TABLE ANALYTIQUE DES MATIERES
CONTENUES DANS LE PREMIER VOLUME
Notice sur la vie de Canisius et avertissement sur cette
traduction, I.
PREMIERE PARTIE.
PRINCIPES DE LA SAGESSE CHRETIENNE.
Cette partie comprendra les deux premiers volumes et la
moitié du troisième.
CHAPITRE I. De la foi et du symbole de la foi, p.1-153.
Question I. A qui doit-on attribuer le nom de chrétiens, p.1-4.
Les chrétiens tirent leur nom de Jésus-Christ, et les hérétiques tirent le leur des inventeurs de leurs hérésies - Les ariens ne sont pas des chrétiens proprement dits : S. ATHANASE, p.2-5. - Celui qui n'est pas dans l’Eglise n'est pas chrétien - Celui qui veut avoir Dieu pour père doit reconnaître l'Eglise pour mère : S. CYPRIEN, p.3. - En quel sens le nom de chrétien peut être appelé un nom nouveau : S. IGNACE d’Antioche, p.3. - Nier qu'on soit chrétien, c'est renier Jésus-Christ - Pour être chrétien, il faut appartenir à l’Eglise de Jésus-Christ - Les hérétiques ne sont pas de vrais chrétiens : S. AUGUSTIN, p.3-4. - Le chrétien qui se sépare de l’Eglise est une brebis qui s'égare : TERTULLIEN, De Pudicitià.
Nota. Le texte latin de Tertullien admet ici une variante. Celui qu'avait adopté Canisius porte : Christianus non intelligendus, qui ab Ecclesiæ gruge aberraverit ; ce qui voudrait dire qu'on ne doit pas comprendre sous ce nom de chrétien celui qui se sépare de l’Eglise, le seul troupeau que Jésus-Christ reconnaisse pour le sien. Nous avons préféré le texte latin de 1’édition de Prieur, comme de celle de Rigault, page 721, qui remplace la négative non par ces deux mots in ove.
Les hérétiques ne sauraient être de vrais chrétiens : TERTULLIEN, De præscriptionibus.
Nota. Cette proposition de saint Athanase, de saint Cyprien, de saint Augustin et de Tertullien, qu'il faut appartenir à l'Eglise pour être chrétien, doit s'entendre en ce sens, que celui qui n'appartient pas à l'Eglise doit être considéré comme n’appartenant pas à Jésus-Christ, qui le reniera au dernier jour pour être de ses disciples.
Question II. A quoi peut se réduire la doctrine chrétienne, p.4-5.
La sagesse du chrétien consiste dans l'ensemble des devoirs à remplir envers Dieu : S. AUGUSTIN, Enchiridion, p.5. - La foi, l'espérance et la charité constitue le culte qui honore Dieu véritablement, S. AUGUSTIN, ibidem. - La justice chrétienne consiste à éviter le mal et à faire le bien : S. PROSPER, p.5.
Question III. Quel est le premier objet de la doctrine chrétienne, p.6-7.
La foi est le fondement de tous les biens et le principe
de notre salut ; ALCUIN, p.6. - La foi est une par son essence : S. LEON,
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Question IV. Qu'est-ce qu'on entend par ce nom de foi, p.7-14.
La foi est un assentiment exempt d'hésitation à la parole de Dieu : S. BASILE, p.10. - La foi n'est pas une opinion ni une conjecture : S. BERNARD, p.10. - Certitude de la foi, p.11. - Explication de la définition de la foi donnée par S. Paul, p.11. - La foi s'étend au-delà des limites de la raison, p.11. - S. Augustin déterminé à croire à l’Evangile par l'autorité de l'Eglise, p.12. - La foi ne s'appuie point sur des démonstrations : S. BASILE, p.12. - Les mystères requièrent notre assentiment, sans examen qui le précède, p.12. - La foi serait sans mérite si elle se fondait sur des raisons humaines : S. GREGOIRE-LE-GRAND, p.13. - Eloge et nécessité de la foi catholique - C'est vouloir bâtir un édifice sans lui donner de fondements que de prétendre pénétrer dans le sanctuaire des mystères à l'aide de sa seule raison : EUSEBE d’Emèse, p.13.
Question V. Existe-t-il un abrégé de la foi, p.14-18.
L'Eglise romaine conserve invariablement le symbole dans son intégrité - Le Symbole est la clé de toute la doctrine de la foi : S. AMBROISE, p.15. - Pourquoi et comment les Apôtres ont composé le Symbole. - Pourquoi le Symbole est ainsi appelé - Les Apôtres ne le mirent point par écrit : RUFIN, p.16-17. - C'est des Apôtres que 1'Eglise a reçu le symbole de sa foi. - Le Symbole transmis par tradition, et non écrit sur le papier S. JEROME, p.17. - Le Symbole est d'origine apostolique - Les douze articles du Symbole répondent par leur nombre à celui des Apôtres - Perfection du Symbole - L'unité fait le caractère de la foi apostolique : S. LEON, p.17-18. - Le Symbole, mot du guet pour les chrétiens : S. MAXIME de Turin.
Question VI. Quels sont les articles du Symbole, p.17-18.
Question VII. A quelle fin se rapportent les paroles contenues dans le Symbole des Apôtres, p.19-24.
Majesté de Dieu - Distinction de personnes en Dieu : S. AUGUSTIN, p.22-23. - Les personnes divines, quoique distinctes, ont une seule et même divinité, VIGILE de Tapse.
Question VIII. Que signifie le premier article du Symbole, Je crois en
Dieu le Père, p.24-28.
Question IX. Que contient le second article, Je crois en Jésus-Christ, p.28-33.
Question X. Que nous propose à croire le troisième article, A été conçu du Saint-Esprit, p.35-40.
Virginité perpétuelle de Marie : S. AMBROISE, p.39.
Question XI. Que contient le quatrième article, A souffert sous Ponce-Pilate, p.40-45.
Question XII. Quelle utilité et quel fruit pouvons-nous retirer du signe de la croix, p.45-58.
