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Apparitions de Jésus et Marie à l'Escorial
Année 1996
6 janvier 19963 février 19962 mars 19966 avril 19964 mai 19961er juin 19966 juillet 19963 août 19967 septembre 19965 octobre 19962 novembre 19967 décembre 1996
6 janvier 1996

Notre Seigneur : Ma fille, les hommes ont oublié que Je suis le Créateur. Je désire que tous les hommes vivent en paix. C’est mon désir, mes enfants, que tous les hommes vivent ma Parole. Ah, pasteurs de mon Eglise, prêchez ma Parole comme je vous l’ai enseignée ! Je vous ai donné la connaissance et je continue à vous la donner pour que vous compreniez mes Ecritures, que vous les viviez et que vous les prêchiez aux hommes telles qu’elles sont écrites, mes enfants. Le plus grand présent que vous puissiez faire à mon Cœur, c’est celui de vous détourner du péché. Venez à Moi, et Je vous pardonnerez toutes vos fautes. Je veux que vous jouissiez tous de la vie éternelle. Me enfants, beaucoup de pasteurs se laissent contaminer par l’Ennemi et dans leur sotte érudition ils mêlent la Parole de Dieu, qui est la Vérité, avec le mensonge. Mes enfants, prêchez l’Evangile mais ne le défigurez pas. Les hommes, pour une bonne part, sont dans la confusion. Beaucoup d’entre vous, mes enfants, pasteurs de l’Eglise, vous aimez la créature mais vous n’aimez pas son Créateur.
Ah, pasteurs saints, à vous Je vous demande d’être forts et courageux et de prêcher la parole de Dieu, car dans l’Eglise il y a beaucoup de travail à faire, mes enfants, et peu nombreux sont ceux qui veulent travailler pour Elle. Soyez obéissants au Rocher et à celui qui a les clés de l’Eglise, au Représentant du Christ, et suivez la voie sainte que vous vivez et que vous pratiquez, mes enfants. Ne vous laissez pas tromper par ces autres pasteurs tièdes qui défigurent mon Evangile et ne travaillent pas pour l’Eglise, mais qui se servent d’Elle. Les pasteurs doivent travailler pour leur troupeau. Mes enfants, ne soyez pas des salariés, ni des travailleurs du monde ; œuvrez pour l’Eglise et dans l’Eglise. Il y a un si grand besoin de prêcher la parole de Dieu ! de prêcher un Dieu miséricordieux et juste, qui au dernier jour jugera les hommes selon leurs œuvres et selon l’entreprise pour laquelle ils auront travaillé. Mes enfants, travaillez pour mon entreprise, car il y a beaucoup d’âmes qui ont un désir ardent de Dieu, mes enfants, mais ils en ont une très grande méconnaissance, mes enfants.
Jusques à quand un Créateur, Créateur de toutes choses, des cieux et de la terre, doit-il donner des avertissements à ses créatures ! Je demande, mes enfants, que vous respectiez les lois (divines) et que vous les appreniez aux hommes, et alors le monde deviendra meilleur, mes enfants. Ne voyez-vous pas la corruption qu’il y a dans le monde parce que l’homme est sans Dieu, et vous, là où vous voyez qu’il y a du fruit, vous ne le cueillez pas, mes enfants ? Ah, pasteurs de mon Eglise si aimés de mon Cœur ! Qui n’êtes pas capables de veiller sur votre troupeau pour qu’il soit gouverné par un seul pasteur et par une seule Eglise, l’Eglise qu’a fondée Jésus-Christ ! Vous restez au niveau de l’humain, je le répète, mes enfants, et vous écartez tout le divin. Comment n’expliquez-vous pas, mes enfants, que le Verbe s’est fait Chair pour habiter parmi les hommes ; que le Fils de Dieu s’est humanisé pour que les hommes se divinisent, pour arriver un jour à la Divinité incréée ? Et tout cela, mes enfants, ce fut à cause d’une seule parole d’une créature qui a dit : « Qu’il me soit fait selon ta parole ». La virginité de Marie, mes enfants, et dans la virginité de Marie s’est engendré le Fils de Dieu. Vierge avant et après qu’elle soit la Mère du Verbe Incarné.
La Très Sainte Vierge : Comment les hommes peuvent-ils douter de ma Virginité, mes enfants. Je crie que ma Virginité fut intacte. Je fus immaculée, sans tache, afin d’être Mère de Dieu et Mère de l’Eglise. Mes enfants, prêtres aimés de mon Cœur Immaculé, enseignez aux hommes l’Evangile tel qu’il est écrit et aimez-vous les uns les autres comme le Christ vous l’a enseigné.
Notre Seigneur : Vous tous qui mettez en pratique mes lois, les lois de l’Evangile, qui furent écrites pour les hommes, pour leur salut ; ah, pasteurs, appliquez-les ! Appliquez-les et enseignez aux hommes la foi, la pénitence. Apprenez-leur à se nourrir de l’Eucharistie, car J’ai dit : « Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde », et encore : « Celui qui mangera mon Corps et qui boira mon Sang aura la vie éternelle ». Pour cela, ma fille, je demande aux hommes de bonne volonté de changer de vie et de venir à mon Cœur, car mon Cœur les attend. Aussi grands que soient leurs péchés, plus grande est ma miséricorde. Mais s’ils ne le veulent pas, ma fille, Je viendrai comme Juge, Je ne viendrai pas comme ami. Jusques à quand, mes enfants, aurez-vous le cœur si endurci ? Moi Je vous donne tout ce dont vous avez besoin, mes enfants. Vous demandez la pluie, et vous l’obtenez en abondance. Vous me demandez le pardon de vos péchés, et Je me tiens les bras ouverts pour vous les pardonner, mes enfants. Comment êtes-vous si ingrats avec moi ? Dans le monde, il y a des guerres, des discordes, des crimes, la corruption, le désordre, parce que Dieu n’y est pas ; parce que les hommes ont méprisé la divine majesté de Dieu, et l’homme sans Dieu se gouverne par lui-même. Si le monde est comme il est, mes enfants, c’est parce que l’homme ne se laisse pas gouverner par Dieu…
Amparo : Ouy !… Ah, quelle horreur !…
La Très Sainte Vierge : Oui, ma fille, le monde est ainsi.
Amparo : Ah, comme triomphent les péchés !… Hélas !
Notre Seigneur : Satan, ma fille, tire parti des âmes et plus encore des âmes aimées de mon Cœur. Il s’infiltre dans beaucoup de couvents ; il s’infiltre pour que les hommes se contaminent les uns les autres, et le monde est aux mains de Satan.
Soyez courageux, mes enfants, aimez l’Eglise du Christ. Aimez les Commandements et mettez-les en pratique. N’ayez pas honte de Dieu. Mes prêtres aimés, si aimés de mon Cœur, soyez courageux et prêchez la Parole comme elle est écrite. Et vous, vous qui avez honte de Dieu et du signe distinctif de votre sacerdoce, mes enfants, hélas, pour cette confusion que vous êtes en train de répandre sur la terre, mes enfants, vous ne serez pas revêtus du saint habit, parce que vous avez voulu enlever cet habit si beau, mes enfants, qui vous distingue et qui vous protège de tant et tant de péchés. De même que le signe du chrétien est la Sainte Croix, le signe du prêtre est l’habit, mes enfants ; comment l’avez-vous abandonné ? Vous craignez de perdre la vie ; ne craignez pas ceux qui peuvent vous ôter la vie, craignez de perdre votre âme, mes enfants. Regarde, ma fille, combien d’âmes, privilégiées de mon Cœur, qui lui ont été fidèles, se trouvent dans ce lieu en train de jouir de la présence divine du Dieu incréé.
Amparo : Ah ! Ah, mon Dieu, Quelles grandeurs ! Ah, Seigneur !
Notre Seigneur : Aujourd’hui, mes enfants, le présent que vous demande mon Cœur est celui de l’humilité, de l’obéissance à la Sainte Mère Eglise ; et que vous mettiez en pratique les lois de Dieu. Et vous, mes enfants, aimez beaucoup le Vicaire du Christ ; il représente le Christ sur la terre, priez pour lui, il souffre beaucoup et il est très méprisé par beaucoup d’âmes de son entourage. Priez, mes enfants, et approchez-vous des sacrements de la Pénitence et de l’Eucharistie. Et vous, prêtres, approchez-vous des confessionnaux pour guider les âmes et les conduire au troupeau du Christ, c’est votre mission, mes enfants. Travaillez pour les âmes, ce fut ma mission que J’ai confiée à mes Apôtres : « Allez par toute la terre et prêchez la parole de Dieu » ; et elle est demeurée écrite afin que leurs successeurs continuent à la prêcher. Ah, mes enfants, quelle confusion règne parmi les hommes ! Je veux que vous vous fortifiez dans mon amour et que vous n’ayez pas peur, que vous soyez courageux pour prêcher la parole de Dieu et pour servir l’Eglise. L’âme de beaucoup d’entre vous est défigurée par l’attachement aux biens matériels. Vous aimez davantage les créatures, Je vous le répète, en oubliant votre Créateur. Votre Créateur passe d’abord, et ensuite la créature. Regarde également, ma fille, ce lieu funèbre, triste et angoissant, parce qu’on y manque de la présence de Dieu : c’est l’enfer le plus grand que l’homme peut éprouver quand il se trouve dans ce lieu.
Amparo : Oh ! Oh !… Ah, mon Dieu ! Ah, combien il y en a, mon Dieu !… Ah !
Notre Seigneur : Il y a aussi, ma fille, des ministres qui ont prêché une parole différente de celle qui est écrite ; ils l’ont défigurée, ma fille, par crainte de se retrouver seuls.
Et comment pouvez-vous, mes enfants, aller contre ceux qui sont avec Moi et chercher ceux qui sont contre Moi. Profitez des fruits, mes enfants, et réunissez-vous tous pour être plus forts, mais ne vous laissez pas contaminer par le mal que Satan est en train de semer aujourd’hui dans l’humanité. Et vous, les catholiques, apprenez de ma pauvreté, apprenez de mon humilité. Je vous ai appris le Notre Père, qui le respecte, mes enfants ? Vos greniers sont remplis. Malheur à vous quand vous vous présenterez devant Dieu, car vous ne vous êtes pas souvenus des pauvres et des nécessiteux et, comme le riche avare, vous ne pensez qu’à compter et à conserver. Hélas, la parole ne sert à rien sans les œuvres, mes enfants ! Ne remuez pas tant les lèvres, ne vous laissez pas tromper par l’ennemi, ce sont les œuvres qui plaisent à Dieu, votre Créateur, et à votre Mère du ciel. Beaucoup d’entre vous, vous l’appelez Mère, mais quels mauvais fils vous êtes, mes enfants, vous qui ne mettez pas en pratique l’Evangile de son Fils ni les lois de l’Eglise. Que beaucoup parmi vous n’aient pas un jour à se retrouver à l’endroit où est le riche Epulon, mes enfants, même si vous vous trouvez sur terre pauvres comme Lazare. Mais regarde, ma fille, où est Lazare, et regarde où se trouve Epulon, le riche avare qui ne donnait même pas les miettes qu’il avait en surplus.
Amparo : Ah, quelle horreur ! ah…
Notre Seigneur : Les hommes, je te le répète souvent, ma fille, restent dans le temps, parce qu’ils vivent seulement de la parole. Faites des œuvres d’amour et de miséricorde, mes enfants, et aimez Dieu votre Créateur, changez de vie et ne soyez pas si matérialisés, mes enfants. Aimez-vous les uns les autres, et vous tous qui travaillez pour cette Œuvre, laissez-en d’autres collaborer, et tous unis, laissez-la croître comme Je l’ai demandé, mes enfants, qu’il n’y ait pas d’égoïsmes entre vous. Qu’aucun de vous ne se considère comme le centre, que le centre soit Dieu, que le centre soit la Divine Majesté. Mais permettez que tous collaborent, et collaborez tous ensemble, mes enfants, afin que se multiplient les œuvres d’amour et de miséricorde. Il y a tant d’âmes qui ont besoin de vos aides, mes enfants !
Ce « montage », [Les adversaires de l’authenticité des apparitions, malgré les signes si nombreux de leur caractère divin, malgré leurs fruits admirables, accusent Luz Amparo Cuevas et ses amis d’avoir réalisé un habile « montage » pour tromper les gens.] c’est Moi qui l’ai fait, mes enfants, mais il n’y a rien de souillé en lui, il est ouvert pour tous ceux qui voudront le voir. Vous, faites la même chose, mes enfants. Détachez-vous de vos biens, donnez-les aux pauvres et suivez-Moi. Or vous ne le faites pas et vous empêchez les autres de le faire. Ah, ne soyez pas comme le jeune homme riche, lorsqu’il entendit mes paroles, mes enfants, et mon conseil de tout laisser aux pauvres et de me suivre, il partit en pleurant, triste et avec amertume ! Et, comme Je te le dis, ma fille, comme Je te l’ai répété souvent, on ne nomme plus ce jeune homme riche dans l’Evangile parce qu’il n’a pas voulu accepter mes paroles. (Soupirs d’Amparo) Soyez doux et humbles, mes enfants, et venez vous réfugier dans nos Cœurs.
La Très Sainte Vierge : Mes enfants, venez à mon Cœur Immaculé, et mon Cœur Immaculé intercédera pour vous devant mon Fils . Ma fille, si Je te demande très, très souvent qu’ils viennent à Moi, c’est parce que Dieu m’a placée à la porte du Ciel. Les hommes m’éloignent de la terre, et pourtant mon Fils m’a placée à la porte du Ciel.
Notre Seigneur : Venez, mes enfants, et changez de vie, aimez les pauvres et les nécessiteux, aimez l’Eglise et priez, priez pour ne pas succomber à la tentation.
Baise le sol, ma fille, en réparation de tant et tant d’outrages que l’on commet à l’égard de nos Cœurs, de tant de sacrilèges que commettent les hommes. Combien , ma fille, s’approchent du banquet céleste (soupirs d’Amparo), l’âme souillée et pleine de péchés... Ah, prêtres, Je vous ai donné le pouvoir de pardonner les péchés, soyez dans les confessionnaux, mes enfants, pour pardonner aux âmes leurs péchés ! Travaillez pour l’Eglise, car il y a beaucoup à faire, Je le répète, et peu nombreux sont ceux qui veulent travailler dans l’Eglise. Vous, vous n’êtes pas du monde, vous êtes à Dieu. Travaillez pour Lui, mes enfants.
La Très Sainte Vierge : Baise le sol , ma fille.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis pour la conversion de tous les pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils, et avec l’Esprit Saint.
Adieu, mes enfants !
 
 

MENSAJE DEL DÍA 6 DE ENERO DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hija mía, los hombres han olvidado que soy el Creador. Yo deseo que todos los hombres vivan en paz. Es mi deseo, hijos míos, que todos los hombres vivan mi palabra. ¡Ay, pastores de mi Iglesia: predicad mi palabra como os la he enseñado! Yo os di la sabiduría y os sigo dando para que entendáis mis Escrituras, las viváis y las prediquéis a los hombres tal como están escritas, hijos míos. El mayor presente que podéis hacer a mi Corazón es el de apartaros del pecado; venid a mí, que yo os perdonaré todas vuestras culpas. Quiero que todos gocéis de la vida eterna. Hijos míos, muchos pastores se dejan infiltrar el enemigo y en sus necios conocimientos confunden la palabra de Dios, que es la verdad, en mentira. Hijos míos, predicad el Evangelio, pero no lo desfiguréis. Los hombres, muchos de ellos, están confusos. Muchos de vosotros, hijos míos, pastores de mi Iglesia, amáis a la creatura pero no amáis a su Creador.

     ¡Ay, pastores santos: os pido a vosotros que seáis fuertes y valientes y prediquéis la palabra de Dios, pues en la Iglesia hay mucho trabajo, hijos míos, y pocos que quieran trabajar para ella! Sed obedientes a la Roca y a aquél que tiene las llaves de la Iglesia, al representante de Cristo, y seguid el camino santo que vivís y practicáis, hijos míos. No os dejéis engañar por aquellos otros pastores tibios que desfiguran mi Evangelio y no trabajan para la Iglesia, pero se sirven de la Iglesia. Los pastores tienen que trabajar para su grey. Hijos míos, no seáis asalariados, ni trabajadores del mundo, trabajad para la Iglesia y en la Iglesia. ¡Hay tanta necesidad de predicar la palabra de Dios, de predicar un Dios misericordioso, justo, que el último día juzgará a los hombres según sus obras y según para la empresa que hayan trabajado! Hijos míos, trabajad para mi empresa, que hay muchas almas que tienen ansia de Dios, hijos míos, pero tienen un desconocimiento muy grande de Él, hijos míos.

     ¿Hasta cuándo todo un Creador, Creador de todo, de Cielos y Tierra, tiene que estar avisando a sus creaturas? Yo pido, hijos míos, que cumpláis las leyes y las enseñéis a los hombres, y el mundo irá mejorando, hijos míos. No veis la corrupción que hay en el mundo, porque el hombre está sin Dios; y vosotros, donde veis que hay fruto no lo recogéis, hijos míos. ¡Ay, pastores de mi Iglesia tan amados por mi Corazón, aquéllos que no seáis capaces de vigilar vuestro rebaño para que sea gobernado por un solo pastor y una sola Iglesia, la Iglesia que fundó Jesucristo! Os quedáis en lo humano, repito, hijos míos, y estáis apartando todo lo divino. ¿Cómo no explicáis, hijos míos, que la Palabra se hizo carne para habitar entre los hombres, que el Hijo de Dios se humanizó para que los hombres se divinizasen, para llegar un día a la divinidad increada? Y todo, hijos míos, fue por una sola palabra de una creatura que dijo: “Hágase en mí según tu palabra”. La virginidad de María, hijos míos, y en la virginidad de María se engendró el Hijo de Dios; virgen antes y después de ser Madre del Verbo Encarnado.
 
 

     LA VIRGEN:

     ¿Cómo los hombres pueden dudar de mi virginidad, hijos míos? Yo grito que mi virginidad fue intacta. Fui inmaculada, sin mancha, para ser Madre de Dios y Madre de la Iglesia. Hijos míos, sacerdotes queridos por mi Inmaculado Corazón, enseñad a los hombres el Evangelio tal como está escrito y amaos unos a otros como Cristo os enseñó.
 
 

     EL SEÑOR:

     Todos los que cumplís mis leyes, las leyes del Evangelio, que fueron escritas para los hombres, para su salvación; ¡ay, pastores, aplicadlas!, aplicadlas y enseñar a los hombres la fe, la penitencia y que se alimenten de la Eucaristía, pues yo dije: “Estaré con vosotros hasta el fin del mundo” y “el que coma mi Cuerpo y beba mi Sangre tendrá vida eterna”. Por eso, hija mía, pido a los hombres de buena voluntad que cambien sus vidas y que vengan a mi Corazón, que mi Corazón los espera. Por muy grandes que sean sus pecados, mayor es mi misericordia. Pero si no quieren, hija mía, vendré como juez, no vendré como amigo. ¿Hasta cuándo, hijos míos, vais a tener el corazón tan endurecido? Si yo os doy todo lo que necesitáis, hijos míos. Pedís la lluvia, aquí la tenéis, y con mucha inmensidad. Pedís perdón de vuestros pecados, y aquí estoy con los brazos abiertos para perdonaros, hijos míos. ¿Cómo sois tan ingratos conmigo?

     En el mundo existen las guerras, las discordias, los crímenes, la corrupción, el desorden, porque Dios no está en él; porque los hombres han despreciado a la Divina Majestad de Dios, y el hombre sin Dios se gobierna por sí mismo y así está el mundo, hijos míos, porque el hombre no se deja gobernar por... (Palabra ininteligible).
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Oy!... ¡Ay, qué horror!...
 
 

     EL SEÑOR:

     Sí, hija mía, así está el mundo.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, cómo triunfan los pecados! ¡Ay!
 
 

     EL SEÑOR:

     Satanás, hija mía, se aprovecha de las almas y más de las almas queridas por mi Corazón; se infiltra en muchos conventos; se filtra para que los hombres se contagien unos a otros, y el mundo está en manos de Satanás. Sed valientes, hijos míos, amad a la Iglesia de Cristo. Amad los mandamientos y cumplidlos. No os avergoncéis de Dios. Sacerdotes míos queridos, tan amados por mi Corazón, sed valientes y predicad la palabra según está escrita. Y vosotros, aquéllos que os avergonzáis de Dios y del distintivo de vuestro sacerdocio, hijos míos; ¡ay!, por esa confusión que estáis sembrando en la Tierra, hijos míos, no seréis revestidos de la vestidura santa, porque os habéis querido quitar esa vestidura tan bella, hijos míos, que os distingue y que os protege de tantos y tantos pecados. Lo mismo que la señal del cristiano es la santa Cruz, la señal del sacerdote es la vestidura, hijos míos; ¿cómo la habéis arrinconado? Teméis perder la vida; no temáis a los que os pueden quitar la vida, temed a perder el alma, hijos míos. Mira, hija mía, cuántas almas, privilegiadas por mi Corazón, fieles a él, están en un lugar disfrutando de la presencia divina del Dios Increado.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay!, ¡ay, Dios mío, qué grandezas!, ¡ay, Señor!
 
 

     EL SEÑOR:

     Este día, hijos míos, el presente que os pide mi Corazón es el de la humildad, la obediencia a la Santa Madre Iglesia; que cumpláis las leyes de Dios. Y vosotros, hijos míos, amad mucho al Vicario de Cristo; él representa a Cristo en la Tierra, orad por él, sufre mucho y es muy despreciado por muchas almas cercanas a él. Orad, hijos míos, y acercaos al sacramento de la Penitencia y de la Eucaristía. Y vosotros, sacerdotes, acercaos a los confesionarios para pastorear a las almas y llevarlas al rebaño de Cristo; es vuestra misión, hijos míos. Trabajad con las almas, ésa fue la misión que yo encomendé a mis Apóstoles: ¡id por toda la Tierra y predicad la palabra de Dios!; y así se quedó escrito para que los sucesores de ellos sigan predicando la palabra. ¡Ay, hijos míos, qué confusión hay entre los hombres! Quiero que os fortalezcáis en mi amor y no tengáis miedo y seáis valientes a predicar la palabra de Dios y a servir a la Iglesia. Vuestra alma está desfigurada, de muchos de vosotros, por los apegos materiales; amáis más a las creaturas, os repito, olvidándoos de vuestro Creador. Primero vuestro Creador y luego la creatura.

     Mira, hija mía, también este lugar fúnebre, triste y angustioso, porque carecen de la presencia de Dios; ése es el mayor infierno que el hombre puede sentir cuando está en este lugar.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, ay...! ¡Ay, Dios mío! ¡Ay, cuántos hay, Dios mío, ay!...
 
 

     EL SEÑOR:

     También hay ministros, hija mía, que han predicado la palabra distinta a como está escrita; la han desfigurado por miedo, hija mía, a quedarse solos.

     ¿Y cómo, hijos míos, los que están conmigo vais en contra de ellos y buscáis los que están en contra de mí? (1)Aprovechad los frutos, hijos míos, y reuníos todos para ser más fuertes, pero no os contagiéis del mal que Satanás está sembrando hoy en la Humanidad. Y vosotros, católicos, aprended de mi pobreza, aprended de mi humildad. Yo os enseñé el Padrenuestro, ¿quién lo cumple, hijos míos? Tenéis los graneros llenos. ¡Ay de vosotros, cuando os presentéis ante Dios, que no os habéis acordado de los pobres y necesitados y, como el rico avariento, sólo pensáis en contar y en guardar! ¡Ay, la palabra no sirve sin la obra, hijos míos! No mováis tanto los labios, no os dejéis engañar por el enemigo; las obras son las que le gustan a Dios, vuestro Creador. A vuestra Madre del Cielo, muchos la llamáis Madre, pero ¡qué malos hijos que sois, hijos míos, que no cumplís el Evangelio de su Hijo y las leyes de la Iglesia! No os queráis ver muchos donde el rico Epulón, hijos míos, aunque os veáis en la Tierra como el pobre Lázaro; pero mira, hija mía, dónde está Lázaro y mira dónde está el epulón, hija mía, el rico avariento que no daba ni de las migajas que le sobraban.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, qué horror! ¡Ay!...
 
 

     EL SEÑOR:

     Por eso los hombres, te lo repito muchas veces, hija mía, se quedan en el tiempo, porque viven sólo de la palabra. Haced obras de amor y misericordia, hijos míos, y amad a Dios, vuestro Creador. Cambiad vuestras vidas y no estéis tan materializados, hijos míos. Amaos unos a otros, y todos los que viven esta Obra, dejad unos que colaboren otros, y todos unidos que vaya creciendo, como yo he pedido, hijos míos; que no haya egoísmos entre vosotros, ni seáis centros ninguno; que el centro sea Dios, el centro que sea la Divina Majestad; pero dejad que todos colaboren y colaborad todos, hijos míos, para que se multipliquen las obras de amor y misericordia. ¡Hay tantas almas necesitadas de vuestras ayudas, hijos míos!

     Este montaje lo he montado yo, hijos míos, pero no hay nada sucio en él, está abierto para todo el que quiera verlo; haced vosotros lo mismo, hijos míos: desprendeos de vuestras cosas, dádselas a los pobres y seguidme; pero ni lo hacéis ni dejáis que los demás lo hagan. ¡Ay!, no seáis como el joven rico, cuando oyó las palabras, hijos míos, de que lo dejara a los pobres todo y me siguiera, se fue llorando triste y con amargura; y, como te digo, hija mía, y te lo he repetido muchas veces, no se vuelve a nombrar a ese joven rico en el Evangelio porque no quiso aceptar mis palabras. Sed mansos y humildes, hijos míos, y venid a refugiaros en nuestros Corazones.
 
 

     LA VIRGEN:

     Hijos míos, venid a mi Inmaculado Corazón, que mi Inmaculado Corazón intercederá por vosotros ante mi Hijo; por eso, hija mía, te pido muchos..., muchas y muchas veces que acudan a mí, porque Dios me ha puesto en la puerta del Cielo. Los hombres me apartan de la Tierra, y mi Hijo me ha puesto en la puerta del Cielo.
 
