demás déjalo en mis manos, hija
mía.
Yo soy el
que todo lo puede; yo te dije que pondría personas en tu camino
para levantar mi Obra; así está siendo, hija mía.
Que nada
te angustie y que nada te entristezca.
LA VIRGEN:
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en el mundo.
Los pecados
de los hombres, hija mía, afligen mucho mi Corazón y el Corazón
de Cristo.
Sed mansos
y humildes de corazón y no arméis discordias unos contra
otros.
Levantad
todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos con
gracias especiales para el cuerpo y el alma...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
Adiós,
hijos míos.
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4 août 1990
- La Sainte Vierge :
Ma fille, baise d’abord le sol en
réparation de tant d’offenses qui se commettent dans l’humanité…
Tu vas boire maintenant quelques gouttes du calice de douleur pour te fortifier
l’esprit (on entend Amparo avaler et tousser.)
Mon Cœur est triste car les hommes
convertissent cet endroit en un lieu d’agrément et beaucoup de faux
prophètes y accourent. Quelle tristesse pour mon Cœur de voir les
hommes jouer avec les choses sacrées ! Que d’ignorants suivent ces
faux prophètes qui cherchent à jouer un rôle et troubler
les âmes ! Je me suis manifestée ici et j’ai pris un instrument
pour communiquer au monde un message universel : mes enfants, comment jouez-vous
avec des choses aussi sacrées ? Séparez-vous de tous ces
faux prophètes qui ne cherchent qu’à être admirés.
Ignorants, ne savez-vous pas discerner la doctrine du Christ de la fausseté
des hommes ?
Baise le sol à nouveau, ma
fille, pour les manques de respect commis en ce lieu, et pour les offenses
à mon Cœur Immaculé.
Veillez sur ce lieu, pensez que mon
pied virginal s’y est posé. Restez vigilants face à ces faux
prophètes. Il y en a par milliers. Chaque groupe cherche son prophète
! Ma fille, regarde ce que mon Cœur souffre pour toutes ces âmes.
Chaque fois qu’ils viennent ici avec toutes ces hypocrisies, ils enfoncent
de profondes épines dans mon Cœur. Vois ce Cœur entouré d’épines.
Prie pour eux et pour tous ceux qui les entourent, qu’ils sachent discerner
la lumière des ténèbres. Maintenant, ma fille, tu
vas à nouveau voir le Maître universel. Regarde et raconte.
- Amparo :
Je vois une très grande roue
blanche, pleine de gloire et à l’intérieur, il y a une infinité
d’univers.
- La Sainte Vierge :
Dans cet univers du paradis du Nord
se trouve l’école de Dieu. Il y a là sept esprits qui enseignent
aux hommes les attributs. (Pause : on entend deux fois un " Ah ! " de joie
d’Amparo). Tous les attributs de Dieu… (exclamation d’Amparo) Il a fait
toute la création, a créé l’homme, lui a donné
la vie et le don de transmettre la vie. Il veille sur tous les mondes.
Regarde cet Esprit et écoute-le, ma fille.
- L’Esprit :
Créature humaine qui existe
dans le globe terrestre, regarde, voici Celui qui peut tout, qui fit tout,
qui donne la lumière, veille sur vous la nuit, est attentif à
vos pensées les plus cachées, connaît jusqu’au dernier
des cheveux de votre tête, qui conduit toutes les planètes,
qui connaît chaque étoile par son nom, Celui qui commande
à toutes les armées des Anges, qui veille sur les créatures.
C’est l’Esprit, Celui qui est l’Energie divine, qui nourrit le Ciel et
la Terre.
- La Sainte Vierge :
Pas un brin d’herbe ne croît
sans sa volonté. Il a fait le temps et l’éternité.
Laissez-vous guider par le Mystère. Ce Mystère, seul le Moniteur
Divin le comprend. Laissez-vous guider par Lui, pour qu’Il vous conduise
au Père, mes enfants. Toute la création est bien faite, rien
ne se révolta contre Lui ; Il est la Déité, Celui
qui règne, qui dirige. Tout se laissa diriger par Lui, sauf les
hommes au cœur endurci qui se révoltèrent contre Lui et continuent
de se révolter en faisant leur volonté mais pas celle de
Dieu. Aucun fils de Dieu n’a été créé pour
douter de Lui. Tous ont été créés pour participer
à sa gloire. Mais vous, créatures terrestres, que faites-vous
des Lois et de la Doctrine ? Chacun l’applique selon ses goûts. Laissez-vous
guider jusqu’à l’école de Dieu et vous apprendrez tous les
attributs que Dieu a sur la terre. Vous êtes aussi aveugles que des
taupes, mes enfants. Il vous plaît de vivre dans vos galeries obscures
sans chercher d'autres mondes. Ne soyez donc pas des taupes, éveillez-vous
à la lumière et laissez-vous conduire à l’école
divine du Père.
Regarde, les hommes croient qu’ils
vivent en paix ; ils vivent une fausse paix : avec les lèvres ils
demandent la paix et avec le cœur, la guerre. Mes enfants, respectez vos
engagements comme de bons chrétiens et vous verrez Celui qui a fait
la lumière et la matière. Mais ne perdez pas tous ces mondes
pour jouir de la matière, vivez de l’esprit et élevez vos
cœurs vers le Père. Ces temps-ci sont seulement pour l’amour et
la paix : l’homme doit prier sans cesse pour l’obtenir. Ici c’est la paix,
ma fille, mais la terre elle, on l’a convertie en un théâtre
de crimes, rougi de sang par le péché. Priez sans cesse,
ces temps sont graves. Aimez l’Eglise de tout votre cœur , apprenez la
doctrine pour l’enseigner aux hommes. Que votre cœur n’ait qu’un maître,
non pas deux car si vous êtes occupés avec l’un, vous oubliez
l’autre. Mon Cœur vous a répandu des grâces, soyez-y fidèles.
Soyez comme le sel de la terre, pour
que mon Fils vienne établir sa demeure en vous. Parfois Il n’a pas
où se fixer parce que les cœurs ne sont plus que matière.
Humiliez-vous, soyez humbles, mes enfants, seul celui qui est humble sera
exalté. Et vous, âmes consacrées, je veux que vous
soyez moins préoccupées du monde et davantage de Dieu. Mes
filles, vous êtes matérialistes : si vous ne repoussez pas
le monde matériel, votre esprit ne peut s’élever. Quant à
vous qui restez encore fidèles, vous dites aimer le Christ tout
en ayant le cœur aux choses du monde, pensez que dès le matin vous
ne suivez pas l’Evangile. Laissez Dieu être Celui qui veille sur
vous ; occupez-vous de prier, de faire des sacrifices, de vous aimer les
unes les autres car, dans la plus grande partie de mes couvents, il n’y
a que discorde. Ames consacrées, aimez mon fils, car mon Fils vous
aime de tout son Cœur, ne l’abandonnez pas, mes filles ! Et vous, qui vous
êtes abandonnées au Seigneur, rendez-Lui gloire par vos actes
et vos prières.
Aimez-vous les uns les autres, ceci
est le Commandement le plus important que Dieu a donné aux hommes.
Mais les hommes ont oublié ce Commandement et perdent leur temps
à se haïr jusqu’à la mort et amasser des richesses.
Pourquoi rechercher les richesses, mes enfants, alors que vous ne savez
même pas si vous pourrez en profiter. Détachez-vous des choses
terrestres, que vos pensées demeurent fixées sur le ciel.
Changez votre façon de vivre, mes enfants.
Je répandrai beaucoup de grâces
sur ceux qui accourent en ce lieu et beaucoup auront la guérison
du corps et d’autres de l’âme : on ne foulera pas ce sol sans recevoir
des grâces spéciales.
Et toi, ma fille, fais part aux hommes
de ce que je t’ai dit à propos de ce groupe de faux-prophètes.
Comment pouvez-vous accepter, ignorants, vous qui venez avec vos prophètes
particuliers, que chacun reçoive un message ! Ne vous enorgueillissez
pas ! Dieu envoie un message universel à l’humanité. Respectez
ce message. Mes enfants, ne voyez-vous pas que le démon cherche
à vous éloigner de l’endroit où vous pourriez recevoir
des grâces ? Réveillez-vous et sachez faire la différence
entre la vérité et le mensonge.
Toi, ma fille, sois humble, et élève
ton cœur vers Dieu, ton Créateur ; Il te donnera des forces pour
continuer le combat.
Baise à nouveau le sol pour
les péchés commis et les outrages qui sont faits à
la divine Majesté de Dieu. Ma fille, ta mission, c’est de souffrir
sur la terre ; il vaut la peine de souffrir pour recevoir une telle récompense.
- Amparo :
Ah, ma Mère ! Souvent je n’en
peux plus, souvent les forces me manquent ! (Elle pleure)
- La Sainte Vierge :
Pense, ma fille, que ta mission,
c’est d’être une victime immolée par les hommes. Ne te soucie
pas de la calomnie. Mon Fils aussi a été calomnié.
Ne te soucie pas des offenses ! Mon Fils aussi a été offensé,
et les hommes continuent de l’offenser.
Elève davantage ton esprit,
et tu verras comme rien de tout cela n’a d’importance. Nous fortifierons
ton esprit. Toi, aime de tout ton cœur, ma fille, et laisse tout le reste.
Poursuis ton œuvre qui est mon Œuvre
et l’Œuvre de mon Fils. Consacre-toi aux autres, et nous nous consacrerons
à toi. Ne t’ai-je pas dit qu’il y aura des personnes sur ton chemin
pour t’aider dans cette Œuvre ? Ainsi comme ta Mère te l’a promis,
je mettrai sur ton chemin des âmes pour faire avancer ton Œuvre.
Ne vois-tu pas tous ces jeunes qui ont tout laissé pour se consacrer
à cette Œuvre qui est la tienne et la mienne ? Si Dieu est le Créateur,
Celui qui peut tout, ne doute pas un moment que non seulement cette Œuvre-ci,
mais toutes tes œuvres iront de l’avant.
- Amparo :
Merci à toi, Seigneur, et
à toi, ma Mère. Je vous rends grâce, et je vous demande
de pardonner mes doutes. Souvent…, souvent je doute que tout se poursuive.
Ma Mère, et mon Dieu, pardonnez-moi ! Je veux faire votre volonté
et non la mienne. Souvent je suis orgueilleuse et je manque de confiance
en Vous. Souvent l’Œuvre me cause de l’inquiétude, mais toi, ma
Mère, tu sais bien que je ne m’en soucie pas pour moi, mais pour
eux.
- La Sainte Vierge :
Toi, sois un guide sur la terre,
ma fille, et abandonne tout entre les mains du Christ.
- Amparo :
Merci, ma Mère, merci !
- La Sainte Vierge :
Continuez de
venir en ce lieu, mes enfants, pour prier le saint Rosaire. C’est une arme
puissante contre les péchés des hommes et pour la paix du
monde. Approchez-vous des Sacrements, et surtout auparavant, lavez vos
âmes. Je serai avec vous quand vous réciterez le Saint Rosaire.
Certains d’entre vous, mes enfants, sentirez ma présence.