Les chrétiens des premiers siècles étaient dans l'usage de faire le signe de la croix à chacune de leurs actions : TERTULLIEN, p.47 ; S. JEROME, p.48. - Cet usage venait des Apôtres par une tradition non écrite : S. BASILE, p.47. - Le signe de croix nécessaire pour l'administration régulière des sacrements : S. AUGUSTIN, p.48. - Trait de Julien l'apostat, qui fit fuir les démons en faisant le signe de la croix : S. GREGOIRE-LE-GRAND, p.48 ;
CASSIODORE, p.50. - Le signe de la croix figuré dans l'Ancien Testament. - La lettre Thau des anciens Hébreux avait la ressemblance de la croix :
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S. JEROME, p.49. - Tout ce qui concerne notre salut reçoit sa perfection de la croix de Jésus-Christ - Les chrétiens la représentaient en tous lieux. - En faisant son signe de croix, on doit mettre la confiance sur son front et la liberté dans son âme : S. CHRYSOSTOME, p.49. - Les démons craignent les signes de croix : idem. - On ne doit point rougir de la croix - Vertu du signe de la croix : idem, p.50. - Julien l'apostat mit les démons en fuite en faisant le signe de la croix, p.50 : CASSIODORE. - La croix doit être imprimée sur toute la personne du chrétien - Il doit en faire son armure - Elle met les démons en fuite, p.51 : S. EPHREM. - Les démons craignent le signe de la croix - La lettre Thau représente la croix - Il en est de même des mains tendues vers le ciel, p.52 : ORIGENE. - Empressement des chrétiens à représenter partout la croix - La croix était une des lettres hiératiques dans l'écriture égyptienne, p.52 : RUFFIN. - Les Turcs délivrés de la peste en s'imprimant une croix sur le front, p.53 : NICEPHORE. - Imprimons la croix sur nos fronts - Elle est un signe de salut pour les fidèles et un objet de terreur pour les démons, p.55 : S. CYRILLE de Jérusalem. - On fait aujourd'hui sa plus riche parure de ce qu'on n’envisageait autrefois qu'avec horreur - Empressement des chrétiens à se procurer des parcelles du bois de la vraie croix et à s'en faire gloire, p.54 : S. CHRYSOSTOME. - Le signe de la croix est un rempart inexpugnable, p.55 : S. ATHANASE. - Hilarion chasse les démons en faisant le signe de la croix, p.55 : S. JEROME. - Il préserve la ville d'Epidaure d'une inondation en faisant trois signes de croix : idem, p.56. - Le seul signe de la croix nous suffira pour obtenir toute sorte de grâces, p.56 :
S. AMBROISE. - Vision de Constantin - Ordre qu'il reçut de Jésus-Christ - Munificence avec laquelle il l'exécute - La croix, devenue le boulevard de l'empire romain, p.57 : EUSEBE. - La croix, devenue l'étendard des armées romaines, p.58 : EUSEBE. - Constantin eut la même vision dans trois occasions différentes, p.58 : NICEPHORE.
Question XIII. Cinquième article du Symbole : Est descendu aux enfers, et le troisième jour est ressuscité d'entre les morts, p.58-67.
Notre-Seigneur est reste durant trois jours dans le lieu où sont les âmes des morts, p.63 : S. IRENEE. - Il est suffisamment démontré que Notre-Seigneur est descendu aux enfers - Personne, si ce n'est un infidèle, ne peut le nier - En quel sens il est dit que Jésus-Christ arrêta les douleurs de la mort - L'Eglise à peu près toute entière s'accorde à penser que le premier homme a été délivré à la descente de Jésus-Christ aux enfers, p.64 : S. AUGUSTIN. - Jésus-Christ était dans les enfers quant à son âme, et dans un sépulcre quant à son corps - Paradis où le bon larron a dû être transporté le même jour avec Jésus-Christ - Les saints de l'Ancien Testament tirés des enfers par la vertu du sang du Sauveur, p.65 : S. AUGUSTIN. -Les âmes des élus y goûtaient un parfait repos, p.66 : S. AUGUSTIN, ou plutôt S. Grégoire, Homélie 22 sur les Evangiles. - Jésus-Christ n'en a pas délivré les infidèles ni les autres réprouvés. - Il a enchaîné le prince de la mort.- Son âme est descendue aux enfers unie à sa divinité. - Terreurs des puissances infernales : le même, p.66. - Par les lieux bas de la terre, il faut entendre les enfers ou le Sauveur est descendu pour en retirer les âmes des saints : S. JEROME, p.67.
Question XIV. Que nous apprend le sixième article, Est monté aux cieux, p.67-71.
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Ce que c'est qu’être assis à la droite du Père : S. AUGUSTIN, p.71.
Question XV. Septième article : De là il viendra juger les vivants et les morts, p.71-79.
Question XVI. Résumé des articles du Symbole qui concernent la seconde personne divine, p.79-82.
Question XVII. Huitième article : Je crois au Saint-Esprit, p.83-86.
Question XVIII. Article neuvième : Je crois à l’Eglise catholique, la communion des saints, p.86-120.
1. Visibilité de l’Eglise. L'Eglise est cette montagne qui remplit toute la terre : S. AUGUSTIN, p.94. Cette montagne est ignorée des schismatiques. Les prophètes se sont exprimés moins clairement sur Jésus-Christ que sur l'Eglise : le même, p.95. Le soleil s'éteindrait plus tôt, que 1'Eglise ne vint à s'obscurcir : S. CHRYSOSTOME, p.96.
2. Unité de l'Eglise. L'Eglise fondée sur la chaire de saint Pierre : S. CYPRIEN, p.96. - Tous les membres de l'Eglise sont unis par une même foi. - Les Eglises de la Germanie et de la Gaule ont la même croyance que celles de l'Egypte et de la Lybie : S. IRENEE, p.97. Les hérétiques divisent l’Eglise en plusieurs différentes, qui sont plutôt des synagogues de
Satan que des assemblées de chrétiens : S. JEROME, p.98. - L'Eglise, pour être l'Eglise de Dieu, doit être l'Eglise du monde entier : S. CHRYSOSTOME, p.98. - Moyen facile de reconnaître la vraie foi - Jésus-Christ a voulu que l'unité de l'Eglise eût son principe dans un seul : S. CYPRIEN, p.99. - Le schisme vient de ce qu'on oublie qu'il n'y a dans l'Eglise qu'un pasteur - L'ennemi du Christ ne s'acharne contre le pilote que pour mieux consommer le naufrage de 1'Eglise - L'Eglise qui croit en Jésus-Christ ne se détache jamais du Seigneur - Primauté et intégrité de la foi de l'Eglise romaine : S. CYPRIEN, p.100. - Les schismes et les hérésies ont pour source le mépris qu'on fait de l'évêque chargé de gouverner l'Eglise - C'est sur Pierre que l'Eglise a été bâtie - N'être pas avec l'évêque, c'est être hors de l'Eglise - Les évêques sont le lien de l'unité de l'Eglise : S. CYPRIEN, p.101. - Primauté de l’Eglise romaine : S. IRENEE, p.101. - Nécessité d'être unie à l’Eglise romaine : S. JEROME, p.101. - Hors d'elle, point de salut : le même, p.100-101. - S. Pierre établi chef de tous les Apôtres et de toute l'Eglise, p.102 : S. LEON. - Refuser à Pierre la primauté, c'est être aveuglé par l'esprit d'orgueil, p.103 : le même.
3. Sainteté de l’Eglise. L'Eglise est le temple, la maison et la cité de Dieu. - En quel sens chaque fidèle doit se dire saint, p.105 : S. AUGUSTIN. - L'Eglise est toujours assistée des conseils comme de l'esprit de son Epoux et de son Dieu, p.103: S. BERNARD. - L'Eglise catholique est la seule des mains de laquelle le Seigneur accepte volontiers nos sacrifices - La seule dans laquelle les bonnes œuvres se fassent avec fruit - La seule des hauteurs de laquelle, comme d'un roc élevé, on puisse découvrir la vérité, p.104 : S. GREGOIRE-LE-GRAND. - Là ou est l'Eglise, là est l'esprit de Dieu, la source de toutes grâces et la vérité même, p.103 : S. IRENEE.
