7 janvier 1995
La Très Sainte Vierge: Ma
fille, mon Cœur est accablé de douleur, parce que les péchés
augmentent de plus en plus dans cette humanité. J’intercède
auprès de mon Fils pour tous les hommes, mais les péchés
ont transpercé la voûte des cieux, ma fille, et Dieu a voulu
laisser les choses entre mes mains.
Priez le Saint
Rosaire tous les jours, mes enfants. Je l’exige de vous. Le Rosaire sera
le salut de l’humanité. Aimez-vous les uns les autres, le
monde manque d’amour, mes enfants.
Mon Cœur est très affligé
parce que Je ne puis retenir le bras de mon Fils.
Les hommes parlent de paix, ils
remuent leurs lèvres, ma fille, mais ils n’exercent pas leur cœur
dans l’amour ; ils ont un cœur froid et tiède, ils ne pensent qu’à
amasser des richesses. Et le second Commandement de la Loi de Dieu n’est
pas respecté par la majorité de hommes : aimer le prochain
comme soi-même. Chacun, ma fille, ,ne pense qu’à soi-même
et aux siens.
Ah ! Jusqu’à quand, mes enfants,
dois-Je vous avertir que d’un moment à l’autre la Divine Majesté
de Dieu va envoyer ses anges sur la terre pour faire justice ! Les hommes
s’occupent de leur corps mais délaissent leur âme.
Mes enfants, mon Cœur est triste.
Je veux par mes larmes attendrir le Cœur de mon Fils ; mais mon Fils a
laissé les choses entre mes mains. Je suis Celle qui est pleine
de grâces, Je suis la Porte du Ciel. C’est moi qui ai porté
la lumière au monde et Je vous donnerai la lumière pour votre
salut. Ainsi le veut mon Fils, mais les hommes me rejettent de leurs cœurs.
Beaucoup remuent leurs lèvres et croient que leur prière
a de la valeur, mais ils n’exercent pas leur cœur ; ils ne pensent qu’à
amasser, conserver et avoir des greniers bien remplis. Quelle peine, mes
enfants !
Regarde, ma fille, la place qui
est réservée à tous ceux qui ont abandonné
père, mère, frères, sœurs, héritage et fortune
: c’est une place privilégiée qu’ils auront dans le ciel.
Mais ceux qui remuent leurs lèvres et ne changent pas leur cœur,
Satan est le maître de leur âme, et il viendra la chercher,
ma fille, pour la conduire dans un lieu de ténèbres.
Mon message est bref, parce que
J’ai déjà tout dit, ma fille. Mon Cœur est très affligé.
Je répands des grâces et Dieu veut que Je me manifeste en
de nombreux endroits du monde pour sauver l’humanité, mais les hommes
font la sourde oreille et ils ne veulent pas écouter mes paroles
; ils sont embourbés dans le péché. Ma fille, regarde
mon Cœur, regarde ce qu’en ont fait les péchés des hommes.
Les péchés de la chair affligent beaucoup mon Cœur, ma fille.
Soyez purs,
mes enfants, aimez-vous les uns les autres et récitez ma prière
favorite du Saint Rosaire, qui plaît tant à mon Cœur.
Levez tous les objets, mes enfants,
ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour votre salut. Je répandrai des grâces en abondance sur
vous tous.
Accourez en ce lieu, mes enfants,
car même si mes paroles cessent, les grâces ne cesseront pas,
mes enfants.
Tous les objets ont été
bénis avec des bénédictions spéciales pour
le salut des âmes.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit-Saint.
MENSAJE DEL DÍA 7 DE ENERO
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía,
mi Corazón viene transido de dolor, porque los pecados aumentan
cada día más en esta Humanidad. Yo intercedo a mi Hijo por
toda la Humanidad, pero los pecados han traspasado la bóveda del
cielo, hija mía, y Dios ha querido dejar las cosas en mis manos.
Rezad el
santo Rosario, hijos míos —os lo exijo—, todos los días.
El Rosario será la salvación de la Humanidad. Amaos unos
a otros; el mundo está falto de amor, hijos míos.
Mi Corazón
está muy afligido porque no puedo sujetar el brazo de mi Hijo.
Los hombres
hablan de paz, mueven los labios, hija mía, pero su corazón
no lo ejercitan en el amor; tienen un corazón frío y tibio;
sólo piensan en almacenar riquezas. Y el segundo mandamiento de
la Ley de Dios, la mayor parte de los hombres no lo practican: amar al
prójimo como a ti mismo. Cada uno, hija mía, mira para sí
mismo y para los suyos.
¡Ay,
¿hasta cuándo, hijos míos, os voy a avisar que de
un momento a otro la Divina Majestad de Dios va a mandar a sus ángeles
a hacer justicia a la Tierra?! Los hombres se ocupan del cuerpo pero no
se ocupan del alma.
Hijos míos,
mi Corazón está triste. Yo quiero con mis lágrimas
ablandar el Corazón de mi Hijo; pero mi Hijo ha dejado las cosas
en mis manos. Yo soy la llena de gracias, yo soy la puerta del Cielo; yo
traje la luz al mundo y os daré la luz para vuestra salvación.
Así lo quiere mi Hijo, y los hombres me retiran de sus corazones.
Muchos mueven sus labios y creen que vale la plegaria, pero no ejercitan
su corazón; sólo se preocupan en almacenar y guardar y tener
llenos sus graneros. ¡Qué pena, hijos míos!
Mira, hija
mía, el lugar reservado para todos aquéllos que han dejado
padre, madre, hermanos, hermanas, herencia y haciendas; un lugar privilegiado
tendrán en el Cielo. Pero aquéllos que mueven los labios
y no mueven el corazón, Satanás es dueño de su alma,
y vendrá por su alma, hija mía, y la transportará
con él a un lugar tenebroso.
Mis palabras
son cortas, porque lo he dicho todo ya, hija mía. Mi Corazón
está muy afligido. Yo derramo gracias y Dios quiere que me manifieste
en muchos lugares del mundo para salvar a la Humanidad, pero los hombres
se hacen los sordos y no quieren escuchar mis palabras; están encenagados
en el pecado. Hija mía, mira mi Corazón, me lo han puesto
los pecados de los hombres. Los pecados de la carne afligen mucho mi Corazón,
hija mía.
Sed puros,
hijos míos, amaos los unos a los otros y rezad la plegaria favorita
del santo Rosario, que agrada tanto a mi Corazón.
Levantad
todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos con
bendiciones especiales para vuestra salvación. Yo derramaré
gracias en abundancia sobre todos vosotros.
Acudid a
este lugar, hijos míos, que, aunque se acaben mis palabras, no se
acabarán mis gracias, hijos míos.
Todos han
sido bendecidos con bendiciones especiales para la salvación de
las almas.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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4 février 1995
La Très Sainte Vierge : Ma
Fille, mon message sera bref, parce que l’humanité va de mal en
pis. Les gouvernants des nations ne pensent qu’à accéder
au pouvoir ; de nombreux gouvernants des peuples utilisent le nom de Dieu
pour leurs fins politiques, ma fille. Le monde est dans un chaos terrible,
et ce n’est qu’en venant à mon Cœur Immaculé qu’il pourra
changer.
Je veux, ma fille, que durant trois
mois, vous me sortiez en procession à travers tous les lieux et
que vous chantiez des cantiques de louange. Tous ceux qui viendront à
mon Cœur Immaculé ne seront pas déçus, mes enfants.
Faites pénitence, priez ;
sacrifiez-vous, mes enfants. Le monde se trouve dans une situation de plus
en plus grave.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour le salut des âmes. (Pause) Ils ont tous été bénis,
mes enfants. Accourez en ce lieu, car tous ceux qui y viendront seront
remplis de grâces par mon Cœur Immaculé. Priez beaucoup, mes
enfants, priez.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec le Saint Esprit.
MENSAJE DEL DÍA 4 DE FEBRERO
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN.
Hija mía,
mis palabras van a ser muy cortas, porque la Humanidad cada día
está peor. Los gobernantes de las naciones sólo piensan en
subir al poder; los gobernantes de los pueblos, muchos de ellos, se aprovechan
del Nombre de Dios para sus fines políticos, hija mía. El
mundo está en un caos terrible, que sólo acudiendo a mi Inmaculado
Corazón el mundo podrá cambiar.
Quiero,
hija mía, que durante tres meses, me saquéis en procesión
por todos estos lugares y cantéis cánticos de alabanza. Todo
el que acuda a mi Inmaculado Corazón no quedará defraudado,
hijos míos.
Haced penitencia,
haced oración; sacrificaos, hijos míos. El mundo está
cada día en una situación más grave.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para la salvación de las almas... Todos han sido bendecidos, hijos
míos.
Acudid a
este lugar, que todo el que acuda a este lugar mi Corazón Inmaculado
lo llenará de gracias. Orad mucho, hijos míos, orad.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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4 mars 1995
La Très Sainte Vierge : Mes
enfants, mon Cœur est triste, Je vous le répète encore, parce
que la situation du monde est grave, très grave. L’homme n’arrive
pas à comprendre la gravité de la situation, mes enfants.
Dieu est disposé à répandre sa miséricorde
sur l’humanité, mais l’humanité fait la sourde oreille. Elle
n’écoute pas mes paroles. Le monde ne peut s’arranger que si Dieu
déverse son Amour sur les hommes.
Ah ! Insensés ! Mais jusqu’à
quand devons-nous vous avertir, mes enfants ?
Notre Seigneur : Oui, mes enfants,
si les hommes ne changent pas et s’ils rejettent ma Miséricorde,
J’appliquerai ma Justice. Si, un seul instant, ma Mère avait cessé
d’intercéder pour vous tous, toute l’humanité serait déjà
réduite en cendres ! Mes enfants, vos pouvez remercier ma Mère,
ses prières et ses larmes ; ses larmes de douleur qui sortent du
plus profond de son Cœur attendrissent mon Cœur.
Si les hommes changeaient, si les
chrétiens étaient de bons chrétiens, les bons meilleurs
et les mauvais moins mauvais, le monde s’arrangerait. Mais il manque la
prière, la pénitence et le sacrifice. Les hommes vivent dans
les ténèbres, le confort et la matière.
Il en est de même pour les
pasteurs ; si beaucoup d’entre eux, pasteurs de l’Eglise, n’étaient
pas aussi relâchés et se rendaient compte de l’importance
de leur ministère et de la grandeur de leur mission ! S’ils prenaient
conscience du fait que Dieu a mis entre leurs mains cette beauté
qu’est l’Eglise, ainsi que les âmes, pour qu’elles soient sauvées
! Mais il y a du relâchement dans la plupart des couvents, dans la
majorité du clergé, et ce qui fait le plus souffrir le Cœur
de Dieu, c’est la tiédeur les âmes consacrées. Elles
doivent devenir d’autres christs pour réaliser le mystère
si important de la Sainte Messe. Elles ne se rendent pas compte de leur
mission. Le prêtre doit aller à la recherche des âmes,
les conquérir pour Dieu et s’occuper de l’Eglise… Beaucoup d’entre
eux M’aiment mal et aiment mal l’Eglise.
Ames choisies, changez de vie. La
prière, le sacrifice, la pénitence, vous les avez abandonnés.
C’est pourquoi vous êtes tièdes, mes enfants. La mission la
plus importante que vous avez sur la terre est celle d’être des pasteurs
d’âmes. Et c’est ce dont beaucoup d’entre vous s’occupent le moins,
mes enfants. Priez beaucoup pour les prêtres, pour les âmes
consacrées, mes enfants. Qu’ils aiment Nos Cœurs et qu’ils prêchent
l’Evangile aux âmes. Qu’ils en fassent la conquête pour le
troupeau du Christ.
La Très Sainte Vierge : Priez,
mes enfants, faites pénitence, priez. Ne le prenez pas comme une
plaisanterie, mes enfants, car si le monde est dans la situation où
il se trouve, c’est faute de prières et de pénitence.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant de péchés que commettent mes âmes choisies.
Accourez en ce lieu, mes enfants,
et ne rejetez pas les grâces. Je déverserai beaucoup de grâces
sur vous tous. Accourez en ce lieu. Ce lieu est béni et aujourd’hui
J’y pose mes pieds virginaux.
Mes enfants ! Combien me touchent
vos prières et vos cantiques ! Comme vous réjouissez mon
Cœur ! J’aime tellement que vos prières sortent du plus profond
de votre cœur ! Par vos chants, vous consolez mon Cœur affligé,
mes enfants ! Merci, mes enfants ! Continuez à venir en ce lieu
: vous serez bénis et Je répandrai des grâces sur vous.
Ne vous laissez pas conduire par de faux prophètes, et n’allez pas
de ci de là ! Le monde est envahi de faux prophètes, mes
enfants. Moi Je donne un message universel pour le monde. Que le monde
ne fasse pas la sourde oreille.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour les moribonds.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec le Saint Esprit.
MENSAJE DEL DÍA 4 DE MARZO
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hijos míos,
mi Corazón está triste, os sigo repitiendo, porque la situación
del mundo es grave, muy grave. El hombre no llega a comprender la gravedad
de la situación, hijos míos. La misericordia de todo un Dios
está dispuesto a derramarla sobre la Humanidad; pero la Humanidad
se hace la sorda, y no escucha mis palabras. Sólo el mundo se puede
arreglar porque Dios-Amor derrame su amor sobre los hombres.
¡Ay,
insensatos!, pero ¿hasta cuándo, hijos míos, os tienen
que estar avisando?
EL SEÑOR:
Sí,
hijos míos, si los hombres no cambian y rechazan mi misericordia,
aplicaré mi justicia. Si mi Madre hubiera dejado un solo instante
de interceder por todos vosotros, por toda la Humanidad, la Humanidad estaría
ya reducida a cenizas. Podéis dar gracias a mi Madre, hijos míos,
a sus plegarias y a sus lágrimas; esas lágrimas de dolor,
que salen de lo más profundo de su Corazón, enternecen mi
Corazón.
Si los hombres
cambiasen y los cristianos fuesen buenos cristianos, y los buenos más
buenos y los malos menos malos, el mundo se arreglaría; pero falta
oración, penitencia y sacrificio. Los hombres viven en tinieblas,
en las comodidades, en la materia.
También,
si los pastores —muchos de ellos—, los pastores de la Iglesia, no estuviesen
tan relajados y se diesen cuenta la importancia de su ministerio y la misión
que tienen tan importante, que Dios ha puesto esa belleza de la Iglesia
en sus manos y las almas para salvarlas. Pero hay una relajación
en la mayoría de los conventos, en la mayoría de los sacerdotes.
Y lo que más duele al Corazón de todo un Dios es la tibieza
de sus almas consagradas. Tienen que hacerse “cristos” para realizar el
misterio tan importante que hay en la Santa Misa; no se dan cuenta su misión.
El sacerdote tiene que ir a por las almas y conquistarlas para Dios y ocuparse
de la Iglesia. ¡Mal aman a la Iglesia y mal me aman a mí muchos
de ellos!
Almas escogidas,
cambiad vuestras vidas; la oración la habéis abandonado,
el sacrificio y la penitencia; por eso estáis tibios, hijos míos.
La misión más importante que tenéis en la Tierra es
la de pastores de almas, y muchos de vosotros es lo que menos os ocupáis,
hijos míos.
Rezad mucho
por los sacerdotes, por las almas consagradas, hijos míos; que amen
nuestros Corazones y prediquen el Evangelio a las almas y las conquisten
para el rebaño de Cristo.
LA VIRGEN:
Orad, hijos
míos, haced penitencia y oración. No lo toméis a broma,
hijos míos, que el mundo está en esta situación por
falta de oración y de penitencia.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como cometen mis almas escogidas...
Acudid a
este lugar, hijos míos y no rechacéis las gracias. Yo derramaré
muchas gracias sobre todos vosotros. Acudid a este lugar; este lugar está
bendecido y hoy pongo mis plantas sobre él.
Hijos míos,
cuánto me agradan vuestras plegarias y vuestros cánticos,
¡cuánto alegráis mi Corazón! ¡Me agrada
tanto cuando vuestras plegarias salen de lo más profundo de vuestro
corazón! Consoláis mi Corazón afligido con vuestros
cantares, hijos míos. ¡Gracias, hijos míos! Seguid
acudiendo a este lugar, que seréis bendecidos y derramaré
gracias sobre vosotros. No os dejéis conducir por profetas falsos,
y vais de aquí para allá. El mundo está invadido de
profetas falsos, hijos míos. Yo doy un mensaje universal al mundo;
que el mundo no se haga el sordo.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para los moribundos...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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1er avril 1995
La Très Sainte Vierge : Mes
enfants, mes premiers mots sont : Prière, prière et pénitence.
Satan est lâché dans le monde. Mes enfants, unissez vos prières,
vos larmes, vos douleurs et vos souffrances à mon Cœur douloureux.
Satan dispose de divers auxiliaires pour s’emparer du monde : l’auxiliaire
de l’orgueil ; l’auxiliaire de la luxure ; l’auxiliaire de l’adultère
; l’auxiliaire de l’envie, le corrupteur des peuples ; l’auxiliaire du
dérèglement des mœurs ; et l’auxiliaire de la tiédeur
qui endort les âmes, les rend nonchalantes et les mène n’importe
où. Et ces âmes se laissent conduire par les mains de l’ennemi
; elles abandonnent la croix pour les plaisirs et les jouissances du monde.
Mon Cœur est très profondément
blessé, ma fille, en raison de ces mouvements modernes qui subrepticement
s’infiltrent peu à peu dans mon Eglise sainte pour jeter la confusion
dans la doctrine et pour détruire la Parole de Dieu. Sous couvert
de confirmations et de préparations, on a converti beaucoup d’églises
en lieux de divertissements. Il n’y a pas de respect pour le Tabernacle.
Comment mon Cœur ne serait-il pas triste, lorsque beaucoup de ceux qui
dirigent l’Eglise n’ont pas de respect envers les saints prêtres
? On a perdu toute pudeur dans le monde, comment ne pleurerais-je pas,
ma fille, et comment mon Cœur ne serait-il pas triste ?
Vous qui avez la foi, mes enfants,
ne vous laissez pas entraîner par les aveuglements et les vanités
du monde ; demeurez dans le Christ, et le Christ demeurera en vous.
Quelle mauvaise formation donnent-ils
et quel usage font-ils de mes églises ; ils disent qu’ils catéchisent
les âmes, ma fille ; ils les préparent pour le monde, et non
pour Dieu. Comment mon Cœur ne serait-il pas triste, si dans beaucoup de
séminaires, Je te l’ai déjà dit, ma fille, on ne prépare
pas les âmes pour le service de Dieu, mais pour être servies
: elles aiment les flatteries. Je te l’ai souvent répété
: les commodités, les flatteries et le monde, voilà ce qui
triomphe dans beaucoup de séminaires. Je veux des âmes données
à Dieu, et non des âmes qui s’emploient à idolâtrer
les hommes. Quelle tristesse ressent mon Cœur ! Je veux des pasteurs d’âmes
; des pasteur qui donnent leur vie pour leurs brebis ! Je souffre,
ma fille, parce qu’en beaucoup d’endroits, ces âmes sortent
des séminaires livrées à l’idolâtrie et converties
au monde. J’ai besoin d’âmes fortes, ma fille, d’âmes victimes
qui réparent les péchés de toutes ces âmes.
Sois forte, ma fille. Si les hommes
savaient comme mon Cœur les aime, des larmes de bonheur et de joie couleraient
sur leurs joues ! Beaucoup de ceux qui s’appellent chrétiens se
moquent de mon Œuvre, quelle tristesse ressent mon Cœur !…
Et Moi, Je leur dis que Je leur
donnerai le centuple… Combien d’âmes ont déjà reçu
le centuple et jouissent maintenant de la divine Présence et de
la divine Majesté de Dieu !
Amparo : Je te prie pour Marie-Louise,
ma Mère, emmène-la avec toi !
La Très Sainte Vierge : Ma
fille, Je te l’ai déjà dit hier : lorsque les cloches aujourd’hui
sonneront le glas, elles sonneront glorieusement au Ciel pour son entrée
triomphale, à cause de tant de grâces qu’elles a reçues
en ce lieu. Ne sois pas triste, ma fille, réjouis-toi : aujourd’hui
même, elle jouit de la présence de Dieu. Récompense
suprême, mes enfants !
On fait peu de prières et
peu de sacrifices, or le monde a besoin de prière et de sacrifice.
Les hommes se moquent de la Parole de Dieu. Hélas ! Que de grincements
de dents, que de pleurs il y aura le jour du Jugement dernier !
Aimez-vous les uns les autres, mes
enfants. Accourez n ce lieu. J’y répandrai des grâces sur
vous pour que vous demeuriez forts dans la foi et face aux tourmentes de
l’ennemi.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant de tant de péchés que l’on commet dans le monde.