Levez tous les objets, ils seront bénis avec des bénédictions
particulières, mes enfants, pour chacun d’entre vous, pour que vous
soyez forts en esprit et que vous oubliiez les choses du monde. Je vous
bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par
le Fils et avec le Saint Esprit. Au revoir, mes enfants.
MENSAJE DEL DÍA 4 DE AGOSTO
DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Lo primero,
hija mía, besa el suelo en reparación de tantas y tantas
ofensas como se cometen en la Humanidad...
Y ahora,
hija mía, vas a beber unas gotas del cáliz del dolor para
fortalecer tu espíritu...
Mi Corazón
está entristecido, hija mía, porque los hombres convierten
este lugar en lugar de recreo y acuden a él muchos profetas falsos.
Hija mía, ¡qué tristeza siente mi Corazón cuando
los hombres juegan con las cosas sagradas! ¡Cuántos ignorantes
siguen a todos estos profetas falsos! ¿Sabéis lo que buscan,
hija mía? Protagonizar y confundir a las almas.
Yo me manifesté
en este lugar y cogí a un instrumento para comunicar al mundo el
mensaje universal. ¿Cómo jugáis, hijos míos,
con cosas tan sagradas? Apartaos de todos esos profetas falsos, hijos míos,
que no buscan nada más que ser admirados. ¡Qué ignorantes!,
¿no sabéis discernir la doctrina de Cristo y la falsedad
de los hombres?
Vuelve a
besar el suelo, hija mía, por tantas y tantas irreverencias que
cometen en este lugar y tantas ofensas como hacen a mi Inmaculado Corazón.
Vigilad
este lugar, hijos míos; sólo pensad que mis plantas virginales
se han posado en él. Estad alerta, hijos míos, con esos falsos
profetas. Los hay por millares, hijos míos. Cada grupo se busca
su profeta.
Mira, hija
mía, lo que sufre mi Corazón por todas estas almas. Cada
vez que vienen y cometen todas esas falsedades, clavan profundas espinas
en mi Corazón, hija mía. Mira cómo está rodeado
de espinas. Pide por todos ellos, hija mía, y por todos aquéllos
que los rodean, para que sepan discernir la luz de la tiniebla.
Ahora vas
a ver, hija mía... Mira, otra vez, el Maestro universo. Mira y explica,
hija mía.
LUZ AMPARO:
Veo una
rueda blanca grande, muy grande, llena de gloria, y dentro de la rueda
hay cien mil billones de universos.
LA VIRGEN:
En este
universo, hija mía, del norte paraíso, está la Escuela
de Dios. Ahí hay siete espíritus, hija mía. Esos siete
espíritus enseñan a los hombres los atributos..., todos los
atributos que tiene Dios. Él ha creado toda la Creación;
Él ha creado al hombre, le ha dado vida y le ha dado también
para que transmita vida. Él vigila todos los mundos.
Mira ese
espíritu y escúchale, hija mía.
ESPÍRITU:
Criatura
humana, que existes, del globo terrestre; mira: aquí está
el que todo lo puede, el que todo lo hizo, el que da la luz, el que os
cubre por la noche, el que vigila hasta los más recónditos
de vuestros pensamientos, el que sabe hasta el último cabello de
vuestra cabeza, el que dirige todos los sistemas planetarios, el que llama
a cada estrella por su nombre, el que manda en todos los ejércitos
de ángeles, el que vigila las criaturas. Él es Espíritu,
Él es Energía divina que abastece el Cielo y la Tierra...
(Pausa con admiraciones de Luz Amparo).
LA VIRGEN:
Ni una briza
(1) de hierba, hijos míos, crece sin su voluntad. Él ha hecho
el tiempo y la eternidad... (Pausa con admiraciones). Dejaos, hijos míos,
guiar por el ministerio... Este misterio sólo lo entiende el Monitor
divino; dejaos guiar por él, para que él os lleve al Padre,
hijos míos.
Toda la
creación está bien hecha, hijos míos; nada se rebeló
contra Él; Él es la Deidad, Él es el que reina, Él
es el que dirige. Y todo se dejó dirigir por Él menos el
corazón endurecido y empedernido del hombre, que se rebeló
contra Él y se sigue rebelando para hacer su voluntad, no la de
Dios. Ningún hijo de Dios fue creado para dudar de Él; todos
fueron creados para participar de su Gloria. Pero vosotros, criaturas terrestres,
¿qué hacéis con las leyes y la doctrina? Cada uno
aplicáis la doctrina según vuestros gustos. Dejaos conducir
a la Escuela de Dios y aprenderéis todos los atributos que Dios
tiene sobre la Tierra. Estáis ciegos como los topos, hijos míos,
que les gusta vivir en sus oscuras galerías sin buscar otros mundos;
no seáis topos, hijos míos, despertad a la luz y dejaos conducir
a la Escuela divina del Padre.
Mira, hija
mía, los hombres creen que viven en paz; viven en una falsa paz:
piden con los labios la paz y con el corazón la guerra.
Cumplid,
hijos míos, vuestras obligaciones como buenos cristianos y veréis
a Aquél que ha hecho la luz y la materia. Pero no perdáis
todos estos mundos por disfrutar de la materia, hijos míos. Vivid
del espíritu y elevad vuestros corazones al Padre. Estos tiempos,
hijos míos, sólo son de amor y de paz. El hombre tiene que
orar sin cesar para conseguir el amor y la paz.
Aquí
hay paz, hija mía; pero la Tierra se ha convertido, como te he dicho
otras veces, en escenario de crímenes, y la Tierra está enrojecida
de sangre por el pecado.
Orad sin
cesar; estos tiempos son graves. Amad a la Iglesia, hijas mías,
con todo vuestro corazón y aprended la doctrina para explicársela
a los hombres. Que vuestro corazón sólo pertenezca a un dueño,
no lo entreguéis a dos, hijas mías, porque si estáis
ocupadas con uno, olvidáis al otro. Mi Corazón ha derramado
gracias sobre vosotras, sed fieles a todas estas gracias, hijas mías.
Sed como
la sal de la tierra; que mi Hijo fije su morada en vosotros. A veces, hijos
míos, mi Hijo no tiene dónde fijar su morada, porque dentro
de los corazones no hay nada más que materia. Humillaos, sed humildes,
hijos míos, sólo el que se humilla será ensalzado.
Y vosotros,
almas consagradas, quiero que os preocupéis menos del mundo y más
de vuestro Dios. Estáis materializadas, hijas mías, y donde
no se rechaza la materia, no puede elevarse el espíritu. Aquéllas
que quedáis todavía, que decís amáis a Cristo
y dentro de vuestro corazón están las cosas del mundo, pensáis
en el mañana, no cumplís el Evangelio, hijas mías.
Dejad que Dios sea el que vele por vosotros. Ocupaos de orar, de hacer
sacrificio y de amaros unas a otras, que en la mayoría de mis conventos
no hay nada más que discordia. Almas consagradas, ¡amad a
mi Hijo, que mi Hijo os ama con todo su Corazón; no le abandonéis,
hijas mías!
Y vosotras
que particularmente os habéis entregado al Señor, dadle gloria,
hijas mías, con vuestros actos y vuestras plegarias.
Amaos los
unos a los otros, ése es el mandamiento más importante que
Dios ha instituido a los hombres. Pero los hombres han olvidado ese mandamiento
y pierden el tiempo odiándose a muerte y almacenando riquezas. ¿Para
qué queréis las riquezas, hijos míos, si no sabéis
si las vais a poder aprovechar, hijos míos? Desprendeos de las cosas
terrestres y tened vuestro pensamiento puesto en el Cielo. Cambiad vuestras
vidas, hijos míos.
Yo derramaré
muchas gracias sobre todos los que acudan a este lugar y muchos serán
curados de cuerpo y otros de alma; pero todo el que pise este lugar recibirá
gracias especiales.
Y tú,
hija mía, comunica a los hombres la clase de profetas que hay falsos.
Comunica lo que yo te digo, hija mía.
¡Cómo
aceptáis —qué ignorantes— todos aquéllos que venís
con vuestros profetas particulares, aceptáis para cada uno un mensaje,
hijos míos! No os envanezcáis; Dios manda un mensaje universal
para la Humanidad. Cumplid con este mensaje; ¿no veis que el demonio
os arrastra para sacaros de donde recibís gracias, hijos míos?
Despertad y sabed distinguir la verdad de la mentira.
Tú,
hija mía, sé humilde y levanta tu corazón a Dios,
tu Creador, Él te dará fuerzas, hija mía, para seguir
luchando.
Vuelve a
besar el suelo por tantos y tantos pecados como se cometen y tantos y tantos
ultrajes como hacen a la Divina Majestad de Dios.
Hija mía,
tu misión es sufrir en la Tierra; pero vale la pena el sufrimiento,
hija mía, para recibir la recompensa.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
Madre mía, a veces no puedo más! ¡A veces me fallan
las fuerzas!
LA VIRGEN:
Piensa,
hija mía, que tu misión es la de víctima inmolada
por los hombres; ¡no te importe la calumnia! A mi Hijo le calumniaron,
hija mía. ¡No te importe la ofensa! A mi Hijo le ofendieron
y los hombres le siguen ofendiendo. Eleva más tu espíritu,
verás cómo no te importa nada, hija mía. Nosotros
fortaleceremos tu espíritu. Tú, ámanos con todo tu
corazón y deja lo demás, hija mía. Tú sigue
con tu Obra, que es mi Obra y la Obra de mi Hijo. Dedícate a los
demás, hija mía, que nosotros nos dedicaremos en ti. ¿No
te dije, hija mía, que iría poniendo personas en tu camino
que fuesen ayudando esta Obra? Y así es, hija mía, como tu
Madre te ha prometido: yo iré poniendo en tu camino almas que saquen
adelante tu Obra, hija mía. ¿No ves toda una juventud que
ha dejado todo para entregarse a esta Obra tuya y mía? Si Dios es
el Creador, hija mía, el que todo lo puede, no dudes ni un momento
de que no sólo esta Obra, sino todas tus obras saldrán adelante,
hija mía.
LUZ AMPARO:
¡Gracias,
Señor y Madre mía!
Te doy gracias
y perdonad mis dudas. A veces..., a veces dudo también si todo saldrá
adelante, ¡perdóname, Madre mía y Dios mío!
Yo quiero hacer vuestra voluntad y no la mía. A veces soy soberbia
y no confío en vosotros. A veces me preocupa la Obra; pero tú
sabes, Madre mía, que no me preocupo por mí, sino me preocupo
por todos ellos.
LA VIRGEN:
Tú
haz de monitor en la Tierra, hija mía, y deja lo demás en
las manos de Cristo.
LUZ AMPARO:
¡Gracias,
Madre mía! ¡Gracias!
LA VIRGEN:
Seguid acudiendo
a este lugar, hijos míos, a rezar el santo Rosario. El santo Rosario
es un arma potente contra los pecados de los hombres y para la paz del
mundo, hijos míos. Acercaos a los sacramentos y, sobre todo, limpiad
antes vuestras almas. Yo estaré entre vosotros acompañándoos
a rezar el santo Rosario. Algunos, hijos míos, sentiréis
mi presencia.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales,
hijos míos. Y una bendición especial para todos vosotros,
para que seáis fuertes en el espíritu y os olvidéis
de las cosas del mundo.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
Adiós,
hijos míos.