 

     EL SEÑOR:

     Venid, hijos míos, y cambiad vuestras vidas, amad a los pobres y necesitados y amad a la Iglesia y orad, orad para no caer en tentación.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos ultrajes como se cometen con nuestros Corazones, hija mía, tantos sacrilegios que cometen los hombres... ¡Cuántos, hija mía, se acercan al banquete celestial con el alma manchada y llena de pecados!... ¡Ay, sacerdotes, yo os di el poder de perdonar los pecados, estad en los confesionarios, hijos míos, para perdonar los pecados a las almas! Trabajad para la Iglesia, que hay mucho trabajo, repito, y pocos que quieran trabajar en ella. Vosotros no sois del mundo, sois de Dios; trabajad para Él, hijos míos.
 
 

     LA VIRGEN:

     Besa el suelo, hija mía...

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos por la conversión de todos los pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     ¡Adiós, hijos míos!
 

(1) Construcción gramatical difícil; es como decir: “Os ponéis en contra de los que están conmigo y me son fieles; en cambio, os acercáis a los que están contra mí”.
 

3 février 1996

Notre Seigneur : Ma fille, nos Cœurs sont très tristes et très affligés parce que les hommes sont esclaves des péchés, de leurs propres péchés, ma fille ; ils renient le Nom de Dieu, ils rejettent sa Loi. Le comportement de la majorité des hommes est pire que celui des fauves. Ils ne se respectent pas les uns les autres et ils s’entretuent. Comment mon Cœur ne serait-il pas triste alors que l’homme ne ressemble pas à un être humain ? Les bêtes féroces se comportent mieux que les hommes, parce qu’elles défendent leur progéniture tandis que les hommes se détruisent les uns les autres.
Je suis descendu sur la terre et J’ai élevé mon Corps, sur une croix. J’ai été crucifié pour sauver l’humanité, pour rassembler tous les hommes, afin qu’ils soient tous frères, mes enfants. J’ai fondé une Eglise pour que les hommes s’y rassemblent, comme étant mes enfants, et Je les ai marqués du sceau de l’Esprit Saint, car là est l’héritage du salut ; mais les hommes sont si ingrats, ma fille, que ni la mort du Christ ni les douleurs de Marie n’attendrissent leurs cœurs.
Le monde empire de jour en jour. L’immoralité augmente. Le monde vit dans la corruption et les hommes continuent à être aveugles. L’unique planche du salut est l’amour de Dieu et du prochain ; telles sont les lois, pour que vous les mettiez en pratique, mes enfants ; mais vous foulez aux pieds le Sang du Christ et vous outragez le Nom de Dieu. La majorité de l’humanité abandonne la piété pour l’impiété ; mais, mes enfants, comment négligez-vous la prière et le sacrifice ? Combien de fois, mes enfants, vais-je vous répéter de vous abreuver aux sources de l’Eglise et d’y alimenter votre esprit, mes enfants ? Mais les hommes sont tellement embourbés dans le péché qu’ils ne distinguent pas où est la grâce et où est le péché ; ils ne veulent pas distinguer. Ils ne tiennent pas compte des appels que Je leur lance avec une telle insistance, ils se bouchent les oreilles. Ah, humanité, comme tu t’es déshumanisée ! Comme cela vous coûte, mes enfants, d’aimer Dieu votre Créateur et comme vous vous laissez entraîner par les plaisirs de la chair, de l’orgueil !
La Très Sainte Vierge : Mes enfants, changez de vie, réfugiez-vous dans mon Cœur Immaculé : aussi graves que soient vos péchés, plus grande encore est la miséricorde de mon Fils. Je vous enverrai à Lui, mes enfants, et Lui, Il vous prendra dans ses bras comme des amis et Il pardonnera vos fautes. Aimez l’Eglise, mes enfants, et rassemblez-vous en elle : c’est là que se trouvent les sources qui alimenteront votre âme et la fortifieront.
Aimez les prêtres, mes enfants, ils sont les ministres du Christ ; ils sont faibles, eux aussi, priez pour eux afin qu’ils soient de bons pasteurs et qu’ils conduisent leurs brebis là où il y a de bons pâturages, afin que les brebis se nourrissent des grâces. Priez pour eux, mes enfants, priez aussi pour vous. Le monde est dans une situation très grave à cause du péché et du manque d’amour qui s’y trouvent.
Aimez ceux qui sont dans le besoin, mes enfants, et partagez avec eux vos héritages et vos biens. Ne soyez pas ingrats, mes enfants, et ne faites pas souffrir nos Cœurs. Aimez beaucoup le Vicaire du Christ, ce saint homme qui souffre tant à cause des membres de l’Eglise et à cause des âmes infidèles qui ne mettent pas la Loi de Dieu en pratique.
Pénitence et sacrifice, mes enfants. Réunissez-vous tous dans ce lieu car Je continuerai à y répandre des grâces pour vos âmes. Mettez-les à profit, mes enfants, et venez à Moi : sous mon manteau Je vous protégerai des embûches de Satan. Priez et approchez-vous du sacrement de l’Eucharistie et du sacrement de la Pénitence. Beaucoup d’entre vous, mes enfants, vous allez recevoir le Corps du Christ d’une façon sacrilège. Pour que votre âme soit propre, mes enfants, vous devez d’abord la laver. Si vous n’en venez pas à laver votre âme, vos péchés ne seront pas pardonnés. La mission des pasteurs est de pardonner les péchés, mes enfants. Allez, confessez vos fautes et accomplissez la pénitence, recevez le Corps du Christ et Il vous fortifiera. Je vous demande à tous l’humilité, mes enfants.
Baise le sol, ma fille, en réparation de tant et tant de péchés que l’on commet dans l’humanité. Soyez miséricordieux, mes enfants, et aimez-vous les uns les autres : c’est le commandement le plus important, qui plaît à Dieu, parce que celui qui aime Dieu, aime le prochain, et celui qui aime le prochain ne lui fait pas de tort. Priez, mes enfants, pour tant et tant de corruption et d’immoralité qu’il y a dans le monde. Je vous ai déjà dit que le moment viendrait où chaque individu se gouvernerait par lui-même et où les pouvoirs civil et ecclésiastique seraient abolis par les propres êtres humains. [C’est à Mélanie que la Vierge en pleurs avait fait cette annonce prophétique en 1846 : cette dernière phrase se trouve presque textuellement dans le « secret » de La Salette.]
Mes enfants, vous tous qui venez en ce lieu, changez de vie et consacrez-vous aux pauvres et aux nécessiteux ; aimez-vous les uns les autres.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils et de l’Esprit Saint.
Tous ces objets, qui ont été bénis, serviront pour les pauvres pécheurs.

MENSAJE DEL DÍA 3 DE FEBRERO DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hija mía, nuestros Corazones están muy tristes y afligidos porque los hombres son esclavos de los pecados, de sus propios pecados, hija mía; niegan el Nombre de Dios, rechazan su Ley. Los hombres, la mayoría, se comportan peor que las fieras; no se respetan unos a otros, se matan unos a otros. ¿Cómo no va a estar triste mi Corazón si el hombre no parece un ser humano? Las fieras se portan mejor que los hombres, porque las fieras defienden sus camadas y los hombres se destruyen unos a otros.

     Yo bajé a la Tierra y puse mi cuerpo en alto, en una cruz. Fui crucificado para salvar a la Humanidad y para reunirlos a todos y para que todos los hombres fuesen hermanos, hijos míos. Fundé una Iglesia para que todos se reuniesen en ella, como hijos míos, y los sellé con el sello del Espíritu Santo, pues ésa es la herencia de la salvación; pero los hombres son tan ingratos, hija mía, que ni la muerte de Cristo ni los dolores de María ablandan sus corazones.

     El mundo va, de día en día, peor. La inmoralidad aumenta. El mundo vive una corrupción y los hombres siguen ciegos. La única tabla de salvación es el amor a Dios y al prójimo; ahí están las leyes, para que las cumpláis, hijos míos; pero pisoteáis la Sangre de Cristo y ultrajáis el Nombre de Dios. La mayoría de la Humanidad está cambiando de piadosos a impíos; pero, hijos míos, ¿cómo os abandonáis en la oración y en el sacrificio? ¿Cuántas veces os voy a repetir, hijos míos, que bebáis de las fuentes de la Iglesia y que alimentéis vuestro espíritu, hijos míos?; pero los hombres están tan metidos en el pecado que no distinguen dónde está la gracia y dónde está el pecado; no quieren distinguir. A mis llamadas con tanta insistencia no hacen caso, cierran los oídos. ¡Ay, Humanidad, cómo os habéis deshumanizado! ¡Cuánto os cuesta, hijos míos, amar a Dios vuestro Creador y cómo os dejáis arrastrar por los placeres de la carne, de la soberbia!
 
 

     LA VIRGEN:

     Hijos míos, cambiad vuestras vidas, refugiaos en mi Inmaculado Corazón, que, por muy graves que sean vuestros pecados, mayor es la misericordia de mi Hijo; yo os mandaré a Él, hijos míos, y Él os abrazará como amigos y perdonará vuestras culpas. Amad a la Iglesia, hijos míos, y reuniros en ella; ahí hay fuentes que alimentarán vuestra alma y la fortalecerán.

     Amad a los sacerdotes, hijos míos, son ministros de Cristo; son débiles también; pedid por ellos, para que sean buenos pastores y lleven a sus ovejas donde hay buenos pastos, para que las ovejas se nutran de las gracias; orad por ellos, hijos míos, y orad por vosotros. El mundo está en una situación muy grave por causa del pecado y del desamor que hay en el mundo.

     Amad a los necesitados, hijos míos, y compartid con ellos vuestras herencias y vuestras haciendas. No seáis ingratos, hijos míos, y no hagáis sufrir a nuestros Corazones. Amad mucho al Vicario de Cristo, a ese santo varón que sufre tanto por los componentes de la Iglesia y por las almas infieles que no cumplen con la Ley de Dios.

     Penitencia y sacrificio, hijos míos. Reuníos todos en este lugar, que seguiré derramando gracias para vuestras almas; aprovechadlas, hijos míos, y venid a mí, que yo con mi manto os protegeré de las asechanzas de Satanás. Orad y acercaos al sacramento de la Eucaristía, al sacramento de la Penitencia. Muchos, hijos míos, vais sacrílegamente a recibir el Cuerpo de Cristo. Para que vuestra alma esté limpia, hijos míos, primero tenéis que lavarla. Si no pasáis a lavar vuestra alma, vuestros pecados no serán perdonados. La misión de los pastores es la de perdonar los pecados, hijos míos. Id, confesad vuestras culpas y cumplid la penitencia, y recibid el Cuerpo de Cristo y Él os fortalecerá. Humildad os pido a todos, hijos míos.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados como se cometen en la Humanidad... Sed misericordiosos, hijos míos, y amaos unos a otros; éste es el mandamiento muy importante que a Dios le agrada, porque el que ama a Dios ama al prójimo, y el que ama al prójimo no le daña. Pedid, hijos míos, por tanta y tanta corrupción como hay en el mundo y tanta inmoralidad. Ya os dije que llegaría el momento en que cada individuo se gobernaría por sí mismo y el poder eclesiástico y el civil sería hollado por los propios seres humanos.

     Hijos míos, todos los que acudís a este lugar, cambiad vuestras vidas y entregaos a los pobres y necesitados; amaos unos a otros.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales...

     Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y del Espíritu Santo.

     Todos estos objetos, que han sido bendecidos, servirán para los pobres pecadores. 

 

2 mars 1996

Notre Seigneur : Mes enfants, Je lance un appel au peuple de Dieu afin qu’il grandisse dans la charité. Le monde est dépourvu d’amour. Que les pasteurs de l’Eglise emploient leur sagesse à conduire les âmes aux pâturages éternels de bonheur ; qu’ils apprennent aux âmes les mystères de Dieu ; s’ils sont choisis par Dieu, c’est pour conduire le troupeau de la Divine Majesté, le troupeau de Dieu. J’ai déjà tout dit, mes enfants, et l’homme fait la sourde oreille, il ne veut pas écouter mes paroles ; au lieu d’obéir aux commandements de Dieu, il met en pratique la loi du péché. L’homme repousse Dieu, et ce faisant il perd la grâce ; en perdant la grâce sanctifiante il se trouve dans les ténèbres ; et il porte dans son corps la loi du péché. Oui, ma fille, telle est l’ingratitude de l’homme. Je suis venu, Je le répète, pour leur donner la vie et eux, ils m’ont donné la mort. J’ai laissé l’Evangile et J’ai établi des Lois, et les hommes restent sourds et ne tiennent pas compte de mes appels. Dans le monde il y a la corruption et ils le voient plein de vertus. Ah, aveugles et sourds, mettez en pratique la Loi de Dieu et non la loi de vos membres, mes enfants ! Jusqu’à quand Dieu doit-il donner des avertissements aux hommes ! L’homme est tiède, et dans sa tiédeur il court après le plaisir, le bonheur terrestre, il ne cherche pas le bonheur éternel.
Je suis le Bon Pasteur qui conduit mes âmes vers des sources de vie éternelle, et J’apprends à mes pasteurs à prêcher l’Evangile dans toutes les parties du monde. Ah, pasteurs de l’Eglise, beaucoup d’entre vous vous avez une responsabilité très grande pour sauver les âmes ! Avec votre charité, vos paroles de sagesse, vous pouvez amener les âmes à s’abreuver aux canaux qui sont dans mon Eglise, et qui sont des canaux de vie éternelle. Ah, si vous vous consacriez davantage aux âmes, mes enfants ! Combien d’âmes se perdent parce qu’elles ne connaissent pas le chemin de la vérité ! Je suis la Vérité et la Vie, mes enfants ; et celui qui viendra à moi aura la vie éternelle. Mais laissez-vous guider par les Lois qui sont écrites. Pensez que seront sauvés ceux qui obéissent à mes commandements.
Ah, parents, vous ne savez pas éduquer vos enfants ! Vous les éduquez pour le monde et la perte de leur âme ne vous importe pas ! Comme vous vous souciez du corps, et des diplômes terrestres, et comme vous oubliez le titre le plus important, qui est l’Evangile ! Aimez-vous les uns les autres et faites le bien les uns aux autres. Aimez Dieu de tout votre cœur. Celui qui aime sa mère, son père, son frère, sa sœur, son époux ou son épouse, plus que moi, n’est pas digne de s’appeler mon fils. Si vous m’aimez, mes enfants, Je mettrai de l’amour dans vos cœurs pour que vous aimiez les autres.
Combien de familles sont détruites, mes enfants, parce que Dieu n’est pas dans les foyers ; le respect réciproque a disparu et ils ont perdu toute dignité ! Combien de mères tuent leurs enfants dans leurs entrailles ! Quelle tristesse éprouve mon Cœur en voyant que l’homme ressemble davantage à une bête féroce qu’à un être humain ! Ah, vous, les parents qui avez des enfants, conduisez-les sur le chemin de l’éternité ! Ne soyez pas si préoccupés de les voir haut placés, et avec de grandes carrières ; souciez-vous plutôt de la carrière la plus importante, la carrière de l’Eternité. Ayez la foi, l’espérance et la charité, mes enfants. Ne perdez jamais la charité. L’homme sans Dieu est un malheureux. Oui, ma fille, mon Cœur brûle d’amour pour les hommes, mais les hommes sont si ingrats qu’ils vivent dans un aveuglement et, je le répète, ma fille, qu’ils vivent sous la loi du péché, et la loi du péché, c’est la guerre, les haines, la destruction, l’envie, l’orgueil, le manque d’amour, la désunion, la luxure. Et quand l’homme vit sous la loi du péché, il n’a pas la lumière. Ah, mes enfants, marchez vers la lumière et conservez la charité sur la terre et dans l’Eternité !
La Très Sainte Vierge : Venez en ce lieu, mes enfants, vous y recevrez des grâces pour votre salut. Venez à moi, mes enfants, et Je vous apprendrai à aimer mon Fils, Je vous conduirai vers ces canaux, pour que vous vous y abreuviez et rassasiez, mes enfants. Soyez humbles, mes enfants. Mon Cœur est très affligé à cause des péchés des hommes. Ah, prêtres aimés de mon Cœur, conduisez les âmes sur le chemin du salut, mes enfants ! Vous pouvez entraîner beaucoup d’âmes dans le troupeau du Christ, et là où vous verrez de la bonne semence, prenez-la et mettez-la à profit pour qu’elle travaille dans la Sainte Eglise du Christ, mes enfants. Ne gaspillez pas les fruits. Combien de bons fruits vous avez à votre portée, mes enfants, et vous les repoussez ! Ah, vous allez chercher les arbres stériles, et vous repoussez les arbres touffus et couverts de fruits pour l’Eglise !
Notre Seigneur : Vous êtes aveugles, mes enfants ! Combien de fois Je répète dans l’Evangile que celui qui est avec Moi n’est pas contre Moi ! Pourquoi vous obstinez-vous à aller contre ceux qui sont avec Moi ? C’est au fruit que l’on distingue celui qui est bon de celui qui est mauvais, et si je vous ai donné la sagesse, c’est pour que vous ne confondiez pas les péchés avec les vertus, ni les vertus avec les péchés.
La Très Sainte Vierge : Oui, mes enfants, aimez beaucoup votre Créateur, conduisez vos enfants sur le chemin du salut. La jeunesse est en train de se corrompre, mes enfants, conduisez-la vers ce qui est pur et retirez-la de ce qui est corrompu, mes enfants. Aimez-vous les uns les autres et soyez humbles et simples ; ne soyez pas orgueilleux, mes enfants, n’ayez pas de vanité.
Ma fille, réfugie-toi dans nos Cœurs. Nos Cœurs te réconforteront. Pense que tu n’es pas née pour être heureuse, mais que tu es née pour souffrir, ma fille. Mais bientôt tu connaîtras la joie pour l’Eternité à côté des bienheureux, ma fille. Sois humble et offre-toi en victime en réparant pour les pécheurs, ma fille. Baise le sol, ma fille, en réparation de tant et tant de péchés que l’on commet dans le monde. Ton chemin n’est pas long, même s’il te semble qu’il l’est, ma fille. Sois patiente, loue ceux qui te calomnient et prie pour ceux qui te maudissent, ma fille.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les malades, ma fille.
Ils ont tous été bénis avec des bénédictions spéciales pour les pauvres malades.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.
 

MENSAJE DEL DÍA 2 DE MARZO DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hijos míos, hoy hago un llamamiento al Pueblo de Dios para que crezca en la caridad. El mundo está falto de amor. Los pastores de la Iglesia, que empleen su sabiduría en conducir a las almas a pastos eternos de felicidad, que enseñen a las almas los misterios de Dios; por eso son elegidos de Dios, para que conduzcan a la grey al rebaño de la Divina Majestad de Dios. Todo lo tengo dicho, hijos míos, y el hombre se hace el sordo, no quiere escuchar mis palabras; en vez de cumplir la Ley de Dios, cumple la ley del pecado. El hombre rechaza a Dios y, al rechazar a Dios, pierde la gracia, y, al perder la gracia santificante, se encuentra en tinieblas; y la ley del pecado la lleva en su cuerpo. Sí, hija mía, así es el hombre de ingrato. Yo vine, repito, a darles vida y ellos me dieron muerte. Yo dejé mi Evangelio y puse unas leyes, y los hombres se quedan sordos y no hacen caso a mis llamadas. En el mundo hay corrupción y lo ven lleno de virtudes. ¡Ay, ciegos y sordos: cumplid la Ley de Dios y no cumpláis la ley de vuestros miembros, hijos míos! ¿¡Hasta cuándo tiene Dios que estar dando avisos a los hombres!? El hombre está tibio y en su tibieza busca el placer, la felicidad terrena; no busca la felicidad eterna.

     Yo soy el Buen Pastor que conduzco a mis almas a fuentes de vida eterna y enseño a mis pastores a que prediquen el Evangelio por todas las partes del mundo; no ven la gravedad del mundo. ¡Ay, pastores de la Iglesia, muchos de vosotros tenéis una responsabilidad muy grande para salvar a las almas! Con vuestra caridad, vuestras palabras de sabiduría, podéis llevar a las almas a que beban de los canales que hay en mi Iglesia, que son canales de vida eterna. ¡Ay, si vosotros os dedicaseis más a las almas, hijos míos! ¡Cuántas almas se pierden porque no saben el camino de la verdad! Yo soy la Verdad y la Vida, hijos míos, y el que venga a mí tendrá vida eterna; pero guiaros por las leyes que están escritas. Pensad que se salvarán los que cumplan con mis mandamientos.

     ¡Ay, padres, que no sabéis educar a vuestros hijos; los educáis para el mundo y no os importa la perdición de su alma! ¡Cómo os preocupa tanto el cuerpo y los títulos terrenos y olvidáis el título más grande, que es el Evangelio, hijos míos! Amaos unos a otros y haced el bien unos a otros. Amad a Dios con todo vuestro corazón. El que ama a su madre, a su padre, a su hermano, a su hermana, a su esposo o a su esposa más que a mí, no es digno de llamarse hijo mío. Si me amáis a mí, hijos míos, yo pondré amor en vuestros corazones, para que vosotros améis a los demás.

     ¡Cuántas familias están destruidas, hijos míos, porque Dios no está en los hogares! Se va faltando el respeto el uno al otro y se han quitado la dignidad. ¡Cuántas madres matan a sus hijos dentro de sus entrañas! ¡Qué tristeza siente mi Corazón cuando el hombre se ha convertido más en fiera que en un ser humano! ¡Ay, padres que tenéis hijos: conducid a vuestros hijos por el camino y la senda de la eternidad! No os preocupéis tanto porque sean grandes y con grandes carreras; preocupaos por la más importante carrera: la carrera de la eternidad. Tened fe, esperanza y caridad, hijos míos. No perdáis nunca la caridad. El hombre sin Dios es un desdichado. Sí, hija mía, sí, mi Corazón se derrite de amor por los hombres, pero los hombres son tan ingratos que viven en una ceguera, y repito, hija mía, que viven la ley del pecado, y la ley del pecado es guerra, odios, destrucción, envidia, soberbia, desamor, desunión, lujuria; y cuando el hombre está viviendo la ley del pecado no tiene luz. ¡Ay, hijos míos, caminad hacia la luz y conservad la caridad en la Tierra y en la eternidad!
 
 

     LA VIRGEN:

     Acudid a este lugar, hijos míos, que recibiréis gracias para vuestra salvación, hijos míos. Venid a mí, hijos míos, que yo os enseñaré a amar a mi Hijo, os conduciré a esos canales para que bebáis y comáis de ellos, hijos míos. Sed humildes, hijos míos. Mi Corazón está muy dolorido por los pecados de los hombres. ¡Ay, sacerdotes queridos por mi Corazón, conducid a las almas al camino de la salvación, hijos míos! Vosotros podéis arrastrar muchas almas al rebaño de Cristo, y coged donde veáis buena semilla y aprovechadla para colaborar en la Santa Iglesia de Cristo, hijos míos. No desaprovechéis los frutos. ¡Cuántos frutos buenos tenéis a vuestro alcance, hijos míos, y los estáis rechazando! ¡Ay, os vais a por los árboles estériles, rechazando los árboles frondosos y llenos de frutos para la Iglesia!
 
 

     EL SEÑOR:

     Estáis ciegos, hijos míos, ¿cuántas veces repito en el Evangelio que el que está conmigo no está contra mí? ¿Por qué vosotros os empeñáis en ir contra los que están conmigo? Del fruto se distingue el bueno del malo, y por eso os he dado sabiduría, para que no confundáis los pecados en virtudes, ni las virtudes en pecados.
 
 

     LA VIRGEN:

     Sí, hijos míos, amad mucho a vuestro Creador, guiad a vuestros hijos por el camino de la salvación. La juventud se está corrompiendo, hijos míos; llevadla al Incorrupto y retiradlos de lo corrupto, hijos míos. Amaos los unos a los otros y sed humildes y sencillos; no seáis orgullosos, hijos míos, ni tengáis vanidad.

