6 janvier 1996
Notre Seigneur : Ma fille, les hommes
ont oublié que Je suis le Créateur. Je désire que
tous les hommes vivent en paix. C’est mon désir, mes enfants, que
tous les hommes vivent ma Parole. Ah, pasteurs de mon Eglise, prêchez
ma Parole comme je vous l’ai enseignée ! Je vous ai donné
la connaissance et je continue à vous la donner pour que vous compreniez
mes Ecritures, que vous les viviez et que vous les prêchiez aux hommes
telles qu’elles sont écrites, mes enfants. Le plus grand présent
que vous puissiez faire à mon Cœur, c’est celui de vous détourner
du péché. Venez à Moi, et Je vous pardonnerez toutes
vos fautes. Je veux que vous jouissiez tous de la vie éternelle.
Me enfants, beaucoup de pasteurs se laissent contaminer par l’Ennemi et
dans leur sotte érudition ils mêlent la Parole de Dieu, qui
est la Vérité, avec le mensonge. Mes enfants, prêchez
l’Evangile mais ne le défigurez pas. Les hommes, pour une bonne
part, sont dans la confusion. Beaucoup d’entre vous, mes enfants, pasteurs
de l’Eglise, vous aimez la créature mais vous n’aimez pas son Créateur.
Ah, pasteurs saints, à vous
Je vous demande d’être forts et courageux et de prêcher la
parole de Dieu, car dans l’Eglise il y a beaucoup de travail à faire,
mes enfants, et peu nombreux sont ceux qui veulent travailler pour Elle.
Soyez obéissants au Rocher et à celui qui a les clés
de l’Eglise, au Représentant du Christ, et suivez la voie sainte
que vous vivez et que vous pratiquez, mes enfants. Ne vous laissez pas
tromper par ces autres pasteurs tièdes qui défigurent mon
Evangile et ne travaillent pas pour l’Eglise, mais qui se servent d’Elle.
Les pasteurs doivent travailler pour leur troupeau. Mes enfants, ne soyez
pas des salariés, ni des travailleurs du monde ; œuvrez pour l’Eglise
et dans l’Eglise. Il y a un si grand besoin de prêcher la parole
de Dieu ! de prêcher un Dieu miséricordieux et juste, qui
au dernier jour jugera les hommes selon leurs œuvres et selon l’entreprise
pour laquelle ils auront travaillé. Mes enfants, travaillez pour
mon entreprise, car il y a beaucoup d’âmes qui ont un désir
ardent de Dieu, mes enfants, mais ils en ont une très grande méconnaissance,
mes enfants.
Jusques à quand un Créateur,
Créateur de toutes choses, des cieux et de la terre, doit-il donner
des avertissements à ses créatures ! Je demande, mes enfants,
que vous respectiez les lois (divines) et que vous les appreniez aux hommes,
et alors le monde deviendra meilleur, mes enfants. Ne voyez-vous pas la
corruption qu’il y a dans le monde parce que l’homme est sans Dieu, et
vous, là où vous voyez qu’il y a du fruit, vous ne le cueillez
pas, mes enfants ? Ah, pasteurs de mon Eglise si aimés de mon Cœur
! Qui n’êtes pas capables de veiller sur votre troupeau pour qu’il
soit gouverné par un seul pasteur et par une seule Eglise, l’Eglise
qu’a fondée Jésus-Christ ! Vous restez au niveau de l’humain,
je le répète, mes enfants, et vous écartez tout le
divin. Comment n’expliquez-vous pas, mes enfants, que le Verbe s’est fait
Chair pour habiter parmi les hommes ; que le Fils de Dieu s’est humanisé
pour que les hommes se divinisent, pour arriver un jour à la Divinité
incréée ? Et tout cela, mes enfants, ce fut à cause
d’une seule parole d’une créature qui a dit : « Qu’il me soit
fait selon ta parole ». La virginité de Marie, mes enfants,
et dans la virginité de Marie s’est engendré le Fils de Dieu.
Vierge avant et après qu’elle soit la Mère du Verbe Incarné.
La Très Sainte Vierge : Comment
les hommes peuvent-ils douter de ma Virginité, mes enfants. Je crie
que ma Virginité fut intacte. Je fus immaculée, sans tache,
afin d’être Mère de Dieu et Mère de l’Eglise. Mes enfants,
prêtres aimés de mon Cœur Immaculé, enseignez aux hommes
l’Evangile tel qu’il est écrit et aimez-vous les uns les autres
comme le Christ vous l’a enseigné.
Notre Seigneur : Vous tous qui mettez
en pratique mes lois, les lois de l’Evangile, qui furent écrites
pour les hommes, pour leur salut ; ah, pasteurs, appliquez-les ! Appliquez-les
et enseignez aux hommes la foi, la pénitence. Apprenez-leur à
se nourrir de l’Eucharistie, car J’ai dit : « Je serai avec vous
jusqu’à la fin du monde », et encore : « Celui qui mangera
mon Corps et qui boira mon Sang aura la vie éternelle ». Pour
cela, ma fille, je demande aux hommes de bonne volonté de changer
de vie et de venir à mon Cœur, car mon Cœur les attend. Aussi grands
que soient leurs péchés, plus grande est ma miséricorde.
Mais s’ils ne le veulent pas, ma fille, Je viendrai comme Juge, Je ne viendrai
pas comme ami. Jusques à quand, mes enfants, aurez-vous le cœur
si endurci ? Moi Je vous donne tout ce dont vous avez besoin, mes enfants.
Vous demandez la pluie, et vous l’obtenez en abondance. Vous me demandez
le pardon de vos péchés, et Je me tiens les bras ouverts
pour vous les pardonner, mes enfants. Comment êtes-vous si ingrats
avec moi ? Dans le monde, il y a des guerres, des discordes, des crimes,
la corruption, le désordre, parce que Dieu n’y est pas ; parce que
les hommes ont méprisé la divine majesté de Dieu,
et l’homme sans Dieu se gouverne par lui-même. Si le monde est comme
il est, mes enfants, c’est parce que l’homme ne se laisse pas gouverner
par Dieu…
Amparo : Ouy !… Ah, quelle horreur
!…
La Très Sainte Vierge : Oui,
ma fille, le monde est ainsi.
Amparo : Ah, comme triomphent les
péchés !… Hélas !
Notre Seigneur : Satan, ma fille,
tire parti des âmes et plus encore des âmes aimées de
mon Cœur. Il s’infiltre dans beaucoup de couvents ; il s’infiltre pour
que les hommes se contaminent les uns les autres, et le monde est aux mains
de Satan.
Soyez courageux, mes enfants, aimez
l’Eglise du Christ. Aimez les Commandements et mettez-les en pratique.
N’ayez pas honte de Dieu. Mes prêtres aimés, si aimés
de mon Cœur, soyez courageux et prêchez la Parole comme elle est
écrite. Et vous, vous qui avez honte de Dieu et du signe distinctif
de votre sacerdoce, mes enfants, hélas, pour cette confusion que
vous êtes en train de répandre sur la terre, mes enfants,
vous ne serez pas revêtus du saint habit, parce que vous avez voulu
enlever cet habit si beau, mes enfants, qui vous distingue et qui vous
protège de tant et tant de péchés. De même que
le signe du chrétien est la Sainte Croix, le signe du prêtre
est l’habit, mes enfants ; comment l’avez-vous abandonné ? Vous
craignez de perdre la vie ; ne craignez pas ceux qui peuvent vous ôter
la vie, craignez de perdre votre âme, mes enfants. Regarde, ma fille,
combien d’âmes, privilégiées de mon Cœur, qui lui ont
été fidèles, se trouvent dans ce lieu en train de
jouir de la présence divine du Dieu incréé.
Amparo : Ah ! Ah, mon Dieu, Quelles
grandeurs ! Ah, Seigneur !
Notre Seigneur : Aujourd’hui, mes
enfants, le présent que vous demande mon Cœur est celui de l’humilité,
de l’obéissance à la Sainte Mère Eglise ; et que vous
mettiez en pratique les lois de Dieu. Et vous, mes enfants, aimez beaucoup
le Vicaire du Christ ; il représente le Christ sur la terre, priez
pour lui, il souffre beaucoup et il est très méprisé
par beaucoup d’âmes de son entourage. Priez, mes enfants, et approchez-vous
des sacrements de la Pénitence et de l’Eucharistie. Et vous, prêtres,
approchez-vous des confessionnaux pour guider les âmes et les conduire
au troupeau du Christ, c’est votre mission, mes enfants. Travaillez pour
les âmes, ce fut ma mission que J’ai confiée à mes
Apôtres : « Allez par toute la terre et prêchez la parole
de Dieu » ; et elle est demeurée écrite afin que leurs
successeurs continuent à la prêcher. Ah, mes enfants, quelle
confusion règne parmi les hommes ! Je veux que vous vous fortifiez
dans mon amour et que vous n’ayez pas peur, que vous soyez courageux pour
prêcher la parole de Dieu et pour servir l’Eglise. L’âme de
beaucoup d’entre vous est défigurée par l’attachement aux
biens matériels. Vous aimez davantage les créatures, Je vous
le répète, en oubliant votre Créateur. Votre Créateur
passe d’abord, et ensuite la créature. Regarde également,
ma fille, ce lieu funèbre, triste et angoissant, parce qu’on y manque
de la présence de Dieu : c’est l’enfer le plus grand que
l’homme peut éprouver quand il se trouve dans ce lieu.
Amparo : Oh ! Oh !… Ah, mon Dieu
! Ah, combien il y en a, mon Dieu !… Ah !
Notre Seigneur : Il y a aussi, ma
fille, des ministres qui ont prêché une parole différente
de celle qui est écrite ; ils l’ont défigurée, ma
fille, par crainte de se retrouver seuls.
Et comment pouvez-vous, mes enfants,
aller contre ceux qui sont avec Moi et chercher ceux qui sont contre Moi.
Profitez des fruits, mes enfants, et réunissez-vous tous pour être
plus forts, mais ne vous laissez pas contaminer par le mal que Satan est
en train de semer aujourd’hui dans l’humanité. Et vous, les catholiques,
apprenez de ma pauvreté, apprenez de mon humilité. Je vous
ai appris le Notre Père, qui le respecte, mes enfants ? Vos greniers
sont remplis. Malheur à vous quand vous vous présenterez
devant Dieu, car vous ne vous êtes pas souvenus des pauvres et des
nécessiteux et, comme le riche avare, vous ne pensez qu’à
compter et à conserver. Hélas, la parole ne sert à
rien sans les œuvres, mes enfants ! Ne remuez pas tant les lèvres,
ne vous laissez pas tromper par l’ennemi, ce sont les œuvres qui plaisent
à Dieu, votre Créateur, et à votre Mère du
ciel. Beaucoup d’entre vous, vous l’appelez Mère, mais quels mauvais
fils vous êtes, mes enfants, vous qui ne mettez pas en pratique l’Evangile
de son Fils ni les lois de l’Eglise. Que beaucoup parmi vous n’aient pas
un jour à se retrouver à l’endroit où est le riche
Epulon, mes enfants, même si vous vous trouvez sur terre pauvres
comme Lazare. Mais regarde, ma fille, où est Lazare, et regarde
où se trouve Epulon, le riche avare qui ne donnait même pas
les miettes qu’il avait en surplus.
Amparo : Ah, quelle horreur ! ah…
Notre Seigneur : Les hommes, je
te le répète souvent, ma fille, restent dans le temps, parce
qu’ils vivent seulement de la parole. Faites des œuvres d’amour et de miséricorde,
mes enfants, et aimez Dieu votre Créateur, changez de vie et ne
soyez pas si matérialisés, mes enfants. Aimez-vous les uns
les autres, et vous tous qui travaillez pour cette Œuvre, laissez-en d’autres
collaborer, et tous unis, laissez-la croître comme Je l’ai demandé,
mes enfants, qu’il n’y ait pas d’égoïsmes entre vous. Qu’aucun
de vous ne se considère comme le centre, que le centre soit Dieu,
que le centre soit la Divine Majesté. Mais permettez que tous collaborent,
et collaborez tous ensemble, mes enfants, afin que se multiplient les œuvres
d’amour et de miséricorde. Il y a tant d’âmes qui ont besoin
de vos aides, mes enfants !
Ce « montage », [Les
adversaires de l’authenticité des apparitions, malgré les
signes si nombreux de leur caractère divin, malgré leurs
fruits admirables, accusent Luz Amparo Cuevas et ses amis d’avoir réalisé
un habile « montage » pour tromper les gens.] c’est Moi qui
l’ai fait, mes enfants, mais il n’y a rien de souillé en lui, il
est ouvert pour tous ceux qui voudront le voir. Vous, faites la même
chose, mes enfants. Détachez-vous de vos biens, donnez-les aux pauvres
et suivez-Moi. Or vous ne le faites pas et vous empêchez les autres
de le faire. Ah, ne soyez pas comme le jeune homme riche, lorsqu’il entendit
mes paroles, mes enfants, et mon conseil de tout laisser aux pauvres et
de me suivre, il partit en pleurant, triste et avec amertume ! Et, comme
Je te le dis, ma fille, comme Je te l’ai répété souvent,
on ne nomme plus ce jeune homme riche dans l’Evangile parce qu’il n’a pas
voulu accepter mes paroles. (Soupirs d’Amparo) Soyez doux et humbles, mes
enfants, et venez vous réfugier dans nos Cœurs.
La Très Sainte Vierge : Mes
enfants, venez à mon Cœur Immaculé, et mon Cœur Immaculé
intercédera pour vous devant mon Fils . Ma fille, si Je te demande
très, très souvent qu’ils viennent à Moi, c’est parce
que Dieu m’a placée à la porte du Ciel. Les hommes m’éloignent
de la terre, et pourtant mon Fils m’a placée à la porte du
Ciel.
Notre Seigneur : Venez, mes enfants,
et changez de vie, aimez les pauvres et les nécessiteux, aimez l’Eglise
et priez, priez pour ne pas succomber à la tentation.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant d’outrages que l’on commet à l’égard de nos
Cœurs, de tant de sacrilèges que commettent les hommes. Combien
, ma fille, s’approchent du banquet céleste (soupirs d’Amparo),
l’âme souillée et pleine de péchés... Ah, prêtres,
Je vous ai donné le pouvoir de pardonner les péchés,
soyez dans les confessionnaux, mes enfants, pour pardonner aux âmes
leurs péchés ! Travaillez pour l’Eglise, car il y a beaucoup
à faire, Je le répète, et peu nombreux sont ceux qui
veulent travailler dans l’Eglise. Vous, vous n’êtes pas du monde,
vous êtes à Dieu. Travaillez pour Lui, mes enfants.
La Très Sainte Vierge : Baise
le sol , ma fille.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis pour la conversion de tous les pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils,
et avec l’Esprit Saint.
Adieu, mes enfants !
MENSAJE DEL DÍA 6 DE ENERO
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía,
los hombres han olvidado que soy el Creador. Yo deseo que todos los hombres
vivan en paz. Es mi deseo, hijos míos, que todos los hombres vivan
mi palabra. ¡Ay, pastores de mi Iglesia: predicad mi palabra como
os la he enseñado! Yo os di la sabiduría y os sigo dando
para que entendáis mis Escrituras, las viváis y las prediquéis
a los hombres tal como están escritas, hijos míos. El mayor
presente que podéis hacer a mi Corazón es el de apartaros
del pecado; venid a mí, que yo os perdonaré todas vuestras
culpas. Quiero que todos gocéis de la vida eterna. Hijos míos,
muchos pastores se dejan infiltrar el enemigo y en sus necios conocimientos
confunden la palabra de Dios, que es la verdad, en mentira. Hijos míos,
predicad el Evangelio, pero no lo desfiguréis. Los hombres, muchos
de ellos, están confusos. Muchos de vosotros, hijos míos,
pastores de mi Iglesia, amáis a la creatura pero no amáis
a su Creador.
¡Ay,
pastores santos: os pido a vosotros que seáis fuertes y valientes
y prediquéis la palabra de Dios, pues en la Iglesia hay mucho trabajo,
hijos míos, y pocos que quieran trabajar para ella! Sed obedientes
a la Roca y a aquél que tiene las llaves de la Iglesia, al representante
de Cristo, y seguid el camino santo que vivís y practicáis,
hijos míos. No os dejéis engañar por aquellos otros
pastores tibios que desfiguran mi Evangelio y no trabajan para la Iglesia,
pero se sirven de la Iglesia. Los pastores tienen que trabajar para su
grey. Hijos míos, no seáis asalariados, ni trabajadores del
mundo, trabajad para la Iglesia y en la Iglesia. ¡Hay tanta necesidad
de predicar la palabra de Dios, de predicar un Dios misericordioso, justo,
que el último día juzgará a los hombres según
sus obras y según para la empresa que hayan trabajado! Hijos míos,
trabajad para mi empresa, que hay muchas almas que tienen ansia de Dios,
hijos míos, pero tienen un desconocimiento muy grande de Él,
hijos míos.
¿Hasta
cuándo todo un Creador, Creador de todo, de Cielos y Tierra, tiene
que estar avisando a sus creaturas? Yo pido, hijos míos, que cumpláis
las leyes y las enseñéis a los hombres, y el mundo irá
mejorando, hijos míos. No veis la corrupción que hay en el
mundo, porque el hombre está sin Dios; y vosotros, donde veis que
hay fruto no lo recogéis, hijos míos. ¡Ay, pastores
de mi Iglesia tan amados por mi Corazón, aquéllos que no
seáis capaces de vigilar vuestro rebaño para que sea gobernado
por un solo pastor y una sola Iglesia, la Iglesia que fundó Jesucristo!
Os quedáis en lo humano, repito, hijos míos, y estáis
apartando todo lo divino. ¿Cómo no explicáis, hijos
míos, que la Palabra se hizo carne para habitar entre los hombres,
que el Hijo de Dios se humanizó para que los hombres se divinizasen,
para llegar un día a la divinidad increada? Y todo, hijos míos,
fue por una sola palabra de una creatura que dijo: “Hágase en mí
según tu palabra”. La virginidad de María, hijos míos,
y en la virginidad de María se engendró el Hijo de Dios;
virgen antes y después de ser Madre del Verbo Encarnado.
LA VIRGEN:
¿Cómo
los hombres pueden dudar de mi virginidad, hijos míos? Yo grito
que mi virginidad fue intacta. Fui inmaculada, sin mancha, para ser Madre
de Dios y Madre de la Iglesia. Hijos míos, sacerdotes queridos por
mi Inmaculado Corazón, enseñad a los hombres el Evangelio
tal como está escrito y amaos unos a otros como Cristo os enseñó.
EL SEÑOR:
Todos los
que cumplís mis leyes, las leyes del Evangelio, que fueron escritas
para los hombres, para su salvación; ¡ay, pastores, aplicadlas!,
aplicadlas y enseñar a los hombres la fe, la penitencia y que se
alimenten de la Eucaristía, pues yo dije: “Estaré con vosotros
hasta el fin del mundo” y “el que coma mi Cuerpo y beba mi Sangre tendrá
vida eterna”. Por eso, hija mía, pido a los hombres de buena voluntad
que cambien sus vidas y que vengan a mi Corazón, que mi Corazón
los espera. Por muy grandes que sean sus pecados, mayor es mi misericordia.
Pero si no quieren, hija mía, vendré como juez, no vendré
como amigo. ¿Hasta cuándo, hijos míos, vais a tener
el corazón tan endurecido? Si yo os doy todo lo que necesitáis,
hijos míos. Pedís la lluvia, aquí la tenéis,
y con mucha inmensidad. Pedís perdón de vuestros pecados,
y aquí estoy con los brazos abiertos para perdonaros, hijos míos.
¿Cómo sois tan ingratos conmigo?
En el mundo
existen las guerras, las discordias, los crímenes, la corrupción,
el desorden, porque Dios no está en él; porque los hombres
han despreciado a la Divina Majestad de Dios, y el hombre sin Dios se gobierna
por sí mismo y así está el mundo, hijos míos,
porque el hombre no se deja gobernar por... (Palabra ininteligible).
LUZ AMPARO:
¡Oy!...
¡Ay, qué horror!...
EL SEÑOR:
Sí,
hija mía, así está el mundo.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
cómo triunfan los pecados! ¡Ay!
EL SEÑOR:
Satanás,
hija mía, se aprovecha de las almas y más de las almas queridas
por mi Corazón; se infiltra en muchos conventos; se filtra para
que los hombres se contagien unos a otros, y el mundo está en manos
de Satanás. Sed valientes, hijos míos, amad a la Iglesia
de Cristo. Amad los mandamientos y cumplidlos. No os avergoncéis
de Dios. Sacerdotes míos queridos, tan amados por mi Corazón,
sed valientes y predicad la palabra según está escrita. Y
vosotros, aquéllos que os avergonzáis de Dios y del distintivo
de vuestro sacerdocio, hijos míos; ¡ay!, por esa confusión
que estáis sembrando en la Tierra, hijos míos, no seréis
revestidos de la vestidura santa, porque os habéis querido quitar
esa vestidura tan bella, hijos míos, que os distingue y que os protege
de tantos y tantos pecados. Lo mismo que la señal del cristiano
es la santa Cruz, la señal del sacerdote es la vestidura, hijos
míos; ¿cómo la habéis arrinconado? Teméis
perder la vida; no temáis a los que os pueden quitar la vida, temed
a perder el alma, hijos míos. Mira, hija mía, cuántas
almas, privilegiadas por mi Corazón, fieles a él, están
en un lugar disfrutando de la presencia divina del Dios Increado.
LUZ AMPARO:
¡Ay!,
¡ay, Dios mío, qué grandezas!, ¡ay, Señor!
EL SEÑOR:
Este día,
hijos míos, el presente que os pide mi Corazón es el de la
humildad, la obediencia a la Santa Madre Iglesia; que cumpláis las
leyes de Dios. Y vosotros, hijos míos, amad mucho al Vicario de
Cristo; él representa a Cristo en la Tierra, orad por él,
sufre mucho y es muy despreciado por muchas almas cercanas a él.
Orad, hijos míos, y acercaos al sacramento de la Penitencia y de
la Eucaristía. Y vosotros, sacerdotes, acercaos a los confesionarios
para pastorear a las almas y llevarlas al rebaño de Cristo; es vuestra
misión, hijos míos. Trabajad con las almas, ésa fue
la misión que yo encomendé a mis Apóstoles: ¡id
por toda la Tierra y predicad la palabra de Dios!; y así se quedó
escrito para que los sucesores de ellos sigan predicando la palabra. ¡Ay,
hijos míos, qué confusión hay entre los hombres! Quiero
que os fortalezcáis en mi amor y no tengáis miedo y seáis
valientes a predicar la palabra de Dios y a servir a la Iglesia. Vuestra
alma está desfigurada, de muchos de vosotros, por los apegos materiales;
amáis más a las creaturas, os repito, olvidándoos
de vuestro Creador. Primero vuestro Creador y luego la creatura.
Mira, hija
mía, también este lugar fúnebre, triste y angustioso,
porque carecen de la presencia de Dios; ése es el mayor infierno
que el hombre puede sentir cuando está en este lugar.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
ay...! ¡Ay, Dios mío! ¡Ay, cuántos hay, Dios
mío, ay!...
EL SEÑOR:
También
hay ministros, hija mía, que han predicado la palabra distinta a
como está escrita; la han desfigurado por miedo, hija mía,
a quedarse solos.
¿Y
cómo, hijos míos, los que están conmigo vais en contra
de ellos y buscáis los que están en contra de mí?
(1)Aprovechad los frutos, hijos míos, y reuníos todos para
ser más fuertes, pero no os contagiéis del mal que Satanás
está sembrando hoy en la Humanidad. Y vosotros, católicos,
aprended de mi pobreza, aprended de mi humildad. Yo os enseñé
el Padrenuestro, ¿quién lo cumple, hijos míos? Tenéis
los graneros llenos. ¡Ay de vosotros, cuando os presentéis
ante Dios, que no os habéis acordado de los pobres y necesitados
y, como el rico avariento, sólo pensáis en contar y en guardar!
¡Ay, la palabra no sirve sin la obra, hijos míos! No mováis
tanto los labios, no os dejéis engañar por el enemigo; las
obras son las que le gustan a Dios, vuestro Creador. A vuestra Madre del
Cielo, muchos la llamáis Madre, pero ¡qué malos hijos
que sois, hijos míos, que no cumplís el Evangelio de su Hijo
y las leyes de la Iglesia! No os queráis ver muchos donde el rico
Epulón, hijos míos, aunque os veáis en la Tierra como
el pobre Lázaro; pero mira, hija mía, dónde está
Lázaro y mira dónde está el epulón, hija mía,
el rico avariento que no daba ni de las migajas que le sobraban.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
qué horror! ¡Ay!...
EL SEÑOR:
Por eso
los hombres, te lo repito muchas veces, hija mía, se quedan en el
tiempo, porque viven sólo de la palabra. Haced obras de amor y misericordia,
hijos míos, y amad a Dios, vuestro Creador. Cambiad vuestras vidas
y no estéis tan materializados, hijos míos. Amaos unos a
otros, y todos los que viven esta Obra, dejad unos que colaboren otros,
y todos unidos que vaya creciendo, como yo he pedido, hijos míos;
que no haya egoísmos entre vosotros, ni seáis centros ninguno;
que el centro sea Dios, el centro que sea la Divina Majestad; pero dejad
que todos colaboren y colaborad todos, hijos míos, para que se multipliquen
las obras de amor y misericordia. ¡Hay tantas almas necesitadas de
vuestras ayudas, hijos míos!
Este montaje
lo he montado yo, hijos míos, pero no hay nada sucio en él,
está abierto para todo el que quiera verlo; haced vosotros lo mismo,
hijos míos: desprendeos de vuestras cosas, dádselas a los
pobres y seguidme; pero ni lo hacéis ni dejáis que los demás
lo hagan. ¡Ay!, no seáis como el joven rico, cuando oyó
las palabras, hijos míos, de que lo dejara a los pobres todo y me
siguiera, se fue llorando triste y con amargura; y, como te digo, hija
mía, y te lo he repetido muchas veces, no se vuelve a nombrar a
ese joven rico en el Evangelio porque no quiso aceptar mis palabras. Sed
mansos y humildes, hijos míos, y venid a refugiaros en nuestros
Corazones.
LA VIRGEN:
Hijos míos,
venid a mi Inmaculado Corazón, que mi Inmaculado Corazón
intercederá por vosotros ante mi Hijo; por eso, hija mía,
te pido muchos..., muchas y muchas veces que acudan a mí, porque
Dios me ha puesto en la puerta del Cielo. Los hombres me apartan de la
Tierra, y mi Hijo me ha puesto en la puerta del Cielo.
EL SEÑOR:
Venid, hijos
míos, y cambiad vuestras vidas, amad a los pobres y necesitados
y amad a la Iglesia y orad, orad para no caer en tentación.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos ultrajes
como se cometen con nuestros Corazones, hija mía, tantos sacrilegios
que cometen los hombres... ¡Cuántos, hija mía, se acercan
al banquete celestial con el alma manchada y llena de pecados!... ¡Ay,
sacerdotes, yo os di el poder de perdonar los pecados, estad en los confesionarios,
hijos míos, para perdonar los pecados a las almas! Trabajad para
la Iglesia, que hay mucho trabajo, repito, y pocos que quieran trabajar
en ella. Vosotros no sois del mundo, sois de Dios; trabajad para Él,
hijos míos.