(1) “Briza”: con este nombre se denomina,
en la lengua castellana, un género de plantas de tallo poco elevado.
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1er septembre 1990
- La Sainte Vierge :
Ma fille, Je viens comme la Mère
de l’Amour. L’amour est beau. J’en suis revêtue et je viens ainsi
enseigner aux hommes le manque d’amour sur la terre. Un seul acte d’amour
peut sauver tant d’âmes !… L’amour est important. Il n’y a pas d’amour
dans l’humanité mais la vengeance, la haine, la destruction. Les
hommes attirent les ténèbres et les guerres, faute d’amour.
(Amparo baise le sol)… Sais-tu, ma fille, pourquoi les hommes n’aiment
pas et ne se laissent pas aimer ? C’est parce qu’ils sont comme Caïn,
qui n’aimait pas et ne laissait pas son frère l’aimer. Il y a des
Caïn sur la terre, mais il y a aussi des Abel. Celui qui aime les
hommes ne refuse pas la croix et l’accepte avec joie. Mais malheur à
ces hommes qui méprisent la croix, et la rejettent quand mon Fils
les éprouve.
Je ne veux pas te montrer le nombre
si réduit des âmes qui acceptent la croix car ton cœur se
fendrait de douleur, elles sont si peu. Moi, la Mère de l’Amour,
Je veux enseigner aux hommes qu’on obtient l’amour par la croix. Que de
fois je t’ai dit qu’amour et douleur sont unis ! C’est ainsi que tu dois
l’enseigner : apprendre à aimer, c’est apprendre à souffrir.
Regarde cet ange si beau, en qui Dieu mit sa confiance : par l’envie, l’orgueil,
il se révolta contre Lui et lui, regarde, il a entraîné
avec lui des milliers et des milliers d’anges, regarde… (pause et étonnement
d’Amparo) et le voilà ici pour l’éternité. Observe
et écoute, ma fille. Tu vas voir les fils de l’iniquité.
Regarde par l’œil du temps et dis ce que tu vois, ma fille.
- Amparo :
Je vois un œil très grand
et en dedans une multitude de gens. Ah !… Avides de pouvoir, de vengeance,
de sang : ils crient leur envie, leur cupidité, leur manque d’amour.
Je vois les mers en furie, les fleuves de lave, de feu ardent. Ah ! Je
vois de forts ouragans et au milieu du centre de l’œil, je vois la mort.
Ah ! Tous ces fronts sont marqués avec le 666 et la marque du dragon
aux sept têtes qui est le nom de… (inintelligible). De là
vient la mort, la ténèbre… du centre de l’œil. Ah ! C’est
Satan en train de crier à tous les hommes que Dieu n’existe pas,
que Dieu est mensonge, que les hommes se trompent entre eux, qu’il est
l’unique Dieu vrai à suivre, et c’est ce que fait une multitude
d’hommes… Il a une grande beauté pour les tromper et les conquérir.
Il ressemble à Jésus… !
- La Sainte Vierge :
Mes fils, attention : le Christ viendra
avec la Croix, non avec la splendeur du monde, la luxure, la tristesse,
le crime, le sang. Ne vous laissez pas entraîner par l’ennemi mais
regardez par ici. Explique ce que tu vois.
- Amparo :
Je vois un œil carré (consultée,
elle a dessiné un triangle) et au centre de cet œil un homme de
grande taille, les cheveux blancs. Il y a un trône et sur ce trône
quatre esprits.
- La Sainte Vierge :
Ce sont les quatre esprits de la
puissance de Dieu. Mais regarde, voici une grande multitude, le front scellé
avec la Croix. Ces quatre esprits chantent : " Saint, Saint, Saint est
le Seigneur, Dieu de l’Univers ; le ciel et la terre sont remplis de ta
gloire ". Et tous ceux qui sont en ce lieu s’agenouillent, inclinent la
tête dans la paix, la joie. Le soleil réchauffe, la pluie
fait fleurir les champs et croître les récoltes. Les étoiles
sont toutes en ordre. Il y a la paix, l’amour, des ruisseaux de grâces.
Tous ceux-ci sont arrivés
ici, ma fille, persécutés pour la justice, affamés,
assoiffés : ils sont passés par la douleur, le froid, la
soif, la faim ; ils ont été méprisés, calomniés.
Tous sont parvenus à l’héritage du Père. Cela vaut
la peine de tout laisser mes enfants, pour obtenir cette grandeur.
- Amparo :
Ces esprits ont six ailes : deux
couvrent leurs yeux, deux leurs bras et deux leurs pieds. Ils inclinent
leur tête devant le Tout-Puissant et chantent des hymnes de joie
et de gloire.
- La Sainte Vierge :
Quelle différence entre la
lumière et les ténèbres, ma fille. Dieu est Celui
qui a fait la lumière ; au centre de l’univers se trouve l’énergie
divine qui donne la lumière aux hommes. Ne vous laissez pas entraîner
par les ténèbres, mes enfants ; comprenez bien l’Evangile
! Dieu est Lumière, le Commencement et la Fin, cela est éternel,
ne change pas. Sur cet univers il y a des millions et des millions d’univers
qui ne sont pas encore habités car les hommes refusent la croix
et cherchent le plaisir. Recommence à baiser le sol pour les offenses
commises contre nos Cœurs.
Demande pardon pour les âmes,
sacrifie-toi et fais pénitence pour elles. Ton cœur s’attriste et
se remplit de douleur. Que la calomnie et la persécution ne te tourmentent
pas ! Continue d’avancer. Je te demande l’humilité. C’est par l’humilité
qu’on obtient le Ciel.
- Amparo :
L’œil se ferme et les ailes des Esprits
s’ouvrent. Ah ! Quelle splendeur au centre, ah ! On dirait le soleil !
- La Sainte Vierge :
Demande que les hommes s’aiment comme
des frères et s’entraident. (longue pause) Levez tous les objets,
mes enfants, ils vont être bénis avec des bénédictions
particulières pour toucher les cœurs et pour que les hommes apprennent
à s’aimer les uns les autres.
La situation du monde est due au
manque d’amour sincère et pur, ma fille. Dans l’amour de l’homme
d’aujourd’hui, il y a de l’égoïsme, de la matière. Renoncez
à vous-mêmes, mes enfants, à vos plaisirs, à
vos possessions.
Tous ces objets ont été
bénis, ma fille. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père
vous bénit, par le Fils et avec le Saint-Esprit.
MENSAJE DEL DÍA 1 DE SEPTIEMBRE
DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía,
hoy vengo como la Madre del Amor. El amor es hermoso. Así vengo
vestida y vengo a enseñar a los hombres la falta de amor que hay
en la Tierra. ¡Un solo acto de amor, hija mía, puede salvar
a tantas almas!... El amor es importante. Entre la Humanidad no existe
el amor; existe la venganza, el odio, la destrucción, hija mía.
Son los hombres los que atraen la tiniebla y las guerras con su falta de
amor. Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantas ofensas
como se cometen en el mundo... ¿Sabes por qué, hija mía,
los hombres no aman ni dejan amar? Porque son como Caín, que, ni
amaba, ni dejaba que su hermano amase, hija mía. Hay “caínes”
en la Tierra, hija mía, aunque también hay “abeles”. El que
ama a los hombres, hija mía, no rechaza la cruz, la acepta con alegría;
pero, ¡ay de aquellos hombres que pisotean la cruz y, en cuanto mi
Hijo los prueba, la rechazan y la tiran, hija mía!
No quiero
enseñarte el número tan reducido que hay de almas que aceptan
la cruz, porque tu corazón se partiría de dolor, hija mía.
¡Son tan poquitos!... Y yo, Madre del Amor, quiero enseñar
a los hombres que por la cruz se consigue el amor. ¿Cuántas
veces te voy a enseñar, hija mía, que el amor y el dolor
están unidos? Así es como tienes que enseñar a los
hombres que, para aprender a amar, tienen que aprender a sufrir. Mira,
hija mía, aquel ángel tan bello, aquél que Dios puso
toda su confianza en él... Por la envidia, por la soberbia, se rebeló
contra Él; y él el... —¡Ah...! (Asombro de Luz Amparo)—...
él, mira: arrastró millares y millares de ángeles.
Y mira,
observa... (pausa y asombro de Luz Amparo), ahí se encuentra para
toda la eternidad. Mira y observa y escucha, hija mía. Vas a ver
los hijos de la iniquidad. Mira por el ojo del tiempo y explica lo que
ves, hija mía.
LUZ AMPARO:
Veo un ojo
redondo, grande, muy grande, y, dentro de ese ojo, veo una multitud de
gente. ¡Ay, ah!... Ansiosos gritan de poder, de venganza y de sangre,
su envidia, su codicia y su falta de amor. Veo los mares embravecidos,
veo ríos de “brava”. ¡Ay!, ¿de “grava”?, de..., de
fuego... candente(1). Veo fuertes huracanes y, en medio del centro del
ojo, veo la muerte. ¡Ay! Todas esas frentes están selladas
con el 666 y la marca del Dragón de las siete cabezas; es el nombre
de “Hatejel”(2)... De ahí viene la muerte; de ahí viene la
tiniebla... ¡Ay!, del centro del ojo... ¡Ay! Está Satanás
y grita a todos los hombres que Dios no existe, que Dios es mentira, que
los hombres engañan a los hombres, que él es el único
dios verdadero, que le sigan; y multitud y multitud de hombres le siguen...
¡Ay, ay, ay..., ay!... ¡Tiene una gran belleza —¡ay!—...
para engañarlos y conquistarlos! ¡Se parece a Jesús!...
LA VIRGEN:
Pero, ¡cuidado,
hijos míos! Cristo vendrá en la Cruz; no vendrá en
el esplendor del mundo, de la avaricia, de la lujuria, de la tristeza,
del crimen, de la sangre... No os dejéis arrastrar por el enemigo,
hijos míos. Pero mira esta otra parte, hija mía. Explica
lo que ves.
LUZ AMPARO:
Veo un ojo
cuadrado (3) y en el centro de ese ojo —¡ay!—... hay un hombre grande,
grande, con cabellos blancos. Hay un trono y en ese trono hay cuatro espíritus.
LA VIRGEN:
Son los
cuatro espíritus de la potestad de Dios. Pero mira, aquí
hay una multitud grande con su frente sellada con la cruz. Y esos cuatro
espíritus cantan: “Santo, Santo, Santo es el Señor, Dios
del Universo, lleno está el Cielo y la Tierra de tu gloria”. Y todos
los que hay en este lugar se arrodillan, inclinan sus cabezas, y hay paz
y hay alegría. El Sol calienta, la lluvia hace florecer los campos
y hace crecer las cosechas. Las estrellas todas están en orden.
Hay paz, amor; hay riachuelos de gracias.
LUZ AMPARO:
Hay perlas
preciosas, hay jaspe... ¡Ay!
