4
Janvier 1997
Notre Seigneur :
Le mal dans le monde,
les mauvais chrétiens
Ma fille, prie beaucoup,
à cause du mal qu'il y a dans le monde. Combien d'hypocrisie, combien
de mensonge il y a parmi les hommes ! Parmi les hommes, mais surtout chez
ceux qui se disent miens ! Oui, ma fille, Je bénis les incultes
et les ignorants et Je rejette les pervers et les intrigants. Combien d'âmes,
ma fille, qui sont à l'intérieur de mon Eglise, se servent
de mon Eglise, mais ne servent pas mon Eglise !
Aux prêtres
: consacrez vous à votre ministère, ne soyez pas des salariés
Ma fille, dis à
certains prêtres, ministres du Christ, de savoir ramasser les fruits
et de rassembler le troupeau qui se trouve éparpillé en tous
lieux. Dis-leur de se consacrer à leur ministère, de ne pas
être des salariés, car il y a beaucoup de travail dans l'Eglise.
Qu'ils se consacrent, comme des fils de Dieu, dévoués à
leur ministère, à réunir tout ce troupeau.
Refus de reconnaitre
la fécondité des apparitions
Mais, comment pouvez-vous
parler, mes enfants, vous, si vous ne savez pas recueillir les bons fruits
et donner témoignage des fruits que vous ramassez. Ce n'est pas
que vous cueilliez les fruits, vous vous servez d'eux et vous les cachez,
sans donner témoignage du fruit que vous recevez. Vous cueillez
les fruits, mais vous ne voulez pas reconnaître l'arbre qui porte
ces fruits. Mes enfants, comment un arbre mauvais peut-il donner de bons
fruits ? Un bon arbre donne de bons fruits, mais jamais un arbre mauvais
ne pourra donner de bons fruits. Vous cueillez les fruits sur l'arbre et
vous ne voulez pas reconnaître d'où vient l'arbre !
Prie, ma fille, prie
pour qu'ils se rendent compte.
Danger de damnation
des mauvais prêtres
S'ils ne s'acquittent
pas de leur ministère, ils seront repoussés par la Divine
Majesté de Dieu. Qu'ils sachent évaluer ce qu'est le prêtre
et ce à quoi il s'est consacré.
Beaucoup de prêtres
refusent d'enseigner la Justice de Dieu et par orgueil refusent de croire
aux apparitions
Mais malheur à
vous, qui ne servez qu'à critiquer, diffamer et calomnier les âmes
de bonne volonté ! Vos œuvres ne servent à rien et vos fruits
sont stériles, parce que vous n'êtes pas humbles, mes enfants.
Votre orgueil vous empêche de reconnaître que la Divine Majesté
de Dieu a le pouvoir de faire et défaire ce qu'elle veut. Mais beaucoup
d'entre vous avez volé la place de Dieu ; c'est pourquoi il faut
laisser à chacun la place qui lui correspond. Votre place est dans
l'Eglise, mes enfants, mais si vous vous appelez ministres du Christ, devenez
d'autres Christs avec Lui. Si le Monde est dans les conditions où
il se trouve, mes enfants, c'est parce que beaucoup parmi vous, vous êtes
les premiers à ne pas enseigner aux hommes la vérité
de l'Evangile. Mes enfants, votre superbe et votre orgueil vous empêchent
de reconnaître que Dieu peut se manifester où Il veut, quand
Il veut, et à qui Il veut, mes enfants.
Et dans l'homme regardez
Dieu, ne regardez pas l'homme pour l'homme, mais Dieu dans l'homme.
Damnation des hérétiques
Regarde, ma fille,
ceux qui se sont moqués de ma doctrine et ont prêché
une doctrine fausse : regarde dans quel lieu ils se trouvent, ma fille.
Leur orgueil les a conduits à vouloir être plus que Dieu et
à ne pas laisser le Créateur diriger ses créatures.
Je donne mes trésors de grâce à qui Je veux, mes enfants.
Qui êtes-vous donc, pour imposer des limites à un Dieu ? Dieu
n'a pas de limites.
Obéir au pape,
donner à Dieu et à sa Mère leur place, pénitences
et sacrifices
Priez, mes enfants,
priez pour les prêtres, ministres du Christ, pour beaucoup d'entre
eux, pour ces jeunes prêtres : priez pour qu'ils sachent guider le
troupeau et aimer l'Eglise, en obéissant au Saint Père, le
représentant du Christ sur la terre. Si vous n'obéissez même
pas au représentant du Christ sur la terre, comment allez-vous obéir
à Dieu ? Travaillez dans mon Eglise : beaucoup d'âmes l'abandonnent
parce que vous, mes enfants, vous ne pensez qu'à vous-mêmes.
Vous enlevez à Dieu et à sa Sainte Mère la place qui
leur correspond.
Priez beaucoup et
faites des sacrifices et des pénitences, afin que les hommes tournent
leur regard vers Dieu.
Renoncer à
la matière et vivre davantage de l'esprit
Et vous, mes enfants,
priez, sacrifiez-vous, renoncez à la matière et vivez davantage
de l'esprit. Consacrez-vous à Dieu corps et âme, mes enfants.
Dieu vous ouvrira les bras et vous recevra dans la Patrie Céleste.
Priez beaucoup pour
mes prêtres, pour mes âmes consacrées.
Relâchement
des couvents cause du manque de vocations
La majorité
des couvents se sont relâchés ; Satan s'y est infiltré
et ils ne pensent à rien d'autre qu'aux divertissements et aux vacances.
Et je te l'ai souvent dit, ma fille : c'est pour cette raison qu'il n'y
a pas de vocations, qu'on détruit les vocations, ma fille, parce
qu'ils s'introduisent dans le Monde et Satan les prend au piège
de leurs caprices, du confort et des plaisirs du Monde, ma fille.
L'Escorial
Venez en ce lieu
: vous y recevrez beaucoup de grâces, mes enfants.
Introniser les deux
Cœurs dans les foyers
Intronisez le Cœur
de Marie et le Cœur de Jésus dans vos foyers, afin que la paix y
règne.
Confession avant
de communier
Priez, confessez
vos fautes, mes enfants : les hommes commettent beaucoup de sacrilèges
en s'approchant du sacrement de l'Eucharistie en état de péché
mortel, sans laver leurs taches, sans confesser leurs fautes. Aimez-vous
les uns les autres.
Les jours des ténèbres
La Très Sainte
Vierge : Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions
spéciales pour les Jour des ténèbres : un seul objet
donnera de la lumière pendant les trois jours et les trois nuits,
chez ceux qui conserveront la grâce, mes enfants.
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
4 DE ENERO DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía, ora mucho por el mal que hay en el mundo. ¡Cuánta
hipocresía, cuánta mentira hay entre los hombres; entre los
hombres, especialmente en aquéllos que se llaman míos! Sí,
hija mía. Yo bendigo a los incultos e ignorantes y rechazo a los
maliciosos y a los maquinadores. ¡Cuántas almas, hija mía,
que están dentro de mi Iglesia, se sirven de mi Iglesia, pero no
sirven a mi Iglesia!
A algunos sacerdotes, ministros de Cristo, diles, hija mía, que
sepan recoger los frutos y que recojan el rebaño que hay esparcido
por todos los lugares. Que se dediquen a su ministerio. Que no sean asalariados,
que hay mucho trabajo en la Iglesia. Que se dediquen, como hijos de Dios
entregados a su ministerio, a reunir todo ese rebaño. Pero, ¡cómo
podéis hablar, hijos míos, vosotros, si no sabéis
recoger los frutos buenos y dar testimonio de los frutos que recogéis!
No que cogéis los frutos, os servís de ellos y los escondéis,
sin dar testimonio del fruto que recibís. Cogéis los frutos,
pero no queréis reconocer el árbol de los frutos. ¿Cómo,
hijos míos, un árbol malo puede dar buen fruto? Un árbol
bueno da buen fruto, pero nunca un árbol malo puede dar buen fruto,
hijos míos. ¿Cómo cogéis los frutos del árbol
y no queréis reconocer de dónde viene el árbol?
Reza, hija mía, y ora para que se den cuenta. Como no cumplan con
su ministerio serán rechazados por la Divina Majestad de Dios. Que
sepan valorar lo que es el sacerdote y a lo que se han entregado; pero
¡ay de vosotros, que no servís nada más que para criticar,
para difamar y calumniar a las almas de buena voluntad! Vuestras obras
no sirven y vuestros frutos son estériles, porque no sois humildes,
hijos míos; vuestro orgullo no os deja reconocer que la Divina Majestad
de un Dios tiene poder para hacer y deshacer lo que quiera. Pero muchos
de vosotros habéis hurtado el puesto a Dios; y por eso hay que dejar
a cada uno el puesto que le corresponde. Vuestro puesto está en
la Iglesia, hijos míos, pero si os llamáis ministros de Cristo,
“cristificaros” con Él. Por eso está el mundo en estas condiciones,
hijos míos, porque muchos de vosotros sois los primeros que no enseñáis
a los hombres la verdad del Evangelio, hijos míos. Vuestra soberbia
y vuestro orgullo no os deja reconocer que Dios puede manifestarse donde
quiera, cuando quiera y a quien quiera, hijos míos.
Y mirar en el hombre a Dios, no mirar al hombre por el hombre, sino a Dios
en el hombre.
Mira, hija mía, cuántos de los que se han reído de
mi doctrina y han predicado una doctrina falsa, mira el lugar donde están,
hija mía... (Luz Amparo muestra admiración ante lo que ve).
Su soberbia los ha conducido a querer ser más que Dios y no dejar
al Creador dirigir a sus creaturas. Yo doy mis tesoros de gracias a quien
quiero, hijos míos. ¿Quién sois vosotros para limitar
a todo un Dios? Dios no tiene límites.
Orad, hijos míos, orad, para que los sacerdotes, ministros de Cristo...
—muchos de ellos estos sacerdotes jóvenes—, que sepan guiar el rebaño
y amar a la Iglesia, obedeciendo al Santo Padre, representante de Cristo
en la Tierra. Pero si no obedecéis ni al representante de Cristo
en la Tierra, ¿cómo vais a obedecer a Dios? Trabajad en mi
Iglesia, que muchas almas se retiran de ella porque vosotros, hijos míos,
no pensáis nada más que en vosotros mismos; estáis
quitando a Dios y a su Santa Madre el lugar que les corresponde. Orad mucho
y haced sacrificios y penitencias, para que los hombres vuelvan su mirada
a Dios. Y vosotros, hijos míos: orad, sacrificaos y renunciad a
la materia y vivid más con el espíritu, y entregaos a Dios
en cuerpo y alma, hijos míos. Dios abrirá los brazos y os
recibirá en la Patria Celestial.
Orad mucho por mis sacerdotes, por mis almas consagradas. Los conventos
están relajados, la mayoría de ellos; se ha infiltrado Satanás
dentro y no piensan nada más que en diversiones y en vacaciones,
hija mía. Y te lo he dicho muchas veces; por eso no hay vocaciones,
por eso se destruyen las vocaciones, hija mía, porque se introducen
en el mundo y Satanás los atrapa en los gustos, en las comodidades
y en los placeres del mundo, hija mía.
Acudid a este lugar, que recibiréis muchas gracias, hijos míos.
Entronizad el Corazón de María y el Corazón de Jesús
en vuestros hogares, para que reine la paz en ellos.
Orad, confesad vuestras culpas, hijos míos; que los hombres cometen
muchos sacrilegios acercándose al sacramento de la Eucaristía
en pecado mortal, sin lavar sus manchas, sin confesar sus culpas. Amaos
unos a otros.
LA VIRGEN:
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones
especiales para el día de las tinieblas. Con un solo objeto dará
luz durante los tres días con las tres noches, para aquéllos
que conserven la gracia, hijos míos.
Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del
Hijo y con el Espíritu Santo.
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1er
Février 1997
Notre Seigneur :
Corruption du monde
Ma fille, le monde
est corrompu jusqu'en ses fondements, et les hommes ne tiennent aucun compte
de mes appels. Ils ne veulent pas prendre conscience de la corruption qui
règne dans le monde, et comme ils sont peu nombreux, ceux qui veulent
soulager mon Cœur !
La cause est le manque
de prière
Oui, ma fille, chez
beaucoup de laïcs, de religieux et de prêtres, la prière
manque et il s'ensuit un relâchement dans leurs âmes qui les
empêche d'accomplir leur ministère et leurs obligations. Cela
ne vous fait-il pas de la peine, Je vous le répète, qu'un
Dieu soit en train d'adresser des avertissements constants à ses
créatures ? Et ses créatures font la sourde oreille. Jusqu'à
quand, mes enfants, la Divine Majesté de Dieu doit-elle retenir
son bras pour ne pas châtier l'humanité ? Beaucoup d'entre
vous, mes enfants, Je vous le répète, vous ne voulez pas
reconnaître mes messages ni mes appels ; mais par contre vous cueillez
les fruits sans vouloir reconnaître l'arbre d'où ils viennent.
Votre orgueil, mes enfants, vous aveugle. Ah, mon Eglise, comme Je t'aime,
mais comme tu es peu aimée par beaucoup de tes ministres !
Oui, ma fille, pense
que ton chemin n'est pas facile, qu'il est rempli d'épines et de
douleur. Mais Je te promets, en ma qualité de Fils du Dieu vivant,
d'aider cette Œuvre dans tous ses besoins, et dans ce but Je me servirai
des créatures.
Trahison par certains
ex-membres de la communauté et du groupe
Ah, mes enfants,
que vous êtes ingrats, avec votre cœur de bronze, et alors que vous
avez reçu tant de grâces en ce lieu !
Ma fille, toutes
ces langues qui diffament et calomnient, sont des langues infernales. Combien
de fois te l'ai dit : tu aurais dû arracher l'ivraie et la séparer
du blé, mais ton cœur t'a trahie plus d'une fois ! Je te le dis,
ma fille : les perles, on ne les donne pas en nourriture aux pourceaux.
Et ces âmes qui ont fait partie de la "communauté" et du "groupe"
et qui les ont quittés, tu aurais dû les en retirer plus tôt
comme l'ivraie, parce qu'elles ne sont pas dignes de recevoir des grâces.
Ah, langues perverses,
Je me chargerai de vous juger pour votre comportement ! Comme vous semez
la zizanie ici et là, sans reconnaître que c'est le démon
qui vous mène ! Vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux, à
cause de vos diffamations et de vos calomnies.
Ma fille, ce sont
des esprits perturbés à qui le démon suggère
le mensonge, afin de détruire mon Œuvre. Mais toi, n'aie peur de
rien, sois courageuse. Il n'y a rien à cacher dans cette Œuvre,
ma fille : tout y est net et cristallin. Quant à celui qui voudra
faire la même chose, qu'il renonce à ses biens et qu'il Me
suive. Mais vous êtes comme les païens : non seulement vous
n'allez pas entrer au Ciel, mais vous empêchez les autres d'y entrer.
Pauvres âmes ! Si vous pensiez au lieu qui vous attend ! Comment
êtes-vous si cruels, mes enfants, comment pouvez-vous avoir le cœur
si endurci !
Satan et la prière
Priez beaucoup,
mes enfants. Là où il y a la prière, Satan n'entre
pas. Mais là où il y a le confort, le plaisir, les caprices,
il y a le relâchement et la tiédeur, et Satan entraîne
ces âmes où il veut.
Aimez-vous les uns
les autres : c'est le commandement qui est lié au premier commandement
de la Loi de Dieu : "Tu aimeras Dieu de tout ton cœur, de toutes tes forces,
de tes cinq sens, et tu aimeras ton prochain comme toi-même". Malheur
à celui qui ne met pas ce commandement en pratique !
Mes enfants, continuez
à implorer et à prier pour que les pauvres pécheurs
se convertissent et pour que le Cœur Immaculé de Marie et mon Divin
Cœur puissent triompher. Et malheur à ceux qui écoutent ou
disent des doctrines fausses ! Eloignez-vous de ces âmes qui veulent
aller à l’encontre de la foi catholique et apostolique de l’Eglise
du Christ. Comment croyez-vous en quelque chose que l’Eglise ne commande
pas de croire ? On arrive ici l’un après l’autre pour se purifier,
pas pour être appelés des saints, des apôtres ou des
rois ; cette doctrine est fausse. Amendez vos vies, mes enfants, sinon
vous ne pourrez profiter de la vue de vos êtres chers. Ne dites pas
le contraire de ce que l’Eglise affirme. Si l’Eglise dit que la réincarnation
n’existe pas, comment vous réincarnerez-vous, parce qu’un pendule
ou un médium vous le dit ? Mes enfants, retirez-vous de cette doctrine.
Vous tous qui venez en ce lieu ne méprisez pas le Nom de Dieu. Dieu
est votre Créateur et Il est celui qui dira, au jour du Jugement,
qui est saint et en quel lieu chaque homme devra aller.
Mais, mes enfants,
si vous m’aimez, consolez mon Cœur et ne dites pas des paroles qui peuvent
le blesser. Aimez le Vicaire du Christ et l’Eglise. J’ai dit : " Tu es
Pierre et et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise ". Pourquoi cherchez-vous,
comme les anges déchus, à découvrir plus de mystères
et de connaissances que vous ne pouvez en appréhender ? Pauvres
âmes, cela me peine tant qu’elles perdent leur temps de la sorte
! Leur orgueil les empêche de reconnaître que Dieu est celui
qui a établi les lois, et ceci reste écrit dans l’Evangile.
La très Sainte
Vierge : Venez en ce lieu, vous y serez tous bénis de bénédictions
très spéciales, mes enfants. Eduquez vos fils dans la religion
et aimez vos ennemis.
Levez tous les objets
; ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour le jour des ténèbres. . . Tous les objets ont été
bénis de bénédictions spéciales pour le jour
des ténèbres.
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
1 DE FEBRERO DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía, el mundo está corrompido hasta sus cimientos, y
los hombres, hija mía, no hacen caso a mis llamadas; no quieren
tener conciencia de la corrupción que hay en el mundo, y qué
pocos quieren aliviar mi Corazón.
Sí, hija mía, muchos seglares, religiosos, sacerdotes, falla
la oración en ellos y hay un relajamiento en sus almas que les hace
no cumplir con su ministerio y sus obligaciones. ¿No os da pena,
os repito, que todo un Dios esté avisando constantemente a sus creaturas?
Y sus creaturas se hacen los sordos. ¿Hasta cuándo, hijos
míos, la Divina Majestad de Dios tiene que sostener su brazo para
no castigar a la Humanidad? Muchos de vosotros, hijos míos, no queréis
reconocer, os repito, mis mensajes, ni mis llamadas; pero sí que
cogéis los frutos que salen sin querer reconocer el árbol
de donde vienen. Vuestra soberbia, hijos míos, os deja ciegos. ¡Ay,
Iglesia mía, cuánto te amo, pero qué poco te aman
muchos de los ministros!
Sí, hija mía, piensa que tu camino no es fácil, que
tu camino es lleno de espinas y de dolor; pero yo te prometo, como Hijo
de Dios vivo, que ayudaré a esta Obra en sus necesidades, y me valdré
de las creaturas para esos fines. ¡Ay, hijos míos, qué
ingratos sois, con ese corazón de bronce, y tantas gracias como
habéis recibido en este lugar!
Hija mía, todas esas lenguas difamadoras, calumniadoras, son lenguas
infernales que, ¡cuántas veces te he dicho, hija mía,
que tenías que arrancar la cizaña y retirarla del trigo,
y tu corazón, una y otra y otra vez te ha traicionado! Te digo,
hija mía, que las perlas no se pueden dar de comer a los puercos.
Y esas almas que han formado parte de la Comunidad y Grupo, que se han
salido, tenías que haber retirado antes la cizaña, porque
no son dignos de recibir gracias.