LA VIRGEN:
Besa el
suelo, hija mía...
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos por la conversión
de todos los pecadores...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
¡Adiós,
hijos míos!
(1) Construcción gramatical
difícil; es como decir: “Os ponéis en contra de los que están
conmigo y me son fieles; en cambio, os acercáis a los que están
contra mí”.
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3 février 1996
Notre Seigneur : Ma fille, nos Cœurs
sont très tristes et très affligés parce que les hommes
sont esclaves des péchés, de leurs propres péchés,
ma fille ; ils renient le Nom de Dieu, ils rejettent sa Loi. Le comportement
de la majorité des hommes est pire que celui des fauves. Ils ne
se respectent pas les uns les autres et ils s’entretuent. Comment mon Cœur
ne serait-il pas triste alors que l’homme ne ressemble pas à un
être humain ? Les bêtes féroces se comportent mieux
que les hommes, parce qu’elles défendent leur progéniture
tandis que les hommes se détruisent les uns les autres.
Je suis descendu sur la terre et
J’ai élevé mon Corps, sur une croix. J’ai été
crucifié pour sauver l’humanité, pour rassembler tous les
hommes, afin qu’ils soient tous frères, mes enfants. J’ai fondé
une Eglise pour que les hommes s’y rassemblent, comme étant mes
enfants, et Je les ai marqués du sceau de l’Esprit Saint, car là
est l’héritage du salut ; mais les hommes sont si ingrats, ma fille,
que ni la mort du Christ ni les douleurs de Marie n’attendrissent leurs
cœurs.
Le monde empire de jour en jour.
L’immoralité augmente. Le monde vit dans la corruption et les hommes
continuent à être aveugles. L’unique planche du salut est
l’amour de Dieu et du prochain ; telles sont les lois, pour que vous les
mettiez en pratique, mes enfants ; mais vous foulez aux pieds le Sang du
Christ et vous outragez le Nom de Dieu. La majorité de l’humanité
abandonne la piété pour l’impiété ; mais, mes
enfants, comment négligez-vous la prière et le sacrifice
? Combien de fois, mes enfants, vais-je vous répéter de vous
abreuver aux sources de l’Eglise et d’y alimenter votre esprit, mes enfants
? Mais les hommes sont tellement embourbés dans le péché
qu’ils ne distinguent pas où est la grâce et où est
le péché ; ils ne veulent pas distinguer. Ils ne tiennent
pas compte des appels que Je leur lance avec une telle insistance, ils
se bouchent les oreilles. Ah, humanité, comme tu t’es déshumanisée
! Comme cela vous coûte, mes enfants, d’aimer Dieu votre Créateur
et comme vous vous laissez entraîner par les plaisirs de la chair,
de l’orgueil !
La Très Sainte Vierge : Mes
enfants, changez de vie, réfugiez-vous dans mon Cœur Immaculé
: aussi graves que soient vos péchés, plus grande encore
est la miséricorde de mon Fils. Je vous enverrai à Lui, mes
enfants, et Lui, Il vous prendra dans ses bras comme des amis et Il pardonnera
vos fautes. Aimez l’Eglise, mes enfants, et rassemblez-vous en elle : c’est
là que se trouvent les sources qui alimenteront votre âme
et la fortifieront.
Aimez les prêtres, mes enfants,
ils sont les ministres du Christ ; ils sont faibles, eux aussi, priez pour
eux afin qu’ils soient de bons pasteurs et qu’ils conduisent leurs brebis
là où il y a de bons pâturages, afin que les brebis
se nourrissent des grâces. Priez pour eux, mes enfants, priez aussi
pour vous. Le monde est dans une situation très grave à cause
du péché et du manque d’amour qui s’y trouvent.
Aimez ceux qui sont dans le besoin,
mes enfants, et partagez avec eux vos héritages et vos biens. Ne
soyez pas ingrats, mes enfants, et ne faites pas souffrir nos Cœurs. Aimez
beaucoup le Vicaire du Christ, ce saint homme qui souffre tant à
cause des membres de l’Eglise et à cause des âmes infidèles
qui ne mettent pas la Loi de Dieu en pratique.
Pénitence et sacrifice, mes
enfants. Réunissez-vous tous dans ce lieu car Je continuerai à
y répandre des grâces pour vos âmes. Mettez-les à
profit, mes enfants, et venez à Moi : sous mon manteau Je vous protégerai
des embûches de Satan. Priez et approchez-vous du sacrement de l’Eucharistie
et du sacrement de la Pénitence. Beaucoup d’entre vous, mes enfants,
vous allez recevoir le Corps du Christ d’une façon sacrilège.
Pour que votre âme soit propre, mes enfants, vous devez d’abord la
laver. Si vous n’en venez pas à laver votre âme, vos péchés
ne seront pas pardonnés. La mission des pasteurs est de pardonner
les péchés, mes enfants. Allez, confessez vos fautes et accomplissez
la pénitence, recevez le Corps du Christ et Il vous fortifiera.
Je vous demande à tous l’humilité, mes enfants.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant de péchés que l’on commet dans l’humanité.
Soyez miséricordieux, mes enfants, et aimez-vous les uns les autres
: c’est le commandement le plus important, qui plaît à Dieu,
parce que celui qui aime Dieu, aime le prochain, et celui qui aime le prochain
ne lui fait pas de tort. Priez, mes enfants, pour tant et tant de corruption
et d’immoralité qu’il y a dans le monde. Je vous ai déjà
dit que le moment viendrait où chaque individu se gouvernerait par
lui-même et où les pouvoirs civil et ecclésiastique
seraient abolis par les propres êtres humains. [C’est à Mélanie
que la Vierge en pleurs avait fait cette annonce prophétique en
1846 : cette dernière phrase se trouve presque textuellement dans
le « secret » de La Salette.]
Mes enfants, vous tous qui venez
en ce lieu, changez de vie et consacrez-vous aux pauvres et aux nécessiteux
; aimez-vous les uns les autres.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et de l’Esprit Saint.
Tous ces objets, qui ont été
bénis, serviront pour les pauvres pécheurs.
MENSAJE DEL DÍA 3 DE FEBRERO
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía,
nuestros Corazones están muy tristes y afligidos porque los hombres
son esclavos de los pecados, de sus propios pecados, hija mía; niegan
el Nombre de Dios, rechazan su Ley. Los hombres, la mayoría, se
comportan peor que las fieras; no se respetan unos a otros, se matan unos
a otros. ¿Cómo no va a estar triste mi Corazón si
el hombre no parece un ser humano? Las fieras se portan mejor que los hombres,
porque las fieras defienden sus camadas y los hombres se destruyen unos
a otros.
Yo bajé
a la Tierra y puse mi cuerpo en alto, en una cruz. Fui crucificado para
salvar a la Humanidad y para reunirlos a todos y para que todos los hombres
fuesen hermanos, hijos míos. Fundé una Iglesia para que todos
se reuniesen en ella, como hijos míos, y los sellé con el
sello del Espíritu Santo, pues ésa es la herencia de la salvación;
pero los hombres son tan ingratos, hija mía, que ni la muerte de
Cristo ni los dolores de María ablandan sus corazones.
El mundo
va, de día en día, peor. La inmoralidad aumenta. El mundo
vive una corrupción y los hombres siguen ciegos. La única
tabla de salvación es el amor a Dios y al prójimo; ahí
están las leyes, para que las cumpláis, hijos míos;
pero pisoteáis la Sangre de Cristo y ultrajáis el Nombre
de Dios. La mayoría de la Humanidad está cambiando de piadosos
a impíos; pero, hijos míos, ¿cómo os abandonáis
en la oración y en el sacrificio? ¿Cuántas veces os
voy a repetir, hijos míos, que bebáis de las fuentes de la
Iglesia y que alimentéis vuestro espíritu, hijos míos?;
pero los hombres están tan metidos en el pecado que no distinguen
dónde está la gracia y dónde está el pecado;
no quieren distinguir. A mis llamadas con tanta insistencia no hacen caso,
cierran los oídos. ¡Ay, Humanidad, cómo os habéis
deshumanizado! ¡Cuánto os cuesta, hijos míos, amar
a Dios vuestro Creador y cómo os dejáis arrastrar por los
placeres de la carne, de la soberbia!
LA VIRGEN:
Hijos míos,
cambiad vuestras vidas, refugiaos en mi Inmaculado Corazón, que,
por muy graves que sean vuestros pecados, mayor es la misericordia de mi
Hijo; yo os mandaré a Él, hijos míos, y Él
os abrazará como amigos y perdonará vuestras culpas. Amad
a la Iglesia, hijos míos, y reuniros en ella; ahí hay fuentes
que alimentarán vuestra alma y la fortalecerán.
Amad a los
sacerdotes, hijos míos, son ministros de Cristo; son débiles
también; pedid por ellos, para que sean buenos pastores y lleven
a sus ovejas donde hay buenos pastos, para que las ovejas se nutran de
las gracias; orad por ellos, hijos míos, y orad por vosotros. El
mundo está en una situación muy grave por causa del pecado
y del desamor que hay en el mundo.
Amad a los
necesitados, hijos míos, y compartid con ellos vuestras herencias
y vuestras haciendas. No seáis ingratos, hijos míos, y no
hagáis sufrir a nuestros Corazones. Amad mucho al Vicario de Cristo,
a ese santo varón que sufre tanto por los componentes de la Iglesia
y por las almas infieles que no cumplen con la Ley de Dios.
Penitencia
y sacrificio, hijos míos. Reuníos todos en este lugar, que
seguiré derramando gracias para vuestras almas; aprovechadlas, hijos
míos, y venid a mí, que yo con mi manto os protegeré
de las asechanzas de Satanás. Orad y acercaos al sacramento de la
Eucaristía, al sacramento de la Penitencia. Muchos, hijos míos,
vais sacrílegamente a recibir el Cuerpo de Cristo. Para que vuestra
alma esté limpia, hijos míos, primero tenéis que lavarla.
Si no pasáis a lavar vuestra alma, vuestros pecados no serán
perdonados. La misión de los pastores es la de perdonar los pecados,
hijos míos. Id, confesad vuestras culpas y cumplid la penitencia,
y recibid el Cuerpo de Cristo y Él os fortalecerá. Humildad
os pido a todos, hijos míos.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en la Humanidad... Sed misericordiosos, hijos míos,
y amaos unos a otros; éste es el mandamiento muy importante que
a Dios le agrada, porque el que ama a Dios ama al prójimo, y el
que ama al prójimo no le daña. Pedid, hijos míos,
por tanta y tanta corrupción como hay en el mundo y tanta inmoralidad.
Ya os dije que llegaría el momento en que cada individuo se gobernaría
por sí mismo y el poder eclesiástico y el civil sería
hollado por los propios seres humanos.
Hijos míos,
todos los que acudís a este lugar, cambiad vuestras vidas y entregaos
a los pobres y necesitados; amaos unos a otros.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales...
Yo os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y del Espíritu
Santo.
Todos estos
objetos, que han sido bendecidos, servirán para los pobres pecadores.
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2 mars 1996
Notre Seigneur : Mes enfants, Je
lance un appel au peuple de Dieu afin qu’il grandisse dans la charité.
Le monde est dépourvu d’amour. Que les pasteurs de l’Eglise emploient
leur sagesse à conduire les âmes aux pâturages éternels
de bonheur ; qu’ils apprennent aux âmes les mystères de Dieu
; s’ils sont choisis par Dieu, c’est pour conduire le troupeau de la Divine
Majesté, le troupeau de Dieu. J’ai déjà tout dit,
mes enfants, et l’homme fait la sourde oreille, il ne veut pas écouter
mes paroles ; au lieu d’obéir aux commandements de Dieu, il met
en pratique la loi du péché. L’homme repousse Dieu, et ce
faisant il perd la grâce ; en perdant la grâce sanctifiante
il se trouve dans les ténèbres ; et il porte dans son corps
la loi du péché. Oui, ma fille, telle est l’ingratitude de
l’homme. Je suis venu, Je le répète, pour leur donner la
vie et eux, ils m’ont donné la mort. J’ai laissé l’Evangile
et J’ai établi des Lois, et les hommes restent sourds et ne tiennent
pas compte de mes appels. Dans le monde il y a la corruption et ils le
voient plein de vertus. Ah, aveugles et sourds, mettez en pratique la Loi
de Dieu et non la loi de vos membres, mes enfants ! Jusqu’à quand
Dieu doit-il donner des avertissements aux hommes ! L’homme est tiède,
et dans sa tiédeur il court après le plaisir, le bonheur
terrestre, il ne cherche pas le bonheur éternel.
Je suis le Bon Pasteur qui conduit
mes âmes vers des sources de vie éternelle, et J’apprends
à mes pasteurs à prêcher l’Evangile dans toutes les
parties du monde. Ah, pasteurs de l’Eglise, beaucoup d’entre vous vous
avez une responsabilité très grande pour sauver les âmes
! Avec votre charité, vos paroles de sagesse, vous pouvez amener
les âmes à s’abreuver aux canaux qui sont dans mon Eglise,
et qui sont des canaux de vie éternelle. Ah, si vous vous consacriez
davantage aux âmes, mes enfants ! Combien d’âmes se perdent
parce qu’elles ne connaissent pas le chemin de la vérité
! Je suis la Vérité et la Vie, mes enfants ; et celui qui
viendra à moi aura la vie éternelle. Mais laissez-vous guider
par les Lois qui sont écrites. Pensez que seront sauvés ceux
qui obéissent à mes commandements.
Ah, parents, vous ne savez pas éduquer
vos enfants ! Vous les éduquez pour le monde et la perte de leur
âme ne vous importe pas ! Comme vous vous souciez du corps, et des
diplômes terrestres, et comme vous oubliez le titre le plus important,
qui est l’Evangile ! Aimez-vous les uns les autres et faites le bien les
uns aux autres. Aimez Dieu de tout votre cœur. Celui qui aime sa mère,
son père, son frère, sa sœur, son époux ou son épouse,
plus que moi, n’est pas digne de s’appeler mon fils. Si vous m’aimez, mes
enfants, Je mettrai de l’amour dans vos cœurs pour que vous aimiez les
autres.
Combien de familles sont détruites,
mes enfants, parce que Dieu n’est pas dans les foyers ; le respect réciproque
a disparu et ils ont perdu toute dignité ! Combien de mères
tuent leurs enfants dans leurs entrailles ! Quelle tristesse éprouve
mon Cœur en voyant que l’homme ressemble davantage à une bête
féroce qu’à un être humain ! Ah, vous, les parents
qui avez des enfants, conduisez-les sur le chemin de l’éternité
! Ne soyez pas si préoccupés de les voir haut placés,
et avec de grandes carrières ; souciez-vous plutôt de la carrière
la plus importante, la carrière de l’Eternité. Ayez la foi,
l’espérance et la charité, mes enfants. Ne perdez jamais
la charité. L’homme sans Dieu est un malheureux. Oui, ma fille,
mon Cœur brûle d’amour pour les hommes, mais les hommes sont si ingrats
qu’ils vivent dans un aveuglement et, je le répète, ma fille,
qu’ils vivent sous la loi du péché, et la loi du péché,
c’est la guerre, les haines, la destruction, l’envie, l’orgueil, le manque
d’amour, la désunion, la luxure. Et quand l’homme vit sous la loi
du péché, il n’a pas la lumière. Ah, mes enfants,
marchez vers la lumière et conservez la charité sur la terre
et dans l’Eternité !
La Très Sainte Vierge : Venez
en ce lieu, mes enfants, vous y recevrez des grâces pour votre salut.
Venez à moi, mes enfants, et Je vous apprendrai à aimer mon
Fils, Je vous conduirai vers ces canaux, pour que vous vous y abreuviez
et rassasiez, mes enfants. Soyez humbles, mes enfants. Mon Cœur est très
affligé à cause des péchés des hommes. Ah,
prêtres aimés de mon Cœur, conduisez les âmes sur le
chemin du salut, mes enfants ! Vous pouvez entraîner beaucoup d’âmes
dans le troupeau du Christ, et là où vous verrez de la bonne
semence, prenez-la et mettez-la à profit pour qu’elle travaille
dans la Sainte Eglise du Christ, mes enfants. Ne gaspillez pas les fruits.
Combien de bons fruits vous avez à votre portée, mes enfants,
et vous les repoussez ! Ah, vous allez chercher les arbres stériles,
et vous repoussez les arbres touffus et couverts de fruits pour l’Eglise
!
Notre Seigneur : Vous êtes
aveugles, mes enfants ! Combien de fois Je répète dans l’Evangile
que celui qui est avec Moi n’est pas contre Moi ! Pourquoi vous obstinez-vous
à aller contre ceux qui sont avec Moi ? C’est au fruit que l’on
distingue celui qui est bon de celui qui est mauvais, et si je vous ai
donné la sagesse, c’est pour que vous ne confondiez pas les péchés
avec les vertus, ni les vertus avec les péchés.
La Très Sainte Vierge : Oui,
mes enfants, aimez beaucoup votre Créateur, conduisez vos enfants
sur le chemin du salut. La jeunesse est en train de se corrompre, mes enfants,
conduisez-la vers ce qui est pur et retirez-la de ce qui est corrompu,
mes enfants. Aimez-vous les uns les autres et soyez humbles et simples
; ne soyez pas orgueilleux, mes enfants, n’ayez pas de vanité.
Ma fille, réfugie-toi dans
nos Cœurs. Nos Cœurs te réconforteront. Pense que tu n’es pas née
pour être heureuse, mais que tu es née pour souffrir, ma fille.
Mais bientôt tu connaîtras la joie pour l’Eternité à
côté des bienheureux, ma fille. Sois humble et offre-toi en
victime en réparant pour les pécheurs, ma fille. Baise le
sol, ma fille, en réparation de tant et tant de péchés
que l’on commet dans le monde. Ton chemin n’est pas long, même s’il
te semble qu’il l’est, ma fille. Sois patiente, loue ceux qui te calomnient
et prie pour ceux qui te maudissent, ma fille.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour les malades, ma fille.
Ils ont tous été bénis
avec des bénédictions spéciales pour les pauvres malades.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 2 DE MARZO
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hijos míos,
hoy hago un llamamiento al Pueblo de Dios para que crezca en la caridad.
El mundo está falto de amor. Los pastores de la Iglesia, que empleen
su sabiduría en conducir a las almas a pastos eternos de felicidad,
que enseñen a las almas los misterios de Dios; por eso son elegidos
de Dios, para que conduzcan a la grey al rebaño de la Divina Majestad
de Dios. Todo lo tengo dicho, hijos míos, y el hombre se hace el
sordo, no quiere escuchar mis palabras; en vez de cumplir la Ley de Dios,
cumple la ley del pecado. El hombre rechaza a Dios y, al rechazar a Dios,
pierde la gracia, y, al perder la gracia santificante, se encuentra en
tinieblas; y la ley del pecado la lleva en su cuerpo. Sí, hija mía,
así es el hombre de ingrato. Yo vine, repito, a darles vida y ellos
me dieron muerte. Yo dejé mi Evangelio y puse unas leyes, y los
hombres se quedan sordos y no hacen caso a mis llamadas. En el mundo hay
corrupción y lo ven lleno de virtudes. ¡Ay, ciegos y sordos:
cumplid la Ley de Dios y no cumpláis la ley de vuestros miembros,
hijos míos! ¿¡Hasta cuándo tiene Dios que estar
dando avisos a los hombres!? El hombre está tibio y en su tibieza
busca el placer, la felicidad terrena; no busca la felicidad eterna.
Yo soy el
Buen Pastor que conduzco a mis almas a fuentes de vida eterna y enseño
a mis pastores a que prediquen el Evangelio por todas las partes del mundo;
no ven la gravedad del mundo. ¡Ay, pastores de la Iglesia, muchos
de vosotros tenéis una responsabilidad muy grande para salvar a
las almas! Con vuestra caridad, vuestras palabras de sabiduría,
podéis llevar a las almas a que beban de los canales que hay en
mi Iglesia, que son canales de vida eterna. ¡Ay, si vosotros os dedicaseis
más a las almas, hijos míos! ¡Cuántas almas
se pierden porque no saben el camino de la verdad! Yo soy la Verdad y la
Vida, hijos míos, y el que venga a mí tendrá vida
eterna; pero guiaros por las leyes que están escritas. Pensad que
se salvarán los que cumplan con mis mandamientos.
¡Ay,
padres, que no sabéis educar a vuestros hijos; los educáis
para el mundo y no os importa la perdición de su alma! ¡Cómo
os preocupa tanto el cuerpo y los títulos terrenos y olvidáis
el título más grande, que es el Evangelio, hijos míos!
Amaos unos a otros y haced el bien unos a otros. Amad a Dios con todo vuestro
corazón. El que ama a su madre, a su padre, a su hermano, a su hermana,
a su esposo o a su esposa más que a mí, no es digno de llamarse
hijo mío. Si me amáis a mí, hijos míos, yo
pondré amor en vuestros corazones, para que vosotros améis
a los demás.
¡Cuántas
familias están destruidas, hijos míos, porque Dios no está
en los hogares! Se va faltando el respeto el uno al otro y se han quitado
la dignidad. ¡Cuántas madres matan a sus hijos dentro de sus
entrañas! ¡Qué tristeza siente mi Corazón cuando
el hombre se ha convertido más en fiera que en un ser humano! ¡Ay,
padres que tenéis hijos: conducid a vuestros hijos por el camino
y la senda de la eternidad! No os preocupéis tanto porque sean grandes
y con grandes carreras; preocupaos por la más importante carrera:
la carrera de la eternidad. Tened fe, esperanza y caridad, hijos míos.
No perdáis nunca la caridad. El hombre sin Dios es un desdichado.
Sí, hija mía, sí, mi Corazón se derrite de
amor por los hombres, pero los hombres son tan ingratos que viven en una
ceguera, y repito, hija mía, que viven la ley del pecado, y la ley
del pecado es guerra, odios, destrucción, envidia, soberbia, desamor,
desunión, lujuria; y cuando el hombre está viviendo la ley
del pecado no tiene luz. ¡Ay, hijos míos, caminad hacia la
luz y conservad la caridad en la Tierra y en la eternidad!
LA VIRGEN:
Acudid a
este lugar, hijos míos, que recibiréis gracias para vuestra
salvación, hijos míos. Venid a mí, hijos míos,
que yo os enseñaré a amar a mi Hijo, os conduciré
a esos canales para que bebáis y comáis de ellos, hijos míos.
Sed humildes, hijos míos. Mi Corazón está muy dolorido
por los pecados de los hombres. ¡Ay, sacerdotes queridos por mi Corazón,
conducid a las almas al camino de la salvación, hijos míos!
Vosotros podéis arrastrar muchas almas al rebaño de Cristo,
y coged donde veáis buena semilla y aprovechadla para colaborar
en la Santa Iglesia de Cristo, hijos míos. No desaprovechéis
los frutos. ¡Cuántos frutos buenos tenéis a vuestro
alcance, hijos míos, y los estáis rechazando! ¡Ay,
os vais a por los árboles estériles, rechazando los árboles
frondosos y llenos de frutos para la Iglesia!
EL SEÑOR:
Estáis
ciegos, hijos míos, ¿cuántas veces repito en el Evangelio
que el que está conmigo no está contra mí? ¿Por
qué vosotros os empeñáis en ir contra los que están
conmigo? Del fruto se distingue el bueno del malo, y por eso os he dado
sabiduría, para que no confundáis los pecados en virtudes,
ni las virtudes en pecados.
LA VIRGEN:
Sí,
hijos míos, amad mucho a vuestro Creador, guiad a vuestros hijos
por el camino de la salvación. La juventud se está corrompiendo,
hijos míos; llevadla al Incorrupto y retiradlos de lo corrupto,
hijos míos. Amaos los unos a los otros y sed humildes y sencillos;
no seáis orgullosos, hijos míos, ni tengáis vanidad.
Hija mía,
refúgiate en nuestros Corazones; nuestros Corazones te aliviarán.
Piensa que no has nacido para gozar, que has nacido para sufrir, hija mía;
pero luego, la eternidad la gozarás al lado de los bienaventurados,
hija mía. Sé humilde y ofrécete víctima por
la reparación de los pecadores, hija mía. Besa el suelo,
hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados como se
cometen en el mundo... Aunque te parezca largo el camino, hija mía,
no es largo tu camino; sé paciente y alaba a los que te calumnian
y pide por los que te maldicen, hija mía.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para los enfermos, hija mía... Todos han sido bendecidos con bendiciones
especiales para los pobres enfermos.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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6 avril 1996
Notre Seigneur : Priez, mes enfants,
priez. Elevez votre cœur au-dessus de la terre et détachez-vous
du monde corrupteur. Dans le monde, mes enfants, triomphe le roi du mensonge
; parce que les sept péchés capitaux sont portés en
triomphe, mes enfants, il faut beaucoup prier et faire pénitence.
Elevez votre cœur et votre esprit vers Dieu et Il vous fera jouir de ses
grandeurs.
Ma fille, les hommes sont de plus
en plus aveugles pour voir la situation du monde et de plus en plus sourds
à ma parole. Aimez nos Cœurs, mes enfants : car si vous aimez vraiment
nos Cœurs, vous aimerez vraiment votre prochain ; mais si vous n’aimez
pas Dieu, votre amour ne sera pas vrai, mes enfants. Le monde est vide
de Dieu. Dans tous les foyers de la terre, Je veux que triomphe le Cœur
Immaculé de ma Mère. Mes enfants, Moi, J’ai des sources d’eau
de vie éternelle pour tout homme qui viendra à Moi. J’ouvre
ces canaux et Je les plonge dans mes sources pour qu’ils soient fortifiés
dans la foi, pour qu’ils croient en ma Parole et pour qu’ils prêchent
et pratiquent la charité. Mes enfants, Moi, le Fils du Dieu vivant,
l’esprit de Dieu et sa gloire, Je vous demande de vous aimer les uns les
autres comme le Père et Moi nous nous aimons.
Je suis venu sur la terre pour faire
la volonté de mon Père et J’ai voulu accepter sa volonté
pour racheter les hommes avec mon très précieux Sang. Ah,
ingrats, beaucoup d’entre vous, créatures du Créateur, comme
vous dépréciez ma Passion qui a été endurée
pour votre salut, mes enfants ! Quelle sorte de chrétiens êtes-vous,
mes enfants, si vous repoussez la croix ? Quelle sorte de catholiques êtes-vous,
mes enfants, si vous n’observez pas mes commandements ? Je vous le dis,
mes enfants, repentez-vous et convertissez-vous, car les temps sont graves,
et vous, les hommes, vous n’arrivez pas à considérer la justice
de Dieu parce que vous en restez seulement à sa miséricorde,
mes enfants. Je mettrai en œuvre ma justice pour les impies et ma miséricorde
pour les justes. Jusque à quand dois-Je donner des avertissements
aux hommes ! Ma fille, Je t’ai dit que ma Miséricorde est très
grande, mais ma Justice est immense. Je demande à tous les hommes
de bonne volonté d’écouter mes paroles et de mettre ma doctrine
en pratique.