LA VIRGEN:
Todos éstos
han llegado aquí, hija mía, perseguidos por la justicia,
hambrientos, sedientos; han pasado dolor, frío, sed, hambre; han
sido despreciados, calumniados. Todos éstos han llegado a este lugar,
a la herencia del Padre. ¡Vale la pena dejarlo todo, hijos míos,
para conseguir esta grandeza!
LUZ AMPARO:
Esos espíritus
tienen seis alas: dos cubren sus ojos, dos cubren sus brazos y dos cubren
sus pies. Inclinan sus cabezas ante el Todopoderoso y cantan himnos de
alabanza y de gloria. ¡Ay! Todos están cantando. ¡Ay!
LA VIRGEN:
¡Qué
diferencia, hija mía, la luz de la tiniebla! Dios es el que hizo
la luz, y en el centro del Universo se encuentra la Energía divina,
la que da luz a los hombres. ¡No os dejéis arrastrar por la
tiniebla, hijos míos, y entended bien el Evangelio! Dios es Luz,
es el Principio y el Fin, es eterno, no se muda. Y sobre este universo
hay millones y millones de universos que no están habitados todavía,
hija mía, porque los hombres rechazan la cruz y buscan el gozo.
Vuelve a besar el suelo, hija mía, en reparación de las ofensas
que se cometen a nuestros Corazones.
Pide mucho
por las almas, hija mía. Sacrifícate y haz penitencia por
ellas. Tu corazón se entristece, hija mía, y se llena de
dolor. No te angustie la calumnia, la persecución. Hija mía,
sigue adelante; y humildad te pido. Con humildad se consigue el Cielo.
LUZ AMPARO:
Se cierra
el ojo y las alas de los espíritus se abren. ¡Ay,... resplandor
en el centro! ¡Ay, ay, ay! Es como el Sol. ¡Ay!
LA VIRGEN:
Pide, hija
mía, para que los hombres se amen como hermanos y se ayuden unos
a otros...
Levantad
todos los objetos, hijos míos; todos van a ser bendecidos con bendiciones
especiales para tocar los corazones y los hombres aprendan a amarse unos
a otros.
La situación
del mundo es la falta de amor sincero y puro, hija mía. Hoy, en
los amores de los hombres, existe el egoísmo, la materia... Renunciad,
hijos míos, a vosotros mismos, a vuestros gustos y a vuestras cosas.
Todos han
sido bendecidos, todos estos objetos, hija mía.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
(1) Luz Amparo, ante la visión
que se le muestra, no acierta a utilizar la palabra exacta; por eso dice
“brava” y “grava” por “lava”, que parece la apropiada en el contexto.
(2) Palabra desconocida. Se ha trascrito
según la fonética.
(3) Confunde la figura geométrica.
Al explicar después esta visión, Luz Amparo dibujó
un triángulo.
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6 octobre 1990
- Voix de Dieu :
Ma fille, mon message d’aujourd’hui
va être court. Je vais expliquer quelque chose aux hommes, qui n’ont
pas compris ce qu’est l’Univers et qui est le Maître de l’Univers.
Regarde, ma fille, le Maître de l’Univers est dans l’Ile de Lumière.
Là se trouve le trône de Dieu, par qui vous avez la vie, le
mouvement et l’être, Celui qui fera justice sur la terre.
Ecoute ma voix, mes mains te montreront
en même temps ces choses, mais tu ne pourrais voir mon visage sans
mourir, ma fille. Voici le commencement et la fin de toute chose. De Moi
sortit le Verbe : Il fallait qu’il se fît homme pour que l’homme
fût fait Dieu. Je suis le Feu, c’est pourquoi j’ai envoyé
le Verbe pour qu’il embrase la terre. Je suis Celui qui a tout créé,
qui a créé toutes les créatures. Regarde mes mains
qui ont modelé toutes les âmes. Ici se trouve la Fontaine
vive de la vie, les sources divines, la Manne pour que les hommes s’en
rassasient. D’ici sortira la justice pour la terre, et la récompense
pour ceux qui ont obéi à mes Lois.
J’aime ce que J’ai créé.
Je ne peux pas le haïr. Je ne suis pas comme les mères de la
terre qui, après avoir nourri de leur sang leurs enfants dans leur
sein, les abandonnent en les y tuant. Ce n’est pas Moi qui vous méprise,
mes enfants : c’est vous qui me méprisez. Je suis Celui qui, dans
les entrailles terrestres, a mis l’uranium, le pétrole, l’or, pour
les besoins de l’homme, et Celui qui lui a donné l’intelligence
pour qu’il puisse les trouver. Tout est sorti d’ici, ma fille. Regarde
la grandeur de ce Maître Universel. Pourquoi les hommes sont-ils
si sots et ne comprennent-ils pas mes paroles ? Ouvrez vos oreilles, mes
enfants, et sachez discerner mon message !
Ne vous occupez pas tant de vous-mêmes.
Adorez et glorifiez votre Dieu. Beaucoup d’entre vous qui accourez en ce
lieu, suivez des faux prophètes, attendant qu’ils aient des postes
importants dans l’Eglise. Ignorants ! Vous croyez qu’un responsable d’Eglise
peut être élu par les hommes ? Le Saint-Père est toujours
guidé par l’Esprit-Saint. Quand un Pape est nommé sur la
terre, c’est l’Esprit-Saint qui l’a nommé pour qu’il dirige l’Eglise.
(Luz Amparo voit un rayon de lumière qui descend des hauteurs et
illumine ceux qui choisissent le Pape.) Car l’Eglise est sainte et il faut
nommer un saint homme pour la diriger. L’Eglise sera dirigée par
un homme consacré à Dieu, même si ce sont les laïcs
qui soutiennent l’Eglise. Son chef doit être un homme élu
par Dieu ; que sa vie lui soit toute consacrée.
Voici le trône de Celui qui
est, qui était, et ne cessera jamais d’exister, Dieu Lui-même.
Demandez, mes enfants, car tout ce que vous demandez avec bonne volonté,
Je vous l’accorderai. Mais auparavant, il faut purifier vos âmes
de tant de souillures. Pour pouvoir entrer en communication avec Lui, l’âme
doit être pure pour recevoir en elle la grâce sanctifiante.
Comme il y a beaucoup de faux prophètes qui viennent en ce lieu
! Mes enfants, veillez sur ce lieu, il est consacré. Les pieds virginaux
de Marie l’ont foulé. Venez tous à Moi, car Je suis le Chemin,
la Vie, et la Vérité éternelle.
Le Moniteur, c’est le Verbe Incarné.
C’est Lui qui dirigera, de l’Ile de la Lumière, toutes ces âmes
qui se laissent conduire par Lui.
Je dis dans mon Evangile : " Celui
qui a des oreilles, qu’il entende. " Ne soyez pas sourds et aveugles, mes
enfants. Baise le sol, ma fille, en réparation pour tant de péchés
qui sont commis dans le monde.
Je suis le Feu qui embrase les cœurs.
Je suis Celui qui donne la vie et qui la reprend. Invoquez l’Esprit-Saint,
il est parmi vous pour vous communiquer la vérité et pour
que vous puissiez comprendre tous ces mystères. Pour les comprendre,
vous devez être très humbles et ne pas penser à vous-mêmes.
Vous devez vous oublier vous-mêmes et vous occuper davantage des
autres. Mes enfants, aimez-vous les uns les autres : voici le grand mystère
de la vérité ! Celui qui aime son frère de tout son
cœur aura la vie éternelle. La situation du monde est grave et les
hommes sont myopes, ils n’arrivent pas à discerner la vérité.
Mes enfants, priez ! Sacrifiez-vous pour la pacification du monde. De grands
châtiments tomberont sur l’humanité. Ne méprisez pas
votre Créateur s’il vous éprouve par la purification, par
la douleur. Dieu vous aime et c’est pour cela qu’il vous corrige, mes enfants.
Vous aimez les louanges mais pas les sacrifices. Sans la mort il n’y a
pas de ciel. Combien de fois t’ai-je dit qu’il faut mourir pour ressusciter.
Crie aux hommes qu’ils doivent mourir à leurs plaisirs, à
leurs vanités, à leurs caprices et à eux-mêmes
pour arriver jusqu’à Moi. Regarde, pas une créature que Je
n’ai créée de mes mains. Aussi t’ai-je dit que j’aime ce
que j’ai créé et j’ai mis dans leur corps une âme parfaite
que j’ai modelée. Mais eux l’ont rendue imparfaite, ils l’ont salie
par leurs rancunes, leurs envies et leurs crimes. Chacun d’entre vous,
mes enfants, vous aviez une âme d’ange et vous avez changé
une partie de votre âme en part pour Satan ! Quand l’une des parties
règne dans votre âme, vous oubliez l’autre. Dieu vous a créé
selon ses fins, pour que vous puissiez jouir de ses innombrables univers.
Je veux que vous soyez sacrifiés, humbles et abandonnés.
Aimez-vous les uns les autres comme mon Cœur vous aime.
Baise à nouveau le sol pour
les offenses à la divine Majesté de Dieu.
Inclinez-vous et louez le nom de
Dieu.
Venez en ce lieu, mes enfants, vous
recevrez des grâces particulières pour votre âme et
votre corps. Cessez de suivre les faux prophètes. L’apôtre
de Dieu doit se défaire de soi-même et de toute chose, imiter
Jésus-Christ de la Crèche à la Croix. Beaucoup parmi
vous s’appellent " apôtres des derniers temps " ; mais qu’avez-vous
quitté, mes enfants, si vous aimez les louanges, les richesses du
monde ?
Ne soyez pas austères, Combien
de fois devrai-je dire qu’un apôtre du Christ doit être pauvre,
humble et sacrifié. Lorsque vous vivrez comme les premiers chrétiens,
qui n’avaient rien en propre, - car ce qui appartenait à l’un appartenait
à tous -, alors vous serez des Apôtres des Derniers Temps.
Mais vous avez poussé de grandes masses à la révolte
en vous gargarisant de vos propres paroles et en vous enorgueillissant.
Malheur à ceux qui jouent avec mon Nom ! Malheur à ceux qui
se donnent à eux-mêmes le nom de visionnaires pour qu’ils
s’étourdissent les oreilles de flatteries et de vanités !
C’est par la croix et par la souffrance, le sacrifice, l’humilité,
l’obéissance, la chasteté, qu’on va au Christ.
Cessez de mentir, mes enfants, lorsque
vous vous présenterez devant Dieu, votre Créateur, qu’adviendra-t-il
de vous ? Aimez l’Eglise et ne l’offensez pas. L’apôtre du Christ
aime l’Eglise comme sa propre vie. En aimant l’Eglise, vous aimez le Christ.
Je t’ai enseigné, ma fille,
que l’Eglise venait de Dieu, même si elle n’est pas Dieu, car elle
a des défaillances humaines, avec des hommes de chair et d’os qui
succombent à la tentation. Priez et sacrifiez-vous pour eux, au
lieu de les outrager et de les diffamer. Aimez beaucoup les représentants
de l’Eglise.