¡Ay, lenguas malvadas, yo me encargaré de juzgaros por vuestro
comportamiento! ¿Cómo vais metiendo cizaña de un lugar
a otro, sin reconocer que el demonio os está dirigiendo, hijos míos?
No entraréis en el Reino del Cielo por difamadores y calumniadores.
Hija mía, son mentes perturbadas que el demonio les muestra la mentira,
para destruir mi Obra; pero tú no tengas miedo a nada, sé
valiente; no hay nada que ocultar en esta Obra, hija mía, todo es
limpio y cristalino. Y el que quiera hacer lo mismo que se niegue a sí
mismo, que deje sus cosas y me siga; pero sois como los paganos: ni vais
a entrar en el Cielo, ni dejáis que entren los demás. ¡Pobres
almas, si pensarais el lugar que os espera! ¿Cómo sois tan
crueles, hijos míos, y tenéis el corazón tan endurecido?
Orad mucho, hijos míos; donde hay oración, no entra Satanás.
Donde hay comodidad, placer, gustos... hay relajamiento y hay tibieza,
y Satanás conduce a esas almas de acá para allá.
Amaos los unos a los otros, éste es el mandamiento, que está
unido al primer mandamiento de la Ley de Dios: amarás a Dios con
todo tu corazón, con todas tus fuerzas, con tus cinco sentidos,
y al prójimo como a ti mismo. ¡Ay de quien no cumpla con este
mandamiento!
Hijos míos, seguid pidiendo y orando para que los pobres pecadores
se conviertan y para que pueda triunfar el Corazón Inmaculado de
María y mi Divino Corazón. Y ¡ay de aquéllos
que escuchan o dicen doctrinas falsas! Retiraos de aquellas almas que quieren
ir en contra de la fe católica, apostólica, de la Iglesia
de Cristo, ¿cómo creéis en algo que la Iglesia no
manda creer? Aquí llega uno por uno para purificarse, no para nombrarse
ni santos, ni apóstoles, ni reyes; eso es falso, esa doctrina. Enmendad
vuestras vidas, hijos míos, si no, no podréis ver la mirada
de vuestros seres queridos. No habléis lo contrario de lo que la
Iglesia dice. Si la Iglesia dice que no existe la reencarnación,
¿cómo vosotros os reencarnáis en el nombre que un
péndulo o un adivino brujo os diga? Hijos míos, retiraos
de esa doctrina. Todos los que acudís a este lugar no tengáis
el Nombre de Dios en vano. Dios es vuestro Creador y Él es el que
nombra, el día del Juicio, quién es santo, y en cada lugar
que le corresponde estar.
Pero, hijos míos, si me amáis, consolad mi Corazón
y no digáis palabras que pueden herirlo. Amad al Vicario de Cristo,
amad a la Iglesia. Yo dije: “Tú eres Pedro y sobre esta piedra edificaré
mi Iglesia”. ¿Por qué buscáis, como los ángeles
caídos, descubrir más misterios e indagar donde no podéis
llegar? ¡Pobres almas, me da tanta pena que pierdan el tiempo! Su
soberbia no les deja reconocer que Dios es el que pone las leyes, y el
Evangelio ahí quedó escrito.
LA VIRGEN:
Acudid a este lugar, que todos seréis bendecidos con bendiciones
muy especiales, hijos míos. Educad a vuestros hijos en su religión
y amad a vuestros enemigos, hijos míos.
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones
especiales para el día de las tinieblas... Todos los objetos han
sido bendecidos con bendiciones especiales para el día de las tinieblas.
Yo os bendigo como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu
Santo.
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1er
mars 1997
Notre Seigneur :
Ma fille, nos Cœurs sont très affligés parce que le monde
s'achemine vers la destruction. La situation du monde empire de jour en
jour, ma fille. Prie, fais des sacrifices, et enseigne aux hommes que le
monde a un grand besoin d'amour, de charité. Avec ta charité,
ma fille, apporte-Moi beaucoup d'âmes, réunis-les à
mon troupeau. Apprends aux hommes à aimer ta sainte Mère
l'Eglise du Christ. Dis-leur, ma fille, que l'Eglise est la lumière
qui éclaire les âmes ; en elle se trouve la nourriture qui
les alimente. Que les hommes s'approchent pour manger de ce Pain vivant
afin que leurs âmes soient fortifiées. Dis-leur que c'est
dans l'Eglise que se trouve le Banquet éternel, le canal où
peuvent boire ceux qui sont assoiffés, qu'elle est le chemin et
la vérité.
Ma fille, le monde
est bouleversé, il n'y a pas de respect envers le Créateur
; on veut adapter le Créateur à la loi de la créature,
on ne veut pas accepter la Loi de Dieu. Quel malheur ! Je souffre beaucoup
à cause de mon Eglise, ma fille, bien plus que Je n'ai souffert
pour ma Passion. Beaucoup de mes prêtres renient ma vérité,
oublient mes enseignements, et ne prêchent pas l'Evangile tel qu'il
est écrit ! Ils sont en train de transformer l'Evangile : ils ne
voient en lui que des métaphores, ma fille. Oui, Je souffre beaucoup
à cause de l'Eglise. Mon Cœur souffre, ma fille (sanglots d'Amparo
qui dira ensuite avoir vu pour la première fois Jésus pleurer).
Aimez-la beaucoup ! Et vous, mes prêtres qui vous détournez
de l'Evangile, comment voulez-vous rester sur le droit chemin alors que
vous êtes aveugles, mes enfants ? (sanglots d'Amparo). Nos Cœurs
sont très affligés, ma fille, car les hommes ont perdu tout
respect envers Dieu. Il y a un grand besoin de prière et d'action,
ma fille. Les hommes veulent devenir des dieux, et ils ne savent pas que
peut survenir la destruction du monde, parce que Dieu est le Créateur
Incréé. Comment veut-on que la créature devienne l'égale
de Dieu ?
Je demande à
ces prêtres qui s'écartent du chemin de l'Evangile et qui
transforment l'Evangile en métaphores, de prêcher la vérité
qui s'y trouve. Quant à ceux qui marchent véritablement sur
le chemin de la vérité, qu'ils soient forts, forts et courageux,
et qu'ils ne se laissent pas détruire ni tromper. Mon Eglise a beaucoup
d'ennemis. Ah, prêtres ! Beaucoup d'entre vous désobéissent
au Saint-Père et aux évêques ! Où voulez-vous
en venir, mes enfants ?! Vous êtes en train d'enlever la dévotion
du cœur de l'homme, et vous voulez laisser l'homme tourné vers l'humain
! Vous ne voulez pas diriger l'homme vers Dieu ! Ah, quel malheur, mes
enfants, votre orgueil vous empêche de réfléchir, et
vous êtes en train de transformer les âmes en agents destructeurs
de l'humanité ! Consacrez-vous à votre ministère,
mes enfants, car il y a beaucoup d'âmes dans mon troupeau qui ont
besoin que vous leur parliez de Dieu. Dieu est en train de disparaître
dans les cœurs des hommes. Comment voulez-vous, mes enfants, que le monde
s'achemine vers la paix, vers l'amour, si les hommes veulent tout changer.
. . et n'ont qu'un désir : faire un monde nouveau, devenir les créateurs
de l'humanité ! Un seul est votre Seigneur, Celui que vous devez
aimer, respecter et adorer ! Mais malheur à vous, prêtres
si nombreux, qui conseillez à l'homme de ne pas fléchir le
genou devant la Divine Majesté de Dieu ! Que tout genou fléchisse
devant Dieu le Créateur, au Ciel, sur la terre et dans les enfers
!
Comment est-il possible,
mes enfants, qu'un si grand nombre d'entre vous soyez en train de faire
disparaître le respect dû à Dieu ! Je t'ai déjà
dit, ma fille, qu'on abolirait tout pouvoir civil et ecclésiastique,
et que chaque individu voudrait se guider par lui-même.
Vous, âmes
bien-aimées de mon Cœur, vous qui suivez l'Evangile sans rien enlever
ni ajouter de ce qui y est écrit, réunissez-vous tous, mes
enfants, soyez courageux, et défendez mon Eglise et mon Evangile,
tel qu'il est écrit. Ne vous laissez pas confondre par l'ennemi
qui efface, jour après jour, un peu plus de mon Evangile. On veut
mettre sur un même plan Dieu et l'homme. Mais comment, mes enfants,
voulez-vous vous égaler à la Divine Majesté de Dieu,
l'Incréé, Celui qui a toujours existé et qui ne cessera
jamais d'exister ! C'est parce que l'homme a voulu s'égaler à
Dieu qu'il fut chassé du Paradis, à cause de sa désobéissance.
Et parce que l'ange le plus puissant voulait s'élever de plus en
plus et voulait être plus que Dieu, regardez où il se trouve
: dans la profondeur de l'enfer. Alors que même les anges furent
chassés du Ciel et précipités dans les enfers, mes
enfants, comment n'avez-vous pas de respect ni de crainte envers Dieu ?
N'exigez pas que Dieu s'adapte aux lois de l'homme ! Adaptez-vous plutôt
vous-mêmes aux Lois de Dieu ! Ne soyez pas des destructeurs de la
vérité. Malheur à ceux qui utilisent leur savoir pour
détruire l'humanité !
Prêtres de
mon Eglise, cessez d'être des fonctionnaires, et mettez tout votre
soin à être de bons pasteurs afin que l'humanité change.
Allez à la conquête des âmes, et rapprochez-les de votre
troupeau, de l'Eglise. C'est le Fondateur de l'Eglise qui vous le demande,
mes enfants. Le Christ, votre Rédempteur, vous demande d'être
doux et humbles. Il demande aussi à beaucoup d'entre vous de réfléchir,
mes enfants, donnez-vous le bon exemple à l'humanité ? Et
vous, saints pasteurs, saints prêtres, ne vous laissez pas tromper
ni entraîner comme. . . (Luz Amparo est admirative devant ce qu’elle
voit) Ah, ma fille, regarde comme les anges s'entraînèrent
les uns les autres ! L'ange le plus puissant a entraîné les
autres, et des milliers d'entre eux se sont laissé entraîner,
parce qu'ils voulaient être comme Dieu. Mais personne ne peut arriver
à être comme Dieu, mes enfants.
Je vous demande d'aimer
nos Cœurs, mes enfants. Oui, c'est Moi qui ai créé l'homme,
et Je l'ai créé pour glorifier et pour aimer Dieu son Créateur,
la Divine Majesté de Dieu. Moi, votre Dieu, mes enfants, J'ai créé
le monde, et J'ai envoyé mon Fils pour sauver l'humanité.
Depuis des siècles J'ai compassion de l'homme, et l'homme, si cruel,
n'a pas compassion de son Dieu. Jusqu'où allez-vous arriver, mes
enfants, avec vos idées destructrices ! Respectez l'Eglise. Aimez
le Saint Père. Obéissez ! Vous verrez comme votre chemin
est doux et léger. Mais savez-vous pourquoi votre charge vous pèse,
mes enfants ? C'est parce qu'il vous manque l'humilité et que vous
ne voulez pas accepter ni reconnaître les vérités qui
sont écrites. Observez les commandements, mes enfants. Approchez-vous
des sacrements. Rénovez votre vie. Persévérez.
La Très Sainte
Vierge : Ah, ma fille, quelle douleur éprouve mon Cœur, mon Cœur
de Mère. Ils disent que mon Cœur ne souffre pas. Regarde, ma fille,
dans quel état est mon Cœur, blessé par d'innombrables épines
(sanglots prolongés d'Amparo qui témoignera ensuite que la
Vierge aussi a pleuré).
Baise le sol, ma
fille, en réparation de tant de péchés que l'on commet
contre mon Cœur Immaculé ! (sanglots prolongés d’'Amparo).
Le monde, ma fille, a perdu toute morale. Mon Cœur pur et immaculé
souffre à cause de l'humanité. On ne donne pas d'importance
au péché, mes enfants ; c'est ainsi, ma fille, que l'on convertit
les péchés en vertus, et les vertus en péchés.
Priez beaucoup, priez
beaucoup, mes enfants, et aimez-vous les uns les autres. C'est le manque
d'amour, le manque de respect envers Dieu, qui conduit le monde à
ce bouleversement. C'est pourquoi Je lance un appel à mes prêtres,
à tous ceux qui ont le cœur pur : mes enfants, ne reculez pas, marchez
d'un pas ferme et sûr sur les traces où a marché le
Christ. Ne soyez pas lâches, mes enfants.
Notre Seigneur :
Je veux que l'homme connaisse mon Evangile tel qu'il est écrit,
sans déformation, mes enfants. Si les hommes sont dans la confusion,
c'est parce que beaucoup d'entre vous avez semé la confusion dans
leur esprit, mes enfants. Si l'homme ne change pas, c'est parce qu'il croit
qu'il est sauvé, quoi qu'il fasse. S'il commet des péchés,
c'est parce que vous leur avez enseigné que les péchés
ne sont pas des péchés, et que les péchés n'ont
pas d'importance. Où voulez-vous en venir, mes enfants ?
Et vous, les laïcs,
vous qui vivez dans le mariage, allez de l'avant, renouvelez votre esprit,
et formez tous une grande multitude, l'Evangile à la main, pour
défendre et pour aimer l'Eglise, le Saint Père et les Evêques,
afin qu'ils puissent faire leur travail sans crainte et avec force. Priez,
priez, mes enfants. Elargissez la communauté, afin que les âmes
s'y multiplient, et que vous viviez comme les chrétiens. Ah, mes
enfants, celui qui aura laissé son père, sa mère,
son frère, sa sœur, à cause de mon amour, Je lui donnerai
une récompense dans l'éternité. Mes enfants, Je veux
des communautés, où le malin a moins de pouvoir pour attaquer.
Là où plusieurs sont réunis en mon Nom, Je suis présent
au milieu d'eux. Je suis votre Force. Je suis la Vérité,
le Chemin et la Vie. Ne cherchez pas la vie dans l'être humain. Cherchez
la vie dans Celui qui est sans corruption.
La Très Sainte
Vierge : Venez en ce lieu. Aimez-vous les uns les autres, mes enfants,
comme le Christ vous aime, et soyez courageux, sans fanatisme, mes enfants,
mais bien avec humilité et avec la vérité. Et aimez
beaucoup l'Eglise du Christ.
Jamais le monde n'a
été dans une telle situation, ma fille.
Levez tous les objets
; ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour la conversion des âmes.
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit-Saint.
MENSAJE DEL DÍA
1 DE MARZO DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía, nuestros Corazones están muy afligidos, porque
el mundo camina hacia la destrucción. Cada día, el mundo
está en peor situación, hija mía. Ora, hija mía,
y haz sacrificio, y enseña a los hombres que el mundo está
necesitado de amor, de caridad. Con tu caridad, hija mía, tráeme
muchas almas a mi rebaño. Enseña a amar a los hombres a tu
santa Madre, la Iglesia de Cristo. Diles, hija mía, que la Iglesia
es la luz que alumbra a las almas; en ella está el Manjar que las
alimenta; que se acerquen a comer de ese Pan vivo, para que sus almas estén
fortalecidas. Diles que ahí está el banquete eterno, el canal
donde pueden beber los sedientos, que es el camino y la verdad.
Hija mía, el mundo está trastornado, no hay respeto hacia
el Creador; quieren adaptar al Creador a la ley de la criatura, hija mía,
y no quieren aceptar la Ley de Dios. ¡Qué pena! Sufro mucho
por mi Iglesia, hija mía, más que sufrí por mi Pasión.
Hay muchos de mis sacerdotes que reniegan mi verdad y olvidan mis enseñanzas,
hija mía, y no predican el Evangelio tal como está escrito.
El Evangelio lo están convirtiendo sólo en metáforas,
hija mía. Sufro mucho por la Iglesia; mi Corazón sufre, hija
mía; amadla mucho. Y sacerdotes, aquéllos que os desviáis
del Evangelio, ¿cómo queréis caminar bien, si estáis
ciegos, hijos míos? Nuestros Corazones están muy afligidos,
hija mía, pues los hombres han perdido todo el respeto hacia Dios.
Hay mucha necesidad de oración y de acción, hija mía.
Los hombres quieren convertirse en dioses y no saben que puede venir la
destrucción del mundo, porque Dios es el Creador Increado. ¿Cómo
quieren igualar a Dios con la criatura?
Pido a aquellos sacerdotes, que se retiran del camino del Evangelio y que
convierten el Evangelio en metáforas, que prediquen la verdad que
hay en él; y a aquéllos que verdaderamente caminan hacia
el camino de la verdad: sed fuertes, hijos míos, fuertes y valientes;
no os dejéis destruir, hijos míos, ni engañar. Mi
Iglesia tiene muchos enemigos. ¡Ay, sacerdotes —muchos de vosotros—,
vuestra desobediencia al Santo Padre, a vuestros obispos..., ¿hasta
dónde queréis llegar, hijos míos?! Estáis quitando
la devoción al hombre y queréis dejar al hombre por el hombre;
no queréis encaminar el hombre hacia Dios. ¡Ay, qué
pena, hijos míos, vuestra soberbia no os deja reflexionar y estáis
convirtiendo las almas en destructores de la Humanidad! Dedicaos a vuestro
ministerio, hijos míos, que hay muchas almas en mi rebaño
que necesitan que les habléis de Dios. Dios está desapareciendo
en los corazones de los hombres. ¿Cómo queréis que
el mundo, hijos míos, camine hacia la paz, hacia el amor, si los
hombres quieren convertirse... en hacer un mundo nuevo, en ser creadores
de la Humanidad? Sólo uno es vuestro Señor, al que tenéis
que amar, respetar y adorar. Pero, ¡ay, sacerdotes, muchos de vosotros,
que aconsejáis al hombre que no hinque su rodilla ante la Divina
Majestad de Dios! ¡Que toda rodilla se hinque ante Dios su Creador,
del Cielo, de la Tierra y de los Infiernos!
¿Cómo vosotros, muchos, estáis haciendo desaparecer,
hijos míos, el respeto a Dios? Ya te lo dije, hija mía, que
se aboliría el poder eclesiástico y el civil, y cada individuo
se gobernaría por sí mismo.
Vosotros, almas queridas de mi Corazón, aquéllos que seguís
el Evangelio sin quitar ni poner nada de lo que hay escrito, reuníos
todos, hijos míos, y sed valientes y defended mi Iglesia y mi Evangelio
tal como está escrito. No os dejéis trastornar por el enemigo,
hijos míos. El enemigo, cada día, está quitando más
de mi Evangelio. Igualan Dios al hombre. Pero ¡cómo, hijos
míos, la Divina Majestad de Dios, el Increado, el que siempre ha
existido, el que nunca jamás dejará de existir, queréis
igualaros a Él! Porque el hombre quiso igualarse a Dios fue arrojado
del Paraíso por su desobediencia. Porque el ángel más
poderoso quería ser más y más, quería ser más
que Dios, mirad dónde está: en la profundidad del Infierno.
Si hasta los ángeles fueron arrojados del Cielo a los Infiernos,
hijos míos, ¿cómo no tenéis respeto y temor
a Dios? Y no queráis que Dios se adapte a las leyes del hombre;
adaptaros vosotros a las leyes de Dios. No seáis destructores de
la verdad. ¡Ay de aquéllos que su sabiduría la emplean
para destruir a la Humanidad!
Sacerdotes de mi Iglesia: dejad de ser funcionarios y dedicaros a ser buenos
pastores, para que la Humanidad cambie. Conquistar a las almas y acercarlas
a vuestro rebaño, a la Iglesia, que el Fundador de la Iglesia os
lo pide, hijos míos. Cristo, vuestro Redentor, os pide que seáis
mansos y humildes y reflexionéis si dais buen ejemplo, hijos míos,
a la Humanidad, muchos de vosotros. Que aquellos santos pastores que hay,
aquellos santos sacerdotes, que no se dejen engañar, ni arrastrar
como... (Luz Amparo muestra admiración ante lo que contempla). Hija
mía..., ¡mira cómo se arrastraron los ángeles
unos a otros! El ángel más poderoso arrastró a los
otros y millares de ellos se dejaron arrastrar, porque querían ser
como Dios, y como Dios nadie puede llegar a ser, hijos míos.