Oui, ma fille, les hommes furent
chassés du Paradis à cause du péché et envoyés
sur le globe terrestre afin de recouvrer, grâce à leurs efforts
et à leurs sueurs, la grâce perdue. Mais l’homme veut vivre
sans travailler et il croit qu’il est vivant sans Dieu, alors que sans
Dieu l’homme est mort, ma fille. Il n’y a rien sur la terre, ma fille,
que l’on puisse comparer aux richesses qu’il y a dans l’Eternité.
Comment les hommes peuvent-ils perdre la tête pour les misères
de la terre ?
Priez pour les prêtres, afin
qu’ils soient des pasteurs de mon troupeau. Je le répète,
ma fille, beaucoup d’entre eux sont des salariés, ils ne sont pas
des pasteurs de l’Eglise, mais des fonctionnaires. Quelle peine ! Une si
grande moisson et si peu d’ouvriers pour la moissonner ! Ils parlent de
Dieu, ils parlent de ma doctrine, mais beaucoup d’entre eux en restent
à la parole. Ah, prêtres du Christ, tournez de nouveau votre
regard vers la Divine Majesté de Dieu, et Lui, Il rendra la grâce
à votre esprit pour que vous travailliez dans son troupeau ! Il
y a beaucoup de travail et peu d’ouvriers. Ils ont oublié le sens
de la vérité de l’Evangile. Le prêtre… Oui, ma fille,
regarde : le jour où le prêtre se consacre à Dieu,
Il le revêt de sa grâce dans une splendeur divine, regarde-le,
ma fille… Mais regarde aussi quand il la perd… Ce sont alors des cadavres
qui ne fonctionnent qu’avec le corps, sans se souvenir de leur consécration
à Dieu. Je te le répète, ma fille, beaucoup se servent
de l’Eglise mais ils ne servent pas l’Eglise.
Cessez d’être des fonctionnaires,
mes enfants, et soyez des prêtres du Christ. Rassemblez tout ce troupeau
qui est éparpillé en tant de lieux. Mes enfants, ces âmes
sont exposées aux intempéries, attendant que quelque bête
féroce vienne les dévorer. Protégez le troupeau du
Christ, mais le pasteur doit être avec ses brebis, à l’endroit
que Dieu lui a indiqué. Combien d’âmes vous pouvez sauver,
âmes aimées de nos Cœurs, par votre exemple et par votre vie
de vertu ! Mais vous n’êtes des prêtres qu’à certains
moments de votre vie. Beaucoup d’entre vous, la majorité même,
vous êtes des fonctionnaires salariés. Abandonnez les fonctions
matérielles du monde et que mon Eglise fonctionne. Oui, mes enfants,
ne vous rendez-vous pas compte que Satan détruit ce que J’ai construit
? Ah, mes enfants, quels comptes vous devrez rendre, davantage que les
laïcs, parce que vous avez fait une promesse à Dieu !
La Très Sainte Vierge : Quelle
peine, mes enfants ! Auparavant il y avait un grand nombre d’âmes
où mon Cœur Immaculé pouvait se réfugier, mais maintenant,
jusque dans la majeure partie des couvents, les fleurs sont flétries.
Quelle peine… ! Mes enfants, Je
veux vous consoler, mais Je viens aujourd’hui pour que vous consoliez mon
Cœur. Regarde, ma fille, dans quel état se trouve mon Cœur, rempli
d’épines très profondes, parce que mon Cœur aime tant mes
âmes consacrées que les épines sont très douloureuses.
Si Je demande prière et pénitence, c’est parce que les hommes,
mes enfants, sont déshumanisés, ils vivent dans les plaisirs
du monde, ils tuent sans respecter la vie des autres. Les mères
tuent leurs enfants dans leurs entrailles et la jeunesse est corrompue
par les vices de l’alcool, des drogues, de la chair. C’est pour cela, ma
fille, que Je te dis que les péchés capitaux marchent en
triomphe et que les hommes ne voient pas le péché là
où il est. Tu ne peux toucher aucune épine, ma fille, elles
sont si profondes !
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant de péchés que l’on commet dans l’humanité.
(Luz Amparo baise le sol).
Ma fille, mon Cœur (elle sanglote)
éprouve une grande douleur, parce que les hommes sont ingrats, et
ils ne comprennent pas que nos Cœurs souffrent. C’est pour cela, ma fille,
que tu dois subir beaucoup d’épreuves morales et physiques.
Luz Amparo : Donne-moi la force,
Seigneur, donne-moi des forces, Seigneur (elle sanglote). Ah, mon Dieu,
je veux que Tu me donnes de la force, je veux réparer les péchés
des hommes, mais je suis si souvent très faible… Donne-moi l’humilité,
ma Mère !
La Très Sainte Vierge : Regarde,
ma fille, comme mon Cœur saigne de douleur à cause des péchés
de l’humanité. Ah, vous qui vous appelez catholiques, et qui pensez
davantage au monde et aux plaisirs du monde qu’à plaire à
Dieu votre Créateur ! On ne peut pas servir deux maîtres :
si vous servez le monde, mes enfants, et si vous tombez dans les passions,
comment pouvez-vous dire que vous servez Dieu et que vous L’aimez ? Vous
ne pouvez pas atteindre la grâce, mes enfants. Ah, jeunesse, jeunesse,
comme vous vous laissez entraîner par le dragon aux sept têtes
! Réveillez-vous, mes enfants, réveillez-vous à la
foi et vous recevrez la grâce. Ne vous laissez pas aveugler par la
ténèbre de Satan, mes enfants, et ouvrez vos oreilles.
Baise à nouveau le sol, ma
fille, pour les âmes consacrées, afin qu’elles soient fidèles
à leur consécration (Luz Amparo baise le sol).
Notre Seigneur : Jusqu’à
quand, mes enfants, la Divine Majesté de Dieu doit-elle avertir
les pauvres pécheurs ! Respectez mes commandements, mes enfants,
tous ceux qui mettront mes commandements en pratique auront la vie éternelle.
Que tous ceux qui accourent en ce lieu y viennent avec dévotion.
Beaucoup d’entre vous qui venez en ce lieu, mes enfants, vous travaillez
à diviser les âmes. Combien de fois te l’ai-Je dit, ma fille
: le démon divise et Dieu unit ! Là où il y a division,
il n’y a pas de paix. Aimez-vous les uns les autres.
La Très Sainte Vierge : Je
vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit Saint.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis pour la consolation des pauvres moribonds et des pauvres
malades.
Tous les objets ont été
bénis
MENSAJE DEL DÍA 6 DE ABRIL
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Orad, hijos
míos, orad; levantad vuestro corazón de la Tierra y despegaos
del mundo corruptor. El mundo, hijos míos, es triunfador del rey
de la mentira, porque los siete pecados capitales están en triunfo,
hijos míos; por eso hay que orar mucho y hacer penitencia. Levantad
vuestro corazón y vuestro espíritu a Dios, y Él os
hará gozar las grandezas de Dios.
Hija mía,
los hombres, cada día están más ciegos para ver la
situación del mundo y sordos a mi palabra. Amad nuestros Corazones,
hijos míos, que si amáis de verdad nuestros Corazones, amaréis
con la verdad a vuestros prójimos; pero si no amáis a Dios,
vuestro amor no será verdadero, hijos míos. El mundo está
falto de Dios. En todos los hogares de la Tierra quiero que triunfe el
Corazón Inmaculado de mi Madre. Hijos míos, yo tengo fuentes
de agua de vida eterna para todo el que venga a mí; yo abro esos
canales y los sumerjo en mis manantiales, para fortalecerlos en la fe,
para creer en mi Palabra y para predicar y practicar la caridad. Hijos
míos, yo, el Hijo de Dios vivo, el Espíritu de Dios y su
gloria, os pido que os améis unos a otros como el Padre y yo nos
amamos.
Yo vine
a hacer la voluntad de mi Padre a la Tierra y quise aceptar su voluntad
para redimir a los hombres con mi preciosísima Sangre. ¡Ay,
ingratos, muchos de vosotros, creaturas del Creador, cómo despreciáis
mi Pasión realizada para la salvación vuestra, hijos míos!
¿Qué clase de cristianos sois, hijos míos, si rechazáis
la cruz? ¿Qué clase de católicos sois, hijos míos,
si no practicáis mis leyes? Os digo, hijos míos: arrepentiros
y convertiros, que los tiempos son graves y los hombres no habéis
alcanzado a ver la justicia de Dios porque sólo os quedáis
en la misericordia, hijos míos. Yo emplearé mi justicia para
los injustos y mi misericordia para los justos. ¿Hasta cuándo
tengo que estar dando avisos a los hombres? Hija mía, mi misericordia
te he dicho que es muy grande, pero mi justicia es inmensa. Yo pido a todos
los hombres de buena voluntad que escuchen mis palabras y practiquen mi
doctrina.
Sí,
hija mía, los hombres fueron echados del Paraíso por el pecado
y mandados al globo terrestre, para que con sus trabajos y sus sudores
volviesen a recuperar la gracia perdida; pero el hombre quiere vivir sin
trabajar y cree que está vivo sin Dios; y el hombre sin Dios está
muerto, hija mía. Las riquezas que hay en la eternidad, hija mía,
no hay nada en la Tierra que las pueda comparar. ¿Cómo los
hombres se vuelven locos por las miserias de la Tierra?
Pedid por
los sacerdotes, para que sean pastores de mi rebaño; repito, hija
mía, que muchos de ellos son asalariados, no son pastores de la
Iglesia, son funcionarios. ¡Qué pena, tanta mies como hay
y tan pocos segadores para segarla! Hablan de Dios, hablan de mi doctrina,
pero muchos de ellos se quedan en la palabra. ¡Ay, sacerdotes de
Cristo, volved vuestra mirada a la Divina Majestad de Dios, que Él
volverá la gracia a vuestro espíritu para que trabajéis
en su rebaño! Hay mucho trabajo y pocos operarios. Se les ha olvidado
el sentido de la verdad del Evangelio. El sacerdote... Sí, mira,
hija mía, el día que el sacerdote se entrega a Dios, lo reviste
de su gracia en un esplendor divino; míralo, hija mía...;
pero mira también cuando la pierden... son cadáveres que
funcionan sólo con el cuerpo, sin acordarse de su entrega a Dios.
Te repito, hija mía, que muchos se sirven de la Iglesia pero que
no sirven a la Iglesia.
Dejad de
ser funcionarios, hijos míos, y sed sacerdotes de Cristo. Recoged
todo ese rebaño que está esparcido por tantos lugares; están
a la intemperie, hijos míos, esas almas esperando que venga cualquier
fiera a devorarlas. Proteged el rebaño de Cristo. Pero el pastor
tiene que estar con sus ovejas, en el lugar que Dios le ha indicado. ¡Cuántas
almas podéis salvar, almas queridas de nuestros Corazones, con vuestro
ejemplo y vuestra vida de virtud! Pero sólo sois sacerdotes unos
momentos de vuestra vida; muchos de vosotros, la mayor parte, sois funcionarios
asalariados. Dejad las funciones materiales del mundo y que funcione mi
Iglesia. Sí, hijos míos, ¿no os dais cuenta que Satanás
destruye lo que yo he construido? ¡Ay, cuánta cuenta tenéis
que dar, hijos míos! ¡Vosotros más que los laicos seglares,
hijos míos, porque habéis hecho una promesa con Dios!
LA VIRGEN:
¡Qué
pena, hijos míos! Antes había un gran número de almas
donde mi Inmaculado Corazón podía refugiarse, pero ahora,
hasta la mayoría de los conventos, hijos míos, están
marchitas las flores.
¡Qué
pena...! Yo quiero, hijos míos, consolaros a vosotros, pero hoy
vengo para que consoléis mi Corazón. Mira cómo está
mi Corazón, hija mía, lleno de espinas muy profundas, porque
mi Corazón ama tanto a mis almas consagradas que las espinas son
más dolorosas; por eso pido oración y penitencia, porque,
hijos míos, los hombres están deshumanizados, viven los placeres
del mundo, matan sin respetar la vida de los demás. Las madres matan
los hijos dentro de sus entrañas, y la juventud está corrompida
por los vicios del alcohol, las drogas, la carne; por eso te digo, hija
mía, que los pecados capitales van en triunfo y los hombres no ven
pecado donde existe el pecado. No puedes tocar ninguna espina, hija mía,
¡están tan profundas!
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en la Humanidad...
Mi Corazón,
hija mía, siente mucho dolor, porque los hombres son ingratos, y
no comprenden que nuestros Corazones sufran; por eso, hija mía,
tienes que sufrir muchas pruebas morales y físicas.
LUZ AMPARO:
Dame fuerza,
Señor, dame fuerzas, Señor. ¡Ay, Dios mío, yo
quiero que me des fortaleza, quiero reparar los pecados de los hombres,
pero soy muy débil muchas veces; dame humildad, Madre mía!
LA VIRGEN:
Mira, hija
mía, cómo sangra mi Corazón lleno de dolor por los
pecados de la Humanidad. ¡Ay, aquéllos que os llamáis
católicos y pensáis más en el mundo y en los placeres
del mundo que en agradar a Dios vuestro Creador! No se puede servir a dos
señores; si estáis sirviendo al mundo y estáis, hijos
míos, cayendo en las pasiones, ¿cómo decís
que servís a Dios y le amáis?; no podéis alcanzar
la gracia, hijos míos. ¡Ay, juventud, juventud, cómo
os dejáis arrastrar por el Dragón de las siete cabezas! Despertad,
hijos míos, despertad a la fe y recibiréis la gracia. No
os ceguéis con la tiniebla de Satanás, hijos míos,
y abrid vuestros oídos.
Vuelve a
besar el suelo, hija mía, por las almas consagradas, para que sean
fieles en su consagración...
EL SEÑOR:
¿Hasta
cuándo, hijos míos, la Divina Majestad de Dios tiene que
estar avisando a los pobres pecadores? Cumplid mis leyes, hijos míos,
que todo el que cumpla mis leyes tendrá vida eterna. Todo el que
acuda a este lugar, que acuda con devoción; que muchos de vosotros,
de los que acudís a este lugar, hijos míos, os dedicáis
a dividir a las almas. ¡Cuántas veces te he dicho, hija mía,
que el demonio divide y Dios une! Donde haya división no hay paz.
Amaos unos a otros.
LA VIRGEN:
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos para la consolación
de los pobres moribundos y enfermos...
Todos los
objetos han sido bendecidos.
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4 mai 1996
La Très Sainte Vierge : Comme
tu le verras, ma fille, Je viens avec le Cœur accablé de douleur.
Les hommes vivent dans la confusion et ils croient vivre dans un paradis.
Pour eux, les plaisirs, les vices, voilà la paradis, ainsi que les
haines, les rancunes, les jalousies. Ne vois-tu pas comme ils enseignent
à leurs enfants, de génération en génération,
la haine, la guerre, la discorde ? Et, Je te le répète, beaucoup
d’entre eux prétendent aimer Dieu. Ils se servent des Saintes Ecritures
pour corrompre l’Evangile, et ils ne donnent pas de sens à la grandeur
qui s’y trouve. Ils perdent tout le sens de la grâce. L’Evangile
du Christ c’est l’amour, la vérité, la vie. Et parmi les
hommes il y a cette désunion, ce manque d’amour, cette discorde
et cette guerre. N’est-ce pas triste qu’ils enseignent à leurs enfants
la haine et la rancœur d’un passé ? Comment mon Cœur ne serait-il
pas triste, ma fille ! Et comment un grand nombre des pasteurs de mon Eglise
en croient-ils pas que la Mère de Dieu peut se manifester aux hommes
! Ils ne voient pas la situation du monde. Etes-vous aveugles, mes enfants
?
Le monde est dans un chaos terrible.
Là où Dieu n’est pas, il ne peut y avoir de paradis, mes
enfants. Comment mon Cœur ne serait-il pas triste ! Comment beaucoup
de mes prêtres ne pensent-ils pas qu’une Mère ressent de la
tristesse dans son cœur quand elle voit ses enfants prendre le chemin de
la perdition ! Oui, mes enfants, Je me manifeste pour rappeler aux hommes
qu’ils sont frères, qu’ils ne doivent pas être des ennemis
et pour qu’ils vivent l’Evangile. Dieu ne peut-il pas faire ce qui Lui
plaît, mes enfants ? Jusqu’où, esprits tordus, êtes-vous
capables de vous immiscer dans les plans de Dieu ! Je me manifeste aux
pécheurs pour qu’ils tournent leur regard vers leur Créateur,
mais les hommes ingrats empirent de jour en jour.
Notre Seigneur : Ah, mon Eglise,
comme tu es outragée ! Comme est outragé ton Fondateur !
Il y a des milliers d’années Je me suis manifesté sur la
terre pour rappeler aux hommes la vérité de l’Evangile. Si
les hommes mettaient en pratique les Lois de Dieu, il ne serait pas nécessaire
que la Mère de Dieu descende sur terre pour avertir les hommes de
mettre en pratique la vérité et d’obéir à la
loi.
La Très Sainte Vierge : Ah,
ingrats, aveugles ! Ne voyez-vous pas la situation du monde, mes enfants
? Ne voyez-vous pas que Satan est en train de s’emparer de la jeunesse
? Ne voyez-vous pas que les mères jettent leurs enfants dans cette
liberté qui est un libertinage où ils commettent toute sorte
de péchés, mes enfants ? Ah, pères et mères
qui ne corrigez pas vos enfants et qui ne leur enseignez pas la vérité
de l’Evangile ! Ne voyez-vous pas le danger que courent vos enfants, et
lorsque vous voulez bien vous en rendre compte, ils sont déjà
perdus. Enseignez-leur la religion, mes enfants. Je te le dis souvent,
ma fille, la religion est un frein pour l’âme. Ah, malheur aux âmes
qui s’occupent seulement de ce que leurs enfants vivent leur vie ! Et voilà
comment vos enfants finissent par penser que l’espérance s’achève
après la mort et qu’il n’y a pas d’autre fin que celle-ci. Oui,
l’espérance s’achève, mais l’éternité continue,
mes enfants. Combien d’entre vous mettez votre espérance dans les
vanités, les caprices du monde et les affections humaines ! Et lorsque
vous vous présenterez devant la Divine Majesté de Dieu, ce
sera terrible, mes enfants, parce que vous n’avez pas voulu mettre ses
Lois en pratique. Il ne vous connaîtra pas, comme vous, vous n’avez
pas voulu le connaître. Et si quelques-uns d’entre vous désirent
Le connaître, vous devez Le connaître tel qu’Il est, mes enfants,
non pas à votre guise et suivant votre caprice, avec vos libertés.
Dans ces libertés vous choisissez le chemin de la perdition. Ah,
parents qui ne savez pas éduquer vos enfants ! Quand vous arriverez
en présence de Dieu, que vous répondra-t-Il , mes enfants
? Oui, vous êtes coupables de cette situation parce que vous n’avez
pas su conduire vos enfants vers la vérité, vers le chemin
et vers la vie. Vous les avez laissés entrer dans la mort, et ils
sont morts pour l’éternité céleste, mes enfants.
Ces paradis que les hommes se fabriquent
sur la terre, celui qui les dirige, mes enfants, c’est le roi du mensonge,
de la tromperie, de la destruction. Ce n’est pas un paradis, c’est la corruption,
le mensonge, la destruction, la vanité, la désunion, les
guerres, les massacres. Mais, mes enfants, pourquoi les hommes en arrivent-ils
à cette situation ? Parce que les hommes deviennent aveugles et
ne voient pas Dieu. Comment mon pauvre Cœur en serait-il pas triste ? Et
comment mes prêtres peuvent-ils penser que Moi, la Mère des
pécheurs, Je ne viens pas les avertir, en voyant leur sottise, pour
qu’ils se convertissent ? Ah, sots, qui êtes-vous pour penser ce
que Dieu doit faire, mes enfants ! Dieu se manifeste à qui Il veut,
quand Il veut, et où Il veut, pour obtenir du fruit de sa manifestation.
Mais comme vous manquez d’humilité, âmes si aimées
de nos Cœurs. Pourquoi êtes-vous aveugles ? Parce que vous êtes
infidèles et que vous ne voyez pas la grâce ; parce que vous
aussi vous êtes matérialisés, et que vous vivez davantage
de la matière que de l’esprit. C’est pourquoi, mes enfants, Je vous
dis de ne pas en rester aux paroles, mais d’accomplir des œuvres. Quelquefois
les paroles sont bien jolies, mais les actes sont désastreux, mes
enfants. Jusques à quand, mes enfants, jusques à quand doit-on
vous donner des avertissements ? Si vous, pasteurs de mon Eglise, vous
ne prêchez pas l’Evangile tel qu’il est, comment les hommes vont-ils
voir la vérité ? Beaucoup d’hommes comprennent mal l’Evangile
parce que beaucoup d’entre vous ne parlez pas avec clarté, mes enfants.
Soyez clairs et dites la vérité.
Comme Je te le dis, ma fille, la
vérité est crue, et les pasteurs ont peur de dire cette vérité.
Ils ne parlent que de la Miséricorde de Dieu. C’est pourquoi chaque
individu veut se gouverner par lui-même et veut la liberté
car, comme Dieu est miséricordieux, quoi qu’ils fassent, Dieu appliquera
sa miséricorde, selon ce que disent beaucoup de mes prêtres.
Mais, mes enfants, pourquoi n’enseignez-vous
pas où est le péché et où est la vertu ? Vous
prenez le péché pour la vertu et la vertu pour le péché.
Soyez clairs, mes enfants, et doux. Avec la clarté et la douceur,
vous allez conquérir beaucoup d’âmes. Vous savez, mes enfants,
que le troupeau du Christ s’est éparpillé et qu’il se divise
de plus en plus. Pourquoi, mes enfants ? Parce qu’il n’y a pas de prière,
parce qu’il n’y a pas de sacrifice, parce que chacun veut vivre selon ses
goûts, sans que personne ne lui impose des lois. Malheur à
vous, mes enfants, si vous n’êtes pas fidèles à l’Evangile
et à la Parole qui est vérité ! Ne jouez pas à
cache-cache, mais parlez clairement aux hommes, et ils vous comprendront
mieux, mes enfants. Quel manque d’amour il y a entre les hommes, quel manque
de compréhension et d’unité !
Priez, mes enfants, approchez-vous
du sacrement de la pénitence, confessez vos fautes, afin qu’elles
soient pardonnées. Combien disent qu’ils se confessent directement
à Dieu ! Ah, mes enfants, vous avez honte que l’on vous connaisse
tels que vous êtes ! Allez vers les prêtres qui sont les pasteurs
de l’Eglise et qui ont l’obligation et le devoir d’être dans le confessionnal
pour recevoir les pauvres pécheurs. Oui, mes enfants, confessez
vos fautes, afin que vos péchés soient absous. Et toi, ma
fille, sois humble, prie et fais des sacrifices pour les pauvres pécheurs.
Malheur à ceux qui fomentent les discordes et les guerres ! Malheur
à ceux qui mettent la haine dans le cœur des petits enfants et leur
apprennent à haïr dès qu’ils ont l’usage de leur raison
! Ah, il eût mieux valu qu’ils ne fussent pas nés !
Priez, priez, mes enfants, la prière
est un frein. Aimez les déshérités. Et vous tous,
mes enfants, développez cette Œuvre pour qu’elle croisse et que
vous puissiez faire du bien à l’humanité. L’œuvre vous concerne
tous, mes enfants, parce que vous avez tous reçus des grâces
très spéciales. Aimez beaucoup nos Cœurs : aussi pécheurs
que vous soyez, mes enfants, si vous venez avec contrition et repentir,
Je vous serrerai sur mon Cœur avec mon amitié, mes enfants.
Oui, ma fille, oui, les esprits
du mal éprouvent la terre, aussi bien l’homme que la matière.
Combien de fois t’ai-Je dit, ma fille, que l’homme veut atteindre Dieu
avec son intelligence ! Et tout ce qu’il est capable de faire, c’est de
détruire l’humanité en partie, et peu à peu, l’humanité
entière. Personne ne comprendra les mystères de Dieu, aussi
nombreux que soient les savants qui fassent des recherches et qui veuillent
s’immiscer dans ces mystères. Ces choses appartiennent à
la Divine Majesté de Dieu. Aussi cultivés que vous soyez,
mes enfants, aussi grande que soit votre intelligence, si vous ne l’orientez
pas vers la Loi de Dieu et vers son Evangile, votre sagesse et votre intelligence
sont aux mains de Satan, parce que vous ne les consacrez pas au bien mais
au mal. C’est ainsi qu’est aujourd’hui l’humanité, car chacun veut
faire des recherches sur les hauteurs qu’il y a dans le ciel, mais en détruisant
la terre. Ah, mes enfants, vous n’êtes sur le globe terrestre que
pour vous aimer, pour travailler et gagner votre pain à la sueur
de votre front, mes enfants. Pourquoi perdez-vous votre temps dans des
choses inutiles ? Oui, ma fille, regarde les conséquences de cette
action des hommes.
Luz Amparo : Ah, quelle déformation
!… Ah, les êtres humains ne semblent pas des êtres huma ins…
ils sont comme des fauves, comme des bêtes sauvages !…
La Très Sainte Vierge : C’est
ainsi qu’arrivera le moment où le globe terrestre sera envahi de
toutes ces expérimentations, ma fille.
Luz Amparo : Ah, quelle horreur…,
ah !
La Très Sainte Vierge : L’homme
ne laisse pas la nature suivre son cours comme Dieu le veut. Il s’immisce
dans les plans divins et voilà la conséquence, ma fille.
Luz Amparo : Ah, mon Dieu !
La Très Sainte Vierge : Beaucoup
d’être humains préféreraient être morts plutôt
que de voir cette situation, mes enfants. Voyez comme l’homme sans Dieu
ne peut rien faire d’autre que des désastres dans le monde. Si l’homme
est fait à l’image et à la ressemblance de Dieu, comment
veut-il changer ce que Dieu a créé ? Quand ceci arrivera,
les vivants envieront les morts, ma fille. C’est pourquoi je demande prière
et pénitence. L’homme ne se rend pas compte de la situation du monde
et du chaos si terrible qui peut s’abattre sur l’humanité. Priez,
mes enfants, pour que les hommes soient humbles et fassent la volonté
de Dieu. Depuis le commencement de la création, l’homme n’a pas
fait la volonté de Dieu et c’est pourquoi, ma fille, la terre a
été châtiée si souvent.