Aimez beaucoup l’Eglise, aimez le
Représentant du Christ et priez pour lui. Aimez beaucoup les prêtres
; priez pour eux ; priez pour leur sainteté, pour qu’ils soient
de saints pasteurs.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour le Jour des ténèbres.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 1 DE ABRIL
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hijos míos,
os empiezo diciendo: oración, oración y penitencia. Satanás
está suelto en el mundo. Hijos míos, unid vuestras oraciones,
vuestras lágrimas y vuestros dolores, vuestros sufrimientos, a mi
dolorido Corazón. Con Satanás hay varios secuaces para apoderarse
del mundo: el secuaz de la soberbia, el secuaz de la lujuria, el secuaz
del adulterio, el secuaz de la envidia, el corruptor de los pueblos, el
secuaz del desenfreno, hija mía; y el secuaz de la tibieza adormece
a las almas y las entibia y las dirige para donde quiere. Y esas almas
se dejan conducir por las manos del enemigo; abandonan la cruz por los
placeres y los goces del mundo.
Mi Corazón
tiene una herida muy profunda, hija mía, por esos movimientos modernos
que suavemente se van infiltrando en mi Iglesia Santa, para confundir la
doctrina y para destruir la palabra de Dios. Muchas iglesias las han convertido
en recreo con la tapadera de confirmaciones y preparaciones. No hay respeto
en el tabernáculo. ¿Cómo no va a estar triste mi Corazón,
si muchos de los hombres que están manejando la Iglesia no respetan
a los sacerdotes santos? Se ha perdido todo el pudor en el mundo, ¿cómo
no voy a llorar, hija mía, y cómo no va a estar triste mi
Corazón?
Los que
tenéis fe, hijos míos, no os dejéis arrastrar por
los deslumbramientos del mundo y por las vanidades del mundo; permaneced
en Cristo, y Cristo permanecerá en vosotros.
Qué
mala formación y qué uso hacen de mis iglesias, diciendo
que catequizan a las almas, hija mía; las preparan para el mundo,
hija mía, no para Dios. ¿Cómo no va a estar triste
mi Corazón, si en muchos seminarios, ya te lo he dicho, hija mía,
no preparan a las almas para el servicio de Dios, sino para que los sirvan?
Les gustan los halagos. Te lo he repetido muchas veces: las comodidades,
los halagos y el mundo, en muchos seminarios, son triunfadores. Yo quiero
almas entregadas a Dios, no entregadas para idolatrar a los hombres. ¡Qué
tristeza siente mi Corazón, porque quiero pastores de almas, pastores
que den su vida por las ovejas! Por eso sufro, hija mía, porque
en muchos lugares esas almas salen de los seminarios idolatrados y “mundanizados”(1).
Necesito almas fuertes, hija mía, almas víctimas que reparen
los pecados de todas esas almas.
Sé
fuerte, hija mía. ¡Si supieran los hombres lo que mi Corazón
los ama, resbalarían por sus mejillas lágrimas de gozo y
alegría! Se mofan de mi Obra muchos de los que se llaman cristianos,
¡qué tristeza siente mi Corazón!
Si yo les
digo que les daré el ciento por uno... ¡Cuántas almas
ya han recibido el ciento por uno y están gozando de la Divina Presencia
y de la Divina Majestad de Dios!
LUZ AMPARO:
Te pido
por María Luisa, Madre mía, ¡llévala contigo!
LA VIRGEN:
Hija mía,
ya te lo dije ayer: cuando hoy doblen las campanas, en el Cielo estarán
tocando a gloria por su entrada triunfal, gracias a tantas gracias como
ha recibido en este lugar. No te entristezcas, hija mía, alégrate,
hoy está gozando de Dios; ¡mayor premio!, hijos míos.
Se hace
poca oración y poco sacrificio, y el mundo está necesitado
de oración y de sacrificio. Los hombres se ríen de la palabra
de Dios. ¡Ay, cuánto rechinar de dientes y cuántos
llantos habrá el día del Juicio Final!
Amaos los
unos a los otros, hijos míos. Acudid a este lugar, que yo derramaré
gracias sobre vosotros, para que os conservéis fuertes en la fe
y ante las tempestades del enemigo.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en el mundo...
Amad mucho
a la Iglesia, amad al representante de Cristo y pedid por él. Amad
mucho a los sacerdotes, pedid por ellos, pedid por su santidad, para que
sean santos pastores.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para el día de las tinieblas...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
(1) No existe la palabra en castellano;
es equivalente a “mundano”= “Que atiende demasiado a las cosas del mundo,
a sus pompas y placeres”.
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6 mai 1995
Notre Seigneur : Mes enfants, venez
à Moi. Je vous ouvrirai mon côté afin que vous vous
y abreuviez. Venez et vous me connaîtrez, mes enfants. Je vous enivrerai
du feu de mon amour, J’embraserai vos cœurs. Moi qui ai versé mon
sang pour racheter l’Humanité, et qui en retour, n’ai reçu
que haine et mépris, J’aime les hommes de bonne volonté.
Venez, Je répandrai des grâces sur vous. Je suis descendu
sur la terre pour que vous, mes enfants, vous puissiez atteindre le Ciel.
J’ai eu faim pour vous laisser une Nourriture jusqu’à la fin de
vos vies. J’ai eu soif pour vous laisser des sources d’eau vive, afin que
vous puissiez y rassasier votre soif, mes enfants. Je suis passé
par la mort afin que vous passiez par la Gloire. Cela vous parait-il peu
d’amour, mes enfants, qu’un Dieu se préoccupe ainsi de ses créatures
? Mais comme elles font peu de cas de mes paroles, ma fille !…
Je veux des prières avec
des œuvres, et non des prières sans œuvres, mes enfants. La prière
sans les œuvres est pauvre. Je veux aussi récupérer tous
ces enfants perdus ; Je les appelle, mes enfants, Je leur ouvre mon Cœur,
Je leur donne mes grâces, mas ils me repoussent. Jusqu’à quand
les créatures veulent-elles que le Créateur s’humilie et
se fasse ver de terre pour elles, mes enfants ?
Venez à Moi, mes enfants,
vous tous qui êtes accablés et fatigués, et Je vous
fortifierai.
Ma fille, les hommes ont oublié
la pénitence, la prière et le sacrifice, et le monde empire
de jour en jour. Un grand châtiment menace le monde, et Je ne vais
pas l’écarter, mes enfants. Si les hommes, par leurs prières,
leurs sacrifices et leurs pénitences voulaient l’arrêter…,
mais s’ils ne le font pas, mes enfants, Je ne continuerai plus à
le retenir.
Combien de grâces Je répands
sur les âmes, mais comme elles se laissent entraîner par ce
monde corrupteur ! Il les rend tièdes et aveugles, ma fille, et
dans cet aveuglement ces âmes ne font que leur propre volonté
et non la volonté de Dieu, mes enfants ! Je vous ai dit souvent
que J’aime les hommes, mais eux ne se repentent ni devant le spectacle
de ma croix, ni devant ma mort ; et ils rejettent les grâces.
Pénitence, pénitence,
voilà ce que Je demande ; prière et sacrifice. Ne vous laissez
pas entraîner par l’aveuglement du monde, mes enfants ! C’est l’heure
du règne de Satan ! Il veut détruire les âmes. Soyez
forts, mes enfants, approchez-vous du sacrement de la Pénitence
et de l’Eucharistie. Aimez l’Eglise ; vous y trouverez les sources dont
vous avez besoin pour fortifier votre âme. Moi Je n’alimente pas
seulement votre âme mais Je vous donne aussi le pain de chaque jour,
mes enfants.
La Très Sainte Vierge : (Amparo
soupire avec bonheur) Oui, ma fille, Je viens aujourd’hui avec mon manteau
d’or, (Amparo soupire) à cause des prières, ma fille, qui
sortent du plus profond des cœurs, et des œuvres que les êtres humains
réalisent pour la gloire de Dieu. Me voici en tant que Mère
de Dieu, Porte du Ciel, Refuge des pécheurs, Consolatrice des affligés.
ainsi m’appellent les hommes et ainsi est votre Mère : Pure et Immaculée.
Je veille sur vous, mes enfants, parce que mon Fils au pied de la Croix
me l’a demandé. « Voici ta Mère », dit-il à
l’Homme ; et à Moi, mes enfants, Il me dit : « Voici ton Fils
». Je suis la mère de tous les hommes et Corédemptrice
avec le Christ ; Il a voulu que je participe à la Maternité
divine et que Je l’allaite à mon sein. Il a voulu que je sois au
pied de la Croix comme Corédemptrice du genre humain. C’est pourquoi
Dieu laisse le monde entre mes mains, parce que c’est l’heure de Satan,
et Satan me méprise et me hait ; mais Moi Je lui écraserai
la tête et Je ne permettrai pas qu’il entraîne les âmes.
Soyez humbles, mes enfants, et aimez-vous
les uns les autres comme le Christ vous a aimés.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant de tant de péchés que l’on commet dans le monde.
Oui ma fille, mon Cœur Immaculé est outragé et mon Fils veut
qu’il soit vénéré.
Amparo : Ma Mère, que puis-je
faire ? Je n’ai pas de force, et je n’en peux plus. Ma Mère, aide-moi
(elle sanglote), aide-moi. Ma Mère, (elle pleure) je ne veux pas
que mon temps soit très long ici-bas (elle gémit).
La Très Sainte Vierge : Ma
fille, ton temps sur la terre ne sera pas long. Je te promets que Je ne
tarderai pas beaucoup à t’emmener, ma fille, mais tu as encore une
mission à y accomplir. Tu sais que ta mission est de souffrir, ma
fille, et depuis ta naissance, Je t’ai choisie pour cela.
Amparo (Elle pleure) : Je n’ai pas
de forces ! (Elle sanglote à plusieurs reprises) Ma Mère,
aide-moi et donne-moi des forces pour tout ce que tu me donnes à
porter.
La Très Sainte Vierge : Toi,
sois obéissante, ma fille, comme tu l’as été jusqu’à
présent… et sois humble. Réfugie-toi dans nos Cœurs. Aime-nous
beaucoup, ma fille, car nos Cœurs t’aiment. Tu es l’instrument pour répandre
le Message dans le monde.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 6 DE MAYO
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hijos míos,
venid a mí que yo os abriré mi costado y beberéis
de él. Venid y me conoceréis, hijos míos. Yo os embriagaré
con el fuego de mi amor, abrasaré vuestros corazones. Yo, que derramé
mi Sangre para redimir a la Humanidad a cambio de desprecios y de desamor,
hijos míos. Yo amo a los hombres de buena voluntad. Venid, que yo
derramaré gracias sobre vosotros. Yo bajé a la Tierra, para
que vosotros, hijos míos, pudieseis alcanzar el Cielo. Yo pasé
hambre, para dejaros alimento hasta el fin de vuestras vidas. Pasé
sed, para dejaros fuentes de agua viva, para que os saciaseis en ellas,
hijos míos. Yo pasé por la muerte, para que vosotros pasaseis
por la Gloria. ¿Os parece poco amor, hijos míos, que todo
un Dios esté pendiente de sus criaturas? Y ¡qué poco
caso hacen, hija mía, a mis palabras!
Quiero oraciones
con obras, no oraciones sin obras, hijos míos. La oración
sin obra es pobre. También quiero recuperar a todos esos hijos perdidos;
yo les llamo, hijos míos, les abro mi Corazón, les doy mis
gracias, y me rechazan. ¿Hasta cuándo quieren las criaturas
que el Creador se humille y se haga gusano por ellas, hijos míos?
Venid a
mí, hijos míos, todos los que estáis agobiados y cansados,
que yo os fortaleceré.
Hija mía,
los hombres han olvidado la penitencia, la oración y el sacrificio,
y el mundo va cada día peor. Amenaza un gran castigo sobre el mundo,
al que yo no voy a retirar, hijos míos. Si los hombres con sus oraciones,
sus sacrificios y penitencias lo paran...; pero si no, hijos míos,
yo no vuelvo a sostenerlo.
¡Cuántas
gracias estoy derramando sobre las almas, y cómo las almas se dejan
arrastrar por este mundo corruptor! ¡Los deja tibios y ciegos, hija
mía, y en esa ceguedad sólo hacen la voluntad que ellos quieren,
no la voluntad de Dios, hijos míos! Os he dicho muchas veces que
yo amo a los hombres, pero ellos ni ante el espectáculo de mi Cruz,
ni ante mi muerte se arrepienten; y rechazan las gracias.
Penitencia,
penitencia pido, sacrificio y oración. No os dejéis arrastrar
por el deslumbramiento del mundo, hijos míos; es la hora del reinado
de Satanás y quiere destruir a las almas. Sed fuertes, hijos míos,
acercaos a la Penitencia, a la Eucaristía, amad a la Iglesia; en
ella encontraréis las fuentes que necesitáis para fortalecer
vuestra alma. Yo no sólo alimento vuestra alma, sino os doy el pan
de cada día, hijos míos.
LA VIRGEN:
Sí,
hija mía, hoy vengo con mi manto de oro, por las oraciones, hija
mía, que salen de lo más profundo de los corazones y por
las obras que los seres humanos realizan para la gloria de Dios. Aquí
estoy como la Madre de Dios, como la Puerta del Cielo, Refugio de los pecadores
y Consoladora de los afligidos. Así me llaman los hombres y así
es vuestra Madre: Pura e Inmaculada. Yo velo por vosotros, hijos míos,
porque mi Hijo al pie de la Cruz me lo dejó dicho. “He ahí
a tu Madre”, le dice al hombre; y a mí, hijos míos, me dice:
“He ahí a tu hijo”. Soy Madre de todos los hombres y Corredentora
con Cristo. Él quiso que participase en la Maternidad divina y lo
amamantase a mis pechos. Y Él quiso que estuviese al pie de la Cruz
como Corredentora del género humano. Por eso Dios deja el mundo
en mis manos, porque es la hora de Satanás, y Satanás me
desprecia y me odia, pero yo apretaré su cabeza y no permitiré
que arrastre a las almas.
Sed humildes,
hijos míos, y amaos unos a otros como Cristo os amó.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en el mundo... Sí, hija mía, mi Corazón
Inmaculado es ultrajado y mi Hijo quiere que sea venerado.
LUZ AMPARO:
Madre mía,
¿qué hago yo, si no tengo fuerzas, si no puedo más?
Madre mía, ayúdame, ayúdame, Madre mía. No
quiero que mi tiempo sea aquí muy largo.
LA VIRGEN:
Hija mía,
tu tiempo no será muy largo en la Tierra. Te prometo que no tardaré
mucho en llevarte, hija mía, pero todavía tienes una misión
en ella. Sabes que tu misión es sufrir, hija mía, y desde
que naciste te escogí para ello.
LUZ AMPARO:
¡No
tengo fuerzas! Madre mía, ayúdame y dame fuerzas para todo
lo que me das.
LA VIRGEN:
Tú
sé obediente, hija mía, como lo has sido hasta ahora, y sé
humilde. Refúgiate en nuestros Corazones. Ámanos mucho, hija
mía, que nuestros Corazones te aman. Tú eres el instrumento
para extender al mundo el mensaje.
Levantad
todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos con
bendiciones especiales...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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3 juin 1995
Notre Seigneur : Mes enfants, me
voici, une fois de plus, pour offrir aux hommes des sources de salut. J’offre
aux hommes de venir boire de l’eau de cette source de vie éternelle,
et les hommes ne m’écoutent pas. Je m’offre comme ami et ils me
repoussent. Je leur enseigne ma parole et mes commandements, et ils font
la sourde oreille, ma fille ; Je demeure comme nourriture de leurs âmes
pour atteindre la vie éternelle, et ils nourrissent leurs âmes
de passions, de caprices, de plaisirs et de vices. Jusqu’où sont
tombés les hommes ? Je l’ai déjà dit et répété,
les péchés des hommes ont transpercé la voûte
des cieux. Je leur offre ma voix et ils ne veulent pas m’écouter.
Je vous ai offert ma Mère pour votre salut, mes enfants, et Je crie
bien fort que ma Mère vous aime de tout son cœur.
La Très Sainte Vierge : Oui,
mes enfants, Je vous aime de tout mon Cœur Immaculé. Il semble que
tout est perdu, parce que l’abîme de Satan est ouvert, mais Moi Je
combattrai, mes enfants, je lutterai parce que vous êtes l’œuvre
de Dieu, et que vous avez été rachetés par son sang.
Je ne permettrai pas que Satan vous entraîne, mes enfants ; unissez-vous
à cette Œuvre, mes enfants, et J’enseignerai à vos cœurs
à être généreux et Je leur ferai porter du fruit
pour votre propre salut. Prêtez attention, mes enfants, aux paroles
de mon fils ; mettez ses commandements en pratique, et surtout la loi de
l’amour, mes enfants, ce commandement si important : « Tu aimeras
ton Dieu et ton prochain comme toi-même ». Les hommes ont la
conscience endormie et une foi appauvrie, mes enfants. Montrez votre foi,
mes enfants, soyez forts et buvez aux sources que Dieu a établies
pour votre salut.
Je vous demande l’austérité,
et Je vous l’ai souvent demandée, mes enfants, et vous, vous vivez
en communauté. Vous qui vivez en communauté, mes enfants,
suivez l’Evangile, afin que ceux qui vous approchent, apprennent l’austérité
et tout ce que vous avez abandonné pour le salut de vos propres
âmes. Je demande aux hommes d’être austères, mais eux,
ils vivent dans le confort, ils gaspillent leur argent dans leurs caprices
et les plaisirs, en oubliant ceux qui ont faim et ceux qui sont dans le
besoin. Ah ! mes enfants, mettez en pratique les béatitudes !… Bienheureux
les pauvres parce qu’ils seront rassasiés, et bienheureux ceux qui
ont le cœur pur parce qu’ils verront Dieu ! Mes enfants, Je vous demande
de renoncer à votre propre vie de caprices et de plaisirs. Imitez
le Christ, mes enfants. Il vous a donné l’exemple et Il vous l’a
laissé pour que vous le mettiez en pratique.
Jusqu’à quand nos Cœurs doivent-ils
souffrir à cause de l’ingratitude des hommes ! Priez pour les prêtres.
Si les prêtres étaient saints et s’ils menaient une vie de
sainteté, combien d’âmes ils sauveraient ; car mon Fils leur
a donné pouvoir de lier et de délier. Je demande aux prêtres
d’être à leur poste au service des âmes, jour et nuit.
Le prêtre est un homme de Dieu, il n’est pas un homme du monde et
il doit s’occuper du troupeau que Dieu lui a confié : les âmes.
Vous, respectez-les, mes enfants, et eux, s’ils n’accomplissent pas leur
devoir, ils seront jugés. Combien d’âmes ils sauveraient s’ils
donnaient l’exemple de la sainteté ! Mais ils entraînent aussi
beaucoup d’âmes dans l’abîme par leur mauvais exemple, mes
enfants. Priez pour eux, afin qu’ils soient des hommes de Dieu et qu’ils
se consacrent de par le monde entier à prêcher l’Evangile,
pour que la foi resurgisse et ressuscite dans les cœurs. Priez pour les
âmes consacrées. Elles se sont consacrées à
Dieu. Or combien de couvents sont plus préoccupés du monde
que de la prière et du salut des âmes ! Pauvres âmes
! Il en est beaucoup qui ont même honte de l’habit qui les distingue
comme des hommes de Dieu. Ils ressemblent davantage à des hommes
du monde qu'à des prêtres et à des âmes consacrées.
Ils ont honte de cet habit qui est sacré et dont un jour ils ont
été revêtus ; ils l’ont mis de côté et
ils vivent, ma fille, comme n’importe quel homme, sans tenir compte de
cet habit… Beaucoup en ont honte. Quelle peine, ma fille avoir honte d’un
habit aussi beau dont ils ont revêtu leurs corps, le jour où
ils ont renoncé au monde ! Le monde s’arrangerait si les religieux
et les religieuses priaient et se sacrifiaient pour les pécheurs
(dans beaucoup de couvents ils n’y a plus que de la tiédeur) et
si les prêtres, au lieu de se consacrer aux affaires du monde, se
consacraient au troupeau du Christ, au salut des âmes. Le prêtre
est comme le médecin, il doit se préoccuper des âmes,
jour et nuit ; priez pour eux, mes enfants. Et vous, qui avez tout abandonné,
votre fortune et vos biens pour les pauvres, Dieu vous donnera le centuple.
Comme il y en a peu qui veulent suivre ce chemin, mes enfants ; comme il
leur en coûte de renoncer ; combien perdent leur éternité
pour les plaisirs, les caprices et les vanités du monde ! Soyez
forts, mes enfants, vous qui êtes dans cette Œuvre et vous qui n’y
êtes pas ; priez…, faites pénitence et faites oraison pour
les pauvres pécheurs.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant de péchés que l’on commet envers mon Cœur
Immaculé. Et toi, ma fille, transmets aux âmes ce message
: si elles n’observent pas les commandements de la Loi de Dieu, elles ne
se sauveront pas. Transmets-leur l’amour : c’est le commandement le plus
important : qu’elles partagent avec ceux qui sont dans le besoin. Il y
a beaucoup d’âmes qui sont dans le besoin, mes enfants, souvenez-vous
d’elles.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour les pauvres pécheurs.
