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Apparitions de Jésus et Marie à l'Escorial
Année 1999
2 janvier 19996 février 19996 mars 19993 avril 19991 mai 19995 juin 19993 juillet 19997 août 19994 septembre 19992 octobre 19996 novembre 19994 décembre 1999
2 janvier 1999
MESSAGE DU 2 JANVIER 1999, PREMIER SAMEDI DU MOIS, 
AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Ma fille, mon Cœur est très affligé à cause de l’ingratitude des hommes. Ils n’acceptent pas ma parole, mes messages les fatiguent, et je viens leur rappeler l’Evangile. Je viens seulement leur dire ce qui est écrit, ce que le Christ a laissé par écrit, et ils ne croient pas. Comment vont-ils croire une doctrine quelconque qu’on voudrait leur apprendre, mes fils ? 

     LE SEIGNEUR : 
     Je dis seulement, mes fils, que je viendrai sur la Terre et que je ne rencontrerai pas d’amour entre les hommes, ni de paix. Et  j’ai dit : “ Je descendrai avec mon Père et avec le Saint-Esprit et je demeurerai avec ceux qui ont respecté les commandements et, surtout, avec ceux qui s’aiment les uns les autres ” ; c’est ce que je suis venu rappeler aux hommes, et ils ferment leurs oreilles pour ne pas entendre mes paroles. Ingrats ! 
     Et toi, ma fille, ne t’afflige pas ni des inconnus, ni des calomnies ni des paroles. Ils sont diaboliques, car ils se sont laissés entraîner par l’ennemi et pour eux son mensonge est vérité parce qu’ils parlent par la bouche de Satan. Veux-tu me faire un grand présent, ma fille ? Aime-les de tout ton cœur, prie pour eux et fais des sacrifices, sois une victime de réparation pour eux. Ils ne sont pas contre toi, ils sont contre moi, ma fille. C’est pourquoi je te demande : sois très humble, et je te répète que le disciple n’est pas plus grand que le Maître. S’ils m’ont appelé du nom de Belzébuth et ont fait tant d’autres perversités, ma fille, serais-tu plus que le Maître ? 
     Prie pour eux, et ne garde aucune rancune dans ton cœur. Je promets que grâce à toutes tes souffrances, toutes ces calomnies, ma fille, et toute cette persécution, beaucoup d’âmes reviendront à mon bercail. Et je promets de ne pas disparaître de ce lieu. Mes paroles s’arrêteront, mais pas ma présence en ce lieu. 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Venez, mes fils, en ce lieu pour que vous receviez des grâces en abondance. 
     Je vous bénis comme le Père vous bénit par le moyen du Fils et avec le Saint-Esprit 
 

MENSAJE DEL DÍA 2 DE ENERO DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, mi Corazón está muy afligido por la ingratitud de los hombres. Los hombres no aceptan mi palabra, les cansan mis mensajes, y vengo a recordarles el Evangelio. Sólo vengo a decirles lo que está escrito, que Cristo lo dejó escrito, y no creen. ¿Cómo iban a creer en cualquier doctrina que se les quisiera enseñar, hijos míos?
 
 

     EL SEÑOR:

     Sólo digo, hijos míos, que vendré a la Tierra y no encontraré amor entre los hombres, ni paz. Y dije: “Yo bajaré con mi Padre y con el Espíritu Santo y moraré con aquéllos que hayan cumplido los mandamientos y, sobre todo, con aquéllos que se amen unos a otros”; eso es lo que he venido a recordar a los hombres, y los hombres cierran sus oídos a mis palabras. ¡Ingratos!

     Y tú, hija mía, no te angustien ni los anónimos ni las calumnias ni las palabras. Son seres diabólicos, que se han dejado arrastrar por el enemigo y ellos tienen la verdad en su mentira porque hablan por la boca de Satanás. ¿Quieres hacerme un gran regalo, hija mía?: ámalos con todo tu corazón, ora por ellos y sacrifícate, sé víctima de reparación por ellos. No van contra ti, van contra mí, hija mía. Por eso te pido: sé muy humilde, hija mía, y te repito que el discípulo no es más que el Maestro. ¡Si a mí me llamaban Belcebú y tantas y tantas perversidades, hija mía!, ¿cómo vas a ser tú más que el Maestro?

     Ora por ellos, hija mía, y no guardes en tu corazón ningún resquicio. Yo prometo que con todos tus sufrimientos, todas esas calumnias, hija mía, y toda esa persecución, vendrán muchas almas a mi redil. Y prometo no desaparecer de este lugar. Mis palabras se acabarán pero mi presencia seguirá.
 
 

     LA VIRGEN:

     Acudid, hijos míos, a este lugar que recibiréis gracias en abundancia.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

6 février 1999
MESSAGE DU 6 FEVRIER 1999, PREMIER SAMEDI DU MOIS, 
AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 
     LA SAINTE VIERGE : 
     Mes fils. . . 
     LUZ AMPARO : 
     Ah, quelle beauté ! 
     LA SAINTE VIERGE :
     Ma fille, je viens aujourd’hui avec le manteau de fête. Je reçois tant d’Ave Maria en ce lieu que, bien que mon cœur soit affligé à cause de l’état du monde, je sens une grande joie parce que ces Ave Maria faits en ce lieu, la plus grande partie d’entre eux viennent de la crainte de Dieu, et sortent du plus profond des cœurs. Mais, ah, ma fille, combien ne veulent pas poursuivre cette Œuvre ! 
     LE SEIGNEUR : 
       Je sais que tu t’attristes et que ton cœur souffre quand tu vois qu’une âme qui a reçu tant de grâces de cet endroit va ensuite dans d’autres lieux où on les flatte et où ils me volent ma gloire car ils se glorifient. Ils se glorifient, ma fille, eux-mêmes dans la prière ; c’est pour cela que beaucoup ne veulent pas continuer cette Œuvre, parce qu’ici, je te l’ai dit : ils sont comme les autres, et en d’autres endroits ils resplendissent. Mais combien se présentent devant moi, ma fille, avec un zèle noir, qui n’est pas le zèle descendu du Ciel, mais un zèle terrestre, un zèle diabolique parfois, parce qu’ils se présentent pleins de vanités et de vaines gloires ! 
     Et j’intercède pour mes fils qui prient avec un cœur pur pour la gloire de Dieu ; qui ne se glorifient pas de la prière ni des travaux qu’ils font ; qui ne laissent pas les hommes les flatter et les glorifier ; qui travaillent pour leurs prochains et pour la gloire de Dieu ; qui font la volonté de Dieu en tout. 
     Oui, ma fille ; c’est pour cela que les hommes ne veulent pas continuer cette Œuvre, parce qu’ici on ne les flatte pas, ils sont persécutés, calomniés, diffamés ; mais ceci ils l’ont fait au Christ. 
     LA SAINTE VIERGE : 
     Priez bien, mes fils, priez bien, pour que, quand vous vous présentez devant la Divine Majesté de Dieu, vous receviez votre récompense. 
     Levez tous les objets ; ils seront bénis pour le salut des âmes, pour les âmes du Purgatoire. . . 
     Je vous bénis, mes fils, comme le Père vous bénit au moyen du Fils et avec le Saint-Esprit. 
 
 

MENSAJE DEL DÍA 6 DE FEBRERO DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)

     LA VIRGEN:
     Hijos míos...

     LUZ AMPARO:
     ¡Ay, qué belleza!

     LA VIRGEN:
     Hija mía, hoy vengo con el manto de fiesta. Son tantas las avemarías que recibo en este lugar, que aunque mi Corazón está dolorido por la situación del mundo, siente un gran gozo porque estas avemarías que se rezan en este lugar, la mayoría de ellos vienen con ansia de Dios, y sale de lo más profundo de su corazón. Pero ¡ay, hija mía, cuántos no quieren seguir esta Obra!