Je demande la prière et l’obéissance
à la Loi de Dieu. Soyez humbles, mes enfants. Ne venez pas ici seulement
en curieux ; mais que votre cœur manifeste une pureté d’intention
qui permette à la grâce et aux dons de Dieu de parvenir dans
votre âme.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour le Jour des ténèbres.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 4 DE MAYO
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía,
como verás, vengo con el Corazón transido de dolor. Los hombres,
hija mía, viven en un desconcierto y creen vivir en un paraíso,
hija mía. Para ellos, los placeres, los vicios, es un paraíso,
hija mía, los odios, los rencores, las envidias. ¿No ves,
hija mía, cómo enseñan a sus hijos, de generación
en generación, el odio, la guerra, la discordia?; y muchos de ellos,
te repito, dicen amar a Dios, se sirven de las Sagradas Escrituras para
corromper el Evangelio y no le dan sentido a la grandeza que hay en él,
pierden todo el sentido de la gracia. El Evangelio de Cristo es el amor,
la verdad, la vida, y entre ellos mismos, hija mía, existe esa desunión,
ese desamor, esa discordia y esa guerra. ¿No es una pena, hija mía,
que enseñen a sus hijos el odio y el rencor de un pasado? ¡Cómo
mi Corazón no va a estar triste, hija mía! Y ¡cómo
los pastores de mi Iglesia, muchos de ellos, no creen en que la Madre de
Dios puede manifestarse a los humanos! No ven la situación del mundo;
¿estáis ciegos, hijos míos?
El mundo
está en un caos terrible. Donde Dios no está, no puede haber
paraíso, hijos míos. ¡Cómo no va a estar triste
mi Corazón y cómo muchos de mis sacerdotes no piensan que
una Madre siente tristeza en el corazón cuando ve que sus hijos
van por el camino de la perdición! Sí, hijos míos,
sí, yo me manifiesto para recordar a los hombres que son hermanos,
que no sean enemigos y que vivan el Evangelio. ¿Es que Dios no puede
hacer lo que le plazca, hijos míos? ¡Hasta dónde, mentes
retorcidas, sois capaces de meteros en los planes de Dios! Yo me manifiesto
a los pecadores para que vuelvan la mirada hacia el Creador; y los hombres
ingratos, cada día son peores.
EL SEÑOR:
¡Ay,
Iglesia mía, qué ultrajada eres, como es ultrajado tu Fundador!;
a eso hace miles de años que me manifesté en la Tierra: para
recordar a los hombres la verdad del Evangelio. Si los hombres cumpliesen
las leyes de Dios, no haría falta que la Madre de Dios bajase a
la Tierra a avisar a los hombres que cumplan con la verdad y con la Ley.
LA VIRGEN:
¡Ay,
ingratos, ciegos! ¿No veis la situación del mundo, hijos
míos? ¿No veis que la juventud Satanás se está
haciendo dueño de ella? ¿No veis que las madres meten a sus
hijos en esa libertad, que es un libertinaje, donde cometen toda clase
de pecados, hijos míos? ¡Ay, madres y padres que no corregís
a vuestros hijos y no les enseñáis la verdad del Evangelio!
No veis el peligro que tienen vuestros hijos, y cuando queréis,
hijos míos, daros cuenta, ya están perdidos. Enseñadles
la religión, hijos míos. Ya te digo muchas veces, hija mía,
que la religión es un freno para el alma. ¡Ay, almas que sólo
os ocupáis de que vuestros hijos vivan la vida! Así terminan
vuestros hijos, hijos míos: pensando que la esperanza se acaba después
de la muerte y ya no hay otro fin nada más que éste, hijos
míos. Sí, la esperanza se acaba, pero la eternidad sigue,
hijos míos; cuántos ponéis vuestra esperanza en vanidades
y caprichos del mundo, en apegos humanos, y cuando os presentéis
ante la Divina Majestad de Dios será terrible, hijos míos,
porque no habéis querido cumplir con sus leyes y no os conocerá
como vosotros no habéis querido conocerle. Y si algunos de vosotros
queréis conocerle, tenéis que conocerle tal como es, hijos
míos, no a vuestro capricho, a vuestro antojo, con vuestras libertades.
En esas libertades escogéis el camino de la perdición. ¡Ay,
padres que no sabéis educar a vuestros hijos!, cuando lleguéis
a presentaros ante todo un Dios, ¿qué os responderá,
hijos míos?, si vosotros sois culpables de esa situación
porque no habéis sabido conducir a vuestros hijos a la Verdad, al
Camino y a la Vida; los habéis dejado introducirse en la muerte
y han muerto para la eternidad celeste, hijos míos.
Estos “paraísos”
que se forman los hombres en la Tierra, el que los rige, hijos míos,
es el rey de la mentira, del engaño, de la destrucción. Esto
no es un paraíso, esto es corrupción, mentira, destrucción,
vanidad, desunión, guerras, matanzas...; pero, hijos míos,
¿por qué llega el hombre a esa situación? Porque el
hombre se queda ciego y no ve a Dios. ¿Cómo no va a estar
triste mi pobre Corazón? Y ¿cómo mis sacerdotes pueden
pensar que yo, Madre de los pecadores, no vengo a avisarles, viendo su
necedad, para que se conviertan? ¡Ay, necios, ¿quién
sois vosotros para pensar lo que Dios tiene que hacer, hijos míos?!
Dios se manifiesta a quien quiere y cuando quiere y donde quiere, para
sacar frutos de su manifestación. Pero qué poco humildes
sois, almas tan queridas por nuestros Corazones. ¿Por qué
estáis ciegos?, porque sois infieles y no veis la gracia; porque
vosotros también estáis materializados y vivís más
la materia que el espíritu; por eso, hijos míos, os digo
que no os quedéis sólo en la palabra, id a la obra. Las palabras,
a veces son muy bonitas, pero los hechos son desastrosos, hijos míos.
¿Hasta cuándo, hasta cuándo, hijos míos, os
tienen que estar dando avisos? Si vosotros, pastores de mi Iglesia, no
predicáis el Evangelio tal como es, ¿cómo los hombres
van a ver la verdad? Muchos confunden el Evangelio porque no habláis
con claridad, hijos míos, muchos de vosotros; sed claros y hablar
la verdad.
Como te
digo, hija mía, la verdad es cruda y les da miedo de decir esa verdad.
Sólo dejan y hablan de la misericordia de Dios; por eso cada individuo
quiere gobernarse por sí mismo y quiere una libertad, porque como
Dios es misericordioso, hagan lo que hagan, Dios aplicará su misericordia,
según mis sacerdotes, muchos de ellos. Pero, ¿cómo,
hijos míos, no enseñáis dónde está el
pecado y dónde está la virtud? Que veis el pecado virtud
y la virtud pecado. Sed claros, hijos míos, y suaves. Con claridad
y con suavidad conquistaréis muchas almas. Ya sabéis, hijos
míos, que el rebaño de Cristo está esparcido y cada
día está más desunido; ¿por qué, hijos
míos? Porque no hay oración, porque no hay sacrificio, porque
cada uno queréis vivir según vuestros gustos, sin que nadie
os ponga unas leyes, hijos míos. ¡Ay de vosotros, hijos míos,
si no sois fieles al Evangelio y a la palabra que es la verdad! No andéis
con escondites, sino hablad claramente a los hombres. Os entenderán
mejor, hijos míos. ¡Qué falta de amor hay entre los
hombres, qué falta de comprensión y de unidad!
Haced oración,
hijos míos, acercaos al sacramento de la Penitencia, confesad vuestras
culpas, para que vuestras culpas sean absueltas, hijos míos. ¡Cuántos
decís que os confesáis directamente con Dios! ¡Ay,
hijos míos, que os da vergüenza que os conozcan como sois!
Id al sacerdote, que son pastores de la Iglesia y tienen la obligación
y el deber de estar en el confesionario, para recibir a los pobres pecadores.
Y confesad vuestras culpas, hijos míos, para que vuestros pecados
sean perdonados. Tú, hija mía, sé humilde, haz oración
y sacrificios por los pobres pecadores, hija mía. Y ¡ay de
aquéllos que forman discordias y guerras! ¡Ay de aquéllos
que meten el odio a los pequeñuelos en su corazón y les enseñan
a odiar desde que tienen uso de razón! ¡Ay, más les
valiera no haber nacido, hijos míos!
Orad, orad,
hijos míos, la oración es un freno. Y amad a los desvalidos.
Y todos, hijos míos, levantad esta Obra, para que vaya creciendo
y podáis ir haciendo bien a la Humanidad. De todos es la Obra, hijos
míos, porque todos habéis recibido gracias muy especiales.
Amad mucho nuestros Corazones, que por muy pecadores que seáis,
hijos míos, si venís contritos y arrepentidos, yo os daré
un abrazo de amistad, hijos míos.
Sí,
hija mía, sí, los espíritus del mal están afectando
la Tierra; lo mismo al hombre que a la materia. ¡Cuántas veces
te he dicho, hija mía, que el hombre quiere alcanzar a Dios con
su inteligencia!; y lo que hace es destruir parte y, poco a poco, a la
Humanidad. Los misterios de Dios nadie los comprenderá, por muchos
sabios que indaguen y muchos que quieran meterse en esos misterios; eso
corresponde a la Divina Majestad de Dios. Por muy cultos que seáis,
hijos míos, y mucha inteligencia que tengáis, si no la encamináis
a la Ley de Dios y a su Evangelio, vuestra sabiduría y vuestra inteligencia
está en manos de Satanás, porque no la dedicáis para
el bien, la dedicáis para el mal. Así está hoy la
Humanidad, que cada uno quiere investigar las altezas que hay en el cielo,
destruyendo la Tierra. ¡Ay, hijos míos, si sólo estáis
en el globo terrestre para amaros, trabajar y ganar el pan con el sudor
de vuestro rostro, hijos míos!, ¿por qué perdéis
el tiempo en cosas inútiles? Sí, hija mía, mira las
consecuencias de los hombres.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
qué deformación! ¡Ay, los seres humanos no parecen
seres humanos! ¡Ay, ay! ¡Ay, son como fieras, como animales
salvajes!
LA VIRGEN:
Así
llegará el momento en que el globo terrestre esté rodeado
con todos estos experimentos, hija mía.
LUZ AMPARO:
¡Ay!,
¡ay, qué horror, ay!
LA VIRGEN:
El hombre
no deja a la naturaleza llevar su curso como Dios quiere; se mete en los
planes divinos y ésta es la consecuencia, hija mía.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
Dios mío!
LA VIRGEN:
Muchos seres
humanos quisieran estar muertos antes de ver esta situación, hijos
míos. Para que veáis cómo el hombre sin Dios no puede
hacer nada más que destrozos en el mundo. Si el hombre está
hecho a imagen y semejanza de Dios, ¿cómo quiere el hombre
cambiar lo que Dios ha creado? Cuando esto suceda, los vivos envidiarán
a los muertos, hija mía; por eso pido oración, penitencia.
El hombre no se da cuenta de la situación del mundo y del caos tan
terrible que puede venir sobre la Humanidad. Orad, hijos míos, para
que los hombres sean humildes y hagan la voluntad de Dios. Desde el principio
de la creación, el hombre no hizo la voluntad de Dios y por eso,
hija mía, ha sido castigada la Tierra tantas veces.
Oración
pido y obediencia a la Ley de Dios. Sed humildes, hijos míos, y
no vengáis sólo a curiosear, sino con intención de
corazón limpia, para que a vuestra alma, hijos míos, llegue
la gracia y los dones de Dios.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales,
para el día de las tinieblas...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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1er juin 1996
Notre Seigneur : Ma fille, combien
souffrent nos Cœurs, Je continue à le répéter, parce
que les hommes ne font aucun cas de mes paroles ! Ils ne se rendent pas
compte de la gravité de la situation qu’il y a dans le monde. Les
hommes veulent atteindre le Créateur, mais de quelle façon
veulent-ils le faire, ma fille ? En ne mettant pas en pratique les Lois
que le Créateur leur a imposées pour leur salut, mais en
se faisant eux-mêmes « créateurs ».
Les hommes font plus cas des paroles
des hommes que des paroles de Dieu. Leur orgueil, ma fille, va leur faire
détruire la planète terrestre. Ils veulent créer de
nouvelles races et ce qu’ils vont faire, c’est créer des bêtes
sauvages, pour que la race humaine disparaisse. Jamais l’homme ne pourra
être le créateur d’un être humain, parce que Dieu seulement
a le pouvoir de créer l’âme qui fait de l’homme un être
rationnel. Un corps sans âme n’est pas un être rationnel, et
l’âme, ma fille, seul le Créateur incréé peut
la créer. Jusqu’où voulez-vous arriver, vous qui vous croyez
sages ? Jusqu’à la destruction de la planète terre et de
vos propres âmes ?
L’homme n’a pas de cœur, ma fille.
L’être humain s’achemine à toute allure vers la destruction.
Priez beaucoup, mes enfants, pour que l’Ange de la Vérité
détruise tous les plans en vue de la destruction du globe terrestre,
conçus par ces esprits dirigés par Satan. Ce sera horrible,
ma fille, mais c’est que les hommes sont dénaturés, ils ne
pensent pas au Dieu Créateur, au Dieu Sauveur, au Dieu incréé.
Ils pensent qu’ils sont eux-mêmes des êtres privilégiés
pour créer. Jusqu’où et jusqu’à quand, mes enfants,
vais-je vous avertir de ne pas vous immiscer dans les plans de Dieu, car
personne ne peut atteindre la sagesse de Dieu ! Parce que Dieu est incréé
; il existait avant tous les siècles, et Il est celui qui avait
le pouvoir pour créer. Mais vous, au lieu d’utiliser votre sagesse
pour faire le bien aux êtres humains, vous en tirez profit pour vous
convertir en « créateurs » de destructions.
Les hommes sont comme les bêtes
sauvages ; leur cœur est bloqué ; et ils ne pensent pas à
l’être humain, mais ils s’introduisent de plus en plus dans des mystères
occultes et ils ne savent pas le mal qu’ils peuvent causer à l’Humanité.
Suivez les Lois de Dieu, mes enfants, et ne faites pas de recherches sur
tant de choses qui peuvent faire du mal à l’Humanité. Raisonnez
comme des êtres humains ; ne vous croyez pas sages ni puissants.
Dieu seul est puissant et sage pour créer. Mais que voulez-vous
donc faire vous-mêmes du monde, mes enfants ? Priez beaucoup, parce
que ce sera terrible si l’homme réussit à réaliser
ces choses. Ne perdez pas votre temps, mes enfants, pour détruire
la race humaine. Profitez du temps pour sauver vos âmes et pour aider
les pauvres et les nécessiteux.
Quelle peine ! Quel manque de foi
chez les hommes ! Ils disent qu’ils veulent construire des choses nouvelles
pour faire le bien de l’Humanité ; et ce qu’ils font, c’est détruire
cette Humanité que Dieu a créée pour qu’elle participe
à sa divinité. Ils veulent tout changer, ma fille. Ils ne
voient pas les péchés là où ils se trouvent,
ni la vertu là où elle est ; parce que Dieu, pour eux, n’existe
pas ; parce qu’ils se forment un Dieu à leur manière et suivant
leur fantaisie ; sinon, leur orgueil ne les entraînerait pas si loin,
ma fille.
La Très Sainte Vierge : Vivez
l’Evangile, mes enfants, et marchez sur le chemin du salut. Aimez-vous
comme des frères, laissez-vous conduire et écoutez mes paroles,
mes enfants. Il sera terrible, le chaos qui peut survenir sur l’Humanité.
Priez, tous ensemble, priez les uns pour les autres, et que la charité
règne entre vous tous.
Notre Seigneur : Et toi, ma fille,
ne t’afflige pas parce que les hommes n’ont pas de cœur dans leurs paroles.
Pense que les miens n’en ont pas eu pour Moi. Comment le disciple pourrait-il
être au-dessus du Maître, ma fille ! N’aie aucun remords, ma
fille, parce que tu as lutté pour élever tes enfants, en
travaillant à la sueur de ton front, pour les élever dignement,
ma fille. Je t’ai éprouvée depuis ta plus tendre enfance,
et Je t’ai appris la souffrance et la douleur. Rien ne peut t’affecter
maintenant, ma fille ; ni les paroles ni les calomnies des êtres
sans cœur, parce qu’il n’y a qu’un être sans cœur qui puisse écrire
ces mots. C’est pourquoi Je te dis, ma fille, que tu es déjà
habituée à souffrir. Qu’il ne reste donc aucune blessure
dans ton cœur à cause de cette cruauté des hommes. Tu as
transmis aux hommes les paroles que Je t’ai communiquées ; continue
à les répéter, ma fille. Malheur à vous, mères,
Je le répète, qui introduisez vos enfants dans les plaisirs
du monde pour leur donner le libertinage ! Qu’adviendra-t-il de vous ?
Malheur à vous, pères, qui ne savez pas les éduquer
dans la sainte crainte de Dieu ! Vous n’avez pas d’excuse, parce que beaucoup
d’entre vous, vous ne pouvez pas ensuite invoquer comme excuse le fait
que vous n’aviez pas de temps, que vous deviez travailler. Non, mes enfants,
vous préférez que vos enfants se perdent dans le monde en
se préparant à des grandes carrières, et vous oubliez
le plus important : la parole de Dieu, mes enfants.
A toi, ma fille, personne ne t’a
enseigné la parole et Je t’ai donné un mari malade et sept
enfants pour ma Gloire, et tu as dû, ma fille, travailler beaucoup
pour élever dignement tes enfants. Bien sûr il y a toujours
parmi eux une brebis qui s’écarte du chemin, mais toi, ne t’en trouve
pas responsable, ma fille, parce que tu as toujours pensé à
eux. Ne tiens pas compte des paroles cruelles de ces âmes sans cœur.
Ne sois pas si sensible, sois forte. La sainteté n’est pas faible,
elle doit avoir de la force pour accepter tout ce qui peut venir de la
main de Dieu et des hommes : Je le permets, ma fille. Et pense que Satan
détruit, il ne construit pas, ma fille. Toi, essaie de construire,
non de détruire. Tout est clair, ma fille, et tout peut apparaître
au grand jour. Mais parfois, ma fille, là où tu te l’imagines
le moins, il y a un « judas » qui te vend, qui te trahit.
Priez beaucoup, mes enfants. Prie
pour ces âmes qui ont tant besoin de la grâce. Je donne la
grâce, ma fille, mais regarde ce qu’ils en font : beaucoup d’âmes
la foulent aux pieds. J’aime ceux qui sont fidèles mais Je repousse
l’infidélité des âmes. J’aime la noblesse et Je rejette
les duplicités. L’âme qui a des duplicités, ma fille,
n’a pas de limpidité de cœur, elle aura toujours des discordes et
des guerres à l’extérieur et à l’intérieur
de son foyer. N’ai-Je pas donné suffisamment, ma fille ? Mais combien
devraient être nuit et jour à genoux afin de remercier pour
tant de grâces qui leur ont été données ? Et
regarde quelles réactions elles ont devant la correction, devant
les paroles et devant la vérité. Je hais l’hypocrisie. Je
méprise les orgueilleux et ceux qui n’ont pas le cœur limpide parce
que ce sont des pharisiens hypocrites. Qui m’a vendu, ma fille ? Celui
qui était le plus près. Quels furent ceux qui m’appelaient
Belzébuth et qui s’effrayaient parce que… (Ah ! dit Luz Amparo,
qui contemple ce que le Seigneur lui fait voir). Oui, regarde ces scènes,
ma fille ;…parce que Je faisais la charité les jours de sabbat.
Regarde quelles insultes… Regarde, ma fille, ce que J’ai reçu. Il
n’y a pas de jour pour la charité : tous les jours sont bons pour
mettre en pratique la charité.
Ma fille, tu sais que tous ceux
qui aiment Dieu de tout leur cœur sont persécutés et calomniés.
Réfugie-toi dans nos Cœurs et ne défaille pas, mais avec
la vigueur de l’aigle, ma fille, un jour tu t’envoleras très haut,
là où tu rencontreras ton Créateur. ? Il vaut la peine
de souffrir, parce que ceux qui te font souffrir t’ouvrent le chemin du
salut. Je te demande beaucoup d’humilité, ma fille, et beaucoup
de force, car tu sais que ton bonheur n’est pas ici bas. Il est là-haut,
ma fille.
La Très Sainte Vierge : Venez
en ce lieu, mes enfants, vous y recevrez des grâces très spéciales
pour votre salut. Que vous êtes ingrats, vous qui avez reçu
des grâces pour sauver les âmes de vos êtres chers et
qui ne savez pas être fidèles à la grâce ! Quelle
peine vous me donnez , mes enfants ! Aimez-vous comme des frères
et soyez toujours unis dans l’amour, ainsi que le Christ est venu l’enseigner
aux hommes.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant d’offenses que l’on commet contre Dieu le Créateur.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis pour la conversion des pauvres pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 1 DE JUNIO
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía,
¡cuánto sufren nuestros Corazones, sigo repitiendo, porque
los hombres no hacen caso a mis palabras!; no se dan cuenta de la gravedad
y de la situación que hay en el mundo. Los hombres quieren alcanzar
al Creador; pero, ¿de qué forma quieren hacerlo, hija mía?:
no cumpliendo las leyes que el Creador ha impuesto para su salvación,
sino haciéndose ellos “creadores”(1).
El hombre
hace más caso a las palabras de los hombres que a las palabras de
Dios; su soberbia, hija mía, los va a hacer destruir el planeta
terrestre, hija mía; quieren crear nuevas razas, y lo que van a
hacer es crear fieras, para que desaparezca la raza humana. Nunca el hombre
podrá ser creador de un ser humano, porque sólo Dios tiene
poder para crear el alma, que es lo que hace racional al hombre. Un cuerpo
sin alma no es un ser racional, y el alma, hija mía, sólo
la puede crear el Creador Increado. ¿Hasta dónde queréis
llegar, vosotros que os creéis sabios?, ¿hasta la destrucción
del planeta Tierra y de vuestras propias almas?
El hombre
no tiene entrañas, hija mía. El ser humano va a unas velocidades
hacia la destrucción. Orad mucho, hijos míos, para que esas
mentes que son dirigidas por Satanás, destruya el Ángel de
la Verdad todos sus planes para la destrucción del globo terrestre.
Será horrible, hija mía, pero es que los hombres están
desnaturalizados, no piensan en Dios Creador, en Dios Salvador, en el Dios
Increado; se piensan ellos mismos seres privilegiados para crear. ¿Hasta
dónde y hasta cuándo, hijos míos, os voy a estar avisando
que no os metáis en los planes de Dios, hijos míos, que nadie
puede llegar a la sabiduría de Dios?, porque Dios fue increado,
existía antes de todos los siglos, y Él es el que tenía
poder para crear; pero vosotros, que en vez de aprovechar vuestra sabiduría
en hacer el bien a los seres humanos, la aprovecháis para convertiros
en “creadores” (1)de destrucciones.
El hombre
está como las fieras; su corazón está bloqueado; y
no piensa, hija mía, en el ser humano, sino cada día más
se introducen en misterios ocultos, que no saben el mal que pueden causar
a la Humanidad. Seguid las leyes de Dios, hijos míos, y no investiguéis
tantas cosas que pueden hacer daño a la Humanidad. Razonad como
seres humanos; no os creáis sabios y poderosos; sólo Dios
es poderoso y sabio para crear. Pero, ¿qué queréis
hacer vosotros del mundo, hijos míos? Orad mucho, porque será
terrible si esto lo llega a realizar el hombre. No perdáis el tiempo,
hijos míos, para destruir la raza humana. Ganad el tiempo para salvar
vuestras almas y para ayudar a los pobres y necesitados.
¡Qué
pena y qué falta de fe tienen los hombres! Dicen que quieren construir
cosas nuevas para hacer el bien a la Humanidad, y lo que hacen es destruir
esta Humanidad que Dios creó para que participasen de su divinidad.
Todo lo quieren cambiar, hija mía. No ven los pecados donde el pecado
existe, ni la virtud; porque Dios, para ellos, no existe; porque se forman
un Dios a su manera y a su antojo; si no, su soberbia no les llevaría
tan lejos, hija mía.
Vivid el
Evangelio, hijos míos, y caminad por el camino de la salvación.
Amaos como hermanos y dejaos conducir y escuchad mis palabras, hijos míos.
Será tremendo el caos que puede venir sobre la Humanidad. Orad todos
juntos y pedid unos por otros, que reine la caridad entre todos.
Y tú,
hija mía, no te angusties porque los hombres no tengan entrañas
para hablar; piensa que los míos no la tuvieron para mí.
¡Cómo va a ser más el discípulo que el Maestro,
hija mía! No tengas ningún remordimiento, hija mía,
porque tú has luchado para criar a tus hijos, trabajando con el
sudor de tu frente, para sacarlos adelante, hija mía. Te he probado
desde muy niña, y te he enseñado el sufrimiento y el dolor.
Nada te puede afectar ahora, hija mía, ni las palabras ni las calumnias
de los seres sin entrañas, porque sólo un ser sin corazón
puede escribir esas palabras. Por eso te digo, hija mía, que ya
estás acostumbrada a sufrir; luego que no te quede ninguna herida
en el corazón por esa crueldad de los hombres. Tú has dicho
a los hombres las palabras que yo te he comunicado, y sigue repitiéndolas,
hija mía, porque, ¡ay, madres, repito, que introducís
a vuestros hijos en los placeres del mundo para darles libertinaje! ¿Qué
va a ser de vosotras? Y ¡ay, padres, que no los sabéis educar
en el santo temor de Dios!; y que no tenéis excusa, porque muchos
de vosotros no podéis luego excusaros de que no teníais tiempo,
de que teníais que trabajar. No, hijos míos, preferís
que vuestros hijos se pierdan en el mundo, estudiando grandes carreras,
y se os olvida lo más importante: la palabra de Dios, hijos míos.
Tú,
hija mía: nadie te enseñó la palabra y te di un marido
enfermo y siete hijos para mi gloria, y tuviste, hija mía, que trabajar
mucho para sacar a tus hijos adelante. Si entre ellos siempre hay una oveja
que se desvía..., pero tú no te encuentres responsable, hija
mía, porque tú has estado pendiente de ellos, y no hagas
caso a las palabras crueles de esas almas sin corazón. No seas tan
sensible; sé fuerte. La santidad no es débil, tiene que tener
fortaleza para aceptar todo lo que venga de la mano de Dios y de los hombres.
Yo lo permito, hija mía. ¡Y piensa que Satanás destruye,
no construye, hija mía!; y tú intentas construir, no destruir.
Todo está claro, hija mía, y todo se puede ver a la luz;
pero a veces, donde menos te figuras, hija mía, hay un judas que
te vende y te traiciona.
Orad mucho,
hijos míos, y pide por esas almas tan necesitadas de la gracia.
Yo doy la gracia, hija mía, pero mira lo que hacen con ella: pisotearla
muchas almas. Yo amo a los que son fieles, pero rechazo la infidelidad
de las almas. Amo la nobleza y rechazo los dobleces. El alma que tiene
dobleces, hija mía, no tiene limpieza de corazón, siempre
tendrá discordias y guerras fuera y dentro de sus hogares. ¿No
he dado bastante, hija mía? Pero, ¿cuántas almas tenían
que estar día y noche, de rodillas, dando gracias por tantas gracias
que se les ha dado? Y mira qué reacciones tienen ante la corrección,
ante las palabras y ante la verdad. Yo odio la hipocresía; los soberbios
y los que no son limpios de corazón los desprecio, porque son hipócritas
fariseos. ¿Quién me vendió a mí, hija mía?
El que más cerca estaba. ¿Cuáles fueron los que me
llamaban Belcebú y se asustaban porque...? (Luz Amparo expresa admiración).
