Tome 2 Canisius
PREMIERE PARTIE: PRINCIPES DE LA SAGESSE CHRETIENNE.
CHAPITRE III, Article III. Des commandements de l’Eglise, 1-141.
Question I. Y a-t-il pour les chrétiens d’autres commandements à observer que ceux du décalogue, 1-5.
Question II. Quels sont les préceptes des apôtres
et des anciens que saint Paul a ordonné de garder, 5-8.
Enseignements écrits et d’autres non écrits
de nos premiers pères dans la hiérarchie, 4 : S. DENIS l’Aréopagite.
Les uns et les autres ont une égale autorité.
– Enumération de plusieurs usages dont il n’est fait nulle mention
dans l’Ecriture. – Le signe de la croix. – Se tourner vers n’orient pour
prier. – Les paroles d’invocation usitées dans le saint sacrifice.
–Les cérémonies du baptême, 4-5 : S.BASILE.
Loi du secret, utile pour concilier de la vénération
aux doctrines transmises par tradition : le même, ibidem. – Les premiers
disciples du Sauveur n’ont proposés au peuples, soit de vive voix,
soit par écrit, que ce que ces peuples étaient capables d’admettre
et de comprendre, 5 : EUSEBE.
Tout ne saurait être contenu dans l’Ecriture,
5 : S. EPIPHANE.
Autorité de la coutume – Cérémonies
du baptême – Manière de recevoir l’Eucharistie – Oblations
pour les défunts – Stations – Précautions employées
pour la conservation des saintes espèces – Signe de la croix, 6
: TERTULLIEN.
La coutume est reçue pour loi, 7 : le même.
L’accord de tout l’univers tient lieu de loi –
Cérémonies du baptême – Stations – Confirmation, 7
: S. JEROME.
Les apôtres n’ont pas tout enseignés
dans leurs lettres – La partie orale de leur enseignement n’a pas moins
d’autorité que la partie écrite – C’est la tradition, ne
demandez rien de plus, 7-8 : S. CHRYSOSTOME.
Question III. Est-on obligé d’observer les préceptes transmis par tradition comme ceux que les apôtres nous ont transmis par écrit, 8-10
Tradition écrite et tradition appuyée sur
la seule coutume – Pratique des images – C’est l’ordinaire des hérétiques
de fouler aux pieds les traditions, 9 : le deuxième concile de NICEE.
Obligation d’observer les règles que l’Eglise
a reçues par tradition, 9 : le huitième concile général.
Question IV. Quel moyen avons-nous de discerner les traditions
apostoliques et approuvées dans l’Eglise, 10-11.
Bien des choses ne se trouvent ne dans les lettres
des apôtres, ni dans les conciles tenus depuis, qui cependant sont
d’origine apostolique, 11 : S. AUGUSTIN.
Question V. Quelles sont précisément les traditions apostoliques qui doivent être observées par tous les chrétiens, 11-14.
L’usage de donner le baptême aux enfants est
de tradition apostolique, 12 : ORIGENE.
Il n’y a rien de plus sage que de considérer
comme de tradition apostolique ce que l’on trouve pratiqué de tout
temps par toute Eglise, sans avoir jamais été établi
par aucun concile, 12 : S. AUGUSTIN.
Prière pour les défunts de tradition
apostolique, 12 : S. DENIS Aréopagite ; 13 : TERTULLIEN le Jeune.
Quadragésimal de tradition apostolique,
13 : S. JEROME.
Usage de vénérer les images, de se
tourner du côté de l’orient pour prier, d’adorer la croix,
fondés sur la tradition, 14 : S. DAMASCENE.
L’usage de vénérer les images transmis
par tradition depuis les apôtres, 14 : le deuxième concile
de NICEE.
Question VI. Erreurs modernes sur les traditions apostoliques
et ecclésiastiques, 14-17.
Différence entre les usages locaux et les
usages universels – Jeûne du samedi, 17 : S. AUGUSTIN.
Question VII. Que faut-il penser de ceux qui rejettent
et méprisent les traditions de l’Eglise, 17-21.
Ce qui a été dit aux apôtres
l’a été dans leur personne à leurs successeurs, 20
: S. CYPRIEN.