     EL SEÑOR:
       Sé que te entristeces y que tu corazón sufre cuando ves que un alma ha recibido tantas gracias de este lugar y se van por otros lugares donde los halagan y donde hurtan mi gloria, porque los glorifican. Se glorifican, hija mía, en la oración ellos mismos; por eso muchos no quieren seguir esta Obra, porque aquí, te lo he dicho: que son uno de tantos, y en otros lugares resplandecen. Pero ¡cuántos se presentan ante mí, hija mía, con un celo negro, que no es ese celo bajado del Cielo, sino es celo terreno, celo diabólico, a veces, porque se presentan llenos de vanidades y de vanas glorias!
     Y yo intercedo a mis hijos que oren con pureza de corazón para la gloria de Dios; que no se vanaglorien de la oración ni de los trabajos que hagan; que no dejen que los hombres los halaguen y los glorifiquen; que trabajen por los prójimos y para la gloria de Dios; que hagan la voluntad de Dios en todo.
     Sí, hija mía; por eso los hombres no quieren seguir esta Obra, porque aquí no son halagados, son perseguidos, calumniados, difamados; pero eso hicieron con Cristo.

     LA VIRGEN:
     Orad bien, hijos míos, orad bien, para que cuando os presentéis ante la Divina Majestad de Dios, recibáis vuestro galardón.
     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos para la salvación de las almas, para las almas del Purgatorio...
     Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

6 mars 1999
MESSAGE DU 6 MARS 1999, PREMIER SAMEDI DU MOIS, 
AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 

     LE SEIGNEUR : 
     Mes fils, une fois de plus, je suis là, et je ne viens pas vous dire quelque chose de nouveau, parce que je vous l’ai déjà dit ; mais vous n’écoutez pas ma parole. Je suis la Porte du Ciel, et ma Mère est le Pont pour arriver à la Porte. Celui qui ne passe pas par ce Pont est un voleur qui veut détruire
mon Eglise, mais on ne vit pas pour l’Eglise. Mes fils, si vous étiez sourds ou aveugles, vous auriez une excuse, mais vous n’êtes ni sourds ni aveugles et vous ne voulez pas voir ni écouter ma parole ; vous êtes des brigands. Beaucoup d’entre vous refusent ce dont ils ont besoin, et ceux qui ne passent pas par la Porte n’auront pas la vie éternelle. Reprenez les troupeaux qui sont éparpillés, mes fils, et emmenez-les au bercail, parce que j’ai donné ma vie pour chacun de vous. 
     Pourquoi refusez-vous ce qu’il vous faut et demeurez-vous avec ce qui vous plaît, mes fils ? Celui qui n’est pas contre moi est avec moi ; beaucoup d’entre vous ont un salaire et vous ne voulez pas entendre ma voix ; vous fuyez du troupeau et vous laissez ce troupeau seulement parce que l’argent vous importe plus que les âmes. Mes fils, le bon pasteur n’abandonne pas ses brebis et ne fuis pas si vient le loup ; et vous vous fuyez quand vous entendez parler du loup. J’ai un troupeau racheté par mon Sang et vous ne voulez rien en savoir. J’ai appelé ce troupeau et mes brebis ont reconnu ma voix et m’ont suivies, comme je l’ai demandé. Pourquoi êtes-vous si sots, mes fils, et ne voulez-vous pas écouter mes paroles ? Pauvres de vous, vous n’aurez point d’excuse, parce que ma parole est la vérité et rien ne s’y oppose ! Soyez pasteurs d’âmes, et ne soyez pas fonctionnaires ni salariés, consacrez-vous aux âmes, car il y a beaucoup de travail, mes fils ! 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Baise le sol, ma fille, en réparation de tant d’offenses qui se commettent contre nos Cœurs. . . 
     Mes fils, soyez humbles, parce que votre orgueil vous empêche de voir, et qui êtes-vous pour mettre des limites à Dieu ? Venez en ce lieu, que vous receviez des grâces très spéciales, mes fils, pour votre salut. 
     Levez-tous les objets ; ils seront tous bénis pour la conversion des pauvres pécheurs. . . 
     Je vous bénis, mes fils, comme le Père vous bénit par le moyen du Fils et avec le Saint-Esprit 
 

MENSAJE DEL DÍA 6 DE MARZO DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hijos míos, una vez más, hago mi presencia, y no vengo a deciros nada nuevo, hijos míos, porque ya os lo he dicho; pero no escucháis mi palabra. Yo soy la Puerta del Cielo, y mi Madre es el Puente para venir a la Puerta. El que no pasa por esta Puerta es un ladrón que quiere echar[1]

a mi Iglesia, pero no vive para la Iglesia. Hijos míos, si fueseis sordos o ciegos tendríais disculpa, hijos míos, pero ni sois ciegos ni sordos y no queréis ver ni escuchar mi palabra; sois salteadores. Muchos de vosotros os saltáis lo que queréis, y todo el que no pasa por esta Puerta, no tendrá vida eterna. Recoged los rebaños que hay esparcidos, hijos míos, y llevadlos al aprisco, porque yo he dado mi vida por todos.

     ¿Cómo rechazáis a los que queréis y os quedáis con lo que os agrada, hijos míos? El que no está contra mí, está conmigo; muchos sois asalariados y no queréis oír mi voz; huís del rebaño y dejáis solo ese rebaño, porque os importa más el salario que las almas. Hijos míos, el pastor que es bueno no abandona a sus ovejas y no huye cuando viene el lobo; y vosotros huís cuando oís hablar del lobo. Yo tengo un rebaño al que he redimido con mi Sangre y vosotros no queréis saber nada de él. Yo he ido llamando a este rebaño y mis ovejas han conocido mi voz y me han seguido, tal como yo he pedido. ¿Por qué sois tan necios, hijos míos, y no queréis escuchar mis palabras? ¡Pobres de vosotros, no tendréis disculpa, porque mi palabra es la verdad y nada va en contra! ¡Sed pastores de almas y no seáis funcionarios ni asalariados, dedicaros a las almas, que hay mucho trabajo, hijos míos!
 
 

     LA VIRGEN:

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantas ofensas como se cometen contra nuestros Corazones...

     Hijos míos, sed humildes, porque vuestra soberbia no os deja ver, y ¿quién sois vosotros para limitar a Dios? Acudid a este lugar, que recibiréis gracias muy especiales, hijos míos, para vuestra salvación.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos para la conversión de los pobres pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

[1] “Echar”; tiene aquí el significado de “derribar, arruinar, asolar”.
 

3 avril 1999
MESSAGE DU 3 AVRIL 1999, PREMIER SAMEDI DU MOIS, 
AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Me voici, ma fille, une autre fois. Ici se trouve beaucoup de grâces, pour apprendre aux hommes les vertus et pour qu’on n’oublie pas que la principale est la charité, lien de perfection. Ma fille, je te dis que mes paroles seront brèves ; mais les hommes oublient toutes les paroles qu’on leur donne. 
     Toute cette multitude qui vient en ce lieu, en ordre et unie, sera une grande hiérarchie pour l’Eglise (?). Mes fils, tout ce que vous avez appris et les grâces que vous avez reçues de cet endroit, les hommes ne savent pas en profiter. 
     Soyez tous ensemble, mes fils, ayez une même volonté, aimez vous les uns les autres et ne vous séparez pas. Tout ce qui sera séparé, je te le répète, ma fille, sera brisé et détruit ; c’est pour cela que je demande que vous vous unissiez les uns aux autres et que vous viviez avec la parole de Dieu. Aucune séparation n’est bonne, ma fille ; c’est pourquoi je demande que vous viviez tous selon la Loi, la Loi de l’Evangile, que vous avez oubliée. Et c’est ce que je veux vous apprendre, mes fils : à connaître mon Fils, parce que mon Fils est un grand inconnu. 
     Et vous tous, unis dans l’amour et l’unité, vous vivrez de la vie des anges et vous vivrez dans un ciel ; mais plus vous vous séparerez, moins vous respecterez la Loi. Et c’est ce que je suis venue vous dire, mes fils : que Dieu est avec vous tous et le Saint-Esprit est là pour instruire les âmes. Soyez très unis et aimez-vous les uns les autres ; ce commandement, je dois le répéter constamment. 
     Baise le sol, ma fille, en réparation de tant d’offenses qui se commettent dans le monde. . . 
     Levez tous les objets ; ils seront tous bénis de bénédictions spéciales pour la conversion des pécheurs. . . 
     Je vous bénis, mes fils, comme le Père vous bénit par le moyen du Fils et du Saint-Esprit. 