Sí, mira esas escenas, hija mía; porque hacía la caridad
en sábados. Mira qué insultos...; mira, hija mía,
lo que yo recibí. La caridad no tiene día: todos los días
son buenos para aplicar la caridad.
Hija mía,
sabes que todo el que ama a Dios con todo su corazón es perseguido
y calumniado. Refúgiate en nuestros Corazones y no desfallezcas,
sino con aliento de águila, hija mía, un día darás
un vuelo muy alto donde te encuentres con tu Creador. Vale la pena sufrir,
porque son los que te siembran el camino de la salvación. Te pido
mucha humildad, hija mía, y mucha fortaleza, pues sabes que tu felicidad
no está aquí abajo; está arriba, hija mía.
LA VIRGEN:
Acudid a
este lugar, hijos míos, que recibiréis gracias muy especiales
para vuestra salvación. ¡Qué ingratos sois aquéllos
que habéis recibido gracias para salvar las almas de vuestros seres
queridos, y no sabéis corresponder a la gracia! ¡Qué
pena me dais, hijos míos! Amaos como hermanos y estad unidos siempre
en el amor, como Cristo vino a enseñar a los hombres.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantas y tantas ofensas
como se cometen contra Dios el Creador...
Levantad
todos los objetos; todos los objetos serán bendecidos para la conversión
de los pobres pecadores...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
(1) “Creadores” de destrucciones;
es decir, “hacedores” de destrucción, debido al mal uso de la inteligencia
y sabiduría, que utilizan para provocar el mal.
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6 juillet 1996
Notre Seigneur : Mes enfants, Je
veux que vous apparteniez tous au même troupeau. Moi, le Fondateur
de mon Eglise, J’ai institué le Sacrement avec mon Corps et mon
Sang pour que vous, tous les hommes, vous ayez la vie éternelle,
mes enfants. Je vous ai laissé aussi des prêtres, mes enfants,
pour qu’ils vous instruisent dans cette vie temporelle. Je vous ai laissé
des sources divines afin que vous vous y abreuviez, et que vous receviez
l’onction des grâces qui coulent de ces sources : ainsi tout votre
être sera oint de la grâce divine. Comme il y a peu d’ouvriers,
mes enfants, et comme la moisson est abondante !
Les hommes, ma fille, ont converti
le monde en destruction et en corruption. Combien de fois la Divine Majesté
de Dieu doit-Elle avertir les mortels ! Mais les hommes se bouchent les
oreilles, et les péchés sont de plus en plus grands. Les
hommes sont ingrats, ma fille. Ah, quelle cruauté ! Le spectacle
de ma Croix leur est indifférent. Ils s’enfoncent de plus en plus
dans les plaisirs et dans les vices. En quoi ont-ils converti cette humanité,
ma fille ! Ah, ma fille, Je te le répète souvent, ils se
comportent davantage comme des bêtes féroces que comme des
êtres humains. L’homme ne cesse de commettre des crimes, la mère
ne cesse de tuer ses propres enfants dans ses entrailles. Jusqu’où,
jusqu’où allez-vous donc arriver, mes enfants !
Dans le monde il n’y a pas d’amour.
L’amour, on le convertit en passion. Ah, ingrats, regardez vos péchés
: ils sont la cause de la mort d’un Dieu. Oui, mes enfants, J’ai donné
ma vie pour les hommes. J’ai répandu mon sang pour qu’ils aient
la vie éternelle. Qu’avez-vous fait, mes enfants, de ma Passion
et de ma Mort : mépris, moquerie. Jusqu’à quel degré
l’homme est-il capable de se comporter comme une bête féroce
? L’homme n’a pas de regrets, ma fille. C’est pour cela qu’il agit de cette
manière. Et Dieu a disparu des foyers ma fille, de la majorité
des couvents, et beaucoup veulent me chasser de mon Eglise. Mais c’est
Moi qui l’ai fondée, et personne ne pourra m’en chasser. Leur ingratitude
est de plus en plus grande. Les hommes, mes enfants, n’ont pas, ou ne veulent
pas avoir, la notion du péché.
La Très Sainte Vierge : Pauvres
âmes, comme mon Cœur est triste en voyant que les hommes s’enfoncent
de plus en plus dans le péché de la chair. Les impuretés
offensent beaucoup mon Cœur. Ah, mes enfants, vous ne donnez pas d’importance
au péché de la chair. Mais regarde, ma fille, comme on porte
en triomphe le roi de la luxure (Amparo pleure). Oui, ma fille, les hommes
avec les hommes, les femmes avec les femmes, l’homme ne distingue plus
le sexe, ma fille, çà lui est égal : nous sommes en
train d’arriver à la situation de Sodome et Gomorrhe. Combien les
péchés de la chair offensent mon Cœur Immaculé, ma
fille ! Mon Cœur est attristé parce que presque personne ne donne
d’importance à ce péché si grave, ma fille. Regarde
comme à partir de ce péché Satan les conduit aux autres
péchés, ma fille (elle pleure).
Priez, mes enfants, et faites pénitence.
Et vous, les parents, occupez-vous de vos enfants . Et que vos enfants
soient gardés dans vos foyers, mes enfants. Ne voyez-vous pas que
Satan veut entraîner la jeunesse à la perdition ? (Le démon
s’est déjà emparé de la plus grande partie du monde).
Il les entraîne vers l’alcool, les drogues, les plaisirs de la chair,
ma fille. Ils sont tièdes, et il les a plongés dans une sorte
de léthargie. C’est ainsi que l’homme a perdu la lumière,
il est aveugle et ne peut voir la beauté de Dieu. Convertissez-vous
et repentez-vous, mes enfants, et n’offensez plus Dieu qui est très
gravement offensé et n’enfoncez plus d’épines dans mon Cœur
Immaculé.
Le péché d’impureté
offense beaucoup mon Cœur, mes enfants.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant de péchés d’impureté que l’on commet
(elle pleure). C’est ainsi qu’est le monde, ma fille, dans les ténèbres,
parce que mon Fils est la Lumière, et Je suis Celle qui a apporté
la Lumière au monde. Pauvres pécheurs, ma fille. Les hommes
ne font cas ni de l’Evangile, ne de mes messages. Les hommes sont vides,
parce qu’ils n’ont pas Dieu, ma fille. Les couples ne s’aiment pas
d’un amour sincère et vrai ; dans la majorité d’entre eux,
il y a de l’égoïsme. Les familles se détruisent à
cause de ce manque d’amour qu’il y a dans les foyers, ma fille.
Prie beaucoup, ma fille. Ne te laisse
pas affliger par la diffamation ni par la calomnie. Celui qui creuse sa
fosse y tombera, ma fille. Et si quelqu’un te frappe de l’épée,
celle-ci retournera dans son cœur. Je ferai en sorte qu’ils boivent de
la même amertume, ma fille. Répare et prie.
Occupe-toi des pauvres pécheurs,
et que rien ne t’afflige, ma fille.
Je suis la Consolation des affligés.
Ne te sépare jamais de mon Cœur.
Sois humble, avec l’humilité
tu obtiendras tout.
Accourez en ce lieu, car beaucoup
d’entre vous avez été marqués du Sceau de l’Esprit
Saint, mes enfants. Ne perdez pas ce sceau, car Satan est là pour
détruire.
Approchez-vous du sacrement de la
confession, mes enfants, et de l’Eucharistie. Aimez beaucoup l’Eglise,
aimez-la de tout votre cœur, et aimez Dieu votre Créateur, avec
vos cinq sens et de toutes vos forces, mes enfants. Vous tous qui êtes
persécutés et calomniés, vous aurez un jour une récompense
dans l’Eternité. Ecartez-vous de ceux qui vous flattent, ceux-là
ne vous ouvrent pas le chemin du salut, mes enfants. Si Moi Je suis avec
vous, pourquoi avez-vous peur ?
Amparo : :Ah, ma Mère, pardonne-moi,
car je suis souvent très impatiente. Je ne suis pas humble, ma Mère.
Rends-moi humble. Je me mets en colère quand on me diffame ou quand
on me calomnie. Je veux éprouver de la joie quand tout cela m’arrive.
Aide-moi, ma Mère.
La Très Sainte Vierge : Ma
fille, que ton cœur ne s’attriste pas. Mon Fils a été diffamé,
calomnié et persécuté. Que rien ne te trouble, ma
fille. Réfugie-toi dans nos Cœurs. Tu vas enlever trois épines
de mon Cœur. Tu vois comme cela vaut la peine de souffrir, ma fille. Oui,
la souffrance et la douleur ont une grande valeur. Comme les hommes l’ont
oublié ! Ceci va te réjouir, ma fille (Luz Amparo extrait
à trois reprises, avec l’index et le pouce de la main droite, une
épine du Cœur de la Vierge, et la laisse tomber). Tu vas écrire
cinq noms dans le Livre de la Vie ; également en récompense
de la douleur et de la souffrance. (Luz Amparo prend de la même façon
quelque chose en l’air, elle écrit chaque nom d’un seul trait de
droite à gauche, puis laisse l’objet qui lui a servi à écrire).
Ces noms ne s’effaceront jamais, ma fille.
Je demande sacrifice, pénitence
et prière. Aimez-vous les uns les autres. Et n’ayez pas honte, mes
enfants, d’appartenir à cette Œuvre.
Aujourd’hui, c’est une bénédiction
spéciale de l’Esprit Saint sur tous les objets pour la conversion
des pauvres pécheurs. Levez tous les objets… Ils ont tous été
bénis d’une bénédiction très spéciale.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 6 DE JULIO
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hijos míos,
quiero que todos pertenezcáis al mismo rebaño. Yo, Fundador
de mi Iglesia, instituí el Sacramento con mi Cuerpo y mi Sangre,
para que todos los hombres tuvieseis vida eterna, hijos míos. También
os dejé, hijos míos, unos sacerdotes para que os instruyan
en la vida temporal. Os dejé manantiales divinos, para que el hombre
se acerque a ellos y se unja con las gracias que hay en esos manantiales
y todo su ser quedará ungido de la gracia divina. ¡Qué
pocos operarios hay, hijos míos, y cuánta mies!
Los hombres,
hija mía, han convertido el mundo en destrucción y en corrupción.
¡Cuántas veces la Divina Majestad de Dios tiene que avisar
a los mortales!; pero los hombres cierran sus oídos, y los pecados,
cada día, son mayores. Los hombres son ingratos, hija mía.
¡Qué crueldad, no les importa el espectáculo de mi
Cruz!; cada día se meten más en los placeres y en los vicios.
¿En qué han convertido, hija mía, esta Humanidad?
Más que seres humanos, hija mía —te lo repito muchas veces—,
actúan como fieras. El hombre no deja de cometer crímenes;
la madre de matar a sus propios hijos dentro de sus entrañas. ¿Hasta
dónde, hijos míos, hasta dónde vais a llegar?
En el mundo
no hay amor. El amor lo convierten en pasión. ¡Ay, ingratos,
mirad: vuestros pecados son la causa de la muerte de todo un Dios! Sí,
hijos míos, yo di mi vida por los hombres, derramé mi Sangre
para que ellos tuvieran vida eterna. ¿Qué habéis hecho,
hijos míos, de mi pasión y de mi muerte?: desprecio, mofa.
¡Hasta dónde el hombre es capaz de comportarse como una fiera!
El hombre no tiene sentimientos, hija mía, por eso actúa
de esta manera; y es que Dios ha desaparecido, hija mía, de los
hogares, de la mayoría de los conventos. Y muchos me quieren echar
de mi Iglesia; pero yo fui el Fundador de ella y nadie podrá echarme.
Su ingratitud es, cada día, mayor. Los hombres no tienen o no quieren
tener noción del pecado, hijos míos.
LA VIRGEN:
¡Pobres
almas! ¡Qué triste está mi Corazón viendo que
los hombres, cada día, hija mía, se introducen más
en el pecado de la carne!; las impurezas ofenden mucho mi Corazón.
¡Ay, hijos míos, no le dais importancia al pecado de la carne,
pero mira, hija mía, cómo el rey de la lujuria lo lleva en
triunfo!... Sí, hija mía, los hombres con los hombres, las
mujeres con las mujeres; ya el hombre no distingue el sexo, hija mía,
le da igual, estamos llegando como Sodoma y Gomorra. ¡Cuánto
ofenden mi Corazón Inmaculado los pecados de la carne, hija mía!
Mi Corazón está entristecido porque casi nadie le da importancia
a ese pecado tan grave, hija mía. Mira, desde ese pecado dónde
los conduce Satanás a los demás pecados, hija mía...
Orad, hijos
míos y haced penitencia. Y los padres, ocupaos de vuestros hijos.
Y que vuestros hijos estén recogidos en vuestros hogares, hijos
míos. ¿No veis que Satanás quiere arrastrar a la juventud
a la perdición —la mayor parte del mundo, el demonio se ha apoderado
ya de ella—, al alcohol, a las drogas, a los placeres de la carne, hija
mía? Están tibios, los ha dejado aletargados; por eso el
hombre se ha quedado sin luz, está ciego y no puede ver la belleza
de Dios. Convertíos y arrepentíos, hijos míos, y no
ofendáis más a Dios, que está muy gravemente ofendido,
y no clavéis más espinas en mi Inmaculado Corazón.
El pecado de impureza ofende mucho mi Corazón, hijos míos.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen de impureza... Así está el mundo, hija mía:
en tinieblas, porque mi Hijo es la Luz y yo soy la que trajo la Luz al
mundo. Pobres pecadores, hija mía. No hacen caso los hombres ni
al Evangelio ni a mis palabras. Los hombres están vacíos
porque no tienen a Dios, hija mía. Los matrimonios, hija mía,
no se aman con amor sincero y verdadero; la mayoría existe un egoísmo
entre ellos. Las familias se destruyen por esa falta de amor que hay en
las casas, hija mía. Ora mucho, hija mía, y no te angustie
la difamación ni la calumnia. El que abre su fosa, en ella caerá,
hija mía. El que te clave una espada, en su corazón revertirá.
Yo haré que beban de la misma amargura, hija mía. Repara
y ora. Ocúpate de los pobres pecadores y nada te angustie, hija
mía. Yo soy el consuelo de los afligidos. Nunca te separes de mi
Corazón, hija mía. Sé humilde, con humildad conseguirás
todo.
Acudid a
este lugar que muchos de vosotros habéis sido sellados con el sello
del Espíritu Santo, hijos míos, no lo perdáis, que
Satanás está para destruir. Acercaos al sacramento de la
Confesión, hijos míos, y de la Eucaristía. Amad mucho
a la Iglesia; amadla con todo vuestro corazón y amad a Dios, vuestro
Creador, con vuestros cinco sentidos y con todas vuestras fuerzas, hijos
míos. Todos los que sois perseguidos y calumniados, un día
tendréis una recompensa en la eternidad. Retiraos de los que os
halaguen; aquéllos no os siembran el camino de la salvación,
hijos míos. Si yo estoy con vosotros, ¿por qué teméis?
LUZ AMPARO:
¡Ay,
Madre mía!, perdóname, que muchas veces soy muy impaciente,
no soy humilde, Madre mía; hazme humilde. Y me enojo cuando me difaman
o cuando me calumnian. Yo quiero sentir alegría cuando me pase todo
eso. Ayúdame, Madre mía.
LA VIRGEN:
Hija mía,
no se entristezca tu corazón. Mi Hijo fue difamado y calumniado
y perseguido. Nada te turbe, hija mía. Refúgiate en nuestros
Corazones. Vas a quitar tres espinas de él. ¿Ves cómo
vale la pena el sufrimiento y el dolor, hija mía? Claro que tiene
valor. ¿Cómo los hombres lo han olvidado? Esto te alegrará,
hija mía... Vas a escribir cinco nombres en el Libro de la Vida;
también en premio al dolor y al sufrimiento... Estos nombres no
se borrarán jamás, hija mía.
Sacrificio
y penitencia pido, oración. Amaos los unos a los otros, y no os
avergoncéis, hijos míos, de pertenecer a esta Obra.
Hoy es una
bendición especial del Espíritu Santo a todos los objetos
para la conversión de los pobres pecadores. Levantad todos los objetos...
Todos han sido bendecidos con una bendición muy especial.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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3 août 1996
Notre Seigneur : Oui, ma fille ,
Je suis Celui qui souffre. Je suis le Tout-Puissant. Je suis Celui qui
donne la vie. Je suis le Verbe Divin, à qui mon Père a donné
des attributs, pour enseigner la Parole aux hommes. J’ai revêtu les
vêtements des hommes pour devenir leur ami, pour être ami des
hommes, consolateur des affligés donneur de vie. Je suis la Lumière,
celui qui souffre, mais qui ne s’en va pas parce qu’il souffre ; Je suis
toujours présent, ma fille. Je suis resté ici jusqu’à
la fin des siècles, pour communiquer aux hommes que Je suis le centre
de leur vie, que Je suis la Lumière qui les éclaire. Mais
eux, ils s’obstinent à chercher les ténèbres, mes
enfants.
C’est ainsi, ma fille, que J’ai
abandonné le Ciel pour tout leur donner, et comme ils Me méprisent
! L’homme M’a oublié, il a perdu la raison et, en perdant la raison,
ma fille, il s’est plongé dans les ténèbres, où
il ne voit pas la lumière et il est dans l’obscurité, ma
fille. Je suis venu pour faire jaillir des sources divines et cristallines,
afin de purifier leur âme, et eux s’abreuvent dans les mares polluées
de la terre. Je suis venu, et Je suis devenu Pasteur pour rassembler mes
ouailles, pour réunir mon troupeau, et J’ai envoyé mes pasteurs
pour en prendre soin. Je les ai autorisés à me prendre dans
leurs mains, dans le Sacrement de l’Eucharistie, pour alimenter les hommes
et les fortifier. Mais l’homme, qu’a-t-il fait de tout cela, ma fille ?
Il ne cherche que spectacles, plaisirs, vanités.
L’homme a perdu la grâce,
et, en demeurant sans la grâce, ma fille, il ne trouve pas Dieu.
Voilà pourquoi Dieu ne règne pas dans les familles, ni dans
les couvents, ni dans les nations ; parce que l’homme ne pense qu’à
l’homme. L’homme pense à lui-même, à ses affaires.
Aujourd’hui l’homme n’est pas un chrétien, c’est un salarié.
L’homme n’a pas la paix, parce qu’il ne cherche pas Dieu ; il recherche
les affaires, la création d’entreprises. Regarde, ma fille, comme
ils vont par monts et par vaux, ils ont perdu la raison. C’est pourquoi,
en perdant la raison, l’homme ne cherche pas Dieu, il se cherche lui-même.
Ah ! hommes de peu de foi, comment ne pouvez-vous penser que le Créateur,
qui se trouve au-dessus de toutes les créatures, veille sur vous
et vous appelle, les bras ouverts, mes enfants ! Mais vous, de la miséricorde
de Dieu, vous en avez fait un péché ; parce que, mes enfants,
ma miséricorde Je l’ai employée pour vous. Comment, mes enfants,
n’avez-vous pas pitié de mon pauvre Cœur, qui a abandonné
sa Patrie céleste pour s’unir à la vôtre et pour vivre
avec vous, afin qu’un jour, vous soyez tous près de Moi ! Je suis
le Verbe fait chair, et Je suis resté pour vous instruire. Mais
vous avez oublié, mes enfants, que Je suis descendu sur la terre
et que Je vous ai laissé un Evangile écrit pour votre sanctification,
et que Je ne suis pas descendu pour jouir, mes enfants. Je suis descendu
pour souffrir en devenant homme…
Luz Amparo : Ah, ah ! mon Dieu !
Notre Seigneur : … dans les entrailles
d’une vierge. Je n’ai eu aucun collègue ni aucun maître, mes
enfants, car J’étais le Maître de tous les hommes, et Je vous
l’ai prouvé, en vous laissant par écrit des Lois afin que
vous marchiez sur des chemins droits et sûrs. Et Je vous ai dit et
Je vous dis : Venez à Moi vous tous qui êtes chargés
et accablés, car Je vous soulagerai. Mais vous ne voulez même
pas accepter ma miséricorde, mes enfants. Comme vous voulez déformer
la miséricorde de Dieu, mes enfants ! Avec votre incrédulité,
avec votre manque de foi, jusqu’où allez-vous arriver !
Ah ! créatures corrompues,
qui ne voulez pas laver vos péchés à la source de
la vie ! Malheur à vous, qui êtes souillés et qui voulez
montrer à l’extérieur que vous êtes propres et sans
tache ! Ne savez-vous pas que vous trompez les hommes, mais que vous ne
pouvez pas tromper Dieu, mes enfants ? Purifiez-vous et laissez les mares
bourbeuses ; lavez-vous dans les sources divines, que J’ai laissées
pour vous tous. L’homme a perdu la foi, et sans foi, il est devenu aveugle.
Ah ! pasteurs de mon Eglise, travaillez,
car vous avez beaucoup de troupeaux à réunir ! Et ne perdez
pas de temps dans les futilités, mes enfants, et ne soyez pas si
matérialisés. Vivez pour les pauvres et avec les pauvres,
réunissez tous les pécheurs, mes enfants, et occupez-vous
de leurs âmes. Ne perdez pas de temps à accumuler pour vous-mêmes,
car chacun travaille pour soi et oublie ceux qui souffrent et qui sont
éprouvés. Malheur à vous, mes enfants, qui avez dévié
de la route, jusqu’à quand pensez-vous que l’on va vous donner des
avertissements ! Ma coupe est pleine, mes enfants, et Je me retiens de
vous faire entendre le tonnerre.
Approchez-vous des sacrements mais
avec la résolution de vous corriger, mes enfants. Faites pénitence,
faites oraison, mes enfants. Venez en ce lieu, mes enfants,, car vos fronts
seront marqués du Sceau, et votre faiblesse s’en trouvera fortifiée.
Mais il n’y aura plus d’excuses, mes enfants ; parce qu’il n’y aura plus
de paroles, plus de conseils ; on ne vous répétera plus de
vivre l’Evangile, on ne répétera plus aux prêtres qu’ils
se consacrent à leurs ministères et qu’ils se retirent du
monde où ils sont contaminés par les impuretés… Ah
! pasteurs de mon Eglise, quel bien vous pourriez faire aux âmes,
si tous ensemble vous vous occupiez de toutes ces ouailles perdues qu’il
y a sur la terre !
La Très Sainte Vierge : Quelle
tristesse éprouvent nos Cœurs, parce que le monde marche de plus
en plus vers la corruption, vers le désastre ! L’homme marche sans
Dieu, et, sans Dieu, il ne marchera pas sur le droit chemin. Priez et approchez-vous
des sacrements, mes enfants.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour les pauvres pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 3 DE AGOSTO
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Sí,
hija mía, yo soy el que sufre. Yo soy el Omnipotente. Yo soy el
dador, el que da la vida. Yo soy el Verbo Divino, al cual mi Padre me dio
“atríbutos”(1), atributos para enseñar a los hombres la palabra.
Yo me arropé con el ropaje de los hombres para hacerme amigo de
ellos, para ser amigo de los hombres, consolador de los afligidos, dador
de vida. Yo soy la Luz, el que sufre, pero no se va porque sufre; siempre
estoy presente, hija mía. Aquí me quedé hasta el fin
de los siglos, para comunicar a los hombres que soy el centro de su vida,
que soy la Luz que los alumbra; pero ellos se empeñan en buscar
la tiniebla, hijos míos.
Así,
hija mía, dejé el Cielo para darles todo y cómo me
desprecian. El hombre se ha olvidado de mí, ha perdido la razón,
y al perder la razón, hija mía, se ha metido en la tiniebla,
donde no ve la luz y está a oscuras, hija mía. Yo vine a
poner manantiales divinos y cristalinos para limpiar su alma, y ellos beben
en charcos contaminados de la tierra. Yo vine, y me hice pastor para recoger
mi grey, para reunir mi rebaño, y mandé a mis pastores para
que se ocupasen de él. Yo les dejé que me condujesen en sus
manos, en el sacramento de la Eucaristía, para alimentar a los hombres
y fortalecerlos; pero el hombre ¿qué ha hecho de todo esto,
hija mía?; no busca nada más que espectáculo, placer,
vanidad.
El hombre
se ha quedado sin gracia, y, al quedarse sin gracia, hija mía, no
encuentra a Dios; por eso Dios no reina en las familias, en los conventos,
en las naciones; porque el hombre no piensa nada más que en el hombre.
El hombre piensa en sí mismo, en sus negocios. El hombre hoy no
es un cristiano, es un asalariado. El hombre no tiene paz, porque no busca
a Dios; busca negociar, busca montar empresas. Mira, hija mía, cómo
van de acá para allá, han perdido la razón; por eso,
al perder la razón, el hombre no busca a Dios, se busca a sí
mismo. ¡Ay, hombres de poca fe, ¿cómo podéis
pensar que el Creador, que está por encima de todas las creaturas,
os está vigilando y con los brazos extendidos os llama(2), hijos
míos?! Pero vosotros habéis hecho, de la misericordia de
Dios, pecado; porque, hijos míos, mi misericordia la empleé
para vosotros. ¿Cómo, hijos míos, no tenéis
compasión de mi pobre Corazón, que abandonó su patria
para juntarse a la vuestra y para vivir con vosotros, para que un día
todos estuvieseis junto a mí? Yo soy la Palabra hecha carne y me
quedé para enseñaros, y habéis olvidado, hijos míos,
que bajé a la Tierra y os dejé un Evangelio escrito para
vuestra santificación; y no bajé a gozar, hijos míos;
bajé a sufrir al hacerme hombre...
LUZ AMPARO:
¡Ay,
ay, Dios mío!
EL SEÑOR:
...en las
entrañas de una Virgen. No tuve ningún colegio, ni ningún
maestro, hijos míos, pues yo era el Maestro de todos los hombres
y así os demostré, dejándoos escrito unas leyes para
que caminaseis por caminos rectos y seguros. Y os digo y os dije: “Venid
a mí todos los que estáis cargados y agobiados, que yo os
aliviaré”; pero ni mi misericordia, hijos míos, queréis
aceptarla. ¿Cómo queréis deformar la misericordia
de Dios, hijos míos? Con vuestra incredulidad, con vuestra falta
de fe, ¿hasta dónde vais a llegar?
¡Ay,
criaturas corruptas, que no queréis lavar vuestros pecados en la
fuente de la Vida! ¡Ay de vosotros, que andáis sucios y queréis
hacer ver en el exterior que estáis sin mancha y limpios! ¿No
sabéis que a los hombres los engañáis, pero que a
Dios no lo podéis engañar, hijos míos? Lavaos y dejad
los charcos cenagosos y lavaos en las fuentes divinas, que yo dejé
para todos vosotros. El hombre ha perdido la fe y, sin fe, se ha quedado
ciego.
¡Ay,
pastores de mi Iglesia, trabajad, que tenéis muchos rebaños
que reunir! Y no perdáis el tiempo en cosas vanas, hijos míos,
y no estéis tan materializados. Vivid para los pobres y con los
pobres, y reunid a todos los pecadores, hijos míos, y ocupaos de
sus almas. No perdáis el tiempo en acumular para vosotros, porque
cada uno trabaja para sí mismo sin acordarse de los que sufren y
de los que padecen. ¡Ay de vosotros, hijos míos, que habéis
torcido el camino, ¿hasta cuándo pensáis que se os
va a estar dando avisos?! Mi copa está llena, hijos míos,
y estoy sosteniendo que oigáis el trueno.
