www.JesusMarie.com
Plans des Livres de Sainte Catherine de Sienne

Dialogue

I.- Une âme, avide de la gloire de Dieu et du prochain, s’applique humblement à la prière ; elle adresse quatre demandes à Dieu, lorsqu’elle lui est unie par la charité.

II. - Dieu augmente le désir de l’âme en lui montrant la misère du monde.

III. - Les oeuvres de l’homme sont insuffisantes pour expier et mériter dès qu’elles sont séparées de la charité.

IV.- Le désir et la contrition du coeur satisfont à la faute et à la peine pour soi et pour les autres, quelquefois à la faute seulement et non à la peine.

V.- Combien plaît à Dieu le désir de souffrir pour lui.

VI.- Toute vertu et tout défaut se développent par le moyen du prochain.

VII.- Les vertus s’accomplissent par le moyen du prochain. - Pourquoi elles sont si différentes dans les créatures.

VIII. - Les vertus s’éprouvent et se fortifient par leurs contraires.
 
 

TRAITE DE LA DISCRETION

IX.- On doit s’attacher plus aux vertus qu’à la pénitence. - La discrétion tire sa vie de l’humilité ; elle rend à chacun ce qui lui est dû.

X.- La charité, l’humilité et la discrétion sont inséparables, et l’âme doit les posséder.

XI.- La pénitence doit être le moyen d’acquérir la vertu et non le but principal de l’âme. - Des lumières de la discrétion en diverses circonstances.

XII.- Dieu promet aux souffrances de ses serviteurs le repos et la réforme de l’Église.

XIII.- L’âme consolée dans sa peine, et fortifiée dans ses espérances par les paroles de Dieu, prie pour la sainte Église et pour tous les hommes.

XIV.- Dieu se plaint des péchés des chrétiens, et particulièrement de ceux de ses ministres.- Du sacrement de l’Eucharistie et des bienfaits de l’Incarnation.

XV.- Le péché est plus gravement puni depuis la Passion de Jésus-Christ. - Dieu promet de faire miséricorde, en considération des prières et des souffrances de ses serviteurs.

XVI.- L’âme, à la vue de la bonté divine, prie pour l’Eglise et pour le monde.

XVII.- Dieu se plaint de ses créatures raisonnables et surtout de leur amour-propre.  XVIII. - Personne ne peut échapper aux mains de Dieu : tous éprouvent sa miséricorde ou sa justice.

XIX.- L’âme, de plus en plus embrasée d’amour, désire répandre son sang. -Elle s’accuse elle-même, et prie particulièrement pour son père spirituel.

 XX.- On ne peut plaire à Dieu qu’en supportant les tribulations avec patience.

XXI.- Le chemin du ciel ayant été Interrompu par la désobéissance d’Adam, Dieu a fait de son Fils un pont par lequel on peut passer.

XXII.- Dieu invite l’âme à regarder la grandeur de ce pont, et comment il va de la terre au Ciel.

XXIII.- Tous sont des travailleurs que Dieu envoie travailler à la vigne de la sainte Eglise.

XXIV.- Dieu taille les rameaux unis à la vigne véritable. - La vigne de chacun est tellement unie à celle du prochain, que personne ne peut cultiver ou endommager la sienne sans cultiver ou endommager celle du prochains.

XXV.- L’âme rend grâces à Dieu, et le prie de lui montrer ceux qui passent sur le pont et ceux qui n’y passent pas.

 XXVI.- Le pont a trois degrés, qui sont trois états de l’âme. - Explication de cette parole : « Si je suis élevé de terre, j’attirerai tout à moi ».

XXVII.- Ce pont est bâti de pierres qui signifient les véritables vertus. - Ceux qui passent sur le pont vont à la vie, ceux qui passent dessous vont à la mort.

XXVIII.- Du bonheur de l’âme qui passe sur le pont.

XXIX.- Ce pont s’est élevé jusqu’au ciel le jour de l’Ascension, sans quitter cependant la terre.

XXX.- L’âme, pleine d’admiration pour la miséricorde de Dieu, célèbre les dons et les grâces qu’en a reçu le genre humain.

XXXI.- De l’indignité de ceux qui passent par le fleuve.  - L’âme qui suit cette route est un arbre de mort,  dont les racines tiennent à quatre vices principaux.

XXXII.- Les fruits de cet arbre sont aussi variés que les péchés ; et d’abord du péché de la chair.