4. Catholicité de l’Eglise. L'Eglise est la cité bâtie sur une montagne, et elle est appelée catholique, parce qu'elle est répandue par tout l'univers ; il n'est permis à personne d'ignorer son existence - Les Ecritures nous ont fait connaître l’Eglise en même temps qu'elles nous ont fait connaître Jésus-Christ, p.103 : S. AUGUSTIN. - L'Eglise est la tente de Dieu
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placé dans le soleil (M. l’abbé Bondil a traduit d’après l’hébreu le 6e verset du psaume 18, auquel ces paroles font allusion, de la manière que voici : « Sous la voûte des cieux, comme dans sa tente, a été placé le soleil. » CE sens est très-beau, mais n’est pas celui de la Vulgate, que nous avons dû conserver, comme étant aussi celui de Saint Augustin). - Ce qui attachait S. AUGUSTIN à l’Eglise catholique, c'est le nom même qu'elle porte de catholique, p.106 : le même. - Les hérétiques eux-mêmes sont forcés d'appeler catholique l’Eglise ainsi appelée de par toute la terre, p.107 le même. - Le surnom de catholique est le plus propre à distinguer le peuple qui s'est maintenu héritier de la foi des Apôtres, p.107 : S. PACIEN. - Catholique peut signifier ce qui est partout le même, p.108 : le même. - Il n'y a de vrais catholiques que ceux qui ne veulent admettre et croire que ce qu'ils savent avoir toujours été admis par l’Eglise universelle - Il n'y a de vraiment catholique que ce qui a été cru dans tous les temps, dans tous les lieux et par tous les fidèles - Nous devons nous attacher tout à la fois à l'antiquité à l’universalité et au consentement, p.108 : VINCENT de Lérins. - Il faut s'attacher à l'Eglise, qui, fondée par les Apôtres, a continué d’exister jusqu'à nos jours - Les hérétiques ne sont pas l'Eglise de Jésus-Christ, mais plutôt une synagogue de Satan, p.109 : S. JEROME. - L'Eglise catholique renferme tous les élus, et embrasse tous les temps et tous les lieux, p.109 : BEDE.
Communion des Saints. Analogie entre la communion des saints et les mutuels secours que se portent les membres du corps humain, p.110 : S. AUGUSTIN. - Le schisme est un crime énorme devant Dieu. - Ce qu'on doit faire au besoin pour la paix de l'Eglise - La communion des Saints s'étend même à ceux qui sont morts, p.111 : S. AUGUSTIN. - Les saints anges ne cessent de venir en aide à leurs frères d’ici-bas - Les âmes des fidèles morts ne sont pas séparées de 1'Eglise qui se compose des fidèles actuellement vivants, p.112 : S. AUGUSTIN. - Feu du purgatoire, p.112 : S. GREGOIRE. - On ne saurait être juste si l'on est séparé du corps de Jésus-Christ, p.112 : S. AUGUSTIN. - Hors de ce corps, personne ne peut être vivifié par l'Esprit-Saint - Celui qui est ennemi de l'unité ne saurait participer à la charité divine - Quiconque est séparé de l'Eglise catholique, la colère de Dieu demeure sur sa tête - Quiconque n'est pas en communion avec l’Eglise, est hors de l’Eglise, quand bien même il admettrait la divinité de Jésus-Christ, p.113 : S. AUGUSTIN. - Personne ne parvient au salut et à la vie éternelle s'il n'appartient à l'Eglise, p.114 : le même. - Nu1 de ceux qui sont baptisés hors de l'Eglise ne pourra être admis à posséder la vie éternelle si, avant de mourir, il n'est rendu et incorporé (au moins d'esprit) à l’Eglise catholique - Les hérétiques et les schismatiques qui meurent hors de l'Eglise catholique iront tous sans exception au feu éternel, quand même ils auraient répandu leur sang pour le nom de Jésus-Christ, p.114 : S. FULGENCE. - Pour être un véritable martyr, il faut appartenir à l’Eglise catholique, p.115 : S. PACIEN. - Ceux qui cherchent à rompre l'unité de l'Eglise, Dieu leur infligera le même
Châtiment qu’à Jéroboam, p.115 : S. IRENEE. - On ne peut véritablement être sauvé que dans le sein de la sainte Eglise universelle, p.115 : S. CHRYSOSTOME. - Rien n'irrite Dieu comme les divisions introduites dans l'Eglise, p.118 : S. CHRYSOSTOME. - Le supplice même du martyre n’effacerait pas le crime du schisme, p.116 : le même. - Hors de 1'Eglise universelle, personne sans exception ne peut obtenir le salut, p.116 : le grand concile de
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Latran. - L'arche de Noé, figure de l’Eglise, p.116 : S. AVIT. - L'excommunication, glaive spirituel dont l’Eglise se sert pour expulser les rebelles de son sein - Il n'est pas possible que ceux-ci aient la vie, étant séparés de l'Eglise, p.116 : S. CYPRIEN. - L'excommunication est une peine plus à craindre que le glaive ; elle n'est point opposée au précepte de la charité,
p.117 : S. AUGUSTIN. - Un homme séparé de la société des chrétiens est assimilé aux infidèles, p.117, EUSEBE. - Celui qui n'est pas dans l'Eglise de Jésus-Christ, par cela seul n'est pas chrétien - Aimons l'Eglise comme notre mère, p.117 : S. AUGUSTIN. - Il ne nous servira de rien d'avoir confessé à Dieu, ni même de souffrir le martyre, si nous blasphémons contre son Eglise - Attachons-nous tout à la fois et à Dieu notre Père et à l'Eglise notre mère, p.118 : le même. - On ne saurait être admis à la paix, quand on déchire l'unité de l’Eglise, p.118 : S. CYPRIEN. - Si un seul homme a pu être sauve hors de l'arche, le salut pourra aussi se trouver hors de l'Eglise ; hors de l'Eglise, point de vrais martyrs, p.119 : le même. - Tout ce qui s'éloigne du centre de la vie perd tout son droit au salut, p.120 : le même. - Quiconque est séparé de l'Eglise, est par là-même retranché du nom des enfants de Dieu ; l'Eglise est notre mère. - Une société hérétique n'est qu'une concubine, p.120 : S. AUGUSTIN.
Question XIX. Article dixième : La rémission des péchés, p.120-128.
Hors de l'Eglise et de son unité, les péchés ne peuvent être remis. - Une parole proférée contre le Saint-Esprit, c'est toute opposition faite à l'Eglise, p.124 : S. AUGUSTIN. - Les prêtres exercent sur la terre un jugement anticipé, p.124 : S. JEROME. - Les clés ont été confiées à l’Eglise pour qu'elle remette les péchés. - C'est aux pasteurs de l’Eglise qu'a été confié le pouvoir des clés. - Nous devons accepter la pénitence que nous imposent les ministres des sacrements. - Cette pénitence nous fait éviter la mort éternelle, p.125 : S. AUGUSTIN. - Les prêtres ont reçu une puissance que Dieu a refusée aux anges et aux archanges. - Le lien mis entre les mains des prêtres exerce sa contrainte jusque dans le ciel, p.125 : S. CHRYSOSTOME. - C'est aux prêtres qu'est confiée l'administration des dons célestes… Ils ont le pouvoir de guérir la lèpre de l'âme, p.126 : le même. - Besoin pour ceux qui sont en danger de mort d'obtenir de l’Eglise la rémission de leurs péchés, p.126 : S. CYPRIEN. - Pierre, fondement de l’Eglise. - Le jugement qu'il porte sur la terre détermine celui qui doit être porté dans le ciel, p.126 : S. HILAIRE. - Le pape, prince des évêques, héritier des apôtres, et de tous les titres les plus glorieux des patriarches ; le pasteur des pasteurs, p.126 : S. BERNARD. - Sa primauté prouvée par les Ecritures, p.127 : le même ; - définie par le concile de Florence, p.128.