MENSAJE DEL DÍA 3 DE ABRIL DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Aquí estoy, hija mía, otra vez. Aquí está la llena de gracias, para enseñar a los hombres las virtudes y para que no se les olvide la principal virtud que es la caridad, vínculo de perfección. Hija mía, mis palabras dije que serían cortas; pero los hombres, hija mía, echan en olvido todas las palabras que se les recomienda.

     Toda esta multitud que viene a este lugar, ordenada y unida, sería una gran jerarquía para la Iglesia. Hijos míos, todo lo que habéis aprendido y las gracias que habéis recibido de este lugar, los hombres no saben aprovecharlas.

     Estad todos juntos, hijos míos, tened una misma voluntad, amaos unos a otros y no os desunáis ni separéis. Todo lo que es separado, te repito, hija mía, está roto y destruido; por eso pido que os unáis unos a otros y que viváis juntos la palabra de Dios. Toda desunión no es buena, hija mía; por eso pido que todos viváis la Ley, la Ley del Evangelio, que la tenéis olvidada. Y es lo que quiero enseñaros, hijos míos: a conocer a mi Hijo, porque mi Hijo es el gran desconocido.

     Y todos, hijos míos, unidos en amor y unidad viviréis vida de ángeles y estaréis viviendo un cielo; pero cuanto más os separéis, hijos míos, menos cumpliréis la Ley. Y es lo que vengo a deciros a todos, hijos míos: que Dios está con todos vosotros y el Espíritu Santo está para enseñar a las almas. Estad muy unidos y amaos unos a otros; este mandamiento hay que repetirlo constantemente.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantas ofensas como se cometen en el mundo...

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para la conversión de los pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

 

1 mai 1999
MESSAGE DU 1er MAI 1999, PREMIER SAMEDI DU MOIS, 
AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 

     LE SEIGNEUR : 
     Mes filles, si c’est vrai que vous m’aimez, respectez mes lois et aimez-les, parce que les hommes ont abandonné Dieu. Les parents pensent seulement à ce que leurs fils étudient, aient de bons emplois, et ont, la plupart, embarrassé la pensée et le cœur de livres ; ils préfèrent qu’ils soient des hommes de science que des hommes de Dieu. Mais, jusqu’à quand, mes fils, un Dieu qui peut tout doit prévenir les hommes du grand danger qui guette le monde ? Vous êtes sourds à mes paroles et aveugles à la réalité de ce qu’il y a dans le monde. Et tout ça parce que Dieu manque dans le cœur des hommes. La majorité d’entre eux sont des déserteurs de Dieu ; ils ont déserté, et où Dieu n’est pas, la paix ne peut pas régner. 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Priez beaucoup, mes fils, mes fils, priez, car on a oublié le dialogue avec Dieu. Les hommes bougent seulement les lèvres mais ne méditent pas les paroles qu’il y a dans le Notre Père. Et c’est le même Jésus qui a appris aux hommes cette prière. 
     Je dis que mes paroles s’achèvent, mais je continuerai à répandre mes grâces sur vous tous. Venez, mes fils, en ce lieu ; les temps sont très graves, et ici je vous apprends à aimer l’Eglise, à aimer Dieu et tout ce qui compose le chemin droit et sûr pour arriver au Ciel. Ah, comme les hommes ne profitent pas de tant de grâces et de tant de fruits qui se trouvent ici ! 
     Que les hommes ne fassent pas la guerre dans les familles, ni entre les communautés. Il y a déjà assez de déserteurs et d’âmes qui ne veulent rien savoir de Dieu, pour causer des guerres, des meurtres et des destructions ! Quelle peine pour les âmes ! Un Dieu tout, demandant à ses créatures qu’elles respectent les lois ; la loi de l’esprit, que les hommes l’ont oubliée cette loi ! 
     Baise le sol, ma fille, en réparation de tant d’offenses qui se commettent contre nos Cœurs. . . 
     Soyez humbles les uns envers les autres et tous réunis pour pratiquer la charité envers les uns et les autres, et que l’unité se conserve entre les hommes. Je veux l’amour entre vous, mes fils, et l’unité. 
     Levez tous les objets ; ils seront tous bénis de bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs. . . 
     Je vous bénis, mes fils, comme le Père vous bénit par le moyen du Fils et du Saint-Esprit. 
 

MENSAJE DEL DÍA 1 DE MAYO DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hijos míos, si es verdad que me amáis, respetad mis leyes y amad mis leyes, porque los hombres se han abandonado en Dios. Los padres sólo piensan que sus hijos estudien buenas carreras, y tienen, la mayoría, atados el pensamiento y el corazón a los libros; quieren mejor que sean hombres de ciencia que hombres de Dios. Pero ¿hasta cuándo, hijos míos, puede todo un Dios estar avisando a los hombres, del gran peligro que acecha al mundo? Sois sordos a mis palabras y ciegos a la realidad de lo que hay en el mundo. Y todo es porque falta Dios en los hombres. La mayoría de los hombres son desertores de Dios; han desertado, y donde no está Dios no puede reinar la paz.
 
 

     LA VIRGEN:

     Orad mucho, hijos míos, orad, que se ha olvidado el diálogo con Dios. Los hombres sólo mueven los labios y no meditan las palabras que hay en el Padrenuestro. Y fue el mismo Jesús el que enseñó a los hombres esa oración.

     Digo que mis palabras se acaban, pero mis gracias seguiré derramándolas sobre todos vosotros. Acudid, hijos míos a este lugar; son tiempos muy graves, y aquí os enseño a amar a la Iglesia, amar a Dios y a todo lo que compone el camino recto y seguro para llegar al Cielo. ¡Ay, cómo los hombres desaprovechan tantas y tantas gracias y tantos y tantos frutos como hay en este lugar!

     Que los hombres no hagan la guerra entre las familias, ni entre las comunidades. Ya hay bastantes desertores y almas que no quieren saber nada de Dios, para armar guerras, matanzas, destrucciones. ¡Qué pena de almas! ¡Todo un Dios pidiendo a sus criaturas que cumplan las leyes; la ley del espíritu, que a los hombres se les olvida esa ley!

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantas y tantas ofensas como se cometen contra nuestros Corazones...

     Sed humildes unos con otros y reuníos todos para practicar unos con otros, y que se conserve la unidad entre los hombres. Quiero amor entre vosotros, hijos míos, y unidad.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo con el Espíritu Santo.
 

5 juin 1999
MESSAGE DU 5 JUIN 1999, PREMIER SAMEDI DU MOIS, 
AU PRADO NUEVO (PRE ENUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Ma fille, voici ta Mère, Mère de ceux qui ne sont pas consolés, Mère du triste et de l’affligé. Je sais que parfois ton âme ressent une très grande solitude, mais ne t’en afflige pas ; nous sommes ici pour étendre les bras. 