XXXIII.- De l’avarice et des maux qui en procèdent.

XXXIV. - De ceux qui ont la puissance, et des injustices qu’ils commettent.

XXXV.- Les vices conduisent aux faux jugements.

XXXVI.-Explication de cette parole de Jésus-Christ :  « J’enverrai le Consolateur, qui convaincra le monde d’injustice et de faux jugements » (S. Jean, VI, 8).

XXXVII.- De la seconde condamnation, où l’homme est convaincu d’injustice et de faux jugements.

XXXVIII.- Des quatre principaux supplices des damnés, auxquels se rapportent tous les autres.

XXXIX. - De la troisième condamnation, qui aura lieu au jour du jugement.

XL. - Les damnés ne peuvent vouloir ni désirer aucun bien.

XLI. - De la gloire des Bienheureux.

XLII. - Le jugement général augmentera la peine des damnés.

XLIII.- L’utilité des tentations.- L’âme, au moment de la mort, voit la peine ou la gloire qui lui est destinée, même avant d’être séparée de son corps.

XLIV. - Le démon trompe toujours l’âme sous l’apparence de quelque bien.

XLV. - Quels sont ceux que ne blessent pas les épines du monde, quoique personne, en cette vie, ne puisse éviter la souffrance.

XLVI. - Des maux qui procèdent de l’aveuglement de l’intelligence. - Le bien qui n’est pas fait en état de grâce ne sert pas à la vie éternelle.

XLVII. -On ne peut observer les commandements, si on n’observe pas aussi les conseils.

XLVIII.- Les serviteurs du monde ne sont pas rassasiés de leurs biens. - Du supplice que leur cause leur volonté perverse.

XLIX. - La crainte servile ne suffit pas pour acquérir la vie éternelle, mais elle peut conduire à l’amour de la vertu.

L.- L’âme déplore l’aveuglement de ceux qui se noient dans le fleuve.

LI. - Les trois degrés figurés sur le pont signifient les trois puissances de l’âme.

LII. - Si les trois puissances de l’Âme ne sont pas unies ensemble, il lui est impossible d’avoir la persévérance nécessaire pour arriver à sa fin.

LIII.- Explication de ces paroles de Jésus-Christ : « Qui a soif vienne à moi et boive».

LIV. - Quel moyen doit prendre toute créature raisonnable pour pouvoir sortir des flots du monde et passer par le pont divin.

LV.- Résumé de plusieurs choses qui ont été déjà dites.

LVI.- Les trois degrés du pont correspondent à trois états de l’âme.

LVII.- L’âme, en regardant dans le divin miroir, voit les créatures marcher de différentes manières.

LVIII.- La crainte servile ne suffit pas sans l’amour de la vertu.- La loi de crainte et la loi d’amour sont unies ensemble.

LIX. Comment de la crainte servile, qui est l’état d’imperfection, on parvient à l’état de perfection.

LX. - De l’imperfection de ceux qui aiment et servent Dieu pour leur utilité, leur plaisir et leur consolation.

LXI.- Comment Dieu se manifeste à l’âme qui l’aime.

LXII.- Pourquoi Jésus-Christ ne dit pas : «Je manifesterai mon Père », mais : « Je me manifesterai ».

LXIII.- Comment l’âme monte sur le second degré du pont.

LXIV.- En aimant Jésus imparfaitement, on aime imparfaitement le prochain.- Signes de cet amour imparfait.
 
 

TRAITÉ DE LA PRIÈRE

LXV.- Du moyen que prend l’âme pour arriver à l’amour pur et généreux.

LXVI.- L’âme doit passer de la prière vocale à la prière mentale.

LXVII.- De l’erreur des gens du monde qui aiment et servent Dieu pour leur consolation.

LXVIII.- Combien se trompent ceux qui aiment Dieu avec cet amour imparfait.

LXIX.- De ceux qui, pour ne pas perdre la paix et la consolation, négligent d’assister le prochain.

LXX.- De l’erreur de ceux qui mettent toute leur affection dans les consolations et les visions.

LXXI.- Ceux qui s’attachent aux consolations spirituelles peuvent être trompés par le démon qui se transforme en ange de lumière.- Des signes auxquels on peut reconnaître qu’une vision vient de Dieu ou du démon.

LXXII.- L’âme qui se connaît évite les tromperies du démon.