Os pido amor, hijos míos, a nuestros Corazones. Sí, yo creé
al hombre y le creé para glorificar y para amar a Dios su Creador,
a la Divina Majestad de Dios. Yo, vuestro Dios, hijos míos, fui
el Creador del mundo, y yo mandé a mi Hijo para salvar a la Humanidad.
Y yo me compadezco del hombre desde hace siglos, y el hombre tan cruel
no tiene compasión de su Dios. ¿Hasta dónde vais a
llegar, hijos míos, con vuestras ideas destructoras? Respetad a
la Iglesia. Amad al Santo Padre. Obedeced. Veréis cómo vuestro
camino es suave y ligero. Pero ¿sabéis por qué no
podéis con la carga, hijos míos? Porque os falta humildad
y no queréis aceptar ni reconocer las verdades que están
escritas. Cumplid con los mandamientos, hijos míos. Acercaos a los
sacramentos. Renovad vuestra vida. Perseverad.
LA VIRGEN:
¡Ay, hija mía, qué dolor siente mi Corazón,
mi Corazón de Madre, hija mía! Dicen que mi Corazón
no sufre; mira cómo está mi Corazón, hija mía:
atravesado y lleno de espinas.
Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos pecados
como se cometen contra mi Inmaculado Corazón... El mundo, hija mía,
está desmoralizado(1). Mi Corazón puro e inmaculado sufre
por la Humanidad. No le dan importancia al pecado, hija mía; por
eso los pecados los convierten en virtudes y las virtudes en pecados, hija
mía.
Orad mucho, orad mucho, hijos míos, y amaos unos a otros. Es la
falta de amor, la falta de respeto hacia Dios, la que hace caminar al mundo
a este trastorno. Por eso hago una llamada a mis sacerdotes, a todos aquéllos
que sean limpios de corazón: hijos míos, no retrocedáis,
caminad con paso firme y seguro por las huellas que caminó Cristo.
No seáis cobardes, hijos míos.
EL SEÑOR:
Yo quiero que el hombre conozca mi Evangelio tal como está escrito;
sin deformación, hijos míos, porque los hombres están
confundidos, porque muchos de vosotros los habéis confundido, hijos
míos. Por eso el hombre no cambia, porque cree que está salvado
haga lo que haga; y por eso comete pecados, porque les habéis enseñado
que los pecados no son pecados, ni tienen importancia los pecados. ¿Hasta
dónde queréis llegar, hijos míos?
Y vosotros laicos, seglares casados, caminad y renovad vuestro espíritu,
y haced todos una gran masa, con el Evangelio en la mano y defendiendo
y amando a la Iglesia, al Santo Padre, y a los obispos, para que ellos
puedan trabajar sin temor y con fortaleza. Orad, orad, hijos míos.
Extended la Comunidad, para que las almas se multipliquen y viváis
como los cristianos. ¡Ay, hijos míos, aquél que deje
a su padre, a su madre, a su hermano, a su hermana, por mi amor, le daré
un premio en la eternidad! Quiero, hijos míos, comunidades donde
el maligno puede menos atacar. Donde hay varios juntos en mi Nombre, allí
estoy yo presente. Yo soy vuestra fortaleza. Yo soy la Verdad, el Camino
y la Vida. No busquéis la vida en el ser humano, que es corrupto;
buscad la vida en el Incorrupto.
LA VIRGEN:
Acudid a este lugar. Amaos unos a otros, hijos míos, como Cristo
os ama, y sed valientes, sin fanatismo, hijos míos, pero sí
con humildad y con la verdad. Y amad mucho a la Iglesia de Cristo.
Nunca está el mundo como está en esta situación, hijos
míos.
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones
especiales para la conversión de las almas...
Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo
y con el Espíritu Santo.
(1) “Desmoralizar”
no significa aquí “desalentar”, sino “corromper las costumbres con
malos ejemplos o doctrinas perniciosas”, según la primera acepción
del verbo. Cf. Mensaje 7-7-2001.
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5
avril 1997
Notre Seigneur :
Ma fille, le monde empire de jour en jour. La corruption des hommes est
en recrudescence. Regarde comment est le monde. L'homme ne veut pas accepter
la
Loi de Dieu. Dieu est méprisé, ma fille. Les fils ne respectent
pas l'obédience à Dieu, la soumission à leurs parents,
l'obéissance. Je t'ai déjà dit, ma fille, que le monde
est tellement corrompu jusque dans ses fondements, que la mesure des péchés
est comble sur tout le globe terrestre, ma fille. Les hommes sans Dieu
sont des bêtes sauvages. Ils ne cherchent qu'à détruire.
Ils se détruisent eux-mêmes et ils détruisent l'humanité.
L'homme ne pense qu'à ses intérêts. Ma fille, Dieu
a disparu de la pensée de l'homme, et c'est l'homme qui a écarté
Dieu. L'homme concentre ses pensées dans le dévergondage
du monde. Chacun ne s'occupe que de soi-même. Les péchés,
l'immoralité, le manque d'amour, les crimes : voilà, ma fille,
tout ce qui accable la terre. Et Dieu manifeste sa patience, malgré
la si grande cruauté des hommes, dans l'espoir d'appliquer sa miséricorde
à tous ceux qui voudront bien revenir à Moi.
L'homme a perdu la
foi, le monde sans amour périt, ma fille. Je veux de l'amour, des
bonnes œuvres. Je ne veux pas de palabres, et les hommes n'en restent qu'à
la parole. Jusqu'à quand, mes enfants, Dieu doit-il attendre que
l'homme se convertisse et demande pardon ? Le monde s'achemine vers la
destruction, ma fille. C'est pourquoi Je lance un appel, Je demande à
vous tous qui menez une vie correcte, à vous qui aimez Dieu et qui
mettez ses lois en pratique, Je vous lance un appel à tous, mes
enfants : aux évêques, aux prêtres, aux familles, aux
jeunes, aux veufs, à vous tous qui aimez Dieu, mes enfants. Offrez
des sacrifices, des pénitences, des prières, pour contrebalancer
le déséquilibre existant entre le bien et le mal, avec vos
bonnes œuvres, vos sacrifices et vos pénitences. Mais surtout, mes
enfants, l'homme qui n'aime pas n'a pas la vie. L'amour c'est la vie. Je
suis venu par amour donner la vie aux hommes. C'est pourquoi aujourd'hui,
mes enfants, Je vous le répète : vous tous qui aimez mon
Divin Cœur et le Cœur Immaculé de ma Mère, n'ayez peur de
rien ni de personne, car Je vous protégerai, quoi qu'il arrive,
mes enfants.
La Très Sainte
Vierge : Et Moi, mes enfants, Je vous abriterai tous sous mon manteau,
parce qu'à la fin mon Cœur Immaculé triomphera.
Notre Seigneur :
Quel triste monde ! Si chacun revenait à la place qui lui correspond,
le monde changerait : si les familles, qui sont détruites, se réunissaient
dans la sainte crainte de Dieu, si les prêtres, qui se sont écartés
du chemin de l'Evangile, étaient obéissants à leurs
évêques, au Saint-Père, si les couples se respectaient,
et s'il n'y avait pas cette immoralité, le monde entier serait dans
le calme et dans la paix, et Dieu régnerait dans chacun de ces cœurs.
C'est pourquoi Je lance cet appel à vous tous qui renoncez à
vous-mêmes, aux plaisirs du monde, au confort, et à vous qui
faites de bonnes œuvres. Mes enfants, c'est la charité qui manque
dans le monde. L'homme a oublié qu'il a un cœur.
Ah, mes enfants,
changez vos vies, et tournez. . .
Amparo : Ah, ce qui
peut
arriver, mon Dieu !
La Très Sainte
Vierge : Tournez votre regard, et mettez en pratique, mes enfants, les
commandements de la Loi de Dieu. Confessez vos fautes. Approchez-vous du
Sacrement de l'Eucharistie et de la Pénitence. Et vous, pasteurs
qui vous êtes écartés du chemin droit et sûr,
revenez sur la bonne route : Je vous attends, mes enfants, Je vous comblerai
de grâces, Je remplirai vos cœurs d'amour et J'y mettrai un aimant
afin que vous puissiez conquérir les âmes. Pour que le monde
change, mes enfants, vous devez tous changer. Je vous le répète,
le monde sans amour s'achemine vers une destruction.
Accourez en ce lieu,
mes enfants : vous tous qui y viendrez, vous obtiendrez des grâces
très spéciales, et rien de ce qui pourra arriver ne vous
affectera. Mais je vous demande, mes enfants, d'être sur vos gardes,
car les faux prophètes abondent. Regarde, ma fille, de tous côtés
les faux prophètes sont en train d'envahir le monde. Ne les suivez
pas, mes enfants. Savez-vous à quoi l'on reconnaît le prophète
authentique ? A son obéissance envers la Sainte Mère l'Eglise,
à ses messages universels pour le monde, au fait qu'il ne se croit
pas supérieur aux autres, à son humilité. Mais beaucoup
d'entre vous, vous les suivez parce que vous aimez entendre que vous êtes
sauvés, que vous êtes choisis, que vous avez un rôle
à remplir sur la terre, parce que Dieu vous a choisis. Mes enfants,
chez beaucoup d'entre vous votre vanité vous perd ! Dieu vient corriger
les hommes, il ne vient pas les louer ni les glorifier. C'est à
cela que vous reconnaîtrez si c'est un prophète envoyé
par le Ciel. Ecartez-vous de ceux qui vous flattent, et acceptez la correction,
mes enfants. Beaucoup de faux prophètes n'obéissent pas à
l'Eglise, et combien d'entre eux ont détruit beaucoup de bons prêtres
et de bons théologiens, en leur disant qu'ils sont choisis et qu'ils
ont une mission. Et ils les suivent, en en faisant des idoles. Combien
d'âmes, ma fille, sont entraînées par tous ces gens-là
! Ils veulent retirer les âmes de l'endroit où Dieu envoie
des grâces et où Il se manifeste, pour pouvoir avoir eux-mêmes
leur propre secte ! Oui, mes enfants, beaucoup d'entre eux ne donnent pas
un message. . .
Amparo : Ah, quelle
horreur ! Tous ceux qui les suivent !
La Très Sainte
Vierge : Ils sont trompés, parce que ceci leur plaît, ma fille,
parce qu'ils ne donnent pas un message universel au monde, mais un message
pour chacun. Ils ne leur disent pas : partagez avec les autres, aimez votre
prochain, ne soyez pas orgueilleux, mais humbles. L'homme n'aime que les
louanges, il n'aime pas la correction ni le conseil. Si beaucoup les suivent,
regarde-les, ma fille, c'est parce qu'ils ne le remarquent pas. Beaucoup
d'entre eux sont menés par Satan. Combien disent qu'ils parlent
avec l'Esprit Saint par téléphone, qu'ils parlent avec Dieu
le Père. Mais, mes enfants, jusqu'où voulez-vous donc arriver
? Ne craignez-vous pas la Divine Majesté de Dieu, mes enfants ?
Ils commettent des sacrilèges avec l'Eucharistie, en disant qu'ils
ont des communions mystiques. Ah, mes enfants, quand vous vous présenterez
devant Dieu, votre jugement sera terrible. Dieu vient enseigner l'homme,
et lui rappeler l'Evangile, l'unité, l'amour, le don de soi, la
pauvreté, la prière, le sacrifice. Mais beaucoup d'entre
vous, mes enfants, vous remuez seulement les lèvres dans ces réunions,
sans discerner la fausseté ni l'hypocrisie. Quelle peine éprouve
mon Cœur ! Tout cela n'est qu'une manière d'enlever les âmes
des endroits où Dieu se manifeste pour les confondre, les enorgueillir
et les détruire. Ce sont tous des centres qui veulent attirer l'attention.
Faites attention, mes enfants, il y a beaucoup d'âmes qui se consacrent
à détruire.
Je ne veux pas que
tu t'affliges, ma fille. Je sais que le monde t'a traité bien mal
depuis ton enfance, mais depuis ton enfance tu as été choisie
pour souffrir, pour endurer des épreuves pour le bien de l'humanité
; et pour te corriger de tes misères, ma fille, J'ai appliqué
ma miséricorde. Mais Je ne veux pas que tu sois affligée.
Je t'ai dit, ma fille, de ne pas être angoissée, car Je placerai
sur ton chemin des âmes qui t'aideront à faire progresser
cette Œuvre. Pense que c'est une Œuvre de Dieu, et Dieu mettra sur ton
chemin des âmes pour t'aider.
Beaucoup profitent
de ces manifestations pour s'enrichir, et non pas pour les pauvres, ma
fille, et beaucoup s'enrichissent en vendant des objets religieux pour
dépenser leurs gains en orgies et en péchés d'immoralité.
Quelle peine me donnent ces âmes, ma fille ! Priez pour elles et
aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés. Et soyez humbles,
mes enfants, très humbles. Sans humilité on n'atteint pas
le Ciel.
La Très Sainte
Vierge : Baise le sol, ma fille, en réparation de tant d'offenses
que l'on commet contre mon Cœur Immaculé.
Notre Seigneur :
Ma fille, ton cœur est triste. Tu m'as dit de tailler en toi partout. Je
taille, mais tout a une valeur pour la conversion des âmes. Ne sois
pas triste, ma fille, ton cœur souffre beaucoup.
Amparo : (elle sanglote)
Seigneur, aide-moi, Seigneur ! Aide-moi, Seigneur ! Aide-moi, Seigneur,
ne m'abandonne pas, Seigneur ! Sans Toi je ne peux pas vivre. Aide-moi
! Je te demande, Seigneur, de m'aider et de placer des personnes pour m'aider
à faire progresser cette Œuvre. Seule je ne puis rien, Seigneur,
mais Toi Tu peux tout. Seigneur, si je ne peux pas voir mon fils. . .,
c'est Toi qui le veux pour le bien de l'humanité. . . Que Ta Volonté
soit faite, Seigneur. . . Aide-moi, Seigneur, à être humble,
à être patiente ! . . . Seigneur. . .
Notre Seigneur :
Je te l'ai dit, ma fille : Je mettrai de bonnes âmes sur ton chemin,
et souvent Je les y ai déjà mises.
Amparo : C'est une
Œuvre si grande que tu veux, Seigneur. . .
Notre Seigneur :
On verra la lumière, ma fille.
Amparo : Aide-moi,
je n'ai pas de forces, Seigneur. . ., je n'ai pas de forces. . .
Notre Seigneur :
Je suis la Force, ma fille. C'est de Moi que tu tireras la force pour avancer
et pour que tout croisse comme Je te l'ai demandé, ma fille.
Amparo : Pardonne-moi,
Seigneur, pardonne mon orgueil, pardonne-moi, Seigneur.
Notre Seigneur :
Baise de nouveau le sol, ma fille, en réparation des péchés
de l'humanité.
La Très Sainte
Vierge : Levez tous les objets : ils seront tous bénis avec des
bénédictions spéciales pour le Jour des ténèbres,
ma fille.
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
5 DE ABRIL DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía, el mundo está cada vez peor, los hombres se han
recrudecido, hija mía. Mira cómo está el mundo: el
hombre no quiere aceptar la Ley de Dios. Dios es despreciado, hija mía.
Los hijos no respetan estar bajo el mandato de Dios, ni bajo el mandato
de sus padres, ni la obediencia, hija mía. Ya te dije que el mundo
está tan corrupto, desde sus cimientos, que los pecados ya han colmado
todo el globo terrestre, hija mía. Los hombres sin Dios son fieras
salvajes, hija mía; no intentan nada más que destruir; se
destruyen ellos mismos y destruyen a la Humanidad. El hombre sólo
piensa en sus intereses. El hombre, hija mía, Dios ha aparecido
de su pensamiento, pero él le ha hecho desaparecer. Todos sus pensamientos
están en el desenfreno del mundo; cada uno mira para sí mismo.
Los pecados, la inmoralidad, el desamor, los crímenes, todo, hija
mía, es lo que rodea al globo terrestre. Y aquí está
todo un Dios paciente, a pesar de los hombres ser tan crueles, esperando
aplicar la misericordia sobre todos los que quieran llegar a mí.
El hombre ha perdido la fe. El mundo sin amor perece, hija mía.
Yo quiero amor, buenas obras; no quiero palabras, y los hombres sólo
se quedan en la palabra. ¿Hasta cuándo, hijos míos,
todo un Dios tiene que estar esperando al hombre que se convierta y pida
perdón? El mundo camina hacia la destrucción, hija mía;
por eso pido y hago un llamamiento a aquéllos que llevéis
una vida correcta, aquéllos que améis a Dios y cumpláis
sus leyes. Hago un llamamiento a todos, hijos míos: a obispos, sacerdotes,
familias, jóvenes, viudos, a todos los que amáis a Dios,
hijos míos: ofreced sacrificios, penitencias, oración, para
nivelar la balanza, que está desnivelada, con vuestras buenas obras,
vuestros sacrificios y vuestras penitencias; pero sobre todo, hijos míos,
el hombre que no ama no tiene vida; el amor es vida. Yo vine por amor a
dar vida a los hombres; por eso hoy, hijos míos, os repito que todos
los que améis mi Divino Corazón y el Inmaculado Corazón
de mi Madre, no tengáis miedo a nada ni a nadie, pues yo os protegeré
pase lo que pase, hijos míos.
LA VIRGEN:
Y yo, hijos míos, os cubriré con mi manto a todos, porque
al final mi Corazón Inmaculado triunfará.
EL SEÑOR:
¡Qué pena de mundo! ¡Si todo se volviera a su lugar,
el mundo cambiaría! Si las familias —están destruidas— se
reunieran en el santo temor de Dios; los sacerdotes que se han retirado
del camino del Evangelio fueran obedientes a sus obispos, al Santo Padre...
Si las parejas se respetasen y no hubiese esta inmoralidad, todo el mundo
estaría en calma y en paz, y Dios reinaría en cada uno de
estos corazones. Por eso hago este llamamiento a todos aquéllos
que renunciáis a vosotros mismos, a los placeres del mundo, a las
comodidades; y aquéllos que hacéis buenas obras, hijos míos:
la caridad es lo que falta en el mundo; el hombre ha olvidado que tiene
corazón.
¡Ay, hijos míos!, cambiad vuestras vidas y volved...
LUZ AMPARO:
¡Ah..., lo que puede suceder, Dios mío!
EL SEÑOR:
Volved vuestra mirada y cumplid, hijos míos, los mandamientos de
la Ley de Dios. Confesad vuestras culpas. Acercaos al sacramento de la
Comunión y de la Penitencia; y vosotros, pastores, aquéllos
que os habéis retirado del camino recto y seguro, volved a vuestro
camino, que yo os espero, hijos míos, y os colmaré de gracias,
y llenaré vuestros corazones de amor, y pondré imán
en ellos, para que podáis conquistar a las almas. Para que el mundo
cambie, hijos míos, tenéis que cambiar todos. Os repito:
el mundo sin amor camina hacia una destrucción.