Je vais donner une bénédiction
spéciale à vos âmes, si vous faites ce que je demande
et si vous vous purifiez vous-mêmes sur la terre, pensant que vous
êtes au dernier temps de la purification, Je vous promets que vous
ne passerez pas par les peines du purgatoire. Soyez charitables, mes enfants,
et aimez-vous comme le Christ Lui-même vous aime. Levez les objets
: ils sont bénis avec une bénédiction spéciale
pour les moribonds, et pour votre conversion. Je vous bénis par
le Père, par le Fils, et par l’Esprit-Saint. Je vous laisse la paix,
mes enfants.
MENSAJE DEL DÍA 6 DE
OCTUBRE DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR
(1):
Hija mía,
mi mensaje hoy va a ser muy corto. Voy a dar una explicación a los
hombres, que no han entendido lo que es el Maestro Universo y el Universo.
Mira, hija mía, en la Isla de la Luz está el Maestro Universo.
Ahí está el trono de Dios. Mira, aquí está
el que por Él vivís, os movéis y existís. Aquí
está el que hará justicia sobre la Tierra.
Oirás
mi voz; te enseñaré mis manos, pero no podrás ver
mi rostro. Para ver mi rostro, hija mía, hay que morir. Aquí
está el principio, el fin de todas las cosas. De mí salió
el Verbo para hacerse hombre; para que el hombre pudiese hacerse Dios.
Yo soy el Fuego y por eso mandé al Verbo, para que mandase fuego
a la Tierra y ardiese la Tierra. Yo soy el que todo lo ha creado; el que
ha creado a todas las criaturas. Mira mis manos; con estas manos he modelado
todas las almas. Aquí está la Fuente viva de la Vida; aquí
hay manantiales divinos; aquí está el Maná para que
los hombres se sacien en él. De aquí saldrá la justicia
para la Tierra y el premio para los que la hayan obrado según mis
leyes. Yo amo lo que he creado; por eso no puedo odiarlo. No soy como las
madres terrenas, que crían a sus hijos; después de alimentarlos
con su sangre, los matan y los abandonan. Yo no os desprecio, hijos míos,
sois vosotros los que me despreciáis a mí.
Yo soy el
que enterró en las entrañas de la Tierra el uranio, el petróleo,
el oro, para que cuando los hombres lo necesitasen darles inteligencia
para buscarlo. De aquí sale todo, hija mía. Mira las grandezas
que hay en este Maestro Universo, ¿cómo los hombres son tan
necios y no entienden mis palabras? Abrid vuestros oídos, hijos
míos, y sabed discernir mi mensaje.
No os ocupéis
tanto de vosotros mismos. Adorad y glorificad a vuestro Dios. Muchos de
vosotros, de aquéllos que acudís a este lugar, vais detrás
de profetas falsos esperando que sean altos puestos de la Iglesia. ¡Qué
ignorantes!, ¿cómo comprendéis vosotros que un dirigente
de la Iglesia puede ser elegido por hombres? El Santo Padre siempre es
dirigido por el Espíritu Santo. Cuando en la Tierra se nombra a
un Papa, es el Espíritu... (Pausa en la que Luz Amparo expresa gozo,
mientras ve unos rayos de luz que descienden de lo alto iluminando a los
que eligen al Papa), el Espíritu Divino, el que lo nombra para que
pueda regir la Iglesia, porque la Iglesia es santa y para dirigirla hay
que nombrar a un varón santo. La Iglesia será dirigida por
un varón consagrado a Dios —aunque los seglares sean los que levanten
la Iglesia—, principal; tiene que ser un hombre elegido por Dios, que su
vida esté consagrada a Él.
Aquí
está, hija mía, en este trono, el que era, el que es y el
que será. Aquí está el mismo Dios: el que ha existido,
el que existirá y el que nunca jamás dejará de existir.
Pedid, hijos
míos, que todo lo que le pidáis de buena voluntad os lo concederá.
Pero antes tenéis que limpiar vuestra alma de tanta y tanta suciedad
que tenéis en ella; para poderos comunicar con Él, el alma
tiene que estar limpia, para que en ella caiga la gracia santificante.
¡Cuántos falsos profetas acuden a este lugar! Hijos míos,
cuidad este lugar. Este lugar está consagrado; las plantas virginales
de María lo han pisado. Venid todos a mí, que yo soy el Camino
y la Vida y la Verdad eterna.
El Monitor
es el Verbo Encarnado; es el que dirigirá hacia la Isla de la Luz
a todas aquellas almas que se dejen conducir por Él.
Ya digo
en mi Evangelio: “El que tenga oídos que oiga”. No seáis
sordos y ciegos, hijos míos. Besa el suelo, hija mía, en
reparación de tantos y tantos pecados como se cometen en el mundo...
Yo soy el
Fuego que abrasa los corazones. Yo soy el que da la vida y la quita. Invocad
al Espíritu Santo; está entre vosotros para comunicaros la
verdad y para que sepáis entender todos estos misterios. Para entenderlos
tenéis que ser muy humildes y no pensar en vosotros mismos; tenéis
que olvidaros de vosotros y ocuparos más de los demás. Amaos,
hijos míos, unos a otros, ¡ése es el gran misterio
de la verdad! Todo aquél que ame con todo su corazón a su
hermano tendrá vida eterna. La situación del mundo es grave
y los hombres son miopes, hija mía, no alcanzan a ver la verdad.
Orad mucho,
hijos míos, sacrificaos para que el mundo esté en calma.
Grandes castigos caerán sobre la Humanidad. Y no despreciéis
a Dios vuestro Creador, porque os prueba con la purificación, con
el dolor. Dios os ama y por eso os corrige, hijos míos. A vosotros
os gustan las alabanzas, no os gustan los sacrificios. Sin muerte no hay
Cielo, hija mía. ¿Cuántas veces te he dicho que hay
que morir para resucitar? Grítales a los hombres que tienen que
ir muriendo a sus gustos, a sus vanidades, a sus caprichos, a ellos mismos
para llegar a mí, y que crean en la Palabra, que soy yo. Mira, hija
mía, ¿cómo no voy a amar a los hombres? Mira mis manos,
ahí los tengo escritos a todos.
Ni una sola
criatura ha dejado de pasar por mis manos, hija mía. Por eso te
he dicho que amo a lo que he creado; y puse dentro de sus cuerpos un alma
modelada y perfecta, pero ellos la han hecho imperfecta; ellos la han ensuciado
con el rencor, con las envidias, con los crímenes, con la materia...
Todos, hijos míos, teníais alma de ángel y en parte
de vuestra alma la habéis convertido parte de ángel y parte
de Satanás. Olvidaos de uno para que el otro reine dentro de vuestra
alma; pero que ese otro, hijos míos, sea el mismo Dios, el que os
ha creado para sus fines, para que podáis gozar de los billones
y billones de universos que hay vacíos. Os quiero sacrificados,
humildes y desprendidos. Amaos los unos a los otros como mi Corazón
os ama.
Vuelve a
besar el suelo por tantas y tantas ofensas como son hechas contra la Divina
Majestad de Dios... “Referenciad” (2)y reverenciad el Nombre de Dios con
alabanzas.
Acudid a
este lugar, hijos míos, que todo el que acuda a este lugar recibirá
gracias especiales para su alma y su cuerpo. ¡Dejaos de ir detrás
de profetas falsos! El apóstol de Dios tiene que desprenderse de
sí mismo y de todas sus cosas. Tiene que imitar a Cristo en el Pesebre
y en la Cruz. Muchos de vosotros os llamáis apóstoles de
los últimos tiempos; ¿qué habéis dejado, hijos
míos, si no os gusta nada más que las alabanzas, las riquezas,
el mundo? No sois austeros, hijos míos. El apóstol de Cristo,
cuántas veces tengo que decir que tiene que ser pobre, humilde y
sacrificado. Cuando viváis como aquellos primeros cristianos que
no tenían nada suyo —lo de uno era de todos y lo de todos era de
uno—, entonces seréis apóstoles de los últimos tiempos.
Pero grandes masas os amotináis para recrearos en vuestras palabras
y envaneceros de vosotros mismos. ¡Ay de aquéllos que están
jugando con mi Nombre! ¡Ay de aquéllos que se nombra cada
uno un visionario particular, para que le recree los oídos con halagos
y con vanidades! A Cristo se va por la cruz y por el dolor, por el sacrificio
y la humildad, la obediencia, la castidad...
Dejaos de
seguir mintiendo, hijos míos, que cuando os presentéis ante
Dios, vuestro Creador, ¿qué va a ser de vosotros, hijos míos?
Amad a la Iglesia y no la ultrajéis, hijos míos; el apóstol
de Cristo ama a la Iglesia como a su propia vida. Amando a la Iglesia amáis
a Cristo.
A ti te
enseñé, hija mía, que la Iglesia era de Dios, aunque
no es Dios, porque tiene fallos humanos, porque son hombres de carne y
hueso —que te lo he enseñado, hija mía—, y caen en la tentación.
Pedid por ellos y sacrificaos por ellos, en vez de ultrajarlos y difamarlos.
Amad mucho a los representantes de Cristo.
Hoy voy
a dar una bendición especial para vuestras almas. Si cumplís
todo lo que os pido, hijos míos, y os purificáis voluntariamente
en la Tierra —pensad que estáis en el último tiempo de purificación—,
os prometo que no pasaréis por las penas del Purgatorio. Sed caritativos,
hijos míos, y amaos como el mismo Cristo os ama.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos...
Todos han
sido bendecidos con bendiciones especiales para los moribundos y para vuestra
conversión.
Os bendigo...,
por el Padre, por el Hijo y por el Espíritu Santo.
La paz os
dejo, hijos míos.
(1)
Al parecer, intervienen varias personas divinas, por eso se ha puesto “El
Señor”, que vale para la Santísima Trinidad.
(2) ¿Se trata de un
error de pronunciación al decir “referenciad” por “reverenciad”,
o bien de una licencia verbal, que sería equivalente a “hacer referencia”
o “referir”?
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3 novembre 1990
- La Sainte Vierge :
Ma fille, l’orgueil, l’impiété
prédominent dans le cœur des hommes ; ils ont oublié la Passion
du Christ et sa mort. Dieu envoie sa Parole par sa Mère, pour les
faire sortir de l’obscurité où ils se trouvent. Je veux réconcilier
les hommes avec Dieu mais ils le méprisent et le repoussent.
Priez pour vivre selon l’Esprit,
non selon la chair. Le dialogue avec Dieu rend vos cœurs contrits et innocents
; mais que ce dialogue sorte du plus profond de votre cœur ! Vivez selon
l’Evangile, mes enfants. Si vous vivez selon l’Evangile, vous vivrez le
sacrifice et le sacrifice vous enseignera l’amour. Ne vivez pas selon vos
désirs. Les jours sont comptés et les hommes s’obstinent
dans les ténèbres ; priez pour ne pas succomber à
la tentation. C’est la prière qui permettra à vos lampes
qui doivent rester allumées de ne pas manquer d’huile. Sinon cela
se passera comme pour les vierges folles, qui restèrent dehors avec
leurs lampes vides à cause de leur paresse et de leur tiédeur.
Je ne veux pas que vous ayez le cœur
paralysé de froid. Je veux que vous soyez des volcans de feu pour
embraser les âmes par votre amour.