Amparo (dans la main elle élève
un chapelet) : Baise-le, ma Mère.
La Très Sainte Vierge : Je
vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 3 DE JUNIO
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hijos míos,
aquí estoy una vez más, ofreciendo a los hombres fuentes
de salvación. Yo ofrezco a los hombres que vengan a beber del agua
de esta fuente de vida eterna, y los hombres no hacen caso. Yo me ofrezco
como amigo y me rechazan; les enseño mi palabra y mis leyes, y se
hacen los sordos, hija mía; me quedo como alimento de sus almas
para alcanzar la vida eterna, y alimentan sus almas de pasiones, de gustos,
de placeres y vicios. ¿Hasta dónde, hija mía, han
llegado los hombres? Ya lo he repetido que los pecados de los hombres han
traspasado la bóveda del cielo. Yo les ofrezco mi voz y no quieren
escucharme. Os he ofrecido mi Madre para vuestra salvación, hijos
míos, y grito fuertemente que mi Madre os ama con todo su corazón.
LA VIRGEN:
Sí,
hijos míos, os amo con todo mi Corazón Inmaculado. Parece
que todo está perdido, porque Satanás tiene abierto el abismo,
pero yo lucharé, hijos míos, lucharé porque sois obra
de Dios y fuisteis redimidos con su Sangre. No permitiré que Satanás
os arrastre, hijos míos. Uníos a esta Obra, hijos míos,
que os enseñaré a que vuestros corazones sean generosos y
sacaré fruto de ellos para vuestra propia salvación. Haced
caso, hijos míos, de las palabras de mi Hijo; cumplid sus leyes
y, sobre todo, la ley del amor, hijos míos, esa ley tan importante:
amarás a tu Dios y al prójimo como a ti mismo. Los hombres,
hijos míos, tenéis la conciencia dormida y también
vuestra fe está empobrecida. Sacad vuestra fe, hijos míos,
y sed fuertes y bebed de las fuentes que Dios ha puesto para vuestra salvación.
Os pido
austeridad, y muchas veces os lo he pedido, hijos míos, y vosotros
vivís en comunidad... Los que vivís en comunidad seguid,
hijos míos, el Evangelio, para aquéllos que se acerquen a
vosotros aprendan la austeridad y lo que vosotros habéis dejado
para la salvación de vuestras propias almas. Yo pido a los hombres
que sean austeros y ellos viven en las comodidades; derrochan el dinero
en gustos y en placeres, sin acordarse de los que pasan hambre, de los
necesitados. ¡Ay, hijos míos, cumplid las bienaventuranzas!
Bienaventurados los pobres, porque ellos serán hartos, y bienaventurados
los limpios de corazón, porque ellos verán a Dios. Hijos
míos, os pido que renunciéis a vuestra propia vida de gustos
y de placeres. Imitad a Cristo, hijos míos, Él os dio ejemplo
y os lo dejó para que vosotros lo practicarais, hijos míos.
¿Hasta
cuándo nuestros Corazones tienen que estar sufriendo por la ingratitud
de los hombres? Pedid por los sacerdotes; si los sacerdotes fuesen santos
y viviesen una vida de santidad, ¡cuántas almas salvarían!,
pues mi Hijo les dio poder para hacer y deshacer. Pido que los sacerdotes
estén en su puesto al servicio de las almas, día y noche.
El sacerdote es hombre de Dios, no es hombre del mundo y tiene que ocuparse
del rebaño que Dios le ha encomendado, que son las almas. Vosotros
respetadlos, hijos míos, que ellos, si no cumplen, serán
juzgados.
¡Cuántas
almas salvarían con su ejemplo de santidad! Pero también
arrastran muchas almas con su mal ejemplo al abismo, hijos míos.
Pedid por ellos, que sean hombres de Dios y se dediquen por todo el mundo
a predicar el Evangelio, para que resurja y resucite la fe en los corazones.
Pedid por las almas consagradas que se consagraron para Dios, y ¡cuántos
conventos están más en el mundo que orando y pensando en
la salvación de las almas! ¡Pobres almas! ¡Si muchos
se avergüenzan hasta de un distintivo que los distingue como hombres
de Dios! Más parecen hombres mundanos que sacerdotes y almas consagradas.
Se avergüenzan de esa vestidura que es sagrada y que un día
fueron revestidos con ella; la han arrinconado y viven, hija mía,
como cualquier hombre, sin importarles aquella vestidura. ¡Cuánto
agrada a mi Corazón ver a un sacerdote vestido con el distintivo
de sacerdote y a un alma consagrada con su vestidura! Muchos se avergüenzan
de ella. ¡Qué pena, hija mía, avergonzarse de una vestidura
tan hermosa como la que, en el día que renunciaron al mundo, cubrió
todo su cuerpo! El mundo se arreglaría si los religiosos y religiosas
estuviesen orando y sacrificándose por los pecadores —en muchos
conventos no hay más que tibieza—, y si los sacerdotes, en vez de
dedicarse a las cosas del mundo, se dedicasen al rebaño de Cristo,
a la salvación de las almas. El sacerdote es como el médico,
tiene que estar pendiente, día y noche, de las almas. Pedid por
ellos, hijos míos. Y vosotros, aquéllos que habéis
dejado todas las cosas, vuestras haciendas y vuestro dinero, para los pobres,
Dios os dará ciento por uno. ¡Qué pocos quieren seguir
este camino, hijos míos! ¡Cuánto les cuesta renunciar!
¡Cuántos se pierden la eternidad por gustos y caprichos y
vanidades del mundo! Sed fuertes, hijos míos, los que estáis
dentro y los que están fuera; orad, haced penitencia y haced oración
por los pobres pecadores.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos pecados como se
cometen a mi Inmaculado Corazón... Y tú, hija mía,
transmite a las almas que si no cumplen con los mandamientos de la Ley
de Dios, no se salvarán. Transmíteles el amor; ése
es el mandamiento más importante: que compartan con los que necesitan.
Hay muchas almas necesitadas, hijos míos, acordaos de ellas.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para los pobres pecadores...
LUZ AMPARO:
(Elevando
un rosario con su mano). Bésalo, Madre mía.
LA VIRGEN:
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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1er juillet 1995
Notre Seigneur : Ma fille, voici
ton Jésus, cloué sur une croix. Contemple ma Mère
au pied de cette Croix. Sais-tu ce qui m’a causé cette douleur et
celle du Cœur de ma Mère ? Ce sont les péchés de l’humanité,
les péchés des hommes. Ton Jésus nu sur la Croix,
flagellé, ayant faim et soif d’âmes. Et les âmes, ma
fille, alors même qu’elles me voient assoiffé, affamé,
méprisé et ensanglanté, ne modifient pas leur vie.
Beaucoup de paroles, beaucoup de promesses, ma fille, beaucoup de bons
propos… Ignorez vos paroles, si elles ne s’accompagnent pas du repentir
et des œuvres. Ma fille, il y en a beaucoup qui promettent, qui remuent
leurs lèvres, mais c’est un mensonge. Je veux que l’on mette en
pratique la Loi de mon Evangile. C’est pourquoi je suis à la recherche
des hommes, parce qu’ils sont l’œuvre de ma Création.
Mais, comme les hommes sont ingrats,
ma fille ! Je leur ai tout donné, mais ils donnent si peu en retour
! Pense à ma douleur, ma fille : Moi, ici, en train de réparer
les péchés que Je n’avais pas commis. Quelle tristesse ressent
mon Cœur, ma fille ! Je désire aussi que tu prennes part à
cette tristesse, ma fille. J’étais innocent et – je te l’ai dit
souvent – J’ai payé pour les coupables. Les hommes disent qu’ils
aiment Dieu, mais quelle maigre consolation je reçois de leur part,
ma fille !
Le monde est dans un chaos très
grave : les familles sont détruites, ma fille ; les couples qui
désirent se marier ne veulent pas de mon sacrement, ils le rejettent
; ils perdent toute leur candeur, toute leur pureté. Moi je les
oins de ma grâce, mais ils repoussent cette grâce, ma fille.
Le monde est corrompu par le péché.
Ah, les jeunes ! Comme vous faites
souffrir nos Cœurs, mes enfants !
Et les pasteurs de mon Eglise ?…
Pauvre Eglise ! L’Eglise est flagellée par la majeure partie des
prêtres. Ils se sont fourvoyés, ma fille, et ils vivent dans
un troupeau sans pasteur. Je lance un appel à tous les prêtres,
afin qu’ils reviennent à leur ministère et qu’ils accomplissent
la mission de pasteurs du troupeau. Eux, les pasteurs du troupeau du Christ,
ils s’écartent du bon chemin, l’un contaminant l’autre. L’Eglise
est flagellée, ma fille, elle passe par Gethsémani. Elle
est au Golgotha, ma fille. C’est pourquoi Je lance cet appel aux ministres
de l’Eglise : qu’ils viennent se réfugier sous le manteau de ma
Mère Immaculée. Mes enfants, vous avez épousé
l’Eglise et comme vous êtes peu fidèles à votre ministère
! Abandonnez le monde, demandez la lumière à l’Esprit Saint
et Il purifiera vos âmes ; Il les rendra pures, obéissantes,
pauvres, humbles et sacrifiées. Vous êtes déloyaux
envers l’Eglise, mes enfants.
La Très Sainte Vierge : Et
Moi, comme une Mère douloureuse, Je souffre cette passion cruelle
que traverse l’Eglise. L’Eglise a une blessure très profonde, celle
de ces âmes préférées par Dieu, de ces âmes
que Dieu aime tant : ses prêtres. Mes enfants, comme vous vous laissez
entraîner par la ruse de Satan ! Comment permettez-vous que l’Eglise,
votre épouse, soit si gravement blessée ? N’oubliez pas qu’elle
est votre épouse ! Ne soyez pas déloyaux, mes enfants, et
venez ici, dans votre Eglise, et tous ensemble nous prierons pour l’infidélité
des prêtres, des âmes consacrées, de tous les fidèles,
mes enfants.
Beaucoup de couvent sont bloqués
par la glace : il n’y a en eux ni chaleur, ni unité. Priez, mes
enfants, afin que mes prêtres, aimés par mon Cœur Immaculé,
soient fidèles à leurs engagements. Oubliez le monde et dévouez-vous
à l’Eglise. La moisson est abondante et les ouvriers sont peu nombreux
pour y travailler. Venez tous, mes enfants, consacrez-vous à mon
Cœur Immaculé et prenez part avec moi aux douleurs et aux angoisses
que traverse l’Eglise du Christ. Ne désobéissez pas à
votre Pasteur, au représentant de mon Fils sur la terre. Obéissez-lui,
mes enfants, car vous le faites beaucoup souffrir. Et obéissez à
vos supérieurs. Mes enfants, pourquoi vous laissez-vous entraîner
par Satan, qui ne vous laisse ni prier ni agir ? Soyez très humbles,
votre mission est celle de pasteurs d’âmes. Vous avez de quoi faire
avec vos grands troupeaux. Beaucoup d’entre vous se sont consacrés
aux activités du monde et ont oublié ce pour quoi ils avaient
été appelés : le dévouement auprès des
âmes, mes enfants.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant de péchés que commettent mes âmes choisies.
Et toi, ma fille, répare avec Nous les péchés de toute
l’humanité. La plus grande partie de l’humanité est sans
Dieu, ma fille, et Satan s’empare de leurs âmes.
Priez beaucoup et faites pénitence.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour le salut des âmes.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec le Saint Esprit.
MENSAJE DEL DÍA 1 DE JULIO
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía,
aquí está tu Jesús clavado en una cruz; mira a mi
Madre al pie de ella. ¿Sabes quién me causó este dolor
y el dolor del Corazón de mi Madre?: los pecados de la Humanidad,
los pecados de los hombres. Tu Jesús desnudado, en la Cruz, azotado,
sediento, hambriento de almas. Y las almas, hija mía, ni viéndome
sediento, ni hambriento, ni despreciado, ni ensangrentado, renuevan su
vida, hija mía. Muchas palabras, muchas promesas, hija mía,
muchos propósitos. Ignorad vuestras palabras, si no van unidas al
arrepentimiento y a las obras. Muchos prometen, hija mía, y muchos
mueven los labios, pero es una mentira. Yo quiero, hija mía, que
cumplan la ley de mi Evangelio; por eso les busco, porque son obra de mi
creación.
¡Qué
ingratos son los hombres, hija mía! Yo les he dado todo y ellos
¡qué poco dan! Piensa en mi dolor, hija mía. Yo aquí
purgando los pecados que no había cometido. ¡Qué tristeza
siente mi Corazón, hija mía! También quiero que tú
participes de esa tristeza, hija mía. Yo fui inocente y te lo he
dicho muchas veces: que pagué por los culpables. Los hombres dicen
amar a Dios y ¡qué poco consuelo recibo de ellos, hija mía!
El mundo
está en un caos muy grave: las familias, destruidas, hija mía;
las parejas que quieren contraer matrimonio no quieren mi sacramento, lo
rechazan; las parejas que quieren ir al matrimonio pierden todo su candor,
pierden toda su pureza y yo los unjo de mi gracia y ellos rechazan esa
gracia, hija mía. El mundo está corrompido por el pecado.
¡Ay,
juventud, cuánto hacéis sufrir a nuestros Corazones, hijos
míos!
¿Y
los pastores de mi Iglesia?... ¡Pobre Iglesia! La Iglesia es flagelada
por la mayoría de los sacerdotes; se han descarriado, hija mía,
y viven en un rebaño sin pastor. Yo hago un llamamiento a todos
los sacerdotes para que vuelvan a su ministerio y cumplan la misión
de pastores del rebaño; ellos, que son pastores del rebaño
de Cristo, se desvían y cada uno va contagiando al otro. La Iglesia
está flagelada, hija mía, está pasando por Getsemaní,
está en el Gólgota, hija mía; por eso hago esta llamada
a los ministros de la Iglesia; que vengan y se refugien bajo el manto de
mi Inmaculada Madre. Hijos míos, vosotros os habéis desposado
con la Iglesia y ¡qué mal correspondéis a vuestro ministerio!
Abandonad el mundo y pedid al Espíritu Santo luz, y Él acrisolará
vuestras almas y las dejará puras, obedientes, pobres, humildes
y sacrificadas. Sois desleales a la Iglesia, hijos míos.
LA VIRGEN:
Y yo, como
Madre Dolorosa, sufro esta pasión incruenta que está pasando
la Iglesia. La Iglesia tiene una herida muy profunda de sus almas, de esas
almas preferidas por Dios, de esas almas que tanto ama Dios: sus sacerdotes.
Hijos míos, ¡cómo os dejáis arrastrar por la
astucia de Satanás y herir tan gravemente a la Iglesia, a vuestra
esposa!; no olvidéis que estáis desposados con ella. No seáis
desleales, hijos míos, y venid aquí, a vuestra Iglesia, y
todos juntos oraremos por la infidelidad de los sacerdotes, de las almas
consagradas, de todos los fieles, hijos míos.
Los conventos
están bloqueados, muchos de ellos, por el hielo; no hay calor en
ellos ni unidad. Pedid, hijos míos, para que mis sacerdotes queridos
por mi Inmaculado Corazón sean fieles a lo que se comprometieron.
Olvidaos del mundo y dedicaos a la Iglesia. Hay mucha mies y pocos operarios
para trabajar en ella. Venid todos, hijos míos, y consagraos a mi
Inmaculado Corazón y pasad conmigo los dolores y las angustias que
está pasando la Iglesia de Cristo. No seáis desobedientes
a vuestro Pastor, al representante de mi Hijo en la Tierra; obedecedle,
hijos míos, que le hacéis sufrir mucho, y obedeced a vuestros
superiores. Hijos míos, ¿cómo os dejáis arrastrar
por Satanás, que ni os deja orar ni obrar? Sed muy humildes, vuestra
misión es la de pastores de almas. Tenéis grandes rebaños
para trabajar. Muchos os habéis dedicado a los trabajos del mundo
y os habéis olvidado para lo que habéis sido llamados: para
la dedicación de las almas, hijos míos.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen por mis almas escogidas... Y tú, hija mía,
repara con nosotros los pecados de toda la Humanidad. La mayor parte de
la Humanidad está sin Dios, hija mía, y Satanás se
apodera de sus almas.
Orad mucho
y haced penitencia.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para la salvación de las almas...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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5 août 1995
Notre Seigneur : Mes enfants, vous
devez beaucoup implorer et prier à cause de la situation du monde.
La situation du monde est grave, les hommes vivent actuellement comme aux
temps de Sodome et de Gomorrhe. La majorité des hommes se sont détournés
de Dieu et aucun d’entre eux n’est à la place qui lui correspond.
Quant aux prêtres, au lieu de s’occuper de la pastorale des âmes,
et de faire en sorte qu’elles s’alimentent de cette pâture sacrée
qu’offre mon Eglise, ils sont pour la plupart des salariés du monde
; ils oublient (Amparo soupire à plusieurs reprises) qu’ils doivent
être au service des brebis. Au lieu de se consacrer à la prière
et à la pénitence, un grand nombre d’âmes consacrées
ont abandonné leur habit et sont entrées dans le monde.
Mes familles n’apprennent plus à
leurs enfants qu’ils ont un devoir sacré à remplir (Amparo
soupire) à l’égard de la Loi de Dieu ; elles oublient de
leur enseigner la foi et la morale. Les laïcs, ma fille, vivent en
majorité comme de mauvais chrétiens, sans vouloir accepter
la parole que Je leur envoie ni ma parole qui est écrite. Je dispose
des instruments pour leur communiquer ma parole, mais ils l’oublient car
ils sont trop pris par leurs affaires. Leurs affaires les intéressent
davantage, et ils préfèrent vivre selon la chair plutôt
que selon l’esprit.
Et ces mères qui tuent leurs
enfants dans leurs entrailles, ces crimes si horribles qu’elles commettent
à l’égard de ces êtres innocents. Les couples, ma fille,
vont au mariage sans le vêtement de la grâce parce que cette
bête féroce aux sept têtes, avec trois yeux à
chaque tête, qu’est la luxure, le plaisir de la chair, leur a enlevé
la grâce et beaucoup d’entre eux vont se marier (Amparo soupire profondément)
pour avoir le plaisir de porter de beaux vêtements et d’éblouir
le monde. Mais si, à ce moment-là ils écoutaient la
voix de Dieu dans le temple, elle leur dirait : « Mes enfants, comment
êtes-vous venus prendre part à mon banquet dans des habits
resplendissants à l’extérieur, alors que votre âme
est nue et couverte de haillons ! » Où allez-vous, mes enfants
? Vous avez perdu votre dignité et vous avez pris le chemin qui
mène à une prison obscure et ténébreuse, parce
que vous vivez dans les plaisirs et que vous ne vivez pas selon la Loi
de Dieu (Amparo soupire). Quelle triste société ! Priez,
mes enfants, pour que cette société change et que ses membres
accueillent mon royaume dans leur cœur. Priez pour que les gouvernants
exercent le pouvoir avec noblesse, justice et sainteté.
Qu’ont-ils fait du monde, ma fille
? Ils l’ont changé. Les hommes ont changé mes lois et ils
ne voient plus de péché nulle part, mes enfants.
La Très Sainte Vierge : Mes
enfants, mon cœur est vraiment très affligé parce que les
hommes n’observent pas les lois ni les commandements de Dieu ; et beaucoup
d’entre eux, en arrivant en présence de mon Fils, devront entendre
ces paroles si terribles : « Allez, maudits, au feu de l’enfer,
parce que vous n’êtes pas dignes d’être dans la Maison du Père.
» Vous n’avez pas voulu mettre en pratique les lois qui vous ont
été imposées pour le salut de vos âmes, et vous
vivez selon vos goûts, mes enfants, dans les plaisirs, l’abondance
et le confort… Quelles tristes âmes ! Mon Cœur souffre et ne cesse
de donner des avertissements aux âmes pour qu’elles se convertissent,
et Mon Fils m’envoie sur la terre pour donner des messages aux hommes,
pour leur rappeler qu’ils ne remplissent pas leurs obligations.
Priez beaucoup, mes enfants, faites
pénitence, n’enfoncez plus d’épines dans mon pauvre Cœur
qui vous aime de toutes ses fibres.
J’intercède auprès
de mon Fils mais vous ne changez pas votre conduite, mes enfants ; vous
continuez à pécher gravement et à commettre des crimes
atroces. Jusqu’à quand, mes enfants ! Le temps approche et vous
ne changez pas votre vie ; vos préoccupations sont seulement d’ordre
matériel et vous oubliez l’esprit, mes enfants. Honorez votre Mère
et aimez Dieu votre Créateur. Comment, mes enfants, ne pensez-vous
pas que l’homme ne peut vivre sans Dieu, et que celui qui vit sans Dieu
vit dans les ténèbres et dans l’obscurité ? Cherchez
la lumière, me enfants, retirez-vous du monde et mettez-vous au
service de Dieu, votre Créateur. Ne soyez pas si préoccupés
par les choses de la terre. Oui, ma fille, regarde ce paradis ; combien
le perdent parce qu’ils s’embourbent dans les péchés et s’attachent
à la matière !…
Tu vas boire quelques gouttes du
calice de douleur, ma fille, parce que les hommes continuent à pécher
avec obstination sans tenir compte de l’Evangile, des Commandements, de
mes paroles, ni de mes messages. (Amparo prend un calice invisible, avale
et tousse). C’est amer, ma fille. Il reste peu de gouttes parce que les
hommes ne veulent pas changer de vie, et le calice s’est déjà
répandu.