Acudid a este lugar, hijos míos, que todos los que acudáis
a él tendréis gracias muy especiales y nada de lo que pueda
suceder os afectará. Pero os pido, hijos míos: tened cuidado,
porque hay mucho falso profeta. Mira, hija mía, por todas partes,
los falsos profetas están invadiendo el mundo; no vayáis
detrás de ellos, hijos míos. ¿Sabéis cómo
se conoce el profeta que no es falso?: por su obediencia a la Santa Madre
Iglesia, por sus mensajes universales para el mundo, por no creerse superiores
a los demás; por su humildad. Pero muchos de vosotros vais detrás
de ellos, porque os gusta que os digan que estáis salvados, que
sois escogidos, que tenéis un puesto que cumplir en la Tierra, porque
Dios os ha escogido a cada uno; y ¡cuántos de vosotros, hijos
míos, vuestra vanidad os pierde! Dios viene a corregir a los hombres,
no viene a alabarlos ni a glorificarlos. Ahí es donde tenéis
que daros cuenta si es un profeta enviado del Cielo. Retiraos de los que
os halagan, y aceptad, hijos míos, la corrección. Muchos
profetas falsos no obedecen a la Iglesia, y cuántos han destruido
a muchos sacerdotes y teólogos buenos, diciéndoles que son
escogidos y que tienen una misión, y van detrás de ellos,
haciéndolos ídolos. ¡Cuántas, hija mía,
almas son arrastrados por todos ellos!; quieren sacar a las almas del lugar
donde Dios manda gracias y se manifiesta, para ellos tener su propia secta.
Sí, hija mía, muchos de ellos no dan un men...
LUZ AMPARO:
¡Ay, qué horror, todos los que van detrás!
EL SEÑOR:
Son engañados, porque les gusta, hija mía, porque no dan
un mensaje universal al mundo, sino un mensaje para cada uno. No les dicen:
“Compartid con los demás, amad a vuestro prójimo, hijos míos;
no seáis soberbios, sed humildes”. Al hombre no le gusta nada más
que la alabanza; no le gusta la corrección ni el consejo; por eso
muchos —míralos, hija mía— van detrás de ellos, porque
no se les nota; muchos de ellos Satanás los dirige, hija mía.
Cuántos dicen que hablan con el Espíritu Santo por teléfono,
que hablan con Dios Padre; pero, hijos míos..., pero, ¿hasta
dónde queréis llegar? ¿No tenéis miedo a la
Divina Majestad de Dios, hijos míos? Cometen sacrilegios con la
Eucaristía, diciendo que tienen comuniones místicas. ¡Ay,
cuando os presentéis ante Dios, hijos míos, vuestro juicio
será terrible! Dios viene a enseñar al hombre y a recordar
al hombre el Evangelio, la unidad, el amor, la entrega, la pobreza, la
oración, el sacrificio; pero muchos de vosotros sólo movéis
los labios en esas reuniones, hijos míos, sin distinguir la falsedad
y la hipocresía. ¡Qué pena siente mi Corazón!
Todo es una manera de sacar a las almas donde Dios se manifiesta para confundirlas,
envanecerlas y destruirlas. Todos son centros que quieren llamar la atención.
Tened cuidado, hijos míos, que hay muchas almas que se dedican a
destruir.
No quiero que te aflijas, hija mía; ya sé que el mundo te
ha tratado mal, hija mía, desde muy niña; pero desde muy
niña fuiste escogida para sufrir, padecer por el bien de la Humanidad;
y para corregirte tus miserias apliqué mi misericordia, hija mía;
pero no quiero que nada te aflija. Yo dije, hija mía, que no te
angustiaras, que yo pondré en tu camino almas que ayuden a sacar
esta Obra adelante; piensa que es una Obra de Dios y Dios te pondrá
en el camino a las almas, para ayudarte.
Muchos se benefician de estas manifestaciones para lucrarse de ellas, no
para los pobres, hija mía, y muchos se lucran vendiendo cosas religiosas
para emplearlo en orgías y pecados de inmoralidad. ¡Qué
pena me dan esas almas, hija mía! Pedid por ellos y amaos unos a
otros como yo os he amado, y sed humildes, hijos míos, muy humildes;
sin humildad no se consigue el Cielo.
LA VIRGEN:
Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantas ofensas
como se cometen a mi Inmaculado Corazón...
EL SEÑOR:
Hija mía, tu corazón está triste; tú me has
pedido que corte de ti por donde quiera. Yo estoy cortando, hija mía,
y corto; pero todo, hija mía, tiene un valor para la conversión
de las almas. No te entristezcas, hija mía, tu corazón sufre
mucho.
LUZ AMPARO:
(Entre sollozos). Señor, ayúdame, Señor..., ayúdame.
Ayúdame, Señor. ¡Ay, ay, ay, ayúdame, Señor!
¡No me abandones, Señor; ay, yo sin Ti no puedo vivir! ¡Ay,
ayúdame...! Te pido, Señor, que me ayudes y me pongas a personas
para ayudar a sacar esta Obra adelante... Por mí sola no puedo nada,
Señor, pero Tú lo puedes todo. (Con fatiga). ¡Ay, ay,
ay...! Señor..., también, si no puedo ver a mi hijo... Tú
lo quieres por el bien de la Humanidad... Hago tu voluntad, Señor...
¡Ay, ay, ay...! ¡Ayúdame, Señor, a ser humilde...,
a ser paciente, Señor...!
EL SEÑOR:
Te he dicho, hija mía, que te pondré almas buenas en el camino;
y en sí, muchas veces, te las he puesto.
LUZ AMPARO:
Es una Obra tan grande la que quieres, Señor...
EL SEÑOR:
Ya se verá la luz, hija mía.
LUZ AMPARO:
Ayúdame, que no tengo fuerzas, Señor... No tengo fuerzas...
EL SEÑOR:
Soy la Fortaleza, hija mía; de mí sacarás la fuerza
para caminar y para que todo crezca como yo te he pedido, hija mía.
LUZ AMPARO:
Perdóname, Señor, por mi soberbia... Perdóname, Señor.
LA VIRGEN:
Vuelve a besar el suelo, hija mía, en reparación de los pecados
de la Humanidad...
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones
especiales para el día de las tinieblas, hija mía...
Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo
y con el Espíritu Santo.
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3
mai 1997
La Très Sainte
Vierge : Ma fille, Je viens aujourd'hui avec mon manteau d'or, à
cause de toutes les prières, de tous les Ave Maria que Je reçois
en ce lieu ; il y a pourtant de nombreux curieux, ma fille, mais beaucoup
d'âmes se sont converties et ont abandonné leur vie de péché
pour une vie dans la grâce ; c'est pourquoi Je vous protégerai
tous sous mon manteau, vos cantiques arriveront à la cour céleste.
C'est le mois de Marie. Presque partout dans le monde on a oublié
ce mois si beau, au cours duquel hommes, femmes, enfants élevaient
leurs cœurs vers le Ciel et les réunissaient au Mien avec des prières
et des chants. Les enfants élevaient leur petit cœur et les poésies
qui sortaient du plus profond de leur cœur innocent se joignaient aux chants
des anges. En beaucoup d'endroits, ma fille, cette dévotion s'est
perdue, la dévotion à Marie est oubliée.
Je suis Marie, votre
Mère Pure et Immaculée. Dieu a fait en Moi un paradis et
Il y a réalisé des merveilles. Il a mis ses complaisances
en moi et Il s'est réjoui dans mon Cœur. Il a permis que le Verbe
Incarné descende dans mes entrailles. Le Verbe s'est incarné
en moi et Il m'a divinisée. C'est pourquoi, ma fille, Je demande
que les hommes s'approchent de moi, ceux qui sont affligés et dans
la peine, ceux qui sont loin de mon Fils. Je suis le chemin le plus court
pour parvenir jusqu'à Lui. Je vous aime, mes enfants, et Je veux
vous conduire à mon Fils. Voilà pourquoi Je vous dis : celui
qui aime Marie aime Jésus. C'est pourquoi Dieu veut que Je sois
la Porte du Ciel, le Refuge des pécheurs, la Consolation des affligés,
et tant et tant d'autres titres que J'ai acquis, comme le fait d'être
Pure et Immaculée dans l'enfantement, après l'enfantement
comme avant l'enfantement. Comment les hommes veulent-ils m'écarter
comme une femme qui a eu un fils par l'intermédiaire d'un homme,
et m'enlever toutes les grâces et tous les titres que Dieu a voulus
pour Moi. Dieu a voulu que Je les acquière et c'est pourquoi Je
suis Pleine de grâce.
Amparo : Ah, quelle
beauté, ma Mère ! . . .
La Très Sainte
Vierge : Belle entre toutes les femmes.
Amparo (elle soupire)
: Ah, quelle beauté ! Ah !
La Très Sainte
Vierge : Ne me mettez pas de côté, mes enfants. Dieu n'est
pas content si vous m'ôtez de la place qui me revient en tant que
Mère de Dieu.
Notre Seigneur :
Oui, mes enfants, c'est le mois de Marie. Marie, la Mère du Rédempteur
et de toute l'humanité. Celui qui n'aime pas Marie n'aime pas Jésus.
Combien de fois vous ai-Je répété que nous sommes
deux Cœurs en un seul. Le Cœur de ma Mère est uni au mien et personne
ne peut l'en séparer, mais les hommes ont perdu toute l'attention,
toute la dévotion à l'égard de cette Mère pure
et Immaculée. Si Elle est la Porte du Ciel, mes enfants, vous devrez
entrer par Elle. Elle est l'Arche d'Alliance, le Paradis où Je me
suis complu. Ne la mettez pas de côté, mes enfants : Je lui
ai donné beaucoup de grâces afin qu'Elle les déverse
sur l'humanité. C'est Elle qui intercède pour vous. Elle
est la Mère de tous les pécheurs. Elle veut que tous les
hommes se repentent et qu'ils viennent à Moi ; mes enfants, Elle
est constamment en train d'intercéder pour vous tous. Aimez-La beaucoup
! Si vous n'aimez pas ma Mère, vous ne pouvez pas me donner satisfaction.
Dans le monde l'amour a disparu, ainsi que l'unité entre les chrétiens.
Soyez miséricordieux comme J'ai été miséricordieux.
Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés. La mesure dont vous vous
servez, servira également pour vous.
Toi, ma fille, aime
ceux qui te calomnient, prie pour ceux qui te diffament. Pense que l'homme
méchant ne peut pas dire de bonnes paroles. L'homme méchant
parle de ce qu'il a dans le cœur. L'homme méchant est semblable
au mauvais arbre qui ne peut pas donner de bons fruits : son fruit sera
pourri. Mais un arbre bon et sain, ma fille, donnera des fruits bons et
sains. Pense, ma fille, que sur une aubépine on ne peut pas cueillir
des pommes, ni des poires sur un genévrier. Ce sont des arbustes
piquants et amers. Voilà pourquoi, ma fille, Je te le dis : ne te
laisse pas affliger par toutes ces langues mauvaises et perverses qui veulent
cacher leur perversité et leur méchanceté devant les
hommes en distribuant des livres et en feignant de faire de bonnes œuvres.
Ma fille, une âme perverse et orgueilleuse, qui ne cherche qu'à
aller ici et là répandre le venin qu'elle porte en elle,
et à rendre la vie impossible à tous ceux qui vivent autour
d'elle, crois-tu, ma fille, que cette âme puisse être en état
de grâce ? Continue à prier pour ces âmes, afin que
leur méchanceté et leur perversité disparaissent de
leurs esprits déséquilibrés et détraqués.
Pense que là où est Dieu, l'ennemi n'aura pas de pouvoir.
Priez beaucoup, mes
enfants, car il y a beaucoup d'âmes perturbées qui ne laissent
pas paraître leur perturbation ; elles font du tort à l'humanité
et entraînent les âmes.
La Très Sainte
Vierge : Priez. Priez et faites pénitence, mes enfants, pour ceux
qui ne prient pas et qui ne font pas pénitence. Aimez-vous les uns
les autres comme le Christ vous aime.
Accourez en ce lieu
: vous y recevrez des grâces spéciales dans vos cœurs, mes
enfants. Ce mois de Marie sera un mois où J'épancherai tout
mon Cœur par des rayons de lumière en direction des hommes.
Levez tous les objets
: ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour le Jour des ténèbres.
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
3 DE MAYO DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía, hoy vengo con mi manto de oro, de todas las oraciones
y avemarías que recibo en este lugar. Aunque hay muchos curiosos,
hija mía, pero muchas almas se han convertido y han cambiado la
vida de pecado por la vida de la gracia; por eso hoy protegeré a
todos con mi manto, sus cantares llegarán a la corte celestial.
El mes de María: en la mayoría del mundo se ha olvidado este
mes tan hermoso y tan bello, cuando los hombres y mujeres y niños
levantaban su corazón y lo juntaban junto al mío con plegarias
y canciones. Los niños elevaban su corazoncito, y se juntaba junto
a los ángeles, esas poesías que salían de lo más
profundo de su corazón inocente. En muchos lugares, hija mía,
se ha perdido esa devoción: la devoción a María.
Yo soy María, vuestra Madre Pura e Inmaculada, que Dios hizo un
paraíso dentro de mí e hizo maravillas en ese paraíso.
Él tuvo sus complacencias y se recreaba en mi Corazón. Permitió
que fuese el Verbo encarnado en mis entrañas; se encarnó
dentro de mí y me divinizó. Por eso, hija mía, pido
que los hombres se acerquen a mí, aquéllos que estáis
afligidos y apenados, aquéllos que estáis lejos de mi Hijo;
yo soy el camino más corto para llegar a Él. Yo os amo, hijos
míos, y quiero conduciros a mi Hijo. Por eso os digo que el que
ama a María, ama a Jesús. Por eso Dios quiere que sea la
Puerta del Cielo, el Refugio de los pecadores, el Consuelo de los afligidos,
y tantos y tantos títulos como he adquirido: ser Pura e Inmaculada
en el parto, después del parto, y antes del parto. ¿Cómo
los hombres quieren apartarme como la mujer que tiene al hijo por medio
de varón, y quitarme todas las gracias y los títulos que
Dios ha querido para mí? Dios quiso que los adquiriera y por eso
soy la llena de gracias.
LUZ AMPARO:
¡Ay! ¡Qué belleza, Madre mía!
LA VIRGEN:
La bella entre todas las mujeres.
LUZ AMPARO:
¡Ay, qué belleza, ay!
LA VIRGEN:
No me arrinconéis, hijos míos; que no contentáis a
Dios, si me quitáis del lugar que me corresponde como Madre de Dios.
EL SEÑOR:
Sí, hijos míos, es el mes de María. María,
la Madre del Redentor, de toda la Humanidad. El que no ama a María,
no ama a Jesús. ¡Cuántas veces os he repetido que somos
dos Corazones en uno!: el Corazón de mi Madre está unido
al mío y nadie lo puede separar. Pero los hombres han perdido toda
la atención y devoción a esta Madre Pura e Inmaculada. Si
es la Puerta del Cielo, hijos míos, tendréis que entrar por
ella. Es el Arca de la Alianza, el Paraíso donde yo me recreé
en Ella. No la apartéis, hijos míos, que yo le he dado muchas
gracias para derramarlas sobre la Humanidad. Ella es la que intercede por
vosotros. Es la Madre de todos los pecadores. Quiere que se arrepientan
todos y vengan a mí; constantemente, hijos míos, está
intercediendo por todos vosotros. Amadla mucho. Si no amáis a mi
Madre, no me podéis tener contento a mí. En el mundo ha desaparecido
el amor, la unidad entre los cristianos. Sed misericordiosos como yo fui
misericordioso. No juzguéis y no seréis juzgados; con la
medida que midáis, con esa medida seréis medidos.
Tú, hija mía, ama a los que te calumnian, ora por los que
te difaman. Piensa que el hombre malo no puede hablar cosas buenas. El
hombre malo habla de lo que lleva en su corazón. El hombre malo
es parecido al árbol malo. Un árbol malo no puede dar buen
fruto; el fruto estará podrido; pero un árbol sano y bueno
su fruto será sano y bueno, hija mía. Piensa que de un espino
no se pueden sacar manzanas, hija mía; ni de un enebro, peras. Son
árboles punzantes y amargos. Por eso te digo que no te angusties,
hija mía, por todas esas lenguas malvadas y perversas, que quieren
tapar su perversidad y su maldad ante los hombres repartiendo libros y
aparentando hacer buenas obras. Un alma perversa, hija mía, y soberbia,
que sólo se dedica a ir de lugar en lugar, a sacar toda la maldad
que lleva dentro y hacer la vida imposible a todo el que vive a su alrededor.
¿Cómo crees, hija mía, que esas almas pueden estar
en gracia? Sigue pidiendo por ellas, para que su maldad y su perversidad
desaparezcan de sus mentes desequilibradas y trastornadas. Piensa que donde
está Dios no podrá el enemigo.
Orad mucho, hijos míos, porque hay muchas almas trastornadas, que
no aparentan su trastorno y dañan a la Humanidad, y arrastran a
las almas, hijos míos.
LA VIRGEN:
Orad, orad y haced penitencia, hijos míos, por los que no oran ni
hacen penitencia. Amaos unos a otros como Cristo os ama.
Acudid a este lugar, que recibiréis gracias especiales en vuestros
corazones, hijos míos. Este mes de María será un mes
que yo derrame todo mi Corazón en rayos de luz hacia los hombres.
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones
especiales para el día de las tinieblas...
Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo
y con el Espíritu Santo.
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7
juin 1997
La Très Sainte
Vierge : Ma fille, Je suis revêtue aujourd'hui du vêtement
de la grâce, pour tous ceux qui viendront en ce lieu ; ils seront
protégés sous mon manteau. Le monde, ma fille, continue à
aller de mal en pis. Beaucoup des catholiques disent vivre pour Dieu, mais
ils sont très matérialisés, ma fille, et le monde
les attire plus que le sacrifice et la pénitence. Le monde en est
arrivé à cette limite, parce que l'homme a abandonné
Dieu. Les péchés d'impureté ont envahi le monde, ma
fille, et les hommes n'accordent pas d'importance à ce péché.
Beaucoup d'âmes se damnent à cause des péchés
d'impureté. Le monde est corrompu par une immoralité qui
recouvre les cinq continents. Les foyers sont détruits, parce qu'il
n'y a pas de dialogue entre les hommes, et parce que la femme enlève
la dignité à son mari, et donne de mauvais exemples à
ses enfants. Ne voyez-vous pas, mes enfants, que si vous ne mettez pas
un frein dans leurs vies vous détruisez leurs âmes ? Puisqu'il
n'y a pas de morale dans l'humanité, comment ne surveillez-vous,
pas vos enfants, comment les abandonnez-vous au libre arbitre de Satan
? Quelle triste humanité ! La jeunesse est corrompue à cause
des passions et parce qu'elle ne sait pas dominer les sens de la chair.
Vous, mères, éduquez vos enfants, et vous, pères,
soyez sévères avec eux, car la sévérité
n'enlève pas l'amour que vous éprouvez pour eux, mes enfants
! Quand ils tombent dans la luxure, ils deviennent aveugles ; la passion
les a aveuglés, et désormais le monde les entraîne,
et ils tombent dans tous les péchés du monde ; mais aujourd'hui,
l'être humain ne donne pas d'importance au péché.
Regarde mon Cœur
Immaculé, ma fille. Venez en ce lieu : mon Cœur Immaculé
vous protégera de ce péché d'impureté, car
vous avez perdu la pudeur, mes filles ; venez à Moi : Je vous apprendrai
cette vertu si belle de la pureté et de la virginité. Mon
Cœur Immaculé régnera à la fin des temps.
Notre Seigneur :
Oui, ma fille, Je veux que les hommes vénèrent ma Mère.
Il n'y a jamais eu dans le monde une créature comme elle, et il
n'y en aura jamais plus. Ecoutez ses leçons, mes enfants. Elle sera
une bonne Mère, qui vous protégera sous son manteau, et vous
ne tomberez pas dans les griffes de l'ennemi. Je veux que dans vos foyers
le trône de ma Mère se trouve près de mon trône.
Qu'il y ait deux trônes dans vos maisons : un pour Jésus et
un pour Marie.