     LE SEIGNEUR : 
     Toi, continue de reprendre les âmes, ma fille, celles qui n’en bénéficient pas et à celles qui ne me plaisent pas. Les âmes, valent la douleur et les joies mais toi, continue de pratiquer la charité. Ma fille, n’abandonne jamais cette vertu, bien qu’on te calomnie et qu’on te méprise. Toi reprends-les. Si elles ne te remercient pas pour ces faveurs, elles sont dignes de compassion. Mais ta mission est d’aider les âmes et de corriger la mauvaise déformation. Mais, ma fille, il leur coûte beaucoup de baisser la tête ; l’orgueil ne les laisse pas. 
      Je lance aussi un appel à tous les moniteurs qui amènent des âmes en ce lieu : que tous unis ils trouvent la paix les uns avec les autres et que personne ne cause la discorde parce qu’une personne en fait plus qu’une autre ; que tous le fassent pour la gloire de Dieu ; que ce ne soit ni pour un bénéfice propre ni pour la vanité ni pour la gloire terrestre ; que tout soit pour la gloire de Dieu, mes fils, et pour le bénéfice des âmes. Travaillez, que tous vous soyez rémunérés d’une grande récompense pour l’éternité ; mais que personne ne se croit supérieur à un autre, ni qu’aucun ne s’imagine plus important que les autres, travaillez tous pour la gloire de Dieu. 
     Conduisez les âmes pour qu’elles boivent de cette fontaine, que beaucoup viennent assoiffées, mes fils. C’est ce qui doit vous préoccuper : le salut des âmes ; mais ne causez pas de discordes les uns envers les autres et aimez embrasser toutes les choses. Partagez, mes fils, et aidez-vous les uns les autres. Celui qui travaillera pour mon Œuvre recevra des grâces spéciales, mais n’allumez pas une bougie pour Dieu et une autre pour le diable, mes fils ; celui qui est avec moi n’est pas contre moi. 
     Aimez-vous les uns les autres, c’est le commandement le plus important : l’unité, l’amour et la paix, mes fils. 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Levez tous les objets ; ils seront tous bénis de bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs. . . 
     Je vous bénis, mes fils, comme vous bénit le Père par le moyen du Fils et avec le Saint-Esprit.
 

MENSAJE DEL DÍA 5 DE JUNIO DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, aquí está tu Madre, Madre de los desconsolados, Madre del triste y afligido. Sé que a veces tu alma siente una soledad muy grande, hija mía, pero no te angustie esa soledad; aquí estamos nosotros para extenderte los brazos.
 
 

     EL SEÑOR:

     Tú, sigue reprendiendo a las almas, hija mía, aquello que no les beneficia y aquello que a mí no me agrada. Las almas, hija mía, cuestan dolor y alegrías; pero tú, sigue aplicando la caridad. Nunca, hija mía, abandones esa virtud, aunque te calumnien, aunque te desprecien. Tú repréndelos, hija mía. Si ellos no tienen gratitud a esos favores son dignos de compasión. Pero tu misión es ayudar a las almas y corregir la mala deformación. Pero, hija mía, les cuesta mucho agachar la cerviz; el orgullo no las deja.

     También hago un llamamiento a todos los monitores que traen almas a este lugar: que todos unidos encuentren la paz unos con otros y que nadie forme discordia porque uno hace más que otro; que todos lo hagan para la gloria de Dios; que no sea ni para beneficio propio ni para vanidad ni para glorias terrenas; que todo sea para la gloria de Dios, hijos míos, y para beneficio de las almas. Trabajad, hijos míos, que todos seréis remunerados con una gran recompensa en la eternidad; pero que nadie se crea más que el otro, ni que ninguno se vea más valores que los demás, todos trabajáis para la gloria de Dios.

     Conducid a las almas para que beban de esta fuente, que muchas vienen sedientas, hijos míos. Eso es lo que os tiene que preocupar: la salvación de las almas, hijos míos; pero no arméis discordias unos con otros y queráis unos abarcar todas las cosas. Compartid, hijos míos, y ayudaos unos a otros. Todo el que trabaje para mi Obra recibirá gracias especiales, pero no encendáis una vela a Dios y otra al diablo, hijos míos; el que está conmigo no está contra mí.

     Amaos unos a otros, ése es el mandamiento más importante: la unidad, el amor y la paz, hijos míos.
 
 

     LA VIRGEN:

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

3 juillet 1999

MESSAGE DU 3 JUILLET 1999, PREMIER SAMEDI DU MOIS, 
AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Ma fille, voici ta Mère et la Mère de toutes les âmes. Je vais comme Consolatrice des affligés. Il ne me reste que peu de paroles à dire, parce que j’ai déjà dit tout ce qui se trouve dans l’Evangile. 

     LE SEIGNEUR : 
     Regarde, ma fille, combien de cadavres il y a dans le monde. Depuis le principe de leurs vies ce sont des cadavres ; ils sont morts, parce que pour eux il n’y a aucune loi ; l’unique loi qu’il y a est leur pensée. La pensée a la première place dans le monde, et là où est la pensée est le trésor, ma fille. 
     J’ai créé les hommes vivants, pas des cadavres. J’ai créé les hommes avec la lumière, pas avec les ténèbres. Je veux des hommes joyeux, pas tristes, des âmes qui mettent leur pensée en Dieu, pas dans les choses caduques, ma fille. Mais les hommes n’ont pas d’autre loi pour eux que celle qu’ils veulent ; c’est pour cela que je te dis, depuis le principe de leur existence, ce sont des cadavres qui sont passés sur la terre et qui ne sont pas arrivés à la lumière ; ce sont des âmes languissantes, ma fille ; des âmes qui ne pensent à rien de plus qu’à elles-mêmes, aucune ne pense à l’existence du Créateur. 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Mes fils, changez vos vies. Approchez-vous des sacrements de l’Eucharistie et de Pénitence. Rendez visite au Saint des Saints. Travaillez avec joie, car le travail apprend à être humble. Mais les hommes ont oublié le travail, les lois et les commandements. L’homme est fait pour travailler et glorifier Dieu. Et l’homme se vautre dans la chair, dans les vices, et sa pensée le tient dans les choses terrestres. 
     Ne pensez pas autant à vous-mêmes, mes fils, pensez à votre âme. Ne prenez tant soin de vos corps. 
     Aimez-vous les uns les autres. Je demande l’unité entre tous les hommes ; l’amour entre toutes les créatures. 
     Venez en ce lieu, car vous serez bénis et marqués d’une croix sur le front. Priez, mes fils, et faites pénitence. 
     Levez tous les objets, ils seront tous bénis de bénédictions spéciales pour le jour des ténèbres. . . 
     Je vous bénis, mes fils, comme le Père vous bénit par le moyen du Fils et avec le Saint-Esprit. 
 

MENSAJE DEL DÍA 3 DE JULIO DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, aquí está tu Madre y Madre de todas las almas. Vengo como Consoladora de los afligidos. Pocas palabras me quedan que decir, hija mía, porque ya he dicho todo lo que hay en el Evangelio.
 
 

     EL SEÑOR:

     Mira, hija mía, cuántos cadáveres pasan por el mundo. Desde el principio de sus vidas son cadáveres; están muertos, hija mía, porque para ellos no hay ninguna ley; la única ley que hay es su pensamiento. El pensamiento lo tienen puesto en el mundo, y allí donde está el pensamiento está el tesoro, hija mía.

     Yo he creado hombres vivos, no cadáveres. He creado hombres con luz, no con tiniebla. Quiero hombres alegres, no tristes. Almas que pongan el pensamiento en Dios, no en las cosas caducas, hija mía. Pero los hombres no hay más ley para ellos que la que a ellos les gusta, hija mía; por eso te digo que, desde el principio de su existencia, son cadáveres que han pasado por el mundo y no han llegado a la luz; son almas lánguidas, hija mía; almas que no piensan nada más que en sí mismas, nunca piensan en la existencia del Creador.
 