Ne voyez-vous pas, mes enfants,
comme Dieu, votre Créateur, vous aide grâce à la prière
. ? La prière est puissante. La bataille a pris fin. Les anges ont
lutté contre vos ennemis, et ceux-ci sont tombés les uns
après les autres ; ils ont obtenu la victoire, et pour cette raison
Je vous dis, mes enfants, que même s’il reste encore quelque ennemi,
il tombera aussi s’il ne se convertit pas et s’il n’est pas capable de
reconnaître ses péchés et ses misères. Aimez-vous
les uns les autres, mes enfants ; vous savez bien que c’est Dieu qui gagne
toujours la bataille. Si vous venez à Lui , mes enfants, Il vous
tendra les bras, Il vous pardonnera vos péchés, Il vous accueillera
dans son troupeau et vous aurez part à son héritage.
Continuez à venir en ce lieu,
mes enfants. On y reçoit beaucoup de grâces. Vous savez bien
que pour Moi il n’y a pas de distance, J’ai continué à répandre
les grâces depuis cet endroit, mes enfants. Pensez que votre Mère
est venue aussi en ce lieu pour vous donner des avertissements et pour
répandre ses grâces. Tous ces lieux ont été
bénis par ma main virginale et par la main divine de mon Fils. Soyez
patients et, avec la patience, vous obtiendrez tout, mes enfants. Ne voyez-vous
pas, mes enfants, qu’après le martyre vient la gloire ? Bientôt
vous recevrez la gloire, mes enfants ;soyez humbles et patients ; continuez
à accourir en ce lieu où mon Cœur a répandu tant de
grâces.
Baise le sol, ma file, en réparation
de tant et tant de péchés que l’on commet dans le monde.
Beaucoup d’âmes se sont converties
en ces lieux, mes enfants ; ne l’oubliez jamais et donnez-en le témoignage.
Levez tous les objets ; ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour la conversion des pécheurs. Ils ont tous été
bénis.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 5 DE AGOSTO
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hijos míos,
tenéis que pedir mucho y orar mucho por la situación del
mundo. La situación del mundo es grave, los hombres están
viviendo como en los tiempos de Sodoma y Gomorra. La mayoría se
han apartado de Dios y ninguno está en el puesto que le corresponde.
Los sacerdotes, en vez de ocuparse a pastorear a las almas y que coman
de ese pasto sagrado que hay en mi Iglesia, la mayoría son asalariados
del mundo, sin olvidarse... (Luz Amparo expresa admiración ante
lo que ve) de que son almas para estar al servicio de las ovejas. Las almas
consagradas, en vez de dedicarse a la oración y a la penitencia,
muchos de ellos, han abandonado su vestidura y se han introducido en el
mundo.
Las familias
no enseñan a sus hijos que tienen un deber sagrado de cumplir con
la Ley de Dios; se les olvida enseñarles la fe y la moral. Los seglares,
hija mía, la mayoría viven como malos cristianos, sin querer
aceptar la palabra que yo mando y mi palabra que está escrita. Pongo
a instrumentos para comunicarles mi palabra, pero se olvidan de mi palabra,
porque están ocupados en sus negocios y les interesa más
el negocio y vivir según la carne más que según el
espíritu.
Esas madres
que matan a sus hijos dentro de sus entrañas, esos crímenes
tan horribles que cometen con esos seres inocentes. Las parejas, hija mía,
van al matrimonio sin la vestidura de la gracia, porque esa bestia feroz
de las siete cabezas, con tres ojos en cada una, que es la lujuria, el
placer de la carne, les ha quitado la gracia y muchos de ellos van a contraer
matrimonio por la ilusión de ese traje, que lo llevan para que todos
se deslumbren; pero si oyeran, en ese momento, en el templo la voz de Dios,
les diría: “Pero, hijos míos, ¿cómo habéis
venido a participar de mi banquete, si vuestra vestidura es muy resplandeciente
por fuera pero vuestra alma está desnuda y llena de harapos?”. ¿Hacia
dónde camináis, hijos míos, que habéis perdido
vuestra dignidad y vais hacia el camino de una cárcel oscura y tenebrosa,
porque vivís en los placeres y no vivís según la Ley
de Dios? ¡Qué pena de sociedad! Rezad, hijos míos,
para que esta sociedad cambie y abrace en sus corazones mi Reino, y que
los gobernantes gobiernen con nobleza, justicia y santidad.
¿Qué
han hecho del mundo, hija mía? Lo han cambiado. Los hombres han
cambiado mis leyes y nada lo ven pecado, hijos míos.
LA VIRGEN:
Sí,
hijos míos, mi Corazón está muy afligido, porque no
guardan los hombres las leyes ni los mandamientos y muchos llegarán
a la presencia de mi Hijo y tendrán que oír las palabras
tan terribles de “id, malditos, al fuego del Infierno, porque no sois dignos
de estar en la Casa del Padre”. No habéis querido cumplir con las
leyes que se os han impuesto para la salvación de vuestras almas
y vivís según vuestros gustos, hijos míos, en los
placeres, en la abundancia, en las comodidades... ¡Qué pena
de almas!
Mi corazón
sufre y no hace nada más que dar avisos a las almas para que se
conviertan, y mi Hijo me manda a la Tierra para dar mensajes a los hombres
y para recordarles a cada uno que no cumplen con sus obligaciones. Orad
mucho, hijos míos, haced penitencia, no clavéis más
espinas a mi pobre Corazón, que os ama con todo mi Corazón.
Intercedo
a mi Hijo, pero no cambiáis, hijos míos, vuestra conducta;
seguís pecando gravemente y cometiendo crímenes atroces.
¿Hasta cuándo, hijos míos? El tiempo se aproxima y
no cambiáis vuestra vida; sólo os preocupa la materia y os
olvidáis del espíritu, hijos míos. Honrad a vuestra
Madre y amad a Dios, vuestro Creador. ¿Cómo, hijos míos,
no pensáis que el hombre no puede vivir sin Dios, y que el que vive
sin Dios vive en la tiniebla y en la oscuridad? Buscad la luz, hijos míos,
retiraos del mundo y poneos al servicio de Dios, vuestro Creador. No os
preocupe tanto las cosas de la Tierra. Sí, hija mía, mira
este paraíso; ¡cuántos lo pierden porque se enfrascan
en los pecados y se apegan a la materia!
Vas a beber
unas gotas del cáliz del dolor, hija mía, porque los hombres
siguen obstinados en pecar sin hacer caso al Evangelio, ni a los mandamientos,
ni a mis palabras, ni mis mensajes... Está amargo, hija mía;
quedan pocas gotas, porque los hombres no quieren cambiar sus vidas y el
cáliz ya se ha derramado.
¿No
veis, hijos míos, cómo Dios, vuestro Creador, os ayuda con
la oración? La oración tiene poder. Se ha acabado la batalla.
Los ángeles han luchado contra vuestros enemigos y han ido cayendo
uno a uno, han conseguido la victoria. Por eso os digo, hijos míos,
que aunque aún queda algún enemigo, también irá
cayendo como no se convierta y sea capaz de reconocer sus pecados y sus
miserias. Amaos los unos a los otros, hijos míos; ya sabéis
que Dios es el que gana siempre la batalla. Si vosotros venís a
Él, hijos míos, Él os extenderá los brazos
y os perdonará vuestros pecados y os acogerá en su rebaño
y participaréis de su herencia.
Seguid viniendo
a este lugar, hijos míos. En este lugar se reciben muchas gracias.
Ya sabéis que para mí no ha habido distancias, que he seguido
derramando las gracias desde este lugar, hijos míos. Pensad que
aquí también ha venido vuestra Madre a daros avisos y a derramar
sus gracias. Todos estos lugares han sido bendecidos por mi mano virginal
y por la mano divina de mi Hijo. Sed pacientes y, con paciencia, alcanzaréis
todo, hijos míos. ¿No veis, hijos míos, que después
del martirio viene la gloria? Ahora recibiréis la gloria, hijos
míos; sed humildes y pacientes; seguid acudiendo a este lugar que
tantas gracias ha derramado mi Corazón.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en el mundo...
Muchas almas
os habéis convertido en estos lugares, hijos míos; nunca
lo olvidéis y dad testimonio de ello.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para la conversión de los pecadores... Todos han sido bendecidos.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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2 septembre 1995
Notre Seigneur : Mes enfants, me
voici pour répandre des grâces sur vous, sachez aussi que
J’aime les cœurs reconnaissants. Soyez reconnaissants, mes enfants, pour
tant et tant de grâces que vous avez reçues en ce lieu. Et
vous tous qui avez des biens, remerciez aussi, car Dieu est la source de
tous vos biens, et non vous-mêmes ni vos efforts . Or beaucoup d’entre
vous qui vivez bien, mes enfants, vous ne vous souvenez pas de ceux qui
souffrent, de ceux qui ont faim et soif et qui sont nus.
Toi, ma fille, ne sois pas affligée
à cause de ces mauvaises langues ; ces langues, un jour, Je les
maudirai, car peu leur importe la calomnie ni le mensonge. J’ai demandé
que l’on fonde des Œuvres d’Amour et de Miséricorde, et toi tu fais
ma volonté. Ne te soucie pas du qu’en dira-t-on. N’a-t-on pas dit
de moi que j’étais possédé par Belzébuth ?
Si je priais, on me critiquait, si je mangeais ou si je buvais, on me critiquait
de la même façon, ma fille. Ces âmes prétendent
donner des enseignements. Quelle sorte d’enseignement et de catéchèse
peuvent donner les âmes qui sont capables de diffamer, de calomnier
et de vivre dans le monde selon leurs plaisirs ? Elles sont comme les païens
qui n’entrent pas au Ciel et qui n’y laissent pas entrer les autres. Que
chacun de ceux qui calomnient cette Œuvre suive l’exemple de ceux qui y
vivent.
Amparo : Ils parlent, oh !…
Notre Seigneur : Oui, ma fille,
regarde : ils parlent, ils parlent mais ils ne sont pas capables d’aller
recevoir le sacrement de la pénitence ; ils n’ont pas besoin des
sacrements. Ils parlent des sacrements mais ils ne les reçoivent
pas, ma fille. Regarde ce qui attend les âmes ingrates qui vivent
selon leurs plaisirs, selon le corps et non selon l’esprit. (Amparo soupire
profondément). Je n’écouterai pas leurs lamentations ni leurs
larmes, parce que ce Jour-là ce seront des larmes de pleureuses
et mes oreilles ne les écouteront pas. Que rien ne t’afflige, ma
fille. Je suis le Tout-Puissant et c’est moi qui t’ai demandé de
fonder ces Œuvres d’Amour et de Miséricorde. C’est Moi qui t’ai
demandé de donner le meilleur pour le pauvre, et c’est ce que tu
es en train de faire, ma fille, tu es en train de donner le meilleur au
pauvre. Il n’y a rien de caché, ma fille, ils peuvent le constater.
Les hommes se croient puissants
et la majorité d’entre eux sont des serviteurs inutiles. Ils prétendent
aimer l’Eglise sans comprendre la parole de Dieu. Ils disent que ces messages
sont catastrophiques, mais sont-ils aveugles et sourds, ma fille ? Ne voient-ils
pas que le monde est plein de catastrophes ? Ah ! mes enfants, en vérité
J’aime les âmes humbles et non les âmes vaniteuses qui s’enorgueillissent
elles-mêmes et qui me rabaissent, Moi. Elles croient détenir
le pouvoir sur les choses. L’homme sème et arrose, mais si Moi je
n’envoie pas l’eau et le soleil, le fruit ne peut pas pousser. Alors comment
l’homme peut-il être si orgueilleux et si inculte pour dire que les
messages sont catastrophiques ? Alors la Sainte Ecriture elle aussi est
catastrophique. Incultes ! qui ne comprenez pas, qui n’agissez pas et qui
ne voulez pas non plus laisser les autres comprendre et agir !
Malheur à vous, mères
qui préférez que vos filles soient dans le monde en état
de péché mortel, dans la concupiscence de la chair. La concupiscence
vous importe peu, mes enfants. Vous ne la comprenez pas. Cela vous est
égal que vos enfants soient en état de péché
et vous ne vous en préoccupez pas. Quand ils ressentent l’appel
de Dieu, cela vous afflige et vous voulez les introduire là où
vous êtes entrés vous-mêmes, en faisant votre volonté,
et non la volonté de Dieu. Quand cesserez-vous d’offenser ces créatures
qui ont tout laissé pour le donner aux pauvres ! Elles vous ont
ouvert la voie, faites de même. Ne faites pas comme le jeune homme
de l’Evangile : quand je lui dis de vendre ses biens, de les donner aux
pauvres et de me suivre, il n’écoute pas mes paroles et il cesse
de cheminer près de Moi, car son désir est de suivre Dieu
mais sans renoncer à ses biens. Que vous êtes ingrats, mes
enfants ! Beaucoup d’entre vous n’allez pas vous sauver et vous ne voulez
pas non plus que les autres se sauvent !
J’apprends aux hommes à aimer
l’Eglise. J’apprends aux prêtres à être à leur
ministère et à guider les âmes comme de bons pasteurs,
mais beaucoup d’entre eux sont esclaves de leurs passions et le monde les
attire plus que Dieu. Comment allez-vous apprendre à un Dieu ce
qu’il doit dire à ses âmes ? J’aime mes prêtres, et
comme Je les aime, Je les corrige. La première chose que J’ai faite
quand Je suis arrivé devant mon Père, ce fut de prier pour
tous les prêtres, pour qu’ils soient des pasteurs et non des salariés.
Et ensuite J’ai prié pour le monde, pour que tous les hommes fléchissent
le genou devant Dieu leur Créateur. Et qu’avez-vous fait, mes enfants
? Comme Je vous avais dit de faire ? Vous avez mis le monde à l’envers.
Ne voyez-vous pas les impuretés qu’il y a dans le monde ? Le péché
de la chair déferle sur le monde, et l’homme qui tombe dans la luxure
tombe dans tous les péchés. On ne donne pas d’importance
au péché, mes enfants, et c’est pour cela que le monde est
dans cette situation. Et vous, les mères, tout au moins beaucoup
d’entre vous, qui aimez tant vos enfants, du moins le croyez-vous, comment
ne les surveillez-vous pas pour qu’ils aillent sur le chemin de l’Evangile
? Et comme vous êtes préoccupées quand ils trouvent
ce chemin ! Je ne suis pas un tyran, comme vous dites : que penser d’une
mère qui menace ses enfants ! Combien d’entre vous, les mères,
menacez vos enfants parce que vous ne leur laissez pas la liberté
de suivre le chemin qu’ils ont choisi ? Ingrats, jusqu’à quand un
Dieu Tout-Puissant doit-il donner des avertissements à ses créatures
! Vous permettez que vos enfants se damnent avec vous et vous n’êtes
pas de bonnes mères quand vous ne vous préoccupez pas de
savoir où sont vos enfants. C’est quand ils parviennent à
trouver Dieu que vous êtes préoccupées. C’est ce que
font les partisans de l’Antichrist : ils s’introduisent dans les familles,
parmi les amis, pour détruire les âmes. Une mère veut
le bonheur de ses enfants…
La Très Sainte Vierge : …
Et moi, c’est ce que Je veux, mes enfants : votre bonheur. Je réprimande
mes enfants, Je vous l’ai dit souvent, comme vous les mères qui
avez réprimandé vos enfants, non pas une fois, mais cent
fois. En voyant que vos enfants prennent le chemin de la perdition, vous
leur avez dit avec insistance : « Mes enfants, ne voyez-vous pas
que vous êtes en train de vous perdre, et que Dieu a fait le Ciel
et les Enfers ? » L’homme oublie que l’enfer existe ; il pense
seulement qu’il ira dans la Gloire, mais sans les œuvres. Vous tous qui
faites de bonnes œuvres et vous qui avez besoin de purification, venez
à moi, confiez-moi vos œuvres, mes enfants, et confiez-vous vous-mêmes,
et Moi, de mes mains pures et virginales, Je vous purifierai, vous et vos
œuvres, et Je les remettrai à la Divine Majesté de Dieu.
Mais ne soyez pas sots, mes enfants, soyez comme les vierges sages : ayez
toujours la lampe allumée, et pour qu’une lampe brille, elle doit
être pleine d’huile et de combustible, ma fille. C’est ainsi que
l’homme qui est sans Dieu et qui prétend aimer Dieu et n’aime pas
le prochain ne respecte pas les commandements. Laissez à vos enfants
la liberté, la sainte liberté de suivre le chemin de l’Evangile.
Que vos cœurs ne soient pas si ingrats : vous martyrisez vos enfants parce
que vous êtes égoïstes et que vous les voulez pour vous.
Puisque toutes les créatures appartiennent à Dieu, et que
Dieu touche chaque cœur, qu’Il le prend ou le laisse comme Il l’entend,
comment allez-vous mettre un obstacle à Dieu, mes enfants ?
Soyez tous un, mes enfants, et ayez
un seul cœur pour aimer ceux qui en ont besoin, mes enfants. Regarde où
se trouvent tant de ceux qui semblent être bons et respecter l’enseignement
divin, oui, regarde où ils se trouvent, ma fille. Ils ont fait semblant
devant les hommes, mais quand ils sont arrivés devant le Juge Suprême,
Il a appliqué la justice, parce qu’ils n’avaient œuvré qu’en
paroles, et Je n’ai pu leur appliquer ma miséricorde. C’est pourquoi
ils se trouvent dans ce lieu.
Ah, pères et mères
de famille, marchez sur le chemin ferme et sûr ! Ne restez pas dans
le temps et ne vivez pas faussement, en simulant devant les autres ce que
vous n’êtes pas. Que les époux se respectent mutuellement
les uns les autres, mais malheur à ceux qui sont infidèles
! Celui qui vit en état d’adultère n’entrera pas dans le
Royaume des Cieux. Le monde est envahi par la chair, par les péchés
d’impureté. Ma fille, je hais l’impureté. J’aime beaucoup
les cœurs purs. Mais aujourd’hui les hommes ont perdu toute retenue. Ils
vivent dans un dérèglement tel que personne ne peut les freiner,
ma fille, ils se sont laissé aller et ils ont cessé d’aimer
Dieu leur Créateur. La créature sans Dieu est vide ; et les
pharisiens et les hypocrites n’entreront pas non plus dans le Royaume des
Cieux. Moi j’exalte les humbles et je cache les puissants à ma vue.
Une âme humble plaît plus à mon Fils que tous les puissants
qu’il y a sur la terre.
Qui sont les hommes pour dire à
qui Je dois me manifester ? Est-ce qu’il n’y a pas un motif pour une mère
de se manifester à ses enfants lorsqu’elle voit la situation du
monde, pour les avertir du grand danger qu’il y a dans le monde et pour
leur rappeler l’Evangile ? C’est pour cela que Je descends sur la terre.
Parce que les hommes changent, enlèvent et mettent suivant leur
caprice ce qui leur plaît. Malheur à ceux qui retranchent
et qui ajoutent, il aurait mieux valu pour eux qu’ils ne soient pas nés
! Malheur à ceux qui déforment la doctrine ! Quand ils se
présenteront devant Moi je leur dirai : « Retirez-vous de
moi, vous qui avez déformé sur la terre la parole de mon
Fils et qui avez entraîné beaucoup d’âmes vers la perdition
par vos fausses doctrines. Allez, maudits, au feu éternel ! Telles
seront les paroles qui seront dites, et il sera fait comme Je le dis. Pourtant
mon Cœur de Mère intercède pour tous les hommes, mais pour
les hommes qui renient Dieu ? Je n’admets pas ces hommes qui renient mon
Fils.
Aimez l’Eglise, mes enfants, aimez
le Pape. Il souffre beaucoup en voyant la situation du monde, et il souffre
beaucoup à cause de tous ces pasteurs infidèles, qui désobéissent
à ses paroles.
Et toi, ma fille, malgré
tout ce qu’on pourra dire, ne sois pas affligée. Que tu manges ou
que tu jeûnes, ils trouveront à redire, ma fille. Que rien
d’autre ne t’importe que le Royaume des cieux et l’amour de ceux qui sont
dans le besoin. Tout ce que l’on peut voir est pur. Que rien ne t’afflige,
ma fille.
Et vous tous qui avez reçu
des grâces en ce lieu, donnez-en le témoignage, mes enfants.
Aimez l’Eglise et confessez vos fautes. Approchez-vous du sacrement de
la pénitence, beaucoup d’entre vous ne le font pas, mes enfants.