     Hija mía, refúgiate en nuestros Corazones; nuestros Corazones te aliviarán. Piensa que no has nacido para gozar, que has nacido para sufrir, hija mía; pero luego, la eternidad la gozarás al lado de los bienaventurados, hija mía. Sé humilde y ofrécete víctima por la reparación de los pecadores, hija mía. Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados como se cometen en el mundo... Aunque te parezca largo el camino, hija mía, no es largo tu camino; sé paciente y alaba a los que te calumnian y pide por los que te maldicen, hija mía.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los enfermos, hija mía... Todos han sido bendecidos con bendiciones especiales para los pobres enfermos.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

6 avril 1996

Notre Seigneur : Priez, mes enfants, priez. Elevez votre cœur au-dessus de la terre et détachez-vous du monde corrupteur. Dans le monde, mes enfants, triomphe le roi du mensonge ; parce que les sept péchés capitaux sont portés en triomphe, mes enfants, il faut beaucoup prier et faire pénitence. Elevez votre cœur et votre esprit vers Dieu et Il vous fera jouir de ses grandeurs.
Ma fille, les hommes sont de plus en plus aveugles pour voir la situation du monde et de plus en plus sourds à ma parole. Aimez nos Cœurs, mes enfants : car si vous aimez vraiment nos Cœurs, vous aimerez vraiment votre prochain ; mais si vous n’aimez pas Dieu, votre amour ne sera pas vrai, mes enfants. Le monde est vide de Dieu. Dans tous les foyers de la terre, Je veux que triomphe le Cœur Immaculé de ma Mère. Mes enfants, Moi, J’ai des sources d’eau de vie éternelle pour tout homme qui viendra à Moi. J’ouvre ces canaux et Je les plonge dans mes sources pour qu’ils soient fortifiés dans la foi, pour qu’ils croient en ma Parole et pour qu’ils prêchent et pratiquent la charité. Mes enfants, Moi, le Fils du Dieu vivant, l’esprit de Dieu et sa gloire, Je vous demande de vous aimer les uns les autres comme le Père et Moi nous nous aimons.
Je suis venu sur la terre pour faire la volonté de mon Père et J’ai voulu accepter sa volonté pour racheter les hommes avec mon très précieux Sang. Ah, ingrats, beaucoup d’entre vous, créatures du Créateur, comme vous dépréciez ma Passion qui a été endurée pour votre salut, mes enfants ! Quelle sorte de chrétiens êtes-vous, mes enfants, si vous repoussez la croix ? Quelle sorte de catholiques êtes-vous, mes enfants, si vous n’observez pas mes commandements ? Je vous le dis, mes enfants, repentez-vous et convertissez-vous, car les temps sont graves, et vous, les hommes, vous n’arrivez pas à considérer la justice de Dieu parce que vous en restez seulement à sa miséricorde, mes enfants. Je mettrai en œuvre ma justice pour les impies et ma miséricorde pour les justes. Jusque à quand dois-Je donner des avertissements aux hommes ! Ma fille, Je t’ai dit que ma Miséricorde est très grande, mais ma Justice est immense. Je demande à tous les hommes de bonne volonté d’écouter mes paroles et de mettre ma doctrine en  pratique.
Oui, ma fille, les hommes furent chassés du Paradis à cause du péché et envoyés sur le globe terrestre afin de recouvrer, grâce à leurs efforts et à leurs sueurs, la grâce perdue. Mais l’homme veut vivre sans travailler et il croit qu’il est vivant sans Dieu, alors que sans Dieu l’homme est mort, ma fille. Il n’y a rien sur la terre, ma fille, que l’on puisse comparer aux richesses qu’il y a dans l’Eternité. Comment les hommes peuvent-ils perdre la tête pour les misères de la terre ?
Priez pour les prêtres, afin qu’ils soient des pasteurs de mon troupeau. Je le répète, ma fille, beaucoup d’entre eux sont des salariés, ils ne sont pas des pasteurs de l’Eglise, mais des fonctionnaires. Quelle peine ! Une si grande moisson et si peu d’ouvriers pour la moissonner ! Ils parlent de Dieu, ils parlent de ma doctrine, mais beaucoup d’entre eux en restent à la parole. Ah, prêtres du Christ, tournez de nouveau votre regard vers la Divine Majesté de Dieu, et Lui, Il rendra la grâce à votre esprit pour que vous travailliez dans son troupeau ! Il y a beaucoup de travail et peu d’ouvriers. Ils ont oublié le sens de la vérité de l’Evangile. Le prêtre… Oui, ma fille, regarde : le jour où le prêtre se consacre à Dieu, Il le revêt de sa grâce dans une splendeur divine, regarde-le, ma fille… Mais regarde aussi quand il la perd… Ce sont alors des cadavres qui ne fonctionnent qu’avec le corps, sans se souvenir de leur consécration à Dieu. Je te le répète, ma fille, beaucoup se servent de l’Eglise mais ils ne servent pas l’Eglise.
Cessez d’être des fonctionnaires, mes enfants, et soyez des prêtres du Christ. Rassemblez tout ce troupeau qui est éparpillé en tant de lieux. Mes enfants, ces âmes sont exposées aux intempéries, attendant que quelque bête féroce vienne les dévorer. Protégez le troupeau du Christ, mais le pasteur doit être avec ses brebis, à l’endroit que Dieu lui a indiqué. Combien d’âmes vous pouvez sauver, âmes aimées de nos Cœurs, par votre exemple et par votre vie de vertu ! Mais vous n’êtes des prêtres qu’à certains moments de votre vie. Beaucoup d’entre vous, la majorité même, vous êtes des fonctionnaires salariés. Abandonnez les fonctions matérielles du monde et que mon Eglise fonctionne. Oui, mes enfants, ne vous rendez-vous pas compte que Satan détruit ce que J’ai construit ? Ah, mes enfants, quels comptes vous devrez rendre, davantage que les laïcs, parce que vous avez fait une promesse à Dieu !
La Très Sainte Vierge : Quelle peine, mes enfants ! Auparavant il y avait un grand nombre d’âmes où mon Cœur Immaculé pouvait se réfugier, mais maintenant, jusque dans la majeure partie des couvents, les fleurs sont flétries.
Quelle peine… ! Mes enfants, Je veux vous consoler, mais Je viens aujourd’hui pour que vous consoliez mon Cœur. Regarde, ma fille, dans quel état se trouve mon Cœur, rempli d’épines très profondes, parce que mon Cœur aime tant mes âmes consacrées que les épines sont très douloureuses. Si Je demande prière et pénitence, c’est parce que les hommes, mes enfants, sont déshumanisés, ils vivent dans les plaisirs du monde, ils tuent sans respecter la vie des autres. Les mères tuent leurs enfants dans leurs entrailles et la jeunesse est corrompue par les vices de l’alcool, des drogues, de la chair. C’est pour cela, ma fille, que Je te dis que les péchés capitaux marchent en triomphe et que les hommes ne voient pas le péché là où il est. Tu ne peux toucher aucune épine, ma fille, elles sont si profondes !
Baise le sol, ma fille, en réparation de tant et tant de péchés que l’on commet dans l’humanité. (Luz Amparo baise le sol).
Ma fille, mon Cœur (elle sanglote) éprouve une grande douleur, parce que les hommes sont ingrats, et ils ne comprennent pas que nos Cœurs souffrent. C’est pour cela, ma fille, que tu dois subir beaucoup d’épreuves morales et physiques.
Luz Amparo : Donne-moi la force, Seigneur, donne-moi des forces, Seigneur (elle sanglote). Ah, mon Dieu, je veux que Tu me donnes de la force, je veux réparer les péchés des hommes, mais je suis si souvent très faible… Donne-moi l’humilité, ma Mère !
La Très Sainte Vierge : Regarde, ma fille, comme mon Cœur saigne de douleur à cause des péchés de l’humanité. Ah, vous qui vous appelez catholiques, et qui pensez davantage au monde et aux plaisirs du monde qu’à plaire à Dieu votre Créateur ! On ne peut pas servir deux maîtres : si vous servez le monde, mes enfants, et si vous tombez dans les passions, comment pouvez-vous dire que vous servez Dieu et que vous L’aimez ? Vous ne pouvez pas atteindre la grâce, mes enfants. Ah, jeunesse, jeunesse, comme vous vous laissez entraîner par le dragon aux sept têtes ! Réveillez-vous, mes enfants, réveillez-vous à la foi et vous recevrez la grâce. Ne vous laissez pas aveugler par la ténèbre de Satan, mes enfants, et ouvrez vos oreilles.
Baise à nouveau le sol, ma fille, pour les âmes consacrées, afin qu’elles soient fidèles à leur consécration (Luz Amparo baise le sol).
Notre Seigneur : Jusqu’à quand, mes enfants, la Divine Majesté de Dieu doit-elle avertir les pauvres pécheurs ! Respectez mes commandements, mes enfants, tous ceux qui mettront mes commandements en pratique auront la vie éternelle. Que tous ceux qui accourent en ce lieu y viennent avec dévotion. Beaucoup d’entre vous qui venez en ce lieu, mes enfants, vous travaillez à diviser les âmes. Combien de fois te l’ai-Je dit, ma fille : le démon divise et Dieu unit ! Là où il y a division, il n’y a pas de paix. Aimez-vous les uns les autres.
La Très Sainte Vierge : Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis pour la consolation des pauvres moribonds et des pauvres malades.
Tous les objets ont été bénis
 

MENSAJE DEL DÍA 6 DE ABRIL DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Orad, hijos míos, orad; levantad vuestro corazón de la Tierra y despegaos del mundo corruptor. El mundo, hijos míos, es triunfador del rey de la mentira, porque los siete pecados capitales están en triunfo, hijos míos; por eso hay que orar mucho y hacer penitencia. Levantad vuestro corazón y vuestro espíritu a Dios, y Él os hará gozar las grandezas de Dios.

     Hija mía, los hombres, cada día están más ciegos para ver la situación del mundo y sordos a mi palabra. Amad nuestros Corazones, hijos míos, que si amáis de verdad nuestros Corazones, amaréis con la verdad a vuestros prójimos; pero si no amáis a Dios, vuestro amor no será verdadero, hijos míos. El mundo está falto de Dios. En todos los hogares de la Tierra quiero que triunfe el Corazón Inmaculado de mi Madre. Hijos míos, yo tengo fuentes de agua de vida eterna para todo el que venga a mí; yo abro esos canales y los sumerjo en mis manantiales, para fortalecerlos en la fe, para creer en mi Palabra y para predicar y practicar la caridad. Hijos míos, yo, el Hijo de Dios vivo, el Espíritu de Dios y su gloria, os pido que os améis unos a otros como el Padre y yo nos amamos.

     Yo vine a hacer la voluntad de mi Padre a la Tierra y quise aceptar su voluntad para redimir a los hombres con mi preciosísima Sangre. ¡Ay, ingratos, muchos de vosotros, creaturas del Creador, cómo despreciáis mi Pasión realizada para la salvación vuestra, hijos míos! ¿Qué clase de cristianos sois, hijos míos, si rechazáis la cruz? ¿Qué clase de católicos sois, hijos míos, si no practicáis mis leyes? Os digo, hijos míos: arrepentiros y convertiros, que los tiempos son graves y los hombres no habéis alcanzado a ver la justicia de Dios porque sólo os quedáis en la misericordia, hijos míos. Yo emplearé mi justicia para los injustos y mi misericordia para los justos. ¿Hasta cuándo tengo que estar dando avisos a los hombres? Hija mía, mi misericordia te he dicho que es muy grande, pero mi justicia es inmensa. Yo pido a todos los hombres de buena voluntad que escuchen mis palabras y practiquen mi doctrina.

     Sí, hija mía, los hombres fueron echados del Paraíso por el pecado y mandados al globo terrestre, para que con sus trabajos y sus sudores volviesen a recuperar la gracia perdida; pero el hombre quiere vivir sin trabajar y cree que está vivo sin Dios; y el hombre sin Dios está muerto, hija mía. Las riquezas que hay en la eternidad, hija mía, no hay nada en la Tierra que las pueda comparar. ¿Cómo los hombres se vuelven locos por las miserias de la Tierra?

     Pedid por los sacerdotes, para que sean pastores de mi rebaño; repito, hija mía, que muchos de ellos son asalariados, no son pastores de la Iglesia, son funcionarios. ¡Qué pena, tanta mies como hay y tan pocos segadores para segarla! Hablan de Dios, hablan de mi doctrina, pero muchos de ellos se quedan en la palabra. ¡Ay, sacerdotes de Cristo, volved vuestra mirada a la Divina Majestad de Dios, que Él volverá la gracia a vuestro espíritu para que trabajéis en su rebaño! Hay mucho trabajo y pocos operarios. Se les ha olvidado el sentido de la verdad del Evangelio. El sacerdote... Sí, mira, hija mía, el día que el sacerdote se entrega a Dios, lo reviste de su gracia en un esplendor divino; míralo, hija mía...; pero mira también cuando la pierden... son cadáveres que funcionan sólo con el cuerpo, sin acordarse de su entrega a Dios. Te repito, hija mía, que muchos se sirven de la Iglesia pero que no sirven a la Iglesia.

     Dejad de ser funcionarios, hijos míos, y sed sacerdotes de Cristo. Recoged todo ese rebaño que está esparcido por tantos lugares; están a la intemperie, hijos míos, esas almas esperando que venga cualquier fiera a devorarlas. Proteged el rebaño de Cristo. Pero el pastor tiene que estar con sus ovejas, en el lugar que Dios le ha indicado. ¡Cuántas almas podéis salvar, almas queridas de nuestros Corazones, con vuestro ejemplo y vuestra vida de virtud! Pero sólo sois sacerdotes unos momentos de vuestra vida; muchos de vosotros, la mayor parte, sois funcionarios asalariados. Dejad las funciones materiales del mundo y que funcione mi Iglesia. Sí, hijos míos, ¿no os dais cuenta que Satanás destruye lo que yo he construido? ¡Ay, cuánta cuenta tenéis que dar, hijos míos! ¡Vosotros más que los laicos seglares, hijos míos, porque habéis hecho una promesa con Dios!
 
 

     LA VIRGEN:

     ¡Qué pena, hijos míos! Antes había un gran número de almas donde mi Inmaculado Corazón podía refugiarse, pero ahora, hasta la mayoría de los conventos, hijos míos, están marchitas las flores.

     ¡Qué pena...! Yo quiero, hijos míos, consolaros a vosotros, pero hoy vengo para que consoléis mi Corazón. Mira cómo está mi Corazón, hija mía, lleno de espinas muy profundas, porque mi Corazón ama tanto a mis almas consagradas que las espinas son más dolorosas; por eso pido oración y penitencia, porque, hijos míos, los hombres están deshumanizados, viven los placeres del mundo, matan sin respetar la vida de los demás. Las madres matan los hijos dentro de sus entrañas, y la juventud está corrompida por los vicios del alcohol, las drogas, la carne; por eso te digo, hija mía, que los pecados capitales van en triunfo y los hombres no ven pecado donde existe el pecado. No puedes tocar ninguna espina, hija mía, ¡están tan profundas!

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados como se cometen en la Humanidad...

     Mi Corazón, hija mía, siente mucho dolor, porque los hombres son ingratos, y no comprenden que nuestros Corazones sufran; por eso, hija mía, tienes que sufrir muchas pruebas morales y físicas.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Dame fuerza, Señor, dame fuerzas, Señor. ¡Ay, Dios mío, yo quiero que me des fortaleza, quiero reparar los pecados de los hombres, pero soy muy débil muchas veces; dame humildad, Madre mía!
 
 

     LA VIRGEN:

     Mira, hija mía, cómo sangra mi Corazón lleno de dolor por los pecados de la Humanidad. ¡Ay, aquéllos que os llamáis católicos y pensáis más en el mundo y en los placeres del mundo que en agradar a Dios vuestro Creador! No se puede servir a dos señores; si estáis sirviendo al mundo y estáis, hijos míos, cayendo en las pasiones, ¿cómo decís que servís a Dios y le amáis?; no podéis alcanzar la gracia, hijos míos. ¡Ay, juventud, juventud, cómo os dejáis arrastrar por el Dragón de las siete cabezas! Despertad, hijos míos, despertad a la fe y recibiréis la gracia. No os ceguéis con la tiniebla de Satanás, hijos míos, y abrid vuestros oídos.

     Vuelve a besar el suelo, hija mía, por las almas consagradas, para que sean fieles en su consagración...
 
 

     EL SEÑOR:

     ¿Hasta cuándo, hijos míos, la Divina Majestad de Dios tiene que estar avisando a los pobres pecadores? Cumplid mis leyes, hijos míos, que todo el que cumpla mis leyes tendrá vida eterna. Todo el que acuda a este lugar, que acuda con devoción; que muchos de vosotros, de los que acudís a este lugar, hijos míos, os dedicáis a dividir a las almas. ¡Cuántas veces te he dicho, hija mía, que el demonio divide y Dios une! Donde haya división no hay paz. Amaos unos a otros.
 
 

     LA VIRGEN:

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos para la consolación de los pobres moribundos y enfermos...

     Todos los objetos han sido bendecidos.
 

4 mai 1996

La Très Sainte Vierge : Comme tu le verras, ma fille, Je viens avec le Cœur accablé de douleur. Les hommes vivent dans la confusion et ils croient vivre dans un paradis. Pour eux, les plaisirs, les vices, voilà la paradis, ainsi que les haines, les rancunes, les jalousies. Ne vois-tu pas comme ils enseignent à leurs enfants, de génération en génération, la haine, la guerre, la discorde ? Et, Je te le répète, beaucoup d’entre eux prétendent aimer Dieu. Ils se servent des Saintes Ecritures pour corrompre l’Evangile, et ils ne donnent pas de sens à la grandeur qui s’y trouve. Ils perdent tout le sens de la grâce. L’Evangile du Christ c’est l’amour, la vérité, la vie. Et parmi les hommes il y a cette désunion, ce manque d’amour, cette discorde et cette guerre. N’est-ce pas triste qu’ils enseignent à leurs enfants la haine et la rancœur d’un passé ? Comment mon Cœur ne serait-il pas triste, ma fille ! Et comment un grand nombre des pasteurs de mon Eglise en croient-ils pas que la Mère de Dieu peut se manifester aux hommes ! Ils ne voient pas la situation du monde. Etes-vous aveugles, mes enfants ?
Le monde est dans un chaos terrible. Là où Dieu n’est pas, il ne peut y avoir de paradis, mes enfants. Comment mon Cœur ne serait-il pas triste ! Comment  beaucoup de mes prêtres ne pensent-ils pas qu’une Mère ressent de la tristesse dans son cœur quand elle voit ses enfants prendre le chemin de la perdition ! Oui, mes enfants, Je me manifeste pour rappeler aux hommes qu’ils sont frères, qu’ils ne doivent pas être des ennemis et pour qu’ils vivent l’Evangile. Dieu ne peut-il pas faire ce qui Lui plaît, mes enfants ? Jusqu’où, esprits tordus, êtes-vous capables de vous immiscer dans les plans de Dieu ! Je me manifeste aux pécheurs pour qu’ils tournent leur regard vers leur Créateur, mais les hommes ingrats empirent de jour en jour.
Notre Seigneur : Ah, mon Eglise, comme tu es outragée ! Comme est outragé ton Fondateur ! Il y a des milliers d’années Je me suis manifesté sur la terre pour rappeler aux hommes la vérité de l’Evangile. Si les hommes mettaient en pratique les Lois de Dieu, il ne serait pas nécessaire que la Mère de Dieu descende sur terre pour avertir les hommes de mettre en pratique la vérité et d’obéir à la loi.
La Très Sainte Vierge : Ah, ingrats, aveugles ! Ne voyez-vous pas la situation du monde, mes enfants ? Ne voyez-vous pas que Satan est en train de s’emparer de la jeunesse ? Ne voyez-vous pas que les mères jettent leurs enfants dans cette liberté qui est un libertinage où ils commettent toute sorte de péchés, mes enfants ? Ah, pères et mères qui ne corrigez pas vos enfants et qui ne leur enseignez pas la vérité de l’Evangile ! Ne voyez-vous pas le danger que courent vos enfants, et lorsque vous voulez bien vous en rendre compte, ils sont déjà perdus. Enseignez-leur la religion, mes enfants. Je te le dis souvent, ma fille, la religion est un frein pour l’âme. Ah, malheur aux âmes qui s’occupent seulement de ce que leurs enfants vivent leur vie ! Et voilà comment vos enfants finissent par penser que l’espérance s’achève après la mort et qu’il n’y a pas d’autre fin que celle-ci. Oui, l’espérance s’achève, mais l’éternité continue, mes enfants. Combien d’entre vous mettez votre espérance dans les vanités, les caprices du monde et les affections humaines ! Et lorsque vous vous présenterez devant la Divine Majesté de Dieu, ce sera terrible, mes enfants, parce que vous n’avez pas voulu mettre ses Lois en pratique. Il ne vous connaîtra pas, comme vous, vous n’avez pas voulu le connaître. Et si quelques-uns d’entre vous désirent Le connaître, vous devez Le connaître tel qu’Il est, mes enfants, non pas à votre guise et suivant votre caprice, avec vos libertés. Dans ces libertés vous choisissez le chemin de la perdition. Ah, parents qui ne savez pas éduquer vos enfants ! Quand vous arriverez en présence de Dieu, que vous répondra-t-Il , mes enfants ? Oui, vous êtes coupables de cette situation parce que vous n’avez pas su conduire vos enfants vers la vérité, vers le chemin et vers la vie. Vous les avez laissés entrer dans la mort, et ils sont morts pour l’éternité céleste, mes enfants.
Ces paradis que les hommes se fabriquent sur la terre, celui qui les dirige, mes enfants, c’est le roi du mensonge, de la tromperie, de la destruction. Ce n’est pas un paradis, c’est la corruption, le mensonge, la destruction, la vanité, la désunion, les guerres, les massacres. Mais, mes enfants, pourquoi les hommes en arrivent-ils à cette situation ? Parce que les hommes deviennent aveugles et ne voient pas Dieu. Comment mon pauvre Cœur en serait-il pas triste ? Et comment mes prêtres peuvent-ils penser que Moi, la Mère des pécheurs, Je ne viens pas les avertir, en voyant leur sottise, pour qu’ils se convertissent ? Ah, sots, qui êtes-vous pour penser ce que Dieu doit faire, mes enfants ! Dieu se manifeste à qui Il veut, quand Il veut, et où Il veut, pour obtenir du fruit de sa manifestation. Mais comme vous manquez d’humilité, âmes si aimées de nos Cœurs. Pourquoi êtes-vous aveugles ? Parce que vous êtes infidèles et que vous ne voyez pas la grâce ; parce que vous aussi vous êtes matérialisés, et que vous vivez davantage de la matière que de l’esprit. C’est pourquoi, mes enfants, Je vous dis de ne pas en rester aux paroles, mais d’accomplir des œuvres. Quelquefois les paroles sont bien jolies, mais les actes sont désastreux, mes enfants. Jusques à quand, mes enfants, jusques à quand doit-on vous donner des avertissements ? Si vous, pasteurs de mon Eglise, vous ne prêchez pas l’Evangile tel qu’il est, comment les hommes vont-ils voir la vérité ? Beaucoup d’hommes comprennent mal l’Evangile parce que beaucoup d’entre vous ne parlez pas avec clarté, mes enfants. Soyez clairs et dites la vérité.
Comme Je te le dis, ma fille, la vérité est crue, et les pasteurs ont peur de dire cette vérité. Ils ne parlent que de la Miséricorde de Dieu. C’est pourquoi chaque individu veut se gouverner par lui-même et veut la liberté car, comme Dieu est miséricordieux, quoi qu’ils fassent, Dieu appliquera sa miséricorde, selon ce que disent beaucoup de mes prêtres.
Mais, mes enfants, pourquoi n’enseignez-vous pas où est le péché et où est la vertu ? Vous prenez le péché pour la vertu et la vertu pour le péché. Soyez clairs, mes enfants, et doux. Avec la clarté et la douceur, vous allez conquérir beaucoup d’âmes. Vous savez, mes enfants, que le troupeau du Christ s’est éparpillé et qu’il se divise de plus en plus. Pourquoi, mes enfants ? Parce qu’il n’y a pas de prière, parce qu’il n’y a pas de sacrifice, parce que chacun veut vivre selon ses goûts, sans que personne ne lui impose des lois. Malheur à vous, mes enfants, si vous n’êtes pas fidèles à l’Evangile et à la Parole qui est vérité ! Ne jouez pas à cache-cache, mais parlez clairement aux hommes, et ils vous comprendront mieux, mes enfants. Quel manque d’amour il y a entre les hommes, quel manque de compréhension et d’unité !
Priez, mes enfants, approchez-vous du sacrement de la pénitence, confessez vos fautes, afin qu’elles soient pardonnées. Combien disent qu’ils se confessent directement à Dieu ! Ah, mes enfants, vous avez honte que l’on vous connaisse tels que vous êtes ! Allez vers les prêtres qui sont les pasteurs de l’Eglise et qui ont l’obligation et le devoir d’être dans le confessionnal pour recevoir les pauvres pécheurs. Oui, mes enfants, confessez vos fautes, afin que vos péchés soient absous. Et toi, ma fille, sois humble, prie et fais des sacrifices pour les pauvres pécheurs. Malheur à ceux qui fomentent les discordes et les guerres ! Malheur à ceux qui mettent la haine dans le cœur des petits enfants et leur apprennent à haïr dès qu’ils ont l’usage de leur raison ! Ah, il eût mieux valu qu’ils ne fussent pas nés !
Priez, priez, mes enfants, la prière est un frein. Aimez les déshérités. Et vous tous, mes enfants, développez cette Œuvre pour qu’elle croisse et que vous puissiez faire du bien à l’humanité. L’œuvre vous concerne tous, mes enfants, parce que vous avez tous reçus des grâces très spéciales. Aimez beaucoup nos Cœurs : aussi pécheurs que vous soyez, mes enfants, si vous venez avec contrition et repentir, Je vous serrerai sur mon Cœur avec mon amitié, mes enfants.
Oui, ma fille, oui, les esprits du mal éprouvent la terre, aussi bien l’homme que la matière. Combien de fois t’ai-Je dit, ma fille, que l’homme veut atteindre Dieu avec son intelligence ! Et tout ce qu’il est capable de faire, c’est de détruire l’humanité en partie, et peu à peu, l’humanité entière. Personne ne comprendra les mystères de Dieu, aussi nombreux que soient les savants qui fassent des recherches et qui veuillent s’immiscer dans ces mystères. Ces choses appartiennent à la Divine Majesté de Dieu. Aussi cultivés que vous soyez, mes enfants, aussi grande que soit votre intelligence, si vous ne l’orientez pas vers la Loi de Dieu et vers son Evangile, votre sagesse et votre intelligence sont aux mains de Satan, parce que vous ne les consacrez pas au bien mais au mal. C’est ainsi qu’est aujourd’hui l’humanité, car chacun veut faire des recherches sur les hauteurs qu’il y a dans le ciel, mais en détruisant la terre. Ah, mes enfants, vous n’êtes sur le globe terrestre que pour vous aimer, pour travailler et gagner votre pain à la sueur de votre front, mes enfants. Pourquoi perdez-vous votre temps dans des choses inutiles ? Oui, ma fille, regarde les conséquences de cette action des hommes.
Luz Amparo : Ah, quelle déformation !… Ah, les êtres humains ne semblent pas des êtres huma ins… ils sont comme des fauves, comme des bêtes sauvages !…
La Très Sainte Vierge : C’est ainsi qu’arrivera le moment où le globe terrestre sera envahi de toutes ces expérimentations, ma fille.
Luz Amparo : Ah, quelle horreur…, ah !
La Très Sainte Vierge : L’homme ne laisse pas la nature suivre son cours comme Dieu le veut. Il s’immisce dans les plans divins et voilà la conséquence, ma fille.
Luz Amparo : Ah, mon Dieu !
La Très Sainte Vierge : Beaucoup d’être humains préféreraient être morts plutôt que de voir cette situation, mes enfants. Voyez comme l’homme sans Dieu ne peut rien faire d’autre que des désastres dans le monde. Si l’homme est fait à l’image et à la ressemblance de Dieu, comment veut-il changer ce que Dieu a créé ? Quand ceci arrivera, les vivants envieront les morts, ma fille. C’est pourquoi je demande prière et pénitence. L’homme ne se rend pas compte de la situation du monde et du chaos si terrible qui peut s’abattre sur l’humanité. Priez, mes enfants, pour que les hommes soient humbles et fassent la volonté de Dieu. Depuis le commencement de la création, l’homme n’a pas fait la volonté de Dieu et c’est pourquoi, ma fille, la terre a été châtiée si souvent.
Je demande la prière et l’obéissance à la Loi de Dieu. Soyez humbles, mes enfants. Ne venez pas ici seulement en curieux ; mais que votre cœur manifeste une pureté d’intention qui permette à la grâce et aux dons de Dieu de parvenir dans votre âme.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour le Jour des ténèbres.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.