Question XX. Onzième article : La résurrection de la chair, p.128-140.
Nous mourrons tous, mais nous ne serons pas tous changés dans un état glorieux, p.134 : S. JEROME. - Nous ressusciterons avec les mêmes membres et les mêmes organes, p.135 : le même. - Dieu pourra ressusciter comme il a pu créer, p.136 : le même. - Image de la résurrection dans les objets que nous avons sous les yeux, p.136 : S. GREGOIRE-LE-GRAND. - La résurrection de Jésus-Christ, exemple de notre résurrection future. - Les corps ressuscités devront être papables, quoique incorruptibles, p.136 : le même. - Un chrétien ne doit avoir aucun doute sur la future résurrection de tous les hommes - Les monstres ressusciteront affran-
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chis de leur difformité native, p.137 : S. AUGUSTIN. - Rien de toute la matière dont se compose le corps de l'homme ne périt devant Dieu… Tous ressusciteront dans un état qui n'aura rien que de convenable - Les saints ressusciteront sans aucune défectuosité ; ils n'auront plus de lutte à soutenir contre eux-mêmes, p.138 : le même. Les corps ressusciteront dans l’âge où nous savons que Jésus-Christ est arrivé. - Les martyrs pourront conserver les cicatrices de leurs plaies, p.139 : le même. - Puissance du Créateur, p.140 : le même.
Question XXI, douzième article : La vie éternelle, p.140-147.
Félicité des Saints, p.144 : S. AUGUSTIN. - Le degré de gloire pour chacun sera proportionné à ses mérites, p.145 : le même. - Tous les biens de la vie présente ne sont rien en comparaison de la béatitude dont on jouira dans l'autre vie - Combien nous devons travailler pour obtenir la vie éternelle - Il est plus facile de dire ce que la vie éternelle n'est pas, que de dire ce qu'elle est, p.146 : le même. Ceux-là seuls, qui étant baptisés, mènent une bonne vie, pourront obtenir la vie éternelle, p.147 : S. FULGENCE. - Signification de ce mot amen, p.147 : S. JEROME.
Question XXII. S'il suffit à un chrétien de croire seulement les choses contenues dans le Symbole, p.147-154.
Nous devons repasser tous les jours le Symbole de notre foi, et l'imprimer comme un sceau sur notre cœur, p.149 : S. AMBROISE. - L e Symbole et la croix sont nos armes contre le démon, p.150 : S. AUGUSTIN. - On ne doit pas admettre d'autres Ecritures que celles que reçoit l'Eglise catholique, p.150 : le premier concile de Tolède. - Il ne suffit pas de professer le Symbole de Nicée, mais il faut en outre anathématiser toutes les erreurs, p.151 : S. CYRILLE d'Alexandrie. - Ne point chercher la vérité autre part que dans l'Eglise - Autorité de la tradition - La vérité est la où se conserve la succession des Apôtres, p.151 : S. IRENEE. - Autorité du consentement de l'Eglise entière, p.152 : S. JEROME. - Loi de Dieu et tradition de l’Eglise, double moyen de discerner la vérité de l'erreur, p.152 : VINCENT de Lérins. - Expliquer les paroles des prophètes et des apôtres dans le sens que leur donne l'Eglise catholique, p.153 : le même. - Unité du caractère de la foi, p.153 : S. LEON.
CHAPITRE II. De l'Espérance, de l'Oraison Dominicale et de la Salutation Angélique, p.154-238.
Article 1er. De l'espérance, p.154-l65.
Question 1. Qu'est-ce que l’espérance, p.1541-157.
On ne peut avoir l'espérance, si l'on n'a déjà la foi - Différence de ces deux vertus - Ce qu'elles ont de commun, p.157 : S. AUGUSTIN.
Question II. Quels sont les moyens d’obtenir la vertu d’espérance, p.158-164.
On ne peut avoir la loi et la charité sans avoir en même temps l'espérance, p.161 : S. AUGUSTIN. - Notre espérance doit être mêlée de crainte, p.162 : S. GREGOIRE-LE-GRAND. - Nous ne saurions avoir dans cette vie une entière assurance que nos péchés nous soient pardonnés - La sécurité est la mère de la négligence, p.163 : le même. - On doit éviter également une sécurité imprudente et un désespoir funeste, p.163 : S. BERNARD. - Il ne suffit pas d'avoir la foi pour être assuré de son salut, p.164 : le même.
Question III. Quel est l'objet de l'espérance chrétienne, p.164-165.
Tout ce qui fait l'objet de l’espérance chrétienne se trouve renfermé dans l'Oraison Dominicale, p.165 : S. AUGUSTIN.
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Article 2. De l'Oraison Dominicale, p.165-193.
Question IV. Comment est conque l'Oraison Dominicale, p.165-166.
Question V. Que contient en abrégé l'Oraison Dominicale, p.166-167.
Les sept demandes contenues dans l'Oraison Dominicale ont pour objet direct, les trois premières les biens éternels, et les quatre autres, les biens temporels - Toute prière bien faite est d'avance contenue dans l'oraison Dominicale - On est libre d'employer telles formules qu'on voudra, pourvu que ce soient au fond les mêmes demandes, p.167 : S. AUGUSTIN.
Question VI. Que signifient ces paroles, Notre Pire qui êtes aux cieux, p.167-170.
C'est une faveur incompréhensible faite à l'homme, qu'il puisse appeler Dieu son Père, p.169 : S. LEON. - N'avoir d'autre pensée en priant que celle de Dieu, p.170 : S. CYPRIEN (Ce prétendu sermon de saint Cyprien n’est qu’une paraphrase de l’oraison dominicale, dont le véritable auteur est Ruffin d’Aquilée).
Question VII. Sens de la première demande, Que votre nom soit sanctifié, p.170-171.
Question VIII. Seconde demande : Que votre règne arrive, p.171-174.
Question IX. Troisième demande : Que votre volonté soit fuite sur la terre comme au ciel, p.174-177.
La volonté propre est l'ennemie de Dieu. - Que la volonté propre cesse, et il n'y aura plus d'enfer - Avec quelle fureur la volonté propre s'attaque à la Majesté divine, p.176 : S. BERNARD. - La volonté propre est la lèpre la plus impure et la plus pernicieuse de l’âme, p.177 : le même.
Question X. Quatrième demande : Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour, p.177-180.
Pain supra-substantiel, p.179 : S. JEROME. - Jésus-Christ est le pain qui nous donne la vie, p.170 : S. CYPRIEN (ou plutôt Ruffin). - Sens du mot grec ???????? : S. AMBROISE, p.180.
Question XI. Cinquième demande : Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, p.181-184.
Tonnerre des paroles divines, p.184 : S. AUGUSTIN.
Question XII. Sixième demande : Ne nous laissez pas succomber à la tentation, p.184-188.
Question XIII. Septième demande : Délivrez-nous du mal, p.188-192.
Explication du mot Amen, p.191 : S. AMBROISE.
Question XIV. Résumé de l'Oraison Dominicale, p.192-193.
Article 5. De la Salutation Angélique, p.193-238.
Question XV. Qu'est-ce que la Salutation Angélique, p.193-201.