Levez tous les objets : ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour les pauvres moribonds.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 2 DE SEPTIEMBRE
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hijos míos,
aquí estoy para derramar gracias sobre vosotros, pero también
me gustan los corazones agradecidos. Sed agradecidos, hijos míos,
por tantas y tantas gracias como habéis recibido en este lugar y
también dad gracias todos aquéllos que tenéis bienes,
porque todo es venido de la mano de Dios; pero no es por vosotros mismos,
ni por vuestros esfuerzos, porque muchos de los que vivís bien,
hijos míos, no os acordáis de los que sufren, de los que
padecen hambre y sed y están desnudos.
Tú,
hija mía, no te angusties por esas lenguas difamadoras; son lenguas
que yo un día maldeciré, porque no les importa la calumnia
ni la mentira. Yo dije que se fundaran obras de amor y misericordia, y
tú haces mi voluntad. Nada te importe de lo que digan, hija mía;
si de mí dijeron que estaba poseído por Belcebú, y
si oraba me criticaban, y si comía y bebía me criticaban
igual, hija mía. Esas almas dicen dar doctrinas. ¿Qué
clase de doctrina y de catequesis pueden dar las almas que son capaces
de difamar, de calumniar y de vivir en el mundo según sus gustos?
Son como los paganos que ni entran en el Cielo ni dejan entrar a los demás.
Que cada uno de los que difaman contra esta Obra haga lo mismo que han
hecho los que viven en ella... (Palabras ininteligibles. Luz Amparo expresa
admiración).
Sí,
hija mía, mira: hablan, hablan pero ni son capaces de ir a recibir
la Penitencia; no necesitan sacramentos. Hablan de los sacramentos pero
no los practican, hija mía. Mira lo que le espera a las almas ingratas
que viven según sus gustos y según el cuerpo, no según
el espíritu. No escucharé sus lamentos ni sus lágrimas
porque sus lágrimas en ese día serán lágrimas
de plañideras y no las escucharán mis oídos. Nada
te angustie, hija mía. Yo soy el Todopoderoso y el que te ha pedido
fundar estas obras de amor y misericordia; y yo te he pedido que lo mejor
para el pobre y es lo que estás haciendo, hija mía; lo mejor
se lo estás dando al pobre. Nada hay oculto, hija mía, pueden
comprobarlo.
El hombre
se cree poderoso y son siervos inútiles la mayoría; dicen
amar a la Iglesia sin entender la palabra de Dios; dicen que mis mensajes
son catastróficos, ¿pero están ciegos y sordos, hija
mía? ¿Pero no ven que el mundo está lleno de catástrofes?
¡Ay, hijos míos, si a mí me gustan las almas humildes,
no las vanidosas que se envanecen ellas y me rebajan a mí! Creen
tener poder para hacer las cosas; el hombre siembra y riega, pero si yo
no mando el agua y el sol, el fruto no puede salir. Luego, ¿cómo
es el hombre tan soberbio y tan inculto diciendo que los mensajes son catastróficos?
Entonces, la palabra de Dios —¡está escrita!— también
es catastrófica. ¡Incultos, que no entendéis ni hacéis
y tampoco queréis dejar a los que entienden y hacen!
¡Ay,
madres que preferís que vuestras hijas estén en el mundo
en pecado mortal, en la concupiscencia de la carne! No os importa, hijos
míos, la concupiscencia; no la entendéis. No os importa que
vuestros hijos estén en pecado ni os preocupáis de ellos,
y cuando sienten la llamada de Dios os angustia y los queréis introducir
donde vosotros estáis introducidos, haciendo vuestra voluntad, no
la voluntad de Dios. ¿Hasta cuándo vais a acabar de ofender
a estas criaturas que han dejado todo para dárselo a los pobres?
El camino lo tenéis abierto, haced vosotros lo mismo. No hagáis
lo que el joven del Evangelio que, cuando le digo que venda sus bienes
y se los dé a los pobres y me siga, no escucha mis palabras y no
vuelve otra vez a caminar junto a mí, sino quiere seguir a Dios
pero sin dejar nada. ¡Qué ingratos sois, hijos míos,
que muchos de vosotros ni os vais a salvar ni queréis que se salven
los demás!
Yo enseño
a los hombres a amar a la Iglesia; y a los sacerdotes a estar en su ministerio,
a pastorear a las almas, no (a) que muchos de ellos son esclavos de sus
pasiones y les atrae más el mundo que Dios. ¿Cómo
vais a enseñar a todo un Dios lo que tiene que decir a sus almas?
Yo amo a mis sacerdotes y, como los amo, los corrijo; y lo primero que
hice, cuando llegué ante mi Padre, fue pedir por todos los sacerdotes,
para que fuesen pastores, no fuesen asalariados; y luego pedí por
el mundo, para que todo el mundo hincase la rodilla ante Dios su Creador.
Y ¿qué habéis hecho, hijos míos?, como os dije:
habéis vuelto el mundo al revés; no veis las impurezas que
hay en el mundo. El pecado de la carne está invadiendo el mundo,
y el hombre que cae en lujuria cae en todos los pecados. No se le da importancia
al pecado, hijos míos; por eso está el mundo en esta situación.
Por eso, madres que amáis tanto, según vosotras –muchas de
ellas–, a vuestros hijos, ¿cómo no los vigiláis para
que vayan por el camino del Evangelio? Y, ¡cómo os preocupáis
cuando encuentran ese camino! Ni soy tirano, como decís, que “¡vaya
un Dios!” o “¡vaya una Madre, que amenaza a sus hijos!”. ¿Cuántas
madres estáis amenazando a vuestros hijos, porque no les dejáis
libertad para vivir el camino que han escogido? ¡Ay, ingratos, ¿hasta
cuándo un Dios Todopoderoso tiene que dar avisos a sus criaturas?!
Permitís que vuestros hijos se condenen junto a vosotros y no sois
buenas madres, cuando no os ocupáis dónde están vuestros
hijos; cuando llegan a encontrar a Dios es cuando os preocupa; eso hacen
los secuaces del Anticristo: introducirse en familias, en amistades, para
destruir a las almas. Una madre quiere la felicidad de sus hijos...
LA VIRGEN:
Y eso quiero
yo, hijos míos, vuestra felicidad. Yo reprendo a mis hijos, porque
os he dicho muchas veces que cuántas madres habéis reprendido
una y otra y otra vez a vuestros hijos, y viendo que vuestros hijos se
introducen en el camino de la perdición habéis vuelto a decir:
“Hijos míos, ¿no veis que os estáis perdiendo, que
Dios hizo el Cielo y los Infiernos?”. Y el hombre se le olvida que existe
el Infierno; sólo piensa en ir a la Gloria sin obras. Todos los
que hacéis buenas obras y todos los que estáis sin purificar
venid a mis manos y entregádmelas, hijos míos, y entregaos
vosotros, que yo, con mis manos puras y virginales, os purificaré
a vosotros y a vuestras obras y se las entregaré a la Divina Majestad
de Dios. Pero no seáis necios, hijos míos, y sed como las
vírgenes prudentes; tened siempre la lámpara encendida y
para que una lámpara luzca tiene que estar llena de aceite y combustible,
hija mía; por eso el hombre que está sin Dios y que dice
amar a Dios y no ama al prójimo no cumple los mandamientos. Dejad
libertad a vuestros hijos, esa libertad santa para seguir el camino del
Evangelio, y no seáis tan ingratos vuestros corazones que martirizáis
a vuestros hijos porque sois egoístas y los queréis para
vosotros. Si toda criatura es de Dios y Él toca cada uno de los
corazones, y coge y deja lo que quiere, ¿cómo vais a ponerle
trabas a Dios, hijos míos?
Sed todos
uno, hijos míos, y tened un solo corazón para amar a los
que lo necesitan, hijos míos. ¡Cuántos, mira, de los
que aparentan ser buenos y cumplir la doctrina, mira dónde se encuentran,
hija mía!; han aparentado ante los hombres, pero cuando han llegado
ante el Juez Supremo, ha aplicado la justicia, porque no habían,
hija mía, obrado nada más que con palabras y no pude aplicar
mi misericordia. Por eso se encuentran en ese lugar.
¡Ay,
padres y madres de familias, caminad por el camino firme y seguro!, no
os quedéis en el tiempo y no viváis falsamente, aparentando
ante los demás lo que no sois. Que los matrimonios se respeten mutuamente
unos a otros; pero ¡ay de aquéllos que son infieles! El adúltero
no entrará en el Reino de los Cielos. El mundo está invadido
por la carne, por los pecados de impureza. Yo odio, hija mía, la
impureza. Amo mucho los corazones puros, pero los hombres hoy se han desenfrenado,
viven en un desenfreno que no hay quien los frene, hija mía; se
han abandonado y (se) han dejado de amar a Dios su Creador. Y la criatura
sin Dios está hueca. Y los fariseos e hipócritas tampoco
entrarán en el Reino de los Cielos. Y yo ensalzo a los humildes
y oculto a los poderosos. A mi Hijo le agrada más un alma humilde
que todos los poderosos que hay en la Tierra.
¿Quiénes
son los hombres para decir a quién tengo que manifestarme? ¿Es
que no hay motivo de manifestarse una madre a sus hijos viendo la situación
del mundo, para avisarles el gran peligro que hay en él y para recordarles
el Evangelio?, para eso bajo a la Tierra. Porque los hombres cambian, quitan
y ponen a su antojo lo que les agrada. ¡Ay de aquéllos que
quitan y ponen, más les valiera no haber nacido! ¡Ay, aquéllos
que deforman la doctrina!, cuando se presenten ante mí les diré:
“¡Retiraos de mí, que habéis deformado la palabra de
mi Hijo en la Tierra y muchas almas habéis arrastrado hacia la perdición
por vuestras falsas doctrinas! ¡Id, malditos, al fuego eterno!”;
ésas serán las palabras y así lo digo y así
se cumplirá. Aunque mi Corazón de Madre intercede por todos
los hombres, pero ¿por los hombres que reniegan de Dios? Yo no admito
aquellos hombres que reniegan de mi Hijo.
Amad a la
Iglesia, hijos míos, amad al Papa; sufre mucho viendo la situación
que hay en el mundo, y sufre mucho por aquellos pastores infieles y desobedientes
a sus palabras.
Y tú,
hija mía, digan lo que digan, no te angusties; si comes, van a decir,
y si ayunas, van a seguir diciendo, hija mía. No te importe nada
más que el Reino del Cielo y amar a los necesitados. Todo está
limpio, que se puede ver. Nada te angustie, hija mía.
Y todos
los que habéis recibido gracias en este lugar, dad testimonio de
ellas, hijos míos; y amad a la Iglesia y confesad vuestras culpas.
Acercaos al sacramento de la Penitencia, que muchos de vosotros no lo hacéis,
hijos míos.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para los pobres moribundos...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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7 octobre 1995
Notre Seigneur : Ma fille, me voici
devant toi, Moi le Christ Rédempteur, le Christ crucifié.
Comment les hommes peuvent-ils dire que le Christ ne souffre pas pour l’humanité
! Me voici devant toi, ma fille, me voici déchiré par les
péchés des hommes. Les hommes sont ingrats, ma fille, et
peu compatissent à la douleur de mon pauvre Cœur. Je viens les avertir,
ma fille, et J’envoie ma Mère comme messagère pour qu’Elle
les avertisse. Or Je ne reçois en retour, ma fille, qu’ingratitudes
et mépris. Comme ils sont peu nombreux ceux qui ont pitié
de mon pauvre Cœur, si affligé par l’humanité (Elle soupire).
Je continue ma Passion parce que les hommes, ingrats, malgré ma
mort, n’ont pas voulu venir à moi et accepter les lois de Dieu.
C’est pour cela qu’il manque quelque chose à ma Passion, parce que
Je n’ai pas pu racheter dans ma Passion toute l’humanité. Ce n’est
pas, mes enfants, que Je n’aie pas voulu les racheter, parce que Je suis
descendu sur la terre pour racheter les hommes. Mais ce sont les hommes
qui ne veulent pas être rachetés avec mon Sang.
Comment les hommes peuvent-ils mutiler
mon Evangile ! Beaucoup de mes pasteurs le mutilent ! L’Evangile se compose
d’un Christ plein de bonté, d’amour, de miséricorde, qui
pardonne les péchés. Mais il y a aussi dans mon Evangile
des paroles qui font frémir, d’un Christ Juge et sévère
pour ceux qui n’acceptent pas la volonté de mon Père. Ce
sont des paroles qui font frémir quand Je dis dans mon Evangile
: « Allez, maudits, au feu éternel qui a été
préparé pour Satan et ses partisans ! » Comme vous
enjolivez l’Evangile, mes enfants ! Ne prêchez pas l’Evangile selon
votre propre goût, mes enfants, prêchez mon Evangile tel qu’il
est. Il a été écrit ainsi pour le salut des hommes.
Comme vous pouvez le mutiler, mes enfants ! Malheur à vous qui vous
taisez, et qui enjolivez les paroles de l’Evangile ! Prêchez le Dieu
d’Amour et de Miséricorde, mais n’omettez pas le Dieu de Justice,
le Juge des vivants et des morts ! Comme vous cachez aux hommes le mot
de l’enfer, mes enfants ! Quelles tristes âmes… ! Et Moi,
pourtant, J’ai dit dans mon Evangile : « Malheur à celui qui
retranche ou ajoute quelque parole qui ne soit pas de Moi ! » Quand
viennent les paroles rudes, mes enfants, vous les enjolivez. Mes enfants,
l’homme peut se sauver par l’amour et par la crainte. Ne cachez pas à
l’homme ce que le Christ a mis en pleine lumière, et ce qu’il a
laissé dans l’Ecriture. Ce ne sont pas seulement des paroles de
l’Ancien Testament, ce sont des paroles du Nouveau Testament. Je suis venu
sur la terre pour parfaire l’Evangile et les lois, pour former une Eglise
(Amparo soupire) afin que tous les hommes s’en approchent et s’abreuvent
à ses canaux pour leur salut, et J’ai établi des lois et
des commandements (Amparo soupire). Celui qui observera les commandements
sera sauvé. Celui qui mettra en pratique mon Evangile viendra dans
le Royaume de Dieu ! (Amparo soupire de nouveau).
Comment pouvez-vous dire aux hommes
qu’ils sont déjà sauvés, mes enfants ? Ce qui les
sauve, c’est la grâce, l’amour, le chemin droit et sûr pour
aller au Christ. Soyez humbles, mes enfants, et n’ayez pas la volonté
de recomposer ce que le Christ a fait pour le salut des âmes et qui
lui a coûté tellement : l’Evangile tel qu’il est, mes enfants.
Il y a des parties douces et il y a des parties amères, comme la
mort, qui est douloureuse, et la Résurrection, qui est glorieuse.
Mais me voici, ma fille, le Christ vivant, déchiré, cloué,
couronné d’épines et les mains percées par les clous.
Qui me met dans cet état, ma fille, si ce n’est les péchés
des hommes (elle gémit et pleure longuement).
Participe avec moi, ma fille, à
l’agonie, au Golgotha, à ma passion. Pour Moi, il n’y a ni passé
ni futur, ma fille, tout est présent. Les hommes croient que tout
est passé. Pour Dieu, Je le répète (elle sanglote),
il n’y a ni passé ni futur, ma fille. Pour Dieu, il n’y a qu’un
présent. L’avenir des hommes est entre mes mains, mes enfants (elle
sanglote). Oui, ma fille, oui, mon Cœur est déchiré, tout
mon Corps a été déchiré par les péchés
des hommes, et non seulement il a été déchiré,
mais on continue à me déchirer, ma fille.
Malheur à mes âmes
consacrées, malheur à ces prêtres qui ne suivent pas
l’Evangile et qui le prêchent suivant leur fantaisie, et qui se moquent
de ceux qui le font (elle sanglote) comme Dieu veut qu’ils le fassent !
O vous, âmes fidèles, mes enfants, pasteurs fidèles
qui êtes à Moi et à mon Cœur, soyez courageux et prêchez
l’Evangile tel que le Christ vous l’a appris. N’omettez rien, mes enfants.
Comment mon Cœur ne serait-il pas
triste, en voyant la situation du monde : il y a de plus en plus de maux
dans le monde, et les hommes sont de plus en plus mauvais ! Ils prêchent
un Christ homme mais non un Christ Dieu. Ma divinité s’est unie
à l’humanité, et Elle s’est fait homme pour enseigner les
hommes, mais Je n’ai pas perdu la divinité. La divinité existait
déjà, mais Elle est descendue sur la terre et Elle s’est
engendrée dans les entrailles de Marie pour enseigner aux hommes
les vérités et le chemin droit et sûr. Et Je crie aux
hommes : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie.
Celui qui viendra à moi aura la vie éternelle ». Mais
combien viennent à moi, ma fille ! Ils sont si peu nombreux, et
leur vie est si peu abandonnée et si superficielle ! (elle soupire).
La Très Sainte Vierge : Ma
fille, regarde mon Fils ! J’ai été Corédemptrice avec
Lui, et je continue à être Corédemptrice avec le Christ,
parce que mon Cœur continue à souffrir pour les pauvres pécheurs.
Je ne viens que pour rappeler aux hommes l’Evangile qui est déjà
écrit. Qu’ils le prêchent et le pratiquent tel qu’il est,
ma fille, qu’ils ne le mutilent pas, qu’ils ne le coupent pas ! (Elle sanglote).
Ah, prêtres si aimés de mon Cœur et de celui de mon Fils,
ayez compassion de ces pauvres Cœurs qui vous aiment tant et que vous,
beaucoup d’entre vous, payez avec des ingratitudes et un manque d’amour.
Cherchez Dieu et ne vous écartez pas du chemin de la lumière,
mes enfants (elle sanglote). Pensez que la lumière éclaire,
mes enfants, et que les ténèbres rendent aveugles ! La parole
sans les œuvres n’a pas de valeur, mes enfants, mais les œuvres sans la
parole et sans la prière n’ont pas davantage de mérite devant
la Divine Majesté de Dieu.
Je t’ai appris, ma fille, que tu
devais voir Dieu dans les hommes, mais pas que tu considères les
hommes comme Dieu, parce que les hommes ne sont pas Dieu. Un jour, s’ils
sont capables d’accepter ma grâce, J’arriverai à intercéder
pour eux à la porte du Ciel, comme en ce moment Je prie mon Fils
pour tous les pécheurs, afin que Dieu en fasse des dieux. Aimez-vous
les uns les autres, mes enfants, comme mes fils que vous êtes. Je
vous demande d’avoir un peu de miséricorde pour nos Cœurs. Il y
a longtemps que mon Cœur Immaculé vient avertir les hommes, et les
hommes restent sourds et muets.
Amparo (d’une voix implorante et
entrecoupée de sanglots) : Jésus, Jésus, je veux t’aimer
pour ceux qui ne t’aiment pas. Je prierai pour tous les prêtres,
pour qu’ils soient fidèles. Je ne veux pas que tu souffres, et je
veux partager tes souffrances avec toi, Jésus…
Notre Seigneur : Oui , ma fille,
c’est pourquoi Je choisis des âmes victimes, pour aider les pauvres
pécheurs. (Pause prolongée, entrecoupée des sanglots
d’Amparo).
Amparo : Jésus, si les hommes
te voyaient ! On ne dirait pas que c’est toi !
Notre Seigneur : Ils ne m’ont pas
vu en ces temps-là, ma fille. Beaucoup se sont sauvés, car
si les hommes avaient été sauvés, il n’aurait pas
été nécessaire d’établir la planète
terre, pour que les hommes , par leurs sacrifices et leurs pénitences,
réparent leurs péchés. Je le répète
: Je suis un Dieu d’amour, de miséricorde et de douceur, mais Je
suis le Juge suprême. Que personne ne s’effraie de ces paroles :
ce sont des paroles écrites dans l’Evangile. Ne les omettez
pas, mes enfants, et si quelqu’un vous prêche le contraire, il est
anathème mes enfants. L’Evangile, il faut l’expliquer, depuis la
douleur jusqu’à la gloire.
La Très Sainte Vierge : Soyez
très humbles, mes enfants, et aimez beaucoup nos Cœurs. Je continuerai
à répandre des grâces pour les pauvres pécheurs.
Combien d’âmes se sont sauvées en ce lieu ! Et mes pasteurs
ne veulent pas l’accepter ! Mais, mes enfants, ne soyez pas orgueilleux
! Je me manifeste aux humbles, et Je leur communique mes paroles, mais
Je repousse les orgueilleux et les puissants.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant de péchés que l’on commet dans le monde.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour les pauvres pécheurs.
Aimez-vous, mes enfants, et aimez
Dieu de tout votre cœur. Aimez l’Eglise, mes enfants, aimez le Saint Père
et les représentants de l’Eglise.
Tous les objets ont été
bénis, avec des bénédictions spéciales pour
le salut des âmes.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 7 DE OCTUBRE
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía,
aquí tienes, hija mía, al Cristo Redentor, al Cristo crucificado.