 

     LA VIRGEN:

     Hijos míos, cambiad vuestras vidas. Acercaos al sacramento de la Eucaristía, al sacramento de la Penitencia. Haced visitas al Santísimo. Trabajad con ilusión, hijos míos, que en el trabajo se aprende a ser humilde. Pero los hombres se han olvidado del trabajo y se han olvidado de las leyes, de los mandamientos. Y el hombre está hecho para trabajar y para glorificar a Dios. Y el hombre se enfrasca en la carne, en los vicios, y su pensamiento lo tiene en las cosas terrenas.

     No penséis tanto en vosotros mismos, hijos míos, y pensad en vuestra alma. No miméis tanto vuestros cuerpos.

     Amaos los unos a los otros. Unidad pido entre todos los hombres; amor, hijos míos, entre todas las criaturas.

     Acudid a este lugar, que seréis bendecidos y marcados en la frente con una cruz. Orad, hijos míos, y haced penitencia.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para el día de las tinieblas...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

7 Août 1999

Notre-Seigneur : Ma fille, Je veux que chaque jour tu Me répètes souvent : "Merci, mon Dieu, je Vous adore, j'espère en Vous, je Vous aime et je Vous glorifie". Dans ce monde, ma fille, ce monde si moderne que les hommes ont fait, Dieu est peu glorifié. Les hommes se glorifient eux-mêmes les uns les autres, et ils oublient Dieu le Créateur.

Je te répète qu'il reste peu de choses à dire, ma fille. Je ne viens vous dire rien de neuf, ni rien que vous ne sachiez, mes enfants ; mais Je viens vous rappeler que vous avez une âme et que vous devez louer Dieu et Le glorifier. Je vous impose la loi de l'amour, mes enfants. Les hommes ne s'aiment pas ; ils ne se supportent pas les uns les autres, parce qu'il n'y a pas d'amour dans leurs coeurs. Savez-vous, mes enfants, par quoi J'ai vaincu la mort ? Par la Croix, Et pour qui J'ai chargé la Croix sur mon dos et donné ma vie ? Pour l'amour des hommes. Avec l'amour, vous comprendrez tout, vous discernerez tout ; mais sans amour, mes enfants : les guerres, les discordes, les jalousies, la destruction du monde. Les enfants s'émancipent des foyers sans respecter leurs parents.

J'ai donné aux hommes une liberté, mais une liberté modérée, et ils la transforment en libertinage ; ils veulent se gouverner par eux-mêmes, et ils veulent abolir le pouvoir ecclésiastique et le pouvoir civil. Tout cela est en train de se produire, mes enfants. Or Je vous ai dit de vous mettre à trembler lorsque ce temps viendrait ; eh bien, tout cela est en train d'arriver : les enfants ont perdu la morale et la dignité ; le monde les séduit et les dévore, et rient n'est péché à leurs yeux, mes enfants. Vous savez que les trois plus grands ennemis (de l'âme) sont le monde, le démon et la chair, ce sont eux que vous recherchez, mes enfants, et eux vous poursuivent.

La Très Sainte Vierge : Aimez-vous les uns les autres. Pénitence, prière et sacrifice, mes enfants.

Venez en ce lieu, vous y serez tous bénis et marqués d'une croix sur le front.

Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour le Jour des ténèbres.

Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit-Saint.

MENSAJE DEL DÍA 7 DE AGOSTO DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hija mía, quiero que todos los días me repitas muchas veces: “Gracias, Dios mío; te adoro, espero en Ti, te amo y te glorifico”. En este mundo, hija mía, tan moderno como los hombres lo han hecho, es poco glorificado Dios. Se glorifican los hombres, ellos mismos, unos a otros, y olvidan al Dios Creador.

     Repito que pocas palabras quedan que decir, hija mía. No vengo a decir nada nuevo y nada que no sepáis, hijos míos; sino a recordaros que tenéis un alma y que tenéis que alabar y glorificar a Dios. Os impongo la ley del amor, hijos míos. Los hombres no se aman, no se soportan unos a otros, porque no hay amor en sus corazones. ¿Sabéis por qué vencí la muerte, hijos míos? Por la Cruz. ¿Y por quién me puse la Cruz en las espaldas y di mi vida? Por el amor a los hombres. Con amor todo lo comprenderéis y todo lo entenderéis; pero sin amor, hijos míos: las guerras, las discordias, las envidias, la destrucción del mundo. Los hijos se emancipan de los hogares sin respetar a los padres.

     Yo les di una libertad a los hombres, pero una libertad moderada; y ellos la convierten en libertinaje, y se quieren gobernar por sí mismos, y no quieren que exista el poder eclesiástico ni el civil. Y todo esto está llegando, hijos míos. Y os dije que cuando llegase todo este tiempo, echaos a temblar, hijos míos; pues todo está sucediendo: los hijos han perdido la moral y la dignidad, y la atracción del mundo los embulle[1] y no ven el pecado en nada, hijos míos. Sabed que los tres enemigos mayores son el mundo, el demonio y la carne. Ésos son los que vosotros buscáis, hijos míos, y os persiguen.

     Amaos unos a otros. Penitencia, oración y sacrificio, hijos míos.
 
 

     LA VIRGEN:

     Acudid a este lugar, que todos seréis bendecidos y marcados con una cruz en la frente.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos para el día de las tinieblas...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

[1] “Embullar”= “Animar a alguien para que tome parte en una diversión bulliciosa”. “Imbuir”= “Infundir, persuadir”.
 

4 Septembre 1999

La Très Sainte Vierge : Quelle grande joie éprouve mon Coeur, ma fille, en raison de tant et tant d'Ave Maria que l'on a égrenés en ce lieu ! Que de conversions !

Que de fruits donne ce lieu ! Quelle joie éprouvent nos Coeurs !

Mes enfants, venez en ce lieu avec un coeur pur afin de réjouir nos Coeurs.

Notre-Seigneur : Malheur à vous, guides des peuples, qui ne voulez pas reconnaître les fruits que donne ce lieu ! Ne voyez-vous pas, mes enfants, que vous exigez de respecter les lois alors que vous-mêmes, vous les transgressez et vous persécutez ceux qui les mettent en pratique ? Vous cueillez le fruit et vous rouez l'arbre de coups. Mes enfants n'avez-vous donc pas des oreilles pour entendre et des yeux pour voir ? Comment ne voyez-vous pas, mes enfants, que vous filtrez le moucheron et avalez le chameau ? N'avez-vous pas conscience de votre orgueil, qui vous empêche de reconnaître que Dieu peut se manifester à qui Il veut et où Il veut ? Pourquoi imposez-vous une limite à Dieu ? vous voulez comprendre les signes, non pas ceux que Moi, Je vous envoie, mais ceux que vous, vous voulez, Jusqu'à quand dois-Je vous avertir, mes enfants ? Changez de vie, dépouillez-vous du vieil homme et revêtez-vous de l'homme nouveau. Certains d'entre vous, mes enfants, êtes un désert glacé. Je veux des âmes qui soient comme le grain de sénevé, qui soient du levain, Je veux qu'en elles croissent les vertus. Seul l'amour peut vous aider, mes enfants. Comment pouvez-vous maltraiter, persécuter et calomnier ainsi ceux qui se disent miens et qui veulent Me suivre ? Vous n'entrez pas dans le Ciel, mes enfants, et vous empêchez les autres d'y entrer. Malheur à vous qui ne voulez pas écouter ma parole !

Ma fille, continue à prier pour eux. Mon Coeur les aime malgré tout.

Priez, mes enfants, priez, afin de ne pas tomber en tentation.