Intercession de la Sainte Vierge et des autres Saints - Prière de la Mère de Dieu, p.194-195 : liturgies de S. Chrysostôme et de S. Jacques. - Contraste entre notre première mère et la Sainte Vierge, p.196 : S. AUGUSTIN. - Invocation à Marie - Après Jésus-Christ, elle est l'unique espérance des pécheurs, p.197 : le même. - Nulle autre créature n'a jamais obtenu une grâce semblable à celle qu'a reçue Marie, p.197 : S. AMBROISE. - Ce mot Marie signifie maîtresse, p.198 : S. CHRYSOLOGUE. - Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec elle, p.199 : S. AMBROISE. - Ce n'est pas parce qu'elle est bénie que le fruit de ses entrailles est béni ; mais
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elle est bénie, parce qu'il l'a lui-même prévenue de bénédiction - Le Verbe de Dieu s'est fait son maître avant de devenir son fils ; en lui apprenant que la virginité plaisait au Seigneur, p.200 : le même. - Comparaison entre Eve et Marie - Marie a restauré son sexe, en même temps que Jésus-Christ a restauré particulièrement le nôtre, p.201 : S. FULGENCE.
Question XVI. Origine de la Salutation Angélique, p.201-202.
Qu'on ne se lasse point de répéter à la Mère de Dieu les paroles de l'ange, p.200 : S. JEAN DAMASCENE.
Question XVII. Utilité de cette pratique de dévotion, p.202-203.
Question XVIII. Quel est le sens de la Salutation Angélique, p.203-206.
Sens de ces paroles, Le Seigneur est avec vous. - Eloges adressés à Marie, p.206 : S. ANDRE-LE-JEROSOLYMITAIN. - Comment elle se trouve figurée dans l'Ancien Testament - Sens de ces autres paroles : Vous êtes bénie entre toutes les femmes, p.207 : le même. - Les rois l'honorent, les princes la vénèrent, les riches la supplient, les vierges lui font cortège, p.208 : le même. - Sens de ces paroles : Le fruit de vos entrailles est béni, p.209 : le même. - Comme le premier Adam n'a pas eu un homme pour père, ainsi en est-il du second - La soumission de Marie à la volonté de Dieu est devenue le salut du genre humain, comme la désobéissance d'Eve avait causé notre perte, p.209-210 : S. IRENEE. - Marie est le rejeton prédit par Isaïe, la montagne de laquelle une pierre a été détachée sans main d'homme, p.210 : S. JEROME. - Comparaison entre Eve et Marie, p.210-211 : INNOCENT III. - Besoin pour le pécheur d'invoquer Marie, p.212 : le même. - Dans la personne de Marie, la fille a ôté l'opprobre qui couvrait sa mère, p.212 : S. BERNARD. - Eloge de la Sainte Vierge, prédite dès l'époque du péché d'Adam, p.213 : le même. - Etoile de la mer - Elle brille par ses bienfaits - Invoquez-la dans les tentations et les dangers - N'oubliez pas les exemples que son nom rappelle, p.214 : le même. - La Sainte Trinité toute entière s'est bâtie une maison en Marie - Les sept colonnes qui soutiennent cette maison sont la foi dans les trois personnes de la Sainte Trinité et les quatre vertus cardinales, p.215 : le même. - Qu'on dise comment Jésus est entré dans le Cénacle les portes étant fermées, et je dirai à mon tour comment sainte Marie est en même temps mère et vierge - Jésus-Christ vierge, et Marie, vierge, ont pris l'initiative de la virginité chacun pour son sexe respectif, p.216 : S. JEROME. - Marie étrangère aux questions où il s'agit de péchés, p.217 : S. AUGUSTIN. - Marie exempte de tout péché même véniel, p.217 : le concile de Trente. - Marie, l'espérance des désespérés, p.217 : S. EPHREM. - Par elle nous avons été réconciliés avec son Fils. - Elle est, après Dieu, le port de ceux qui font naufrage, la mère des orphelins, la rédemption des captifs, le soulagement des malades, la consolation des personnes désolées - Invocation à Marie, p.218-220 : le même. - Une vierge remporte la victoire sur le démon de l’impureté en invoquant Marie, p.221 : S. GREGOIRE de Nazianze. - Invocation à la Sainte Vierge - Jésus-Christ est tout disposé à tout accorder aux demandes de sa Mère - Elle est la mère de la miséricorde - Elle a prêté son secours à tous ceux qui se sont mis sous sa protection, p.222 : S. ANSELME. - Invocation à la Mère de miséricorde - A la reine du ciel - A la Mère de Dieu - Dimensions de sa miséricorde en longueur, largeur, hauteur et
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profondeur, p.223-224 : S. BERNARD. - Marie, la gloire des prêtres, l'espérance des chrétiens - Marie, notre médiatrice auprès de son divin Fils - Puissance de son intercession - Elle est le salut du genre humain, p.225 : S. JEAN DAMASCENE.
Question XIX. Témoignages des Pères à l'honneur de la Sainte Vierge Marie, p.226-238.
Vertus de Marie, p.228 : S. AMBROISE. - Ses jeûnes, p.239 : le même. - Sa vie toute seule peut suffire à l'instruction de toutes les vierges, p.231 : le même. - Marie, assise maintenant dans le séjour des bienheureux - Notre avocate auprès de son Fils, p.233 : S. GREGOIRE de Nazianze. - Voie royale, p.233 : S. BERNARD. - Notre médiatrice, p.234 : le même. - Tous reçoivent de sa plénitude… Elle a été promise dès l'origine du monde pour briser la tête de l'antique serpent. - Elle a brisé l'effort de toutes les hérésies, p.233 : le même. - Ne la laissons aller qu’après qu'elle nous aura bénis. - Elle est établie médiatrice entre Jésus-Christ et son Eglise. - Explication des douze étoiles, p.236 : le même. - Dieu a voulu que nous l'honorions, p.237 : le même. - Elle est l’échelle des pécheurs, le canal des grâces, p.238 : le même.
CHAPITRE III. De la charité et du décalogue, p.239-449.
Article 1er. De la charité, p.239-255.
Question I. Est-ce assez pour un chrétien de posséder la foi et l'espérance, p.239.
Eloge de la charité - C'est par elle qu'on mérite - Sans elle personne n'a jamais plu à Dieu ; avec elle personne n'a pu ni ne pourra pécher, p.241 : JULIEN POMERE. - Avantages spirituels de la charité - Qui sont ceux qui remuent ou dépassent les bornes des affections légitimes - En quel sens nous devons aimer notre corps, et en quel sens il ne nous est pas permis de l’aimer, p.242 : le même. - Quand est-ce que nous aimons notre prochain comme nous-mêmes - Qui devons-nous regarder comme notre prochain - Qui sont ceux qui aiment Dieu plus qu'ils ne s'aiment eux-mêmes, p.243 : le même. - Ordre à garder dans nos affections - Qui sont ceux qui aiment Dieu parfaitement, p.244 : le même. - Rapport sous lequel il est vrai de dire que la charité est plus forte que la mort, p.244 : S. AUGUSTIN. - La charité est la marque distinctive des enfants de Dieu d'avec les enfants du diable - Sans la charité, tout le reste ne sert de rien ; avec elle, quand même tout le reste manquerait, on a accompli la loi, p.245 : le même. - Demander de quelqu'un s'il est vertueux, ce n'est pas demander ce qu'il croit ou ce qu'il espère, mais c'est demander ce qu'il aime - Eloge de la charité - Excellence et nécessité de la charité, p.246 : le même. - Sans elle, la foi elle-même ne saurait nous faire mériter le royaume du ciel - Sans la charité, la foi peut subsister, mais elle ne peut pas servir, p.247 : le même. - L'huile est un emblème très-significatif de la charité, p.248 : le même.