MENSAJE DEL DÍA 4 DE MAYO DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, como verás, vengo con el Corazón transido de dolor. Los hombres, hija mía, viven en un desconcierto y creen vivir en un paraíso, hija mía. Para ellos, los placeres, los vicios, es un paraíso, hija mía, los odios, los rencores, las envidias. ¿No ves, hija mía, cómo enseñan a sus hijos, de generación en generación, el odio, la guerra, la discordia?; y muchos de ellos, te repito, dicen amar a Dios, se sirven de las Sagradas Escrituras para corromper el Evangelio y no le dan sentido a la grandeza que hay en él, pierden todo el sentido de la gracia. El Evangelio de Cristo es el amor, la verdad, la vida, y entre ellos mismos, hija mía, existe esa desunión, ese desamor, esa discordia y esa guerra. ¿No es una pena, hija mía, que enseñen a sus hijos el odio y el rencor de un pasado? ¡Cómo mi Corazón no va a estar triste, hija mía! Y ¡cómo los pastores de mi Iglesia, muchos de ellos, no creen en que la Madre de Dios puede manifestarse a los humanos! No ven la situación del mundo; ¿estáis ciegos, hijos míos?

     El mundo está en un caos terrible. Donde Dios no está, no puede haber paraíso, hijos míos. ¡Cómo no va a estar triste mi Corazón y cómo muchos de mis sacerdotes no piensan que una Madre siente tristeza en el corazón cuando ve que sus hijos van por el camino de la perdición! Sí, hijos míos, sí, yo me manifiesto para recordar a los hombres que son hermanos, que no sean enemigos y que vivan el Evangelio. ¿Es que Dios no puede hacer lo que le plazca, hijos míos? ¡Hasta dónde, mentes retorcidas, sois capaces de meteros en los planes de Dios! Yo me manifiesto a los pecadores para que vuelvan la mirada hacia el Creador; y los hombres ingratos, cada día son peores.
 
 

     EL SEÑOR:

     ¡Ay, Iglesia mía, qué ultrajada eres, como es ultrajado tu Fundador!; a eso hace miles de años que me manifesté en la Tierra: para recordar a los hombres la verdad del Evangelio. Si los hombres cumpliesen las leyes de Dios, no haría falta que la Madre de Dios bajase a la Tierra a avisar a los hombres que cumplan con la verdad y con la Ley.
 
 

     LA VIRGEN:

     ¡Ay, ingratos, ciegos! ¿No veis la situación del mundo, hijos míos? ¿No veis que la juventud Satanás se está haciendo dueño de ella? ¿No veis que las madres meten a sus hijos en esa libertad, que es un libertinaje, donde cometen toda clase de pecados, hijos míos? ¡Ay, madres y padres que no corregís a vuestros hijos y no les enseñáis la verdad del Evangelio! No veis el peligro que tienen vuestros hijos, y cuando queréis, hijos míos, daros cuenta, ya están perdidos. Enseñadles la religión, hijos míos. Ya te digo muchas veces, hija mía, que la religión es un freno para el alma. ¡Ay, almas que sólo os ocupáis de que vuestros hijos vivan la vida! Así terminan vuestros hijos, hijos míos: pensando que la esperanza se acaba después de la muerte y ya no hay otro fin nada más que éste, hijos míos. Sí, la esperanza se acaba, pero la eternidad sigue, hijos míos; cuántos ponéis vuestra esperanza en vanidades y caprichos del mundo, en apegos humanos, y cuando os presentéis ante la Divina Majestad de Dios será terrible, hijos míos, porque no habéis querido cumplir con sus leyes y no os conocerá como vosotros no habéis querido conocerle. Y si algunos de vosotros queréis conocerle, tenéis que conocerle tal como es, hijos míos, no a vuestro capricho, a vuestro antojo, con vuestras libertades. En esas libertades escogéis el camino de la perdición. ¡Ay, padres que no sabéis educar a vuestros hijos!, cuando lleguéis a presentaros ante todo un Dios, ¿qué os responderá, hijos míos?, si vosotros sois culpables de esa situación porque no habéis sabido conducir a vuestros hijos a la Verdad, al Camino y a la Vida; los habéis dejado introducirse en la muerte y han muerto para la eternidad celeste, hijos míos.

     Estos “paraísos” que se forman los hombres en la Tierra, el que los rige, hijos míos, es el rey de la mentira, del engaño, de la destrucción. Esto no es un paraíso, esto es corrupción, mentira, destrucción, vanidad, desunión, guerras, matanzas...; pero, hijos míos, ¿por qué llega el hombre a esa situación? Porque el hombre se queda ciego y no ve a Dios. ¿Cómo no va a estar triste mi pobre Corazón? Y ¿cómo mis sacerdotes pueden pensar que yo, Madre de los pecadores, no vengo a avisarles, viendo su necedad, para que se conviertan? ¡Ay, necios, ¿quién sois vosotros para pensar lo que Dios tiene que hacer, hijos míos?! Dios se manifiesta a quien quiere y cuando quiere y donde quiere, para sacar frutos de su manifestación. Pero qué poco humildes sois, almas tan queridas por nuestros Corazones. ¿Por qué estáis ciegos?, porque sois infieles y no veis la gracia; porque vosotros también estáis materializados y vivís más la materia que el espíritu; por eso, hijos míos, os digo que no os quedéis sólo en la palabra, id a la obra. Las palabras, a veces son muy bonitas, pero los hechos son desastrosos, hijos míos. ¿Hasta cuándo, hasta cuándo, hijos míos, os tienen que estar dando avisos? Si vosotros, pastores de mi Iglesia, no predicáis el Evangelio tal como es, ¿cómo los hombres van a ver la verdad? Muchos confunden el Evangelio porque no habláis con claridad, hijos míos, muchos de vosotros; sed claros y hablar la verdad.

     Como te digo, hija mía, la verdad es cruda y les da miedo de decir esa verdad. Sólo dejan y hablan de la misericordia de Dios; por eso cada individuo quiere gobernarse por sí mismo y quiere una libertad, porque como Dios es misericordioso, hagan lo que hagan, Dios aplicará su misericordia, según mis sacerdotes, muchos de ellos. Pero, ¿cómo, hijos míos, no enseñáis dónde está el pecado y dónde está la virtud? Que veis el pecado virtud y la virtud pecado. Sed claros, hijos míos, y suaves. Con claridad y con suavidad conquistaréis muchas almas. Ya sabéis, hijos míos, que el rebaño de Cristo está esparcido y cada día está más desunido; ¿por qué, hijos míos? Porque no hay oración, porque no hay sacrificio, porque cada uno queréis vivir según vuestros gustos, sin que nadie os ponga unas leyes, hijos míos. ¡Ay de vosotros, hijos míos, si no sois fieles al Evangelio y a la palabra que es la verdad! No andéis con escondites, sino hablad claramente a los hombres. Os entenderán mejor, hijos míos. ¡Qué falta de amor hay entre los hombres, qué falta de comprensión y de unidad!

     Haced oración, hijos míos, acercaos al sacramento de la Penitencia, confesad vuestras culpas, para que vuestras culpas sean absueltas, hijos míos. ¡Cuántos decís que os confesáis directamente con Dios! ¡Ay, hijos míos, que os da vergüenza que os conozcan como sois! Id al sacerdote, que son pastores de la Iglesia y tienen la obligación y el deber de estar en el confesionario, para recibir a los pobres pecadores. Y confesad vuestras culpas, hijos míos, para que vuestros pecados sean perdonados. Tú, hija mía, sé humilde, haz oración y sacrificios por los pobres pecadores, hija mía. Y ¡ay de aquéllos que forman discordias y guerras! ¡Ay de aquéllos que meten el odio a los pequeñuelos en su corazón y les enseñan a odiar desde que tienen uso de razón! ¡Ay, más les valiera no haber nacido, hijos míos!

     Orad, orad, hijos míos, la oración es un freno. Y amad a los desvalidos. Y todos, hijos míos, levantad esta Obra, para que vaya creciendo y podáis ir haciendo bien a la Humanidad. De todos es la Obra, hijos míos, porque todos habéis recibido gracias muy especiales. Amad mucho nuestros Corazones, que por muy pecadores que seáis, hijos míos, si venís contritos y arrepentidos, yo os daré un abrazo de amistad, hijos míos.

     Sí, hija mía, sí, los espíritus del mal están afectando la Tierra; lo mismo al hombre que a la materia. ¡Cuántas veces te he dicho, hija mía, que el hombre quiere alcanzar a Dios con su inteligencia!; y lo que hace es destruir parte y, poco a poco, a la Humanidad. Los misterios de Dios nadie los comprenderá, por muchos sabios que indaguen y muchos que quieran meterse en esos misterios; eso corresponde a la Divina Majestad de Dios. Por muy cultos que seáis, hijos míos, y mucha inteligencia que tengáis, si no la encamináis a la Ley de Dios y a su Evangelio, vuestra sabiduría y vuestra inteligencia está en manos de Satanás, porque no la dedicáis para el bien, la dedicáis para el mal. Así está hoy la Humanidad, que cada uno quiere investigar las altezas que hay en el cielo, destruyendo la Tierra. ¡Ay, hijos míos, si sólo estáis en el globo terrestre para amaros, trabajar y ganar el pan con el sudor de vuestro rostro, hijos míos!, ¿por qué perdéis el tiempo en cosas inútiles? Sí, hija mía, mira las consecuencias de los hombres.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, qué deformación! ¡Ay, los seres humanos no parecen seres humanos! ¡Ay, ay! ¡Ay, son como fieras, como animales salvajes!
 
 

     LA VIRGEN:

     Así llegará el momento en que el globo terrestre esté rodeado con todos estos experimentos, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay!, ¡ay, qué horror, ay!
 
 

     LA VIRGEN:

     El hombre no deja a la naturaleza llevar su curso como Dios quiere; se mete en los planes divinos y ésta es la consecuencia, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, Dios mío!
 
 

     LA VIRGEN:

     Muchos seres humanos quisieran estar muertos antes de ver esta situación, hijos míos. Para que veáis cómo el hombre sin Dios no puede hacer nada más que destrozos en el mundo. Si el hombre está hecho a imagen y semejanza de Dios, ¿cómo quiere el hombre cambiar lo que Dios ha creado? Cuando esto suceda, los vivos envidiarán a los muertos, hija mía; por eso pido oración, penitencia. El hombre no se da cuenta de la situación del mundo y del caos tan terrible que puede venir sobre la Humanidad. Orad, hijos míos, para que los hombres sean humildes y hagan la voluntad de Dios. Desde el principio de la creación, el hombre no hizo la voluntad de Dios y por eso, hija mía, ha sido castigada la Tierra tantas veces.

     Oración pido y obediencia a la Ley de Dios. Sed humildes, hijos míos, y no vengáis sólo a curiosear, sino con intención de corazón limpia, para que a vuestra alma, hijos míos, llegue la gracia y los dones de Dios.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales, para el día de las tinieblas...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

1er juin 1996

Notre Seigneur : Ma fille, combien souffrent nos Cœurs, Je continue à le répéter, parce que les hommes ne font aucun cas de mes paroles ! Ils ne se rendent pas compte de la gravité de la situation qu’il y a dans le monde. Les hommes veulent atteindre le Créateur, mais de quelle façon veulent-ils le faire, ma fille ? En ne mettant pas en pratique les Lois que le Créateur leur a imposées pour leur salut, mais en se faisant eux-mêmes « créateurs ».
Les hommes font plus cas des paroles des hommes que des paroles de Dieu. Leur orgueil, ma fille, va leur faire détruire la planète terrestre. Ils veulent créer de nouvelles races et ce qu’ils vont faire, c’est créer des bêtes sauvages, pour que la race humaine disparaisse. Jamais l’homme ne pourra être le créateur d’un être humain, parce que Dieu seulement a le pouvoir de créer l’âme qui fait de l’homme un être rationnel. Un corps sans âme n’est pas un être rationnel, et l’âme, ma fille, seul le Créateur incréé peut la créer. Jusqu’où voulez-vous arriver, vous qui vous croyez sages ? Jusqu’à la destruction de la planète terre et de vos propres âmes ?
L’homme n’a pas de cœur, ma fille. L’être humain s’achemine à toute allure vers la destruction. Priez beaucoup, mes enfants, pour que l’Ange de la Vérité détruise tous les plans en vue de la destruction du globe terrestre, conçus par ces esprits dirigés par Satan. Ce sera horrible, ma fille, mais c’est que les hommes sont dénaturés, ils ne pensent pas au Dieu Créateur, au Dieu Sauveur, au Dieu incréé. Ils pensent qu’ils sont eux-mêmes des êtres privilégiés pour créer. Jusqu’où et jusqu’à quand, mes enfants, vais-je vous avertir de ne pas vous immiscer dans les plans de Dieu, car personne ne peut atteindre la sagesse de Dieu ! Parce que Dieu est incréé ; il existait avant tous les siècles, et Il est celui qui avait le pouvoir pour créer. Mais vous, au lieu d’utiliser votre sagesse pour faire le bien aux êtres humains, vous en tirez profit pour vous convertir en « créateurs » de destructions.
Les hommes sont comme les bêtes sauvages ; leur cœur est bloqué ; et ils ne pensent pas à l’être humain, mais ils s’introduisent de plus en plus dans des mystères occultes et ils ne savent pas le mal qu’ils peuvent causer à l’Humanité. Suivez les Lois de Dieu, mes enfants, et ne faites pas de recherches sur tant de choses qui peuvent faire du mal à l’Humanité. Raisonnez comme des êtres humains ; ne vous croyez pas sages ni puissants. Dieu seul est puissant et sage pour créer. Mais que voulez-vous donc faire vous-mêmes du monde, mes enfants ? Priez beaucoup, parce que ce sera terrible si l’homme réussit à réaliser ces choses. Ne perdez pas votre temps, mes enfants, pour détruire la race humaine. Profitez du temps pour sauver vos âmes et pour aider les pauvres et les nécessiteux.
Quelle peine ! Quel manque de foi chez les hommes ! Ils disent qu’ils veulent construire des choses nouvelles pour faire le bien de l’Humanité ; et ce qu’ils font, c’est détruire cette Humanité que Dieu a créée pour qu’elle participe à sa divinité. Ils veulent tout changer, ma fille. Ils ne voient pas les péchés là où ils se trouvent, ni la vertu là où elle est ; parce que Dieu, pour eux, n’existe pas ; parce qu’ils se forment un Dieu à leur manière et suivant leur fantaisie ; sinon, leur orgueil ne les entraînerait pas si loin, ma fille.
La Très Sainte Vierge : Vivez l’Evangile, mes enfants, et marchez sur le chemin du salut. Aimez-vous comme des frères, laissez-vous conduire et écoutez mes paroles, mes enfants. Il sera terrible, le chaos qui peut survenir sur l’Humanité. Priez, tous ensemble, priez les uns pour les autres, et que la charité règne entre vous tous.
Notre Seigneur : Et toi, ma fille, ne t’afflige pas parce que les hommes n’ont pas de cœur dans leurs paroles. Pense que les miens n’en ont pas eu pour Moi. Comment le disciple pourrait-il être au-dessus du Maître, ma fille ! N’aie aucun remords, ma fille, parce que tu as lutté pour élever tes enfants, en travaillant à la sueur de ton front, pour les élever dignement, ma fille. Je t’ai éprouvée depuis ta plus tendre enfance, et Je t’ai appris la souffrance et la douleur. Rien ne peut t’affecter maintenant, ma fille ; ni les paroles ni les calomnies des êtres sans cœur, parce qu’il n’y a qu’un être sans cœur qui puisse écrire ces mots. C’est pourquoi Je te dis, ma fille, que tu es déjà habituée à souffrir. Qu’il ne reste donc aucune blessure dans ton cœur à cause de cette cruauté des hommes. Tu as transmis aux hommes les paroles que Je t’ai communiquées ; continue à les répéter, ma fille. Malheur à vous, mères, Je le répète, qui introduisez vos enfants dans les plaisirs du monde pour leur donner le libertinage ! Qu’adviendra-t-il de vous ? Malheur à vous, pères, qui ne savez pas les éduquer dans la sainte crainte de Dieu ! Vous n’avez pas d’excuse, parce que beaucoup d’entre vous, vous ne pouvez pas ensuite invoquer comme excuse le fait que vous n’aviez pas de temps, que vous deviez travailler. Non, mes enfants, vous préférez que vos enfants se perdent dans le monde en se préparant à des grandes carrières, et vous oubliez le plus important : la parole de Dieu, mes enfants.
A toi, ma fille, personne ne t’a enseigné la parole et Je t’ai donné un mari malade et sept enfants pour ma Gloire, et tu as dû, ma fille, travailler beaucoup pour élever dignement tes enfants. Bien sûr il y a toujours parmi eux une brebis qui s’écarte du chemin, mais toi, ne t’en trouve pas responsable, ma fille, parce que tu as toujours pensé à eux. Ne tiens pas compte des paroles cruelles de ces âmes sans cœur. Ne sois pas si sensible, sois forte. La sainteté n’est pas faible, elle doit avoir de la force pour accepter tout ce qui peut venir de la main de Dieu et des hommes : Je le permets, ma fille. Et pense que Satan détruit, il ne construit pas, ma fille. Toi, essaie de construire, non de détruire. Tout est clair, ma fille, et tout peut apparaître au grand jour. Mais parfois, ma fille, là où tu te l’imagines le moins, il y a un « judas » qui te vend, qui te trahit.
Priez beaucoup, mes enfants. Prie pour ces âmes qui ont tant besoin de la grâce. Je donne la grâce, ma fille, mais regarde ce qu’ils en font : beaucoup d’âmes la foulent aux pieds. J’aime ceux qui sont fidèles mais Je repousse l’infidélité des âmes. J’aime la noblesse et Je rejette les duplicités. L’âme qui a des duplicités, ma fille, n’a pas de limpidité de cœur, elle aura toujours des discordes et des guerres à l’extérieur et à l’intérieur de son foyer. N’ai-Je pas donné suffisamment, ma fille ? Mais combien devraient être nuit et jour à genoux afin de remercier pour tant de grâces qui leur ont été données ? Et regarde quelles réactions elles ont devant la correction, devant les paroles et devant la vérité. Je hais l’hypocrisie. Je méprise les orgueilleux et ceux qui n’ont pas le cœur limpide parce que ce sont des pharisiens hypocrites. Qui m’a vendu, ma fille ? Celui qui était le plus près. Quels furent ceux qui m’appelaient Belzébuth et qui s’effrayaient parce que… (Ah ! dit Luz Amparo, qui contemple ce que le Seigneur lui fait voir). Oui, regarde ces scènes, ma fille ;…parce que Je faisais la charité les jours de sabbat. Regarde quelles insultes… Regarde, ma fille, ce que J’ai reçu. Il n’y a pas de jour pour la charité : tous les jours sont bons pour mettre en pratique la charité.
Ma fille, tu sais que tous ceux qui aiment Dieu de tout leur cœur sont persécutés et calomniés. Réfugie-toi dans nos Cœurs et ne défaille pas, mais avec la vigueur de l’aigle, ma fille, un jour tu t’envoleras très haut, là où tu rencontreras ton Créateur. ? Il vaut la peine de souffrir, parce que ceux qui te font souffrir t’ouvrent le chemin du salut. Je te demande beaucoup d’humilité, ma fille, et beaucoup de force, car tu sais que ton bonheur n’est pas ici bas. Il est là-haut, ma fille.
La Très Sainte Vierge : Venez en ce lieu, mes enfants, vous y recevrez des grâces très spéciales pour votre salut. Que vous êtes ingrats, vous qui avez reçu des grâces pour sauver les âmes de vos êtres chers et qui ne savez pas être fidèles à la grâce ! Quelle peine vous me donnez , mes enfants ! Aimez-vous comme des frères et soyez toujours unis dans l’amour, ainsi que le Christ est venu l’enseigner aux hommes.
Baise le sol, ma fille, en réparation de tant et tant d’offenses que l’on commet contre Dieu le Créateur.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis pour la conversion des pauvres pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.

MENSAJE DEL DÍA 1 DE JUNIO DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hija mía, ¡cuánto sufren nuestros Corazones, sigo repitiendo, porque los hombres no hacen caso a mis palabras!; no se dan cuenta de la gravedad y de la situación que hay en el mundo. Los hombres quieren alcanzar al Creador; pero, ¿de qué forma quieren hacerlo, hija mía?: no cumpliendo las leyes que el Creador ha impuesto para su salvación, sino haciéndose ellos “creadores”(1).

     El hombre hace más caso a las palabras de los hombres que a las palabras de Dios; su soberbia, hija mía, los va a hacer destruir el planeta terrestre, hija mía; quieren crear nuevas razas, y lo que van a hacer es crear fieras, para que desaparezca la raza humana. Nunca el hombre podrá ser creador de un ser humano, porque sólo Dios tiene poder para crear el alma, que es lo que hace racional al hombre. Un cuerpo sin alma no es un ser racional, y el alma, hija mía, sólo la puede crear el Creador Increado. ¿Hasta dónde queréis llegar, vosotros que os creéis sabios?, ¿hasta la destrucción del planeta Tierra y de vuestras propias almas?

     El hombre no tiene entrañas, hija mía. El ser humano va a unas velocidades hacia la destrucción. Orad mucho, hijos míos, para que esas mentes que son dirigidas por Satanás, destruya el Ángel de la Verdad todos sus planes para la destrucción del globo terrestre. Será horrible, hija mía, pero es que los hombres están desnaturalizados, no piensan en Dios Creador, en Dios Salvador, en el Dios Increado; se piensan ellos mismos seres privilegiados para crear. ¿Hasta dónde y hasta cuándo, hijos míos, os voy a estar avisando que no os metáis en los planes de Dios, hijos míos, que nadie puede llegar a la sabiduría de Dios?, porque Dios fue increado, existía antes de todos los siglos, y Él es el que tenía poder para crear; pero vosotros, que en vez de aprovechar vuestra sabiduría en hacer el bien a los seres humanos, la aprovecháis para convertiros en “creadores” (1)de destrucciones.

     El hombre está como las fieras; su corazón está bloqueado; y no piensa, hija mía, en el ser humano, sino cada día más se introducen en misterios ocultos, que no saben el mal que pueden causar a la Humanidad. Seguid las leyes de Dios, hijos míos, y no investiguéis tantas cosas que pueden hacer daño a la Humanidad. Razonad como seres humanos; no os creáis sabios y poderosos; sólo Dios es poderoso y sabio para crear. Pero, ¿qué queréis hacer vosotros del mundo, hijos míos? Orad mucho, porque será terrible si esto lo llega a realizar el hombre. No perdáis el tiempo, hijos míos, para destruir la raza humana. Ganad el tiempo para salvar vuestras almas y para ayudar a los pobres y necesitados.

     ¡Qué pena y qué falta de fe tienen los hombres! Dicen que quieren construir cosas nuevas para hacer el bien a la Humanidad, y lo que hacen es destruir esta Humanidad que Dios creó para que participasen de su divinidad. Todo lo quieren cambiar, hija mía. No ven los pecados donde el pecado existe, ni la virtud; porque Dios, para ellos, no existe; porque se forman un Dios a su manera y a su antojo; si no, su soberbia no les llevaría tan lejos, hija mía.

     Vivid el Evangelio, hijos míos, y caminad por el camino de la salvación. Amaos como hermanos y dejaos conducir y escuchad mis palabras, hijos míos. Será tremendo el caos que puede venir sobre la Humanidad. Orad todos juntos y pedid unos por otros, que reine la caridad entre todos.

     Y tú, hija mía, no te angusties porque los hombres no tengan entrañas para hablar; piensa que los míos no la tuvieron para mí. ¡Cómo va a ser más el discípulo que el Maestro, hija mía! No tengas ningún remordimiento, hija mía, porque tú has luchado para criar a tus hijos, trabajando con el sudor de tu frente, para sacarlos adelante, hija mía. Te he probado desde muy niña, y te he enseñado el sufrimiento y el dolor. Nada te puede afectar ahora, hija mía, ni las palabras ni las calumnias de los seres sin entrañas, porque sólo un ser sin corazón puede escribir esas palabras. Por eso te digo, hija mía, que ya estás acostumbrada a sufrir; luego que no te quede ninguna herida en el corazón por esa crueldad de los hombres. Tú has dicho a los hombres las palabras que yo te he comunicado, y sigue repitiéndolas, hija mía, porque, ¡ay, madres, repito, que introducís a vuestros hijos en los placeres del mundo para darles libertinaje! ¿Qué va a ser de vosotras? Y ¡ay, padres, que no los sabéis educar en el santo temor de Dios!; y que no tenéis excusa, porque muchos de vosotros no podéis luego excusaros de que no teníais tiempo, de que teníais que trabajar. No, hijos míos, preferís que vuestros hijos se pierdan en el mundo, estudiando grandes carreras, y se os olvida lo más importante: la palabra de Dios, hijos míos.

     Tú, hija mía: nadie te enseñó la palabra y te di un marido enfermo y siete hijos para mi gloria, y tuviste, hija mía, que trabajar mucho para sacar a tus hijos adelante. Si entre ellos siempre hay una oveja que se desvía..., pero tú no te encuentres responsable, hija mía, porque tú has estado pendiente de ellos, y no hagas caso a las palabras crueles de esas almas sin corazón. No seas tan sensible; sé fuerte. La santidad no es débil, tiene que tener fortaleza para aceptar todo lo que venga de la mano de Dios y de los hombres. Yo lo permito, hija mía. ¡Y piensa que Satanás destruye, no construye, hija mía!; y tú intentas construir, no destruir. Todo está claro, hija mía, y todo se puede ver a la luz; pero a veces, donde menos te figuras, hija mía, hay un judas que te vende y te traiciona.

     Orad mucho, hijos míos, y pide por esas almas tan necesitadas de la gracia. Yo doy la gracia, hija mía, pero mira lo que hacen con ella: pisotearla muchas almas. Yo amo a los que son fieles, pero rechazo la infidelidad de las almas. Amo la nobleza y rechazo los dobleces. El alma que tiene dobleces, hija mía, no tiene limpieza de corazón, siempre tendrá discordias y guerras fuera y dentro de sus hogares. ¿No he dado bastante, hija mía? Pero, ¿cuántas almas tenían que estar día y noche, de rodillas, dando gracias por tantas gracias que se les ha dado? Y mira qué reacciones tienen ante la corrección, ante las palabras y ante la verdad. Yo odio la hipocresía; los soberbios y los que no son limpios de corazón los desprecio, porque son hipócritas fariseos. ¿Quién me vendió a mí, hija mía? El que más cerca estaba. ¿Cuáles fueron los que me llamaban Belcebú y se asustaban porque...? (Luz Amparo expresa admiración). Sí, mira esas escenas, hija mía; porque hacía la caridad en sábados. Mira qué insultos...; mira, hija mía, lo que yo recibí. La caridad no tiene día: todos los días son buenos para aplicar la caridad.