Quant à vous, guides des peuples, celui qui n'est pas contre Moi est avec Moi. Retenez ce qui est bon. Comment un mauvais arbre peut-il donner de bons fruits, mes enfants ? Pourquoi reconnaissez-vous le fruit et piétinez-vous l'arbre ? Aveugles, insensés ! Jusqu'à quand, mes enfants...? Votre orgueil vous rend aveugles. Si vous aviez le coeur pur, vous croiriez aux signes. C'est Dieu qui fait l'homme, et non l'homme qui fait Dieu. L'homme est la créature. N'ayez pas la volonté d'enlever à Dieu la place qui lui revient. Priez, mes enfants, priez pou eux. Sacrifice et pénitence. Mon Coeur souffre parce qu'il y a une rébellion parmi eux, car ils ne veulent pas reconnaître ...Baise le sol, ma fille, en réparation de toutes les offenses qu'ils commettent contre mon Coeur.

La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets, ils seront tous bénis pour la conversion des pauvres pécheurs. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit-Saint.

MENSAJE DEL DÍA 4 DE SEPTIEMBRE DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     ¡Cuánto gozo siente mi Corazón, hija mía, por tantas y tantas avemarías como se han desgranado en este lugar! ¡Cuántas conversiones, cuántos frutos salen de él! ¡Qué gozo sienten nuestros Corazones!

     Hijos míos, acudid a este lugar con pureza de corazón, para alegrar nuestros Corazones.
 
 

     EL SEÑOR:

     ¡Ay, guías de los pueblos, que no queréis reconocer los frutos que salen de este lugar! ¿No os dais cuenta, hijos míos, que exigís cumplir las leyes y vosotros las infringís y no dejáis a los que las cumplen? Cogéis el fruto y apaleáis el árbol. Pero, hijos míos, ¿no tenéis orejas para oír ni ojos para ver? ¿Cómo no os dais cuenta, hijos míos, que coláis el mosquito y os tragáis el camello? ¿No os dais cuenta de vuestra soberbia, que no os deja reconocer que Dios puede manifestarse a quien quiera y donde quiera? ¿Por qué ponéis un límite a Dios? Queréis coger vosotros los signos, no los signos que yo mande, sino los que vosotros queráis. ¿Hasta cuándo os tengo que estar avisando, hijos míos? Cambiad vuestras vidas, dejad el hombre viejo y revestíos del hombre nuevo. Algunos de vosotros, hijos míos, sois un desierto helado. Yo quiero almas que sean como la mostaza, que sean levadura y que crezcan las virtudes en su alma. Sólo el amor os puede ayudar, hijos míos. ¿Cómo podéis atropellar y perseguir y calumniar así a los que se llaman míos y me quieren seguir? Ni entráis en el Cielo ni dejáis entrar, hijos míos. ¡Ay de vosotros, que no queréis escuchar mi palabra!

     Hija mía, sigue pidiendo por ellos. Mi Corazón los ama, a pesar de todo.

     Orad, hijos míos, orad, para no caer en tentación.

     Y vosotros, guías de los pueblos: el que no está contra mí está conmigo. Quedaos con lo bueno. ¿Cómo un árbol bueno puede dar mal fruto, hijos míos? ¿Por qué reconocéis el fruto y pisoteáis el árbol? ¡Ciegos, necios! ¿Hasta cuándo, hijos míos? No os deja ver vuestra soberbia. Si sois puros de corazón, creeréis en los signos. Es Dios el que hace al hombre, no el hombre a Dios. El hombre es la criatura. No queráis quitarle el puesto al Creador.

     Orad, hijos míos, pedid por ellos. Sacrificio y penitencia. Mi Corazón sufre porque hay una rebelión entre ellos, que no quieren reconocer.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de todas las ofensas que cometen contra mi Corazón.
 
 

     LA VIRGEN:

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos para la conversión de los pobres pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

2 Octobre 1999

Notre-Seigneur : Ma fille, observe la situation du monde. Le monde est sauvage. Le monde est sans amour, ma fille. Le monde est nonchalant quand il s'agit de prier, de faire oraison, mais comme son activité ne s'exerce, ma fille, que dans les études et les travaux ! Le monde est sur le point de périr, parce que l'homme est sans Dieu. Les hommes ne pensent qu'aux choses matérielles. Mes enfants, laissez Dieu vous enseigner la charité et l'amour parfait. L'amour du sang, l'amour de la chair... Que faites-vous de l'amour envers Dieu mes enfants ? Auparavant, les hommes renonçaient à la chair et au sang pour Dieu. Maintenant, ils s'attachent au sang et à la chair et ils abandonnent Dieu, mes enfants. N'éprouvez-vous pas de la peine pour la Majesté de Dieu ?

La Très Sainte Vierge : Convertissez beaucoup d'âmes, mes enfants ; vous ferez plaisir à Dieu et vous lui mettrez une couronne. Priez, mes enfants ; soyez ardents. Je te le dis, ma fille, dans cette Oeuvre il faut avoir de l'enthousiasme, pour la mener à bien. Travaillez tous pour la gloire de Dieu avec joie et ardeur. Convertissez-vous, mes enfants, et repentez-vous. Détachez-vous de la matière et unissez-vous à l'esprit.

Notre-Seigneur : Ah, ma fille, les couvents : beaucoup sont fermés et d'autres se sont relâchés ! Sais-tu pourquoi, ma fille ? Ils se sont relâchés en raison des sorties, des allées et venues et ils ont ainsi perdu leur vocation. Aimez-vous les uns les autres selon le commandement de l'amour. Convertissez-vous et repentez-vous. Venez en ce lieu, vous y serez tous bénis et marqués d'une croix sur le front.

La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets, ils seront tous bénis pour la conversion des pauvres pécheurs. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit-Saint.

MENSAJE DEL DÍA 2 DE OCTUBRE DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hija mía, mira la situación del mundo: el mundo está salvaje; el mundo está sin amor, hija mía; el mundo está pere... perezoso para los rezos, para las oraciones, y ¡cómo se ejercita en los estudios, hija mía, en los trabajos! Está el mundo a punto de perecer, porque el hombre está sin Dios. No piensan nada más que en las cosas materiales. Dejad a Dios, hijos míos, que os enseñe la caridad y el amor perfecto. El amor de la sangre, el amor de la carne... y ¿dónde dejáis el amor a Dios, hijos míos? Antes, los hombres dejaban la sangre y la carne por Dios. Ahora cogen la sangre y la carne y dejan a Dios, hijos míos. ¿No os da pena de la Majestad de Dios?
 
 

     LA VIRGEN:

     Convertid muchas almas, hijos míos; contentaréis a Jesús y le pondréis una corona. Orad, hijos míos; tened ilusión. Ya te lo digo, hija mía, que en esta Obra hay que tener ilusión, para sacarla adelante. Con ilusión y con alegría trabajad todos para la gloria de Dios. Convertíos, hijos míos, y arrepentíos. Dejad la materia y uníos al espíritu.
 
 

     EL SEÑOR:

     ¡Ay, los conventos, muchos cerrados y otros relajados, hija mía! ¿Sabes por qué, hija mía? Por las salidas, las idas y venidas; les han relajado y han perdido su vocación.

     Amaos los unos a los otros en el mandamiento del amor. Convertíos y arrepentíos. Acudid a este lugar, que todos seréis bendecidos y marcados con una cruz en la frente.
 
 

     LA VIRGEN:

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

6 Novembre 1999

Notre-Seigneur : Assieds-toi, ma fille ; n'en sois pas humiliée (Amparo a de plus en plus de peine à se mouvoir, ce qui explique l'attention de son interlocuteur céleste). C'est Moi qui le veux et c'est Moi qui te choisis pour souffrir, ma fille. Ton corps est malade. Ton esprit est sain et vigoureux. Tu n'as rien à craindre, que rien ne te préoccupe, ma fille. Le signe manifeste des enfants de Dieu, c'est la persécution, la calomnie, la diffamation de la part des défenseurs de la foi eux-mêmes. Oui, ma fille , beaucoup de guides des peuples passent leur temps à vous persécuter.