Acercaos
a los sacramentos, pero con propósito de enmienda, hijos míos.
Haced penitencia, haced oración, hijos míos. Acudid a este
lugar, que vuestras frentes quedarán selladas y vuestra debilidad
quedará fortalecida. Pero no habrá más excusas, hijos
míos; porque más palabras, más consejos y más
repetición de que viváis el Evangelio, de que los sacerdotes
se dediquen a sus ministerios y se retiren del mundo, donde son contagiados
de impurezas... ¡Ay, pastores de mi Iglesia, cuánto bien podríais
hacer a las almas, si todos juntos os dedicaseis a toda esa grey que hay
por ahí perdida!
LA VIRGEN:
¡Qué
tristeza sienten nuestros Corazones, porque el mundo camina cada día
mas hacia la corrupción, hacia el desastre! El hombre camina sin
Dios, y, sin Dios, no andará por el camino derecho. Orad y acercaos
a los sacramentos, hijos míos.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para los pobres pecadores...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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7 septembre 1996
Notre Seigneur : Ma fille, c’est
Moi qui viens aujourd’hui pour te consoler. [La voyante Luz Amparo a eu
la douleur de perdre le dernier de ses enfants, Jesús.] Tu as si
souvent consolé mon Cœur, ma fille, que Je veux aujourd’hui consoler
le tien. Tu sais que Je t’ai laissé la Croix à nu, ma fille.
Je te l’ai dit dans le dernier message : « Tu restes avec la Croix,
ma fille. Je te l’ai laissée pour que tu la portes, que tu la reçoives
d’un Crucifié. Il te manquait de participer à ma Passion,
avec ma Mère et avec Moi. Cette douleur… Cette douleur elle aussi
a été consommée, ma fille. Tu sais ce que ressent
une mère au pied d’une croix.
La Très Sainte Vierge : Ton
fils est dans un lieu sûr. Tu sais que Je te l’avais promis, que
Je prendrais son âme. Je te montrerai bientôt le lieu si beau
où il se trouve.
Luz Amparo (elle sanglote) : Ah
! ma Mère ! Ah ! ma Mère ! Ah !
La Très Sainte Vierge : Oui,
ma fille, cette peine, Je l’ai ressentie Moi aussi. Les hommes ne le comprennent
pas (Amparo sanglote). Une chose est que ton esprit se réjouisse,
et une autre chose est que tu aies de la peine, ma fille. A Moi, Dieu ne
M’a pas épargné la peine. Je l’ai endurée moi aussi
au pied de la Croix (elle sanglote). Mais c’est Moi qui l’ai pris, et il
est sous ma protection, ma fille. Ne pense jamais que ton fils ait pu aller
dans quelque lieu de ténèbres, ma fille (elle sanglote).
Jesús Barderas : Maman, maman
! Je suis plus en sûreté que sur la terre, maman. Ce n’est
qu’un exil, j’ai compris en arrivant ici, maman. J’ai cru en tout, maman,
mais j’ai été faible, et j’ai été entouré
de beaucoup de démons qui ne me lâchaient pas. C’est ainsi
qu’est la terre, maman, remplie de démons qui empêchent les
hommes de suivre le chemin de Dieu. Ne souffre pas, tu as été
une bonne mère. Ne souffrez pas pour moi (elle sanglote). Je suis
dans un endroit très beau, et je veux que vous l’atteigniez vous
aussi. Montrez à la petite [le défunt pense ici à
son unique fille, Rebecca, âgée d’environ 7 ans] le chemin
de ce salut ; qu’elle n’ait pas un chemin sans retour, qu’elle ait un chemin
de salut et de gloire. Ah ! quel bonheur on éprouve ! Les angoisses
et les tourments ont disparu. Ne souffre pas, maman. Merci à tous
ceux qui ont fait une prière pour mon âme. Mais Marie a été
près de moi et Elle a pris mon âme avant qu’elle ne tombe
; Elle l’a enlevée du dedans de moi-même. Ne souffre pas,
maman, ne souffrez pas pour moi. Soyez contents, car je suis arrivé
en un lieu beau et sûr. Luttez pour y parvenir vous aussi. L’angoisse
s’est changée en tranquillité et bonheur. Ici j’ai apaisement
et joie, ici où se trouvent les anges et tous ceux qui ont souffert.
Priez pour tous ceux qui n’ont personne
qui prie pour eux. Il y a beaucoup d’âmes pour lesquelles personne
ne prie. Partagez mes prières pour ces pauvres âmes. Quand
vous prierez pour moi, implorez pour elles. Tranquillisez-vous. Un jour,
maman, tu verras où je suis, tu verras quel endroit splendide. Adieu,
maman, adieu, mes êtres chers.
La Très Sainte Vierge : Comment
pouvais-tu penser, ma fille, que J’allais abandonner ta souffrance, ta
douleur et toutes les âmes qui sont parvenues en ce lieu grâce
à ta prière, à ton sacrifice ? Comment allais-Je permettre
qu’une âme si aimée de toi… Avant que cela n’arrive, Je t’avais
dit, ma fille, que son âme ne subirait aucun dommage, même
si son corps était atteint.
Amparo : Merci, mon Dieu, merci
! même si j’éprouve de la peine dans mon âme. Mais,
merci.
La Très Sainte Vierge : Seul
cet exil vous sépare, ma fille, mais cet exil sera court.
Je demande à tous les hommes
de se maintenir forts dans la foi. Et que tous ceux qui sont séparés
et ont eu la foi s’unissent de nouveau au lien de la foi. Ayez une foi
ferme, mes enfants, et une charité ardente.
Bénissez mon Nom, mes enfants,
Je bénirai les lèvres de tous ceux qui béniront mon
Nom. Soyez de bons chrétiens, mes enfants, n’en ayez pas seulement
l’apparence. Beaucoup d’entre vous fréquentent l’Eglise corporellement,
mais pas avec leur cœur. Mes enfants, ceux qui ne sont présents
à l’Eglise qu’avec leur corps sont liés à Satan ;
il les a trompés et il les conduit sur le chemin de la perdition
et du mensonge. Je veux que vous soyez liés à l’Eglise avec
votre corps et avec votre cœur. Bénissez mon Nom, mes enfants. Que
tous les habitants de la terre bénissent mon Nom. Prêchez
l’Evangile, mes enfants.
Notre Seigneur : Ah ! mes prêtres
bien aimés, qui ne vous consacrez pas à inculquer aux âmes
à vivre dans la grâce et à mettre mes lois en pratique
! Comme la moisson est abondante, et quelle tiédeur est la vôtre,
mes enfants, pour beaucoup d’entre vous ! Réveillez-vous de cette
léthargie, et travaillez pour les âmes, mes enfants. Ne vous
consacrez pas seulement à la fonction qui est la vôtre dans
le monde, car le monde a un poison, et celui qui y entre, le démon
ne le laisse pas échapper. Mes enfants, soyez les pasteurs de toutes
ces âmes qui sont perdues ; récupérez-les et conduisez-les
aux sources d’eau vive. Quelle souffrance, mes enfants : mes temples sont
fermés pendant le jour, et mes prêtres sont davantage des
fonctionnaires dans le monde que des pasteurs de mon Eglise ! Je veux que
vous rassembliez toutes ces âmes qui sont séparées
du troupeau et que vous les rameniez au troupeau, car il n’y a qu’un seul
troupeau avec un seul pasteur qui est le successeur de Pierre.
Enseignez à toutes les églises
et à toutes les religions à s’unir à vous, mes enfants,
car l’Eglise a été fondée par Jésus-Christ,
et c’est Pierre qui en est devenu le représentant. Que tous s’unissent
à la Chaire de Pierre. Qu’ils viennent de n’importe où, du
Nord, du Sud, de l’Est, de l’Ouest, tous seront reçus dans l’Eglise.
Mais qu’ils ne restent pas dans leur erreur, ma fille. Regarde comme Luther
a trompé des foules et des foules d’âmes, et regarde où
il les a entraînées…
Amparo : Ah ! Ah ! mon Dieu ! Ah
! mon Dieu ! Mon Dieu, mon Dieu ! Ah ! mon Dieu ! Ah ! combien ! Ah ! combien
! Toutes se sont laissées entraîner par lui ! Hélas
! Hélas !
Notre Seigneur : Ah ! pasteurs de
mon Eglise, soyez fermes et forts, car il y a beaucoup de travail dans
l’Eglise ! Travaillez et ne restez pas dans la tiédeur, car celui
qui est tiède n’a pas de force, et il ne travaille pas pour Dieu.
Il travaille pour le monde, pour ses goûts et ses plaisirs. Soyez
fermes, pasteurs, nos Cœurs vous aiment ! Reprenez le chemin de votre ministère,
avec fermeté et avec force ! Enseignez aux âmes la vérité,
mes enfants.
Les hommes vivent dans le mensonge,
ils effacent la moitié de l’Evangile. Il faut enseigner aux hommes
la vérité de l’Evangile. Ne soyez pas lâches, mes enfants.
Abandonnez le Monde, abandonnez la chair, les passions, et que chacun de
vous vive dans la grâce ; et vous ne vous convertissez pas, vous
ne vous convertissez pas comme Sodome et Gomorrhe, comme la Rome païenne.
Ah ! mes enfants, c’est bien pour cela que mon Evangile dit que beaucoup
seront appelés et peu seront élus. Vous adorez l’homme
et vous outragez Dieu.
Soyez de bons chrétiens,
mes enfants, formez une communauté comme les bons chrétiens.
Si vous pensiez un petit peu, mes enfants, que votre temps sur terre est
passager, qu’il y a une éternité, et qui vaut plus que le
temps… Mes enfants, soyez fermes, et unissez-vous à ces branches
car c’est ici qu’est la racine, ici où J’ai demandé que se
forme une communauté et que l’on aime les pauvres et les nécessiteux.
Priez et faites de l’apostolat, mais n’oubliez pas l’Oeuvre envers le nécessiteux.
La parole sans l’œuvre ne sert à rien devant Dieu, mes enfants.
Priez, faites pénitence, et aimez-vous les uns les autres. Dans
le monde il y a un manque d’amour : c’est ce qui détruit l’humanité.
L’amour qu’ont les hommes est égoïste, il est passionnel. L’amour
de Dieu n’est pas passion, il est dévouement envers les autres sans
rien attendre en retour, mes enfants. Soyez forts et venez en ce lieu,
vous y serez tous bénis et marqués du Sceau, car le démon
lui aussi est en train de marquer les fronts de son sceau.
La Très Sainte Vierge : Attention,
mes enfants, il y a beaucoup de faux voyants, qui vous disent que vous
êtes déjà sauvés, que vous êtes choisis.
Pour entrer au Ciel, il faut partir de la terre avec un chèque de
sacrifices et de douleur, et la douleur s’achèvera à la porte
du ciel. Des tas et des tas de croix restent à la porte pour entrer
dans la Gloire de la Résurrection. Ayez une charité ardente,
mes enfants, aimez-vous les uns les autres, et ne vous attachez pas aux
choses, à l’argent, aux héritages, mes enfants. Combien disent
aimer Dieu, et ils gardent leurs héritages dans leurs greniers pour
le lendemain. Vous ne pensez pas où est venu naître et mourir
le Christ. C’est ainsi qu’est le bon chrétien : il vit comme vécut
le Christ. Il ne peut pas s’appeler chrétien, celui qui pense à
lui-même et au lendemain, et ne se souvient pas de celui qui souffre
et de celui qui est dans le besoin. Priez pour les pauvres pécheurs,
mes enfants, priez pour eux.
Et toi, ma fille, console-toi, pense
qu’un jour pas très éloigné tu viendras, et tu seras
avec lui et avec les autres bienheureux. Vous tous qui souffrez pour lui,
priez et implorez pour ces pauvres âmes qui n’ont personne qui souffre
et qui prie pour elles.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant de péchés que l’on commet dans le monde.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales.
Et Moi Je vous bénis, mes
enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire
du Fils et avec l’Esprit-Saint.
MENSAJE DEL DÍA 7 DE SEPTIEMBRE
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía,
hoy vengo a consolarte yo. Tantas veces me has consolado mi Corazón,
que hoy quiero consolar el tuyo, hija mía. Sabes que te dejé
la cruz al desnudo, hija mía; en el último mensaje te lo
dije: “Te quedas con la cruz, hija mía”; te la dejé para
revestirla, revestirla de un crucificado. Te faltaba participar en mi Pasión
con mi Madre y conmigo ese dolor. Ya se ha consumado ese dolor también,
hija mía. Ya sabes lo que siente una madre al pie de una cruz.
LA VIRGEN:
Tu hijo
está en un lugar seguro; sabes que te lo prometí: que su
alma la cogería. Dentro de poco te enseñaré en el
lugar tan bello que está.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
ay, Madre mía! ¡Ay, Madre mía!, ¡ay!
LA VIRGEN:
Sí,
hija mía, la pena también la sufrí yo. Los hombres
no lo comprenden. Una cosa es que se alegre tu espíritu y otra cosa
es que tengas pena, hija mía. A mí no me evitó Dios
la pena, también la pasé al pie de la Cruz. Pero lo he cogido
yo y está bajo mi tutela, hija mía. No pienses nunca que
tu hijo ha podido ir a ningún lugar tenebroso, hija mía.
JESÚS
BARDERAS:
¡Mamá,
mamá! Estoy más seguro que en la Tierra, mamá. Es
un destierro solamente; he comprendido al llegar aquí, mamá.
He creído, mamá, en todo, pero he sido débil y he
estado rodeado de muchos demonios que no me dejaban, ni uno ni otro. Así
está la Tierra, mamá, llena de demonios que no dejan a los
hombres seguir el camino de Dios. No sufras, has sido una buena madre.
No sufráis por mí; estoy en un lugar muy bello, y quiero
que lo alcancéis vosotros también. Enseñad a la niña
el camino de esta salvación; que no tenga un camino sin retorno,
que tenga un camino de salvación y de gloria. ¡Ay, qué
felicidad se siente! Ya se me han ido las angustias y los tormentos. No
sufras, mamá. Gracias a todos los que han rezado una oración
por mi alma. Pero María estuvo conmigo y la cogió antes de
caer; Ella la sacó de dentro de mí. No sufras, mamá,
ni sufráis por mí. Estad contentos, que he llegado a un lugar
bello y seguro. Luchad vosotros para llegar a él también.
La angustia se me ha convertido en tranquilidad y felicidad. Aquí
tengo sosiego y alegría. Aquí, a donde están los ángeles
y todos los que han sufrido. Rezad por todos lo que no tienen quien rece.
Hay muchas almas que no reza nadie una oración por ellos. Partid
mis oraciones para estas pobres almas. Cuando recéis por mí,
pedid por ellas. Tranquilizaos. Mamá, un día verás
dónde estoy, qué lugar más bello. Adiós, mamá;
adiós, seres queridos míos.
LA VIRGEN:
¿Cómo
pensabas, hija mía, que yo iba a abandonar tu sufrimiento, tu dolor
y todas las almas que han llegado a este lugar gracias a tu oración,
a tu sacrificio? ¿Cómo iba yo a permitir que un alma tan
querida tuya...? Ya te lo dije, hija mía, antes de suceder: que
su alma no sería dañada, aunque fuese dañado su cuerpo.
LUZ AMPARO:
¡Gracias,
Dios mío, gracias! Aunque sienta la pena en mi alma, pero gracias.
LA VIRGEN:
Sólo
os separa el destierro este, hija mía, pero será corto este
destierro. Pido a todos los hombres que se conserven en la fe fuertes,
y todos aquéllos que están separados y han tenido fe, que
vuelvan a unirse al vínculo de la fe. Tened una fe firme, hijos
míos, y una caridad ardiente. Bendecid mi nombre, hijos míos,
que todo el que bendiga mi nombre serán bendecidos sus labios. Sed
buenos cristianos, no sólo, hijos míos, aparentéis
serlo. Muchos frecuentáis la iglesia en cuerpo, pero no lo frecuentáis
en corazón. Hijos míos, aquéllos que sólo frecuentan
la iglesia en cuerpo están unidos a Satanás; los ha engañado
y los conduce por el camino de la perdición y de la mentira. Yo
quiero que estéis unidos en cuerpo y corazón. Bendecid mi
nombre, hijos míos. Todos los habitantes de la Tierra, que bendigan
mi nombre. Predicad el Evangelio, hijos míos.
EL SEÑOR:
¡Ay,
sacerdotes míos, queridos, que no os dedicáis a inculcar
a las almas a vivir en la gracia y a cumplir mis leyes! ¡Cuánta
mies hay para recoger, y qué tibieza tenéis, hijos míos,
muchos de vosotros! Despertad de ese letargo y trabajad por las almas,
hijos míos. No os dediquéis sólo a la función
del mundo, que el mundo tiene un veneno que, el que entra en él,
el demonio no le deja escapar. Hijos míos, sed pastores de todas
esas almas que están perdidas; recuperadlas y llevadlas a las fuentes
de agua viva. ¡Qué pena, hijos míos, que mis templos
están cerrados todo el día y mis sacerdotes se dedican más
a funcionar en el mundo que a ser pastores de mi Iglesia! Quiero que reunáis
a todas esas almas que están separadas del rebaño y las unáis
al rebaño, que hay un solo rebaño con un solo pastor, que
es el sucesor de Pedro.
Enseñadles
a todas las iglesias y a todas las religiones que se unan a vosotros, hijos
míos, pues la Iglesia fue fundada por Jesucristo, y fue Pedro el
que se quedó como representante de ella. Que todos se unan a la
Cátedra de Pedro. Que vengan de donde vengan: del Norte, del Sur,
del Este, del Oeste, todos serán recibidos en ella; pero que no
se queden engañados, hija mía. Mira, cómo Lutero engañó
a montones y montones de almas, y mira dónde las arrastró.
LUZ AMPARO:
¡Ay!
¡Ay, Dios mío...! (Así, repetidas veces se lamenta).
¡Ay, cuántas!, ¡ay, cuántas!
EL SEÑOR:
Todas se
dejaron arrastrar por él. ¡Ay, pastores de mi Iglesia, sed
firmes y fuertes, que hay mucho trabajo en ella! Trabajad y no os quedéis
tibios, que el tibio se queda sin fuerza y no trabaja para Dios, trabaja
para el mundo, para sus gustos y sus placeres. Sed firmes, pastores, que
nuestros Corazones os aman; volved al camino de vuestro ministerio, con
firmeza y con fortaleza, enseñad a las almas la verdad, hijos míos.
Los hombres viven en la mentira; se comen la mitad del Evangelio. A los
hombres hay que enseñarles la verdad del Evangelio. No seáis
cobardes, hijos míos; dejad el mundo, dejad la carne, las pasiones,
y cada uno vivid en gracia y no convirtáis ni os convirtáis
como en Sodoma y Gomorra, como la Roma pagana. ¡Ay, hijos míos,
por eso dice mi Evangelio que muchos serán los llamados y pocos
los escogidos! Adoráis al hombre, y ultrajáis a Dios.
Sed buenos
cristianos, hijos míos, formad comunidad como buenos cristianos.
Si pensarais un poquito, hijos míos, que es temporal lo que estáis
en la Tierra, que hay una eternidad y que vale más que el tiempo.
Hijos míos, sed firmes y uníos a estas ramas, hijos míos,
que aquí está la raíz; donde he pedido que se forme
comunidad y se ame a los pobres y necesitados. Haced oración y apostolado,
pero no olvidéis la obra hacia el necesitado; la palabra sin obra
no sirve ante Dios, hijos míos. Orad, haced penitencia y amaos los
unos a los otros. En el mundo hay una falta de amor, que es lo que destruye
a la Humanidad. El amor que tienen los hombres es egoísta, es pasional.
El amor de Dios no es pasión, es entrega hacia los demás,
sin esperar a cambio nada, hijos míos. Sed fuertes, y acudid a este
lugar, que todos seréis bendecidos y sellados, pues el demonio está
sellando frentes.
LA VIRGEN:
Cuidado,
hijos míos, que hay muchos videntes falsos que os dicen que ya estáis
salvados, que sois escogidos. Para entrar en el Cielo hay que ir de la
Tierra con un cheque de sacrificios y de dolor, y el dolor se acabará
en la puerta del Cielo. Montones y montones de cruces se quedan en la puerta
para entrar a la Gloria de la Resurrección. Tened caridad ardiente
y amaos unos a otros, y no os apeguéis a las cosas, al dinero, a
las herencias, hijos míos. Cuántos dicen amar a Dios y están
guardando en los graneros sus herencias para el mañana. No pensáis
dónde vino Cristo a nacer y a morir. Así es el buen cristiano:
viviendo como vivió Cristo. No puede llamarse cristiano aquél
que piensa en sí mismo y en el mañana y no se acuerda del
que sufra y del que padece. Orad por los pobres pecadores, hijos míos;
rezad por ellos.
Y tú,
hija mía, consuélate; piensa que un día no lejano
vendrás y estarás con él y con los demás bienaventurados.
Todos los que sufrís por él, rezad y orad por esas pobres
almas que no tienen quien sufra ni quien ore por ellas.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en el mundo...
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales...
Yo os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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5 octobre 1996
Notre Seigneur : Ma fille, Je sais
que tu souffres toujours. Je vis dans ton cœur. Pense, ma fille,
que tu es ici non pas pour jouir, mais pour souffrir et collaborer avec
moi. Quand Je me suis manifesté devant toi, ma fille, quelle réponse
as-tu donnée à mes paroles, quand tu disais : « Je
ne peux le supporter, qu’est-ce que c’est ? qu’est-ce que c’est ? quelle
est cette douleur si immense ? ». Ma réponse fut, ma fille
: « C’est la Passion du Christ ». Je t’ai demandé :
« L’acceptes-tu, ma fille ? », et tu m’as répondu :
« Je ne sais pas, Seigneur, avec ton aide, je le supporterai. »
Eh bien, ma fille, comme tu m’as répondu, Je t’ai dit : «
Avec ta douleur on peut sauver un grand nombre d’âmes ». Et
tu m’as dit encore : « Seigneur, aide-moi ». Eh bien, pour
t’aider, ma fille, et pour que tu m’aides, Je dois te modeler et te donner
des épreuves, ma fille. Cette fois l’épreuve a été
plus forte. Cette fois ce fut un chemin de douleur et d’amertume. Mais,
ma fille, quand Je t’ai offert la Croix, Je t’ai dit que la Croix était
très douloureuse : sur elle J’ai racheté le monde. Eh bien,
c’est ainsi que Je modèle les âmes : avec des épreuves.
D’abord Je les frappe doucement, pour les habituer aux coups durs. Celle-ci
est l’épreuve la plus grande que tu aies subie, ma fille. Mais Satan
n’a pas pu réaliser ses plans. Satan, Je l’ai réduit en cendres,
et à la fin, nous avons triomphé. En effet, cette douleur
et cette angoisse, je sais que c’est très dur de te le dire, ma
fille, mais c’est la rédemption et le salut de ton fils. Ta douleur
est plus aiguë que celle d’autres mères, ma fille, parce que
J’ai perfectionné ton amour. Il n’est pas défiguré,
c’est pourquoi ta souffrance est plus forte, et ton angoisse plus profonde.
Mais moi aussi J’ai ressenti la douleur de ma Mère.
La Très Sainte Vierge : Oui,
ma fille, mon Cœur a été transpercé de douleur, quand
on a déposé mon Fils dans mes bras, déchiré,
ensanglanté. Mon Cœur a été transpercé par
une souffrance d’une telle intensité, ma fille, qu’elle n’a pas
duré seulement ce jour-là, mais qu’elle m’est restée
pour toute la vie. Voilà pourquoi je suis la Vierge des Douleurs,
ma fille.
Je ne comprends pas comment les
mères peuvent tuer leurs enfants dans leurs entrailles, comment
les mères peuvent repousser cet être qu’elles alimentent de
leur propre sang. Oui, ma fille, c’est une douleur immense qu’éprouve
ton cœur, mais sache, ma fille, que pour obtenir du bon fruit, il faut
fertiliser la terre avec la douleur, avec les sacrifices, et l’arroser
avec des larmes. C’est ce qui m’arriva quand mourut mon Fils. De mes yeux
les larmes jaillissaient en abondance, et J’en arrosai la terre, afin que
les hommes sachent comprendre la douleur de mon Cœur, et la raison pour
laquelle mon Fils est venu dans le monde : pour les racheter. Mais que
font les hommes ? Ils oublient la douleur, la Croix, la Passion, la souffrance.
Voici la plus grande douleur : les hommes ne se comportent pas comme des
êtres humains, parfois ils se comportent comme des fauves, ma fille,
parce qu’un être humain ne devrait pas être capable de répandre
le sang d’un autre être humain. Regarde, ma fille, regarde quelle
douleur.
Luz Amparo : (elle pleure amèrement)
Ah ! mon fils ! Ah !quelle cruauté !
La Très Sainte Vierge : Je
ne veux pas t’éviter cette douleur que J’ai éprouvée
moi aussi, ma fille, mais Je veux sceller tes lèvres. Que ce soit
la Divine Justice de Dieu qui les juge.
(Luz Amparo continue à sangloter
avec affliction).
La Très Sainte Vierge : Ma
fille, scelle tes lèvres jusqu’à la mort, Dieu les jugera…
(Luz Amparo pleure avec de profonds
et douloureux gémissements devant la scène de la mort de
son fils).
Jesús Barderas : Maman, j’ai
beaucoup souffert, mais ce ne furent que quelques secondes. Regarde où
je suis : avec la Reine du Ciel, une Dame tendre, très tendre, qui
m’a pris sous sa protection et m’a secouru, bien que j’aie participé
aussi à la douleur et à l’amertume, mais pardonne-leur, maman.
C’est maintenant que j’ai compris l’incompréhension des hommes…
(Luz Amparo continue à pousser des gémissements entrecoupés).
Maintenant, maman, j’ai vu que le fait de suivre Dieu a coûté
la vie à beaucoup. Une vengeance terrible, maman, par le seul fait
que j’étais ton fils. Mais regarde, quelle joie et quel bonheur
! Je suis entre les mains de la Dame la plus belle, la Reine du Ciel et
de la terre, entouré de sa tendresse. Regarde quel lieu, maman,
regarde.
Ne souffrez pas à cause de
moi, parce que cette Dame si belle dont tu parlais si souvent m’a compris,
et mon âme a été dans ses mains, comme dans les mains
de mon Créateur. Ici je comprends tout, maman, je comprends les
mystères que je n’ai pas compris sur la terre. Et je vous comprends
vous tous aussi (de nouveau, sanglots de Luz Amparo). Bien que tu pleures
mon absence, un jour nous serons tous réunis. Je suis très
heureux. Je n’ai plus à fuir la persécution, maman, ni l’incompréhension
des hommes. Ici on a su me comprendre, et les hommes ne continueront plus
à me tourmenter et à me mépriser. Même si les
hommes ne le croient pas, combien… (exclamations d’admiration d’Amparo).