Question II. Qu'est-ce que la charité, p.248-254.
Ce que c'est que la charité selon saint Augustin, p.250. - Pourquoi et comment on doit aimer Dieu, p.250 : S. BERNARD. - En quelle mesure, ou plutôt combien au-dessus de toute mesure Dieu mérite d'être aimé de nous - L'amour de Dieu a bien sa récompense, mais sa récompense, c'est l'objet même qu'il aime - Le véritable amour ne cherche pas la récompense, il se contente de la mériter - Pour que l'amour du pro-
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chain soit la plénitude de la foi, il doit se fonder sur l'amour de Dieu. - Il faut aimer Dieu d'abord, pour pouvoir ensuite aimer le prochain en Dieu, p.251 : le même. - Le premier degré dans l'ordre chronologique des affections est de s'aimer soi-même à cause de soi-même ; le second, d'aimer Dieu à cause de soi-même ; le troisième, d'aimer Dieu à cause de lui-même ; le quatrième, de s'aimer à cause de Dieu, p.252 : le même. - Il est essentiel à1'amour d'amitié d'être gratuit et désintéressé, p.252 : S. AUGUSTIN. - Nous ne saurions avoir aucun motif de rompre notre amitié avec Dieu - Tout homme est le prochain d'un autre homme, p.253 : le même. - Tout chrétien est prochain pour un autre - Vous devez aimer votre ennemi, non en tant qu'il est votre ennemi, mais en tant qu’il est homme - Tout homme est le prochain d'un autre, p.254 : le même.
Question III. Combien la charité comprend de devoirs, p.254-258.
Diversité d'actes vertueux qui proviennent de la même vertu de charité, p.234 : S. GREGOIRE.
Question IV. A quelles marques se reconnaît la vraie charité, p.254-255.
Article 2. Du décalogue, p.255-449.
Question V. Quels sont les commandements de Dieu qui se rapportent principalement à la vertu de charité, p.255-267.
Il n'y a pas que la foi qui soit de précepte - C'est une hérésie de dire que les commandements de Dieu ne regardent en rien les chrétiens, p.266 : le concile de Trente. - Jésus-Christ nous a été donne non-seulement comme rédempteur, mais encore comme législateur, p.267 : le même.
Question VI. Que signifie ce préambule : Je suis le Seigneur votre Dieu, p.267-276.
Tous les autres commandements de Dieu sont la conséquence des dix commandements, p.273 : S. AUGUSTIN. - Personne, même déjà justifié, ne doit se croire exempt de l'obligation d'observer les commandements de Dieu - Dieu ne nous commande point l'impossible - Les péchés véniels ne font pas perdre l'état de justice - Dieu n'abandonne jamais le premier ceux qu'il a une fois justifié par sa grâce, p.273 : le concile de Trente. - Il est faux que le juste pèche au moins véniellement dans tout ce qu'il fait - On peut, sans péché, envisager la récompense éternelle pour s’exciter à faire le bien - Les commandements de Dieu ne sont point impossibles à garder à un homme en état de grâce, p.274 : le même.
- Ce que Jésus-Christ nous ordonne est facile à exécuter, p.274 : S. CHRYSOSTOME. - Dieu, en nous faisant des commandements, nous donne la faculté de les accomplir, 275 : S. BASILE. - Dieu, qui est juste et bon, n'a pas pu nous commander des choses impossibles - Tout devient facile à l’amour, p.275 : S. AUGUSTIN. - Un Dieu juste ne peut rien commander d'impossible ; un Dieu bon ne peut pas damner sa créature pour un mal qu'il aurait été impossible à celle-ci d'éviter - Il y a blasphème à prétendre que 1'observation des commandements de Dieu est impossible, soit à tous les hommes en général, soit à quelqu'un en particulier, p.276 : le même.
Question VII. Que contient le premier commandement, p.277-286.
Le culte de latrie est dû à Dieu seul, p.280 : S. AUGUSTIN. - On ne doit sacrifier à aucune créature, soit corporelle, soit même spirituelle, p.281 : le même. - Le latin n'a pas de mot propre pour signifier le culte dû à
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Dieu seul. - Sens de ces mots : Cultus, servitium, religio, pietas, p.282-284 : le même. - Motif de l'institution de certaines fêtes, p.283 : le même. - Le sacrifice est dû à Dieu seul. - Il est défendu de sacrifier aux martyrs, mais non de sacrifier à Dieu sur leurs tombeaux, p.285-286 : le même.
Question VIII. Comment nous honorons et invoquons les Saints, p.286-368.
L'entrée dans le ciel n'est plus différée pour ceux qui meurent en état de grâce, comme elle l'était autrefois pour les anciens patriarches, p.300 : S. GREGOIRE-LE-GRAND. - Dès à présent, ils sont admis à offrir avec les anges leurs sacrifices à la sainte Trinité, p.301 : S. GREGOIRE de Nysse. - Ils prient pour nous et sont exaucés, p.301 : S. EPHREM. - Les âmes des bienheureux doivent avoir connaissance de ce qui se passe en cette vie, p.301 : S. GREGOIRE-LE-GRAND. - Elles voient tout en Dieu, p.302 : le même. - Multitude de moyens par lesquels les bienheureux peuvent être instruits de ce qui se passe ici-bas.- Dieu peut leur révéler l’avenir, p.302 : S. AUGUSTIN. - Tous les morts, sans distinction, ne peuvent pas s'occuper également de ce qui se passe parmi les vivants - Usage de prier pour les morts, p.303 : le même. - Les anges et les autres esprits bienheureux mêlent leurs supplications aux nôtres, p.304 : ORIGENE. - Les Saints nous attendent et s'inquiètent au sujet de notre éternelle destinée, p.304 : S. CYPRIEN. - Les Saints prient pour nous avec d'autant plus de zèle qu'ils sont plus rapprochés de Dieu, p.304-305 : S. GREGOIRE de Nazianze. - Les Saints sont vivants devant Dieu - C'était l'hérésie de Vigilance, que de dire que les saints ne peuvent assister leurs frères d'ici-bas - Les Saints accompagnent partout l'Agneau - Il n'y a pas de raison pour qu'ils ne sachent pas ce qui se passe ici-bas aussi bien que les démons - Les morts peuvent prier pour les vivants - Les apôtres et les martyrs, maintenant vainqueurs et triomphants, doivent être en état de prier pour nous - Pourquoi la mort des Saints est appelée sommeil, p.305-306 : S. JEROME. -Trois choses à considérer aux fêtes des Saints : les secours qu'ils nous procurent, les exemples qu'ils nous donnent, et la confusion qui nous revient de ne pas leur ressembler - Les Saints doivent être d'autant plus miséricordieux, qu'ils sont plus près de la source de la miséricorde - Ils sont pour nous de puissants protecteurs - Nous devons les prier pour qu'ils nous rendent notre Juge favorable, p.306 -307 : S. BERNARD. - Les Saints doivent être plus puissants dans le ciel qu'ils ne l’étaient sur la terre, p.307 : le même. - Les Saints nos avocats - Nos médiateurs - Puissants pour nous sauver - Ils font des anges leur société - Ils ne se sont pas dépouillés des entrailles de la miséricorde - La terre qu'ils habitent n'est point une terre d'oubli. - Dans la lumière de Dieu, la mémoire ne s'affaiblit pas. - Les Saints, encore plus que les anges, doivent s'intéresser à notre salut, p.307-310 : le même. - Nous devons honorer les Saints comme les amis et les enfants de Dieu - comme ses temples, p.311-312 : S. DAMASCENE. - Ils nous défendent de nos ennemis, p.312-313 : S. BASILE. - Miracles opérés par l'intercession des martyrs - Concours des peuples à leurs tombeaux - Leurs tombeaux sont comme autant de tours qui nous défendent, p.313 : le même. - Les reliques des martyrs sont autant de trésors - Leur puissance, p.314 : S. GREGOIRE de Nazianze. - L'éloge des Saints est le panégyrique de la