Malheur à vous, guides des peuples, vous êtes les défenseur de la foi, et vous persécutez ceux qui l'ont ! Vous avez l'obligation de retenir ce qui est bon, de le protéger et de le défendre ; mais au lieu de le protéger et de le défendre, vous vous rassemblez pour enfoncer l'aiguillon.

Oui, ma fille, l'histoire se répète ; ce qu'on a fait à Jésus, comment ne le ferait-on pas encore à la créature ?

Guide orgueilleux, beaucoup d'entre vous êtes remplis d'orgueil ; vous ne comprenez pas et ne voulez pas comprendre que Dieu se manifeste aux humbles pour vous confondre et vous instruire. Et vous ne l'acceptez pas, mes enfants. Ne voyez-vous pas qu'ils sont avec Moi ? Pourquoi les combattez-vous ?

Oui, ma fille, la persécution et la calomnie sont plus douloureuses lorsqu'elles viennent des siens et de ceux qui sont à l'intérieur que de ceux du dehors. Mais n'aie pas de doute : tu es une fille fidèle de l'Eglise, ma fille. Occupe-toi d'attirer des âmes et de contenter nos coeurs, ma fille.

Hélas, beaucoup d'entre vous, pourquoi ne vous abaissez-vous pas et ne voyez-vous pas le mal qui est en vous et ces haines... ? (Celui qui vous hait Me hait). Pourquoi n'enlevez-vous pas le mal qui est en vous, mes enfants ? Vous pourrez alors levez la tête pour qu'on voie votre visage : le coeur de beaucoup d'entre vous, en effet, est rempli de froideur à l'égard de Dieu, rempli de l'esprit du monde, d'attachements au monde. Otez la poutre (de votre oeil) pour voir la paille (de l'oeil de votre frère) et venez à Moi, car mon Coeur vous attend. Donnez à votre vie une orientation nouvelle et changez, mes enfants. Donnez le bon exemple et imitez Jésus.

Priez, mes enfants, priez beaucoup pour eux et continuez (à travailler pour) l'Oeuvre, mes enfants : beaucoup d'entre vous, vous ne vous êtes pas tout à fait consacrés à elle. Tendez la main au nécessiteux, au déshérité et au pauvre, ma fille, cela vous conduira à obtenir l'éternité. Consacrez-vous (à elle) corps et âme, car Je promets à tous ceux qui travailleront pour cette Oeuvre en faveur des pauvres et des nécessiteux et qui l'aideront, d'être en ce lieu (en même temps, elle contemple une demeure céleste) pour l'éternité. Ne perdez pas l'éternité, mes enfants : vous êtes attachés au temps, or le temps passe tandis que l'éternité ne passe jamais, mes enfants.

Priez pour le monde, mes enfants, priez à cause des passions des hommes, afin que les hommes aiment Dieu. Les hommes ont cessé d'aimer Dieu et c'est pourquoi la nature se rebelle contre eux, ma fille. En effet, l'homme sans Dieu est mort. Aussi Je demande à tous ceux qui viennent en ce lieu : convertissez-vous, mes enfants, approchez-vous du sacrement de la confession, du sacrement de l'Eucharistie. Confessez vos fautes et réconciliez-vous avec Dieu. Dieu mendie l'amour des hommes.

Vous toutes, créatures du Seigneur, aimez le Seigneur. Ne voyez-vous pas que le monde est aux mains de Satan ? Les hommes ont cessé d'aimer Dieu. La majorité des couvents sont vides. Beaucoup de mes pasteurs ne sont pas des pasteurs de mon troupeau, ce sont des fonctionnaires, et ils abandonnent le troupeau. Le monde irait mieux si les pasteurs s'occupaient du troupeau et si dans les couvents on évitait les sorties... En effet, les vocations ont décliné depuis que les couvents se sont ouverts à cette liberté qu'ils ont transformée ensuite en libertinage.

Vous, les rares âmes consacrées qui restez dans les couvents en suivant les règles anciennes, ne les modernisez pas, mes enfants. Continuez et priez pour les pécheurs, car le monde a besoin de prière et de pénitence, et les hommes ont oublié la prière et le sacrifice.

Priez pour ne pas tomber dans les tentations. Aimez-vous les uns les autres. L'homme est sans coeur. L'homme a laissé l'Amour dans l'oubli. Il ne pense qu'à la jouissance. Les hommes ne s'aiment pas les uns les autres.

Ma fille, quelle tristesse éprouve mon Coeur, quand Je vois que les hommes Nous oublient de plus en plus. Aime-nous beaucoup, ma fille, aime-nous et continue à attirer des âmes, car notre Coeur a soif d'âmes.

Et vous, guides des peuples, J'ai dit que vous avez l'obligation de vous préoccuper des âmes, de défendre et de protéger ce qui est bon, au lieu de mettre des entraves et des obstacles sur leur chemin. Beaucoup d'entre vous, vous n'acceptez pas la "manifestation" parce que vous n'êtes pas humbles. Laissez Dieu faire ce qu'Il voudra selon son bon plaisir, avancez sur le chemin de la vérité, et soyez des pasteurs d'âmes. Mon Coeur vous aime, mes enfants, or qu'avez-vous fait de cet amour ! Vous vivez dans le monde, pour le monde, et non pour Dieu. A ceux qui veulent vivre l'Evangile et marcher sur le chemin de la vérité, vous leur barrez la route.

Venez à Moi, mes enfants : aussi graves que soient vos fautes, Je vous en purifierai et nous vous étreindrons comme des amis.

La Très Sainte Vierge :Venez en ce lieu, mes enfants. Tous ceux qui viendront en ce lieu seront bénis et marqués d'une croix sur le front, en signe de protection, mes enfants. Aimez-vous les uns les autres. Le monde a besoin d'amour, d'un amour sans égoïsme, d'un amour sincère et pur.

Levez tous les objets, ils seront tous bénis, avec des bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit-Saint.

MENSAJE DEL DÍA 6 DE NOVIEMBRE DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Siéntate, hija mía; que no te sirva de humillación. Soy yo el que quiero y el que te escojo para sufrir, hija mía. Tu cuerpo está enfermo. Tu espíritu está sano y fuerte. Nada tienes que temer, nada te preocupe, hija mía. Es la señal clara de los hijos de Dios: la persecución, la calumnia, la difamación; por los mismos defensores de la fe. Sí, hija mía, muchos guías de los pueblos son los que se dedican a perseguiros.

     ¡Ay, guías de los pueblos, sois defensores de la fe y perseguís a los que la tienen! Tenéis obligación de coger lo bueno, protegerlo y defenderlo; pero, en vez de protegerlo y defenderlo, os juntáis para clavar el aguijón.

     Sí, hija mía, la historia se repite, hija mía; si se lo hicieron a Jesús, ¿cómo no van a seguir haciéndolo a la criatura?

     Guías orgullosos, que muchos de vosotros estáis llenos de soberbia y no comprendéis ni queréis entender que Dios se manifiesta a los humildes, para confundiros y para enseñaros; pero vosotros no lo aceptáis, hijos míos. ¿No veis que están conmigo? ¿Por qué vais en contra de ellos?

     Sí, hija mía, la persecución y la calumnia duele más de los propios que están dentro que de los de fuera. Pero no tengas duda de que eres hija fiel de Iglesia, hija mía. Ocúpate de traer almas y de contentar nuestros Corazones, hija mía.