La Très Sainte Vierge : Regarde,
ma fille, combien d’âmes peuvent être sauvées par la
prière, la pénitence et le sacrifice.
Jesús Barderas : Priez pour
elles, maman. Beaucoup de pauvres petites âmes n’ont personne qui
fasse la moindre prière pour elles. Priez ! Regarde, maman, voici
mes véritables amis, mes véritables frères, et non
tous ces démons qui entourent le globe terrestre.
Luz Amparo : (qui pousse des cris
d’admiration) Ah ! mon fils ! Ah ! quelle beauté ! Ah ! la beauté
de l’âme !
Jesús Barderas : Je suis
passé par un lieu un peu ténébreux, mais pourtant,
malgré mes fautes et les offenses que j’ai commises contre mon Créateur,
le Tout-Puissant est si miséricordieux qu’il m’a sauvé, en
considération du fait que tu sauves tant d’âmes…, ces nombreuses
âmes que tu reconnaîtras ici…
Oui, certaines ont la mission de
consoler, la mission d’anges consolateurs. Regarde cette sœur, comme elle
est belle, elle fut aussi mon ange consolateur dans ces moments (exclamations
d’Amparo), regarde tant et tant d’anges qui se trouvent ici ! Regarde,
dans tout ce lieu, à côté de cette grande Dame. Sacrifiez-vous,
et mettez en pratique les Commandements, pratiquez les Sacrements, et un
jour nous nous réunirons tous. C’est ici que se trouve le vrai bonheur,
et non sur la terre où tout a été angoisse, persécution,
tristesse, mépris ; mais cette tendre Dame, avec ces mains pures
et belles, regarde, comme elle oint ma tête (exclamations d’Amparo).
On m’emporte déjà dans ce lieu si beau…
Luz Amparo : Mon fils !
Jesús Barderas : J’intercéderai
pour vous tous (on entend les gémissements de Luz Amparo). Soyez
forts et aimez beaucoup le Créateur.
La Très Sainte Vierge : Croyez,
mes enfants, croyez en la Divine Majesté de Dieu.
Jesús Barderas : Et vous
tous, mes frères, ne soyez pas tristes, soyez joyeux, bien que l’absence
soit toujours triste ; mais de quelle grande douleur j’ai été
libéré !
Je suis ici, maman (Luz Amparo continue
à pleurer). Priez pour toutes ces âmes à qui ne parvient
même pas une petite prière, afin qu’elles arrivent elles aussi
dans ce lieu. Merci à vous tous qui priez pour moi, j’intercéderai
aussi pour ceux qui en ont besoin. Adieu, maman ! Adieu, mes frères
!
Amparo : Ah ! comme c’est beau,
mon Dieu !Ah ! quelle grandeur ! Ah, mon Dieu, quand vas-tu m’emporter
moi aussi, mon Dieu ! Quand ! Ah ! Il me reste beaucoup de temps ici, Seigneur
? Ah ! quelle joie, Seigneur ! Ah ! Mais je ferai ta Volonté, garde-moi
ici le temps que tu voudras, si je peux ainsi sauver des âmes. Je
suis si misérable et si peu de chose. Seigneur, que ta Volonté
soit faite !
La Très Sainte Vierge : Ma
fille, quelle grande corruption il y a dans le monde !Les hommes ne croient
pas en Dieu, et ceux qui disent croire sont en train de se refroidir. Si
les hommes ne tournent pas leur regard vers Dieu leur Créateur !…
Ils ne veulent pas entendre parler de châtiments, ils ne veulent
pas entendre parler de catastrophes, mais pourtant ils ne donnent pas d’importance
au péché, et le péché se répand et gonfle
comme le levain (Exclamation d’effroi d’Amparo). Tous ceux qui viendront
dans ce lieu recevront des grâces très spéciales pour
leur salut.
Notre Seigneur : Oui, mes enfants,
vous êtes dépourvu de doctrine, d’une doctrine véritable.
Pasteurs de mon Eglise, Je vous demande, et toi, ma fille, crie-le, même
s’ils font la sourde oreille, Je vous demande de prêcher la doctrine
avec la vérité de l’Evangile, car les âmes en ont un
grand besoin, elles ont soif de ce qu’on leur parle des vérités
du Christ. Car Dieu est maintenant très miséricordieux à
l’égard de l’humanité, mais d’un moment à l’autre
peut se déchaîner une grande catastrophe, où les bons,
qui s’appellent bons, mourront avec les mauvais, parce que les bons ne
sont pas si bons, et les mauvais ne veulent pas être bons.
Formez des communautés, où
Dieu règne, malgré vos défauts, mes enfants, et malgré
vos faiblesses. Aimez-vous les uns les autres, et vivez comme de bons chrétiens.
Aimez-vous les uns les autres, et vivez comme de bons chrétiens.
Aimez l’Eglise, aimez le Vicaire du Christ, et abreuvez-vous aux sources
qu’il y a dans l’Eglise, et laissez-vous oindre par l’Esprit-Saint. Beaucoup
n’ont même pas eu cette grâce de recevoir l’onction du baptême.
Sots que vous êtes, que deviendrez-vous
le jour où vous arriverez devant la Divine Majesté de Dieu
! Ni les pleurs ni les lamentations ne vous serviront ! Priez, mes enfants,
maintenant ! Abandonnez la chair et vivez l’Evangile, et ne soyez pas égoïstes
ni avares, mes enfants. Beaucoup d’entre vous ne vivent que pour eux-mêmes,
vous ne vivez pas pour les autres.
Prêtres des villes et villages,
prêchez l’Evangile, et vivez comme des prêtres, à votre
ministère, en conquérant les âmes pour le Royaume du
Christ. Les temps approchent, et vous, vous n’y faites pas attention, mes
enfants. Il va vous arriver ce qui est arrivé au temps du déluge
; les hommes de ce temps-là ne faisaient pas cas des avertissements
, et la Justice que Dieu appliqua sur eux les prit par surprise.
Le commandement de l’amour est très
important, mes enfants. Ne pensez pas seulement à vous et aux vôtres.
Pensez à ceux qui souffrent, à ceux qui ont faim, aux persécutés,
aux malades. Pratiquez les œuvres de miséricorde. Et vous tous qui
venez en ce lieu, vous recevrez des bénédictions très
spéciales, mes enfants, pour le salut de votre âme.
Et toi, ma fille, si tu as envie
de gémir, gémis, ne sois pas oppressée ; et que les
hommes ne s’effraient pas à cause de tes pleurs, parce que Moi aussi,
J’ai pleuré, et ma Mère a pleuré.
Rendez-vous compte de la cruauté
de ces mères qui empêchent la vie de l’être humain pour
rechercher le plaisir, elles ne recherchent pas la procréation pour
Dieu. Et de ces autres mères qui tuent leurs enfants dans leurs
entrailles, si l’on peut dire que ce sont des mères seulement parce
qu’elles sont nées pour la maternité. Mais qu’elles sont
cruelles, et quelle perversité il y a dans le monde !…
La Très Sainte Vierge : Baise
le sol, ma fille, à cause de tant et tant de péchés
que l’on commet dans l’humanité.
Levez tous les objets, ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour votre pauvre âme et pour les âmes des pauvres pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 5 DE OCTUBRE
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía,
ya sé que tu dolor sigue vivo en tu corazón. Piensa, hija
mía, que estás aquí para sufrir, no para gozar, sino
para colaborar conmigo. Cuando yo me manifesté ante ti, hija mía,
¿qué respuesta diste a mis palabras?, cuando decías:
“No lo puedo soportar, ¿qué es esto, qué es esto,
este dolor tan inmenso?”. Mi respuesta fue, hija mía: “Esto es la
Pasión de Cristo”. Y te pregunté: “¿La aceptas, hija
mía?”; y tú me respondiste: “No sé, Señor,
con tu ayuda lo soportaré”. Pues así, hija mía, como
tú me respondiste a mí, yo te dije, hija mía: “Con
tu dolor se puede salvar un número de almas”. Y tú me respondiste:
“Señor, ayúdame”. Pues para ayudarte, hija mía, y
para que tú me ayudes a mí, tengo que ir modelándote
y dándote golpes, hija mía. Esta vez el golpe ha sido más
duro. Esta vez ha sido un camino de dolor y de amargura, pero, hija mía,
cuando te ofrecí la cruz, te dije que la Cruz era muy dolorosa porque
en ella redimí yo al mundo. Pues así es como modelo a las
almas, con golpes. Primero las voy de... golpeando despacito, para acostumbrarlas
a los golpes duros. Este es el mayor golpe que has sentido, hija mía,
pero Satanás no ha podido cumplir sus planes. A Satanás lo
he reducido a cenizas, y, al fin, hemos triunfado; porque, hija mía,
este dolor y esta angustia —sé que es muy duro, hija mía,
decírtelo—, pero es la redención y la salvación de
tu hijo, hija mía. Tu dolor es más agudo que el de otras
madres, hija mía, porque yo he perfeccionado tu amor, no está
desfigurado; por eso tu dolor es más fuerte, y tu angustia más
profunda; pero yo también sentí el dolor de mi Madre.
LA VIRGEN:
Sí,
hija mía, mi Corazón se traspasó de dolor cuando en
mis brazos pusieron a mi Hijo, desgarrado, ensangrentado. Mi Corazón
se traspasó por un dolor tan inmenso, hija mía, que no sólo
me duró ese día, sino que me quedó para toda la vida;
por eso soy la Virgen Dolorosa, hija mía. No comprendo cómo
las madres pueden matar a sus hijos dentro de sus entrañas; cómo
las madres pueden rechazar a ese ser que lo alimentan de su propia sangre.
Sí, hija mía, es un dolor inmenso el que siente tu corazón;
pero, hija mía, para sacar buen fruto, hay que abonar la tierra
con dolor, con sacrificios, y regarla con lágrimas. Así me
quedé yo cuando murió mi Hijo. De mis ojos brotaban las lágrimas
en abundancia y regué la tierra, para que los hombres supiesen entender
el dolor de mi Corazón y a lo que vino mi Hijo al mundo: a redimirlos;
pero ¿qué hacen los hombres? Se olvidan del dolor, de la
Cruz, de la Pasión, del sufrimiento. Ése es el mayor dolor:
que los hombres no se comportan como seres humanos; a veces, se comportan
como fieras, hija mía, porque un ser humano no es capaz de derramar
la sangre de otro ser humano. Mira, hija mía, mira qué dolor.
LUZ AMPARO:
(Luz Amparo
llora amargamente). ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay...! ¡Ay, hijo
mío! ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay, qué crueles...! ¡Ay!
¡Ay! ¡Ay...!
LA VIRGEN:
No quiero
evitarte ese dolor que pasé yo también, hija mía,
pero quiero sellar tus labios y que sea la divina justicia de Dios la que
los juzgue.
Hija mía,
sella tus labios hasta la muerte; Dios los juzgará...
(Luz Amparo
llora con profundos y dolorosos gemidos ante las escenas de la muerte de
su hijo).
JESÚS
BARDERAS:
Mamá,
sufrí mucho, pero fueron segundos. Mira dónde estoy: entre
la Reina del Cielo, una Señora tierna, muy tierna, que me cogió
bajo su amparo, y me protegió, aunque participé también
del dolor y de la amargura; pero perdónalos, mamá. Ahora
es cuando he conocido la incomprensión de los hombres... Ahora,
mamá, el seguir a Dios les ha costado a muchos la vida. Una venganza
terrible, mamá, por el sólo hecho de ser tu hijo; pero mira
qué gozo y qué felicidad. Estoy entre la ternura y las manos
de la Señora más bella, la Reina del Cielo y de la Tierra.
Mira qué lugar, mamá, mira.
No sufráis
por mí, porque esta Señora tan bella, que tantas veces tú
hablabas, mamá, me ha comprendido, y mi alma ha estado en sus manos
como en las manos de mi Creador. Aquí lo comprendo todo, mamá,
los misterios que no comprendía en la Tierra; y a todos os comprendo
también; aunque llores mi ausencia, un día todos estaremos
juntos. Soy muy feliz. Ya no huyo de la persecución, mamá,
ni de la incomprensión de los hombres. Aquí me han sabido
comprender y entender, y los hombres no seguirán atormentándome
ni despreciándome. Aunque los hombres no lo crean.
LA VIRGEN:
¡Cuántas...!
¡Ay!, mira hija mía, cuántas almas se pueden salvar
por la oración y por la penitencia y el sacrificio.
JESÚS
BARDERAS:
Pedid por
ellas, mamá. Muchos pobrecitos no tienen quién rece ni una
oración pequeña por ellos; pedid. Mira, mamá, éstos
son mis verdaderos amigos, mis verdaderos hermanos, no todos los demonios
que rodean el globo terrestre.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
hijo mío!, ¡ay! ¡Ay, qué belleza! ¡Ay!
LA VIRGEN:
¡La
belleza del alma!
JESÚS
BARDERAS:
He pasado
por un lugar un poco tenebroso, pero, sin embargo, más eran mis
culpas y las ofensas que cometí contra mi Creador; pero el Todopoderoso
es tan misericordioso que, por el hecho de salvar tú tantas almas...;
que muchas las reconocerás aquí.
Sí,
unas tienen la misión de consolar, de ángeles consoladores.
Mira esta hermana, qué bella; también fue mi ángel
consolador en esos momentos. Y tantos y tantos ángeles como hay;
mira, en todo este lugar, al lado de esta gran Señora.
Sacrificaos
y cumplid con los mandamientos, practicad los sacramentos, y un día
nos juntaremos todos; y aquí está la verdadera felicidad,
no en la Tierra, donde todo ha sido angustia, persecución, tristeza,
desprecios; pero esta tierna Señora, con estas manos puras y bellas,
mira, cómo unge mi cabeza. Ya me llevan a este bello lugar.
LUZ AMPARO:
¡Hijo
mío, ay!...
JESÚS
BARDERAS:
Yo intercederé
por todos vosotros. Sed fuertes y amad mucho al Creador.
LA VIRGEN:
Creed, hijos
míos, creed en la Divina Majestad de Dios.
JESÚS
BARDERAS:
Y vosotros
todos, hermanos, no estéis tristes, estad alegres, aunque la ausencia
siempre es triste; pero ¡de cuánto dolor me he liberado!
Aquí
estoy, mamá. Orad por todas esas almas que no les llega ni una oracioncita,
para que lleguen a este lugar. Gracias por todos los que rezáis
por mí, porque yo aplicaré también mi comunicación
hacia los que lo necesitan. ¡Adiós, mamá! ¡Adiós,
hermanos!
LUZ AMPARO:
¡Ay,
cómo sube, Dios mío, qué grandeza! ¡Ay, qué
grandeza! ¡Ay, Dios mío!, ¿cuándo me vas a llevar
a mí, Dios mío, cuándo? ¡Ay!, ¿me queda
mucho, Señor? ¡Ay, ay, qué gozo Señor! ¡Ay...!
Pero yo haré tu voluntad; tenme aquí hasta que quieras, si
con ello puedo salvar almas. ¡Soy tan miserable y tan poca cosa!
¡Señor, que se haga tu voluntad!
LA VIRGEN:
Hija mía,
¡cuánta corrupción hay en el mundo!; los hombres no
creen en Dios, y los que dicen creer se están enfriando, ¡Como
los hombres no vuelvan la vista hacia Dios su Creador!... No quieren oír
de castigos, no quieren oír de catástrofes, pero, sin embargo,
el pecado no le dan importancia, y el pecado se extiende y aumenta como
la levadura.
A todos
los que llegan a este lugar, recibirán gracias muy especiales para
su salvación.
EL SEÑOR:
Sí,
hijos míos, estáis faltos de doctrina, de una doctrina verdadera.
¡Pastores
de mi Iglesia, os pido —y grítalo, hija mía, aunque se hagan
los sordos—: que prediquen la doctrina con la verdad del Evangelio! Que
las almas están necesitadas, están sedientas de que se les
hable las verdades de Cristo. Que Dios está siendo muy misericordioso
con la Humanidad, pero puede desencadenarse, de un momento a otro, una
gran catástrofe, donde los buenos, que se llaman buenos, morirán
junto a los malos; porque ni son tan buenos los buenos, ni los malos quieren
ser buenos.
Formad comunidades,
donde Dios reina; con defectos, hijos míos, y con flaquezas. Amaos
unos a otros y vivid como buenos cristianos. Amad a la Iglesia, amad al
Vicario de Cristo y bebed de las fuentes que hay en la Iglesia, y dejaos
ungir por el Espíritu Santo, que muchos ni siquiera han recibido
esa gracia de ser ungidos por el Bautismo. ¡Torpes!, pero ¿qué
va a ser de vosotros el día que lleguéis ante la Divina Majestad
de Dios? Ni llanto ni lamentos servirán. Orad, hijos míos,
ahora. Dejad la carne y vivid el Evangelio, y no seáis egoístas
y avaros, hijos míos; que muchos no vivís nada más
que para vosotros mismos, no vivís para los demás.
¡Sacerdotes
de los pueblos: predicad el Evangelio y vivid como sacerdotes en vuestro
ministerio, conquistando a las almas para el Reino de Cristo! Los tiempos
se aproximan, y vosotros no hacéis caso, hijos míos; os va
a pasar como en los tiempos del Diluvio, que no hacían caso y les
pilló sorprendidos la justicia que Dios aplicó sobre ellos.
El mandamiento
del amor es muy importante, hijos míos; no penséis sólo
en vosotros y en los vuestros, pensad en los que sufren, en los que tienen
hambre, en los perseguidos, en los enfermos; practicad las obras de misericordia.
Todos los que acudáis a este lugar recibiréis bendiciones
muy especiales, hijos míos, para la salvación de vuestra
alma.
Y tú,
hija mía, si tienes ganas de gemir, gime, no te oprimas; y los hombres
que no se asusten por tu llanto, porque yo lloré y mi Madre lloró.
Hay que
darse cuenta de esas madres crueles, que evitan la vida del ser humano
y muchas buscan el placer, no buscan el procrear para Dios; y de esas otras
madres que matan a sus hijos en sus entrañas, si se puede decir
que son madres, porque han nacido de tales. Pero, ¡qué crueles
y qué perversidad hay en el mundo!
LA VIRGEN:
Besa el
suelo, hija mía, por tantos y tantos pecados como se cometen en
la Humanidad...
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para vuestra pobre alma y las almas de los pobres pecadores...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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2 novembre 1996
La Très Sainte Vierge : Mes
enfants, Je viens aujourd’hui comme Mère de tous les pécheurs,
comme Reine de tous les affligés. Je porte aujourd’hui un manteau
d’or, et de ce manteau sortiront des rayons de lumière qui vont
recouvrir la terre. Je suis la Mère de tous ceux qui souffrent,
et mon Cœur les aime. Regarde, ma fille, comme Je vais aujourd’hui dans
ce lieu : avec mon manteau, elles vont s’envoler vers la patrie céleste.
Amparo : Oh ! Oh ! Combien d’âmes
quittent aujourd’hui ce lieu pour la béatitude ! Oh ! Elles entrent
au ciel en foule ! Oh ! combien sortent de ce lieu !
La Très Sainte Vierge : Aujourd’hui
il est accordé aux âmes le privilège d’arriver ici
devant les bienheureux. Mais J’ai dû souvent les consoler, parce
qu’elles étaient affligées, au cours de la purification de
leurs fautes. Aujourd’hui elles sont dans la joie auprès de la Divine
Majesté. Je suis la Mère de ceux qui souffrent, la Mère
de tous les pécheurs. Venez à Moi, Je vous conduirai à
mon Fils, et J’intercéderai auprès de Lui pour qu’Il pardonne
vos fautes. Je suis la Mère du Divin Rédempteur.
Le gouvernail de Pierre a été
laissé entre mes mains, car Je suis la Mère de l’Eglise,
et Je veux réunir tout le troupeau pour qu’il aime l’Eglise, et
pour que se convertissent tant et tant de pécheurs qui offensent
la Divine Majesté de Dieu. Je répandrai aujourd’hui des grâces
spéciales pour ces pauvres pécheurs.
Notre Seigneur : Oui, ma fille,
que les guides du peuple se consacrent à bien prêcher ma Parole.
Pasteurs de mon Eglise, que votre cœur soit au ciel, qu’il ne soit pas
dans le monde, parce que, pour beaucoup d’entre vous, mes enfants, tandis
que vous vous consacrez au monde, Moi Je suis méconnu, outragé
et méprisé. En tant que pasteur, le prêtre a la mission
de protéger son troupeau, d’examiner où est la lumière,
de ne pas la cacher, mais de réfléchir sur tout, de retenir
ce qui est bon, et de donner le témoignage de la vérité.
Or beaucoup d’entre vous cachent la vérité et ont le mensonge
sur leurs lèvres pour faire du tort là où Moi Je répands
tant de grâces. Malheur à vous, qui censurez les paroles de
l’Evangile et qui lui ajoutez ce que vous voulez ! Comme beaucoup d’entre
vous peuvent déformer l’Evangile ! Lors de ma résurrection,
Je suis descendu aux enfers. Comment pouvez-vous cacher aux hommes
que l’enfer existe ? Vous avez lu dans l’Evangile les nombreuses répétitions
des mots « enfer » et « châtiment ». Dieu
châtie les mauvais et Il récompense les bons. Sinon, Il ne
serait pas un Dieu juste. Comme vous déformez la Parole de Dieu
! Comment pouvez-vous dire qu’il ne faut pas faire peur aux âmes,
alors que cela est écrit ! Qui sera sauvé ? Celui qui observera
les commandements. Et vous, guides de mon Eglise, beaucoup d’entre vous,
vous ne voulez pas comprendre que l’enfer existe. Ah ! prêchez l’Evangile
tel qu’il est écrit ! Ne le prenez pas toujours comme des exemples…[Amparo
: Ah ! quelle déformation !]… ou comme des paraboles qui n’ont pas
de fondement dans la réalité. Tout ce qui est écrit
est écrit avec le sang du Rédempteur. Ceux qui ont vu ont
témoigné. Alors, mes enfants, à quoi sert le Credo
? Je crois en Dieu le Père Tout-Puissant, Créateur du ciel
et de la terre. Je crois en Jésus-Christ, son Fils Unique, Notre
Seigneur, qui a été conçu par l’opération et
la grâce de l’Esprit Saint, est né de la Sainte Vierge Marie,
a souffert sous le pouvoir de Ponce Pilate, a été crucifié,
est mort, a été enseveli, est descendu aux enfers, et au
troisième jour est ressuscité des morts, est monté
aux cieux et est assis à la droite du Père, d’où il
viendra pour juger les vivants et les morts. Je crois en l’Esprit Saint,
à la Sainte Eglise catholique, à la communion des saints,
au pardon des péchés et à la vie du monde futur. C’est
ainsi.
Comme vous effacez ces mots : «
Je suis assis à la droite du Père, et Je suis descendu aux
enfers » et « Fils de la Vierge Marie ». Et ne mettez
pas ces paroles en doute : celui qui le fait peut être déclaré
anathème.
La Très Sainte Vierge : Mes
enfants, consacrez-vous aux âmes, car les hommes ont soif du Nom
de Dieu. Consacrez-vous à votre ministère et rassemblez le
troupeau qui est éparpillé dans tous les coins de la terre.
Et ne faites pas douter les âmes de l’Evangile. Aimez l’Eglise, obéissez
à l’Evêque, aimez le Saint-Père. L’obéissance
est très importante, mes enfants. Ne faites pas ce que vous avez
envie de faire. Prêchez la Parole de Dieu et portez la consolation
aux affligés.
Regarde, ma fille, les sources d’eau
vive auxquelles les hommes cessent de s’abreuver parce qu’ils sont dépourvus
de la Parole de Dieu. Approchez-vous de ces canaux, mes enfants, et buvez
de cette eau. Dans l’Eglise il y a de l’eau vive qui donne la vie, non
pas la vie temporelle, mais la vie éternelle. Le Christ vous apprend
à aimer, le Christ ne repousse pas les hommes. Votre orgueil, pour
beaucoup d’entre vous, ne vous permet pas de comprendre que le Dieu Tout-Puissant
peut se manifester à ce qu’il y a de plus inculte, de plus misérable,
de plus humble, pour vous confondre, vous qui vous croyez plus grands et
plus puissants. Soyez humbles, et ne cachez pas la lumière : choisissez
ce qui est bon et laissez ce qui est mauvais. Mais, mes enfants, êtes-vous
donc aveugles ? Je vous ai donné des yeux pour voir, et des oreilles
pour entendre, mais vous, vous vous fiez davantage à ce que vous
écoutez qu’à ce que vous voyez, mes enfants. Soyez de bons
pasteurs de l’Eglise, et ne critiquez pas les bons pasteurs qui mettent
en pratique l’Evangile tel qu’il est écrit. Aidez-vous les uns les
autres, tournez votre regard vers les hommes, et apprenez-leur ce qui est
péché. En effet, vous ne donnez pas d’importance au péché.
Pour vous aujourd’hui, rien n’est péché, mes enfants. C’est
ainsi qu’est le monde, telle est la situation parmi la jeunesse. Tout est
bon dans les couples. Il n’y a pas de péché. C’est pourquoi
on utilise si peu les confessionnaux, mes enfants. Votre travail consiste
à guider le troupeau, à le diriger, et à lui apprendre
les vérités qui sont écrites. Combien d’entre vous
arriverez devant mes yeux et entendrez ces mots : « Allez-vous en,
maudits, parce que vous n’avez pas rempli la mission que Je vous avais
confiée ! ». Revêtez-vous du vêtement de la pureté,
de l’humilité et de la charité. Et vous verrez, mes enfants,
comme vous atteindrez la sagesse et comme vous saurez discerner le bien
du mal.
Mes enfants, venez en ce lieu. Confessez
vos fautes et demandez pardon à Dieu ; Il vous ouvrira son Cœur,
Il vous embrassera éternellement et Il oubliera vos misères
et vos péchés. Mais à condition que vous vous humiliiez
et que vous mettiez en pratique les Lois de Dieu.
Aimez-vous les uns les autres, et
partagez. Formez des communautés, mes enfants, et vivez en communauté,
où règne le Créateur de l’univers. Mes enfants, vivez
dans la prière et le sacrifice. La joie aussi est un don de l’Esprit
Saint. Celui qui est dans la grâce de Dieu est joyeux, mes enfants.
Soyez joyeux, parce que vous avez l’Esprit de Dieu avec vous.
Baise le sol, ma fille, en réparation
de tant et tant de péchés que l’on commet dans le monde.
Levez tous les objets :ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour les pauvres moribonds, avec des grâces pour qu’ils reçoivent
la lumière à l’heure de leur mort et meurent dans la grâce
de Dieu. Tous les objets ont été bénis, mes enfants.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 2 DE NOVIEMBRE
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hijos míos,
hoy vengo como Madre de todos los pecadores, como Reina de todos los afligidos.
Hoy traigo un manto de oro, y de este manto saldrán rayos de luz
que cubrirán la Tierra. Yo soy Madre de todos los que sufren y mi
Corazón los ama. Mira, hija mía, cómo hoy voy a este
lugar y con mi manto voy a sacar a muchas almas y, protegidas bajo él,
van a volar hacia la Patria celeste.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
cuántas almas salen hoy a gozar! Ya entran en tropel. ¡Ay,
cuántas salen!