LXXIII.- Comment      l’âme quitte l’amour imparfait et arrive à l’amour parfait.

LXXIV.- Des signes auxquels on connaît que l’âme est arrivée à l’amour parfait.

LXXV.- Les imparfaits veulent suivre seulement le Père, tandis que les parfaits suivent le Fils.

LXXVI.- L’âme au troisième degré parvient à la bouche de Jésus-Christ.- La mort de la volonté propre est le signe qu’elle y est arrivée.

LXXVII.- Des oeuvres de l’âme parvenue au troisième degré.

LXXVIII.- Du quatrième état, qui n’est pas séparé du troisième.- Des oeuvres de l’âme arrivée à cet état, et comment Dieu ne se sépare jamais d’elle d’une manière sensible.

LXXIX.- Dieu ne se sépare jamais des parfaits par grâce et par sentiment, mais par union.

LXXX.- Les mondains rendent gloire à Dieu, qu’ils le veuillent ou ne le veuillent pas.

LXXXI.- Comment les démons même rendent gloire à Dieu.

LXXXII.- L’âme, délivrée de cette vie, voit parfaitement la gloire de Dieu dans toute créature ; elle n’a plus la peine du désir, mais seulement le désir.

LXXXIII.- Comment saint Paul, après avoir vu la gloire des Bienheureux, désirait être délivré de son corps.

LXXXIV.- Des causes qui font désirer à l’âme d’être séparée de son corps.

LXXXV.- Ceux qui sont arrivés à cet état unitif sont éclairés dans leur intelligence par une lumière surnaturelle et infuse de la grâce.- Il vaut mieux consulter, pour le salut de son âme, un humble qui a une conscience pure, qu’un savant qui a de l’orgueil.

LXXXVI.- Résumé de ce qui précède.- Dieu invite l’âme à prier pour toute créature et pour la sainte Église.

LXXXVII.- L’âme demande à Dieu de vouloir bien lui faire connaître les différentes sortes de larmes.

LXXXVIII.- Des larmes qui se rapportent aux différents états de l’âme.

LXXXIX.- Des différentes sortes de larmes.

XC.- Résumé du chapitre précédent.- Le démon fuit ceux qui sont arrivés aux cinquièmes larmes.- Les attaques du démon sont la voie véritable pour parvenir à cet état.

XCI.- Ceux qui désirent pleurer et ne le peuvent pas, ont des larmes de feu.- Pour quelle raison Dieu retire les larmes corporelles.

XCII.- Dieu veut être servi comme l’être infini, et non comme une chose finie.

XCIII.- Du fruit des larmes que répandent les hommes du monde.

XCIV.- Les mondains qui pleurent sont battus par quatre vents différents.

XCV.- Du fruit des secondes et des troisièmes larmes.

XCVI.- Du fruit des quatrièmes larmes unitives.

XCVII.- L’âme remercie Dieu de lui avoir appliqué les larmes, et elle lui fait trois demandes.

XCVIII.- La lumière de la raison est nécessaire à celui qui veut servir Dieu.- De la lumière générale.

XCIX.- De la seconde lumière, plus parfaite que la lumière générale.

C.- De la troisième et parfaite lumière.- Des oeuvres de l’âme parvenue à cette lumière.

CI.- Ceux qui sont dans la perfection de la troisième Lumière reçoivent dès ce monde un avant-goût de la vie éternelle.

CII.- Comment on doit reprendre le prochain sans tomber dans de faux jugements.  CIII.- Celui qui voit une âme pleine de ténèbres ne doit pas en conclure qu’elle est en péché mortel.

CIV.- On ne doit pas prendre pour fondement de l’âme la pénitence, mais l’amour de la vertu.

CV.- Résumé des choses précédentes.- Explication sur la correction du prochain.

CVI.- Des signes qui font connaître si les visites et les visions spirituelles viennent de Dieu ou du démon.

CVII.- Dieu satisfait aux désirs de ses serviteurs.- Combien lui sont agréables ceux qui frappent avec persévérance à la porte de la Vérité.

CVIII.- L’âme rend grâces à Dieu et prie pour le monde, et en particulier pour le corps mystique de la sainte Église.

CIX.- Dieu sollicite l’âme à la prière et répond à quelques-unes de ses demandes.  CX.- De la dignité des prêtres.- De la sainte Eucharistie, et de ceux qui la reçoivent dignement ou indignement.