La situation du monde est grave :
Dieu va envoyer une purification à la terre. Soyez tous unis par
le sacrifice et l’amour pour ce moment-là, comme des colonnes fortes
qu’un vent violent ne pourra emporter. Soyez comme des enfants innocents
car, quand votre cœur deviendra comme celui d’un enfant, vous saisirez
mieux la Parole de Dieu et l’Evangile. Voyez la situation du monde : la
femme vit selon ses désirs, l’épouse n’est pas soumise à
son mari ; les enfants ne respectent pas leurs parents ; les mères
ne s’occupent que de la vie du corps de leurs enfants ; la société
éduque la jeunesse dans le vice et les plaisirs : la jeunesse est
corrompue par le vice. Ne voyez-vous pas la fin des temps, mes enfants
? Ne soyez pas sourds ni aveugles. Le temps est proche et les hommes n’évoluent
pas. En ces jours, le dialogue avec Dieu est très important. Non,
mes enfants, je ne vous demande pas… (longue pause) je vous demande seulement,
mes enfants, que vous leur appreniez le sacrifice et la pénitence,
je ne vous demande pas qu’ils soient livrés en holocauste. Sacrifiez
vos propres plaisirs.
Ma fille, regarde où sont
ces jeunes, à la suite du péché des parents qui ne
se sont pas occupés de leur âme, mais seulement de leur corps
; pour ceux-ci, il n’y a pas de remèdes (Amparo les voit en enfer).
Regarde ceux-là, ils peuvent encore se sauver par le sacrifice et
la pénitence. (Amparo ne cesse de pleurer) C’est pourquoi, mes enfants,
je vous demande le sacrifice et la pénitence. On ne fait pas cas
de mes conseils, mais viendra le jour terrible où les âmes
n’auront plus de remèdes. Toutes ces âmes sont arrivées
en ce lieu, et pour beaucoup, leurs propres mères ont été
coupables. Elevez vos enfants dans la sainte crainte de Dieu. L’homme a
été créé pour aimer Dieu et Le glorifier, non
pour se glorifier lui-même. Ce n’est que par le chemin du sacrifice
et de la pénitence que vous parviendrez à Dieu, mes enfants.
Je veux que vous soyez tous très unis. Ne perdez pas votre temps
; le temps est précieux, il faut le mettre à profit pour
votre salut. Ne soyez pas orgueilleux et ne cherchez pas à sonder
les mystères de Dieu.
Baise le sol, ma fille, en réparation
pour les péchés que les hommes commettent. Je veux que vos
lampes soient allumées, pour que l’Epoux vous tende la main quand
il arrivera. Mais malheur à ces lampes sans huile, par manque d’humilité
et de sacrifice ! Pauvres âmes, qui perdent leur éternité
!
N’êtes-vous pas affligés
pour Jésus, pour le Cœur Immaculé de votre Mère ?
Elle, qui vous avertit sans cesse, parce qu’elle ne veut pas que vous vous
damniez. Elle veut que tous soient sauvés ; c’est pour cela que
je descends sur terre avertir les hommes, et eux, sourds et stupides, ne
tiennent pas compte de mon appel.
- Le Seigneur :
Je veux la prière, que la
prière soutienne votre action. Aimez vos semblables, mes enfants,
le Commandement de l’amour est très important pour le salut. Comme
peu le mettent en pratique ! Le monde se détruit faute d’amour.
Il est devenu le théâtre de crimes et de destructions. Les
hommes se haïssent à mort, se jalousent et se détruisent
les uns les autres. Quand m’entendrez-vous, et quand votre cœur s’élèvera-t-il
vers Dieu votre Créateur ? Soyez éveillés, pas comme
ceux qui mangeaient et buvaient, adonnés au péché
de la chair, le châtiment arriva sans les avertir. Vous ne pouvez
dire que vous n’avez pas été prévenus : il n’y aura
pas d’excuses, il n’y aura pas d’oreilles pour écouter vos lamentations.
Soyez prêts, mes enfants, je peux venir à n’importe quelle
heure, sans prévenir, comme le voleur, et malheur à ceux
qui ont rejeté mes grâces ! Sacrifice et pénitence,
mes enfants.
Toi, ma fille, je te demande l’humilité
; pense que tu dois être une victime de réparation, et sans
l’humilité, la victime ne peut se sacrifier. Je veux que tu sois
forte, ma fille, viens à Moi qui suis la force, qui suis la Vie,
en Moi est le Salut ; pas de défaillance, ma fille ! Le temps s’achève,
l’éternité est infinie ! Récitez
le saint Rosaire tous les jours, c’est la prière préférée
de ma Mère, elle renferme toute ma vie. Contemple ma Mère
quand elle me présente au Temple. Contemple sa joie à ma
Naissance ; sa souffrance au pied de la Croix ; son exaltation intérieure
quand elle vit que j’étais ressuscité ! Toute ma vie, ma
fille, se trouve dans les Mystères. Pourquoi crois-tu que le saint
Rosaire a autant de valeur ? Parce que s’y trouvent ma Naissance, ma Passion
et ma Gloire.
- La Sainte Vierge :
Récitez
le Saint Rosaire avec beaucoup de dévotion. La situation du monde
empire : je répète qu’il y aura une purification de la terre
; soyez tous unis pour que le jour de la purification, vous soyez avec
Dieu, alors ni votre corps ni votre âme ne seront touchés.
Levez tous les objets, ils seront
bénis avec des bénédictions spéciales pour
que le jour de la purification, ni vos foyers, ni vos âmes ne soient
éprouvés. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père
vous bénit, par le Fils et avec l’Esprit-Saint. Je vous laisse la
paix, mes enfants.
MENSAJE DEL DÍA 3 DE
NOVIEMBRE DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía,
la soberbia, la impiedad, hija mía, prevalecen en los corazones
de los hombres. La Pasión de Cristo y la Muerte la han olvidado.
Dios manda su Palabra por medio de su Madre, para que los hombres salgan
de la oscuridad donde se encuentran. Yo quiero, hija mía, amistar
(1) a los hombres con Dios, pero los hombres le rechazan y le desprecian.
Orad, hijos
míos, para vivir según el espíritu, no según
la carne. El diálogo con Dios hace vuestros corazones contritos
e inocentes; pero que ese diálogo, hijos míos, salga de lo
más profundo de vuestro corazón. Vivid según el Evangelio;
si vivís según el Evangelio, hijos míos, viviréis
el sacrificio y el sacrificio os enseñará el amor. No viváis
según vuestros deseos, hijos míos. Los días están
contados y los hombres siguen obstinados en la tiniebla. Orad para no caer
en tentación. La oración, hijos míos, os llevará
a que no os falte aceite en esas lámparas que tenéis que
ser: lámparas encendidas; si no, os va a pasar como a aquellas vírgenes
necias, que por su pereza y por su tibieza se quedaron con las lámparas
vacías. Os quiero, hijos míos, pero no con ese corazón
bloqueado por el hielo. Os quiero volcanes de fuego donde podáis
abrasar a las almas con vuestro amor.
La situación
del mundo es grave, hijos míos, y Dios va a mandar una purificación
en la Tierra; quiero que estéis todos unidos por el sacrificio y
el amor, para cuando llegue este momento, que seáis columnas fuertes
donde el vendaval no pueda arrastraros. Quiero que vuestros corazones se
hagan como niños, niños e inocentes, porque cuando vuestro
corazón se haga como niño comprenderéis mejor la Palabra
de Dios y el Evangelio. ¿No veis la situación del mundo,
hijos míos? La mujer vive según sus gustos; la esposa no
es sumisa al esposo; los hijos no respetan a los padres; las madres se
ocupan sólo del cuerpo de sus hijos; la sociedad educa a la juventud
para el vicio y los placeres; la juventud está corrompida por el
vicio. ¿No veis, hijos míos, el final de los tiempos? No
seáis sordos ni ciegos; el tiempo se aproxima y los hombres no cambian.
El diálogo con Dios, hijos míos, en estos días es
muy importante. No, hijos míos, no os pido... Sólo os pido,
hijos míos, que les enseñéis el sacrificio y la penitencia,
no pido que los llevéis al monte para degollarlos. Vosotros con
vuestros gus...
LUZ AMPARO:
¡Ay, Dios mío!
LA VIRGEN:
Vosotros
los introducís... con los vicios y los caprichos y las vanidades...
Mira, hija
mía, dónde está toda esta juventud; todo es producto
del pecado y que los padres no se han ocupado del alma, nada más
que del cuerpo, hija mía; no hay remedio para ellos.
Mira estos
otros, hija mía, todavía pueden salir por el sacrificio y
la penitencia.
Por eso
os pido, hijos míos, sacrificio y penitencia. No hacéis caso
de mis consejos, hijos míos, pero llegará el día terrible
que no habrá solución para vuestras almas.
Todas estas
almas, hija mía, han llegado a este lugar, y la mayor parte de ellas,
sus propias madres han sido culpables, hijos míos. Criad a vuestros
hijos en el santo temor de Dios. El hombre ha sido creado para amar y glorificar
a Dios, no para glorificarse él mismo; y vosotros los glorificáis,
hijos míos. Sólo desde el camino del sacrificio y de la penitencia
llegaréis a Dios, hijos míos.
Os quiero
a todos muy unidos, hijos míos; no perdáis el tiempo, el
tiempo es precioso, hijos míos, para aprovecharlo para vuestra salvación.
No seáis
soberbios y no queráis indagar en los misterios de Dios.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como los hombres cometen en la Humanidad.
Os quiero
esas lámparas encendidas, para cuando llegue el Esposo le deis la
mano, hijos míos. Pero, ¡ay de aquellas lámparas que
se han quedado sin aceite por falta de humildad y de sacrificio! ¡Pobres
almas, cómo se pierden la eternidad, hija mía! ¿No
os da pena de Jesús? ¿No os da pena del Corazón Inmaculado
de vuestra Madre, que os avisa constantemente porque no quiere que os condenéis?
Quiere salvaros a todos; por eso bajo del Cielo a la Tierra para avisar
a los hombres, y los hombres, necios y sordos, no hacen caso a mi llamada.
EL SEÑOR:
Oración
quiero, que la oración lleva a la obra. Amad a vuestros semejantes,
hijos míos, el mandamiento del amor es muy importante para la salvación;
¡qué poco lo practicáis! El mundo está destruido
por la falta de amor; el mundo está convertido en escenario de crímenes
y destrucción; los hombres se odian a muerte, se envidian, se destruyen
unos a otros. ¿Hasta cuándo, hijos míos, vais a abrir
vuestros oídos, y vuestro corazón lo vais a elevar a Dios,
vuestro Creador? Despertad; os puede pasar, hijos míos, como cuando
aquellos hombres comían y bebían y estaban metidos en el
pecado de la carne y llegó el castigo sin avisar. No podéis
decir, hijos míos, que no habéis recibido avisos; no habrá
disculpas; no habrá oídos para escuchar vuestro llanto. Estad
preparados, hijos míos, que en cualquier hora puedo llegar como
el ladrón sin avisar, y ¡ay de aquellas almas que han rechazado
mis gracias! Sacrificio y penitencia pido, hijos míos.