¿Cómo los hombres pueden decir que Cristo no sufre por la
Humanidad? Aquí me tienes, hija mía. Aquí estoy desgarrado
por los pecados de los hombres. Los hombres son ingratos, hija mía,
y pocos se compadecen de mi pobre Corazón. Yo vengo, hija mía,
a advertirles y pongo a mi Madre por mensajera para que los advierta; y
a cambio de eso recibo ingratitudes y desprecios, hija mía. ¡Qué
pocos se compadecen de mi pobre Corazón, tan afligido por la Humanidad!
Yo sigo mi Pasión porque los hombres ingratos, con mi muerte, no
quisieron llegar a mí y aceptar las leyes de Dios; por eso falta
en mi Pasión, porque en mi Pasión no pude redimir a toda
la Humanidad. No, hijos míos, porque yo no quisiese redimirlos,
porque yo bajé a la Tierra para redimir a los hombres, sino los
hombres son los que no quieren ser redimidos con mi Sangre.
¡Cómo
los hombres pueden mutilar mi Evangelio!; muchos de mis pastores lo mutilan.
Y el Evangelio se compone de un Cristo bondadoso, amoroso, misericordioso,
que perdona los pecados; pero también hay palabras escalofriantes
en mi Evangelio de un Cristo juez y severo, para los que no aceptan la
voluntad de mi Padre. Son palabras escalofriantes cuando en mi Evangelio
digo: “Id, malditos, al fuego eterno, que está preparado para Satanás
y sus secuaces”. ¡Cómo adornáis el Evangelio, hijos
míos! No prediquéis el Evangelio que a vosotros os gusta,
hijos míos, predicad mi Evangelio tal como es; así fue escrito
para la salvación de los hombres. ¿Cómo lo podéis
mutilar, hijos míos? ¡Ay de aquéllos que os calláis
y adornáis las palabras del Evangelio! Predicad al Dios–Amor y misericordioso,
pero no os comáis al Dios de justicia, al Juez de vivos y muertos.
¡Cómo escondéis a los hombres la palabra del Infierno,
hijos míos! ¡Qué pena de almas!..., que yo tengo dicho
en mi Evangelio que ¡ay del que quite o añada alguna palabra
que no sea la mía! Cuando vienen las palabras crudas, hijos míos,
las adornáis. El hombre se puede salvar por el amor y por el temor,
hijos míos. No escondáis al hombre lo que Cristo dejó
a la luz y lo dejó escrito; no son palabras sólo del Antiguo
Testamento, son palabras del Nuevo Testamento. Yo vine a perfeccionar el
Evangelio, las leyes, a formar una Iglesia para que todos los hombres se
acercasen a beber de esos canales para su salvación, y puse unas
leyes, unos mandamientos. El que cumpla con los mandamientos se salvará;
el que practique mi Evangelio vendrá al Reino de Dios.
¿Cómo
a los hombres podéis decirles que ya están salvados, hijos
míos, si les salva la gracia, el amor, el camino recto y seguro
para ir a Cristo? Sed humildes, hijos míos, y no queráis
recomponer lo que a Cristo le costó tanto para la salvación
de los hombres: el Evangelio, tal como es, hijos míos; hay partes
dulces y hay partes amargas; así, es la muerte dolorosa y la resurrección
es gloriosa. Pero aquí me tienes, hija mía, al Cristo viviente,
desgarrado, clavado, coronado y agujereadas sus manos por los clavos. ¿Quién
me pone así, hija mía, si no son los pecados de los hombres?...
(Llanto de Luz Amparo).
Participa
conmigo, hija mía, en la agonía, en el Gólgota, en
mi Pasión. Para mí no hay pasado ni futuro, hija mía,
todo es presente; por eso los hombres creen que todo pasó. Para
Dios no hay pasado, repito, hijos míos, ni hay futuro. Para Dios
hay un presente. El futuro de los hombres está en mis manos, hijos
míos. Sí, hija mía, sí, desgarrado mi Corazón.
Todo mi cuerpo fue desgarrado por los pecados de los hombres y no sólo
fue desgarrado, sino que siguen desgarrándome, hija mía.
¡Ay
de mis almas consagradas! ¡Ay de aquellos sacerdotes que no siguen
el Evangelio y lo predican a su antojo y se ríen de aquéllos
que lo hacen como Dios quiere que lo hagan! Esas almas fieles, hijos míos,
pastores fieles míos de mi Corazón: ¡sed valientes
y predicad el Evangelio tal como Cristo os lo enseñó! ¡No
os comáis nada, hijos míos! ¡Cómo no va a estar
triste mi Corazón viendo la situación del mundo, si en el
mundo cada día hay más males y los hombres cada día
son peor! Predican un Cristo-hombre pero no un Cristo-Dios. Mi divinidad
se juntó con la humanidad y se hizo hombre para enseñar a
los hombres, pero yo no perdí la divinidad. La divinidad estaba
“creada”(1), pero bajó a la Tierra y se engendró en las entrañas
de María para enseñar a los hombres las verdades y el camino
recto y seguro. Y yo grito a los hombres: “Yo soy el Camino, la Verdad
y la Vida; el que venga a mí tendrá vida eterna”. Pero ¿cuántos
vienen a mí, hija mía? ¡Son tan pocos y su vida es
tan poco entregada y es tan superficial!...
LA VIRGEN:
Hija mía,
mira a mi Hijo. Yo fui Corredentora con Él y sigo siendo Corredentora
con Cristo, porque sigue sufriendo mi Corazón por los pobres pecadores,
hija mía. Sólo vengo a recordar a los hombres el Evangelio
que ya está escrito; que lo prediquen y lo practiquen tal como está,
hija mía; que no lo mutilen, ni lo recorten. ¡Ay, sacerdotes
tan amados de mi Corazón y del de mi Hijo, tened compasión
de estos pobres Corazones que tanto os aman, y que vosotros, muchos de
ellos, pagáis con ingratitudes y con desamor! Buscad a Dios y no
os retiréis del camino de la luz, hijos míos. Pensad que
la luz alumbra, hijos míos, y la tiniebla ciega. La palabra sin
obras no sirve, hijos míos, pero las obras sin palabra y sin oración
tampoco tienen mérito ante la Divina Majestad de Dios.
Yo te enseñé,
hija mía, que tenías que ver a Dios en los hombres, pero
que no vieses a los hombres Dios, porque los hombres no son Dios. Un día,
si son capaces de aceptar mi gracia, llegaré a interceder por ellos
en la puerta del Cielo, como ahora pido a mi Hijo por todos los pecadores,
para que Dios los haga dioses.
Amaos los
unos a los otros, hijos míos; como mis hijos que sois, hijos míos,
os pido que tengáis un poco de misericordia de nuestros Corazones.
Hace muchos años que mi Inmaculado Corazón viene avisando
a los hombres y los hombres se quedan sordos y mudos.
LUZ AMPARO:
Jesús,
Jesús, yo quiero amarte por los que no te aman. Yo pediré
por todos los sacerdotes, para que sean fieles. Yo no quiero que sufras,
yo quiero compartir contigo, Jesús...
EL SEÑOR:
Sí,
hija mía, por eso escojo almas víctimas para ayudar a los
pobres pecadores.
LUZ AMPARO:
Jesús,
que los hombres te vieran, que no pareces ni Tú.
EL SEÑOR:
¿No
me vieron en aquellos tiempos, hija mía?, y muchos se salvaron y
otros se condenaron, hija mía. Si me volvieran a ver, pasaría
lo mismo, hija mía; por eso los hombres no pueden decir que todos
están salvados, porque si los hombres hubieran estado salvados,
no hubiera habido necesidad de poner el planeta Tierra para que los hombres,
con sus sacrificios y sus penitencias, repararan sus pecados. Repito: soy
un Dios de amor, de misericordia y de dulzura, pero soy el Juez Supremo;
que nadie se asuste por estas palabras, son palabras escritas en el Evangelio,
¡no las comáis, hijos míos! Y si alguien os predica
lo contrario es anatema, hijos míos. El Evangelio hay que explicarlo
desde el dolor hasta la gloria.
LA VIRGEN:
Sed muy
humildes, hijos míos, y amad mucho nuestros Corazones. Yo seguiré
derramando gracias para los pobres pecadores. ¡Cuántas almas
se han salvado en este lugar, y mis pastores no quieren aceptarlo! Pero,
¡hijos míos, no seáis soberbios! Yo me manifiesto a
los humildes y les comunico mis palabras, y rechazo a los orgullosos y
a los poderosos.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en el mundo...
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para los pobres pecadores. Amaos, hijos míos, y amad a Dios con
todo vuestro corazón. Amad a la Iglesia, hijos míos, amad
al Santo Padre y a los representantes de la Iglesia...
Todos los
objetos han sido bendecidos con bendiciones especiales para la salvación
de las almas.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
(1) En sentido figurado; es como
decir: “La divinidad ya estaba, existía”.
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4 novembre 1995
La Très Sainte Vierge : Ma
fille, Je vais répandre aujourd’hui beaucoup de grâces sur
tous ceux qui viendront en ce lieu. Les anges seront chargés de
marquer tous les fronts de leur Sceau.
Je veux, mes enfants, que vous me
sortiez en procession. Les homme ont oublié que ce lieu lui aussi
est sacré. Sortez-moi en procession pour que les hommes élèvent
leurs prières vers Dieu leur Créateur. Dieu aime que les
hommes prient de bon gré et que leurs prières sortent du
plus profond de leurs cœurs. Il aime qu’on lui adresse des demandes. L’Evangile
le dit bien : « Demandez et vous recevrez ». Demandez la pluie,
mes enfants, car l’homme aura beau vouloir se plonger dans les mystères
de Dieu, il ne pourra jamais les comprendre : Dieu envoie la pluie sur
la terre quand Il le veut, et Il fait pousser les plantes avec le soleil
et avec l’eau. Qui peut atteindre le soleil ? Qui peut envoyer l’eau sur
la terre ? C’est pourquoi Je vous demande, Je veux que vos prières
sortent du plus profond de votre cœur. Les hommes prient, mais d’une piètre
façon ; leur prière est très pauvre et ils demandent,
ils demandent, mais sans rien donner. Donnez un petit peu d’amour à
Dieu votre Créateur.
Notre Seigneur : Comme vous me fuyez,
mes enfants ! Je viens à votre recherche pour vous enseigner et
vous, vous vous cachez et vous faites la sourde oreille, mes enfants !
Ne vous cachez pas, mes enfants, Je viens vous enseigner la vérité
et vous rappeler que la vérité est écrite dans l’Evangile,
cet Evangile, Je le répète, que les hommes mutilent. Malheur
à vous, pasteurs qui mutilez l’Evangile, et qui n’enseignez pas
aux hommes les vérités qui s’y trouvent, toutes les vérités,
mes enfants ! Ne cachez pas à l’homme ce qui y est écrit.
Comme vous vous inventez un Evangile à votre goût, mes enfants
! Vous avez peur, souvent, de dire les vérités parce que
vous pourriez vous retrouver seuls dans le temple de Dieu. Ah, mes enfants,
si vous avez beaucoup de fidèles qui viennent à l’église
mais que vous ne leur expliquez pas les vérités et la doctrine
telle qu’elle est écrite, vous êtes de mauvais pasteurs, mes
enfants ! Beaucoup d’entre vous, vous êtes des fonctionnaires, vous
n’êtes pas des pasteurs du troupeau du Christ ; vous avez une fonction
dans le monde. Ah, âmes tant aimées de nos Cœurs, comment
ne choisissez-vous pas les bons fruits sur les bons arbres ? Cela vous
est égal que les bons se contaminent avec les mauvais pourvu que
votre église se remplisse même si les fidèles n’aiment
pas Dieu votre Créateur ? Malheur à vous, pasteurs, quand
vous vous présenterez devant la divine Majesté de Dieu !
Dieu vous a donné beaucoup de grâces et Il vous rendra grandement
responsables, vous qui ne respectez pas la parole de Dieu et qui n’êtes
pas courageux pour faire face…
Amparo : … Ah, mon Dieu, nous ne
changeons pas ! Ah , celui-ci non plus ne veut pas !… Ah, mon Dieu !…
Notre Seigneur : Quelle lâcheté
mes enfants ! Ceux qui ne sont pas contre Moi, sont avec Moi. Comment vous
opposez-vous à eux ? Vous aimez seulement prendre avec vous ces
pharisiens qui crient beaucoup mais qui agissent peu. Ah, mes enfants,
enseignez la doctrine comme le Christ vous l’a enseignée et vous
l’a laissée par écrit !
Mes enfants, quel beau surnom ils
vous ont donné, celui de « los Virginianos » ! Quelle
beauté, mes enfants, « Virginiens », à cause
de Marie, à cause de la Vierge, la Mère de tous les hommes
!
Ah, ces prêtres qui ne choisissent
pas les bons fruits sur le bon arbre ! Alors que Moi Je ne viens que pour
vous rappeler de prêcher l’Evangile comme il est, pourquoi avez-vous
peur de le prêcher tel qu’il est ? Ne trompez pas les hommes, mes
enfants, apprenez-leur à s’aimer, mais apprenez-leur aussi à
prier et enseignez-leur le sacrifice et la pénitence. Pourquoi suis-Je
venu dans le monde ? Ne suis-Je pas venu me sacrifier pour les hommes ?
Comment pouvez-vous cacher le sacrifice ? Mes enfants, Je vous le répète,
vous ne parlez que du Dieu-Amour, mais vous n’enseignez pas aux hommes
le Juge Suprême des vivants et des morts. Mes enfants, et vous qui
êtes fidèles à ma doctrine, ne vous laissez intimider
par rien, n’ayez pas honte de votre habit ; soyez forts, mes enfants, et
donnez l’exemple à ceux qui ne font pas ce qu’il faut.
Je demande aux hommes d’aimer un
peu nos Cœurs, et Je viens leur enseigner les vérités, leur
apprendre à aimer. Mes enfants, ne soyez pas des arbres stériles,
mais des arbres féconds : là où vous vous trouverez,
donnez du bon fruit, mes enfants. Je viens enseigner l’amour, la miséricorde
envers les nécessiteux, mais les hommes vivent parmi les hommes
sans se connaître et sans s’aimer, sans se préoccuper du déshérité
ni de celui qui souffre. Mes enfants, ayez pitié de ceux qui vous
tendent la main.
Regarde mon Cœur, ma fille.
Amparo : Quel amour sort de ce Cœur
! Oh, mon Dieu, quelles flambées d’amour… !
Notre Seigneur : Ma fille , avec
un petit peu de cet amour que Je donne aux hommes, si les hommes étaient
capables de me donner un petit peu d’amour et de me consoler… Mais que
reçois-Je, ma fille ? Ingratitudes, mépris, persécution…
Or Je serais capable d’embraser l’humanité avec un petit peu de
cet amour qui sort de mon Cœur, ma fille. Je donne cet amour aux hommes,
mais les hommes n’ouvrent pas leur cœur pour y laisser pénétrer
la grâce. Mes enfants, quel immense amour J’éprouve pour les
hommes et comme J’en reçois peu en retour !
Amparo : Ah ! Seigneur ! Ah, quel
Cœur ! Ah, quel Cœur de feu !… Tu es le feu qui embrase l’humanité…
Si l’humanité se laissait embraser par ce feu… Ah, quelle grandeur,
mon Dieu !… Ah, quel Cœur, mon Dieu !… Ah, comme il brûle et comme
il embrase !
Notre Seigneur
: Ainsi est l’amour de Dieu, ma fille, il embrase les hommes, mais les
hommes sont, pour la plupart, des blocs de glace qui ne laissent pas fondre
la glace qu’ils portent dans leur cœur avec ce volcan de feu que J’ai à
l’intérieur de mon Cœur. Mes enfants, combien de grâces vous
avez reçues en ce lieu et combien parmi vous les ont repoussées,
mes enfants.
Regarde, ma fille, tu vas voir une
scène très douloureuse… (Luz Amparo soupire profondément)…
Tu vois ces cinq jeunes filles ?
Amparo
: Ah oui ! Un jour j’ai eu une conversation avec elles.
Notre Seigneur
: Quatre d’entre elles sont mortes dans un accident, ma fille ; elles repoussaient
tes paroles, elles disaient que l’enfer n’existait pas. Elles vont te parler
elles-mêmes, ma fille.
Une âme
damnée : Nous sommes ici non pas par notre propre volonté,
mais par la volonté de Dieu. Sinon, nous, par notre propre volonté,
nous ne ferions rien d’autre que maudire, mais c’est Dieu qui veut que
je vienne vous dire que nous sommes damnées. Moi qui disais que
personne n’était revenu pour nous dire qu’il y avait un enfer, que
personne ne me l’avait dit, moi qui n’y croyais pas et qui m’en moquais
avec mes compagnes ! Je ne croyais pas à l’existence de l’enfer
et je me suis moquée de tout, de l’Eglise, de ses membres, des paroles
que tu m’adressais. Souviens-toi que je t’ai dit : « Moi je n’ai
pas encore vu cet enfer, ils devraient venir, afin que je le vois de mes
propres yeux pour croire en lui ! » Eh bien, me voici pour te crier
: Je suis en Enfer ! Je m’y suis laissée entraîner par les
plaisirs, par mes caprices…
Amparo
: … Ah, mon Dieu !
L’âme
damnée : Et je suis ici en train de souffrir. Si ce n’était
pas parce que Dieu a voulu vous affirmer son existence… Il y a une barrière
entre la terre et les Enfers. Moi j’ai repoussé Dieu, j’ai renoncé
à Dieu, de même que mes compagnes. L’une d’entre elles n’est
pas ici, mais nous, nous y sommes pour toute l’éternité,
en train de maudire et de nous maudire les unes les autres. J’ai entendu
beaucoup de pasteurs dire que l’enfer n’existait pas, mais je ne croyais
pas plus à la miséricorde de Dieu qu’à l’existence
de l’enfer. J’ai vécu ma vie avec mes compagnes. J’ai vécu
dans les plaisirs. J’ai vécu entourée de confort. Je voulais
tout obtenir. J’éprouvais des désirs ardents de vivre, de
plaisir. Maudite l’heure où je n’ai pas cru à l’Evangile
ni aux paroles de Dieu ! Je prononce ces mots parce que Dieu m’oblige à
les prononcer, sinon, je vous dis que mon seul désir serait de vous
entraîner avec moi… avec nous…
Amparo
: Ah, ah, comme ils les entraînent, les uns les autres !
L’âme
damnée : Tel est le désir des damnés : entraîner
des âmes. Le démon présente toutes choses sous le plus
bel aspect comme il nous les a présentées à nous,
et nous sommes tombées dans son piège ; et notre orgueil,
notre luxure…
Amparo : Ah ! Ah, mon Dieu ! Ah,
mon Dieu ! si jeunes !
Notre Seigneur : Il n’y a ni jeunesse
ni vieillesse qui tienne, ma fille. L’homme ne respecte pas Dieu.
Amparo : Ah, quelle tristesse, pour
tous ceux qui iront dans ce lieu, mon Dieu ! Ah, je vous le disais, que
vous deviez croire en Dieu ! Hélas, et vous vous moquiez de mes
paroles !
L’âme
damnée : Mais n’aie pas pitié de nous, parce que nous
continuerons à vous maudire, et plus nous aurons entendu de paroles
de vous, plus nous vous maudirons et plus nous nous maudirons les uns les
autres ! Sachez que je ne suis pas ici par ma volonté, mais que
j’y suis par la volonté de Dieu pour vous crier : « Je suis
en enfer, nous sommes en enfer ! » Ne priez pas pour nous, nous ne
voulons pas d’oraisons ni de prières, nos lèvres ne prononceront
que malédiction.
Amparo
: Ah, quelle tristesse, mon Dieu, ah, mon Dieu, ah, mon Dieu ! Ne permets
pas mon Dieu, que les âmes se damnent, Seigneur…, Seigneur…
Notre Seigneur
: Ces âmes, ma fille, se damnent par leur propre liberté.
Ce n’est pas Moi qui les damne, ma fille. Regarde cette autre âme,
elle était aussi parmi elles. Elle est restée en vie pendant
une heure, et pendant cette dernière heure de vie elle s’est tournée
vers Dieu, elle s’est souvenue de l’enfer et elle s’est souvenue de la
miséricorde de Dieu ; elle a demandé pardon à Dieu
pour ses péchés, et elle demandait les grâces que Dieu
a laissées aux hommes sur la terre pour leur salut. Regarde, ma
fille, elle se trouve en un lieu d’où elle sortira bientôt,
avec vos prières et vos sacrifices. Regarde où elle est,
ma fille.
Amparo
: Ah, là aussi elle est en train de souffrir !
Une âme du purgatoire : Oui,
je suis en train de souffrir, mais, merci, merci, je me suis souvenue des
derniers mots!… Et j’attends ici que Dieu me purifie de tous mes péchés,
mais j’ai voulu recevoir cette grâce et demander pardon à
Dieu pour tous mes péchés. Moi qui avais si mal vécu,
en pensant aux plaisirs du monde, en oubliant Dieu, à la dernière
heure Dieu a eu pitié de mon âme, parce que j’ai senti cette
lumière divine, je me suis souvenue de l’enfer, j’ai demandé
pardon à Dieu pour tous mes péchés, et Dieu me les
a pardonnés. Mais je dois me purifier de ces péchés.
