La grande Promesse de l'Escorial
: pas de Purgatoire
3 décembre 1983
La Vierge Marie :
"Tous ceux qui
chaque jour récitent le Rosaire,
rendent
visite au Saint Sacrement et
se
confessent et
communient
les premier samedi du mois,
verront les peines du Purgatoire
qu'ils ont méritées
mais sans y entrer, elles passeront
directement au Ciel."
4 novembre 1989
«Je promets à tous
ceux qui seront venus en ce lieu de ne pas les abandonner, et au moment
de la mort, de les prendre par la main, pour les conduire au ciel».
5 mars 1994
«Tous ceux qui viendront en
ce lieu recevront des grâces spéciales.
Tous ceux qui collaboreront à
cette Oeuvre, J'irai les accueillir à l'heure de la mort. »
5 novembre 1988
«A tous ceux qui viendront
en ce lieu, Je répandrai des grâces spéciales pour
les âmes
et J'apporterai la paix dans
leurs foyers ».
3 mai 1986
«Je promets que tous ceux
qui fouleront ce lieu recevront des grâces spéciales, parce
que mes anges le garde».
7 mai 1988
«Et maintenant Je promets
que tous ceux qui viendront en ce lieu seront marqués du sceau (des
choisis), pour que l'ennemi ne puisse ravir leur âme ».
5 octobre 1991
«A tous ceux qui aideront
mon Oeuvre, Je leur donnerai une récompense, et cette récompense
sera le titre pour entrer au ciel. »
7 juin 1997
«Soyez constants mes enfants
car vous tous qui persévérez à recevoir les grâces
et à venir en ce lieu, Je vous promets que Je ne vous abandonnerai
jamais».
7 mars 1998
«Je promets à celui
qui viendra en ce lieu les premiers samedis du mois, en s'approchant des
sacrements de la Pénitence et de l'Eucharistie, que je lui donnerai
des grâces spéciales pour cheminer sur la terre ; et Je
lui assure la vie éternelle, car Je le garderai dans la lumière,
et il ne tombera pas.»
6 juin 1998
«Je vous promets, mes enfants,
que vous tous qui viendrez en ce lieu, vous serez protégés
le jour des ténèbres. (Luz Amparo a respiré profondément
et a vu comment la Vierge Marie protège les âmes sous son
manteau). C'est ainsi que je vous protégerai tous, ma fille. Et
Moi, je tiens mes promesses».