     ¡Ay, muchos de vosotros!, ¿por qué no miráis para abajo y veis el mal que tenéis dentro, los odios —el que os odia a vosotros me odia a mí—, y sacáis todo lo que tenéis dentro, hijos míos? Entonces podréis levantar la cabeza para que se os vea el rostro, porque vuestro corazón, en muchos de ellos, está lleno de desamor a Dios, de mundo y de apegos del mundo. Quitad la viga para ver la paja, hijos míos, y venid a mí, que mi Corazón os espera. Dad un giro a vuestra vida y cambiad, hijos míos. Dad buen ejemplo e imitar a Jesús.

     Orad, hijos míos, orad mucho por ellos y seguid con la Obra, hijos míos; que muchos de vosotros todavía no os habéis entregado bien a ella. Extended la mano al necesitado, al desvalido y al pobre, hija mía. Esto os llevará a conseguir la eternidad. Entregaos en cuerpo y alma, que yo prometo a todo el que trabaje y ayude para esta Obra, para los pobres y los necesitados, estar en este lugar para toda la eternidad. No perdáis la eternidad, hijos míos, porque estáis apegados al tiempo, y el tiempo se acaba, y la eternidad no se acaba nunca, hijos míos.

     Orad por el mundo, hijos míos. Orad por las pasiones de los hombres, para que los hombres amen a Dios. Los hombres han dejado de amar a Dios, y por eso la Naturaleza se está rebelando con los hombres, contra los hombres, hija mía. Porque el hombre sin Dios está muerto; por eso pido a todos los que vienen a este lugar: convertíos, hijos míos, acercaos al sacramento de la Confesión, al sacramento de la Eucaristía, y confesad vuestras culpas y poneos a bien con Dios. Dios mendiga el amor de los hombres.

     Criaturas todas del Señor, amad al Señor. ¿No veis el mundo que está en manos de Satanás? Los hombres han dejado de amar a Dios. Los conventos, la mayoría, están vacíos. Muchos de mis pastores no son pastores de mi rebaño, son funcionarios y abandonan el rebaño. El mundo se arreglaría, hija mía, si los pastores se ocuparan del rebaño y en los conventos no salieran; porque las vocaciones han fallado desde que los conventos se han abierto a esa libertad, que luego la han convertido en libertinaje.

     Las pocas almas consagradas que quedáis, hijos míos, en los conventos con la reglas antiguas, no las modernicéis, hijos míos. Seguid y orad por los pecadores, que el mundo necesita oración y sacrificio, y los hombres se han olvidado de la oración y del sacrificio.

     Orad, para no caer en tentaciones. Amaos unos a otros. El hombre está sin corazón. El hombre se ha olvidado de amar, sólo piensa en gozar. No se aman los hombres, unos a otros.

     Hija mía, qué tristeza siente mi Corazón cuando veo que los hombres, cada día, se olvidan más de nosotros. Ámanos mucho, hija mía. Ámanos y sigue trayendo almas; que nuestro Corazón tiene sed de almas.

     Y vosotros, guías de los pueblos, he dicho que tenéis obligación a preocuparos de las almas y de lo bueno, y defenderlo y protegerlo. No de poner trabas y obstáculos en sus caminos. Muchos de vosotros no aceptáis la “manifestación”, porque no estáis limpios por dentro y no sois humildes. Dejad a Dios, que Él haga a su antojo lo que quiera, y caminad por el camino de la verdad y sed pastores de almas. Mi Corazón os ama, hijos míos, y ¡qué habéis hecho de ese amor! Vivís en el mundo y para el mundo, no para Dios. Y a aquéllos que quieren vivir el Evangelio y caminar por el camino de la verdad, entorpecéis el camino.

     Venid a mí, hijos míos, que por muy graves que sean vuestras culpas, yo las limpiaré y nos daremos un abrazo de amigos.
 
 

     LA VIRGEN:

     Acudid a este lugar, hijos míos; todo el que acuda a este lugar será bendecido y marcados con una cruz en la frente, de protección, hijos míos. Amaos unos a otros. El mundo está necesitado de amor, un amor sin egoísmos, un amor sincero y limpio.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres pecadores...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

4 décembre 1999

Notre-Seigneur : Ma fille, Je demande prière ; prière, sacrifice, pénitence. Le monde se trouve dans cette situation parce que les hommes ont oublié la prière, le sacrifice et la pénitence. Oui, ma fille, l'Eglise traverse des moments... Regarde le Saint-Père, ma fille.

Luz Amparo (elle a une vision du Pape et décrit) : Le Saint-Père est dans une très grande salle, il est appuyé sur une table, très triste, fatigué, malade, accablé. Il est entouré de beaucoup de prêtres, d'évêques et de cardinaux.
VISION SUR LES EVEQUES:
Notre-Seigneur : Ma fille, regarde tous les évêques... Le Saint-Père croit qu'ils sont ses amis fidèles ; la plupart d'entre eux, ma fille, sont de faux amis, beaucoup n'obéissent pas aux ordres qu'il donne et se rebellent contre ses paroles ; d'autres, ceux de ce côté-ci, ma fille, regarde comme ils sont soumis, obéissants à l'Eglise et au Saint-Père. Mais les premiers, ma fille, sont infidèles, ils ne sont pas loyaux.

Ah, mes enfants, vous avez commencé avec l'esprit et vous avez terminé avec la chair.

Luz Amparo (elle a une vision symbolique de deux groupes d'évêques et de prêtres et décrit ) : Ceux qui sont de ce côté-là poussent comme pour démolir l'Eglise, mais ceux-ci la soutiennent par leur fidélité et leur amour.

La Très Sainte Vierge : Baise le sol, ma fille, en réparation de tant et tant de péchés et d'offenses que l'on commet contre mon Eglise.

Prêtres de mon Eglise, abandonnez le mal et faites le bien ! Prêchez l'Evangile et faites produire de bons fruits à la Parole de Dieu ! Prière, sacrifice, pénitence, vous les avez oubliés, mes enfants !

Prie pour eux, ma fille, fais des sacrifices et fais pénitence.

Levez tous les objets, ils seront tous bénis, avec des bénédictions spéciales pour le Jour des ténèbres.
 

MENSAJE DEL DÍA 4 DE DICIEMBRE DE 1999, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     EL SEÑOR:

     Hija mía, oración pido; oración, sacrificio, penitencia. El mundo está en esta situación porque los hombres se han olvidado de la oración, del sacrificio y de la penitencia. Sí, hija mía, la Iglesia está pasando por unos momentos... Mira el Santo Padre, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Está el Santo Padre en un habitación muy grande; está apoyado sobre una mesa, muy triste, fatigado, enfermo, desconsolado; hay muchos sacerdotes, obispos y cardenales a su alrededor.
 
 

     EL SEÑOR:

     Hija mía, mira todos los obispos; el Santo Padre cree que son amigos fieles de él; la mayoría, hija mía, son falsos amigos; muchos de ellos no cumplen las órdenes que él da y se rebelan contra sus palabras; otros, mira, hija mía, cómo son sumisos, obedientes a la Iglesia y al Santo Padre, los de esta parte; pero estos otros, hija mía, son infieles, no son leales.

     ¡Ay, hijos míos, empezasteis con el espíritu y habéis terminado con la carne!
 
 

     LUZ AMPARO:

     Empujan como para demoler la Iglesia los de esta parte, pero estos otros la sostienen con su fidelidad y con su amor.
 
 

     LA VIRGEN:

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados y ofensas como se cometen contra mi Iglesia...

     ¡Sacerdotes de mi Iglesia, dejad el mal y haced el bien! Predicad el Evangelio y dad frutos buenos de la palabra de Dios. ¡Oración, sacrificio, penitencia! Que lo habéis olvidado, hijos míos.

     Ora por ellos, hija mía, haz sacrificio y penitencia.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para el día de las tinieblas...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 

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