J’ai vu le visage de Marie. Merci ! Priez pour moi et priez pour nous tous
qui sommes ici. Je ne vous demande que des prières. Je dois expier
mes fautes. Dieu est juste et miséricordieux. Je vous supplie de
prier, de prier… Et, merci !
Notre Seigneur
: Tu vois, ma fille, comment les âmes… celle qui ouvre ses lèvres
pour invoquer mon Nom reçoit la grâce et le salut éternel
? Je suis venu répandre mon sang pour toute l’humanité, pour
le salut des hommes, mais beaucoup d’entre eux le foulent aux pieds, me
repoussent et me méprisent. Mais pour ceux qui ouvrent leurs lèvres
et qui éprouvent un petit peu d’amour dans leur cœur, mon Cœur s’enflamme
pour eux, pour les sauver. C’est ainsi que je suis à la fois miséricordieux
et Juge. Et Je veux que l’on parle à la fois de ma miséricorde
et de ma justice.
Mes prêtres, mes saints prêtres,
vous qui suivez l’Evangile, et vous qui êtes persécutés
par ceux qui jettent la confusion dans ma doctrine, soyez courageux, vous
avez une mission très importante sur la terre. Pasteurs d’âmes,
enseignez comme pasteurs, car la bonne pâture est dans l’Eglise et
les hommes se sauvent s’ils veulent recourir à Elle. Celui qui mange
mon Corps et qui boit mon Sang aura la vie éternelle, mais beaucoup
parmi vous mangez mon Corps et buvez mon Sang d’une façon sacrilège
; vous recevrez la damnation éternelle.
La Très Sainte Vierge : Aimez
nos Cœurs et nos Cœurs vous enflammeront ; mes enfants, laissez-vous enflammer
par notre amour. Je suis la Mère des pécheurs et Je veux
vous sauver tous. Venez en ce lieu et vous recevrez beaucoup de grâces,
mes enfants, aimez-vous les uns les autres comme le Christ vous a aimés,
car Il a donné sa vie pour vous, mes enfants. Mon Cœur Immaculé
régnera sur toute l’humanité. Venez à Moi, et Moi
Je vous conduirai à mon Fils, mes enfants. Aimez beaucoup l’Eglise.
Aimez le Saint Père. Aimez tous les membres de l’Eglise et priez
pour eux, priez pour ceux qui ont dévié, pour ceux qui sont
plus des salariés que des pasteurs, afin qu’ils retournent au troupeau
et qu’ils n’abandonnent pas les brebis. Les brebis doivent toujours avoir
un pasteur pour les conduire manger là où il y a de bonnes
pâtures. Mes enfants, consacrez-vous à votre ministère
et ne jetez pas la confusion dans les âmes. Si vous suivez un autre
chemin que celui de l’Evangile, ne trompez pas les âmes et quittez
ce chemin pour ne pas nuire au troupeau. Le pasteur doit se consacrer à
son troupeau.
Priez, mes enfants, pour que les
hommes changent. Il n’y a pas de paix dans le monde parce que Dieu n’y
est pas. Ah ! âmes si aimées de nos Cœurs ! Ne soyez pas ingrates
et retournez au chemin du Christ pour prêcher l’Evangile tout entier,
sans le mutiler ; ainsi vous aiderez davantage les âmes. Ne croyez
pas, mes enfants, que si vos églises sont pleines, c’est mieux pour
vous, il faut plutôt voir le fruit de ceux qui vont à l’église.
Pécheurs, je vous le demande
à tous, aussi graves que soient vos péchés, Dieu est
toujours disposé à les pardonner, mes enfants. Venez à
Lui. Fréquentez le Sacrement, faites des visites au Saint Sacrement.
Comme le Christ est triste dans le tabernacle en voyant que les hommes
le méprisent et le repoussent ! Je vais à votre recherche,
mes enfants, et c’est vous qui devriez venir à ma recherche. Mais
comme J’ai aussi une grande miséricorde, Je veux l’épuiser
pour vous sauver. Soyez humbles, mes enfants, priez, détachez-vous
des choses matérielles avant que votre cœur ne cesse de battre.
Mourez auparavant aux choses auxquelles vous êtes attachés
et qui sont un obstacle pour arriver jusqu’à Moi. Je répandrai
beaucoup de grâces sur vous tous, mes enfants. Prière, prière,
et des œuvres d’amour et de miséricorde, c’est ce que je vous demande.
Consacrez-vous tous à mes œuvres.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales.
Tous ces lieux et tous ces objets seront aussi bénis.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 4 DE NOVIEMBRE
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía,
hoy voy a derramar muchas gracias sobre todos los que acudan a este lugar.
Los ángeles serán encargados de sellar todas las frentes.
Quiero,
hijos míos, que me saquéis en procesión. Los hombres
han olvidado que este lugar también es sagrado. Sacadme en procesión,
para que los hombres eleven sus plegarias a Dios su Creador. A Dios le
gusta que los hombres oren de buena voluntad y que sus oraciones salgan
de lo más profundo de sus corazones; le gusta que le pidan; ya lo
dice el Evangelio: “Pedid y recibiréis”. Pedid la lluvia, hijos
míos, pues el hombre, por mucho que quiera meterse en los misterios
de Dios, nunca podrá alcanzarlos, porque Dios manda la lluvia a
la Tierra cuando quiere y hace crecer las plantas con el sol y el agua.
¿Quién puede llegar al Sol, ni mandar el agua a la Tierra?;
por eso os pido que quiero que vuestras oraciones salgan de lo más
profundo de vuestro corazón. Los hombres oran, pero muy pobremente;
su oración es muy pobre y, a veces, piden, piden pero no dan. Dad
un poquito de amor a Dios, vuestro Creador.
EL SEÑOR:
¡Cómo
huís de mí, hijos míos, y yo voy tras de vosotros
para enseñaros mi doctrina, y vosotros os escondéis y os
hacéis los sordos, hijos míos! No os escondáis, hijos
míos, si yo vengo a enseñaros la verdad y a recordaros que
la verdad está escrita en el Evangelio y, repito, que los hombres
lo mutilan. ¡Ay, pastores que mutiláis el Evangelio, y no
enseñáis a los hombres las verdades que hay en él,
todas las verdades, hijos míos! No ocultéis al hombre lo
que está escrito. ¡Cómo os inventáis un evangelio
a vuestro gusto, hijos míos! Os da miedo, muchas veces, de decir
las verdades porque os podéis quedar solos en el templo de Dios.
¡Ay, hijos míos, si tenéis muchos que acuden al templo
pero no les explicáis las verdades y la doctrina tal como está
escrita, malos pastores sois, hijos míos!; muchos sois funcionarios,
no sois pastores del rebaño de Cristo; funcionáis en el mundo.
¡Ay, almas tan queridas por nuestros Corazones!, ¿cómo
no escogéis los buenos frutos de donde salen los frutos, que os
da lo mismo que se contagien los buenos y los malos, con tal de que vuestro
templo se llene, aunque no amen a Dios, vuestro Creador? ¡Ay, pastores
cuando os presentéis ante la Divina Majestad de Dios! Dios os ha
dado muchas gracias y os va a pedir mucha responsabilidad a aquéllos
que no cumplís la palabra de Dios y no sois valientes para enfrentar
a... (palabra ininteligible).
LUZ AMPARO:
¡Ay,
Dios mío, estamos igual! ¡Ay, éste tampoco nos quiere!
¡Ay..., ay..., Dios mío...!
EL SEÑOR:
¡Qué
cobardía, hijos míos! Los que no van contra mí, están
conmigo. ¿Cómo vosotros vais contra ellos? Sólo os
gusta coger a aquellos fariseos que gritan mucho pero obran poco. ¡Ay,
hijos míos, enseñad la doctrina como Cristo os la enseñó
y os la dejó escrita!
Hijos míos,
¡qué apodo os han puesto más hermoso, el apodo de “los
virginianos”! ¡Qué hermosura, hijos míos, virginianos
por María, por la Virgen, Madre de todos los hombres!
¡Ay,
aquellos sacerdotes que no escogéis del árbol bueno los frutos
buenos! Si yo sólo vengo a recordaros que prediquéis el Evangelio
como es, ¿por qué tenéis miedo a predicarlo tal como
es? No engañéis a los hombres, hijos míos; enseñadles
a amarse, pero enseñarles a orar y enseñarles el sacrificio
y la penitencia; o ¿a qué vine yo al mundo?, ¿no vine
a sacrificarme por los hombres?; ¿cómo ocultáis el
sacrificio? Hijos míos, os repito: sólo os quedáis
con el Dios-Amor; pero a los hombres no enseñáis el Juez
Supremo de vivos y muertos. Hijos míos..., y aquéllos que
sois fieles a mi doctrina, no os acobardéis por nada ni os avergoncéis
de vuestra vestidura; sed fuertes, hijos míos, y dad ejemplo a los
que no lo hacen.
Yo pido
a los hombres que amen un poco a nuestros Corazones, y vengo a enseñarles
las verdades, a enseñarles a amar. Hijos míos, no seáis
árboles estériles, sed árboles fértiles; allí
donde estéis dad buen fruto, hijos míos. Yo vengo a enseñar
el amor, la misericordia hacia los necesitados, pero los hombres viven
entre los hombres sin conocerse y sin amarse, sin preocuparse del desvalido
ni del que sufre. Hijos míos, tened misericordia de aquéllos
que os extienden la mano.
Mira mi
Corazón, hija mía.
LUZ AMPARO:
¡Qué
amor sale de ese Corazón! ¡Oy, Dios mío, qué
llamaradas de amor!
EL SEÑOR:
Hija mía,
con un poquito de este amor que yo doy a los hombres, si los hombres fuesen
capaces de darme un poquito de amor y consolarme... Pero, ¿qué
recibo, hija mía?: ingratitudes, desprecios, persecución;
pero sería capaz de abrasar a la Humanidad con un poquito de este
amor que sale de mi Corazón, hija mía. Yo, hija mía,
doy este amor a los hombres, pero los hombres no abren su corazón
para que penetre la gracia dentro de él. Hijos míos, ¡qué
amor tan inmenso tengo a los hombres y qué poco amor recibo de ellos!
LUZ AMPARO:
¡Ay,
Señor!, ¡ay, qué Corazón!, ¡ay, de fuego!...
Eres el fuego que abrasa a la Humanidad. Si la Humanidad se dejase abrasar
por ese fuego... ¡Ay, qué grandeza, Dios mío!... ¡Ay,
qué Corazón, Dios mío!... ¡Ay..., que quema
y abrasa! ¡Ay!
EL SEÑOR:
Así
es el amor de Dios, hija mía, que abrasa a los hombres, pero los
hombres, la mayoría, son bloques de hielo que no dejan derretir
el hielo que llevan en su corazón con este volcán de fuego
que tengo yo dentro del mío. Hijos míos, cuántas gracias
habéis recibido en este lugar y cuántos las habéis
rechazado, hijos míos.
Mira, hija
mía, vas a ver una escena muy dolorosa... ¿Ves estas cinco
jóvenes, hija mía?
LUZ AMPARO:
¡Ay,
sí!, estuve hablando con ellas.
EL SEÑOR:
Cuatro de
ellas perecieron en un accidente, hija mía; rechazaban tus palabras,
decían que no existía el Infierno. Ellas mismas te van a
hablar, hija mía.
ALMA CONDENADA:
Estamos
aquí no por nuestra voluntad(1), sino por la voluntad de Dios. Si
no, nosotros por nuestra voluntad no haríamos nada más que
maldecir, pero Dios es el que quiere que venga a deciros que estamos condenadas.
¡Yo, que decía que nadie había venido a decir que había
Infierno, que nadie me lo había dicho, que no lo creía y
me reía junto con mis compañeras!; no creía en la
existencia del Infierno y me reí de todo, de la Iglesia, de los
componentes de la Iglesia, de las palabras que tú me decías;
acuérdate que te dije: “Yo todavía no he visto ese Infierno,
tendrían que venir y verlo yo con mis propios ojos para creer en
él”; pues aquí estoy gritando: ¡estoy en el Infierno!
Me dejé llevar por los placeres, por mis gustos...
LUZ AMPARO:
¡Ay,
Dios mío!
ALMA CONDENADA:
Y aquí
estoy sufriendo. Si no fuera porque Dios ha querido mandarme a decir la
existencia de Él(2)... hay una barrera entre la Tierra y los Infiernos.
Yo rechacé a Dios, renuncié a Dios, igual que mis compañeras.
Una de ellas no está aquí, pero nosotros estamos aquí
para toda la eternidad, maldiciéndonos y maldiciendo. Yo oí
a muchos pastores que el Infierno no existía, pero ni creía
en la misericordia de Dios ni en la existencia del Infierno. Yo viví
mi vida junto con mis compañeras; viví los placeres; viví
rodeada de comodidades; todo lo quería alcanzar. Tenía ansias
de vivir, del placer. ¡Maldita hora que no creí en el Evangelio
ni en las palabras de Dios! Digo estas palabras porque Dios me hace decirlas,
si no, os digo que sólo desearía arrastraros conmi... noso...
LUZ AMPARO:
(Con espanto).
¡Ay! ¡Ay, cómo los arrastran, unos a otros!
ALMA CONDENADA:
Éste
es el deseo de los condenados: arrastrar almas... El demonio lo muestra
todo bello, como nos lo mostró a nosotros, y caímos en su
trampa; y nuestra soberbia, nuestra lujuria...
LUZ AMPARO:
¡Ay,
ay, Dios mío! ¡Ay, Dios mío, tan jóvenes!
EL SEÑOR:
Ni juventud,
ni vejez, hija mía. El hombre no respeta a Dios.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
qué tristeza todo el que llegue a ese lugar, Dios mío! ¡Ay,
os lo decía, que creyerais en Dios!; ¡ay, y os reíais
de mis palabras!
ALMA CONDENADA:
¡Pero
no tengas compasión de nosotros, porque seguiremos maldiciéndoos,
y cuántas más palabras hayamos oído de vosotros, más
os maldeciremos y nos maldeciremos unos a otros! Que sepáis que
no estoy aquí por mi voluntad, que estoy aquí por la voluntad
de Dios para gritaros: “¡Estoy en el Infierno, estamos en el Infierno!”.
No oréis por nosotros, no queremos oraciones ni plegarias, sólo
nuestros labios pronunciarán maldición.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
qué tristeza, Dios mío! ¡Ay, Dios mío! ¡Ay,
Dios mío! No permitas, Dios mío, que se condenen las almas,
Señor... ¡Ay, Señor...!
EL SEÑOR:
Ellas, hija
mía, con su libertad se condenan. Yo no las condeno, hija mía.
Mira esta otra, también estaba entre ellas. Quedó con una
hora de vida y, en esa hora de vida, acudió a Dios y recordó
el Infierno, y recordó la misericordia de Dios y pidió perdón
a Dios de sus pecados, y pedía las gracias que Dios dejó
a los hombres para la salvación en la Tierra; y mira, hija mía,
está en un lugar donde pronto, con vuestras oraciones y sacrificios,
saldrá de él. Mira dónde está, hija mía.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
ahí también está sufriendo!
ALMA DEL
PURGATORIO:
Sí,
estoy sufriendo, pero ¡gracias, gracias que me acordé de las
últimas palabras!... Y aquí estoy esperando que Dios purifique
todos mis pecados, pero yo quise recibir esa gracia y pedir perdón
a Dios de todos ellos. Yo, que había vivido tan mal, pensando en
los placeres del mundo, olvidándome de Dios, en la última
hora, Dios se apiadó de mi alma, porque yo sentí esa luz
divina y me acordé del Infierno y pedí perdón a Dios
de todos mis pecados, y Dios me los perdonó; pero tengo que purificarlos.
Pero he visto el rostro de María. ¡Gracias! Orad por mí
y orad por todos los que estamos aquí. Sólo os pido oraciones.
Yo tengo que pagar mis culpas; Dios es justo y misericordioso. Os suplico
oraciones, oraciones... Y ¡gracias!
EL SEÑOR:
¿Ves,
hija mía, cómo las almas... la que abre sus labios para invocar
mi Nombre recibe la gracia y la salvación eterna? Yo vine a derramar
mi Sangre por toda la Humanidad para la salvación de los hombres,
pero muchos de los hombres la pisotean y me rechazan y me desprecian; pero
aquéllos que abren sus labios y siento un poquito de amor en su
corazón, mi Corazón se derrite por ellos para salvarlos.
Por eso, soy misericordioso y soy juez. Y quiero que se hable de mi misericordia
y de mi justicia.
Sacerdotes
míos santos, los que seguís mi Evangelio y los que sois perseguidos
por los que confunden mi doctrina: sed valientes; tenéis una misión
muy importante en la Tierra, pastores de almas. Enseñad, como pastor,
que el pasto está en la Iglesia y que los hombres se salvan si quieren
acudir a ella. El que come mi Cuerpo y bebe mi Sangre tendrá vida
eterna, pero hay muchos de vosotros que coméis mi Cuerpo y bebéis
mi Sangre sacrílegamente; recibiréis condenación eterna.
LA VIRGEN:
Amad a nuestros
Corazones y nuestros Corazones os inflamarán, pero dejaos, hijos
míos, inflamar por nuestro amor; yo soy Madre de los pecadores y
quiero salvaros a todos. Acudid a este lugar, que recibiréis muchas
gracias, hijos míos, y amaos unos a otros como Cristo os amó,
que dio su vida por vosotros, hijos míos. Mi Corazón Inmaculado
reinará en toda la Humanidad. Acudid a mí, que yo os llevaré
a mi Hijo, hijos míos. Amad mucho a la Iglesia. Amad al Santo Padre.
Amad y pedid por los que la componen y por aquéllos que se han desviado
y más que pastores son asalariados, para que vuelvan al rebaño
y no dejen a las ovejas. Las ovejas siempre tienen que tener un pastor
para guiarlas a comer donde haya buenos pastos. Hijos míos, dedicaos
a vuestro ministerio y no confundáis a las almas. Si no seguís
el camino del Evangelio, no confundáis a las almas y salíos
de ese camino para no dañar el rebaño. El pastor tiene que
dedicarse a su rebaño.
Pedid, hijos
míos, para que los hombres cambien, pues en el mundo no hay paz,
porque Dios no está en él. ¡Ay, almas que tanto aman
nuestros Corazones!, no seáis ingratos y volved al camino de Cristo
para predicar el Evangelio entero, sin mutilar; así ayudaréis
más a las almas. No creáis, hijos míos, que porque
tengáis los templos llenos es mejor para vosotros, sino hay que
ver el fruto de los que van al templo.
Pecadores,
a todos os pido que por muy graves que sean vuestros pecados, Dios siempre
está dispuesto a perdonarlos, hijos míos. Acudid a Él.
Frecuentad el Sacramento y haced visitas al Santísimo. ¡Qué
triste está Cristo en el sagrario viendo que los hombres le desprecian,
le rechazan! Yo voy detrás de vosotros, hijos míos, y sois
vosotros los que tenéis que venir detrás de mí; pero
como también tengo una gran misericordia, quiero agotarla para salvaros.
Sed humildes, hijos míos, y orad y desprendeos de las cosas materiales
(3) antes de que vuestro corazón deje de latir; estad muertos antes
a las cosas que os apeguen y que sean obstáculo para llegar a mí.
Yo derramaré muchas gracias sobre todos vosotros, hijos míos.
Oración,
oración, hijos míos, y obras de amor y misericordia pido.
Entregaos todos a mis obras.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales.
También serán bendecidos todos estos lugares y todos estos
objetos.
Yo os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
(1) Es decir, “estamos aquí,
ante vosotros, manifestándonos, no por nuestra voluntad...”.
(2) Se pone con mayúscula
el pronombre “Él” por entenderse que se refiere a la existencia
de Dios.
(3) La frase en cursiva no se percibe
en la cinta de audio, quizás debido a algún fallo en la grabación;
sí está atestiguada por testigos presenciales y se incluye
en el texto que se transcribió en su momento.
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2 décembre
1995
La Très Sainte Vierge : Me
voici de nouveau, mes enfants, pour avertir les hommes du grand danger
qu’il y a dans l’humanité. Regarde, ma fille, s’il y a de la corruption
dans le monde ! Comme triomphent les sept péchés capitaux
! Regarde, ma fille, comme les hommes adorent… (Pause, Amparo gémit).
Regarde comme ils sont plongés dans le péché !
Amparo : Quelle horreur… Ah, mon
Dieu !
La Très Sainte Vierge : Comme
mon Cœur est offensé, ma fille ! Mon Cœur est rempli d’épines
à cause de l’ingratitude des pécheurs. (Amparo sanglote).
Amparo (la voix entrecoupée
de gémissements) : Ne pourrais-je en enlever aucune ?