Recourir à la tradition apostolique, 21
: S. AUGUSTIN.
La vérité de Dieu défendue
par la tradition, 21 : S. EPIPHANE.
S’attacher fermement à la tradition des
apôtres, 21 : S. IGNACE.
Question VIII. Quel a été sur ce sujet le
sentiment des Pères, 21-23.
A qui nous en rapporter pour les véritables
règles de notre croyance,
22 : S. IRENEE.
Question IX. Qu’est-ce donc que l’Eglise, 23-52.
§ 1er. Sur le pasteur de l’Eglise universelle, 26-28.
Le soin du troupeau confié à Pierre
et à ses successeurs, 26 : S. CHRYSOSTOME.
Autorité du pontife romain figurée
dans l’Ancien Testament. Il est le pasteur des pasteurs, 27 : S. BERNARD.
Nous attacher à l’Eglise, qui, fondée
sur les apôtres, a continué de subsister jusqu’à nos
jours – Les autres sociétés sont des synagogues de Satan
– Il s’agit bien moins de lire les Ecritures que de les entendre, 27-28
: S. JEROME.
L’Eglise, c’est le peuple uni à son évêque,
le troupeau attaché à son pasteur – N’être pas avec
l’évêque, c’est être hors de l’Eglise – Les évêques
sont le lien de l’unité de l’Eglise, 28 : S. CYPRIEN.
§ 2. Succession des pontifes romains
Cette succession est la condamnation des hérétiques
qui ont quitté les droits sentiers de la vérité –
L’Eglise de Rome est la principale dépositaire de la tradition transmise
par les apôtres – Succession des papes des deux premiers siècles
– C’est par cette succession que le dépôt de la vérité
s’est conservée jusqu’à nous, 28-29 : S. IRENEE.
Cette succession est le premier des privilèges
qui distinguent l’Eglise catholique – Succession des papes des deux premiers
siècles – C’est par cette succession que le dépôt de
la vérité s’est conservé jusqu’à nous, 28-29
: S. IRENEE.
Cette succession est le premier des privilèges
qui distinguent l’Eglise catholique – Succession des papes des quatre premiers
siècles, 50 : S. OPTAT.
Cette succession est un garant de vérité
– Les fautes des papes ne préjudicient en rien à l’Eglise
elle-même – Renoncer à cette succession, c’est se retrancher
soi-même de la société chrétienne – Cette succession
est la pierre qui ne saurait ébranler les portes de l’enfer – Distinguer
entre la chaire et celui qui l’occupe, 31-32 : S. AUGUSTIN.
§ 3. De la primauté de Pierre, 32-38.
Pouvoir de Pierre, 32 : S. HILAIRE.
Pourquoi ce nom de Pierre – Sens de la promesse
qui lui avait été faite de devenir le fondement de l’Eglise
– Un seul est choisi sur les douze, pour que toute occasion soit enlevée
au schisme, 32-33 : S. JEROME.
L’Eglise bâtie sur cet apôtre comme
une pierre très solide, 33 : S. CYRILLE d’Alexandrie.
Pierre est le premier des apôtres – Il représentait
l’Eglise toute entière qui ne saurait être renversée,
parce qu’elle est fondée sur la pierre, 33 : S. AUGUSTIN.
Pierre, chef de tous les apôtres – A lui
seul ont été données les clefs de tous les cieux,
34 : ORIGENE.
Pierre, donné pour fondement à l’Eglise
– Il n’est la pierre fondamentale que par participation, 34 : S. BASILE.
Il était comme la bouche et le coryphée
des autres apôtres – Le soin de tout l’univers lui a été
confié – Il est pour l’Eglise un fondement plus solide que les pierres
les plus dures et capables de résister à l’univers entier
– Il est la colonne la plus glorieuse du nouveau peuple de Dieu, le pilote
spirituel qui conduit l’Eglise à travers les dangers de la mer de
ce monde, 35-36 : S. CHRYSOSTOME.
Pierre, l’oracle de tous les apôtres et de
tous les docteurs – Pouvoir de Jésus-Christ communiqué à
Pierre par participation – Il a été plus spécialement
chargé du soin de paître les brebis du Christ – Lui refuser
la primauté, c’est se précipiter soi-même dans l’enfer,
37 : S. LEON.