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vertu, p.314-315 : le même. - Il sert à l'avantage des vivants - Délivrance d'un prisonnier obtenue par l'invocation de S. Ephrem, p.315-316 : S. GREGOIRE de Nysse. - Les chaînes de saint Pierre ont obtenu des guérisons, p.316 : S. CHRYSOSTOME. - Les apôtres et les martyrs prient pour nous - Une personne coupable de quelque crime doit employer des intercesseurs auprès du divin Médecin. - Les martyrs veillent sur nous, p.317 : S. AMBROISE. - Gloire des tombeaux des apôtres - Les rois sont devenus pour les apôtres ce que les portiers sont pour les rois - Les ossements des Saints sont le tourment des démons - Pèlerinages à leurs tombeaux, p.318-320 : S. CHRYSOSTOME. - Prière adressée aux martyrs, p.320 : S. EPHREM. - Devant Dieu, tous les êtres sont vivants - Les tombeaux des martyrs sont un tourment pour les démons - Paule invoquée après sa mort - Jouissant de la présence de Jésus-Christ, il lui sera plus facile d'obtenir ce qu'elle demandera : p.321 : S. JEROME. - Les âmes des défunts recommandés aux saints martyrs : p.321 : S. AUGUSTIN. - Invocation à saint Cyprien, p.322 : le même. - La prière pour les morts et l'invocation des Saints, tournées en dérision par les hérétiques - Les Saints présents partout par la disposition de leur charité, p.322-323 : S. BERNARD. - Les martyrs sont les protecteurs de l'humanité - Miracles opérés et secours obtenus aux tombeaux des martyrs - Nous voyons en eux, non d’autres dieux, mais des hommes divins - Antiquité des ex-voto, p.323-324 : THEODORET. - Invocation à plusieurs Saints, p.324-325 : le même. - Pèlerinages aux tombeaux des martyrs, p.325 : PRUDENCE. - Invocation des Saints et culte de leurs reliques, p.331 : le 7e Concile général, 2e de Nicée. - Ce n'est pas aux martyrs que nous offrons nos sacrifices, p.331 : S. AUGUSTIN. - Coutume de l'Eglise d'invoquer les Saints, p.332 : le concile de Trente. - Les mérites des Saints vivent toujours, p.333 : S. CHRYSOSTOME. - La cendre des martyrs chasse les démons - Les rois devenus les suppliants, et les martyrs les dispensateurs des grâces, p.334 : S. AMBROISE. - Saint Pierre fait encore aujourd'hui l’office de pasteur, p.335 : S. LEON. - Invocation à saint Félix de Nole, p.337 : S. PAULIN. - Vertu des saintes reliques, p.338. - Recours à 1'intercession des Saints, p.340 : le même. - Devoir de célébrer la naissance des saints martyrs pour le ciel - Les Saints favorisent tous les lieux de la terre de leur présence et de leur protection - A quelle condition les mérites des Saints nous sont appliqués, p.341 : MAXIME de Turin. - Les prières des martyrs engagent Dieu à pardonner les péchés de son peuple, p.342 : S. AUGUSTIN. - Usage de visiter les tombeaux - Platon a parlé comme nous dans quelques-uns de ses écrits, p.342 : EUSEBE. -
Hérésie de Vigilance - Sa réfutation - Exemples d'honneurs rendus aux Saints. - Notre-Seigneur n’avait pas besoin du parfum qui fut répandu sur ses pieds, ni les martyrs non plus n'ont besoin de la lumière des cierges que nous brûlons devant leurs tombeaux - Accusation d'idolâtrie intentée aux catholiques par Vigilance - Usage universel des églises d'Orient d'allumer des cierges à la lecture de 1'Evangile. - Usage de l’évêque de Rome d'offrir le saint sacrifice sur les reliques des apôtres saint Pierre et saint Paul - Les tombeaux des Saints sont les autels qui conviennent à Jésus-Christ - Hérésie d’Eunomius - Miracles opérés dans les basiliques des martyrs - C'était l'esprit impur qui poussait Vigilance à écrier ses impiétés - Nous n’adorons pas les reliques des
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martyrs - Nous honorons les serviteurs, afin que cet honneur revienne au Maître - Les démons trouvent intolérables les douleurs que leur cause la présence des saintes reliques, p.342-347 : S. JEROME. - Devoir d'honorer l'image de la croix, les images et les reliques des Saints - C'est la doctrine des Pères et la tradition de l'Eglise catholique - Les reliques des Saints sont comme autant de fontaines salutaires, p.348- 349 : le 2e concile de Nicée. - Miracles opérés par la vertu des reliques, p.350 : S. AUGUSTIN. - Les martyrs ne doivent pas être comptés au nombre des morts - Nous devons les honorer comme nos protecteurs et nos avocats auprès de Dieu - Il n'y a que les choses qui honorent Dieu, qui puissent convenir à ses serviteurs - Ordre à observer dans le culte des Saints, p.351-352 : S. DAMASCENE. - Les martyrs sont pour l'Eglise comme des tours et des colonnes - Visitons leurs tombeaux, et approchons de leurs reliques avec une vive foi - Ils peuvent obtenir du Roi des cieux tout ce qu'ils désirent, p.353 : S. CHRYSOSTOME. - Les reliques des Saints sont un moyen pour nous de nous sauver - Leurs tombeaux ont la vertu de porter à une vie sainte ceux qui viennent les visiter - Ils sont pour les démons un objet de terreur, p.353-354 : le même. - Les chaînes de saint Pierre ont reçu de leur contact avec ses membres la vertu d'opérer des miracles - par cela seul, elles sont remplies de la grâce et de la puissance divines - elles sont l'effroi du prince des puissances rebelles - elles forment comme le collier précieux, comme la couronne de fleurs de l'Eglise - elles sont un spécifique efficace pour la guérison de nos âmes - L'épée dont il a armé son bras est traitée avec le même honneur que ses chaînes - elle a la vertu d'opérer des miracles - Il suffit de penser à ces objets pour obtenir les mêmes grâces que si l'on invoquait l'apôtre - Rome est le lieu où saint Pierre a reçu la sépulture, p.354-357 : le même. - Miracles opérés par le simple contact des reliques des saints martyrs Gervais et Protais - Suaires et vêtements jetés sur leurs reliques, devenus des instruments de guérison - Ces Saints sont des défenseurs et des patrons pour 1'Eglise de Milan - Leurs reliques placées sous l’autel, p.357-358 : S. AMBROISE. - Les ariens niaient les mérites des martyrs, dont les œuvres étaient confessées par les démons eux-mêmes - Aveugle guéri par la vertu des saintes reliques - Refuser de croire que les martyrs puissent opérer des guérisons, c'est refuser de croire à Jésus-Christ - La foi qu'avaient les martyrs avait son fondement dans l'antique tradition - Les tourments que souffraient les démons à la présence de leurs reliques ne pouvaient être des jeux ou des farces concertées, p.358-359 : S. AMBROISE. - Les reliques sont un trésor pour les villes qui les possèdent - Quant aux grâces qui en résultent, elles les communiquent à l'univers. - Les martyrs sont les avocats du monde entier, p.359-360 : le même. - Il suffit de quelque faible reste de leurs vêtements, de leur nom, de leur souvenir, pour procurer le salut, p.361 : S. GREGOIRE de Nazianze. - Ce que c'est que toucher la frange du vêtement de Jésus-Christ, p.362 : S. BERNARD. - Invocation aux anges et aux saints, p.362-363 : VICTOR Africain. - Les fêtes des martyrs sont des exhortations aux martyrs, p.364 : S. AUGUSTIN. - Pourquoi les fêtes des martyrs ont été instituées - De quelle manière nous devons les honorer, p.364 : S. ISIDORE.