CXI.- Les sens du corps sont trompés dans ce sacrement, mais non pas ceux de l’âme, qui le voit, le goûte et le touche.- Belle vision de sainte Catherine.

CXII.- De l’excellence que l’âme acquiert en recevant ce sacrement en état de grâce.

CXIII.- La grandeur du sacrement doit faire comprendre la dignité de ceux qui en sont les ministres.- Dieu leur demande une plus grande pureté qu’aux autres créatures.

CXIV.- Les sacrements ne doivent pas se vendre ni s’acheter.- Ceux qui reçoivent les sacrements doivent fournir aux prêtres les choses temporelles, dont les prêtres doivent faire trois parts.

CXV.- De la dignité du sacerdoce.- La vertu des sacrements ne diminue pas par les fautes de ceux qui les administrent, ou qui les reçoivent.

CXVI.- Dieu regarde comme dirigées contre lui les persécutions faites contre l’Église et ses ministres.

CXVII.- De ceux qui persécutent de différentes manières la sainte Église et ses ministres.

CXVIII.- Résumé de ce qui a été dit sur la sainte Église et ses ministres.

CXIX.- De la perfection, des vertus et des oeuvres des saints prêtres.

CXX.- Résumé de ce qui précède.- Respect qu’on doit aux prêtres, qu’ils soient bons ou mauvais.

CXXI.- De la vie coupable des ministres infidèles.

CXXII.-De ceux qui commettent l’injustice en ne reprenant pas leur prochain.

CXXIII.- Des autres vices des mauvais ministres.

CXXIV.- Combien sont coupables ces ministres prévaricateurs.

CXXV.- Des maux que ces vices causent dans le monde.

CXXVI.- De ceux qui s’abandonnent aux plaisirs des sens.

CXXVII.- De l’avarice et des maux qu’elle cause à l’Église.

CXXVIII.- De l’orgueil qui détruit la connaissance de la vérité.

CXXIX.- Des autres péchés qui viennent de l’orgueil et de l’amour-propre.

CXXX.- De beaucoup d’autres fautes que commettent les mauvais pasteurs.

CXXXI.- Différence de la mort des justes et des pécheurs. - Mort des justes.

CXXXII.- De la mort des pécheurs et de leurs peines au dernier moment.

CXXXIII.- Dieu défend aux séculiers de toucher à ses ministres.- Il invite l’âme à pleurer sur ces prévaricateurs.

CXXXIV.- L’âme remercie Dieu et prie pour la sainte Église.
 
 
 

TRAITE DE LA PROVIDENCE

CXXXV.- De la providence de Dieu en général.

CXXXVI.- Dieu a donné l’espérance à l’homme.- Plus on espère, plus on goûte parfaitement sa providence.

CXXXVII.- De la providence de Dieu dans l’Ancien et le Nouveau Testament.

CXXXVIII.- Tout ce que Dieu permet est pour notre salut.- Combien sont aveugles ceux qui pensent le contraire.

CXXXIX.- De l’action de la Providence pour sauver une âme.

CXL.- Dieu explique sa providence envers ses créatures, et se plaint de leur infidélité.

CXLI.- La Providence nous envoie la tribulation pour notre salut.- Malheur de ceux qui espèrent en eux-mêmes au lieu d’espérer en Dieu.

CXLII.- Providence     de Dieu dans le sacrement de l’Eucharistie.

CXLIII.- Providence de Dieu à l’égard de ceux qui sont en péché mortel.

CXLIV.- Providence de Dieu envers les imparfaits pour les conduire à la perfection.

CXLV.- Providence de Dieu envers ceux qui ont la charité parfaite.

CXLVI.- Résumé de ce qui précède.- Explication des paroles de Jésus-Christ à saint Pierre : « Jetez vos filets à droite ». (Saint Jean, XXI, 6.)

CXLVII.- De ceux qui jettent plus parfaitement que les autres les filets dans la mer.

CXLVIII.- Providence de Dieu envers ses créatures dans cette vie et dans l’autre.

CXLIX.- Providence de Dieu envers ses serviteurs pauvres, même dans les choses temporelles.

CL.- Des maux que causent la possession et le désir déréglé des richesses.

CLI.- Excellence de la pauvreté spirituelle, et comment Jésus-Christ en a donné l’exemple.