Tú,
hija mía, te pido humildad; piensa que tienes que ser víctima
de reparación, y sin la humildad la víctima no puede sacrificarse.
Quiero que seas fuerte, hija mía; ven a mí que yo soy la
Fortaleza, yo soy la Vida, en mí está la salvación.
¡No desfallezcas, hija mía! El tiempo se acaba y la eternidad...
¡es eterna!
Rezad el
santo Rosario todos los días, la plegaria favorita de mi Madre;
en esa plegaria va toda mi vida; por eso mira, hija mía, ¡cómo
mi Madre vive cuando me presentan en el Templo!, ¡cómo mi
Madre vive de gozo en mi Nacimiento!, ¡cómo mi Madre sufre
al pie de la Cruz!, ¡cómo mi Madre siente dentro de Ella esa
gran alegría cuando ve que he resucitado! Toda mi vida, hija mía,
está en los misterios. ¿Por qué crees que tiene tanto
valor el santo Rosario? Porque está mi Pasión, mi Nacimiento
y mi Gloria.
LA VIRGEN:
Rezad el
santo Rosario con mucha devoción. La situación del mundo
cada vez empeora; por eso repito que va a haber una purificación
en la Tierra; estad todos unidos para cuando llegue el día de la
purificación estéis con Dios, hijos míos; y no afectará
ni vuestro cuerpo ni vuestra alma.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales,
para que cuando llegue el día de la purificación no afecte
ni vuestros hogares, ni a vuestras almas, hijos míos.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
La paz os
dejo, hijos míos.
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Extrait de la conférence
d’Amparo
aux
pèlerins français le 4 novembre 1990
Je ne sais pas parler français…
Mais Dieu malgré la confusion des langues veut que nous nous comprenions
les uns les autres. Il a placé Maria Capilla à cet effet
parmi nous.
Excusez-moi, je suis un peu fatiguée…
Même si nous n’avons que quelques instants, il est important que
je vous parle : nous avons tous le même désir, la même
pensée, aimer et servir Dieu de tout notre cœur, de toute nos forces.
J’aurais aimé vous recevoir
dans le local mais aujourd’hui dimanche, tout le groupe s’y trouve pour
prendre le petit déjeuner. C’est le groupe dit des apparitions,
communauté de personnes qui ont renoncé à tout pour
se donner aux pauvres, créer des fondations de charité, des
œuvres d’amour et de miséricorde, comme l’a demandé la Très
Sainte Vierge.
Nous recueillons les personnes dont
personne ne veut, la Très Sainte Vierge nous l’a demandé.
Elle veut précisément que nous donnions aux pauvres ce qu’il
y a de mieux : que serait la prière sans l’œuvre ? La prière
mène à l’action. Vous, là-bas, nous ici, pensons aux
autres, à ceux qui ont le bras tendu afin que nous leur donnions
la main. Pensez surtout que là où se trouve une plaie, nous
devons être les premiers à aller la soigner, les derniers
félicités sur terre ; que ce soit là-haut qu’on nous
remercie pour cette œuvre ! Que par cette action de guérir une blessure,
nous nous abaissions toujours afin que le Christ, Lui, grandisse.
Pour imiter le Christ véritablement,
nous devons commencer par la crèche et finir par la Croix. On ne
peut pas ressusciter sans mourir. Souvent nous disons que nous imitons
le Christ, mais nous oublions tout ce que fut sa vie de pauvreté,
de travail. Nous oublions qu’Il passa trente ans avec ses parents dans
la petite maison de Nazareth, obéissant et se livrant déjà
Lui-même en travaillant pour le bien des hommes, sans la moindre
vanité ni le moindre orgueil, sans dire " Je suis le Fils de Dieu
", sachant attendre le moment où Il pourrait dire qu’Il était
le Fils de Dieu.
Trente ans de vie cachée et
trois ans de vie publique ! Trop souvent nous faisons seulement attention
à la vie publique du Christ. Nous devons nous attacher à
cette vie de trente ans, vie de sacrifice et de souffrance car Lui qui
était riche se fit pauvre. Il n’aurait pas demandé à
Dieu ce que Celui-ci ne Lui aurait pas donné. Au lieu de naître
dans une crèche, il aurait pu naître dans un berceau, entouré
du mieux possible, langé dans les plus beaux langes qui soient.
Le plus important pour Lui ne fut pas de naître dans la richesse,
mais de naître dans la pauvreté. C’est cela que la Très
Sainte Vierge nous rappelle avec ses mots : " Que l’or soit l’amour de
notre cœur, que l’encens soit la prière de notre esprit, que la
myrrhe soit le sacrifice et la pénitence qui doivent rester gravés
dans notre cœur ".
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1er décembre
1990
- La Sainte Vierge :
Ma fille, combien cela me plaît
que vous m’invoquiez par l’Angélus. Mon Dieu y voit l’humilité
de son Esclave. Si tous les hommes faisaient la volonté de Dieu,
la terre serait un paradis. Mais chacun fait sa propre volonté.
Je veux que vous continuiez à réciter l’Angélus pour
voir mon humiliation devant Dieu et y apprendre à être humbles.
La coupe de la Justice de Dieu s’est
déjà répandue sur la terre : c’est l’heure du Christ
qui veut que les hommes sachent faire sa volonté pour comprendre
sa puissance. L’homme ne pense plus qu’à se divertir, son cœur est
endurci par le péché. Ecartez-vous de ceux dont le cœur est
devenu la proie de Satan et qui vous conduisent vers le mal. Satan régnant
ainsi dans les cœurs, les hommes n’ont pas la paix. Ils se croient sûrs
de leur victoire mais le pouvoir est à Dieu, qui ne les laisse faire
que ce qu’Il veut. Baise le sol, ma fille, en réparation de tant
de blasphèmes envers les Cœurs de Jésus et de Marie dans
le monde.
Les hommes refusent l’amour de Dieu
et s’enfoncent dans le bourbier du péché. Réveillez-vous,
mes enfants, le monde est en grand danger. En ces moments, seuls comptent
la prière et le sacrifice. Détachez-vous du monde, de Satan,
implorez Dieu et levez votre regard vers le Ciel. Il ne manque que quelques
secondes avant que la terre ne tremble, que de forts ouragans en fassent
disparaître toute vie, sauf ces âmes scellées par le
sceau de ma Miséricorde parce qu’elles auront été
fidèles à l’Evangile. Vous, comment appliquez-vous l’Evangile
?
Ma fille, regarde encore comment
continuent de régner les sept péchés capitaux, comment
les hommes sont dans les mains de Satan. C’est maintenant l’heure où
le Christ descend vers les hommes pour leur enseigner à faire sa
volonté, et non leur volonté propre. Car il veut, lui, gouverner
chacun, mais ils refusent les lois célestes. C’est maintenant l’heure
de vous réveiller, car le châtiment est plus proche que vos
yeux ne le voient… Suivez l’Evangile tel qu’il est écrit parce que…(pause
pendant laquelle Amparo gémit). Vois ceux qui disent avoir vécu
selon l’Evangile. Où se trouvent-ils ? Ils sont comme le riche avare.
Mais vois le pauvre Lazare, et ceux qui furent pauvres, sacrifiés,
qui ont eu faim, qui ont été persécutés pour
la justice, qui se sont dépouillés des choses de la terre
et se sont revêtus de gloire. Regarde, ma fille, quelle différence
entre la lumière et les ténèbres ! Ceux qui sont à
ta droite, ma fille, sont ceux qui comme le riche Lazare, ne donnaient
même pas les miettes aux pauvres. Ils ont abandonné la lumière,
comme je te l’ai dit si souvent, pour les ténèbres car ils
n’ont voulu renoncer ni à leurs possessions, ni à leurs plaisirs.
Mais regarde ceux qui ont renoncé à eux-mêmes et à
ce qu’ils avaient, vois quelle grandeur ! Vois-tu la différence
entre la lumière et les ténèbres ? Pour n’avoir pas
voulu renoncer à leurs petits trésors mondains et terrestres,
ceux-là ne sortiront jamais de ce lieu. Ici se trouve le trésor
qui est dans le ciel. Les trésors de la terre conduisent à
la perdition et à la condamnation éternelle.
- Amparo (elle pleure amèrement)
:
Mon Dieu, ne peux-tu pas les faire
sortir d’ici ? Ici, pour toujours ! N’as-tu pas pitié d’eux ?
- La Sainte Vierge :
Pendant de nombreuses années,
ma fille, j’ai eu pitié d’eux, mais jusqu’à la fin ils ont
négligé leur salut. Maintenant, leur temps est terminé,
ma fille.
- Amparo :
Prends pitié d’eux ! Ah, ah
! Eternellement ici ! (Pleurs intenses d’Amparo.)
- La Sainte Vierge :
Ils ont eu les Lois pour se sauver
et les Prophètes pour se diriger mais ils voulaient jouir des plaisirs
de la terre et de ses avantages. Ils n’en ont plus maintenant et souffrent…
Tandis que ceux qui ont souffert pour la cause de Dieu, vois quelle gloire,
quelle beauté ont leurs âmes. Cela vaut la peine de se dépouiller.
Ne vous désolez pas de souffrir : plus vous aurez eu d’amertume
et de douleur sur terre, plus grande sera votre gloire au Ciel.
- Amparo :
Ma Mère, je te demande un
signe pour que les hommes voient la vérité.
- La Sainte Vierge :
Les hommes sont orgueilleux, ma fille,
et voici l’Evangile. C’est plus qu’un signe, ma fille, comme je te l’ai
enseigné, car il a été écrit avec le Sang du
Christ. Voici l’Evangile ; voici les Apôtres qui ont suivi le Christ
; et voici le jeune homme riche, triste et inconsolé. Quel autre
signe que celui-là, ma fille ? Les hommes cherchent la consolation
dans les plaisirs et ils ne regardent pas vers le ciel. Ils veulent accumuler
des trésors sur la terre et où est leur trésor, là
est leur cœur. Leur cœur est donc dans leur trésor de la terre.
Et Moi, Je leur crie parce que Je les aime : " Détachez-vous des
choses matérielles, mes enfants, pour ne pas perdre les biens célestes
". Mais ils font la sourde oreille à ce qui serait bon pour eux,
ma fille. On ne parvient pas au ciel uniquement avec des paroles, mais
avec des œuvres. L’homme ne comprend pas cela.
- Le Seigneur :
Vous, qui êtes stupides et
sourds, ouvrez vos oreilles aux appels de Ma pure et sainte Mère.
Le temps est court, même s’il vous paraît parfois une éternité.
Ce qui prévaudra au Ciel c’est l’amour : pratiquez cette importante
vertu qu’est la charité. Aimez-vous les uns les autres comme cela
est écrit et observez les Commandements. Ne repoussez pas tant de
grâces. Malheur à ceux qui auront été sourds
quand arrivera l’heure. Ma Mère viendra avec une armée d’anges
: tous ceux qui auront été scellés avec le sceau de
la Miséricorde seront épargnés par ce qui tombera
sur la terre. Baise le sol ma fille pour les pauvres pécheurs.