La Très Sainte
Vierge : Ma fille, tu vois comme tout a un prix ? Finalement nous avons
triomphé. J'ai dit que Je ne bougerais pas de ce lieu : qui sont
les hommes pour dire où Je dois me manifester ? Ce lieu m'a plu
et Je suis venue vers ce peuple, parce qu'il a besoin de Moi ; et pourtant
beaucoup d'entre eux ont essayé de me chasser d'ici. Il y a plusieurs
années déjà que Je me suis manifestée en ce
lieu, et les hommes, au lieu de faire la paix, ont fait la guerre ; les
uns prétendaient que J'aille ici, d'autres là, et finalement
personne ne m'a placée à l'endroit où Je me suis manifestée
sous le vocable de la Vierge Pure et Douloureuse. Voyez donc comme triomphe
mon Cœur. Soyez persévérants, mes enfants : Je promets à
tous ceux qui reçoivent les grâces et qui viennent en ce lieu
avec constance de ne jamais les abandonner (soupir d'Amparo). Je continue
donc à répéter : Je veux que l'on élève
ici une chapelle en l'honneur de mon Nom, en l'honneur de la Vierge Pure
et Douloureuse, Mère du Rédempteur et Corédemptrice
de l'humanité. Je veux qu'en ces temps où les hommes abandonnent
Dieu, on me place (soupir d'Amparo) à côté du trône
de mon Fils, et qu'on adore mon Fils jour et nuit. Je vous ai demandé
cela bien souvent, mes enfants, et Je répandrai beaucoup de grâces
sur vous tous. Voyez-vous, mes enfants, comme sont utiles vos prières,
comme est utile votre constance ? A celui qui est constant, Dieu accorde
les grâces qu'il demande.
Priez, mes enfants,
priez beaucoup, et faites beaucoup de pénitence, même si les
hommes disent que la pénitence n'est pas nécessaire. Le monde
s'est corrompu par manque de prière et de pénitence. Aimez
l'Eglise. Aimez le Vicaire du Christ.
Luz Amparo : (avec
admiration et surprise) Oh ! . . .
Prêtre défunt
: Je suis dans un lieu où je n'ai pas encore été revêtu
du vêtement de la vie. Mon vêtement est encore celui de la
mort. Mais je veux vous le dire, mes enfants : c'est moi qui ai tout contaminé.
C'est moi qui me suis uni à vous tous, les corrompus, les incrédules.
Nous nous rassemblions pour comploter et pour faire du mal à ces
pauvres âmes, à ces chrétiens. Et beaucoup d'entre
vous avez bu la même amertume que nous leur avions fait boire, car
la justice de Dieu nous l'a fait boire. Je vous demande d'enlever votre
masque et de ne plus proclamer que vous êtes une association de paix,
car non seulement vous n'aimez pas l'Eglise mais vous ne croyez même
pas en Dieu. Ne soyez pas des pharisiens. Faites des actes de contrition
et de repentir, confessez vos fautes, et crachez le venin que vous portez
en vous, mes enfants : cette haine, cette rancœur qui vient de vos ancêtres.
Venez, contrits, et levez vos yeux vers la Divine Majesté de Dieu.
Quant à moi,
j'ai fait le mal au lieu du bien, mais je l'ai reconnu bien tard. C'est
pourquoi je veux lire cette lettre que je porte dans mon cœur, et que mes
proches ne m'ont pas permis de lire devant le peuple de Dieu ni devant
mes supérieurs. J'ai voulu donner témoignage, et je n'aurai
la paix que maintenant que je vous ai lu cette lettre. Mes enfants, oui
je me suis uni à eux pour tramer le mensonge et pour abolir bien
souvent la Loi de Dieu.
Vous n'aimez pas
l'Eglise, mes enfants : comment pouvez-vous alors en parler tellement ?
Et moi qui étais avec vous. . .
Luz Amparo : Oh !
. . .
Prêtre défunt
: Avec quelques-uns d'entre vous, mes enfants, nous avons pris les dîmes
et prémices de l'Eglise. Comment peux-tu parler de l'Eglise, mon
fils, si tu n'as fait que voler Dieu ? Comment peux-tu parler de secte,
si la secte, c'est vous, mes enfants, qui ne voulez pas vous approcher
de l'Eglise : vous en êtes séparés et vous ne l'aimez
pas. Ne voyez-vous pas la grandeur de Dieu ? La Sainte Mère de Dieu,
la Vierge Marie, a obtenu ce qu'Elle voulait. Ne voyez-vous pas, mes enfants,
qu'Elle a enlevé tous les obstacles qui étaient une gêne
sur son chemin, afin de réaliser ce qu'Elle voulait ? Et prenez
garde à ne pas être les prochains, mes enfants. Ne diffamez
pas, ne calomniez pas. Allez confesser vos fautes. Mes enfants, j'ai dit
à l'un d'entre vous que nous nous étions fourvoyés,
et vous continuez à faire la guerre et à semer la discorde.
Je viens remercier
ces anges qui m'ont protégé et soigné ; j'ai trouvé
la paix dans les derniers jours de ma vie auprès d'eux qui priaient
et qui consolaient mon âme de cette tristesse si terrible qui l'accablait.
J'ai poussé
des gémissements jusqu'au moment où je suis arrivé
à lire cette lettre que j'avais en moi. Il y a ici un paradis, mes
enfants, fait par les mains de Dieu, et non par les mains de l'homme, auquel
je ne suis pas encore parvenu. Priez pour moi, mes enfants, priez et faites
des sacrifices, afin que j'arrive bientôt à revêtir
le vêtement de vie.
Et toi, ma fille,
pardonne-moi tout le mal que j'ai fait à ton cœur. Oui, j'ai fait
beaucoup de tort, beaucoup de tort, et j'ai ouvert dans ton cœur une plaie
que tu ne pourras jamais refermer. C'est moi qui en ai été
le promoteur. Jamais je n'aurais cru qu'ils fussent capables d'en arriver
là. . . (Luz Amparo sanglote, balbutie quelque chose et pleure).
Oui, ma fille, oui.
C'est moi qui ai été le promoteur de tout cela. . . (elle
continue à pleurer).
Confessez votre péché,
âmes corrompues. J'ai été l'outrage de ton cœur avec
tous ces gens. Comment, mes enfants, levez-vous encore la tête. .
. ? Demandez pardon pour votre horrible péché.
Notre Seigneur :
Baise le sol, ma fille, pour ces pauvres pécheurs. Pardonne-leur
pour toutes les injures, pour tous les péchés qu'ils ont
commis. Celui qui frappe par l'épée. . . (Bien que Je sois
venu pour rectifier les lois), ma fille, Dieu leur fera payer leur châtiment.
Prêtre défunt
: Oui, maintenant mon âme a trouvé la paix. Merci, mes frères,
pour tout le bien que vous avez fait à mon âme.
Notre Seigneur :
Ma fille, scelle tes lèvres. Cette blessure ne se refermera jamais,
mais pardonne-leur. Je te redis ce que J'ai dit à mon Père
: "Pardonne-leur parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font".
La Très Sainte
Vierge : Levez tous les objets : ils seront tous bénis avec des
bénédictions spéciales. Ils ont tous été
bénis, pour le Jour des ténèbres.
Ma fille, cette bénédiction
apporte avec elle l'amour envers Dieu. Sois très humble, ma fille,
aime l'Eglise, les évêques et le Vicaire du Christ.
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
7 DE JUNIO DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hija mía, hoy mi vestidura es de gracia para todos los que acudan
a este lugar; serán protegidos con mi manto. El mundo, hija mía,
sigue de mal en peor(1). Muchos de los católicos dicen vivir para
Dios, pero están muy materializados, hija mía, y les atrae
más el mundo que el sacrificio y la penitencia. El mundo ha llegado
a este límite, porque el hombre ha abandonado a Dios. Los pecados
de impureza han invadido el mundo, hija mía, y los hombres no le
dan importancia a este pecado. Muchas almas se condenan por los pecados
de impureza. El mundo está corrupto por una inmoralidad que cubre
los cuatro continentes. Los hogares se han destruido, porque no hay diálogo
entre los hombres y porque la mujer quita la dignidad al marido, y da malos
ejemplos a sus hijos. ¿No veis, hijos míos, que si no ponéis
un freno en sus vidas estáis destruyendo sus almas? Si en la Humanidad
no hay moral, ¿cómo no vigiláis a vuestros hijos,
hijos míos, y los dejáis al libre albedrío de Satanás?
¡Qué pena de Humanidad! La juventud se corrompe por las pasiones
y por no saber dominar los sentidos de la carne. ¡Madres: educad
a vuestros hijos; y padres: sed severos con ellos!, que la severidad no
quita el amor que sintáis por ellos, hijos míos. Cuando caen
en lujuria, ya se quedan ciegos; los ha cegado la pasión, y ya el
mundo los arrastra, y caen en todos los pecados del mundo; pero hoy el
ser humano no le da importancia al pecado.
Mira mi Inmaculado Corazón, hija mía... Acudid a este lugar,
que mi Inmaculado Corazón os protegerá de ese pecado de impureza,
que habéis perdido el pudor, hijas mías. Venid a mí,
que yo os enseñaré esa virtud tan hermosa de la pureza y
de la virginidad. Mi Corazón Inmaculado reinará al final
de los tiempos.
EL SEÑOR:
Sí, hija mía, quiero que los hombres veneren a mi Madre.
En el mundo, criatura como Ella no la hubo, ni la habrá jamás.
Aprended de Ella, hijos míos; Ella será una buena Madre,
que os protegerá bajo su manto, y no caeréis en las garras
del enemigo. Quiero que en vuestros hogares esté el trono de mi
Madre junto a mi trono. Que haya dos tronos en vuestras casas: Jesús
y María.
LA VIRGEN:
Hija mía, ¿ves cómo todo tiene un precio?; al final
hemos triunfado. Yo dije que no me movería de ese lugar y que quién
eran los hombres para decir dónde tenía yo que manifestarme.
A mí me gustó ese lugar y vine a este pueblo, porque este
pueblo me necesita; aunque muchos de ellos han intentado echarme de él.
Hace muchos años me manifesté en ese lugar, y los hombres,
en vez de formar paz, hicieron guerra. Unos decían que de aquí
y otros decían que de allí, y al final ninguno me puso en
el lugar donde me manifesté bajo la advocación de la Virgen
Pura Dolorosa. Para que veáis cómo mi Corazón triunfa.
Sed constantes, hijos míos, pues todos los que sois constantes en
recibir las gracias y en acudir a este lugar, os prometo que no os abandonaré
jamás... Por eso sigo repitiendo: quiero que se haga una capilla
en honor a mi nombre, a la Virgen Pura Dolorosa, Madre del Redentor y Corredentora
de la Humanidad. Y que en estos tiempos, donde los hombres abandonan a
Dios, me tengan al lado del trono de mi Hijo, y adoren a mi Hijo día
y noche; esto lo he pedido muchas veces, hijos míos, y derramaré
muchas gracias sobre todos vosotros. ¿Veis cómo sirven vuestras
oraciones, hijos míos, veis vuestra constancia? El que es constante,
Dios le concede las gracias que pide.
Orad, hijos míos, mucho, y haced mucha penitencia, aunque los hombres
digan que no hace falta la penitencia. El mundo se ha corrompido por falta
de oración y de penitencia. Amad a la Iglesia. Amad al Vicario de
Cristo.
LUZ AMPARO:
(Con admiración y sorpresa). ¡Huy!...
SACERDOTE FALLECIDO(2):
Yo estoy en un lugar donde todavía no he sido revestido con la vestidura
de la vida. Estoy vestido con la vestidura de la muerte; pero, hijos míos,
quiero avisaros: yo fui el contaminador, yo fui el que me uní a
todos vosotros, corruptos, incrédulos. Y nos juntábamos para
maquinar y para hacer el mal a estas pobres almas, a estos cristianos;
y muchos de vosotros habéis bebido, porque la justicia de Dios nos
ha hecho beber, la misma amargura que hicimos beber a ellos. Os pido que
os quitéis la mascarilla y no vayáis diciendo que sois una
asociación de paz, porque ni amáis a la Iglesia, ni creéis
en Dios. No seáis fariseos. Id contritos y arrepentidos, y confesad
vuestras culpas, y escupid el veneno que lleváis dentro, hijos míos,
ese odio, ese rencor de vuestros antepasados. Venid contritos, y levantad
vuestros ojos a la Divina Majestad de Dios.
Yo hice mal por bien, pero lo reconocí tarde. Por eso quiero leer
esta carta que llevo en mi corazón, (a) la que los míos no
me dejaron leer ante el pueblo, ni ante mis superiores. Yo quise dar testimonio,
y sólo tendré paz ahora que os he leído esta carta,
hijos míos. Yo me junté junto a ellos para maquinar la mentira,
y abolir muchas veces la Ley de Dios.
Si no amáis a la Iglesia, hijos míos, ¿cómo
habláis tanto de la Iglesia? Si yo con...
(Luz Amparo manifiesta admiración ante lo que ve).
Algunos de vosotros, hijos míos, ha cogido los diezmos y primicias
de la Iglesia. ¿Cómo hablas de la Iglesia, hijo mío,
si sólo has robado a Dios? ¿Cómo hablas de secta,
si la secta sois vosotros, hijos míos, que no queréis acercaros
a la Iglesia y estáis separados de ella? Si no la amáis.
¿No veis la grandeza de Dios? La Santa Madre de Dios, la Virgen
María, ha conseguido lo que quería. ¿No lo veis, hijos
míos, que ha ido quitando todos los obstáculos que estorbaban
en su camino para realizar lo que Ella quería? Y tened cuidado,
que podéis ser vosotros los próximos, hijos míos.
No difaméis ni calumniéis. Id a confesar vuestras culpas.
Hijos míos, a alguno de vosotros os dije que qué equivocados
estábamos, y seguís en la guerra y en la discordia.
Vengo a dar las gracias a estos ángeles que me han protegido y cuidado,
a los que he sentido paz en los últimos días de mi vida junto
a ellas, orando y consolando mi alma de esa tristeza tan terrible que había
dentro de ella.
He gemido hasta llegar a leer esta carta que tenía dentro de mí.
Aquí hay un paraíso, hijos míos, hecho con las manos
de Dios, no con las manos del hombre, al que todavía no he llegado.
Rezad por mí, hijos míos, y orad y haced sacrificios, para
que pronto llegue a vestirme con la vestidura de la vida.
Y tú, hija mía, perdóname tanto daño como hice
a tu corazón. Hice mucho daño, hija mía, mucho daño,
y abrí una herida en tu corazón, de la que nunca podrás
cerrar. Yo fui el promotor. No creí que podían llegar tan
lejos... (Luz Amparo llora con dolor y desconsuelo).
Sí, hija mía, sí; yo fui el promotor...
Confesad vuestro pecado, almas corruptas. Yo fui el escarnio de tu corazón
con todos ellos. ¿Cómo todavía, hijos míos,
tenéis valor? Pedid perdón por vuestro pecado horrendo.
EL SEÑOR:
Besa el suelo, hija mía, por esos pobres pecadores... Perdónalos
por todas las injurias, por todos los pecados que han cometido. El que
a hierro mata... —aunque vine a rectificar las leyes—. Hija mía,
Dios hará que paguen su castigo.
SACERDOTE FALLECIDO:
Ahora sí que siente paz mi alma. Gracias, hermanos míos,
por todo el bien que habéis hecho a mi alma.
EL SEÑOR:
Sí, hija mía, sella tus labios. Esa herida no se cierra jamás.
Y perdónalos. Te digo lo que le dije yo a mi Padre: “Perdónalos,
que no saben lo que se hacen”.
LA VIRGEN:
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones
especiales... Todos han sido bendecidos, para el día de las tinieblas.
Hija mía, esto conlleva el amor a Dios. Sé muy humilde, hija
mía, ama a la Iglesia, a los obispos y a su Vicario.
Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo
y con el Espíritu Santo.
(1) “De mal en peor”=
Locución adverbial en castellano; significa: “Cada vez más
desacertada e infaustamente (con desgracia o infelicidad)”.
(2) “Sacerdote fallecido”:
opuesto a las manifestaciones de Prado Nuevo y al movimiento surgido de
ellas, se arrepintió en los últimos días de su vida.
A Luz Amparo le es concedido contemplarlo al poco de fallecer.
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5
juillet 1997
La Très Sainte
Vierge : Mes enfants, voici votre Mère, la Vierge pure et douloureuse.
Mon Cœur continue à souffrir à cause des péchés
de l'humanité. Les hommes ne changent pas. L'être humain est
de plus en plus déshumanisé, et les hommes ne veulent pas
entendre ni comprendre les mystères de Dieu, ni mettre ses Lois
en pratique. C'est pourquoi Je lance un appel : prêtres du Christ,
dépouillez-vous de l'esprit qui est un obstacle sur votre chemin,
et qui ne vous rend pas heureux, et réjouissez-vous de l'Esprit
de Dieu, apprenez de Lui sa sagesse, remplissez-vous de Lui, et expliquez
aux âmes que cette vie n'est pas la fin de tout.
Beaucoup d'âmes
sont dans la confusion, parce qu'il y a des prêtres qui jettent la
confusion dans la doctrine, et qui croient qu'avec la mort tout s'achève
ici-bas. C'est ainsi, mes enfants, que lorsqu'arrive ce moment du dénouement
fatal, beaucoup regardent autour d'eux et ne trouvent que ténèbres
et obscurité. Pour eux c'est une horreur, un gémissement
et une souffrance. Ils arrivent devant Dieu, et Dieu les envoie dans un
autre lieu parce qu'ils n'ont rien voulu savoir de Lui, et qu'en conséquence
ils ne peuvent être avec Lui. Ils doivent être là où
Il n'est pas, parce qu'ils L'ont repoussé et n'ont pas voulu connaître
les vérités ni les chemins de Dieu. C'est une chose terrible,
mes enfants, lorsque ce moment arrive pour ces âmes. C'est pourquoi
Je vous le demande, mes enfants : repentez-vous, confessez vos fautes,
aimez l'Eglise, car il y a en Elle un banquet : si vous y prenez de cet
aliment, vous obtiendrez la vie éternelle. Allez à Elle,
aimez-La, et vous découvrirez en Elle sa grandeur et sa beauté.
Notre Seigneur :
Mes enfants, prêtres qui marchez sur le chemin du Christ, n'ayez
pas peur et apprenez aux créatures les vérités qu'il
y a dans l'Evangile. Et Je vous le demande à tous, mes enfants :
soyez doux et humbles. Avec l'humilité vous parviendrez à
ne pas vous rebeller contre Dieu. L'homme veut être plus que Dieu,
et combien de fois vous ai-Je dit qu'il n'y a personne comme Dieu. L'homme
en reste à l'humain et oublie le divin, mais quand il arrive devant
Dieu, il ne peut rien faire, parce que Dieu doit appliquer sa Justice.
Les hommes ne pensent qu'à sa Miséricorde, mais que font-ils
de sa Justice ? Dieu vous aime tous, mes enfants, mais Il aime tous ceux
qui veulent s'agenouiller devant Lui, et demander pardon de leurs fautes.
Je vous le dis, mes
enfants : venez à Moi, vous tous qui êtes accablés
et vous tous qui éprouvez de l'angoisse, J'allégerai votre
fardeau et Je guérirai vos angoisses, mes enfants. Ne pensez pas
que Dieu ne vous aime pas, mes enfants. Dieu vous aime, mais L'aimez-vous
vous-mêmes ? Mes enfants, par votre liberté vous vous sauvez
ou vous vous damnez. Car Je vous aime, mes enfants, mais Je ne vous oblige
pas. C'est pourquoi Je vous demande de chercher Dieu, car tous ceux qui
cherchent trouvent. Et Moi J'attends, comme le Père de l'Evangile,
le retour du fils prodigue. Et quand les fils prodigues viennent à
Moi, Je leur donne mon pardon, Je les revêts des meilleurs habits
et Je fais une fête dans le Ciel ; car ces âmes étaient
perdues, et Je les ai retrouvées. Je vous demande donc prière
et pénitence, mes enfants. Sans prière et sans pénitence
l'homme se laisse entraîner par les pièges de l'ennemi.