     Hija mía, sabes que todo el que ama a Dios con todo su corazón es perseguido y calumniado. Refúgiate en nuestros Corazones y no desfallezcas, sino con aliento de águila, hija mía, un día darás un vuelo muy alto donde te encuentres con tu Creador. Vale la pena sufrir, porque son los que te siembran el camino de la salvación. Te pido mucha humildad, hija mía, y mucha fortaleza, pues sabes que tu felicidad no está aquí abajo; está arriba, hija mía.
 
 

     LA VIRGEN:

     Acudid a este lugar, hijos míos, que recibiréis gracias muy especiales para vuestra salvación. ¡Qué ingratos sois aquéllos que habéis recibido gracias para salvar las almas de vuestros seres queridos, y no sabéis corresponder a la gracia! ¡Qué pena me dais, hijos míos! Amaos como hermanos y estad unidos siempre en el amor, como Cristo vino a enseñar a los hombres.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantas y tantas ofensas como se cometen contra Dios el Creador...

     Levantad todos los objetos; todos los objetos serán bendecidos para la conversión de los pobres pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

(1) “Creadores” de destrucciones; es decir, “hacedores” de destrucción, debido al mal uso de la inteligencia y sabiduría, que utilizan para provocar el mal.
 

6 juillet 1996

Notre Seigneur : Mes enfants, Je veux que vous apparteniez tous au même troupeau. Moi, le Fondateur de mon Eglise, J’ai institué le Sacrement avec mon Corps et mon Sang pour que vous, tous les hommes, vous ayez la vie éternelle, mes enfants. Je vous ai laissé aussi des prêtres, mes enfants, pour qu’ils vous instruisent dans cette vie temporelle. Je vous ai laissé des sources divines afin que vous vous y abreuviez, et que vous receviez l’onction des grâces qui coulent de ces sources : ainsi tout votre être sera oint de la grâce divine. Comme il y a peu d’ouvriers, mes enfants, et comme la moisson est abondante !
Les hommes, ma fille, ont converti le monde en destruction et en corruption. Combien de fois la Divine Majesté de Dieu doit-Elle avertir les mortels ! Mais les hommes se bouchent les oreilles, et les péchés sont de plus en plus grands. Les hommes sont ingrats, ma fille. Ah, quelle cruauté ! Le spectacle de ma Croix leur est indifférent. Ils s’enfoncent de plus en plus dans les plaisirs et dans les vices. En quoi ont-ils converti cette humanité, ma fille ! Ah, ma fille, Je te le répète souvent, ils se comportent davantage comme des bêtes féroces que comme des êtres humains. L’homme ne cesse de commettre des crimes, la mère ne cesse de tuer ses propres enfants dans ses entrailles. Jusqu’où, jusqu’où allez-vous donc arriver, mes enfants !
Dans le monde il n’y a pas d’amour. L’amour, on le convertit en passion. Ah, ingrats, regardez vos péchés : ils sont la cause de la mort d’un Dieu. Oui, mes enfants, J’ai donné ma vie pour les hommes. J’ai répandu mon sang pour qu’ils aient la vie éternelle. Qu’avez-vous fait, mes enfants, de ma Passion et de ma Mort : mépris, moquerie. Jusqu’à quel degré l’homme est-il capable de se comporter comme une bête féroce ? L’homme n’a pas de regrets, ma fille. C’est pour cela qu’il agit de cette manière. Et Dieu a disparu des foyers ma fille, de la majorité des couvents, et beaucoup veulent me chasser de mon Eglise. Mais c’est Moi qui l’ai fondée, et personne ne pourra m’en chasser. Leur ingratitude est de plus en plus grande. Les hommes, mes enfants, n’ont pas, ou ne veulent pas avoir, la notion du péché.
La Très Sainte Vierge : Pauvres âmes, comme mon Cœur est triste en voyant que les hommes s’enfoncent de plus en plus dans le péché de la chair. Les impuretés offensent beaucoup mon Cœur. Ah, mes enfants, vous ne donnez pas d’importance au péché de la chair. Mais regarde, ma fille, comme on porte en triomphe le roi de la luxure (Amparo pleure). Oui, ma fille, les hommes avec les hommes, les femmes avec les femmes, l’homme ne distingue plus le sexe, ma fille, çà lui est égal : nous sommes en train d’arriver à la situation de Sodome et Gomorrhe. Combien les péchés de la chair offensent mon Cœur Immaculé, ma fille ! Mon Cœur est attristé parce que presque personne ne donne d’importance à ce péché si grave, ma fille. Regarde comme à partir de ce péché Satan les conduit aux autres péchés, ma fille (elle pleure).
Priez, mes enfants, et faites pénitence. Et vous, les parents, occupez-vous de vos enfants . Et que vos enfants soient gardés dans vos foyers, mes enfants. Ne voyez-vous pas que Satan veut entraîner la jeunesse à la perdition ? (Le démon s’est déjà emparé de la plus grande partie du monde). Il les entraîne vers l’alcool, les drogues, les plaisirs de la chair, ma fille. Ils sont tièdes, et il les a plongés dans une sorte de léthargie. C’est ainsi que l’homme a perdu la lumière, il est aveugle et ne peut voir la beauté de Dieu. Convertissez-vous et repentez-vous, mes enfants, et n’offensez plus Dieu qui est très gravement offensé et n’enfoncez plus d’épines dans mon Cœur Immaculé.
Le péché d’impureté offense beaucoup mon Cœur, mes enfants.
Baise le sol, ma fille, en réparation de tant et tant de péchés d’impureté que l’on commet (elle pleure). C’est ainsi qu’est le monde, ma fille, dans les ténèbres, parce que mon Fils est la Lumière, et Je suis Celle qui a apporté la Lumière au monde. Pauvres pécheurs, ma fille. Les hommes ne font cas ni de l’Evangile, ne de mes messages. Les hommes sont vides, parce qu’ils n’ont pas Dieu, ma fille. Les couples ne s’aiment pas d’un amour sincère et vrai ; dans la majorité d’entre eux, il y a de l’égoïsme. Les familles se détruisent à cause de ce manque d’amour qu’il y a dans les foyers, ma  fille.
Prie beaucoup, ma fille. Ne te laisse pas affliger par la diffamation ni par la calomnie. Celui qui creuse sa fosse y tombera, ma fille. Et si quelqu’un te frappe de l’épée, celle-ci retournera dans son cœur. Je ferai en sorte qu’ils boivent de la même amertume, ma fille. Répare et prie. 
Occupe-toi des pauvres pécheurs, et que rien ne t’afflige, ma fille. 
Je suis la Consolation des affligés. Ne te sépare jamais de mon Cœur. 
Sois humble, avec l’humilité tu obtiendras tout.
Accourez en ce lieu, car beaucoup d’entre vous avez été marqués du Sceau de l’Esprit Saint, mes enfants. Ne perdez pas ce sceau, car Satan est là pour détruire.

Approchez-vous du sacrement de la confession, mes enfants, et de l’Eucharistie. Aimez beaucoup l’Eglise, aimez-la de tout votre cœur, et aimez Dieu votre Créateur, avec vos cinq sens et de toutes vos forces, mes enfants. Vous tous qui êtes persécutés et calomniés, vous aurez un jour une récompense dans l’Eternité. Ecartez-vous de ceux qui vous flattent, ceux-là ne vous ouvrent pas le chemin du salut, mes enfants. Si Moi Je suis avec vous, pourquoi avez-vous peur ?

Amparo : :Ah, ma Mère, pardonne-moi, car je suis souvent très impatiente. Je ne suis pas humble, ma Mère. Rends-moi humble. Je me mets en colère quand on me diffame ou quand on me calomnie. Je veux éprouver de la joie quand tout cela m’arrive. Aide-moi, ma Mère.

La Très Sainte Vierge : Ma fille, que ton cœur ne s’attriste pas. Mon Fils a été diffamé, calomnié et persécuté. Que rien ne te trouble, ma fille. Réfugie-toi dans nos Cœurs. Tu vas enlever trois épines de mon Cœur. Tu vois comme cela vaut la peine de souffrir, ma fille. Oui, la souffrance et la douleur ont une grande valeur. Comme les hommes l’ont oublié ! Ceci va te réjouir, ma fille (Luz Amparo extrait à trois reprises, avec l’index et le pouce de la main droite, une épine du Cœur de la Vierge, et la laisse tomber). Tu vas écrire cinq noms dans le Livre de la Vie ; également en récompense de la douleur et de la souffrance. (Luz Amparo prend de la même façon quelque chose en l’air, elle écrit chaque nom d’un seul trait de droite à gauche, puis laisse l’objet qui lui a servi à écrire). Ces noms ne s’effaceront jamais, ma fille.
Je demande sacrifice, pénitence et prière. Aimez-vous les uns les autres. Et n’ayez pas honte, mes enfants, d’appartenir à cette Œuvre.
Aujourd’hui, c’est une bénédiction spéciale de l’Esprit Saint sur tous les objets pour la conversion des pauvres pécheurs. Levez tous les objets… Ils ont tous été bénis d’une bénédiction très spéciale.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.
 

MENSAJE DEL DÍA 6 DE JULIO DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)

     EL SEÑOR:

     Hijos míos, quiero que todos pertenezcáis al mismo rebaño. Yo, Fundador de mi Iglesia, instituí el Sacramento con mi Cuerpo y mi Sangre, para que todos los hombres tuvieseis vida eterna, hijos míos. También os dejé, hijos míos, unos sacerdotes para que os instruyan en la vida temporal. Os dejé manantiales divinos, para que el hombre se acerque a ellos y se unja con las gracias que hay en esos manantiales y todo su ser quedará ungido de la gracia divina. ¡Qué pocos operarios hay, hijos míos, y cuánta mies!

     Los hombres, hija mía, han convertido el mundo en destrucción y en corrupción. ¡Cuántas veces la Divina Majestad de Dios tiene que avisar a los mortales!; pero los hombres cierran sus oídos, y los pecados, cada día, son mayores. Los hombres son ingratos, hija mía. ¡Qué crueldad, no les importa el espectáculo de mi Cruz!; cada día se meten más en los placeres y en los vicios. ¿En qué han convertido, hija mía, esta Humanidad? Más que seres humanos, hija mía —te lo repito muchas veces—, actúan como fieras. El hombre no deja de cometer crímenes; la madre de matar a sus propios hijos dentro de sus entrañas. ¿Hasta dónde, hijos míos, hasta dónde vais a llegar?

     En el mundo no hay amor. El amor lo convierten en pasión. ¡Ay, ingratos, mirad: vuestros pecados son la causa de la muerte de todo un Dios! Sí, hijos míos, yo di mi vida por los hombres, derramé mi Sangre para que ellos tuvieran vida eterna. ¿Qué habéis hecho, hijos míos, de mi pasión y de mi muerte?: desprecio, mofa. ¡Hasta dónde el hombre es capaz de comportarse como una fiera! El hombre no tiene sentimientos, hija mía, por eso actúa de esta manera; y es que Dios ha desaparecido, hija mía, de los hogares, de la mayoría de los conventos. Y muchos me quieren echar de mi Iglesia; pero yo fui el Fundador de ella y nadie podrá echarme. Su ingratitud es, cada día, mayor. Los hombres no tienen o no quieren tener noción del pecado, hijos míos.

     LA VIRGEN:
     ¡Pobres almas! ¡Qué triste está mi Corazón viendo que los hombres, cada día, hija mía, se introducen más en el pecado de la carne!; las impurezas ofenden mucho mi Corazón. ¡Ay, hijos míos, no le dais importancia al pecado de la carne, pero mira, hija mía, cómo el rey de la lujuria lo lleva en triunfo!... Sí, hija mía, los hombres con los hombres, las mujeres con las mujeres; ya el hombre no distingue el sexo, hija mía, le da igual, estamos llegando como Sodoma y Gomorra. ¡Cuánto ofenden mi Corazón Inmaculado los pecados de la carne, hija mía! Mi Corazón está entristecido porque casi nadie le da importancia a ese pecado tan grave, hija mía. Mira, desde ese pecado dónde los conduce Satanás a los demás pecados, hija mía...

     Orad, hijos míos y haced penitencia. Y los padres, ocupaos de vuestros hijos. Y que vuestros hijos estén recogidos en vuestros hogares, hijos míos. ¿No veis que Satanás quiere arrastrar a la juventud a la perdición —la mayor parte del mundo, el demonio se ha apoderado ya de ella—, al alcohol, a las drogas, a los placeres de la carne, hija mía? Están tibios, los ha dejado aletargados; por eso el hombre se ha quedado sin luz, está ciego y no puede ver la belleza de Dios. Convertíos y arrepentíos, hijos míos, y no ofendáis más a Dios, que está muy gravemente ofendido, y no clavéis más espinas en mi Inmaculado Corazón. El pecado de impureza ofende mucho mi Corazón, hijos míos.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados como se cometen de impureza... Así está el mundo, hija mía: en tinieblas, porque mi Hijo es la Luz y yo soy la que trajo la Luz al mundo. Pobres pecadores, hija mía. No hacen caso los hombres ni al Evangelio ni a mis palabras. Los hombres están vacíos porque no tienen a Dios, hija mía. Los matrimonios, hija mía, no se aman con amor sincero y verdadero; la mayoría existe un egoísmo entre ellos. Las familias se destruyen por esa falta de amor que hay en las casas, hija mía. Ora mucho, hija mía, y no te angustie la difamación ni la calumnia. El que abre su fosa, en ella caerá, hija mía. El que te clave una espada, en su corazón revertirá. Yo haré que beban de la misma amargura, hija mía. Repara y ora. Ocúpate de los pobres pecadores y nada te angustie, hija mía. Yo soy el consuelo de los afligidos. Nunca te separes de mi Corazón, hija mía. Sé humilde, con humildad conseguirás todo.

     Acudid a este lugar que muchos de vosotros habéis sido sellados con el sello del Espíritu Santo, hijos míos, no lo perdáis, que Satanás está para destruir. Acercaos al sacramento de la Confesión, hijos míos, y de la Eucaristía. Amad mucho a la Iglesia; amadla con todo vuestro corazón y amad a Dios, vuestro Creador, con vuestros cinco sentidos y con todas vuestras fuerzas, hijos míos. Todos los que sois perseguidos y calumniados, un día tendréis una recompensa en la eternidad. Retiraos de los que os halaguen; aquéllos no os siembran el camino de la salvación, hijos míos. Si yo estoy con vosotros, ¿por qué teméis?
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, Madre mía!, perdóname, que muchas veces soy muy impaciente, no soy humilde, Madre mía; hazme humilde. Y me enojo cuando me difaman o cuando me calumnian. Yo quiero sentir alegría cuando me pase todo eso. Ayúdame, Madre mía.
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, no se entristezca tu corazón. Mi Hijo fue difamado y calumniado y perseguido. Nada te turbe, hija mía. Refúgiate en nuestros Corazones. Vas a quitar tres espinas de él. ¿Ves cómo vale la pena el sufrimiento y el dolor, hija mía? Claro que tiene valor. ¿Cómo los hombres lo han olvidado? Esto te alegrará, hija mía... Vas a escribir cinco nombres en el Libro de la Vida; también en premio al dolor y al sufrimiento... Estos nombres no se borrarán jamás, hija mía.

     Sacrificio y penitencia pido, oración. Amaos los unos a los otros, y no os avergoncéis, hijos míos, de pertenecer a esta Obra.

     Hoy es una bendición especial del Espíritu Santo a todos los objetos para la conversión de los pobres pecadores. Levantad todos los objetos... Todos han sido bendecidos con una bendición muy especial.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

3 août 1996

Notre Seigneur : Oui, ma fille , Je suis Celui qui souffre. Je suis le Tout-Puissant. Je suis Celui qui donne la vie. Je suis le Verbe Divin, à qui mon Père a donné des attributs, pour enseigner la Parole aux hommes. J’ai revêtu les vêtements des hommes pour devenir leur ami, pour être ami des hommes, consolateur des affligés donneur de vie. Je suis la Lumière, celui qui souffre, mais qui ne s’en va pas parce qu’il souffre ; Je suis toujours présent, ma fille. Je suis resté ici jusqu’à la fin des siècles, pour communiquer aux hommes que Je suis le centre de leur vie, que Je suis la Lumière qui les éclaire. Mais eux, ils s’obstinent à chercher les ténèbres, mes enfants.
C’est ainsi, ma fille, que J’ai abandonné le Ciel pour tout leur donner, et comme ils Me méprisent ! L’homme M’a oublié, il a perdu la raison et, en perdant la raison, ma fille, il s’est plongé dans les ténèbres, où il ne voit pas la lumière et il est dans l’obscurité, ma fille. Je suis venu pour faire jaillir des sources divines et cristallines, afin de purifier leur âme, et eux s’abreuvent dans les mares polluées de la terre. Je suis venu, et Je suis devenu Pasteur pour rassembler mes ouailles, pour réunir mon troupeau, et J’ai envoyé mes pasteurs pour en prendre soin. Je les ai autorisés à me prendre dans leurs mains, dans le Sacrement de l’Eucharistie, pour alimenter les hommes et les fortifier. Mais l’homme, qu’a-t-il fait de tout cela, ma fille ? Il ne cherche que spectacles, plaisirs, vanités.
L’homme a perdu la grâce, et, en demeurant sans la grâce, ma fille, il ne trouve pas Dieu. Voilà pourquoi Dieu ne règne pas dans les familles, ni dans les couvents, ni dans les nations ; parce que l’homme ne pense qu’à l’homme. L’homme pense à lui-même, à ses affaires. Aujourd’hui l’homme n’est pas un chrétien, c’est un salarié. L’homme n’a pas la paix, parce qu’il ne cherche pas Dieu ; il recherche les affaires, la création d’entreprises. Regarde, ma fille, comme ils vont par monts et par vaux, ils ont perdu la raison. C’est pourquoi, en perdant la raison, l’homme ne cherche pas Dieu, il se cherche lui-même. Ah ! hommes de peu de foi, comment ne pouvez-vous penser que le Créateur, qui se trouve au-dessus de toutes les créatures, veille sur vous et vous appelle, les bras ouverts, mes enfants ! Mais vous, de la miséricorde de Dieu, vous en avez fait un péché ; parce que, mes enfants, ma miséricorde Je l’ai employée pour vous. Comment, mes enfants, n’avez-vous pas pitié de mon pauvre Cœur, qui a abandonné sa Patrie céleste pour s’unir à la vôtre et pour vivre avec vous, afin qu’un jour, vous soyez tous près de Moi ! Je suis le Verbe fait chair, et Je suis resté pour vous instruire. Mais vous avez oublié, mes enfants, que Je suis descendu sur la terre et que Je vous ai laissé un Evangile écrit pour votre sanctification, et que Je ne suis pas descendu pour jouir, mes enfants. Je suis descendu pour souffrir en devenant homme…
Luz Amparo : Ah, ah ! mon Dieu !
Notre Seigneur : … dans les entrailles d’une vierge. Je n’ai eu aucun collègue ni aucun maître, mes enfants, car J’étais le Maître de tous les hommes, et Je vous l’ai prouvé, en vous laissant par écrit des Lois afin que vous marchiez sur des chemins droits et sûrs. Et Je vous ai dit et Je vous dis : Venez à Moi vous tous qui êtes chargés et accablés, car Je vous soulagerai. Mais vous ne voulez même pas accepter ma miséricorde, mes enfants. Comme vous voulez déformer la miséricorde de Dieu, mes enfants ! Avec votre incrédulité, avec votre manque de foi, jusqu’où allez-vous arriver !
Ah ! créatures corrompues, qui ne voulez pas laver vos péchés à la source de la vie ! Malheur à vous, qui êtes souillés et qui voulez montrer à l’extérieur que vous êtes propres et sans tache ! Ne savez-vous pas que vous trompez les hommes, mais que vous ne pouvez pas tromper Dieu, mes enfants ? Purifiez-vous et laissez les mares bourbeuses ; lavez-vous dans les sources divines, que J’ai laissées pour vous tous. L’homme a perdu la foi, et sans foi, il est devenu aveugle.
Ah ! pasteurs de mon Eglise, travaillez, car vous avez beaucoup de troupeaux à réunir ! Et ne perdez pas de temps dans les futilités, mes enfants, et ne soyez pas si matérialisés. Vivez pour les pauvres et avec les pauvres, réunissez tous les pécheurs, mes enfants, et occupez-vous de leurs âmes. Ne perdez pas de temps à accumuler pour vous-mêmes, car chacun travaille pour soi et oublie ceux qui souffrent et qui sont éprouvés. Malheur à vous, mes enfants, qui avez dévié de la route, jusqu’à quand pensez-vous que l’on va vous donner des avertissements ! Ma coupe est pleine, mes enfants, et Je me retiens de vous faire entendre le tonnerre.
Approchez-vous des sacrements mais avec la résolution de vous corriger, mes enfants. Faites pénitence, faites oraison, mes enfants. Venez en ce lieu, mes enfants,, car vos fronts seront marqués du Sceau, et votre faiblesse s’en trouvera fortifiée. Mais il n’y aura plus d’excuses, mes enfants ; parce qu’il n’y aura plus de paroles, plus de conseils ; on ne vous répétera plus de vivre l’Evangile, on ne répétera plus aux prêtres qu’ils se consacrent à leurs ministères et qu’ils se retirent du monde où ils sont contaminés par les impuretés… Ah ! pasteurs de mon Eglise, quel bien vous pourriez faire aux âmes, si tous ensemble vous vous occupiez de toutes ces ouailles perdues qu’il y a sur la terre !
La Très Sainte Vierge : Quelle tristesse éprouvent nos Cœurs, parce que le monde marche de plus en plus vers la corruption, vers le désastre ! L’homme marche sans Dieu, et, sans Dieu, il ne marchera pas sur le droit chemin. Priez et approchez-vous des sacrements, mes enfants.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.
 

MENSAJE DEL DÍA 3 DE AGOSTO DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Sí, hija mía, yo soy el que sufre. Yo soy el Omnipotente. Yo soy el dador, el que da la vida. Yo soy el Verbo Divino, al cual mi Padre me dio “atríbutos”(1), atributos para enseñar a los hombres la palabra. Yo me arropé con el ropaje de los hombres para hacerme amigo de ellos, para ser amigo de los hombres, consolador de los afligidos, dador de vida. Yo soy la Luz, el que sufre, pero no se va porque sufre; siempre estoy presente, hija mía. Aquí me quedé hasta el fin de los siglos, para comunicar a los hombres que soy el centro de su vida, que soy la Luz que los alumbra; pero ellos se empeñan en buscar la tiniebla, hijos míos.

     Así, hija mía, dejé el Cielo para darles todo y cómo me desprecian. El hombre se ha olvidado de mí, ha perdido la razón, y al perder la razón, hija mía, se ha metido en la tiniebla, donde no ve la luz y está a oscuras, hija mía. Yo vine a poner manantiales divinos y cristalinos para limpiar su alma, y ellos beben en charcos contaminados de la tierra. Yo vine, y me hice pastor para recoger mi grey, para reunir mi rebaño, y mandé a mis pastores para que se ocupasen de él. Yo les dejé que me condujesen en sus manos, en el sacramento de la Eucaristía, para alimentar a los hombres y fortalecerlos; pero el hombre ¿qué ha hecho de todo esto, hija mía?; no busca nada más que espectáculo, placer, vanidad.

     El hombre se ha quedado sin gracia, y, al quedarse sin gracia, hija mía, no encuentra a Dios; por eso Dios no reina en las familias, en los conventos, en las naciones; porque el hombre no piensa nada más que en el hombre. El hombre piensa en sí mismo, en sus negocios. El hombre hoy no es un cristiano, es un asalariado. El hombre no tiene paz, porque no busca a Dios; busca negociar, busca montar empresas. Mira, hija mía, cómo van de acá para allá, han perdido la razón; por eso, al perder la razón, el hombre no busca a Dios, se busca a sí mismo. ¡Ay, hombres de poca fe, ¿cómo podéis pensar que el Creador, que está por encima de todas las creaturas, os está vigilando y con los brazos extendidos os llama(2), hijos míos?! Pero vosotros habéis hecho, de la misericordia de Dios, pecado; porque, hijos míos, mi misericordia la empleé para vosotros. ¿Cómo, hijos míos, no tenéis compasión de mi pobre Corazón, que abandonó su patria para juntarse a la vuestra y para vivir con vosotros, para que un día todos estuvieseis junto a mí? Yo soy la Palabra hecha carne y me quedé para enseñaros, y habéis olvidado, hijos míos, que bajé a la Tierra y os dejé un Evangelio escrito para vuestra santificación; y no bajé a gozar, hijos míos; bajé a sufrir al hacerme hombre...
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, ay, Dios mío!
 
 

     EL SEÑOR:

     ...en las entrañas de una Virgen. No tuve ningún colegio, ni ningún maestro, hijos míos, pues yo era el Maestro de todos los hombres y así os demostré, dejándoos escrito unas leyes para que caminaseis por caminos rectos y seguros. Y os digo y os dije: “Venid a mí todos los que estáis cargados y agobiados, que yo os aliviaré”; pero ni mi misericordia, hijos míos, queréis aceptarla. ¿Cómo queréis deformar la misericordia de Dios, hijos míos? Con vuestra incredulidad, con vuestra falta de fe, ¿hasta dónde vais a llegar?

     ¡Ay, criaturas corruptas, que no queréis lavar vuestros pecados en la fuente de la Vida! ¡Ay de vosotros, que andáis sucios y queréis hacer ver en el exterior que estáis sin mancha y limpios! ¿No sabéis que a los hombres los engañáis, pero que a Dios no lo podéis engañar, hijos míos? Lavaos y dejad los charcos cenagosos y lavaos en las fuentes divinas, que yo dejé para todos vosotros. El hombre ha perdido la fe y, sin fe, se ha quedado ciego.