CLII.- Résumé de ce qui a été dit sur la providence.

CLIII.- L’âme remercie Dieu et le prie humblement de lui dire quelque chose sur la vertu d’obéissance.
 
 

TRAITE DE L’OBEISSANCE

CLIV.- Ou se trouve l’obéissance, ce qu’elle est, ce qui la fait perdre, et ce qui prouve qu’on la possède.

CLV.- L’obéissance est la clef qui ouvre le ciel.

CLVI.- De la misère des désobéissants et de l’excellence des obéissants.

CLVII.- De ceux qui aiment tant l’obéissance, qu’ils ajoutent à l’observation générale des préceptes une obéissance plus particulière.

CLVIII.- De quelle manière on parvient de l’obéissance générale à l’obéissance particulière.

CLIX.- Des obéissants et des désobéissants qui vivent en religion.

CLX.- Ceux qui obéissent reçoivent le centuple et la vie éternelle.- Ce que veut dire le centuple.

CLXI.- Des misères de ceux qui n’obéissent pas.

CLXII.- Imperfection de ceux qui vivent en religion avec tiédeur, tout en évitant le péché mortel.- Remèdes pour sortir de la tiédeur.

CLXIII.- De l’excellence de l’obéissance et des biens qu’elle procure.

CLXIV.- Distinction de deux obéissances : celle des religieux et celle qu’on rend à une personne en dehors de la vie religieuse.

CLXV.- Dieu ne récompense pas selon la difficulté et la durée de l’obéissance, mais selon le zèle et la grandeur de la charité.- Miracles que Dieu fait par l’obéissance.

CLXVI.- Résumé de presque tout le Dialogue.

CLXVII.- L’âme reconnaissante loue Dieu et prie pour le monde et la sainte Église.- Elle recommande la vertu de la loi et termine cet ouvrage.

TRAITE DE LA PERFECTION

ce traité est composé de 47 paragraphes
 

PRIÈRES

I.- Prière faite à Avignon pour le rétablissement de la paix dans l’Église.- Elle fut recueillie pendant l’extase de la Sainte, par Thomas Pétra, sténographe de Grégoire XI, et depuis secrétaire du Pape Urbain VI.

II.- Prière faite pour les ministres de l’Église pendant la même extase.

III.- Prière faite à Gênes au moment où le Pape Grégoire XI voulait retourner à Avignon.

IV.- Prière écrite en cinabre de la main même de sainte Catherine.

V.- Prière faite à Rome pendant une extase qui suivit la Communion, le Vendredi 18 février 1379 .

VI.- Prière faite par sainte Catherine le jour de saint Thomas apôtre.

VII.- Prière faite à Rome, le dimanche 20 février 1379.

VIII.- Prière faite à Rome, le mardi 22 février de l’an 1379.

IX.- Prière faite à Rome, le 1er mars 1379.

X.- Prière faite à Rome, le mercredi 3 mars 1379.

XI.- Prière faite à Rome, le jour de l’Annonciation de la Sainte Vierge, 1379.

XII.- Prière faite à Rome.

XIII.- Prière faite à Rome.

XIV.- Prière faite à Rome.

XV.- Prière faite à Rome, le 12 août, jour de l’octave de saint Dominique.

XVI.- Prière faite à Rome, le 13 février.

XVII.- Prière faite à Rome, le 14 février.

XVIII.- Prière faite à Rome, le 15 février.

XIX.- Prière faite à Rome, le jour de la Chaire de saint Pierre, apôtre.

XX.- Prière faite à Rome, le 26 mars 1379.

XXI.- Prière faite à Rome, le Jeudi 5 Avril 1379.

XXII.- Prière faite à Borne, le jour de la Circoncision, à la recommandation d’un Cardinal dominicain, pour obtenir la circoncision des pécheurs endurcis.

XXIII - Prière faite par sainte Catherine pendant l’extase qui suivit sa Communion, le jour de la Conversion de saint Paul, en 1377. Elle fut recueillie par le bienheureux Raymond, son confesseur.

XXIV.- Prière faite à Rome.

XXV.- Prière faite à Rocca di Tentennano, chez la comtesse de Salimbeni, le 26 octobre 1378.

XXVI.- Prière faite par sainte Catherine, après le terrible accident qu’elle éprouva dans la nuit du lundi de la Septuagésime, lorsque sa famille la pleura comme morte.

www.JesusMarie.com