Soyez très
humbles, mes enfants, et accourez en ce lieu : Je vous donnerai la grâce
de la conversion. Aimez beaucoup l'Eglise du Christ, son Vicaire, et respectez
les évêques. Je le répète encore : celui qui
ne laisse pas son père et sa mère, son frère, sa sœur
à cause de Moi, n'est pas digne de s'appeler mon fils. Beaucoup
ont abandonné le monde, mais ils ont un si grand attachement aux
choses de la chair qu'ils aiment n'importe quel être humain avant
le Créateur. Venez, mes enfants, Je vous attends les bras ouverts,
pour vous bénir et pour vous pardonner. Confessez vos fautes et
approchez-vous du sacrement de l'Eucharistie. Vous verrez comme vous trouverez
la paix dans votre esprit. Soyez humbles, mes enfants.
La Très Sainte
Vierge : Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions
spéciales pour la conversion des pauvres pécheurs.
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
5 DE JULIO DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hijos míos, aquí está vuestra Madre, la Virgen Pura
Dolorosa. Mi Corazón sigue sufriendo por los pecados de la Humanidad.
Los hombres no cambian. Cada día, el ser humano está más
deshumanizado, y los hombres no quieren comprender ni entender los misterios
de Dios, ni cumplir sus leyes. Por eso hago un llamamiento: sacerdotes
de Cristo, despojaos del espíritu que os obstaculice en vuestro
camino y no os siente bien, y regocijaos del Espíritu de Dios y
aprended de Él su sabiduría y llenaos de Él, y explicad
a las almas que esta vida no es el final de todo.
Muchas almas están confundidas, porque hay sacerdotes que confunden
la doctrina, y creen que, con la muerte, aquí se acaba todo; por
eso muchos, hijos míos, cuando llega este momento de este desenlace
fatal, miran a su alrededor y no encuentran nada más que tinieblas
y oscuridad; para ellos es un horror, un gemir y un sufrimiento. Y llegan
ante Dios y Dios los manda a otro lugar, porque no han querido saber nada
de Él, y por eso no pueden estar con Él; tienen que estar
donde Él no esté, porque lo han rechazado y no han querido
saber las verdades ni los caminos de Dios. Eso es terrible, hijos míos,
cuando llega ese momento para estas almas. Por eso os pido, hijos míos:
arrepentíos, confesad vuestras culpas; amad a la Iglesia, hijos
míos, que en ella hay un banquete que, si coméis de él,
conseguiréis la vida eterna. Id a ella y amadla, y veréis
la grandeza que hay en ella y la hermosura.
EL SEÑOR:
Hijos míos, sacerdotes que camináis por el sendero de Cristo,
no os acobardéis, y enseñad a las criaturas las verdades
que hay en el Evangelio. Y os pido a todos, hijos míos: sed mansos
y humildes; con humildad conseguiréis no rebelaros contra Dios.
El hombre quiere ser más que Dios, y cuántas veces he dicho
que ¡nadie como Dios! El hombre se queda en lo humano y olvida lo
divino, pero, cuando llega ante Dios, nada puede hacer, porque Dios tiene
que aplicar su justicia; los hombres sólo piensan en su misericordia,
y ¿dónde dejan la justicia de Dios? Dios os ama a todos,
hijos míos, pero a todo el que quiere doblar la rodilla ante Él
y pedir perdón de sus culpas.
Por eso os digo, hijos míos: venid a mí, todos los que estáis
agobiados y todos los que tenéis angustia, que yo aliviaré
vuestra carga y curaré vuestras angustias, hijos míos. No
penséis que Dios no os ama, hijos míos; Dios os ama, pero
¿le amáis vosotros a Él? Por eso, hijos míos,
en vuestra libertad, os salváis u os condenáis. Porque yo
os quiero, hijos míos, pero no os obligo. Por eso os pido, hijos
míos, que busquéis a Dios, que todo el que busca halla. Y
yo espero, como el padre pródigo, que llegue el hijo pródigo.
Y cuando llegan los hijos pródigos a mí, los perdono y los
visto con las mejores vestiduras y hago una fiesta en el Cielo; porque
esas almas estaban perdidas y las he recuperado. Por eso os pido oración
y penitencia, hijos míos. Sin oración y sin penitencia, el
hombre se deja arrastrar por las asechanzas del enemigo.
Sed muy humildes, hijos míos, y acudid a este lugar, que os daré
la gracia de la conversión, y amad mucho a la Iglesia de Cristo,
hijos míos, a su Vicario, y respetad a los obispos. Por eso sigo
repitiendo que el que no deja a su padre, a su madre, a su hermano, a su
hermana por mí, no es digno de llamarse hijo mío. Muchos
han dejado el mundo, pero tienen tanto apego a las cosas carnales que aman
antes a cualquier ser humano que al Creador. Venid, hijos míos,
que os espero con los brazos abiertos, para bendeciros y para perdonaros.
Confesad vuestras culpas e id al sacramento de la Eucaristía. Veréis
cómo encontráis paz en vuestro espíritu. Sed humildes,
hijos míos.
LA VIRGEN:
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones
especiales para la conversión de los pobres pecadores...
Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del
Hijo y con el Espíritu Santo.
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2
août 1997
La Très Sainte
Vierge : Me voici, mes enfants, comme Reine et Dame de tous les hommes.
Je suis la Reine de tout le créé, aux confins de l'unité
de la Très Sainte Trinité. Je suis l'étincelle qui,
selon la Volonté de Dieu, doit enflammer les cœurs. Je suis la Reine
du Ciel. Je suis le Pont, pour que les hommes s'approchent de l'Eglise.
Et c'est cela que Je viens dire aux hommes et que Je leur dis depuis tant
et tant d'années : c'est mon Cœur Immaculé qui régnera
sur toute l'humanité. Qu'ils n'oublient pas que Je suis la Mère
de Dieu, Corédemptrice avec le Christ et Mère de tous les
hommes. Les hommes veulent m'écarter, ils ne savent pas que c'est
l'heure de Marie. Pourquoi les hommes sont-ils si obstinés et s'entêtent-ils
à me faire disparaître ? Comment une mère ne va-t-elle
pas avertir ses enfants de la situation du monde et du péril qui
les guette !
Notre Seigneur :
Ah! mes enfants ! Sortez des ténèbres, vous qui êtes
pris par elles, et venez à la lumière. La lumière,
en effet, a été faite pour éclairer les ténèbres,
et non les ténèbres pour éclairer la lumière.
Seule l'âme qui est plongée dans les ténèbres
ne peut pas discerner les fruits. Gardez les bons fruits, mes enfants,
ne créez pas la discorde, ne semez pas de calomnies en beaucoup
d'endroits. Celui qui n'est pas contre Moi est avec Moi. Pourquoi ne mettez-vous
pas à profit tous les bons fruits ?
Et toi, ma fille,
ne souffre ni à cause de la calomnie, ni à cause du mépris.
Ceci est de Dieu, et ce qui est de Dieu, personne ne pourra l'abattre.
Et le signe le plus sûr que cette Œuvre est de Dieu, ma fille, c'est
la persécution et la calomnie. Seuls les aveugles, qui vivent dans
l'obscurité, ne veulent pas ouvrir leurs yeux pour voir la lumière.
Mais toi, ma fille, sois fidèle au "oui" que tu m'as donné
; plus il y aura de persécution et de calomnies, plus assuré
est le signe de Dieu.
Aimez-vous les uns
les autres. Priez, mes enfants, faites pénitence et sacrifiez-vous
pour les pauvres pécheurs. Aimez beaucoup l'Eglise. Aimez le Saint-Père.
Tous ceux qui aiment l'Eglise comme le Christ l'a aimée sont persécutés,
et beaucoup sont condamnés à mort, mes enfants. Ne défaillez
pas, mes enfants, que votre foi soit ferme et votre charité profonde.
Et que personne ne vous. . .
Amparo (Elle montre
une grande surprise et pousse une exclamation) : Oh. . . !
Notre Seigneur :
. . . Oui, ma fille, oui, c'est ainsi que les fils des ténèbres
s'emploient à détruire les œuvres de Dieu, en semant, d'un
lieu à un autre, discorde et zizanie.
Mais les hommes doivent
être forts. Et celui qui possède Dieu n'a rien à craindre.
Je hais le mensonge, la tromperie et la calomnie. Je suis votre refuge,
et ceux qui vous persécutent seront un jour avec vous.
Priez, mes enfants,
faites pénitence et sacrifiez-vous, car les hommes ont oublié
que la pénitence et le sacrifice peuvent être une réparation
pour les péchés de l'humanité.
Et vous, prêtres
qui êtes de fidèles témoins de l'Evangile, soyez fermes
et courageux ; convertissez les âmes et priez beaucoup pour que les
religieux et les religieuses forment des jardins frais et luxuriants dans
les couvents, et qu'ils n'aient pas peur. Que celles qui sont fortes s'affermissent
dans le Christ et pour le Christ, et qu'elles ne perdent pas courage. De
vos retraites cachées, mes filles, vous pouvez sauver beaucoup d'âmes,
par votre prière et votre sacrifice. Ne tombez pas en léthargie,
mes filles ! Priez et sacrifiez-vous pour les pauvres pécheurs.
L'esprit se maintient ferme par la prière, mes enfants. Sans la
prière, votre. . . action. . .
Amparo (Elle voit
beaucoup d'âmes.qui prient) : Oh ! Combien ! . . .
Notre Seigneur :
. . . Elles remuent les lèvres, oui, ma fille, mais la prière
ne sort pas de leur cœur. C'est une prière pauvre, mais, même
ainsi, Je la recueille, Je la recueille et Je l'applique aux pauvres pécheurs.
Mais regarde, ma fille, quel est le fruit de la prière qui sort
du cœur. Combien d'âmes sont parvenues à voir la Divine Majesté
de Dieu à cause de la prière bien faite et profonde ! Le
monde a besoin de prière et de pénitence.
Je vous ai tout dit,
et Je vous ai tous avertis. Que puis-Je vous dire encore, mes enfants ?
Ne faites pas la sourde oreille, et écoutez mon Message.
La Très Sainte
Vierge : Venez en ce lieu, mes enfants, vous recevrez beaucoup de grâces
pour vos pauvres âmes. Pauvres pécheurs ! Venez à mon
Cœur et réfugiez-vous en Lui, et Moi Je vous conduirai au Cœur du
Christ, et le Christ au Cœur du Père, et tous ensemble, vous ferez
votre demeure en eux.
Baise le sol, ma
fille, en réparation de tant d'offenses que l'on commet contre mon
Cœur, et des mépris dont on l'accable, ma fille.
Aimez-vous les uns
les autres, mes enfants. L'unité des enfants de Dieu. . . Elle est
si belle, cette unité, mes enfants !
Levez tous les objets
; ils seront tous bénis pour les pauvres pécheurs. . . Ils
ont tous été bénis.
Et Moi, Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
2 DE AGOSTO DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Aquí estoy, hija mía, como Reina y Señora de todos
los hombres. Yo soy la fuente de todo lo creado, fuera de la unidad de
la Santísima Trinidad. Soy la chispa que Dios quiere que alumbre
los corazones. Soy la Reina del Cielo. Soy el puente para que los hombres
se acerquen a la Iglesia. Y es lo que vengo a decir a los hombres, y lo
que les he estado diciendo tantos y tantos años: que mi Inmaculado
Corazón será el que reine sobre la Humanidad; que no olviden
que soy la Madre de Dios, Corredentora con Cristo y Madre de todos los
hombres. Los hombres quieren arrinconarme, no saben que es la hora de María.
¿Por qué los hombres son tan obstinados y se empeñan
en hacerme desaparecer? ¿Cómo una madre no va a avisar a
sus hijos la situación del mundo, y el peligro que los acecha?
EL SEÑOR:
¡Ah, hijos míos!, salid de la tiniebla, aquéllos que
estáis atrapados por ella, y venid a la luz, pues la luz se ha hecho
para alumbrar la tiniebla, no la tiniebla para alumbrar a la luz. Sólo
un alma en tiniebla no puede discernir los frutos. Quedaos con los frutos
buenos, hijos míos, y no seáis discordia y sembréis
calumnia por muchos lugares. El que no está contra mí, está
conmigo. ¿Por qué no aprovecháis todos los buenos
frutos?
Hija mía, tú no sufras ni por la calumnia ni por el desprecio.
Esto es de Dios y lo que es de Dios nadie lo podrá derribar. Es
el sello más seguro, la persecución y la calumnia, de que
esta Obra es de Dios, hija mía. Sólo los ciegos, que viven
en la oscuridad, no quieren abrir sus ojos para ver la luz. Pero, hija
mía, tú sé fiel al “sí” que diste, y cuanto
más persecución y más calumnia, más cierto
es el sello de Dios.
Amaos unos a otros. Orad, hijos míos, haced penitencia y sacrificio
por los pobres pecadores. Amad mucho a la Iglesia. Amad al Santo Padre.
Todo el que ama a la Iglesia, como Cristo la amó, es perseguido,
y muchos condenados a muerte, hijos míos. No desfallezcáis,
hijos míos, que vuestra fe sea firme y vuestra caridad profunda,
y que nadie os..., hija... (Luz Amparo muestra sorpresa).
Sí, hija mía, sí, así se dedican los hijos
de la tiniebla a destruir las obras de Dios: de un lugar a otro sembrando
discordia y cizaña.
Pero los hombres tienen que ser fuertes, y el que tiene a Dios nada tiene
que temer. Yo odio la mentira, el engaño y la calumnia. Yo soy vuestro
refugio. Y los que hoy os persiguen, un día estarán con vosotros.
Orad, hijos míos, y haced penitencia y sacrificio, pues los hombres
se han olvidado que la penitencia y el sacrificio es lo que puede reparar
los pecados de la Humanidad.
Y vosotros, sacerdotes, aquéllos que sois fieles testigos del Evangelio,
sed firmes y valientes; convertid a las almas y orad mucho, para que los
religiosos, religiosas formen jardines frescos y lozanos en los conventos,
y no se acobarden. Las que sean fuertes, que se afiancen en Cristo y por
Cristo, y no desfallezcan. Desde vuestros escondites, hijas mías,
podéis salvar muchas almas, con vuestra oración y vuestro
sacrificio. No os aletarguéis, hijas mías, orad y sacrificaos
por los pobres pecadores. El espíritu se conserva fuerte con la
oración, hijos míos. Sin la oración vuestra acción...
LUZ AMPARO:
(Ve a muchos rezando). ¡Oh! ¡Cuántos!
EL SEÑOR:
Mueven los labios, sí, hija mía, pero no sale la oración
de su corazón. Es una oración pobre, pero, aun así,
la recojo; la recojo y la aplico por los pobres pecadores. Pero mira la
oración salida del corazón, hija mía, el fruto que
tiene. ¡Cuántas almas han llegado a ver la Divina Majestad
de Dios por la oración bien hecha y profunda! El mundo está
necesitado de oración y de penitencia.
Todo lo he dicho, y a todos he avisado. ¿Qué más palabras
puedo decir, hijos míos? No os hagáis los sordos, y escuchad
mi mensaje.
LA VIRGEN:
Acudid a este lugar, hijos míos, que recibiréis muchas gracias
para vuestras pobres almas. ¡Pobres pecadores! Venid a mi Corazón
y refugiaos en él, que yo os conduciré al Corazón
de Cristo, y Cristo al Corazón del Padre, y todos juntos haréis
morada en ellos.
Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantas ofensas
como se cometen contra mi Corazón, y desprecios, hija mía...
Amaos unos a otros, hijos míos. La unidad de hijos de Dios... ¡Es
tan bella esa unidad, hijos míos!
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos para los pobres
pecadores... Todos han sido bendecidos.
Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del
Hijo y con el Espíritu Santo.
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6
septembre 1997
Notre Seigneur :
Mes enfants, Me voici à nouveau pour avertir mes enfants et pour
donner un message à tous les hommes. Les hommes font la sourde oreille
à mes paroles. Pauvre humanité !
Oui, ma fille, les
hommes disent qu'ils ne Me trouvent pas, mais comment pouvez-vous dire,
mes enfants, que vous ne me trouvez pas, alors que Je suis tous les jours
dans le Tabernacle et que Je vous demande : "Venez à Moi, et Je
vous consolerai ! ". Faites-Moi une visite, mes enfants : tous les jours
Je suis seul et triste, en voyant comme l'humanité s'achemine vers
la destruction. Quels tristes hommes, et quelle triste société
! Vous ne me cherchez pas, mes enfants : comment allez-vous me trouver
? Alors que Je suis ici, pour accueillir dans mes bras, comme un ami, tous
ceux qui viendront contrits et repentis ! Venez à Moi, mes enfants,
vos consciences sont endormies. Réveillez-vous, mes enfants, réveillez-vous!
Combien d'âmes se perdent, parce qu'elles ne veulent pas écouter
la Parole de Dieu !
L'humanité
s'embourbe de plus en plus dans la fange de l'immoralité. Votre
Jésus ne vous fait-il pas de la peine, mes enfants ? Quelle tristesse
éprouvent nos Cœurs, alors que Nous répandons des grâces
à foison et que les hommes les foulent aux pieds, de même
qu'ils piétinent mon Sang, alors que les hommes disent que l'enfer
n'existe pas ! Moi Je leur parle de ma Miséricorde, mais Je leur
parle aussi de ma Justice. Qui sera sauvé ? Je vous le dis depuis
de très nombreuses années : ceux qui gardent mes Commandements.
Je ne suis pas un Père qui châtie. Ce sont mes enfants qui
offensent ma Divine Majesté. Mes enfants, Moi Je vous donne des
sources de grâces afin que vous vous y abreuviez, que vous ne vous
perdiez pas et que vous soyez éternellement avec Moi.
Je vous ai déjà
tout dit, mes enfants, et Je continue à répéter, à
répéter encore aux hommes le même message : aimez-vous
les uns les autres, ayez de la compassion à l'égard de mon
Divin Cœur et du Cœur de ma Mère pure et immaculée qui est
entouré de tant d'épines, de tant d'épines provenant
de ces âmes choisies qui induisent les hommes dans la confusion.
Malheur à tous ces pharisiens qui jettent la confusion dans la Parole
de Dieu ! Comment pourrez-vous voir la lumière, mes enfants, alors
que beaucoup d’entre vous sont dans les ténèbres, emplis
de luxure et de péché ? La lumière éclaire
les ténèbres, je l’ai dit de nombreuses fois, mais les ténèbres
n’éclaireront jamais la lumière. Je l’ai déjà
dit, mes enfants, que puis-Je dire de plus ? Repentez-vous, confessez vos
péchés, faites des sacrifices et pénitence.
Baise le sol, ma
fille, en réparation de tant et tant de péchés que
commet le monde et pour tant d’offenses envers nos divins Cœurs.
Je demande le sacrifice
et la pénitence. Aimez-vous les uns les autres et que vos consciences
ne dorment pas. Soyez éveillés, mes enfants.
Levez tous les objets.
Ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour la conversion des pauvres pécheurs. . .
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
6 DE SEPTIEMBRE DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hijos míos, aquí estoy otra vez, avisando a mis hijos, y
dando un mensaje a todos los hombres. Los hombres cierran sus oídos
a mis palabras. ¡Pobre Humanidad!