     ¡Ay, pastores de mi Iglesia, trabajad, que tenéis muchos rebaños que reunir! Y no perdáis el tiempo en cosas vanas, hijos míos, y no estéis tan materializados. Vivid para los pobres y con los pobres, y reunid a todos los pecadores, hijos míos, y ocupaos de sus almas. No perdáis el tiempo en acumular para vosotros, porque cada uno trabaja para sí mismo sin acordarse de los que sufren y de los que padecen. ¡Ay de vosotros, hijos míos, que habéis torcido el camino, ¿hasta cuándo pensáis que se os va a estar dando avisos?! Mi copa está llena, hijos míos, y estoy sosteniendo que oigáis el trueno.

     Acercaos a los sacramentos, pero con propósito de enmienda, hijos míos. Haced penitencia, haced oración, hijos míos. Acudid a este lugar, que vuestras frentes quedarán selladas y vuestra debilidad quedará fortalecida. Pero no habrá más excusas, hijos míos; porque más palabras, más consejos y más repetición de que viváis el Evangelio, de que los sacerdotes se dediquen a sus ministerios y se retiren del mundo, donde son contagiados de impurezas... ¡Ay, pastores de mi Iglesia, cuánto bien podríais hacer a las almas, si todos juntos os dedicaseis a toda esa grey que hay por ahí perdida!
 
 

     LA VIRGEN:

     ¡Qué tristeza sienten nuestros Corazones, porque el mundo camina cada día mas hacia la corrupción, hacia el desastre! El hombre camina sin Dios, y, sin Dios, no andará por el camino derecho. Orad y acercaos a los sacramentos, hijos míos.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

7 septembre 1996

Notre Seigneur : Ma fille, c’est Moi qui viens aujourd’hui pour te consoler. [La voyante Luz Amparo a eu la douleur de perdre le dernier de ses enfants, Jesús.] Tu as si souvent consolé mon Cœur, ma fille, que Je veux aujourd’hui consoler le tien. Tu sais que Je t’ai laissé la Croix à nu, ma fille. Je te l’ai dit dans le dernier message : « Tu restes avec la Croix, ma fille. Je te l’ai laissée pour que tu la portes, que tu la reçoives d’un Crucifié. Il te manquait de participer à ma Passion, avec ma Mère et avec Moi. Cette douleur… Cette douleur elle aussi a été consommée, ma fille. Tu sais ce que ressent une mère au pied d’une croix.
La Très Sainte Vierge : Ton fils est dans un lieu sûr. Tu sais que Je te l’avais promis, que Je prendrais son âme. Je te montrerai bientôt le lieu si beau où il se trouve.
Luz Amparo (elle sanglote) : Ah ! ma Mère ! Ah ! ma Mère ! Ah !
La Très Sainte Vierge : Oui, ma fille, cette peine, Je l’ai ressentie Moi aussi. Les hommes ne le comprennent pas (Amparo sanglote). Une chose est que ton esprit se réjouisse, et une autre chose est que tu aies de la peine, ma fille. A Moi, Dieu ne M’a pas épargné la peine. Je l’ai endurée moi aussi au pied de la Croix (elle sanglote). Mais c’est Moi qui l’ai pris, et il est sous ma protection, ma fille. Ne pense jamais que ton fils ait pu aller dans quelque lieu de ténèbres, ma fille (elle sanglote).
Jesús Barderas : Maman, maman ! Je suis plus en sûreté que sur la terre, maman. Ce n’est qu’un exil, j’ai compris en arrivant ici, maman. J’ai cru en tout, maman, mais j’ai été faible, et j’ai été entouré de beaucoup de démons qui ne me lâchaient pas. C’est ainsi qu’est la terre, maman, remplie de démons qui empêchent les hommes de suivre le chemin de Dieu. Ne souffre pas, tu as été une bonne mère. Ne souffrez pas pour moi (elle sanglote). Je suis dans un endroit très beau, et je veux que vous l’atteigniez vous aussi. Montrez à la petite [le défunt pense ici à son unique fille, Rebecca, âgée d’environ 7 ans] le chemin de ce salut ; qu’elle n’ait pas un chemin sans retour, qu’elle ait un chemin de salut et de gloire. Ah ! quel bonheur on éprouve ! Les angoisses et les tourments ont disparu. Ne souffre pas, maman. Merci à tous ceux qui ont fait une prière pour mon âme. Mais Marie a été près de moi et Elle a pris mon âme avant qu’elle ne tombe ; Elle l’a enlevée du dedans de moi-même. Ne souffre pas, maman, ne souffrez pas pour moi. Soyez contents, car je suis arrivé en un lieu beau et sûr. Luttez pour y parvenir vous aussi. L’angoisse s’est changée en tranquillité et bonheur. Ici j’ai apaisement et joie, ici où se trouvent les anges et tous ceux qui ont souffert.
Priez pour tous ceux qui n’ont personne qui prie pour eux. Il y a beaucoup d’âmes pour lesquelles personne ne prie. Partagez mes prières pour ces pauvres âmes. Quand vous prierez pour moi, implorez pour elles. Tranquillisez-vous. Un jour, maman, tu verras où je suis, tu verras quel endroit splendide. Adieu, maman, adieu, mes êtres chers.
La Très Sainte Vierge : Comment pouvais-tu penser, ma fille, que J’allais abandonner ta souffrance, ta douleur et toutes les âmes qui sont parvenues en ce lieu grâce à ta prière, à ton sacrifice ? Comment allais-Je permettre qu’une âme si aimée de toi… Avant que cela n’arrive, Je t’avais dit, ma fille, que son âme ne subirait aucun dommage, même si son corps était atteint.
Amparo : Merci, mon Dieu, merci ! même si j’éprouve de la peine dans mon âme. Mais, merci.
La Très Sainte Vierge : Seul cet exil vous sépare, ma fille, mais cet exil sera court.
Je demande à tous les hommes de se maintenir forts dans la foi. Et que tous ceux qui sont séparés et ont eu la foi s’unissent de nouveau au lien de la foi. Ayez une foi ferme, mes enfants, et une charité ardente.
Bénissez mon Nom, mes enfants, Je bénirai les lèvres de tous ceux qui béniront mon Nom. Soyez de bons chrétiens, mes enfants, n’en ayez pas seulement l’apparence. Beaucoup d’entre vous fréquentent l’Eglise corporellement, mais pas avec leur cœur. Mes enfants, ceux qui ne sont présents à l’Eglise qu’avec leur corps sont liés à Satan ; il les a trompés et il les conduit sur le chemin de la perdition et du mensonge. Je veux que vous soyez liés à l’Eglise avec votre corps et avec votre cœur. Bénissez mon Nom, mes enfants. Que tous les habitants de la terre bénissent mon Nom. Prêchez l’Evangile, mes enfants.
Notre Seigneur : Ah ! mes prêtres bien aimés, qui ne vous consacrez pas à inculquer aux âmes à vivre dans la grâce et à mettre mes lois en pratique ! Comme la moisson est abondante, et quelle tiédeur est la vôtre, mes enfants, pour beaucoup d’entre vous ! Réveillez-vous de cette léthargie, et travaillez pour les âmes, mes enfants. Ne vous consacrez pas seulement à la fonction qui est la vôtre dans le monde, car le monde a un poison, et celui qui y entre, le démon ne le laisse pas échapper. Mes enfants, soyez les pasteurs de toutes ces âmes qui sont perdues ; récupérez-les et conduisez-les aux sources d’eau vive. Quelle souffrance, mes enfants : mes temples sont fermés pendant le jour, et mes prêtres sont davantage des fonctionnaires dans le monde que des pasteurs de mon Eglise ! Je veux que vous rassembliez toutes ces âmes qui sont séparées du troupeau et que vous les rameniez au troupeau, car il n’y a qu’un seul troupeau avec un seul pasteur qui est le successeur de Pierre.
Enseignez à toutes les églises et à toutes les religions à s’unir à vous, mes enfants, car l’Eglise a été fondée par Jésus-Christ, et c’est Pierre qui en est devenu le représentant. Que tous s’unissent à la Chaire de Pierre. Qu’ils viennent de n’importe où, du Nord, du Sud, de l’Est, de l’Ouest, tous seront reçus dans l’Eglise. Mais qu’ils ne restent pas dans leur erreur, ma fille. Regarde comme Luther a trompé des foules et des foules d’âmes, et regarde où il les a entraînées…
Amparo : Ah ! Ah ! mon Dieu ! Ah ! mon Dieu ! Mon Dieu, mon Dieu ! Ah ! mon Dieu ! Ah ! combien ! Ah ! combien ! Toutes se sont laissées entraîner par lui ! Hélas ! Hélas !

Notre Seigneur : Ah ! pasteurs de mon Eglise, soyez fermes et forts, car il y a beaucoup de travail dans l’Eglise ! Travaillez et ne restez pas dans la tiédeur, car celui qui est tiède n’a pas de force, et il ne travaille pas pour Dieu. Il travaille pour le monde, pour ses goûts et ses plaisirs. Soyez fermes, pasteurs, nos Cœurs vous aiment ! Reprenez le chemin de votre ministère, avec fermeté et avec force ! Enseignez aux âmes la vérité, mes enfants. 
Les hommes vivent dans le mensonge, ils effacent la moitié de l’Evangile. Il faut enseigner aux hommes la vérité de l’Evangile. Ne soyez pas lâches, mes enfants. Abandonnez le Monde, abandonnez la chair, les passions, et que chacun de vous vive dans la grâce ; et vous ne vous convertissez pas, vous ne vous convertissez pas comme Sodome et Gomorrhe, comme la Rome païenne. Ah ! mes enfants, c’est bien pour cela que mon Evangile dit que beaucoup seront appelés et peu seront élus. Vous adorez l’homme et vous outragez Dieu.
Soyez de bons chrétiens, mes enfants, formez une communauté comme les bons chrétiens. Si vous pensiez un petit peu, mes enfants, que votre temps sur terre est passager, qu’il y a une éternité, et qui vaut plus que le temps… Mes enfants, soyez fermes, et unissez-vous à ces branches car c’est ici qu’est la racine, ici où J’ai demandé que se forme une communauté et que l’on aime les pauvres et les nécessiteux. Priez et faites de l’apostolat, mais n’oubliez pas l’Oeuvre envers le nécessiteux. La parole sans l’œuvre ne sert à rien devant Dieu, mes enfants. Priez, faites pénitence, et aimez-vous les uns les autres. Dans le monde il y a un manque d’amour : c’est ce qui détruit l’humanité. L’amour qu’ont les hommes est égoïste, il est passionnel. L’amour de Dieu n’est pas passion, il est dévouement envers les autres sans rien attendre en retour, mes enfants. Soyez forts et venez en ce lieu, vous y serez tous bénis et marqués du Sceau, car le démon lui aussi est en train de marquer les fronts de son sceau.

La Très Sainte Vierge : Attention, mes enfants, il y a beaucoup de faux voyants, qui vous disent que vous êtes déjà sauvés, que vous êtes choisis. Pour entrer au Ciel, il faut partir de la terre avec un chèque de sacrifices et de douleur, et la douleur s’achèvera à la porte du ciel. Des tas et des tas de croix restent à la porte pour entrer dans la Gloire de la Résurrection. Ayez une charité ardente, mes enfants, aimez-vous les uns les autres, et ne vous attachez pas aux choses, à l’argent, aux héritages, mes enfants. Combien disent aimer Dieu, et ils gardent leurs héritages dans leurs greniers pour le lendemain. Vous ne pensez pas où est venu naître et mourir le Christ. C’est ainsi qu’est le bon chrétien : il vit comme vécut le Christ. Il ne peut pas s’appeler chrétien, celui qui pense à lui-même et au lendemain, et ne se souvient pas de celui qui souffre et de celui qui est dans le besoin. Priez pour les pauvres pécheurs, mes enfants, priez pour eux.
Et toi, ma fille, console-toi, pense qu’un jour pas très éloigné tu viendras, et tu seras avec lui et avec les autres bienheureux. Vous tous qui souffrez pour lui, priez et implorez pour ces pauvres âmes qui n’ont personne qui souffre et qui prie pour elles.
Baise le sol, ma fille, en réparation de tant et tant de péchés que l’on commet dans le monde.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales.
Et Moi Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit-Saint.
 

MENSAJE DEL DÍA 7 DE SEPTIEMBRE DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hija mía, hoy vengo a consolarte yo. Tantas veces me has consolado mi Corazón, que hoy quiero consolar el tuyo, hija mía. Sabes que te dejé la cruz al desnudo, hija mía; en el último mensaje te lo dije: “Te quedas con la cruz, hija mía”; te la dejé para revestirla, revestirla de un crucificado. Te faltaba participar en mi Pasión con mi Madre y conmigo ese dolor. Ya se ha consumado ese dolor también, hija mía. Ya sabes lo que siente una madre al pie de una cruz.
 
 

     LA VIRGEN:

     Tu hijo está en un lugar seguro; sabes que te lo prometí: que su alma la cogería. Dentro de poco te enseñaré en el lugar tan bello que está.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, ay, Madre mía! ¡Ay, Madre mía!, ¡ay!
 
 

     LA VIRGEN:

     Sí, hija mía, la pena también la sufrí yo. Los hombres no lo comprenden. Una cosa es que se alegre tu espíritu y otra cosa es que tengas pena, hija mía. A mí no me evitó Dios la pena, también la pasé al pie de la Cruz. Pero lo he cogido yo y está bajo mi tutela, hija mía. No pienses nunca que tu hijo ha podido ir a ningún lugar tenebroso, hija mía.
 
 

     JESÚS BARDERAS:

     ¡Mamá, mamá! Estoy más seguro que en la Tierra, mamá. Es un destierro solamente; he comprendido al llegar aquí, mamá. He creído, mamá, en todo, pero he sido débil y he estado rodeado de muchos demonios que no me dejaban, ni uno ni otro. Así está la Tierra, mamá, llena de demonios que no dejan a los hombres seguir el camino de Dios. No sufras, has sido una buena madre. No sufráis por mí; estoy en un lugar muy bello, y quiero que lo alcancéis vosotros también. Enseñad a la niña el camino de esta salvación; que no tenga un camino sin retorno, que tenga un camino de salvación y de gloria. ¡Ay, qué felicidad se siente! Ya se me han ido las angustias y los tormentos. No sufras, mamá. Gracias a todos los que han rezado una oración por mi alma. Pero María estuvo conmigo y la cogió antes de caer; Ella la sacó de dentro de mí. No sufras, mamá, ni sufráis por mí. Estad contentos, que he llegado a un lugar bello y seguro. Luchad vosotros para llegar a él también. La angustia se me ha convertido en tranquilidad y felicidad. Aquí tengo sosiego y alegría. Aquí, a donde están los ángeles y todos los que han sufrido. Rezad por todos lo que no tienen quien rece. Hay muchas almas que no reza nadie una oración por ellos. Partid mis oraciones para estas pobres almas. Cuando recéis por mí, pedid por ellas. Tranquilizaos. Mamá, un día verás dónde estoy, qué lugar más bello. Adiós, mamá; adiós, seres queridos míos.
 
 

     LA VIRGEN:

     ¿Cómo pensabas, hija mía, que yo iba a abandonar tu sufrimiento, tu dolor y todas las almas que han llegado a este lugar gracias a tu oración, a tu sacrificio? ¿Cómo iba yo a permitir que un alma tan querida tuya...? Ya te lo dije, hija mía, antes de suceder: que su alma no sería dañada, aunque fuese dañado su cuerpo.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Gracias, Dios mío, gracias! Aunque sienta la pena en mi alma, pero gracias.
 
 

     LA VIRGEN:

     Sólo os separa el destierro este, hija mía, pero será corto este destierro. Pido a todos los hombres que se conserven en la fe fuertes, y todos aquéllos que están separados y han tenido fe, que vuelvan a unirse al vínculo de la fe. Tened una fe firme, hijos míos, y una caridad ardiente. Bendecid mi nombre, hijos míos, que todo el que bendiga mi nombre serán bendecidos sus labios. Sed buenos cristianos, no sólo, hijos míos, aparentéis serlo. Muchos frecuentáis la iglesia en cuerpo, pero no lo frecuentáis en corazón. Hijos míos, aquéllos que sólo frecuentan la iglesia en cuerpo están unidos a Satanás; los ha engañado y los conduce por el camino de la perdición y de la mentira. Yo quiero que estéis unidos en cuerpo y corazón. Bendecid mi nombre, hijos míos. Todos los habitantes de la Tierra, que bendigan mi nombre. Predicad el Evangelio, hijos míos.
 
 

     EL SEÑOR:

     ¡Ay, sacerdotes míos, queridos, que no os dedicáis a inculcar a las almas a vivir en la gracia y a cumplir mis leyes! ¡Cuánta mies hay para recoger, y qué tibieza tenéis, hijos míos, muchos de vosotros! Despertad de ese letargo y trabajad por las almas, hijos míos. No os dediquéis sólo a la función del mundo, que el mundo tiene un veneno que, el que entra en él, el demonio no le deja escapar. Hijos míos, sed pastores de todas esas almas que están perdidas; recuperadlas y llevadlas a las fuentes de agua viva. ¡Qué pena, hijos míos, que mis templos están cerrados todo el día y mis sacerdotes se dedican más a funcionar en el mundo que a ser pastores de mi Iglesia! Quiero que reunáis a todas esas almas que están separadas del rebaño y las unáis al rebaño, que hay un solo rebaño con un solo pastor, que es el sucesor de Pedro.

     Enseñadles a todas las iglesias y a todas las religiones que se unan a vosotros, hijos míos, pues la Iglesia fue fundada por Jesucristo, y fue Pedro el que se quedó como representante de ella. Que todos se unan a la Cátedra de Pedro. Que vengan de donde vengan: del Norte, del Sur, del Este, del Oeste, todos serán recibidos en ella; pero que no se queden engañados, hija mía. Mira, cómo Lutero engañó a montones y montones de almas, y mira dónde las arrastró.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay! ¡Ay, Dios mío...! (Así, repetidas veces se lamenta). ¡Ay, cuántas!, ¡ay, cuántas!
 
 

     EL SEÑOR:

     Todas se dejaron arrastrar por él. ¡Ay, pastores de mi Iglesia, sed firmes y fuertes, que hay mucho trabajo en ella! Trabajad y no os quedéis tibios, que el tibio se queda sin fuerza y no trabaja para Dios, trabaja para el mundo, para sus gustos y sus placeres. Sed firmes, pastores, que nuestros Corazones os aman; volved al camino de vuestro ministerio, con firmeza y con fortaleza, enseñad a las almas la verdad, hijos míos. Los hombres viven en la mentira; se comen la mitad del Evangelio. A los hombres hay que enseñarles la verdad del Evangelio. No seáis cobardes, hijos míos; dejad el mundo, dejad la carne, las pasiones, y cada uno vivid en gracia y no convirtáis ni os convirtáis como en Sodoma y Gomorra, como la Roma pagana. ¡Ay, hijos míos, por eso dice mi Evangelio que muchos serán los llamados y pocos los escogidos! Adoráis al hombre, y ultrajáis a Dios.

     Sed buenos cristianos, hijos míos, formad comunidad como buenos cristianos. Si pensarais un poquito, hijos míos, que es temporal lo que estáis en la Tierra, que hay una eternidad y que vale más que el tiempo. Hijos míos, sed firmes y uníos a estas ramas, hijos míos, que aquí está la raíz; donde he pedido que se forme comunidad y se ame a los pobres y necesitados. Haced oración y apostolado, pero no olvidéis la obra hacia el necesitado; la palabra sin obra no sirve ante Dios, hijos míos. Orad, haced penitencia y amaos los unos a los otros. En el mundo hay una falta de amor, que es lo que destruye a la Humanidad. El amor que tienen los hombres es egoísta, es pasional. El amor de Dios no es pasión, es entrega hacia los demás, sin esperar a cambio nada, hijos míos. Sed fuertes, y acudid a este lugar, que todos seréis bendecidos y sellados, pues el demonio está sellando frentes.
 
 

     LA VIRGEN:

     Cuidado, hijos míos, que hay muchos videntes falsos que os dicen que ya estáis salvados, que sois escogidos. Para entrar en el Cielo hay que ir de la Tierra con un cheque de sacrificios y de dolor, y el dolor se acabará en la puerta del Cielo. Montones y montones de cruces se quedan en la puerta para entrar a la Gloria de la Resurrección. Tened caridad ardiente y amaos unos a otros, y no os apeguéis a las cosas, al dinero, a las herencias, hijos míos. Cuántos dicen amar a Dios y están guardando en los graneros sus herencias para el mañana. No pensáis dónde vino Cristo a nacer y a morir. Así es el buen cristiano: viviendo como vivió Cristo. No puede llamarse cristiano aquél que piensa en sí mismo y en el mañana y no se acuerda del que sufra y del que padece. Orad por los pobres pecadores, hijos míos; rezad por ellos.

     Y tú, hija mía, consuélate; piensa que un día no lejano vendrás y estarás con él y con los demás bienaventurados. Todos los que sufrís por él, rezad y orad por esas pobres almas que no tienen quien sufra ni quien ore por ellas.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados como se cometen en el mundo...

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales...

     Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

5 octobre 1996

Notre Seigneur : Ma fille, Je sais que tu  souffres toujours. Je vis dans ton cœur. Pense, ma fille, que tu es ici non pas pour jouir, mais pour souffrir et collaborer avec moi. Quand Je me suis manifesté devant toi, ma fille, quelle réponse as-tu donnée à mes paroles, quand tu disais : « Je ne peux le supporter, qu’est-ce que c’est ? qu’est-ce que c’est ? quelle est cette douleur si immense ? ». Ma réponse fut, ma fille : « C’est la Passion du Christ ». Je t’ai demandé : « L’acceptes-tu, ma fille ? », et tu m’as répondu : « Je ne sais pas, Seigneur, avec ton aide, je le supporterai. » Eh bien, ma fille, comme tu m’as répondu, Je t’ai dit : « Avec ta douleur on peut sauver un grand nombre d’âmes ». Et tu m’as dit encore : « Seigneur, aide-moi ». Eh bien, pour t’aider, ma fille, et pour que tu m’aides, Je dois te modeler et te donner des épreuves, ma fille. Cette fois l’épreuve a été plus forte. Cette fois ce fut un chemin de douleur et d’amertume. Mais, ma fille, quand Je t’ai offert la Croix, Je t’ai dit que la Croix était très douloureuse : sur elle J’ai racheté le monde. Eh bien, c’est ainsi que Je modèle les âmes : avec des épreuves. D’abord Je les frappe doucement, pour les habituer aux coups durs. Celle-ci est l’épreuve la plus grande que tu aies subie, ma fille. Mais Satan n’a pas pu réaliser ses plans. Satan, Je l’ai réduit en cendres, et à la fin, nous avons triomphé. En effet, cette douleur et cette angoisse, je sais que c’est très dur de te le dire, ma fille, mais c’est la rédemption et le salut de ton fils. Ta douleur est plus aiguë que celle d’autres mères, ma fille, parce que J’ai perfectionné ton amour. Il n’est pas défiguré, c’est pourquoi ta souffrance est plus forte, et ton angoisse plus profonde. Mais moi aussi J’ai ressenti la douleur de ma Mère.
La Très Sainte Vierge : Oui, ma fille, mon Cœur a été transpercé de douleur, quand on a déposé mon Fils dans mes bras, déchiré, ensanglanté. Mon Cœur a été transpercé par une souffrance d’une telle intensité, ma fille, qu’elle n’a pas duré seulement ce jour-là, mais qu’elle m’est restée pour toute la vie. Voilà pourquoi je suis la Vierge des Douleurs, ma fille.
Je ne comprends pas comment les mères peuvent tuer leurs enfants dans leurs entrailles, comment les mères peuvent repousser cet être qu’elles alimentent de leur propre sang. Oui, ma fille, c’est une douleur immense qu’éprouve ton cœur, mais sache, ma fille, que pour obtenir du bon fruit, il faut fertiliser la terre avec la douleur, avec les sacrifices, et l’arroser avec des larmes. C’est ce qui m’arriva quand mourut mon Fils. De mes yeux les larmes jaillissaient en abondance, et J’en arrosai la terre, afin que les hommes sachent comprendre la douleur de mon Cœur, et la raison pour laquelle mon Fils est venu dans le monde : pour les racheter. Mais que font les hommes ? Ils oublient la douleur, la Croix, la Passion, la souffrance. Voici la plus grande douleur : les hommes ne se comportent pas comme des êtres humains, parfois ils se comportent comme des fauves, ma fille, parce qu’un être humain ne devrait pas être capable de répandre le sang d’un autre être humain. Regarde, ma fille, regarde quelle douleur.
Luz Amparo : (elle pleure amèrement) Ah ! mon fils ! Ah !quelle cruauté !
La Très Sainte Vierge : Je ne veux pas t’éviter cette douleur que J’ai éprouvée moi aussi, ma fille, mais Je veux sceller tes lèvres. Que ce soit la Divine Justice de Dieu qui les juge.
(Luz Amparo continue à sangloter avec affliction).
La Très Sainte Vierge : Ma fille, scelle tes lèvres jusqu’à la mort, Dieu les jugera…
(Luz Amparo pleure avec de profonds et douloureux gémissements devant la scène de la mort de son fils).
Jesús Barderas : Maman, j’ai beaucoup souffert, mais ce ne furent que quelques secondes. Regarde où je suis : avec la Reine du Ciel, une Dame tendre, très tendre, qui m’a pris sous sa protection et m’a secouru, bien que j’aie participé aussi à la douleur et à l’amertume, mais pardonne-leur, maman. C’est maintenant que j’ai compris l’incompréhension des hommes… (Luz Amparo continue à pousser des gémissements entrecoupés). Maintenant, maman, j’ai vu que le fait de suivre Dieu a coûté la vie à beaucoup. Une vengeance terrible, maman, par le seul fait que j’étais ton fils. Mais regarde, quelle joie et quel bonheur ! Je suis entre les mains de la Dame la plus belle, la Reine du Ciel et de la terre, entouré de sa tendresse. Regarde quel lieu, maman, regarde.
Ne souffrez pas à cause de moi, parce que cette Dame si belle dont tu parlais si souvent m’a compris, et mon âme a été dans ses mains, comme dans les mains de mon Créateur. Ici je comprends tout, maman, je comprends les mystères que je n’ai pas compris sur la terre. Et je vous comprends vous tous aussi (de nouveau, sanglots de Luz Amparo). Bien que tu pleures mon absence, un jour nous serons tous réunis. Je suis très heureux. Je n’ai plus à fuir la persécution, maman, ni l’incompréhension des hommes. Ici on a su me comprendre, et les hommes ne continueront plus à me tourmenter et à me mépriser. Même si les hommes ne le croient pas, combien… (exclamations d’admiration d’Amparo).
La Très Sainte Vierge : Regarde, ma fille, combien d’âmes peuvent être sauvées par la prière, la pénitence et le sacrifice.
Jesús Barderas : Priez pour elles, maman. Beaucoup de pauvres petites âmes n’ont personne qui fasse la moindre prière pour elles. Priez ! Regarde, maman, voici mes véritables amis, mes véritables frères, et non tous ces démons qui entourent le globe terrestre.
Luz Amparo : (qui pousse des cris d’admiration) Ah ! mon fils ! Ah ! quelle beauté ! Ah ! la beauté de l’âme !
Jesús Barderas : Je suis passé par un lieu un peu ténébreux, mais pourtant, malgré mes fautes et les offenses que j’ai commises contre mon Créateur, le Tout-Puissant est si miséricordieux qu’il m’a sauvé, en considération du fait que tu sauves tant d’âmes…, ces nombreuses âmes que tu reconnaîtras ici…
Oui, certaines ont la mission de consoler, la mission d’anges consolateurs. Regarde cette sœur, comme elle est belle, elle fut aussi mon ange consolateur dans ces moments (exclamations d’Amparo), regarde tant et tant d’anges qui se trouvent ici ! Regarde, dans tout ce lieu, à côté de cette grande Dame. Sacrifiez-vous, et mettez en pratique les Commandements, pratiquez les Sacrements, et un jour nous nous réunirons tous. C’est ici que se trouve le vrai bonheur, et non sur la terre où tout a été angoisse, persécution, tristesse, mépris ; mais cette tendre Dame, avec ces mains pures et belles, regarde, comme elle oint ma tête (exclamations d’Amparo). On m’emporte déjà dans ce lieu si beau…
Luz Amparo : Mon fils !
Jesús Barderas : J’intercéderai pour vous tous (on entend les gémissements de Luz Amparo). Soyez forts et aimez beaucoup le Créateur.
La Très Sainte Vierge : Croyez, mes enfants, croyez en la Divine Majesté de Dieu.
Jesús Barderas : Et vous tous, mes frères, ne soyez pas tristes, soyez joyeux, bien que l’absence soit toujours triste ; mais de quelle grande douleur j’ai été libéré !
Je suis ici, maman (Luz Amparo continue à pleurer). Priez pour toutes ces âmes à qui ne parvient même pas une petite prière, afin qu’elles arrivent elles aussi dans ce lieu. Merci à vous tous qui priez pour moi, j’intercéderai aussi pour ceux qui en ont besoin. Adieu, maman ! Adieu, mes frères !
Amparo : Ah ! comme c’est beau, mon Dieu !Ah ! quelle grandeur ! Ah, mon Dieu, quand vas-tu m’emporter moi aussi, mon Dieu ! Quand ! Ah ! Il me reste beaucoup de temps ici, Seigneur ? Ah ! quelle joie, Seigneur ! Ah ! Mais je ferai ta Volonté, garde-moi ici le temps que tu voudras, si je peux ainsi sauver des âmes. Je suis si misérable et si peu de chose. Seigneur, que ta Volonté soit faite !
La Très Sainte Vierge : Ma fille, quelle grande corruption il y a dans le monde !Les hommes ne croient pas en Dieu, et ceux qui disent croire sont en train de se refroidir. Si les hommes ne tournent pas leur regard vers Dieu leur Créateur !… Ils ne veulent pas entendre parler de châtiments, ils ne veulent pas entendre parler de catastrophes, mais pourtant ils ne donnent pas d’importance au péché, et le péché se répand et gonfle comme le levain (Exclamation d’effroi d’Amparo). Tous ceux qui viendront dans ce lieu recevront des grâces très spéciales pour leur salut.
Notre Seigneur : Oui, mes enfants, vous êtes dépourvu de doctrine, d’une doctrine véritable. Pasteurs de mon Eglise, Je vous demande, et toi, ma fille, crie-le, même s’ils font la sourde oreille, Je vous demande de prêcher la doctrine avec la vérité de l’Evangile, car les âmes en ont un grand besoin, elles ont soif de ce qu’on leur parle des vérités du Christ. Car Dieu est maintenant très miséricordieux à l’égard de l’humanité, mais d’un moment à l’autre peut se déchaîner une grande catastrophe, où les bons, qui s’appellent bons, mourront avec les mauvais, parce que les bons ne sont pas si bons, et les mauvais ne veulent pas être bons.
Formez des communautés, où Dieu règne, malgré vos défauts, mes enfants, et malgré vos faiblesses. Aimez-vous les uns les autres, et vivez comme de bons chrétiens. Aimez-vous les uns les autres, et vivez comme de bons chrétiens. Aimez l’Eglise, aimez le Vicaire du Christ, et abreuvez-vous aux sources qu’il y a dans l’Eglise, et laissez-vous oindre par l’Esprit-Saint. Beaucoup n’ont même pas eu cette grâce de recevoir l’onction du baptême.
Sots que vous êtes, que deviendrez-vous le jour où vous arriverez devant la Divine Majesté de Dieu ! Ni les pleurs ni les lamentations ne vous serviront ! Priez, mes enfants, maintenant ! Abandonnez la chair et vivez l’Evangile, et ne soyez pas égoïstes ni avares, mes enfants. Beaucoup d’entre vous ne vivent que pour eux-mêmes, vous ne vivez pas pour les autres.
Prêtres des villes et villages, prêchez l’Evangile, et vivez comme des prêtres, à votre ministère, en conquérant les âmes pour le Royaume du Christ. Les temps approchent, et vous, vous n’y faites pas attention, mes enfants. Il va vous arriver ce qui est arrivé au temps du déluge ; les hommes de ce temps-là ne faisaient pas cas des avertissements , et la Justice que Dieu appliqua sur eux les prit par surprise.
Le commandement de l’amour est très important, mes enfants. Ne pensez pas seulement à vous et aux vôtres. Pensez à ceux qui souffrent, à ceux qui ont faim, aux persécutés, aux malades. Pratiquez les œuvres de miséricorde. Et vous tous qui venez en ce lieu, vous recevrez des bénédictions très spéciales, mes enfants, pour le salut de votre âme.
Et toi, ma fille, si tu as envie de gémir, gémis, ne sois pas oppressée ; et que les hommes ne s’effraient pas à cause de tes pleurs, parce que Moi aussi, J’ai pleuré, et ma Mère a pleuré.
Rendez-vous compte de la cruauté de ces mères qui empêchent la vie de l’être humain pour rechercher le plaisir, elles ne recherchent pas la procréation pour Dieu. Et de ces autres mères qui tuent leurs enfants dans leurs entrailles, si l’on peut dire que ce sont des mères seulement parce qu’elles sont nées pour la maternité. Mais qu’elles sont cruelles, et quelle perversité il y a dans le monde !…
La Très Sainte Vierge : Baise le sol, ma fille, à cause de tant et tant de péchés que l’on commet dans l’humanité.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour votre pauvre âme et pour les âmes des pauvres pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.

MENSAJE DEL DÍA 5 DE OCTUBRE DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hija mía, ya sé que tu dolor sigue vivo en tu corazón. Piensa, hija mía, que estás aquí para sufrir, no para gozar, sino para colaborar conmigo. Cuando yo me manifesté ante ti, hija mía, ¿qué respuesta diste a mis palabras?, cuando decías: “No lo puedo soportar, ¿qué es esto, qué es esto, este dolor tan inmenso?”. Mi respuesta fue, hija mía: “Esto es la Pasión de Cristo”. Y te pregunté: “¿La aceptas, hija mía?”; y tú me respondiste: “No sé, Señor, con tu ayuda lo soportaré”. Pues así, hija mía, como tú me respondiste a mí, yo te dije, hija mía: “Con tu dolor se puede salvar un número de almas”. Y tú me respondiste: “Señor, ayúdame”. Pues para ayudarte, hija mía, y para que tú me ayudes a mí, tengo que ir modelándote y dándote golpes, hija mía. Esta vez el golpe ha sido más duro. Esta vez ha sido un camino de dolor y de amargura, pero, hija mía, cuando te ofrecí la cruz, te dije que la Cruz era muy dolorosa porque en ella redimí yo al mundo. Pues así es como modelo a las almas, con golpes. Primero las voy de... golpeando despacito, para acostumbrarlas a los golpes duros. Este es el mayor golpe que has sentido, hija mía, pero Satanás no ha podido cumplir sus planes. A Satanás lo he reducido a cenizas, y, al fin, hemos triunfado; porque, hija mía, este dolor y esta angustia —sé que es muy duro, hija mía, decírtelo—, pero es la redención y la salvación de tu hijo, hija mía. Tu dolor es más agudo que el de otras madres, hija mía, porque yo he perfeccionado tu amor, no está desfigurado; por eso tu dolor es más fuerte, y tu angustia más profunda; pero yo también sentí el dolor de mi Madre.
 
 

     LA VIRGEN:

     Sí, hija mía, mi Corazón se traspasó de dolor cuando en mis brazos pusieron a mi Hijo, desgarrado, ensangrentado. Mi Corazón se traspasó por un dolor tan inmenso, hija mía, que no sólo me duró ese día, sino que me quedó para toda la vida; por eso soy la Virgen Dolorosa, hija mía. No comprendo cómo las madres pueden matar a sus hijos dentro de sus entrañas; cómo las madres pueden rechazar a ese ser que lo alimentan de su propia sangre. Sí, hija mía, es un dolor inmenso el que siente tu corazón; pero, hija mía, para sacar buen fruto, hay que abonar la tierra con dolor, con sacrificios, y regarla con lágrimas. Así me quedé yo cuando murió mi Hijo. De mis ojos brotaban las lágrimas en abundancia y regué la tierra, para que los hombres supiesen entender el dolor de mi Corazón y a lo que vino mi Hijo al mundo: a redimirlos; pero ¿qué hacen los hombres? Se olvidan del dolor, de la Cruz, de la Pasión, del sufrimiento. Ése es el mayor dolor: que los hombres no se comportan como seres humanos; a veces, se comportan como fieras, hija mía, porque un ser humano no es capaz de derramar la sangre de otro ser humano. Mira, hija mía, mira qué dolor.
 
 

     LUZ AMPARO:

     (Luz Amparo llora amargamente). ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay...! ¡Ay, hijo mío! ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay, qué crueles...! ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay...!
 
 

     LA VIRGEN:

     No quiero evitarte ese dolor que pasé yo también, hija mía, pero quiero sellar tus labios y que sea la divina justicia de Dios la que los juzgue.

     Hija mía, sella tus labios hasta la muerte; Dios los juzgará...

     (Luz Amparo llora con profundos y dolorosos gemidos ante las escenas de la muerte de su hijo).
 
 

     JESÚS BARDERAS:

     Mamá, sufrí mucho, pero fueron segundos. Mira dónde estoy: entre la Reina del Cielo, una Señora tierna, muy tierna, que me cogió bajo su amparo, y me protegió, aunque participé también del dolor y de la amargura; pero perdónalos, mamá. Ahora es cuando he conocido la incomprensión de los hombres... Ahora, mamá, el seguir a Dios les ha costado a muchos la vida. Una venganza terrible, mamá, por el sólo hecho de ser tu hijo; pero mira qué gozo y qué felicidad. Estoy entre la ternura y las manos de la Señora más bella, la Reina del Cielo y de la Tierra. Mira qué lugar, mamá, mira.

     No sufráis por mí, porque esta Señora tan bella, que tantas veces tú hablabas, mamá, me ha comprendido, y mi alma ha estado en sus manos como en las manos de mi Creador. Aquí lo comprendo todo, mamá, los misterios que no comprendía en la Tierra; y a todos os comprendo también; aunque llores mi ausencia, un día todos estaremos juntos. Soy muy feliz. Ya no huyo de la persecución, mamá, ni de la incomprensión de los hombres. Aquí me han sabido comprender y entender, y los hombres no seguirán atormentándome ni despreciándome. Aunque los hombres no lo crean.
 
 

     LA VIRGEN:

     ¡Cuántas...! ¡Ay!, mira hija mía, cuántas almas se pueden salvar por la oración y por la penitencia y el sacrificio.
 
 

     JESÚS BARDERAS:

     Pedid por ellas, mamá. Muchos pobrecitos no tienen quién rece ni una oración pequeña por ellos; pedid. Mira, mamá, éstos son mis verdaderos amigos, mis verdaderos hermanos, no todos los demonios que rodean el globo terrestre.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, hijo mío!, ¡ay! ¡Ay, qué belleza! ¡Ay!
 
 

     LA VIRGEN:

     ¡La belleza del alma!
 
 

     JESÚS BARDERAS:

     He pasado por un lugar un poco tenebroso, pero, sin embargo, más eran mis culpas y las ofensas que cometí contra mi Creador; pero el Todopoderoso es tan misericordioso que, por el hecho de salvar tú tantas almas...; que muchas las reconocerás aquí.

     Sí, unas tienen la misión de consolar, de ángeles consoladores. Mira esta hermana, qué bella; también fue mi ángel consolador en esos momentos. Y tantos y tantos ángeles como hay; mira, en todo este lugar, al lado de esta gran Señora.

     Sacrificaos y cumplid con los mandamientos, practicad los sacramentos, y un día nos juntaremos todos; y aquí está la verdadera felicidad, no en la Tierra, donde todo ha sido angustia, persecución, tristeza, desprecios; pero esta tierna Señora, con estas manos puras y bellas, mira, cómo unge mi cabeza. Ya me llevan a este bello lugar.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Hijo mío, ay!...
 
 

     JESÚS BARDERAS:

     Yo intercederé por todos vosotros. Sed fuertes y amad mucho al Creador.
 
 

     LA VIRGEN:

     Creed, hijos míos, creed en la Divina Majestad de Dios.
 
 

     JESÚS BARDERAS:

     Y vosotros todos, hermanos, no estéis tristes, estad alegres, aunque la ausencia siempre es triste; pero ¡de cuánto dolor me he liberado!

     Aquí estoy, mamá. Orad por todas esas almas que no les llega ni una oracioncita, para que lleguen a este lugar. Gracias por todos los que rezáis por mí, porque yo aplicaré también mi comunicación hacia los que lo necesitan. ¡Adiós, mamá! ¡Adiós, hermanos!
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, cómo sube, Dios mío, qué grandeza! ¡Ay, qué grandeza! ¡Ay, Dios mío!, ¿cuándo me vas a llevar a mí, Dios mío, cuándo? ¡Ay!, ¿me queda mucho, Señor? ¡Ay, ay, qué gozo Señor! ¡Ay...! Pero yo haré tu voluntad; tenme aquí hasta que quieras, si con ello puedo salvar almas. ¡Soy tan miserable y tan poca cosa! ¡Señor, que se haga tu voluntad!
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, ¡cuánta corrupción hay en el mundo!; los hombres no creen en Dios, y los que dicen creer se están enfriando, ¡Como los hombres no vuelvan la vista hacia Dios su Creador!... No quieren oír de castigos, no quieren oír de catástrofes, pero, sin embargo, el pecado no le dan importancia, y el pecado se extiende y aumenta como la levadura.

     A todos los que llegan a este lugar, recibirán gracias muy especiales para su salvación.
 
 

     EL SEÑOR:

     Sí, hijos míos, estáis faltos de doctrina, de una doctrina verdadera.

     ¡Pastores de mi Iglesia, os pido —y grítalo, hija mía, aunque se hagan los sordos—: que prediquen la doctrina con la verdad del Evangelio! Que las almas están necesitadas, están sedientas de que se les hable las verdades de Cristo. Que Dios está siendo muy misericordioso con la Humanidad, pero puede desencadenarse, de un momento a otro, una gran catástrofe, donde los buenos, que se llaman buenos, morirán junto a los malos; porque ni son tan buenos los buenos, ni los malos quieren ser buenos.

     Formad comunidades, donde Dios reina; con defectos, hijos míos, y con flaquezas. Amaos unos a otros y vivid como buenos cristianos. Amad a la Iglesia, amad al Vicario de Cristo y bebed de las fuentes que hay en la Iglesia, y dejaos ungir por el Espíritu Santo, que muchos ni siquiera han recibido esa gracia de ser ungidos por el Bautismo. ¡Torpes!, pero ¿qué va a ser de vosotros el día que lleguéis ante la Divina Majestad de Dios? Ni llanto ni lamentos servirán. Orad, hijos míos, ahora. Dejad la carne y vivid el Evangelio, y no seáis egoístas y avaros, hijos míos; que muchos no vivís nada más que para vosotros mismos, no vivís para los demás.

     ¡Sacerdotes de los pueblos: predicad el Evangelio y vivid como sacerdotes en vuestro ministerio, conquistando a las almas para el Reino de Cristo! Los tiempos se aproximan, y vosotros no hacéis caso, hijos míos; os va a pasar como en los tiempos del Diluvio, que no hacían caso y les pilló sorprendidos la justicia que Dios aplicó sobre ellos.

     El mandamiento del amor es muy importante, hijos míos; no penséis sólo en vosotros y en los vuestros, pensad en los que sufren, en los que tienen hambre, en los perseguidos, en los enfermos; practicad las obras de misericordia. Todos los que acudáis a este lugar recibiréis bendiciones muy especiales, hijos míos, para la salvación de vuestra alma.

     Y tú, hija mía, si tienes ganas de gemir, gime, no te oprimas; y los hombres que no se asusten por tu llanto, porque yo lloré y mi Madre lloró.

     Hay que darse cuenta de esas madres crueles, que evitan la vida del ser humano y muchas buscan el placer, no buscan el procrear para Dios; y de esas otras madres que matan a sus hijos en sus entrañas, si se puede decir que son madres, porque han nacido de tales. Pero, ¡qué crueles y qué perversidad hay en el mundo!
 
 

     LA VIRGEN:

     Besa el suelo, hija mía, por tantos y tantos pecados como se cometen en la Humanidad...

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para vuestra pobre alma y las almas de los pobres pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

2 novembre 1996

La Très Sainte Vierge : Mes enfants, Je viens aujourd’hui comme Mère de tous les pécheurs, comme Reine de tous les affligés. Je porte aujourd’hui un manteau d’or, et de ce manteau sortiront des rayons de lumière qui vont recouvrir la terre. Je suis la Mère de tous ceux qui souffrent, et mon Cœur les aime. Regarde, ma fille, comme Je vais aujourd’hui dans ce lieu : avec mon manteau, elles vont s’envoler vers la patrie céleste.
Amparo : Oh ! Oh ! Combien d’âmes quittent aujourd’hui ce lieu pour la béatitude ! Oh ! Elles entrent au ciel en foule ! Oh ! combien sortent de ce lieu !
La Très Sainte Vierge : Aujourd’hui il est accordé aux âmes le privilège d’arriver ici devant les bienheureux. Mais J’ai dû souvent les consoler, parce qu’elles étaient affligées, au cours de la purification de leurs fautes. Aujourd’hui elles sont dans la joie auprès de la Divine Majesté. Je suis la Mère de ceux qui souffrent, la Mère de tous les pécheurs. Venez à Moi, Je vous conduirai à mon Fils, et J’intercéderai auprès de Lui pour qu’Il pardonne vos fautes. Je suis la Mère du Divin Rédempteur.
Le gouvernail de Pierre a été laissé entre mes mains, car Je suis la Mère de l’Eglise, et Je veux réunir tout le troupeau pour qu’il aime l’Eglise, et pour que se convertissent tant et tant de pécheurs qui offensent la Divine Majesté de Dieu. Je répandrai aujourd’hui des grâces spéciales pour ces pauvres pécheurs.
Notre Seigneur : Oui, ma fille, que les guides du peuple se consacrent à bien prêcher ma Parole. Pasteurs de mon Eglise, que votre cœur soit au ciel, qu’il ne soit pas dans le monde, parce que, pour beaucoup d’entre vous, mes enfants, tandis que vous vous consacrez au monde, Moi Je suis méconnu, outragé et méprisé. En tant que pasteur, le prêtre a la mission de protéger son troupeau, d’examiner où est la lumière, de ne pas la cacher, mais de réfléchir sur tout, de retenir ce qui est bon, et de donner le témoignage de la vérité. Or beaucoup d’entre vous cachent la vérité et ont le mensonge sur leurs lèvres pour faire du tort là où Moi Je répands tant de grâces. Malheur à vous, qui censurez les paroles de l’Evangile et qui lui ajoutez ce que vous voulez ! Comme beaucoup d’entre vous peuvent déformer l’Evangile ! Lors de ma résurrection, Je suis descendu aux enfers. Comment pouvez-vous cacher aux hommes que l’enfer existe ? Vous avez lu dans l’Evangile les nombreuses répétitions des mots « enfer » et « châtiment ». Dieu châtie les mauvais et Il récompense les bons. Sinon, Il ne serait pas un Dieu juste. Comme vous déformez la Parole de Dieu ! Comment pouvez-vous dire qu’il ne faut pas faire peur aux âmes, alors que cela est écrit ! Qui sera sauvé ? Celui qui observera les commandements. Et vous, guides de mon Eglise, beaucoup d’entre vous, vous ne voulez pas comprendre que l’enfer existe. Ah ! prêchez l’Evangile tel qu’il est écrit ! Ne le prenez pas toujours comme des exemples…[Amparo : Ah ! quelle déformation !]… ou comme des paraboles qui n’ont pas de fondement dans la réalité. Tout ce qui est écrit est écrit avec le sang du Rédempteur. Ceux qui ont vu ont témoigné. Alors, mes enfants, à quoi sert le Credo ? Je crois en Dieu le Père Tout-Puissant, Créateur du ciel et de la terre. Je crois en Jésus-Christ, son Fils Unique, Notre Seigneur, qui a été conçu par l’opération et la grâce de l’Esprit Saint, est né de la Sainte Vierge Marie, a souffert sous le pouvoir de Ponce Pilate, a été crucifié, est mort, a été enseveli, est descendu aux enfers, et au troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux et est assis à la droite du Père, d’où il viendra pour juger les vivants et les morts. Je crois en l’Esprit Saint, à la Sainte Eglise catholique, à la communion des saints, au pardon des péchés et à la vie du monde futur. C’est ainsi.
Comme vous effacez ces mots : « Je suis assis à la droite du Père, et Je suis descendu aux enfers » et « Fils de la Vierge Marie ». Et ne mettez pas ces paroles en doute : celui qui le fait peut être déclaré anathème.
La Très Sainte Vierge : Mes enfants, consacrez-vous aux âmes, car les hommes ont soif du Nom de Dieu. Consacrez-vous à votre ministère et rassemblez le troupeau qui est éparpillé dans tous les coins de la terre. Et ne faites pas douter les âmes de l’Evangile. Aimez l’Eglise, obéissez à l’Evêque, aimez le Saint-Père. L’obéissance est très importante, mes enfants. Ne faites pas ce que vous avez envie de faire. Prêchez la Parole de Dieu et portez la consolation aux affligés.
Regarde, ma fille, les sources d’eau vive auxquelles les hommes cessent de s’abreuver parce qu’ils sont dépourvus de la Parole de Dieu. Approchez-vous de ces canaux, mes enfants, et buvez de cette eau. Dans l’Eglise il y a de l’eau vive qui donne la vie, non pas la vie temporelle, mais la vie éternelle. Le Christ vous apprend à aimer, le Christ ne repousse pas les hommes. Votre orgueil, pour beaucoup d’entre vous, ne vous permet pas de comprendre que le Dieu Tout-Puissant peut se manifester à ce qu’il y a de plus inculte, de plus misérable, de plus humble, pour vous confondre, vous qui vous croyez plus grands et plus puissants. Soyez humbles, et ne cachez pas la lumière : choisissez ce qui est bon et laissez ce qui est mauvais. Mais, mes enfants, êtes-vous donc aveugles ? Je vous ai donné des yeux pour voir, et des oreilles pour entendre, mais vous, vous vous fiez davantage à ce que vous écoutez qu’à ce que vous voyez, mes enfants. Soyez de bons pasteurs de l’Eglise, et ne critiquez pas les bons pasteurs qui mettent en pratique l’Evangile tel qu’il est écrit. Aidez-vous les uns les autres, tournez votre regard vers les hommes, et apprenez-leur ce qui est péché. En effet, vous ne donnez pas d’importance au péché. Pour vous aujourd’hui, rien n’est péché, mes enfants. C’est ainsi qu’est le monde, telle est la situation parmi la jeunesse. Tout est bon dans les couples. Il n’y a pas de péché. C’est pourquoi on utilise si peu les confessionnaux, mes enfants. Votre travail consiste à guider le troupeau, à le diriger, et à lui apprendre les vérités qui sont écrites. Combien d’entre vous arriverez devant mes yeux et entendrez ces mots : « Allez-vous en, maudits, parce que vous n’avez pas rempli la mission que Je vous avais confiée ! ». Revêtez-vous du vêtement de la pureté, de l’humilité et de la charité. Et vous verrez, mes enfants, comme vous atteindrez la sagesse et comme vous saurez discerner le bien du mal.
Mes enfants, venez en ce lieu. Confessez vos fautes et demandez pardon à Dieu ; Il vous ouvrira son Cœur, Il vous embrassera éternellement et Il oubliera vos misères et vos péchés. Mais à condition que vous vous humiliiez et que vous mettiez en pratique les Lois de Dieu.
Aimez-vous les uns les autres, et partagez. Formez des communautés, mes enfants, et vivez en communauté, où règne le Créateur de l’univers. Mes enfants, vivez dans la prière et le sacrifice. La joie aussi est un don de l’Esprit Saint. Celui qui est dans la grâce de Dieu est joyeux, mes enfants. Soyez joyeux, parce que vous avez l’Esprit de Dieu avec vous.
Baise le sol, ma fille, en réparation de tant et tant de péchés que l’on commet dans le monde.
Levez tous les objets :ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les pauvres moribonds, avec des grâces pour qu’ils reçoivent la lumière à l’heure de leur mort et meurent dans la grâce de Dieu. Tous les objets ont été bénis, mes enfants.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.