C’est le temps de la pénitence
et de la prière. Les jeunes ne pensent plus qu’à se divertir
et perdent leur temps à des choses vaines. Profitez du temps pour
réparer les péchés des autres. Je veux que la terre
se purifie et pour cela Je permets que tant de calamités la frappent,
afin d’en sauver les pauvres âmes. C’est le seul moyen par lequel
les hommes peuvent se sauver, par la douleur et le sacrifice, car avec
les plaisirs, l’homme est dans les mains de Satan.
- La Sainte Vierge :
Tous ceux qui ont renoncé
à eux-mêmes seront protégés et Je les couvrirai
de mon manteau. Aimez-vous les uns les autres, c’est le premier Commandement,
celui de l’amour, mes enfants. Ne rejetez pas mes grâces. Aujourd’hui
Je vais donner une bénédiction très spéciale
pour les pauvres pécheurs et pour le jour des ténèbres,
afin que là où sera un objet bénit, il luise comme
le soleil. Mes enfants, lorsque cela arrivera, tenez les portes et fenêtres
fermées sans regarder derrière vous. Même si vous croyiez
voir vos propres enfants à la porte, ne l’ouvrez pas : ce serait
terrible.
Je suis Mère de l’Amour et
Mère de Miséricorde. J’intercède auprès de
mon Fils pour sauver beaucoup d’âmes. Il est encore temps pour vous…
Priez, priez pour ne pas tomber en tentation. Les secondes qui restent
pourraient se terminer à n’importe quel instant. Et bien que notre
temps soit différent du vôtre, ne vous y fiez pas, ne vous
mettez pas à dormir tranquillement comme l’ont fait les Apôtres
dans le jardin de Gethsémani. Veillez et priez. Sacrifice et pénitence.
Approchez-vous des Sacrements de la Pénitence et de l’Eucharistie
afin d’avoir la force pour tout ce qui arrive à échéance
sur la terre.
Levez tous les objets, tous seront
bénis avec des bénédictions spéciales pour
le jour de la tribulation et pour la conversion des pécheurs. La
paix soit avec vous.
MENSAJE DEL DÍA 1 DE
DICIEMBRE DE 1990, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía,
¡cuánto me gusta que me invoquéis en el Ángelus!
Ahí vio mi Dios la humillación de su esclava. Si todos los
hombres, hija mía, hiciesen la voluntad de Dios, te he dicho muchas
veces que todo el contorno de la Tierra sería un paraíso,
hija mía. Pero cada hombre hace su propia voluntad.
Quiero que
sigáis recitando el Ángelus, para que veáis mi humillación
ante Dios y para que aprendáis a ser humildes, hijos míos.
La copa
de la justicia de Dios se ha derramado ya sobre la Tierra, hijos míos;
es la hora de Cristo, y Cristo quiere que los hombres sepan hacer su voluntad;
y para que entiendan su poder.
El hombre,
hija mía, no piensa nada más que en divertirse; sus corazones
están empedernidos por el pecado. Retiraos de aquellos corazones
que son fruto de Satanás y os introducen en el mal. Por eso, hijos
míos, los hombres no tienen paz, porque Satanás reina en
sus corazones. Se cree muy seguro de su victoria, hija mía, pero
el poder está en Dios, y no le va a dejar hacer más de lo
que Él quiera.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantas y tantas blasfemias
como se cometen en el mundo a los Corazones de Jesús y de María.
Los hombres
rehúsan el amor de todo un Dios y se introducen en la ciénaga
del pecado. ¡Despertad, hijos míos! El mundo está en
un gran peligro. Sólo en estos momentos vale la oración y
el sacrificio. Olvidaos de los mundos (1) de Satanás e implorad
a Dios y levantad vuestra mirada al Cielo. Sólo faltan segundos,
hijos míos —os lo he dicho—, para que la Tierra tiemble y fuertes
huracanes hagan desaparecer de la Tierra todo lo que tiene vida; menos
aquellas almas que están selladas con el sello de mi misericordia,
porque han sido fieles al Evangelio, hijos míos. ¿Cómo
aplicáis vosotros el Evangelio?
Mira, hija
mía, otra vez, cómo siguen reinando los siete pecados capitales,
cómo los hombres están en manos de Satanás. Ya es
hora que baje Cristo a enseñar a los hombres que hagan su voluntad(2),
no la voluntad de cada individuo; que quiere gobernarse por sí mismo
cada uno y no quieren leyes celestiales. Ya es hora, hijos míos,
que despertéis, porque el Castigo está más cerca de
lo que vuestros ojos ven, hijos míos. Escuchad el Evangelio, pero
aplicadlo tal como está escrito, porque...
Mira, todos
éstos que dicen haber vivido el Evangelio. Mira, hija mía,
como el rico avariento, ¿dónde se encuentran, hija mía?
Pero mira al pobre Lázaro y mira estos otros pobres, sacrificados,
que han pasado hambre, que han sido perseguidos por la justicia, que se
han desnudado a las cosas de la Tierra y se han revestido de gloria. ¡Mira,
qué diferencia, hija mía, de la luz a la tiniebla! Éstos,
hija mía, de tu derecha, son los que como el rico avariento no daban
ni las migajas a los pobres. Dejaron la luz, hija mía, como te he
dicho muchísimas veces, y se fueron a la tiniebla porque no querían
renunciar ni a sus cosas ni a sus gustos. Pero mira todos éstos,
hija mía, todos los que han renunciado a sí mismos y a todas
sus cosas, mira qué grandeza. ¿Dónde ves la diferencia,
hija mía, de la luz a la tiniebla? Éstos jamás saldrán
de este lugar por no haber querido renunciar a esos tesoros pequeños
mundanos y terrenales. Ahí es donde está el tesoro, en el
Cielo. Los tesoros de la Tierra son los que conducen al hombre a la perdición
y a la condenación, hija mía. Eternamente estarán
en este lugar.
LUZ AMPARO:
(Llorando
amargamente). ¿No los puedes sacar de ahí, Dios mío?
¡Ay, ay, ay, qué horror! ¡Siempre, siempre ahí!
¡Ay, qué gritos! ¿No puedes tener compasión
de ellos?
LA VIRGEN:
Muchos años,
hija mía, tuve compasión de ellos, pero su salvación
la dejaban hasta el final. Ya se les acabó el tiempo, hija mía.
LUZ AMPARO:
¡Ten
compasión de ellos! ¡Ay, ay, ay...! ¡Ay!... ¡Eternamente
ahí!
LA VIRGEN:
Tuvieron,
hija mía, leyes para salvarse y profetas para dirigirlos; pero querían
disfrutar de los placeres de la Tierra y de las comodidades. Por eso, hija
mía, ahora se encuentran sin comodidades y llenos de sufrimiento.
Pero mira
todos éstos que han sufrido por la causa santa de Dios, mira qué
gloria, hija mía, mira qué belleza tienen sus almas.
Vale la
pena renunciar, hijos míos. No estéis pesarosos de lo que
habéis hecho. Cuanto más sufrimiento y más dolor y
más amargura recibáis en la Tierra, más gloria tendréis
en el Cielo, hijos míos.
LUZ AMPARO:
Yo te pido,
Madre mía, que des una señal, como dicen, para que los hombres
vean tu verdad.
LA VIRGEN:
Los hombres
son soberbios, hija mía, y está el Evangelio ahí —¡más
señal, hija mía!—, que, como te he enseñado, fue escrito
con la Sangre de Cristo. Ahí está el Evangelio; ahí
están los Apóstoles cuando siguieron a Cristo, hija mía;
y ahí está el joven rico, triste y desconsolado; ¡más
señal que ésa, hija mía! Los hombres buscan el consuelo
en los placeres y no miran al Cielo, ¡qué pena de almas! Quieren
acumular sus tesoros en la Tierra y donde está el tesoro está
el corazón. Por eso su corazón está en el tesoro que
hay en la Tierra. Y yo les grito porque los amo: “Desprendeos, hijos míos,
de las cosas materiales, para que no perdáis los bienes celestiales”.
Pero se hacen sordos a lo que les conviene, hija mía. No sólo,
hija mía, con las palabras se llega al Cielo, sino con las obras.
El hombre no lo entiende.
EL SEÑOR:
Necios y
sordos: abrid vuestros oídos a las llamadas de mi santa y pura Madre.
El tiempo es corto, aunque a veces os parezca una eternidad. El amor es
el que prevalecerá en el Cielo. Practicad esa virtud tan importante,
la virtud de la caridad. Amaos unos a otros como está escrito y
practicad los mandamientos. No rechacéis tantas y tantas gracias,
hijos míos, porque ¡ay de aquéllos que cuando llegue
la hora hayan sido sordos! Mi Madre vendrá con un ejército
de ángeles, y todos aquéllos que hayan sido sellados con
el sello de la misericordia, no serán afectados en nada de lo que
caiga sobre la Tierra.
Besa el
suelo, hija mía, por los pobres pecadores.
Es tiempo
de penitencia y oración. La juventud no piensa nada más que
en divertirse y pierde el tiempo en cosas vanas. Aprovechad el tiempo,
hijos míos, para reparar los pecados de los demás. Yo quiero
que se purifique la Tierra, y por eso permito tantas y tantas calamidades
que caigan sobre la Tierra: para poder salvar a esas pobres almas; es de
la única manera que los hombres pueden salvarse: con dolor y con
sacrificio; con placeres el hombre está en manos de Satanás.
LA VIRGEN:
Todos aquéllos
que han renunciado a sí mismos, serán protegidos y los cubriré
con mi manto. Amaos unos a otros; es el primer mandamiento el del amor,
hijos míos. No rechacéis mis gracias.
Hoy voy
a dar una bendición muy especial para los pobres pecadores y para
el día de las tinieblas, para que allí donde haya un objeto
bendecido reluzca como el Sol. Y cuando esto suceda, hijos míos,
ventanas y puertas cerradas; y no miréis para atrás, y aunque
viereis a vuestros propios hijos llamar a la puerta, no la abráis,
hijos míos, será terrible lo que podría suceder, hijos
míos.
Yo soy Madre
del Amor y Madre de Misericordia, e intercederé a mi Hijo para salvar
muchas almas. Todavía estáis a tiempo, hijos míos.
Orad, orad, para no caer en tentación, hijos míos. Los segundos
pueden acortarse en cualquier momento, hijos míos.
Y aunque
nuestro tiempo no es vuestro tiempo, no os confiéis, hijos míos,
y os echéis a dormir tranquilamente como hicieron los Apóstoles
en el huerto de Getsemaní. Velad y orad. Sacrificio y penitencia.
Acercaos
a los sacramentos de la Penitencia y de la Eucaristía, ahí
recibiréis la fuerza para todo lo que caiga sobre la Tierra, hijos
míos.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para el día de la tribulación y para la conversión
de los pecadores.
Todos han
sido bendecidos con bendiciones especiales, hijos míos.
La paz sea
con vosotros.
(1) Es decir, de los ambientes donde
reina Satanás.
(2) Se refiere a la voluntad de Cristo;
por eso añade: “no la voluntad de cada individuo”.
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