Sí, hija mía, los hombres dicen que no me encuentran; pero
¿cómo podéis decir, hijos míos, que no me encontráis,
si estoy en el tabernáculo todos los días, pidiéndoos:
venid a mí, que yo os consolaré? Hacedme una visita, hijos
míos, que todos los días estoy solo y triste, viendo cómo
camina la Humanidad hacia la destrucción. ¡Qué pena
de hombres, y qué pena de sociedad! No me buscan, hijos míos,
¿cómo me van a encontrar? Si yo estoy aquí, para que
todo el que venga contrito y arrepentido darle un abrazo de amigo. Venid
a mí, hijos míos, que tenéis vuestras conciencias
dormidas. ¡Despertad, despertad, hijos míos! ¡Cuántas
almas se pierden porque no quieren escuchar la Palabra de Dios!
Cada vez, la Humanidad se mete más en las pocilgas cenagosas de
la inmoralidad. ¿No os da pena de vuestro Jesús, hijos míos?
¡Qué tristeza sienten nuestros Corazones, cuando damos gracias
a raudales y los hombres las pisotean, como pisotean mi Sangre, cuando
el hombre va diciendo que el Infierno no existe! Yo les hablo de mi misericordia,
pero también les hablo de mi justicia. “¿Quién se
salvará?”, les digo hace muchísimos años, hija mía:
los que guarden mis mandamientos. Yo no soy un padre castigador; los hijos
son los que ofenden a mi Divina Majestad. ¡Hijos míos, si
yo os estoy dando fuentes de gracias, para que vayáis a beber y
para que no os perdáis y estéis eternamente conmigo!
Ya os he dicho todo, hijos míos, y sigo repitiendo y repitiendo
a los hombres el mismo mensaje: amor entre unos y otros, compasión
a mi Divino Corazón y al de mi Pura e Inmaculada Madre, que está
rodeado de tantas espinas, de tantas espinas de aquellas almas escogidas
que confunden a los hombres. ¡Ay de todos aquellos fariseos que confunden
la Palabra de Dios! ¿Cómo vais a ver la luz, hijos míos,
si muchos de vosotros estáis en tinieblas, llenos de lujuria y de
pecado? La luz alumbra a la tiniebla, lo he dicho muchísimas veces,
hijos míos; pero la tiniebla a la luz no alumbrará nunca.
Ya he dicho todo, hijos míos, ¿qué más puedo
decir? Arrepentíos, hijos míos, confesad vuestras culpas
y haced sacrificio y penitencia.
Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos
pecados como se cometen en el mundo, y por tantas ofensas a nuestros Corazones...
Sacrificio pido y penitencia. Amaos unos a otros y que vuestras conciencias
no se duerman. Estad despiertos, hijos míos.
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones
especiales para la conversión de los pobres pecadores...
Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo
y con el Espíritu Santo.
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4
octobre 1997
La Très Sainte
Vierge : Me voici, mes enfants, pleine d’amour et de miséricorde.
Mon Cœur déborde d’amour pour les hommes, mais les hommes, chaque
jour, deviennent plus froids et plus distants des choses de Dieu, ma fille.
Notre Seigneur :
Mes enfants, aimez beaucoup ceux qui vous persécutent, priez pour
eux ; pour ceux qui vous calomnient, qui vous diffament, continuez à
prier pour eux. Il n’y a aucun mérite à prier pour ceux qui
vous aiment, le mérite consiste à prier et faire des sacrifices
envers ceux qui vous méprisent. L’amour est la vie, ma fille, l’amour
est rédemption.
Les hommes sont si
obstinés qu’ils ne voient ni n’entendent ; ils se moquent de ma
parole et de mes grâces ; ne le vois-tu pas ma fille, que l’homme
est aveugle et sourd ? Jusqu’où veut-il aller, alors que Dieu lui-même
lui donne des conseils !? Jusqu’à quand ? Les hommes disent qu’il
n’est pas nécessaire que je me manifeste, car le monde est en de
très bonnes conditions. Cœurs froids, ingrats, pharisiens ! Jusqu’où
comptez-vous aller ? Vous ôtez de mon Evangile ce que vous vous voulez,
mes enfants, et vous ajoutez ce qui vous plaît. L’Evangile est un.
Il n’est pas métaphores, mais il est réalité. Quand
vous mourrez, il faudra accepter la mort, et quand viendra la résurrection,
il faudra l’accepter aussi. Mais ne simplifiez pas tout en gloire et en
résurrection sans passer auparavant par la purification et par la
mort.
Avant, nos Cœurs
avaient où se réfugier, parce que les âmes était
pleines de feu et leur cœur rempli d’amour ; mais maintenant les âmes
sont froides et engourdies. Réveillez-vous de cette léthargie,
mes enfants, aimez nos Cœurs. Ne vous moquez pas de mes paroles ni de mes
lois. Je vous l’ai répété nombre de fois, quand vous
me demandiez qui serait sauvé : celui qui observe mes commandements.
Respectez les commandements, mes enfants et vous vous sauverez. Dieu aime
ses créatures, et vous êtes encore aveugles et sourds ? Pas
un signe que je ne vous ai laissé ! Les signes dans mon corps sont
évidents, mes enfants, de l’amour que j’ai pour les hommes, et les
hommes ne pensent qu’à eux, qu’au monde.
Il y a beaucoup de
travail, mes enfants ! Pour tous : laïcs, religieux et prêtres,
il y a beaucoup de travail et peu d’ouvriers. Chaque jour les âmes
se refroidissent de plus en plus et n’acceptent pas les lois de Dieu ;
elles les foulent aux pieds et en rient. Comment Dieu ne va-t-il pas être
près de ses créatures, si le monde, chaque jour, se rapproche
de la destruction ? Désormais mes paroles seront brèves,
mes enfants, Je viens vous en aviser, parce que tout a déjà
été dit, tout, du commencement jusqu'à la fin. Je
suis venu vous rappeler l'Evangile, tel qu'il est écrit. N'y ajoutez
rien, n'en retranchez rien. Malheur à celui qui ajoutera et qui
retranchera !
Aimez l'Eglise, mes
enfants, aimez le Vicaire du Christ, martyr de l'Eglise. Oui, le Vicaire
du Christ est un martyr de l'Eglise. Il n'est pas nécessaire qu'il
meure pour savoir que c'est un martyr. Obéissez-lui, mes enfants.
Nous devons tous obéir.
Luz Amparo : Oui,
Seigneur, nous devons tous obéir. Moi, je veux obéir à
l'Eglise, et l'aimer. Aussi je te le demande, Seigneur, aide-moi à
savoir comment je dois me comporter vis-à-vis d'elle.
Notre Seigneur :
Obéis, ma fille, comme tu as toujours obéi jusqu'à
présent. L'obéissance est le signe que tu aimes l'Eglise
et que tu la protèges. Aussi, Je le répète, tous doivent
lui obéir, et celui qui n'obéit pas à l'Eglise, qui
ne la protège pas et qui ne l'aime pas, n'est pas digne d'être
appelé mon fils. Celui qui vit pour lui-même et qui est plongé
dans le monde, on ne peut pas dire qu'il est au service de mon Eglise ni
qu'il aime mon Eglise. Aimez-la tous ensemble, car celui qui n'est pas
avec Moi est contre Moi, et celui qui est avec Moi n'est pas contre Moi.
Et pour vous, mes enfants, c'est le moment de cueillir les fruits, car
les hommes sont de jour en jour plus éloignés (de Dieu) et
leurs prières sont de plus en plus superficielles. Ah, mes enfants
! Que d'attachements au monde et aux choses du monde ! Dépouillez-vous
de toutes les choses du monde et détachez-vous des choses matérielles.
Laïcs, prêtres et religieuses, soyez des fleurs fraîches,
Je veux en vous de la fraîcheur et de la vigueur. Je ne veux pas
que vous vous flétrissiez, vous qui gardez encore toute votre fraîcheur.
Allez de l'avant, mes enfants, afin que vous soyez un refuge pour nos Cœurs.
Ah, parents, qui
n'éduquez pas vos enfants dans la sainte crainte de Dieu ! Votre
religion, c'est le monde, et c'est cette religion que vous leur inculquez,
en les formant pour le monde ! Vous, les mères, c'est par vos enfants
que vous serez sauvées, mais c'est aussi à cause d'eux, et
avec eux, que vous pourrez vous damner, pour leur avoir inculqué
cette doctrine et pour ne les avoir pas corrigés. Enseignez-leur
qu'ils doivent aimer Dieu, que c'est le premier devoir du chrétien,
sinon ils en resteront au temporel. Oui, beaucoup de mères endoctrinent
leurs enfants pour les conduire dans le monde. . . Malheur à vous
qui leur cachez (l'enseignement de Dieu) et qui les conduisez sur le chemin
de la perdition, parce que vous voulez que vos enfants aient la liberté
! Or cette liberté, à peine ont-ils quitté vos maisons
qu'ils la transforment en libertinage. Donnez-leur la première formation
et le premier enseignement, mes enfants, c'est-à-dire l'Evangile.
Or la préoccupation de chacun d'entre vous, c'est que vos enfants
aient la meilleure formation et la meilleure situation, c'est qu'ils aillent
ici et là, mais vous ne leur inculquez pas cette vérité
: qu'avant tout et par dessus tout il y a leurs âmes. Et quand vous
leur demandez de mettre les commandements en pratique et de prier, ils
n'éprouvent que rejet et dégoût. Qui donc est coupable
de tout cela, mes enfants ? Les mères, oui, souvent, vous, les mères,
qui ne voulez pas que vos enfants soient à Dieu et pour Dieu. Quels
tristes enfants ! Dans quel but les instruisez-vous, mes enfants ! Regarde,
ma fille, toute cette jeunesse en reste aux choses passagères. Or
toutes les choses d'ici-bas passent, l'Eternité ne passe pas, elle
est éternelle.
Mes enfants, tout
reste ici-bas. Les héritages, les choses matérielles, vous
ne pouvez pas les emporter dans la tombe, mes enfants. Les parents se donnent
beaucoup de peine pour que leurs enfants obtiennent de bonnes situations,
et vivent dans les choses du monde. Ils se fatiguent, ils s'y épuisent
afin de leur laisser héritages et richesses, qui ne leur serviront
ensuite qu'à se disputer, se faire la guerre, et pour beaucoup d'entre
eux, se damner. Pourquoi ne leur faites-vous pas comprendre que chacun
doit travailler pour former son foyer ? Vous leur donnez tout, déjà
prêt d'avance. Parents, que faites-vous donc de vos enfants ! Apprenez-leur
à marcher sur le chemin du Christ, et ensuite ne vous préoccupez
pas tant du reste. Pourquoi donc, vous les mères, abolissez-vous
les lois et leur donnez-vous la liberté, avec toutes sortes de cachotteries
et de mensonges, pour leur damnation ! Apprenez-leur donc à vivre
chrétiennement comme de bons enfants de Dieu et que votre première
préoccupation soit leur âme, et ensuite seulement leur corps.
Un grand nombre d'entre
vous ne font qu'amasser, amasser, et vous ne savez pas qui profitera ensuite
de tout cela ni à qui vous le laisserez ; oui, cela servira peut-être
pour la damnation de vos propres êtres chers.
Aimez Dieu et le
prochain comme vous-mêmes, mais ne dites jamais que vous aimez Dieu,
si vous n'aimez pas ceux qui sont près de vous, et que vous voyez
de vos propres yeux. Vous ne pouvez pas aimer Dieu, que vous ne voyez pas,
si vous n'aimez pas ceux que vous voyez tous les jours.
La Très Sainte
Vierge : Quel triste monde, mes enfants ! Les hommes ont oublié
le plus important, ce qui est éternel, ils ne vivent que des choses
passagères et ils restent au niveau du temporel. Mes prochaines
paroles seront brèves, mes enfants, mais continuez à venir
en ce lieu car vous y recevrez des grâces très spéciales
dans les bénédictions, malgré la brièveté
de mes paroles. Car tout ce que J'ai dit s'accomplira. Et
à tous ceux qui réciteront ce mois-ci le saint Rosaire avec
dévotion, Je leur promets la paix et l'harmonie dans leur foyer.
Et s'ils méditent bien les paroles des mystères, Je viendrai
à leur rencontre à l'heure de leur mort. Je viendrai toute
revêtue de lumière pour vous accueillir, mes enfants : c'est
la Mère de Dieu et votre Mère qui vous le promet.
Levez tous les objets.
Ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales
pour le Jour des ténèbres.
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
4 DE OCTUBRE DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Aquí estoy, hijos míos, llena de amor y de misericordia.
Mi Corazón rebosa de amor por los hombres, pero los hombres, cada
día, están más fríos y más distanciados
de las cosas de Dios, hija mía.
EL SEÑOR:
Amad mucho, hijos míos, amad a los que os persiguen, pedid por ellos;
a los que os calumnian, a los que os difaman, seguid rezando por ellos.
No tiene mérito orar por los que os aman; el mérito está
en pedir, orar y hacer sacrificios por los que os desprecian. El amor es
vida, hija mía, el amor es redención.
Los hombres, hija mía, están tan obstinados que no ven ni
oyen; hacen mofa de mi palabra, de mis gracias; ¿no lo ves, hija
mía, que el hombre está ciego y sordo? ¿¡Hasta
dónde quiere, el hombre, que todo un Dios esté dando avisos!?
¿Hasta cuándo? Dicen los hombres que no hace falta manifestarse,
que el mundo está en muy buenas condiciones. ¡Corazones fríos,
ingratos, fariseos!, ¿hasta dónde habéis llegado?
Quitáis de mi Evangelio lo que os conviene, hijos míos, y
añadís, también, lo que os place. El Evangelio es
uno, hijos míos. El Evangelio no es metáforas, es una realidad.
Cuando toca morir, hay que aceptar la muerte, y cuando toca resucitar,
hay que aceptar la resurrección. Pero no lo dejéis todo en
gloria y en resurrección, sin pasar antes por la purificación
y por la muerte.
Antes, nuestros Corazones tenían donde refugiarse, porque las almas
estaban llenas de fuego y su corazón estaba lleno de amor; y ahora
las almas están frías, aletargadas. Despertad de ese letargo,
hijos míos, amad nuestros Corazones. No hagáis mofa de mis
palabras, ni de mis leyes las confundáis. Os lo he repetido muchas
veces, cuando me habéis preguntado quién se salvará:
el que cumpla mis mandamientos. Cumplid los mandamientos, hijos míos,
y os salvaréis. Todo un Dios, amante de las criaturas, y ¿todavía
estáis ciegos y sordos? ¡Más señal, hijos míos,
que os dejé! Las señales en mi cuerpo están patentes,
hijos míos, del amor que tuve a los hombres, y los hombres sólo
piensan en sí mismos, en funcionar en el mundo.
¡Hay mucho trabajo, hijos míos! Todos: laicos, religiosos
y sacerdotes, hay mucho trabajo y pocos operarios. Las almas están
cada día más tibias y no aceptan las leyes de Dios; las pisotean
y se ríen. ¿Cómo todo un Dios no va a estar presente
de sus criaturas, si el mundo, cada día camina hacia la destrucción?
Mis palabras van a ser cortas, hijos míos, os lo vengo avisando,
porque todo está dicho, todo, desde el principio hasta el fin. Os
he venido a recordar el Evangelio, tal como está escrito; no me
añadáis ni quitéis nada de él. ¡Ay del
que añada y quite!
Amad a la Iglesia, hijos míos, amad al Vicario de Cristo, mártir
de ella. El Vicario de Cristo es un mártir de la Iglesia; no hace
falta que muera para saber que es mártir; obedecedle, hijos míos.
Todos tenemos que obedecer.
LUZ AMPARO:
Sí, Señor, todos tenemos que obedecer. Yo quiero obedecer
a la Iglesia, y amarla. Por eso te pido, Señor, que me ayudes a
saber cómo tengo que comportarme con ella.
EL SEÑOR:
Obedece, hija mía, como hasta ahora has obedecido. La obediencia
es la señal de la Iglesia, de que la amas y la proteges; por eso,
repito, que todos tienen que obedecerla, que el que no obedezca a la Iglesia
y la proteja y la ame, no es digno de llamarse hijo mío. El que
vive para sí mismo y está en el mundo, no se puede llamar
que está al servicio de mi Iglesia, ni que ama a mi Iglesia. Amadla
todos juntos, porque el que no está conmigo está contra mí,
y el que está conmigo no está contra mí. Vosotros,
hijos míos: es un momento de recoger frutos, pues cada día
los hombres están más distanciados y sus oraciones son más
superficiales. ¡Ay, hijos míos, cuántos apegos del
mundo y de las cosas que hay en él! Despojaos de todas las cosas
del mundo, y no tengáis apego a las cosas materiales. Laicos, sacerdotes
y religiosas: sed flores frescas, quiero lozanía en vosotros; no
quiero que os marchitéis aquéllos que todavía permanecéis
frescos. Seguid adelante, hijos míos, para que nuestros Corazones
encuentren un refugio en vosotros.
Y ¡ay, padres, que no educáis a vuestros hijos en el santo
temor de Dios! Que vuestra doctrina es el mundo, y los inculcáis
para el mundo. Madres, que os salvaréis por vuestros hijos, pero
también os podéis condenar por ellos y con ellos por inculcarles
y no corregirles. Enseñadles que tienen que amar a Dios, que es
el primer deber del cristiano; si no se quedarán en lo temporal.
Y muchas madres adoctrinan a sus hijos para conducirlos por el mundo...
¡Ay de vosotras, que los tapáis y los conducís por
el camino de la perdición, porque queréis que vuestros hijos
tengan libertad! Esa libertad, en cuanto salen de vuestras casas, la convierten
en libertinaje. Enseñadles la primera carrera, hijos míos,
que es el Evangelio. Os preocupáis, cada uno, de que vuestros hijos
tengan la mejor carrera, de que vayan para acá y para allá,
pero no les inculcáis que lo primero de todo, y por encima de todo,
están sus almas, y cuando les mandáis que cumplan con los
mandamientos y oren, sienten rechazo y fastidio. ¿Quién es
culpable de todo esto, hijos míos?: las madres, muchas veces las
madres, que no queréis que vuestros hijos sean de Dios y para Dios.
¡Qué pena de hijos!; ¿para qué los enseñáis,
hijos míos? Toda esa juventud, mira, hija mía, se queda en
lo que pasa(1). Todo lo de aquí pasa. La eternidad no pasa, es eterna.
Todo se queda aquí, hijos míos. Las herencias, las cosas
materiales no podéis bajarlas al sepulcro, hijos míos. Los
padres se afanan para que los hijos tengan carreras y vivan las cosas del
mundo; y ellos están fatigados y agotados para dejarles herencias
y riquezas, que sólo les sirve luego para contiendas y para guerras,
y a muchos para condenación; porque no les hacen comprender y entender
que tienen que trabajar, cada uno, para formar su hogar; ya se lo dan todo
preparado. ¿Qué hacéis con los hijos, padres? Enseñadles
a caminar por el sendero de Cristo, y luego, lo demás, no os preocupéis
tanto por ello; porque las madres abolís las leyes de Dios para
vuestros hijos y les dais libertad con tapujos y mentiras para su condenación.
Enseñadles a vivir cristianamente, como buenos hijos de Dios, y
preocuparos primero por el alma y después por su cuerpo.
Muchos de vosotros no hacéis nada más que amontonar, amontonar,
y no sabéis, luego, ni quién lo va a disfrutar, ni para quién
lo dejáis, si puede ser para la condenación de vuestros propios
seres queridos...
Amad a Dios y al prójimo como a vosotros mismos, pero no digáis
nunca que amáis a Dios, si no amáis a los que están
cerca de vosotros, que los veis con vuestros propios ojos. No podéis
amar a Dios, que no le veis, si no amáis a los que estáis
viendo diariamente.
LA VIRGEN:
Hijos míos, ¡qué pena de mundo, porque los hombres
se han olvidado de lo más importante, de lo eterno, y viven sólo
de lo que pasa, y se quedan en el tiempo! Mis palabras serán pocas,
las próximas, hijos míos. Seguid acudiendo a este lugar,
porque recibiréis gracias muy especiales en las bendiciones, aunque
mis palabras sean cortas; porque todo lo que he dicho se cumplirá.