Question IX. L'usage des images de Jésus-Christ et des Saints, tel
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qu'il est reçu dans l'Eglise, est-il contraire au premier précepte du décalogue, p.365-369. - Les images des Saints n'ont rien de commun avec les idoles, p.370 : TERTULLIEN. - L'honneur décerné à l'image se rapporte à son modèle, p.370 : S. BASILE. - L'existence des images remonte an commencement du monde - Utilité des images pour les simples - Récit au sujet d’Abgare, roi d'Edesse, p.370-375 : S. DAMASCENE. - Celui qui honore l’image d'un roi honore ce roi lui-même, p.373 : S. ATHANASE. - Antiquité du culte des images dans 1'Eglise de Rome - S. Sylvestre possédait les portraits de saint Pierre et de saint Paul - Reproches adressés par saint Grégoire à Sérénus de Marseille - Tableau du sacrifice d'Isaac - Témoignage d’Etienne de Bostra - Ce n'est pas le bois que nous honorons, mais celui qui est représenté sur ce bois - Témoignage de l'Eglise d'Orient - Le culte des images est de tradition apostolique, p.373-378 : le 7e Concile général. - Savants et ignorants profitent également de l’instruction offerte par les images : p.378-379 : le 8e Concile général. - Usage de représenter saint Pierre et saint Paul sur un même tableau avec Notre-Seigneur, p.379 : S. AUGUSTIN. - Offrandes de Constantin consistant en images de sujets sacrés, p.379-380 : S. DAMASE. - Image miraculeuse de Notre-Seigneur crucifié à Béryte par des juifs, p.380-381 :
S. ATHANASE. - Lettre de saint Grégoire à Sérénus, p.381. - Nous nous servons des choses visibles pour nous élever à la contemplation des choses invisibles, p.382 : S. GREGOIRE. - Statue miraculeuse de l'hémorroïsse, p.383 : EUSEBE. - Attentat de Julien et son châtiment, p.383-384 : SOZOMENE.- Images peintes par saint Luc, p.384 : NICEPHORE. - L'image de la sainte Mère de Dieu sur le char de triomphe de Manuel Comnène - Effets de la prière de cet empereur devant la même image, p.385 : S. NICETAS CHRONIATE. - Claude de Turin réfuté par Jonas d’Orléans, p.386. - Léon l’Isaurien combattu par saint Jean Damascène, p.386. - C’est la foi des apôtres et des Pères, qu'il faut vénérer les saintes images - Ce culte n'est point oppose à l’Ecriture, p.386 : le 2e concile de NICEE. - Xenaïas fût le premier qui vomit ce blasphème, qu'il ne fallait pas vénérer les images de Jésus-Christ et des amis de Dieu, p.387 : NICEPHORE. - Culte des images recommandé par le concile de Trente, p.387-388. - Soulèvement de l'Italie contre Léon l'Isaurien, p.388 : PAUL diacre. - Cruauté de cet empereur - Intrépidité de saint Jean Damascène, p.389 : JEAN de Jérusalem.
Question X. Qu'est-ce qui nous est prescrit par le second commandement, p.390-395.
On n'est pas tenu d'observer les serments illicites qu'on aurait faits, p.393 : le 8e concile de Tolède après saint Ambroise. - Il n'est pas permis de faire servir à des railleries, etc., les paroles de l’Ecriture sainte, p.393 : le concile de Trente.
Question XI. Que nous est-il prescrit par le troisième commandement, p.395-405.
En quel sens le précepte de sanctifier le sabbat peut obliger les chrétiens, p.399 : S. AUGUSTIN. - Le dimanche substitué au sabbat, p.400 : le même. - Les fêtes annuelles et les autres pratiques généralement observée, ont été instituées, ou par les apôtres, ou par des conciles pléniers, p.401 : le même. - Souvenirs que le dimanche nous rappelle, p.401 : le même. - C'est à ce jour qu'il faut rapporter tout ce qu'il y a de plus
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remarquable parmi les institutions divines, p.401-402 : S. LEON. - L'usage de se vêtir plus proprement les jours de fête indique le soin qu'on doit prendre, à plus forte raison, de se purifier de tout ce qui peut ternir la pureté de l'âme - C'est l'Esprit-Saint qui a appris au peuple chrétien à se préparer à la fête de Pâques par l'abstinence des quarante jours,
p.402 : le même. - Manière de sanctifier le dimanche, p.402-403 : S. GREGOIRE. - Différence entre nos fêtes et celles des Juifs, p.403 : S. JEROME. - En quel esprit nous devons célébrer le dimanche et les fêtes - Pourquoi on s'abstient ces jours-là des œuvres serviles - Pourquoi les apôtres ont voulu que le dimanche fut religieusement observé - le sabbat abrogé - Prendre garde que le repos ne dégénère en oisiveté, p.403-405 : S. AUGUSTIN.
Question XII. A quoi se réduisent sommairement les trois premiers commandements de Dieu, p.405-408.
Combien on doit compter de commandements, soit de la première, soit de la seconde table - Trois de la première et sept de la seconde, et pourquoi - Il vaudrait mieux bêcher tout le temps du dimanche que de passer cette journée toute entière à danser, p.405-408 : S. AUGUSTIN.
Question XIII. Que propose et prescrit le quatrième commandement, p.409-416.
Les cicognes, types de la piété filiale, p.415-416 : S. AMBROISE.
Question XIV. Que renferme le cinquième commandement, p.416-421.
Question XV. Que contient le sixième commandement, p.421-430.
Question XVI. Que nous est-il enseigné par le septième commandement, p.430-434.
Question XVII. Qu'y a-t-il de compris dans le huitième commandement, p.434-440.
Question XVIII. Que contiennent les deux derniers commandements, p.440-442.
Question XIX. A quoi doivent se rapporter en résumé tous les commandements de Dieu, p.442-444.
Question XX. Quels sont les devoirs et les signes effectifs de la charité fraternelle, p.444-448.
En quel sens la charité est patiente, tolérante,
p.448 : S. GREGOIRE.
FIN DE LA TABLE DU TOME PREMIER.