LA VIRGEN:
Hoy se concede
el privilegio a las almas de llegar aquí ante los bienaventurados;
pero he tenido muchas veces que consolarlos porque estaban afligidos, purificando
sus culpas. Hoy gozan de la Divina Majestad; por eso soy Madre de los que
sufren; Madre de todos los pecadores.
Venid a
mí, que yo os llevaré a mi Hijo y yo intercederé ante
Él, para que perdone vuestras culpas. Yo soy la Madre del Divino
Redentor. Me han dejado el timón de Pedro en mis manos; por eso
soy Madre de la Iglesia, y quiero reunir todo el rebaño para que
ame a la Iglesia y se conviertan tantos y tantos pecadores como ofenden
a la Divina Majestad de Dios. Hoy derramaré gracias especiales para
esos pobres pecadores.
EL SEÑOR:
Sí,
hija mía, que los guías del pueblo se dediquen a predicar
bien mi palabra. Pastores de mi Iglesia, que vuestro corazón esté
en el Cielo, que no esté en el mundo; porque muchos de vosotros,
hijos míos, mientras os dedicáis al mundo, yo soy desconocido,
ultrajado y despreciado. El sacerdote tiene una misión como pastor:
la de proteger a su rebaño y examinar dónde está la
luz; no esconderla, sino mirar todo y quedarse con lo bueno, y dar testimonio
de la verdad; pero hay muchos de vosotros que escondéis la verdad
y lleváis la mentira en vuestros labios para dañar allí
donde yo derramo tantas gracias. ¡Ay de vosotros, que quitáis
las palabras del Evangelio y añadís lo que queréis!
¿Cómo podéis deformar, muchos de vosotros, el Evangelio?
Cuando resucité, descendí a los Infiernos; ¿cómo
podéis esconder a los hombres que existe el Infierno? ¿Habéis
leído el Evangelio, las veces que repite la palabra Infierno y castigo?
Dios castiga a los malos y premia a los buenos; si no, no sería
un Dios justo. ¡Cómo deformáis la palabra de Dios!
¿Cómo decís que no se puede meter miedo a las almas?,
si está escrito: “¿Quién se salvará? El que
cumpla con los mandamientos”; y vosotros, guías de mi Iglesia, muchos
de vosotros no queréis entender, ni los demás comprender,
que existe el Infierno. ¡Ay, predicad el Evangelio como está
escrito, no lo pongáis siempre como ejemplos!...
LUZ AMPARO:
¡Ay,
qué deformación!
EL SEÑOR:
¡O
como parábolas que no existieron! Todo lo que está escrito,
está escrito con la sangre del Redentor; así lo atestiguaron
los que lo vieron. Entonces, hijos míos, ¿de qué sirve
el Credo? Creo en Dios, Padre Todopoderoso, Creador del Cielo y Tierra.
Creo en Jesucristo, único Hijo, Nuestro Señor, que fue concebido
por obra y gracia del Espíritu Santo, nació de Santa María
Virgen, padeció debajo del poder de Poncio Pilato, fue crucificado,
muerto y sepultado, descendió a los Infiernos y al tercer día
resucitó de entre los muertos, y subió a los Cielos y está
sentado a la derecha del Padre. Desde allí ha de venir a juzgar
a vivos y muertos. Creo en el Espíritu Santo, la Santa Iglesia Católica,
la Comunión de los Santos, el perdón de los pecados, y la
vida del mundo futuro. Así es.
¿Cómo
os coméis esas palabras? Estoy sentado a la derecha del Padre y
descendí a los Infiernos; Hijo de María Virgen; y no lo dudéis,
porque el que dude estas palabras, anatema se puede llamar.
Hijos míos,
dedicaos a las almas, que los hombres están sedientos del Nombre
de Dios. Dedicaos a vuestro ministerio, y reunid el rebaño, que
está esparcido por todos los lugares de la Tierra, y no hagáis
dudar a las almas del Evangelio. Amad a la Iglesia, obedeced al obispo,
amad al Santo Padre. La obediencia es muy importante, hijos míos.
No hagáis cada uno lo que os venga en gana. Predicad la palabra
de Dios y llevad el consuelo a los afligidos.
Mira, hija
mía, las fuentes de agua viva que los hombres dejan de beber porque
están faltos de la palabra de Dios. Acercaos a estos canales, hijos
míos, y bebed de ellos. En la Iglesia hay agua viva que da la vida
—no la vida temporal—, la vida eterna. Cristo os enseña a amar.
Cristo no rechaza a los hombres y, muchos de vosotros, vuestra soberbia
no os deja entender ni comprender que Dios Todopoderoso puede manifestarse
a lo más inculto, miserable y humilde, para confundiros a aquéllos
que os creéis más grandes y poderosos. Sed humildes y no
escondáis la luz, y escoged lo bueno y dejad lo malo; pero, hijos
míos, ¿estáis ciegos? Yo os puse los ojos para ver
y los oídos para oír, pero os fiáis más de
lo que escucháis que de lo que veis, hijos míos. Sed buenos
pastores de la Iglesia y no critiquéis a aquéllos que son
buenos pastores y cumplen el Evangelio tal como está escrito. Ayudaos
y volved vuestra mirada, y enseñad a los hombres lo que es pecado,
porque no le dais importancia al pecado. Hoy, para vosotros, nada es pecado,
hijos míos. Así está el mundo y así está
la situación entre la juventud; todo es bueno entre las parejas.
No hay pecado; por eso se usa tan poco los confesionarios, hijos míos.
Vuestro trabajo es pastorear el rebaño y dirigirlo y enseñarles
las verdades que hay escritas. Cuántos de vosotros llegaréis
ante mis ojos y oiréis estas palabras: “Id, malditos, porque no
habéis cumplido con la misión que os encomendé”. Revestíos
con la vestidura de la pureza, de la humildad y de la caridad y veréis,
hijos míos, cómo alcanzaréis la sabiduría y
sabréis discernir el bien del mal.
LA VIRGEN:
Hijos míos,
acudid todos a este lugar. Confesad vuestras culpas y pedid perdón
a Dios; que Él abrirá su Corazón y os dará
un abrazo eterno que olvidará vuestras miserias y vuestros pecados,
pero si vosotros os humilláis, hijos míos, y cumplís
con las leyes de Dios.
Amaos unos
a otros y compartid. Haced comunidades, hijos míos, y vivid en comunidad,
donde reine el Creador del Universo. Vivid, hijos míos, en oración
y en sacrificio; también la alegría es un don del Espíritu
Santo; el que está en gracia está alegre, hijos míos.
Estad alegres, porque tenéis el Espíritu de Dios con vosotros.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados
como se cometen en el mundo...
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales
para los pobres moribundos, con gracias para que reciban la luz en la hora
de su muerte y morir en gracia de Dios. Todos han sido bendecidos; todos
los objetos, hija mía.
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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7 décembre
1996
La Très Sainte Vierge : Mes
enfants, aujourd’hui mon manteau est plus défraîchi, parce
que vos prières sont très pauvres, mes enfants, et que votre
dévouement n’est pas constant ; c’est pourquoi Je ne porte pas aujourd’hui
le manteau d’or, parce que vos prières, Je le répète,
mes enfants, doivent être plus ferventes. Priez, mes enfants, mais
que votre prière sorte du plus profond de votre cœur.
Notre Seigneur : Je veux, mes enfants,
que vous fassiez bien votre travail. Mes enfants, beaucoup d’entre vous
enterrent leurs talents et ne les font pas fructifier. Offrez votre travail
à Dieu, votre Créateur, pour la rédemption des âmes.
Mais votre travail, mes enfants, doit être un travail plein de joie.
Je donne des talents aux hommes, et les uns les cachent, les autres les
multiplient.
Ah ! serviteur qui caches tes talents
! Serviteur paresseux, serviteur fainéant : tu vis pour toi, tu
manges, tu bois, sans travailler, sans observer les lois de Dieu ! Tu ne
fais pas ton travail, serviteur paresseux, parce que tu caches tes talents,
et tu n’observes pas les commandements de Dieu. Tu travailles à
contrecœur et sans joie. Je ne peux que te dire : Va-t-en, serviteur inutile,
tu ne me sers de rien.
Quant à toi, serviteur dévoué,
toi qui fais fructifier tes talents, tu travailles avec joie, en te consacrant
aux autres ! Tu es un serviteur utile, sans paresse, tu es dévoué,
et tu te consacres au service de Dieu et des nécessiteux. Je te
le dis : tu es un serviteur utile, parce que tu as fais fructifier tes
talents ; tu contempleras mon visage, et Je viendrai à ta rencontre,
parce que tu as été très utile, tu as toujours été
au service de Dieu et des hommes, et tu ne t’es pas préoccupé
de toi, mais des autres, tu n’as pas chargé tes frères de
fardeaux, mais les fardeaux, tu les as portés sur ton dos.
Mes enfants, comme ils sont nombreux
parmi vous ceux qui fuient le travail, alors que le travail sanctifie l’homme
et le fortifie ! Et Moi , qui ai-Je choisi ? Des hommes rudes, aux mains
rendues calleuses par leur travail et leur sueur. Combien parmi vous ne
vous préoccupez que de carrières et d’études, mes
enfants. Pourquoi voulez-vous l’intelligence, si ces carrières et
ces études empêchent beaucoup d’entre vous d’arriver jusqu’à
l’Eternité ? Oui, ma fille, il y a beaucoup de serviteurs paresseux,
mais malheur à ces serviteurs paresseux qui ne pourront pas parvenir
à voir mon visage !
La Très Sainte Vierge : Oui,
ma fille, dis aux hommes que Dieu a placé le monde dans mes mains,
ce n’est pas que Je veuille prendre la place de Dieu. Dieu est le Créateur,
l’Infini, mais dès le commencement Dieu m’a choisie pour déposer
son Fils dans mes entrailles. Le Verbe s’est incarné par l’œuvre
et la grâce de l’Esprit Saint, ma fille, et Il s’est fait homme,
et Il s’est égalé à l’homme en tout excepté
le péché. Dieu a voulu me choisir comme Mère de Dieu.
Depuis que le monde a commencé d’exister, Dieu m’avait déjà
choisie. Il m’a élevée aux Cieux et Il m’a préparée,
depuis ma prime enfance, pour être Mère de Dieu.
Je n’ai jamais voulu briller plus
que mon Fils. Je me suis cachée, parce que Moi J’étais la
créature et Lui le Créateur. Mais Il m’a comblé de
dons. Je suis Mère de l’Eglise, mais Je ne peux, ni ne veux, enlever
son poste au Représentant du Christ dans l’Eglise. Le fait d’être
Mère de l’Eglise, le fait que Dieu ait mis le monde dans mes mains,
n’enlève à personne la place qui lui correspond, et le poste
que Dieu a choisi pour lui. Il a fait de moi la Mère de Dieu, la
Porte du Ciel, la Consolatrice des affligés, et Il m’a accordé
tant et tant de dons et de grâces, comme celui d’être Vierge,
Pure et Immaculée avant et après l’enfantement. Comment les
hommes veulent-ils me laisser de côté en un lieu où
n’apparaisse pas mon nom, alors que Je suis la mère de Dieu ? Là
où est le Cœur du Fils, là se trouve le Cœur de la Mère.
Regarde, ma fille, ce que J’ai dans
mes mains : ton fils ; regarde : un lis, blanc et parfumé. C’est
Celui qui aime les lis, le Créateur, qui l’a mis dans mes mains.
Je suis la Mère des Martyrs, et au ciel, ma fille, on a célébré
la fête, bien qu’elle ne puisse pas être célébrée
sur la terre. Regarde quel lis si parfumé est parvenu dans mes mains
virginales (expressions d’admiration d’Amparo). Il ne peut être dans
un meilleur endroit, ma fille ! Je sais que ton cœur souffre encore, comme
le mien a souffert tout au long de ma vie. Oui, ma fille, ne détourne
pas ton regard de la Passion de mon Fils. Moi Je n’ai pas détourné
un instant mon regard du Sépulcre de mon Fils, et J’ai parcouru
tous les chemins de sa Passion. Toute ma vie J’ai parcouru, avec Jean et
avec Madeleine, les Lieux Saints par où mon Fils était passé,
ma fille. Je n’ai pas pu L’oublier un seul instant. Pendant toute ma vie
je me suis remémoré sa Passion, sa Mort, son Sacrifice pour
l’humanité.
Notre Seigneur : Ne sois pas affligée,
ma fille, les hommes ont beau s’étonner que la foi ne te fasse pas
oublier, pense que la foi, parfois, réveille le souvenir au lieu
de procurer l’oubli, ma fille. Et Je t’ai donné une très
grande capacité de souffrir, comme Je t’ai donné une très
grande capacité d’aimer, ma fille. Mais comment ne vas-tu pas souffrir
et pleurer, puisqu’il s’agit de ton fils, qui est sorti de tes entrailles
? La foi ne t’enlève pas la douleur, ni le souvenir, Je te le répète,
ma fille, elle t’aide à supporter la douleur et le souvenir.
Amparo (elle soupire et dit en gémissant)
: Ah !mon fils, ah ! combien je donnerais pour aller là-bas ! Ah
! combien je donnerais ! Seigneur ! Ah !Ah ! Comme on y est bien, Seigneur
! Jusqu’à quand vas-tu vouloir que je reste ici ! Ah ! Seigneur
! Jusqu’à quand ! Je ne veux pas être orgueilleuse, je veux
accepter ta volonté. Mais je ne peux pas !Ah ! Seigneur ! Aide-moi
! (elle pleure).
La Très Sainte Vierge : Réfugie-toi
en nos Cœurs, ma fille. Nos Cœurs te réconforteront. Je suis la
Mère de ceux qui souffrent. Je sais comment est ton cœur, ma fille.
Il n’y a pas de douleur qui ressemble à cette douleur, Je te l’ai
répété ma fille ; mais tu sais, ma fille, que ce sont
mes mains virginales qui ont pris ton fils ! Il fut si courageux, ma fille,
un héros, car il a donné sa vie pour cette grande Œuvre,
ma fille.
Notre Seigneur (avec une voix empreinte
de sévérité) : Crime parfait, on ne peut plus parfait
sur la terre, mais malheur à vous quand vous vous présenterez
devant la Divine Majesté de Dieu ! Quel terrible jugement vous attend
! Convertissez-vous et repentez-vous, mauvais, ingrats ! Vous n’entrez
pas dans le Ciel et vous n’y laissez pas entrer les âmes ! Laissez
les chrétiens vivre comme des chrétiens, et n’entravez pas
mes lois ! Je suis le Créateur, et vous serez tous jugés.
Malheur à vous ! Aussi parfaits que soient les crimes que vous commettez
sur la terre, quand vous arriverez devant Dieu, votre Créateur,
toute votre perfection sera détruite, et beaucoup d’entre vous,
vous le paierez aussi sur cette terre, mes enfants.
Jesús Barderas : Pardonne-leur,
maman, pardonne-leur, et ne leur en tiens pas rancune. Prie beaucoup pour
eux, afin qu’ils se convertissent, maman. Rien ne sera caché devant
les yeux de Dieu ; c’est pourquoi je te demande de prier pour qu’ils se
convertissent. Je ne puis être dans un meilleur endroit. Approche-toi
de la Mère du Rédempteur, pour que ta douleur se calme. Ne
souffre pas à cause de moi. Je suis dans la joie et j’ai cessé
de souffrir.
Amparo : Ah ! mon fils ! Ah ! Quand
j’arriverai là, Seigneur, quelle joie ! Ah ! Je veux être
fidèle, Seigneur, et fais ce que tu voudras de moi ; mais donne-moi
des forces pour pouvoir tout supporter.
La Très Sainte Vierge : Tu
vois, ma fille, comme des âmes se convertissent aussi ? N’as-tu pas
vu cette pauvre âme, comme elle est repentante et comme elle éprouve
la contrition de ses offenses, de ses calomnies et de sa persécution
? Ne me demande pas sa guérison, ma fille, parce que c’est maintenant
le moment, le moment de l’emporter dans l’Eternité. Sa douleur est
profonde, et son repentir est vrai.
Amparo : Ah ! quelle joie !
La Très Sainte Vierge : Tu
vois, ma fille, comme Je suis attentive à tous les détails
des âmes ? Il m’a beaucoup aimé, bien que cet amour ait été
parfois un peu désordonné. Mais J’irai à la rencontre
de tous ceux qui aiment mon Cœur. Et J’irai aussi à sa rencontre
: mais ne me demande pas la guérison de son corps, parce que la
guérison de son âme m’a rempli davantage de joie. Continue,
ma fille, à prier et à implorer pour lui, parce que c’est
le moment de le prendre, non de le laisser. Continue à aimer le
prochain, ma fille, de tout ton cœur, et n’éprouve jamais de rancœur
envers personne. Tes sacrifices et tes douleurs servent à la conversion
des âmes. N’éprouves-tu pas une grande joie pour la conversion
de cette pauvre âme ? Très intelligent, mais son intelligence
parfois lui a servi à s’égarer sur les chemins qu’il s’était
tracés au cours de sa vie.
Baise le sol, ma fille, en réparation
pour tous les pécheurs du monde.
Venez en ce lieu, vous y recevrez
des grâces pour l’âme et le corps.
Mes enfants, priez pour que le démon
ne détruise pas les plans de Dieu. Eh bien, Je veux, mes enfants,
vous donner une grande surprise. C’est pourquoi Je vous demande de prier.
Je vous demande, mes enfants, prière, sacrifice et pénitence.
Levez tous les objets : ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales.
Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit par l’intermédiaire du Fils
et avec l’Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA 7 DE DICIEMBRE
DE 1996, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hijos míos,
hoy mi manto viene más envejecido, porque vuestras oraciones son
muy pobres, hijos míos, y vuestra entrega no es constante; por eso,
hoy no traigo el manto de oro, porque vuestras oraciones, os repito, hijos
míos, tienen que ser más ricas. Orad, hijos míos,
pero que vuestra oración salga de lo más profundo de vuestro
corazón.
EL SEÑOR:
Quiero,
hijos míos, que cumpláis bien con vuestro trabajo. Muchos
de vosotros, hijos míos, escondéis los talentos, no los multiplicáis.
Ofreced vuestro trabajo a Dios vuestro Creador, para la redención
de las almas; pero vuestro trabajo, hijos míos, tiene que ser un
trabajo lleno de alegría. Yo doy talentos a los hombres, y unos
los esconden y otros los multiplican.
¡Ay,
siervo, que escondes tus talentos! ¡Siervo perezoso, siervo holgazán,
que vives para ti, comes y bebes sin ocuparte del trabajo y de entregarte
a cumplir las leyes de Dios! Ni cumples con tu trabajo, siervo holgazán,
porque escondes tus talentos, ni cumples con las leyes de Dios. Trabajas
sin gana y sin alegría. Sólo te puedo decir: ¡vete,
siervo inútil, que no me sirves para nada!
Pero, ¡ay,
siervo abnegado, que multiplicas tus talentos, trabajas con alegría,
entregándote a los demás! Eres un siervo útil que
no tienes pereza, eres abnegado y te entregas al servicio de Dios y al
servicio de los necesitados. Yo te digo que eres un siervo útil,
porque has multiplicado los talentos y verás mi rostro, y saldré
a tu encuentro, porque has sido muy útil, y has estado siempre al
servicio de Dios y de los hombres; porque no te has preocupado de ti, sino
te has preocupado de los demás, y no has cargado cargas sobre tus
hermanos, sino que las has cargado sobre tus espaldas.
¡Hijos
míos, ¿cómo muchos huís del trabajo, si el
trabajo santifica al hombre y le fortalece?! ¿A quién cogí
yo? A unos hombres rudos con sus manos encalladas por su trabajo y su sudor.
¡Cuántos os preocupáis sólo de carreras y de
estudios, hijos míos! ¿Para qué queréis la
inteligencia, si esas carreras y esos estudios, muchos de vosotros, os
sirven para no alcanzar la eternidad? Sí, hija mía, hay muchos
siervos holgazanes, pero, ¡ay de esos siervos holgazanes que no podrán
alcanzar a ver mi rostro!
LA VIRGEN:
Hija mía,
sí, di a los hombres que Dios ha puesto el mundo en mis manos, no
porque yo quiera quitar el puesto a Dios. Dios es el Creador, el Infinito,
pero Dios, desde el principio, me escogió para poner a su Hijo dentro
de mis entrañas.
El Verbo
se encarnó por obra y gracia del Espíritu Santo, hija mía,
y se hizo hombre y se igualó al hombre en todo menos en el pecado.
Dios quiso escogerme como Madre de Dios. Desde que el mundo empezó
a ser mundo ya Dios me había escogido. Me subió a los Cielos
y me preparó, desde muy niña, para ser Madre de Dios.
Nunca quise
resplandecer más que mi Hijo; me oculté porque yo era la
creatura y Él era el Creador; pero Él me dio todos los dones:
Madre de la Iglesia, pero no puedo quitar, ni quiero, el puesto al Representante
de Cristo en la Iglesia. El ser Madre de la Iglesia y el que Dios haya
puesto el mundo en mis manos, a nadie le quita el puesto que le corresponde,
y el puesto que Dios ha escogido para él. Y me ha hecho Madre de
Dios, Puerta del Cielo, Consoladora de los Afligidos y tantos y tantos
dones y gracias que me ha concedido, como el de ser Virgen Pura e Inmaculada
antes y después del parto. ¿Cómo los hombres quieren
arrinconarme en un lugar donde no aparezca mi nombre, si soy la Madre de
Dios? Donde está el Corazón del Hijo está el Corazón
de la Madre.
Mira, hija
mía, lo que tengo en mis manos: tu hijo. Mira: un lirio blanco y
perfumado; me lo ha puesto el Amador de los lirios, el Creador. Soy Madre
de los mártires y en el Cielo, hija mía, se ha celebrado
la fiesta, aunque en la Tierra no se pueda celebrar. Mira qué lirio
más perfumado ha llegado a mis manos virginales. En mejor lugar
no puede estar, hija mía. Sé que tu corazón sigue
sufriendo, como el mío siguió sufriendo durante toda mi vida.
Sí, hija mía, no pierdas tu mirada de la Pasión de
mi Hijo. Yo no perdí un instante la mirada del sepulcro de mi Hijo
y recorrí todos los caminos de su Pasión. Toda mi vida estuve
recorriendo, con Juan y con Magdalena, los Lugares Santos por donde mi
Hijo había pasado, hija mía. Ni un solo instante pude olvidarme
de Él. Toda la vida recordando su Pasión, su Muerte, su Sacrificio
por la Humanidad.
EL SEÑOR:
No te aflijas,
hija mía, y no pienses que por qué los hombres te dicen que
si la fe no te hace olvidar. La fe, a veces, te hace recordar más
que olvidar, hija mía, y a ti te he dado una capacidad de dolor
muy grande, como te he dado una capacidad de amor inmensa, hija mía.
Pero ¿cómo no vas a sufrir y llorar si es tu hijo, que ha
salido de tus entrañas? La fe no te quita el dolor ni el recuerdo,
te repito, hija mía; te ayuda a soportar el dolor y el recuerdo.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
hijo mío, ay!... ¡Cuánto daría por ir ahí!...
¡Cuánto daría, Señor!... ¡Ay..., ay...,
lo bien que se está ahí, Señor!... ¿Hasta cuándo
vas a querer que esté aquí?... ¡Ay, Señor!,
¿hasta cuándo? No quiero ser soberbia y quiero aceptar tu
voluntad... Pero yo no puedo, Señor, ayúdame...
LA VIRGEN:
Refúgiate
en nuestros Corazones, hija mía; nuestros Corazones te aliviarán;
yo soy Madre de los que sufren. Sé cómo está tu corazón,
hija mía. No hay dolor que se parezca a ese dolor, te lo he repetido,
hija mía, pero ya sabes que tu hijo, hija mía, lo han cogido
mis manos virginales y ha sido un valiente, un héroe, hija mía,
de dar la vida por esta gran Obra, hija mía.
EL SEÑOR:
Crimen perfecto,
muy perfecto en la Tierra, pero ¡ay de vosotros, cuando os presentéis
ante la Divina Majestad de Dios! ¡Qué juicio tan terrible
os espera! ¡Convertíos y arrepentíos, malvados, ingratos,
que no entráis en el Cielo, ni dejáis entrar a las almas!
Dejad a los cristianos que vivan como cristianos y no entorpezcáis
mis leyes. Yo soy el Creador y todos seréis juzgados. ¡Ay
de vosotros! Por muy perfectos que hagáis los crímenes en
la Tierra, cuando lleguéis ante Dios, vuestro Creador, toda vuestra
perfección será destruida y muchos de vosotros lo pagaréis
en la Tierra también, hijos míos.
JESÚS
BARDERAS:
Perdónalos,
mamá, perdónalos y no sientas ningún rencor por ellos.
Pide mucho por ellos, para que se conviertan, mamá. Nada ante los
ojos de Dios será oculto; por eso te pido que pidas que se conviertan.
En mejor lugar no puedo estar. Acércate a la Madre del Redentor,
para que se calme tu dolor. No sufras por mí. Estoy gozoso y he
dejado de sufrir.
LUZ AMPARO:
¡Ay,
hijo mío, Ay...! Cuando yo llegue ahí, Señor, ¡qué
alegría! Yo quiero ser fiel, Señor, y haz lo que quieras
de mí; pero dame fuerzas para poder soportarlo todo.
LA VIRGEN:
¿Ves
cómo también, hija mía, se convierten almas? ¿No
has visto esa pobre alma, qué arrepentido y contrito está
de sus ofensas, de sus calumnias y de su persecución, hija mía?
No me pidas que se cure, hija mía, porque ahora es el momento, el
momento de llevarlo a la eternidad; su dolor es profundo y su arrepentimiento
es verdadero.
LUZ AMPARO:
¡Qué
alegría!
LA VIRGEN:
¿Ves,
hija mía, cómo yo estoy en todos los detalles de las almas?
Él me amó mucho, aunque a veces, ese amor era un poco desordenado;
pero a todo el que ama mi Corazón, yo saldré a su encuentro;
y saldré a su encuentro, pero no me pidas la curación de
su cuerpo, porque más me ha llenado de alegría la curación
de su alma. Sigue, hija mía, rezando y pidiendo por él, porque
es el momento de cogerle, no dejarle. Sigue amando al prójimo, hija
mía, con todo tu corazón, y nunca tengas rencores hacia nadie.
Tus sacrificios y tus dolores sirven para la conversión de las almas,
¿No sientes un gran gozo por la conversión de esta pobre
alma? Muy inteligente, pero que su inteligencia, a veces, le servía
para torcer los caminos que él trazó en su vida.
Besa el
suelo, hija mía, en reparación de todos los pecadores del
mundo...
Acudid a
este lugar, que recibiréis gracias de alma y cuerpo.
Hijos míos,
orad, para que el demonio no destruya los planes de Dios; pues quiero,
hijos míos, daros una gran sorpresa. Por eso os pido que oréis.
Oración y sacrificio os pido, hijos míos, y penitencia.
Levantad
todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales...
Os bendigo,
hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el
Espíritu Santo.
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