La Très Sainte Vierge : Non,
ma fille, elles sont très profondes, parce que l’homme, aujourd’hui,
ne donne pas d’importance au péché, ma fille, et nos Cœurs
sont de plus en plus affligés. (Gémissements d’Amparo). Prie
beaucoup, ma fille, afin que tous ces pécheurs qui enfoncent les
épines dans notre Cœur changent de vie et se repentent, ma fille.
Tu ne peux en enlever qu’une… (Amparo sanglote et enlève une épine
du Cœur de la Vierge). Regarde quel trou profond tu as laissé dans
mon Cœur !… (elle sanglote). Ma fille, continue à prier pour eux.
Voilà pourquoi Je continue à donner des avertissements aux
hommes. Leurs péchés, ma fille, ont traversé la voûte
du ciel… Regarde, la voûte du ciel est traversée par le péché.
C’est pourquoi Je continue à donner des avertissements pour que
les hommes changent et qu’ils ne se laissent pas entraîner par les
mensonges de Satan, ma fille. Satan règne dans le monde. Si les
sept péchés capitaux marchent en triomphe, c’est parce que
les hommes se laissent entraîner par la ruse de l’ennemi.
Notre Seigneur : Moi, J’ai fondé
l’Eglise, mes enfants, et Je l’ai fondée pour qu’on proclame la
vérité qui s’y trouve. Voilà pourquoi Je demande qu’on
prêche l’Evangile tel qu’il est écrit. Approchez-vous de l’Eglise,
mes enfants ; c’est dans l’Eglise que se trouve votre salut, c’est là
qu’il y a des sources de grâces…
Amparo : Oh ! Combien de ces grâces
sortent du Cœur du Seigneur ! Oh ! Et elles tombent toutes sur les hommes
!
Notre Seigneur : Je l’ai fondée
pour que les hommes se réunissent en elle, s’abreuvent à
ses sources, et trouvent l’amour, la paix et la vérité. Quelques
pasteurs prêchent le contraire de la vérité, ils prêchent
un Evangile décapité. Mais, mes enfants, jusqu’à quand
dois-Je donner des avertissements à ces pasteurs qui ne vivent pas
l’Evangile ! Mes enfants, changez de vie et n’entraînez pas les âmes
sur le chemin de la perdition ! Dites la vérité de l’Eglise,
mes enfants. L’Eglise a été fondée par le Christ pour
que les hommes parlent du Christ. Parlez de ma Passion, de ma mort. Dites
que, Moi le Fils de Dieu, Je me suis anéanti et Je suis descendu
sur la terre pour sauver les hommes. Aussi Je viens vous rappeler que beaucoup
d’entre vous n’expliquent pas l’Evangile tel qu’il est.
Consacrez-vous aux âmes, mes
enfants, car les âmes ont besoin qu’on leur parle des vérités
qu’il y a dans l’Eglise, afin qu’elles viennent à ces sources et
y assouvissent leur soif. Mais, mes enfants, vous ne prêchez pas
la pénitence, la prière et le sacrifice ! Mes enfants, le
sacrement de la Pénitence est très important pour votre salut.
Malheur à vous, pasteurs
qui jetez la confusion dans les âmes ! Pasteurs qui vous rebellez
contre la vérité, qui n’êtes pas des imitateurs du
Christ et qui n’obéissez pas au représentant du Christ !
Malheur à vous, mes enfants ! Et qui êtes-vous, pour dire
à qui Dieu doit se manifester ? Je me manifeste aux humbles pour
confondre les orgueilleux et les puissants. Beaucoup d’entre vous, non
seulement vous n’entrez pas dans le Ciel, mais vous empêchez les
âmes d’y entrer ! Malheur à vous, mes enfants, qui filtrez
le moucheron et qui avalez le chameau ! Revenez à l’Evangile, mes
enfants, vous si aimés du Cœur du Christ, de ce Cœur dont l’amour
est si peu payé de retour ! Mes enfants, vivez dans la charité,
dans l’amour, dans la pauvreté, et ne trompez pas les hommes en
jetant la confusion dans les vérités qui se trouvent dans
l’Evangile !
Ah, mes enfants, vous restez au
niveau de l’humain et vous oubliez le divin ! J’ai fondé l’Eglise
pour atteindre le Ciel, et non pour vivre la gloire sur la terre. Tous
ceux qui marcheront sur le chemin de la vérité iront dans
la Cité future. Mes enfants, ne restez pas dans cette cité
faites par les hommes, parce que ce que les hommes ont fait sera détruit
par le doigt de Dieu. C’est pour cela que Je vous dis, mes enfants : construisez
avec vos œuvres et avec votre exemple la Cité éternelle !
Et vous qui êtes persécutés,
soyez bienheureux, mes enfants, parce que vous êtes persécutés
à cause de mon Nom. Ma fille, ne vous laissez affliger ni par la
calomnie ni par la persécution : c’est la marque du chrétien.
Et soyez des serviteurs travailleurs, des serviteurs forts. Ne soyez pas
des serviteurs paresseux ni des serviteurs inutiles, pour ne pas, un jour,
entendre ces mots : « Tu ne m’as pas servi, mon fils. Serviteur inutile,
va-t-en au feu éternel ! » Ne vous séparez pas de la
vigne, mes enfants. Car celui qui se sépare de la vigne devient
sec. C’est l’Eglise qui est la vigne, et vous, vous êtes les sarments.
La sarment doit être uni au cep, pour s’alimenter à la vigne.
Je ne veux pas de sarments secs, Je veux des sarments qui donnent du fruit
et qui, lorsqu’ils arriveront à la Cité éternelle,
puissent y trouver leur maison construite.
Ma fille, Je veux que rien ne t’afflige,
que rien ne t’attriste. Je t’ai dit que Je mettrais des personnes sur ton
chemin pour cette Œuvre, pour que les Œuvres d’Amour et de Miséricorde
croissent comme Je l’ai demandé. Et Je donnerai des ordres pour
que cette Œuvre grandisse, comme les étoiles. Mais, ma fille, que
rien ne t’afflige. Que l’on reconnaisse l’arbre au fruit qu’il donne. Tu
sais bien, ma fille, que le mauvais arbre ne peut pas donner de bon fruit,
Je te l’ai dit souvent, mais c’est le bon arbre qui donne du bon fruit.
Eh bien, c’est ce que Je demande, ma fille.
Amparo : Ah ! Seigneur, ah ! Seigneur,
c’est si triste d’être ici, Seigneur ! Jusqu’à quand, Seigneur,
jusqu’à quand ?
Notre Seigneur : Je t’ai dit, ma
fille, de ne pas être orgueilleuse. C’est quand Je le voudrai, ma
fille, que tu arriveras dans ce lieu pour y avoir une joie éternelle.
Mais pour toi, ma fille, le bonheur n’est pas sur la terre. Il n’y a jamais
été depuis que tu es née. Tu sais pourtant que tu
as été protégée depuis que tu étais
toute petite, ma fille. Mais il ne peut pas y avoir, comme tu le demandes,
du bonheur ici sur la terre et du bonheur dans le Ciel. Tu as dit oui,
ma fille, quand Je t’ai prise pour instrument, et tu sais bien que les
instruments sont persécutés, calomniés, et doivent
souffrir, pour la conversion des pécheurs. Ma fille, Je te l’ai
dit souvent : J’ai mis un chèque en blanc, et sur ce chèque
il y a toute la souffrance, et parfois l’agonie.
Que les hommes pensent à
mon agonie, à ma Passion, et à ma mort. Je suis venu pour
les sauver. Je suis venu pour leur donner la vie, et eux ils m’ont donné
la mort. Voilà pourquoi, ma fille, Je te le dis, l’ingratitude des
hommes augmente de plus en plus. Et c’est parce que Satan règne
sur la terre.
Amparo : Ah ! mon Dieu… !
La Très Sainte Vierge : Ils
se laissent entraîner, ma fille. C’est son heure, l’heure de Satan.
C’est pour cela que Je veux marquer les hommes de mon Sceau, pour qu’ils
ne se laissent pas entraîner. Tous ceux qui viendront en ce lieu
seront marqués d’un sceau sur le front. Regarde quel sceau, ma fille
(exclamations d’Amparo) : c’est une protection pour qu’ils ne se laissent
pas entraîner par Satan. Priez beaucoup, mes enfants faites pénitence
et oraison. Tendez votre main au déshérité. Priez.
Priez. Le monde est à la fin des temps. Sacrifice et pénitence,
c’est ce que Je demande, mes enfants.
Amparo : Ah ! mon Dieu ! Ah… !
Notre Seigneur : Si les hommes ne
prient pas et ne tournent pas leur regard vers Dieu, la terre deviendra
comme un désert. C’est pourquoi Je vous demande, mes enfants, à
vous, les prêtres aimés de mon Cœur, à vous qui apportez
l’Evangile tel qu’il est écrit, Je vous le demande, mes enfants,
priez beaucoup et prêchez l’Evangile, parce que la moisson est abondante
et les moissonneurs sont peu nombreux. N’ayez pas honte, mes enfants, vous
qui suivez ma doctrine, car bientôt on vous ouvrira la porte du Ciel.
Tous les bienheureux sortiront à votre rencontre. Regarde, ma fille,
elle est étroite, la porte, pour ceux qui ne veulent pas accepter
les lois de l’Evangile. Mais regarde aussi cette autre porte, comme elle
est large, et c’est par ici qu’entrent ceux qui respectent mes lois. Il
y a douze portes d’or, gardées par les anges.
Amparo (qui pousse des exclamations
d’admiration) : Ah… ! Au milieu se tient le Seigneur… Oh… ! avec un très
grand livre : le Livre de la Vie. Oh… ! Tous ceux qui y sont inscrits,
sur ce livre… ! Oh… !
Notre Seigneur : Aujourd’hui, ma
fille, Je vais te donner aussi une joie. Tu vas écrire sept noms
sur le Livre de la Vie (Amparo fait le geste de prendre une plume invisible
et écrit lentement, à larges traits, de droite à gauche,
chacun des noms pendant une minute 40. Puis elle laisse la plume). Ces
noms ne seront jamais effacés, ma fille. Tu vois comme aussi Je
récompense ta douleur et ton angoisse ? Sois très humble,
ma fille. Je demande l’humilité, la prière et la pénitence,
pour le salut des pauvres pécheurs.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant d’offenses faites à mon Divin Cœur (Amparo baise le sol).
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour les moribonds, ma fille.
Consacrez-vous à cette Œuvre,
mes enfants, et aidez-la à grandir. Regarde combien d’âmes
il y a dans le Ciel, en raison des grâces qu’elles ont reçues
en ce lieu. Comment les hommes peuvent-ils être si ingrats ?…
Amparo (qui pousse des exclamations
d’admiration) : Oh ! Oh… ! Combien il y en a ! Combien il y en a , mon
Dieu ! Oh ! Mon Dieu, combien ! Oh… Oh… ! Merci, mon Dieu, merci, pour
avoir sauvé tant et tant d’âmes !
Notre Seigneur : Et continue à
prier, ma fille, pour tous ceux qui te calomnient et qui te diffament.
Ce sont eux qui ensemencent le chemin du salut.
La Très Sainte Vierge : Je
vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 2 DE DICIEMBRE
DE 1995, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hijos míos,
aquí estoy otra vez avisando a los hombres del gran peligro que
hay en la Humanidad. Mira, hija mía, si hay corrupción en
el mundo, cómo van en triunfo los siete pecados capitales. Mira
cómo los hombres, hija mía, adoran... Mira cómo están
hundidos en el pecado...
LUZ AMPARO:
¡Qué
horror...! ¡Ay, Dios mío!
LA VIRGEN:
¡Qué
ofendido está mi Corazón, hija mía! Mi Corazón
está lleno de espinas por la ingratitud de los pecadores...
LUZ AMPARO:
¿No
podría sacar ninguna espina?
LA VIRGEN:
No, hija
mía, están muy profundas, porque el hombre hoy al pecado
no le da importancia, hija mía, y cada día nuestros Corazones
están más afligidos. Pide mucho, hija mía, para que
todos estos pecadores que clavan las espinas en nuestro Corazón,
cambien sus vidas y se arrepientan, hija mía. Sólo puedes
sacar una... Mira, qué agujero más profundo has dejado en
mi Corazón... Hija mía, sigue pidiendo por ellos, hija mía.
Por eso sigo dando avisos a los hombres; sus pecados han atravesado, hija
mía... Mira, la bóveda del cielo está atravesada por
el pecado. Y por eso sigo dando avisos, para que los hombres cambien y
no se dejen arrastrar por las mentiras de Satanás, hija mía.
Satanás está reinando en el mundo; por eso van los siete
pecados capitales en triunfo, porque los hombres se dejan arrastrar por
la astucia del enemigo.
EL SEÑOR:
Yo fundé
la Iglesia, hijos míos, y la fundé para que dijesen la verdad
que hay en ella; por eso pido que el Evangelio lo prediquen como está
escrito. Acercaos a la Iglesia, hijos míos. En la Iglesia está
vuestra salvación, ahí hay fuentes de...
LUZ AMPARO:
¡Huy...,
cuántas fuentes de gracias salen del Corazón del Señor!
¡Ay, y todas caen sobre los hombres!
EL SEÑOR:
Yo la fundé
para que los hombres se reunieran en ella y bebieran de esas fuentes, y
encontraran el amor, la paz y la verdad. Algunos pastores predican lo contrario
de la verdad, predican un Evangelio descabezado; pero, hijos míos,
¿hasta cuándo tengo que estar dando avisos a aquellos pastores
que no viven el Evangelio? Hijos míos, cambiad vuestras vidas y
no arrastréis a las almas al camino de la perdición; decid
la verdad de la Iglesia, hijos míos. La Iglesia fue fundada por
Cristo para que los hombres hablen de Cristo; hablad de mi Pasión,
de mi muerte, hablad que, siendo el Hijo de Dios, me anonadé y bajé
a la Tierra para salvar a los hombres. Por eso vengo a recordaros que el
Evangelio no lo explicáis, muchos de vosotros, tal como es.
Dedicaos
a las almas, hijos míos, que las almas necesitan que se les hable
de las verdades que hay en la Iglesia, para que acudan a esas fuentes y
sacien su sed en ellas. Pero, hijos míos, ¡si no predicáis
la penitencia, la oración y el sacrificio! El sacramento de la Penitencia
es muy importante, hijos míos, para vuestra salvación.
¡Ay,
aquellos pastores que confundís a las almas, aquellos pastores que
os rebeláis contra la verdad, que no sois imitadores de Cristo y
que no obedecéis al representante de Cristo! ¡Ay de vosotros,
hijos míos! ¿Y quién sois vosotros para decir a quién
tiene un Dios que manifestarse? Me manifiesto a los humildes para confundir
a los soberbios y a los poderosos; y no entráis en el Cielo, muchos
de vosotros, ni dejáis entrar a las almas. ¡Ay, hijos míos,
que coláis el mosquito y os tragáis el camello!; volved al
Evangelio, hijos míos, tan amados del Corazón de Cristo y
tan poco correspondido mi Corazón a ese amor. Vivid, hijos míos,
en caridad, en amor, en pobreza, y no confundáis a los hombres las
verdades que hay en el Evangelio.
¡Ay,
hijos míos, que os quedáis en lo humano y olvidáis
lo divino! Yo fundé la Iglesia para alcanzar el Cielo, no para vivir
la Gloria en la Tierra. Todo el que camine por el camino de la verdad irá
a la Ciudad Futura. No os quedéis, hijos míos, en esta ciudad
hecha por los hombres, porque lo que los hombres han hecho será
destruido por el dedo de Dios. Por eso os digo, hijos míos, fabricad
con vuestras obras y con vuestro ejemplo la Ciudad Eterna.
Y vosotros,
los que sois perseguidos, bienaventurados seáis, porque sois perseguidos
a causa de mi Nombre, hijos míos. No os angustie, hija mía,
ni la calumnia ni la persecución; ésa es la señal
del cristiano. Y sed siervos trabajadores, siervos fuertes, no seáis
siervos perezosos y siervos inútiles, para no oír un día
la palabra de “no me has servido, hijo mío, siervo inútil;
vete al fuego eterno”. No os separéis de la vid, hijos míos,
que el que se separa de la vid se seca; y la Iglesia es la vid y vosotros
sois los sarmientos, y el sarmiento tiene que estar unido a la cepa para
alimentarse de la vid. No quiero sarmientos secos, quiero sarmientos que
den fruto y que, cuando lleguen a la Ciudad Eterna, puedan encontrar su
casa construida.
Hija mía,
no quiero que nada te angustie y nada te entristezca; te dije que pondría
personas en tu camino para esta Obra, para que las obras de amor y misericordia
crezcan como yo he pedido, y yo mandaré para que esta Obra crezca
como las estrellas. Pero, hija mía, no te angustie nada. Que conozcan
el árbol por el fruto que dé. Ya sabes, hija mía,
que el árbol malo no puede dar buen fruto, te lo he dicho muchas
veces; sino el árbol bueno es el que da buen fruto. Pues es lo que
pido, hija mía.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
ay, ay, Señor! ¡Ay, Señor! ¡Es tan triste estar
aquí, Señor! ¡Ay!... ¿Hasta cuándo, Señor?,
¿hasta cuándo...?
EL SEÑOR:
Te dije,
hija mía, que no fueses soberbia y que, cuando yo quiera, hija mía,
entonces llegarás a este lugar a gozar eternamente; pero la felicidad
no está en la Tierra, hija mía, para ti; no ha estado nunca
desde que naciste, pero sabes que fuiste protegida desde muy niña,
hija mía; pero aquí felicidad, como tú pides, en la
Tierra y felicidad en el Cielo no puede haber. Tú dijiste que sí
cuando te cogí por instrumento, hija mía, y ya sabes que
los instrumentos son perseguidos, calumniados y tienen que sufrir para
la conversión de los pecadores. En ese “sí”, hija mía,
te lo he dicho muchas veces, que puse un cheque en blanco; y en ese “sí”
está todo el sufrimiento y, a veces, la agonía.
Que los
hombres piensen en mi agonía, en mi pasión y en mi muerte.
Vine a salvarlos, vine a darles vida y ellos me dieron muerte. Por eso
te digo, hija mía, que la ingratitud de los hombres, cada vez, aumenta
más; y es porque Satanás está reinando en la Tierra.
LUZ AMPARO:
¡Oy!
¡Ay, Dios mío...!
LA VIRGEN:
Se dejan
arrastrar, hija mía. Es su hora; por eso quiero sellar a los hombres,
para que no se dejen arrastrar. Todo el que acuda a este lugar será
sellado con un sello en la frente. Mira qué sello, hija mía;
una protección para que no se dejen arrastrar por Satanás.
Orad mucho, hijos míos, y haced penitencia y oración; extended
vuestra mano al desvalido; orad, orad. En el mundo está en el fin
de los tiempos. ¡Sacrificio y penitencia pido, hijos míos!
LUZ AMPARO:
¡Ay,
Dios mío, ay!
EL SEÑOR:
Si los hombres
no oran y vuelven su mirada a Dios, la Tierra quedará como un desierto;
por eso os pido, hijos míos, aquellos sacerdotes queridos de mi
Corazón, aquéllos que lleváis el Evangelio tal como
está escrito, os pido, hijos míos: orad mucho y predicad
el Evangelio, porque hay mucha mies y pocos segadores. No os avergoncéis
los que seguís la doctrina, hijos míos, que luego os abrirán
la puerta del Cielo. Todos los bienaventurados saldrán a vuestro
encuentro. Mira, hija mía, es estrecha la puerta para los que no
quieren aceptar las leyes del Evangelio; pero mira también esta
otra puerta cómo es ancha, y por aquí entran los que cumplen
mis leyes.
LUZ AMPARO:
Hay doce
puertas de oro... —¡ay!— custodiándolas los ángeles.
¡Huy..., ay! En medio está el Señor. ¡Ay...!,
con un libro muy grande. ¡Ay!
EL SEÑOR:
El Libro
de la Vida.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
todos los que están apuntados ahí en él! ¡Ay!...
EL SEÑOR:
Hoy, hija
mía, voy a darte un gozo también; vas a escribir en el Libro
de la Vida siete nombres... Estos nombres no se borrarán jamás,
hija mía. ¿Ves cómo también recompenso tu dolor
y tu angustia? Sé muy humilde, hija mía.
Humildad
pido, oración y penitencia, para la salvación de los pobres
pecadores.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantas ofensas hechas a
mi Divino Corazón...
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para los moribundos, hija mía...
Entregaos
a esta Obra, hijos míos, y ayudadla a que crezca. Mira cuántas
almas hay en el Cielo gracias a las gracias que han recibido en este lugar.
¿Cómo los hombres pueden ser tan ingratos?...
LUZ AMPARO:
¡Ay,
ay..., ay, cuántas! ¡Ay, cuántas, Dios mío!
¡Dios mío! ¡Ay, ay, cuántas! ¡Ay, ay, gracias,
Dios mío, gracias por haber salvado a tantas y tantas almas!
EL SEÑOR:
Y sigue
pidiendo, hija mía, por todos aquéllos que te calumnian y
te difaman; ellos son los que siembran el camino de la salvación.
LA VIRGEN:
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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