Y prometo a todo el que rece este mes el santo Rosario con devoción,
le prometo paz en su hogar, armonía; y meditando bien las palabras
de los misterios: salir al encuentro en la hora de su muerte. Vendré
toda vestida de luz, para acogeros, hijos míos; os lo promete la
Madre de Dios y Madre vuestra.
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos para el día
de las tinieblas...
Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo
y con el Espíritu Santo.
(1) “Pasar”= Dicho
de una cosa: cesar (acabarse); es decir, “toda esa juventud” se queda en
lo que se acaba y es caduco.
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1er
novembre 1997
La Très Sainte
Vierge :
Aujourd'hui, ma fille,
Je viens avec le manteau d'or, accompagnée de tous les saints et
des bienheureux, très spécialement par tous ceux qui se sont
convertis en ce lieu. Ils seront présents aujourd'hui avec vous
tous. Regarde les grâces, ma fille, et contemple les effets de la
grâce. . .
C'est pourquoi Je
lance un appel à mes prêtres, à ces prêtres dévoués,
pleins de fraîcheur et de vigueur, aux religieux et aux religieuses
: soyez fermes, mes enfants, et soyez fidèles à votre vocation.
Et Je demande à ces prêtres d'unir leurs cœurs aux cœurs de
ceux qui sont fidèles à Dieu, et d'être des sources
saintes pour aider les pauvres pécheurs. Je veux qu'ils souffrent
avec ceux qui souffrent et qu'ils participent à la joie de ceux
qui sont heureux. Prêtres bien-aimés de nos Cœurs, soyez des
combattants de l'Eglise de Dieu.
Sachez que l'Eglise
est le plus grand trésor que Jésus-Christ ait disposé
pour les âmes, et qu'il y a en elle des sources divines, et des âmes
qui ont un désir ardent d'y étancher leur soif. Vivez votre
ministère, mes enfants, allez à la conquête des âmes.
Il est grandement nécessaire que le prêtre aille à
la conquête des âmes. Soyez obéissants au Saint Père,
mes enfants, obéissez aux évêques. C'est grâce
à votre obéissance que vous garderez votre vocation, car
ce qu'il y a de plus important aux yeux de Dieu, mes enfants, c'est la
fidélité.
Mes paroles se font
plus brèves, mes enfants, car Je vous ai rappelé tout l'Evangile,
mot à mot, afin que les hommes ne 1'oublient pas. Et toi, ma fille,
pense que ta vocation est de souffrir, et que les ennemis qui te font le
plus souffrir sont ceux qui sont le plus près de toi. Ne souffre
pas du départ de ces âmes, ma fille. Finalement le démon
a triomphé en elles, parce qu'elles se sont laissé conduire
par lui. Tu leur as fait confiance, ma fille, et elles, en revanche, elles
t'ont frappée. Le démon est en train de déchaîner
l'enfer entier contre cette Œuvre ; mais Dieu est au-dessus de tout, ma
fille. Elles ont commis cette trahison à l'égard de cette
Œuvre, ma fille ; Dieu est l'auteur des grâces : Il les donne et
Il les enlève. L'infidélité d'une âme est très
grave. Comme le démon les a aveuglées par ses tromperies
et ses mensonges ! Il n'y a rien de caché ici, ma fille. Que rien
ne t'effraie, ce sont des vengeances que le démon suscite dans les
âmes, mais tout est d'une transparence cristalline.
On te calomniera,
on t'outragera, on proférera contre toi de faux témoignages
; ne te l'ai-je pas dit ? Et tu sais, ma fille, que Je te l'ai souvent
répété ces derniers temps. Il est évident,
ma fille, que le démon les aveugle et leur fait voir ce qui n'est
pas ; et lui, il n'est pas parti seul, il a entraîné une foule
d'âmes. Il était préférable, ma fille, que cette
âme s'en allât, car elle essayait d'entraîner les autres.
Mais Dieu tire le bien du mal, ma fille ! C'est ce qui a pu se passer de
mieux. Toi tu as donné ta confiance, ton amour et ton affection,
et en retour tu n'as reçu que mépris, calomnies et mensonges.
Or Moi Je t'ai appris à ne pas lutter contre l'ennemi, mais à
donner du baume, de la charité et de l'amour. La lutte n'est pas
bonne, ma fille, elle n'est bonne que pour vaincre le péché.
Toi, ma fille, réfugie-toi dans nos Cœurs, et nos Cœurs te protégeront.
Luz Amparo : Ah.
Seigneur ! Mais je n'ai rien à te donner ! Rien, Seigneur. . .
Notre Seigneur :
Tu as quelque chose de très grand, ma fille, c'est le sacrifice
pour les pauvres pécheurs. C'est quelque chose de grand. Combien
de pécheurs se sont convertis, ma fille ! Regarde comme ils jouissent
de la présence de Dieu (exclamation d’admiration d'Amparo) ; aujourd'hui
beaucoup d'entre eux seront présents en ce lieu. Tu vois, ma fille,
comme on peut constater les fruits ? C'est cela qui doit te réjouir
; mais ne t'inquiète pas, ma fille. Et celui qui quitte cette Œuvre,
c'est qu'il ne l'a pas aimée et qu'il ne l'aime pas, et le mieux
de tout, c'est qu'il s'en aille. Une âme infidèle ne demeurera
en paix nulle part.
Mes messages vont
être plus brefs, ma fille, mais ma bénédiction restera
présente sur vous tous. Que rien ne t’effraie. Tu leur as donné
l’amour, la douceur et la compréhension et elles, en retour, s’en
prennent à toi et te poursuivent, ma fille, en essayant de se débarrasser
de toi ; mais Dieu est au-dessus de toutes choses. Et malheur à
celui qui critique et porte de faux témoignages contre cette Œuvre
! Aveugles, ils sont plus qu’aveugles car ils finissent par se laisser
berner par l’astuce de Satan ! Ah, ma fille, combien j’ai donné
à ces âmes, pour les sortir des ténèbres et
les amener à la lumière et comme le démon les a prises
! Une entraîne l’autre, comme lui-même a fait en entraînant
des millions d’anges à sa suite. Sais-tu pourquoi, ma fille ? Par
manque de prière et de sacrifice. Prie et sacrifie-toi pour elles.
La Très Sainte
Vierge : Levez tous les objets. Ils seront tous bénis avec des bénédictions
spéciales pour le salut de vos âmes.
Aujourd’hui est un
jour très important, parce que les saints communiqueront avec vous
par la prière, mes enfants.
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
1 DE NOVIEMBRE DE 1997 (TODOS LOS SANTOS),
PRIMER SÁBADO
DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
LA VIRGEN:
Hoy vengo, hija mía, con el manto de oro, con todos los santos y
con los bienaventurados; muy en especial por todos aquéllos que
se han convertido en este lugar. Hoy estarán presentes con todos
vosotros. Mira las gracias, hija mía, y mira para qué sirve
la gracia...
Por eso hago un llamamiento a mis sacerdotes, aquellos sacerdotes entregados,
frescos y lozanos, a religiosos y religiosas: sed firmes, hijos míos,
y sed fieles a vuestra vocación. Y pido a esos sacerdotes que unan
sus corazones a los corazones de los fieles en Dios; y que sean manantiales
santos, para ayudar a los pobres pecadores. Quiero que sufran con los que
sufren y participen de la alegría de los que son felices. Sacerdotes
queridos por nuestros Corazones: sed luchadores de la Iglesia de Dios.
Sabéis que la Iglesia es el tesoro más grande que Jesucristo
puso para las almas, y que hay manantiales divinos en ella, y almas que
están sedientas para beber de esas fuentes. Vivid vuestro ministerio,
hijos míos, conquistad a las almas. Hay mucha necesidad de que el
sacerdote conquiste a las almas. Sed obedientes al Santo Padre, hijos míos,
obedeced a los obispos. Vuestra obediencia será la que guarde vuestra
vocación, porque la fidelidad ante Dios, hijos míos, es lo
más importante.
Mis palabras se van acortando, porque, hijos míos, todo lo he ido
recordando: el Evangelio, palabra por palabra, para que a los hombres no
se les olvide. Tú, hija mía, piensa que estás para
sufrir, y que los enemigos más dolorosos son los que más
cerca están de ti. No sufras porque esas almas se hayan ido, hija
mía. Al final ha triunfado el demonio en ellas, porque se han dejado
conducir por él. Tú les diste confianza, hija mía,
y ellas, a cambio, te han clavado el aguijón; pero el demonio está
moviendo el Infierno entero contra esta Obra; pero Dios está por
encima de todas las cosas, hija mía. Esa traición que han
hecho en esta Obra, hija mía... Dios es el autor de dar y quitar
las gracias. La infidelidad de un alma es muy grave. ¡Cómo,
con engaños y mentiras, el demonio las ha deslumbrado! No hay nada,
hija mía, oculto aquí. Que nada te asuste; son venganzas
que el demonio mete en las almas, pero todo está cristalino y transparente.
Te calumniarán, te ultrajarán, te levantarán falsos
testimonios; ¿no te lo he dicho? Y sabes, hija mía, que te
lo he repetido últimamente muchas veces. Claro, hija mía,
el demonio los deja ciegos, y les hace ver donde no hay; y él no
se fue solo, arrastró a un montón de almas. Ha sido mejor,
hija mía, que se vaya ese alma que intentaba arrastrar a las demás.
¡Si Dios saca de los males bienes, hija mía!... Lo mejor que
ha podido pasar. Tú diste confianza, amor y cariño, y te
devuelven desprecios, calumnias y mentiras. Pero yo te he enseñado
a no luchar contra el enemigo(1), sino a dar bálsamo, caridad y
amor. La lucha no es buena, hija mía; sólo para vencer el
pecado. Tú refúgiate en nuestros Corazones y nuestros Corazones
te protegerán, hija mía.
LUZ AMPARO:
¡Ay, Señor, si yo no tengo nada que darte! Nada, Señor...
EL SEÑOR:
Tienes algo muy grande, hija mía: el sacrificio para los pobres
pecadores; eso es algo grande. ¡Cuántos pecadores se han convertido,
hija mía! Mira cómo gozan de la presencia de Dios... Hoy,
muchos de ellos, estarán presentes en este lugar. ¿Ves, hija
mía, cómo se ven los frutos? Esto es lo que te tiene que
alegrar; pero no te inquietes, hija mía. Y el que se va de esta
Obra es porque no la ha amado ni la ama, y lo mejor de todo es que salga
de ella. Un alma infiel en ningún lugar permanecerá en paz.
Mis mensajes se van acortando, hija mía, pero mi bendición
estará presente en todos vosotros. Que nada te angustie. Tú
les has dado amor, dulzura y comprensión, y ellas, a cambio, te
clavan el aguijón y seguirán, hija mía, intentando
clavarlo; pero Dios está por encima de las cosas. Y ¡ay de
aquél que critique y levante falsos testimonios contra esta Obra!
¡Ciegos, más que ciegos, que al final os habéis dejado
arrastrar por la astucia de Satanás! ¡Ay, hija mía,
cuánto les he dado a estas almas, que las he sacado de la tiniebla
para llevarlas a la luz, y cómo el demonio las ha cogido! Una arrastra
a la otra, como hizo él mismo arrastrando a millones de ángeles.
¿Sabes por qué, hija mía? Por falta de oración
y de sacrificio. Reza y sacrifícate por ellas.
LA VIRGEN:
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones
especiales para la salvación de vuestras almas...
Hoy será un día muy importante, porque los santos se comunicarán
con vosotros por medio de la oración, hijos míos.
Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo
y con el Espíritu Santo.
(1) No se trata aquí
del enemigo de las almas por antonomasia: el demonio, sino de los que se
declaren enemigos de ella; por lo mismo, le recomienda la Virgen corresponderles
con “bálsamo, caridad y amor”.
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6
décembre 1997
Notre Seigneur :
Ma fille, je t’ai dit que mes paroles prendraient fin, parce que tout a
été dit. Je demande seulement à ce que vous profitiez
des fruits qui se trouvent en ce lieu, car il y a des pasteurs pour que
les âmes puissent s’approcher du tribunal de la Pénitence
et de l'Eucharistie. Apprends-leur à aimer l'Eglise, ma fille. Beaucoup
viennent avec des maladies du corps, mais il en vient davantage avec des
maladies de l'âme. Je veux des médecins de l'âme plus
que des médecins du corps. Tirez parti des fruits, mes enfants.
Je vous ai dit, mes
enfants, que vous seriez persécutés, et c'est ce qui arrive.
Il y a un semeur d'ivraie qui, de bouche en bouche, sème la zizanie,
la calomnie et le mensonge. Moi, le Fils du Dieu Vivant, Je me verrai obligé
d'appliquer ma justice implacable sur l'injustice, sur la haine et sur
le mensonge. Toi, prie pour ces âmes, ma fille, spécialement
pour celle que Je vais te montrer ; Je te la montre afin que tu pries pour
lui. C'est lui qui sème la zizanie, la discorde et le mensonge,
mais J'aime tellement son âme ! . . . car c'est aussi pour elle que
J'ai versé mon sang. Sacrifie-toi, fais pénitence, afin qu'il
voie la lumière, ma fille. Il est obsédé, il est dans
les ténèbres et il ne veut pas voir la lumière. Oui,
il a une obsession, mes enfants, et à ses yeux rien ne sera bon
de ce que vous pourrez faire.
Luz Amparo : Seigneur,
je t'en prie, décharge ta justice sur moi, et non sur lui ; c'est
une âme qui est à ton image et à ta ressemblance. Je
ferai réparation pour ses péchés, ses incompréhensions
et son manque de charité et d'amour. Je sais qui c'est.
Notre Seigneur :
Je te l'ai montré afin que tu pries pour lui, ma fille. Prie et
fais des sacrifices pour qu'il voie la vérité.
Luz Amparo : Décharge
sur moi ta justice, Seigneur, je l'accepte, c'est pour cela que Tu m'as
choisie.
Notre Seigneur :
Il y a d'autres âmes, ma fille, qui rejettent les grâces.
Luz Amparo : Qui
sont toutes ces âmes qui se trouvent à cet endroit, Seigneur
?
Notre Seigneur :
Ce sont des couples, ma fille, qui n'ont pas rempli leurs devoirs. Ils
ont été de mauvais chrétiens.
Luz Amparo : Et ils
sont si sévèrement châtiés ?
Notre Seigneur :
Oui, ma fille, ils sont châtiés parce qu'ils n'ont pas de
douleur de contrition, parce qu'ils ne donnent pas d'importance au péché
dans le mariage : la majorité des couples vivent dans la concupiscence
de la chair, ils commettent des aberrations, ma fille. Je te l'ai déjà
dit souvent, mais dans ce domaine, ma fille, le démon les aveugle
en leur évitant de réfléchir à cette question.
Et ainsi ils ne se rendent pas compte que puisque l'homme est créé
à l'image et à la ressemblance de Dieu, ses actes doivent
être moraux et purs, et ils ne doivent pas vivre sous l'empire de
cette concupiscence qui bouleverse leurs sens. Dans le couple, ma fille,
doivent exister l'unité, le dialogue, l'amour. Je te l'ai déjà
dit souvent. C'est pourquoi, regarde comme beaucoup d'entre eux, sans se
rendre compte (de leurs péchés), sont arrivés en ce
lieu. Le démon les aveugle, sous le prétexte que l'un appartient
à l'autre, non pas pour se respecter et s'aimer, mais pour commettre
des horreurs, ma fille. Prie beaucoup pour eux, car la majorité
des couples ne se rendent pas compte de ces péchés impurs
et affreux.
Venez en ce lieu,
mes enfants, Je vous bénirai chaque fois que Je viendrai me présenter
devant vous. Ma bénédiction y continuera, mes enfants, même
si mes paroles prennent fin.
La Très Sainte
Vierge : Levez tous les objets. Ils seront tous bénis avec des bénédictions
spéciales pour les pauvres pécheurs.
Je vous bénis,
mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire
du Fils et avec l'Esprit Saint.
MENSAJE DEL DÍA
6 DE DICIEMBRE DE 1997, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE
EL ESCORIAL (MADRID)
EL SEÑOR:
Hija mía, te dije que mis palabras iban a ir acortándose,
porque todo lo tenía dicho. Sólo pido que aprovechen los
frutos de este lugar, que haya pastores donde las almas puedan acercarse
al tribunal de la Penitencia; que no desaprovechéis los frutos,
hijos míos. Las almas llegan sedientas y hay que darles de beber
de la gracia de la Penitencia y de la Eucaristía. Enséñales
a amar a la Iglesia, hija mía. Muchos vienen enfermos de cuerpo,
pero más vienen enfermos de alma. Quiero médicos de alma
más que de cuerpo. Aprovechad los frutos, hijos míos.
Hijos míos, os dije que seréis perseguidos y así es.
Hay un sembrador de cizaña que va de boca en boca sembrando la cizaña,
la calumnia y la mentira. Yo, el Hijo de Dios vivo, me veré obligado
a aplicar mi justicia implacable sobre la injusticia, sobre el odio y la
mentira. Tú pide por esas almas, hija mía, especialmente
por ésta que te voy a enseñar; te la enseño para que
pidas por él. Es el que siembra cizaña, discordia y mentira,
pero ¡amo tanto su alma, porque también derramé mi
Sangre por ella! Haz sacrificio y penitencia, para que vea la luz, hija
mía. Está obsesionado en la tiniebla y no quiere ver la luz;
es obsesión la que tiene, hijos míos, y nada será
bueno de lo que hagáis.
LUZ AMPARO:
Yo te pido, Señor, que descargues tu justicia sobre mí, y
no sobre él; es un alma a imagen y semejanza tuya. Yo repararé
sus pecados, sus incomprensiones y su falta de caridad y amor. Ya sé
quién es.
EL SEÑOR:
Te la he enseñado para que pidas por ella, hija mía. Ora
y haz sacrificios, para que vea la verdad.
LUZ AMPARO:
Carga sobre mi tu justicia, Señor, que yo la acepto; para eso me
escogiste.
EL SEÑOR:
Y otras almas que las gracias las rechazan, hija mía...
LUZ AMPARO:
¿Quiénes son todas ésas que hay en esa parte, Señor?
EL SEÑOR:
Son matrimonios, hija mía, que no han cumplido con sus deberes;
han sido malos cristianos.
LUZ AMPARO:
¿Y son castigados tan fuertemente?
EL SEÑOR:
Sí, hija mía, son castigados porque no tienen dolor de contrición,
porque ellos no le dan importancia al pecado del matrimonio, y en el matrimonio,
la mayoría de ellos, viven de la concupiscencia de la carne, cometen
aberraciones, hija mía. Ya te lo he dicho muchas veces, pero ahí,
hija mía, el demonio no toca ese tema, y por ahí no se dan
cuenta que, si el hombre está hecho a imagen y semejanza de Dios,
los actos tienen que ser morales, limpios; no vivir bajo esa concupiscencia
que les trastorna los sentidos. En la pareja, hija mía, tiene que
existir la unidad, el diálogo, el amor. Ya te lo he dicho muchas
veces; por eso, sin darse cuenta, mira cuántos hay en ese lugar;
el demonio los tapa bajo la apariencia de que el uno es del otro, pero
no para respetarse y amarse, sino para cometer barbaridades, hija mía.
Pide mucho por ellos, porque la mayoría de los matrimonios no se
dan cuenta de estos pecados feos e impuros.
Acudid a este lugar, hijos míos, que os bendeciré cada vez
que llegue a presentarme ante vosotros. Mi bendición seguirá,
hijos míos, aunque mis palabras se acaben.
Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones
especiales para los pobres pecadores...
Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo
y con el Espíritu Santo.
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