MENSAJE DEL DÍA 2 DE NOVIEMBRE DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hijos míos, hoy vengo como Madre de todos los pecadores, como Reina de todos los afligidos. Hoy traigo un manto de oro, y de este manto saldrán rayos de luz que cubrirán la Tierra. Yo soy Madre de todos los que sufren y mi Corazón los ama. Mira, hija mía, cómo hoy voy a este lugar y con mi manto voy a sacar a muchas almas y, protegidas bajo él, van a volar hacia la Patria celeste.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, cuántas almas salen hoy a gozar! Ya entran en tropel. ¡Ay, cuántas salen!
 
 

     LA VIRGEN:

     Hoy se concede el privilegio a las almas de llegar aquí ante los bienaventurados; pero he tenido muchas veces que consolarlos porque estaban afligidos, purificando sus culpas. Hoy gozan de la Divina Majestad; por eso soy Madre de los que sufren; Madre de todos los pecadores.

     Venid a mí, que yo os llevaré a mi Hijo y yo intercederé ante Él, para que perdone vuestras culpas. Yo soy la Madre del Divino Redentor. Me han dejado el timón de Pedro en mis manos; por eso soy Madre de la Iglesia, y quiero reunir todo el rebaño para que ame a la Iglesia y se conviertan tantos y tantos pecadores como ofenden a la Divina Majestad de Dios. Hoy derramaré gracias especiales para esos pobres pecadores.
 
 

     EL SEÑOR:

     Sí, hija mía, que los guías del pueblo se dediquen a predicar bien mi palabra. Pastores de mi Iglesia, que vuestro corazón esté en el Cielo, que no esté en el mundo; porque muchos de vosotros, hijos míos, mientras os dedicáis al mundo, yo soy desconocido, ultrajado y despreciado. El sacerdote tiene una misión como pastor: la de proteger a su rebaño y examinar dónde está la luz; no esconderla, sino mirar todo y quedarse con lo bueno, y dar testimonio de la verdad; pero hay muchos de vosotros que escondéis la verdad y lleváis la mentira en vuestros labios para dañar allí donde yo derramo tantas gracias. ¡Ay de vosotros, que quitáis las palabras del Evangelio y añadís lo que queréis! ¿Cómo podéis deformar, muchos de vosotros, el Evangelio? Cuando resucité, descendí a los Infiernos; ¿cómo podéis esconder a los hombres que existe el Infierno? ¿Habéis leído el Evangelio, las veces que repite la palabra Infierno y castigo? Dios castiga a los malos y premia a los buenos; si no, no sería un Dios justo. ¡Cómo deformáis la palabra de Dios! ¿Cómo decís que no se puede meter miedo a las almas?, si está escrito: “¿Quién se salvará? El que cumpla con los mandamientos”; y vosotros, guías de mi Iglesia, muchos de vosotros no queréis entender, ni los demás comprender, que existe el Infierno. ¡Ay, predicad el Evangelio como está escrito, no lo pongáis siempre como ejemplos!...
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, qué deformación!
 
 

     EL SEÑOR:

     ¡O como parábolas que no existieron! Todo lo que está escrito, está escrito con la sangre del Redentor; así lo atestiguaron los que lo vieron. Entonces, hijos míos, ¿de qué sirve el Credo? Creo en Dios, Padre Todopoderoso, Creador del Cielo y Tierra. Creo en Jesucristo, único Hijo, Nuestro Señor, que fue concebido por obra y gracia del Espíritu Santo, nació de Santa María Virgen, padeció debajo del poder de Poncio Pilato, fue crucificado, muerto y sepultado, descendió a los Infiernos y al tercer día resucitó de entre los muertos, y subió a los Cielos y está sentado a la derecha del Padre. Desde allí ha de venir a juzgar a vivos y muertos. Creo en el Espíritu Santo, la Santa Iglesia Católica, la Comunión de los Santos, el perdón de los pecados, y la vida del mundo futuro. Así es.

     ¿Cómo os coméis esas palabras? Estoy sentado a la derecha del Padre y descendí a los Infiernos; Hijo de María Virgen; y no lo dudéis, porque el que dude estas palabras, anatema se puede llamar.

     Hijos míos, dedicaos a las almas, que los hombres están sedientos del Nombre de Dios. Dedicaos a vuestro ministerio, y reunid el rebaño, que está esparcido por todos los lugares de la Tierra, y no hagáis dudar a las almas del Evangelio. Amad a la Iglesia, obedeced al obispo, amad al Santo Padre. La obediencia es muy importante, hijos míos. No hagáis cada uno lo que os venga en gana. Predicad la palabra de Dios y llevad el consuelo a los afligidos.

     Mira, hija mía, las fuentes de agua viva que los hombres dejan de beber porque están faltos de la palabra de Dios. Acercaos a estos canales, hijos míos, y bebed de ellos. En la Iglesia hay agua viva que da la vida —no la vida temporal—, la vida eterna. Cristo os enseña a amar. Cristo no rechaza a los hombres y, muchos de vosotros, vuestra soberbia no os deja entender ni comprender que Dios Todopoderoso puede manifestarse a lo más inculto, miserable y humilde, para confundiros a aquéllos que os creéis más grandes y poderosos. Sed humildes y no escondáis la luz, y escoged lo bueno y dejad lo malo; pero, hijos míos, ¿estáis ciegos? Yo os puse los ojos para ver y los oídos para oír, pero os fiáis más de lo que escucháis que de lo que veis, hijos míos. Sed buenos pastores de la Iglesia y no critiquéis a aquéllos que son buenos pastores y cumplen el Evangelio tal como está escrito. Ayudaos y volved vuestra mirada, y enseñad a los hombres lo que es pecado, porque no le dais importancia al pecado. Hoy, para vosotros, nada es pecado, hijos míos. Así está el mundo y así está la situación entre la juventud; todo es bueno entre las parejas. No hay pecado; por eso se usa tan poco los confesionarios, hijos míos. Vuestro trabajo es pastorear el rebaño y dirigirlo y enseñarles las verdades que hay escritas. Cuántos de vosotros llegaréis ante mis ojos y oiréis estas palabras: “Id, malditos, porque no habéis cumplido con la misión que os encomendé”. Revestíos con la vestidura de la pureza, de la humildad y de la caridad y veréis, hijos míos, cómo alcanzaréis la sabiduría y sabréis discernir el bien del mal.
 
 

     LA VIRGEN:

     Hijos míos, acudid todos a este lugar. Confesad vuestras culpas y pedid perdón a Dios; que Él abrirá su Corazón y os dará un abrazo eterno que olvidará vuestras miserias y vuestros pecados, pero si vosotros os humilláis, hijos míos, y cumplís con las leyes de Dios.

     Amaos unos a otros y compartid. Haced comunidades, hijos míos, y vivid en comunidad, donde reine el Creador del Universo. Vivid, hijos míos, en oración y en sacrificio; también la alegría es un don del Espíritu Santo; el que está en gracia está alegre, hijos míos. Estad alegres, porque tenéis el Espíritu de Dios con vosotros.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados como se cometen en el mundo...

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres moribundos, con gracias para que reciban la luz en la hora de su muerte y morir en gracia de Dios. Todos han sido bendecidos; todos los objetos, hija mía.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

7 décembre 1996

La Très Sainte Vierge : Mes enfants, aujourd’hui mon manteau est plus défraîchi, parce que vos prières sont très pauvres, mes enfants, et que votre dévouement n’est pas constant ; c’est pourquoi Je ne porte pas aujourd’hui le manteau d’or, parce que vos prières, Je le répète, mes enfants, doivent être plus ferventes. Priez, mes enfants, mais que votre prière sorte du plus profond de votre cœur.
Notre Seigneur : Je veux, mes enfants, que vous fassiez bien votre travail. Mes enfants, beaucoup d’entre vous enterrent leurs talents et ne les font pas fructifier. Offrez votre travail à Dieu, votre Créateur, pour la rédemption des âmes. Mais votre travail, mes enfants, doit être un travail plein de joie. Je donne des talents aux hommes, et les uns les cachent, les autres les multiplient.
Ah ! serviteur qui caches tes talents ! Serviteur paresseux, serviteur fainéant : tu vis pour toi, tu manges, tu bois, sans travailler, sans observer les lois de Dieu ! Tu ne fais pas ton travail, serviteur paresseux, parce que tu caches tes talents, et tu n’observes pas les commandements de Dieu. Tu travailles à contrecœur et sans joie. Je ne peux que te dire : Va-t-en, serviteur inutile, tu ne me sers de rien.
Quant à toi, serviteur dévoué, toi qui fais fructifier tes talents, tu travailles avec joie, en te consacrant aux autres ! Tu es un serviteur utile, sans paresse, tu es dévoué, et tu te consacres au service de Dieu et des nécessiteux. Je te le dis : tu es un serviteur utile, parce que tu as fais fructifier tes talents ; tu contempleras mon visage, et Je viendrai à ta rencontre, parce que tu as été très utile, tu as toujours été au service de Dieu et des hommes, et tu ne t’es pas préoccupé de toi, mais des autres, tu n’as pas chargé tes frères de fardeaux, mais les fardeaux, tu les as portés sur ton dos.
Mes enfants, comme ils sont nombreux parmi vous ceux qui fuient le travail, alors que le travail sanctifie l’homme et le fortifie ! Et Moi , qui ai-Je choisi ? Des hommes rudes, aux mains rendues calleuses par leur travail et leur sueur. Combien parmi vous ne vous préoccupez que de carrières et d’études, mes enfants. Pourquoi voulez-vous l’intelligence, si ces carrières et ces études empêchent beaucoup d’entre vous d’arriver jusqu’à l’Eternité ? Oui, ma fille, il y a beaucoup de serviteurs paresseux, mais malheur à ces serviteurs paresseux qui ne pourront pas parvenir à voir mon visage !
La Très Sainte Vierge : Oui, ma fille, dis aux hommes que Dieu a placé le monde dans mes mains, ce n’est pas que Je veuille prendre la place de Dieu. Dieu est le Créateur, l’Infini, mais dès le commencement Dieu m’a choisie pour déposer son Fils dans mes entrailles. Le Verbe s’est incarné par l’œuvre et la grâce de l’Esprit Saint, ma fille, et Il s’est fait homme, et Il s’est égalé à l’homme en tout excepté le péché. Dieu a voulu me choisir comme Mère de Dieu. Depuis que le monde a commencé d’exister, Dieu m’avait déjà choisie. Il m’a élevée aux Cieux et Il m’a préparée, depuis ma prime enfance, pour être Mère de Dieu.
Je n’ai jamais voulu briller plus que mon Fils. Je me suis cachée, parce que Moi J’étais la créature et Lui le Créateur. Mais Il m’a comblé de dons. Je suis Mère de l’Eglise, mais Je ne peux, ni ne veux, enlever son poste au Représentant du Christ dans l’Eglise. Le fait d’être Mère de l’Eglise, le fait que Dieu ait mis le monde dans mes mains, n’enlève à personne la place qui lui correspond, et le poste que Dieu a choisi pour lui. Il a fait de moi la Mère de Dieu, la Porte du Ciel, la Consolatrice des affligés, et Il m’a accordé tant et tant de dons et de grâces, comme celui d’être Vierge, Pure et Immaculée avant et après l’enfantement. Comment les hommes veulent-ils me laisser de côté en un lieu où n’apparaisse pas mon nom, alors que Je suis la mère de Dieu ? Là où est le Cœur du Fils, là se trouve le Cœur de la Mère.
Regarde, ma fille, ce que J’ai dans mes mains : ton fils ; regarde : un lis, blanc et parfumé. C’est Celui qui aime les lis, le Créateur, qui l’a mis dans mes mains. Je suis la Mère des Martyrs, et au ciel, ma fille, on a célébré la fête, bien qu’elle ne puisse pas être célébrée sur la terre. Regarde quel lis si parfumé est parvenu dans mes mains virginales (expressions d’admiration d’Amparo). Il ne peut être dans un meilleur endroit, ma fille ! Je sais que ton cœur souffre encore, comme le mien a souffert tout au long de ma vie. Oui, ma fille, ne détourne pas ton regard de la Passion de mon Fils. Moi Je n’ai pas détourné un instant mon regard du Sépulcre de mon Fils, et J’ai parcouru tous les chemins de sa Passion. Toute ma vie J’ai parcouru, avec Jean et avec Madeleine, les Lieux Saints par où mon Fils était passé, ma fille. Je n’ai pas pu L’oublier un seul instant. Pendant toute ma vie je me suis remémoré sa Passion, sa Mort, son Sacrifice pour l’humanité.
Notre Seigneur : Ne sois pas affligée, ma fille, les hommes ont beau s’étonner que la foi ne te fasse pas oublier, pense que la foi, parfois, réveille le souvenir au lieu de procurer l’oubli, ma fille. Et Je t’ai donné une très grande capacité de souffrir, comme Je t’ai donné une très grande capacité d’aimer, ma fille. Mais comment ne vas-tu pas souffrir et pleurer, puisqu’il s’agit de ton fils, qui est sorti de tes entrailles ? La foi ne t’enlève pas la douleur, ni le souvenir, Je te le répète, ma fille, elle t’aide à supporter la douleur et le souvenir.
Amparo (elle soupire et dit en gémissant) : Ah !mon fils, ah ! combien je donnerais pour aller là-bas ! Ah ! combien je donnerais ! Seigneur ! Ah !Ah ! Comme on y est bien, Seigneur ! Jusqu’à quand vas-tu vouloir que je reste ici ! Ah ! Seigneur ! Jusqu’à quand ! Je ne veux pas être orgueilleuse, je veux accepter ta volonté. Mais je ne peux pas !Ah ! Seigneur ! Aide-moi ! (elle pleure).
La Très Sainte Vierge : Réfugie-toi en nos Cœurs, ma fille. Nos Cœurs te réconforteront. Je suis la Mère de ceux qui souffrent. Je sais comment est ton cœur, ma fille. Il n’y a pas de douleur qui ressemble à cette douleur, Je te l’ai répété ma fille ; mais tu sais, ma fille, que ce sont mes mains virginales qui ont pris ton fils ! Il fut si courageux, ma fille, un héros, car il a donné sa vie pour cette grande Œuvre, ma fille.
Notre Seigneur (avec une voix empreinte de sévérité) : Crime parfait, on ne peut plus parfait sur la terre, mais malheur à vous quand vous vous présenterez devant la Divine Majesté de Dieu ! Quel terrible jugement vous attend ! Convertissez-vous et repentez-vous, mauvais, ingrats ! Vous n’entrez pas dans le Ciel et vous n’y laissez pas entrer les âmes ! Laissez les chrétiens vivre comme des chrétiens, et n’entravez pas mes lois ! Je suis le Créateur, et vous serez tous jugés. Malheur à vous ! Aussi parfaits que soient les crimes que vous commettez sur la terre, quand vous arriverez devant Dieu, votre Créateur, toute votre perfection sera détruite, et beaucoup d’entre vous, vous le paierez aussi sur cette terre, mes enfants.
Jesús Barderas : Pardonne-leur, maman, pardonne-leur, et ne leur en tiens pas rancune. Prie beaucoup pour eux, afin qu’ils se convertissent, maman. Rien ne sera caché devant les yeux de Dieu ; c’est pourquoi je te demande de prier pour qu’ils se convertissent. Je ne puis être dans un meilleur endroit. Approche-toi de la Mère du Rédempteur, pour que ta douleur se calme. Ne souffre pas à cause de moi. Je suis dans la joie et j’ai cessé de souffrir.
Amparo : Ah ! mon fils ! Ah ! Quand j’arriverai là, Seigneur, quelle joie ! Ah ! Je veux être fidèle, Seigneur, et fais ce que tu voudras de moi ; mais donne-moi des forces pour pouvoir tout supporter.
La Très Sainte Vierge : Tu vois, ma fille, comme des âmes se convertissent aussi ? N’as-tu pas vu cette pauvre âme, comme elle est repentante et comme elle éprouve la contrition de ses offenses, de ses calomnies et de sa persécution ? Ne me demande pas sa guérison, ma fille, parce que c’est maintenant le moment, le moment de l’emporter dans l’Eternité. Sa douleur est profonde, et son repentir est vrai.
Amparo : Ah ! quelle joie !
La Très Sainte Vierge : Tu vois, ma fille, comme Je suis attentive à tous les détails des âmes ? Il m’a beaucoup aimé, bien que cet amour ait été parfois un peu désordonné. Mais J’irai à la rencontre de tous ceux qui aiment mon Cœur. Et J’irai aussi à sa rencontre : mais ne me demande pas la guérison de son corps, parce que la guérison de son âme m’a rempli davantage de joie. Continue, ma fille, à prier et à implorer pour lui, parce que c’est le moment de le prendre, non de le laisser. Continue à aimer le prochain, ma fille, de tout ton cœur, et n’éprouve jamais de rancœur envers personne. Tes sacrifices et tes douleurs servent à la conversion des âmes. N’éprouves-tu pas une grande joie pour la conversion de cette pauvre âme ? Très intelligent, mais son intelligence parfois lui a servi à s’égarer sur les chemins qu’il s’était tracés au cours de sa vie.
Baise le sol, ma fille, en réparation pour tous les pécheurs du monde.
Venez en ce lieu, vous y recevrez des grâces pour l’âme et le corps.
Mes enfants, priez pour que le démon ne détruise pas les plans de Dieu. Eh bien, Je veux, mes enfants, vous donner une grande surprise. C’est pourquoi Je vous demande de prier. Je vous demande, mes enfants, prière, sacrifice et pénitence.
Levez tous les objets : ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.
 

MENSAJE DEL DÍA 7 DE DICIEMBRE DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hijos míos, hoy mi manto viene más envejecido, porque vuestras oraciones son muy pobres, hijos míos, y vuestra entrega no es constante; por eso, hoy no traigo el manto de oro, porque vuestras oraciones, os repito, hijos míos, tienen que ser más ricas. Orad, hijos míos, pero que vuestra oración salga de lo más profundo de vuestro corazón.
 
 

     EL SEÑOR:

     Quiero, hijos míos, que cumpláis bien con vuestro trabajo. Muchos de vosotros, hijos míos, escondéis los talentos, no los multiplicáis. Ofreced vuestro trabajo a Dios vuestro Creador, para la redención de las almas; pero vuestro trabajo, hijos míos, tiene que ser un trabajo lleno de alegría. Yo doy talentos a los hombres, y unos los esconden y otros los multiplican.

     ¡Ay, siervo, que escondes tus talentos! ¡Siervo perezoso, siervo holgazán, que vives para ti, comes y bebes sin ocuparte del trabajo y de entregarte a cumplir las leyes de Dios! Ni cumples con tu trabajo, siervo holgazán, porque escondes tus talentos, ni cumples con las leyes de Dios. Trabajas sin gana y sin alegría. Sólo te puedo decir: ¡vete, siervo inútil, que no me sirves para nada!

     Pero, ¡ay, siervo abnegado, que multiplicas tus talentos, trabajas con alegría, entregándote a los demás! Eres un siervo útil que no tienes pereza, eres abnegado y te entregas al servicio de Dios y al servicio de los necesitados. Yo te digo que eres un siervo útil, porque has multiplicado los talentos y verás mi rostro, y saldré a tu encuentro, porque has sido muy útil, y has estado siempre al servicio de Dios y de los hombres; porque no te has preocupado de ti, sino te has preocupado de los demás, y no has cargado cargas sobre tus hermanos, sino que las has cargado sobre tus espaldas.

     ¡Hijos míos, ¿cómo muchos huís del trabajo, si el trabajo santifica al hombre y le fortalece?! ¿A quién cogí yo? A unos hombres rudos con sus manos encalladas por su trabajo y su sudor. ¡Cuántos os preocupáis sólo de carreras y de estudios, hijos míos! ¿Para qué queréis la inteligencia, si esas carreras y esos estudios, muchos de vosotros, os sirven para no alcanzar la eternidad? Sí, hija mía, hay muchos siervos holgazanes, pero, ¡ay de esos siervos holgazanes que no podrán alcanzar a ver mi rostro!
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, sí, di a los hombres que Dios ha puesto el mundo en mis manos, no porque yo quiera quitar el puesto a Dios. Dios es el Creador, el Infinito, pero Dios, desde el principio, me escogió para poner a su Hijo dentro de mis entrañas.

     El Verbo se encarnó por obra y gracia del Espíritu Santo, hija mía, y se hizo hombre y se igualó al hombre en todo menos en el pecado. Dios quiso escogerme como Madre de Dios. Desde que el mundo empezó a ser mundo ya Dios me había escogido. Me subió a los Cielos y me preparó, desde muy niña, para ser Madre de Dios.

     Nunca quise resplandecer más que mi Hijo; me oculté porque yo era la creatura y Él era el Creador; pero Él me dio todos los dones: Madre de la Iglesia, pero no puedo quitar, ni quiero, el puesto al Representante de Cristo en la Iglesia. El ser Madre de la Iglesia y el que Dios haya puesto el mundo en mis manos, a nadie le quita el puesto que le corresponde, y el puesto que Dios ha escogido para él. Y me ha hecho Madre de Dios, Puerta del Cielo, Consoladora de los Afligidos y tantos y tantos dones y gracias que me ha concedido, como el de ser Virgen Pura e Inmaculada antes y después del parto. ¿Cómo los hombres quieren arrinconarme en un lugar donde no aparezca mi nombre, si soy la Madre de Dios? Donde está el Corazón del Hijo está el Corazón de la Madre.

     Mira, hija mía, lo que tengo en mis manos: tu hijo. Mira: un lirio blanco y perfumado; me lo ha puesto el Amador de los lirios, el Creador. Soy Madre de los mártires y en el Cielo, hija mía, se ha celebrado la fiesta, aunque en la Tierra no se pueda celebrar. Mira qué lirio más perfumado ha llegado a mis manos virginales. En mejor lugar no puede estar, hija mía. Sé que tu corazón sigue sufriendo, como el mío siguió sufriendo durante toda mi vida. Sí, hija mía, no pierdas tu mirada de la Pasión de mi Hijo. Yo no perdí un instante la mirada del sepulcro de mi Hijo y recorrí todos los caminos de su Pasión. Toda mi vida estuve recorriendo, con Juan y con Magdalena, los Lugares Santos por donde mi Hijo había pasado, hija mía. Ni un solo instante pude olvidarme de Él. Toda la vida recordando su Pasión, su Muerte, su Sacrificio por la Humanidad.
 
 

     EL SEÑOR:

     No te aflijas, hija mía, y no pienses que por qué los hombres te dicen que si la fe no te hace olvidar. La fe, a veces, te hace recordar más que olvidar, hija mía, y a ti te he dado una capacidad de dolor muy grande, como te he dado una capacidad de amor inmensa, hija mía. Pero ¿cómo no vas a sufrir y llorar si es tu hijo, que ha salido de tus entrañas? La fe no te quita el dolor ni el recuerdo, te repito, hija mía; te ayuda a soportar el dolor y el recuerdo.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, hijo mío, ay!... ¡Cuánto daría por ir ahí!... ¡Cuánto daría, Señor!... ¡Ay..., ay..., lo bien que se está ahí, Señor!... ¿Hasta cuándo vas a querer que esté aquí?... ¡Ay, Señor!, ¿hasta cuándo? No quiero ser soberbia y quiero aceptar tu voluntad... Pero yo no puedo, Señor, ayúdame...
 
 

     LA VIRGEN:

     Refúgiate en nuestros Corazones, hija mía; nuestros Corazones te aliviarán; yo soy Madre de los que sufren. Sé cómo está tu corazón, hija mía. No hay dolor que se parezca a ese dolor, te lo he repetido, hija mía, pero ya sabes que tu hijo, hija mía, lo han cogido mis manos virginales y ha sido un valiente, un héroe, hija mía, de dar la vida por esta gran Obra, hija mía.
 
 

     EL SEÑOR:

     Crimen perfecto, muy perfecto en la Tierra, pero ¡ay de vosotros, cuando os presentéis ante la Divina Majestad de Dios! ¡Qué juicio tan terrible os espera! ¡Convertíos y arrepentíos, malvados, ingratos, que no entráis en el Cielo, ni dejáis entrar a las almas! Dejad a los cristianos que vivan como cristianos y no entorpezcáis mis leyes. Yo soy el Creador y todos seréis juzgados. ¡Ay de vosotros! Por muy perfectos que hagáis los crímenes en la Tierra, cuando lleguéis ante Dios, vuestro Creador, toda vuestra perfección será destruida y muchos de vosotros lo pagaréis en la Tierra también, hijos míos.
 
 

     JESÚS BARDERAS:

     Perdónalos, mamá, perdónalos y no sientas ningún rencor por ellos. Pide mucho por ellos, para que se conviertan, mamá. Nada ante los ojos de Dios será oculto; por eso te pido que pidas que se conviertan. En mejor lugar no puedo estar. Acércate a la Madre del Redentor, para que se calme tu dolor. No sufras por mí. Estoy gozoso y he dejado de sufrir.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, hijo mío, Ay...! Cuando yo llegue ahí, Señor, ¡qué alegría! Yo quiero ser fiel, Señor, y haz lo que quieras de mí; pero dame fuerzas para poder soportarlo todo.
 
 

     LA VIRGEN:

     ¿Ves cómo también, hija mía, se convierten almas? ¿No has visto esa pobre alma, qué arrepentido y contrito está de sus ofensas, de sus calumnias y de su persecución, hija mía? No me pidas que se cure, hija mía, porque ahora es el momento, el momento de llevarlo a la eternidad; su dolor es profundo y su arrepentimiento es verdadero.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Qué alegría!
 
 

     LA VIRGEN:

     ¿Ves, hija mía, cómo yo estoy en todos los detalles de las almas? Él me amó mucho, aunque a veces, ese amor era un poco desordenado; pero a todo el que ama mi Corazón, yo saldré a su encuentro; y saldré a su encuentro, pero no me pidas la curación de su cuerpo, porque más me ha llenado de alegría la curación de su alma. Sigue, hija mía, rezando y pidiendo por él, porque es el momento de cogerle, no dejarle. Sigue amando al prójimo, hija mía, con todo tu corazón, y nunca tengas rencores hacia nadie. Tus sacrificios y tus dolores sirven para la conversión de las almas, ¿No sientes un gran gozo por la conversión de esta pobre alma? Muy inteligente, pero que su inteligencia, a veces, le servía para torcer los caminos que él trazó en su vida.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de todos los pecadores del mundo...

     Acudid a este lugar, que recibiréis gracias de alma y cuerpo.

     Hijos míos, orad, para que el demonio no destruya los planes de Dios; pues quiero, hijos míos, daros una gran sorpresa. Por eso os pido que oréis. Oración y sacrificio os pido, hijos míos, y penitencia.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

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