Ce qui attachait saint Augustin à l’Eglise
catholique – A quelle Eglise on doit principalement s’attacher – Ne pas
reconnaître l’autorité suprême de l’Eglise romaine,
c’est, ou une extrême impiété, ou un téméraire
orgueil – Son autorité fondée sur la suite des évêques,
37-38 : S. AUGUSTIN.
§ 4. De l’Eglise romaine, 38-52.
Vénération de saint Jérôme
pour l’Eglise romaine – Nécessité d’être en communion
avec cette Eglise – De consulter dans les doutes la chaire de Pierre –
Dans cette Eglise seule se trouve intacte l’héritage de nos pères
– Quiconque mange l’agneau hors de cette maison est un profane, 38-39 :
S. JEROME.
C’est dans l’Eglise romaine qu’a tjrs résidé
la principauté de la chaire apostolique – Autorité du siège
apostolique pour anathématiser les hérésies, 40-41
: S. AUGUSTIN.
L’évêque de Rome est chargé
du soin de toutes les Eglises – L’antique règle est de consulter
Rome dans les questions douteuses – A Pierre, ou à son successeur,
appartient le droit de porter une décision qui serve en commun à
toutes les Eglises, 40 : S. INNOCENT I.
Le schisme et l’hérésie n’ont pas
de source plus commune que l’oubli de cette vérité, qu’il
n’y a pas dans l’Eglise qu’un pasteur – C’est du siège de Pierre
qu’émane l’unité sacerdotale, 41-42 : S. CYPRIEN.
Le salut de l’Eglise dépend de l’autorité
que l’on accorde au souverain pontife, 42 : S. JEROME.
Parmi les apôtres eux-mêmes il y avait
différence d’autorité – C’est sur ce modèle qu’a été
établie la distinction entre les évêques – Le gouvernement
de l’Eglise établie la distinction entre les évêques
– Le gouvernement de l’Eglise universelle concentré dans le siège
de Pierre, 42 : S. LEON.
L’Eglise de Rome modèle des autres Eglises
– Communion de tous évêques catholiques avec l’Eglise romaine,
45 : S. CYPRIEN.
La règle de l’Eglise, c’est que les causes
des évêques soient déférées au siège
de Rome, 44 : THEODORET et S. BERNARD.
Le pape appelé archevêque universel
– Ses légats président dans les conciles comme ses représentants
– Il est la pierre et la base de l’Eglise catholique – C’est à lui
à confirmer les conciles même œcuméniques, 44-45 :
le concile de CHALCEDOINE.
Question X. Quelle est la dignité et l’autorité
de l’Eglise, 52-60.
Les Ecritures elles-mêmes nous obligent de
déférer à la pratique de toute l’Eglise – Rejeter
les sentiments que rejette l’Eglise catholique – Les hérétiques
poussent à la division – L’Eglise affermie pour jamais, 57-58 :
S. AUGUSTIN.
Quels sont les ennemis de l’Eglise, 58 : S. AVITE.
Les Ecritures citées à tort et à
travers par les hérétiques – Ne pas sortir des limites de
l’ancienne tradition telle que l’Eglise la suit – Explication allégorique
de ces mots : Le Christ est ici ou là, comme un éclair qui
part de l’orient, etc., 59-60 : ORIGENE.
Question XI. Quels sont ceux dont l’Esprit Saint se sert dans l’Eglise pour nous enseigner la vérité, 60-88.
§ 1er. Ce sont les évêques, et
principalement les souverains pontifes, 64-65.
Les évêques remplacent pour nous les
apôtres, 64 : S. AUGUSTIN.
Utilité des conciles : CANONS DES APOTRES
et concile de NICEE.
§ 2. Les laïques ne sont pas jugent en
matières ecclésiastiques, 65-86.
C’est aux chefs du sacerdoce catholique à
décider les questions ecclésiastiques, 65 : THEODOSE
le Jeune.
Une laïque, quelque piété qu’il
ait, ne cesse pas d’être brebis – Un évêque, quelque
dénué qu’il soit de toute sorte de vertus, ne perd ni sa
qualité de pasteur, ni les privilèges de sa dignité,
65-66 : BASILE le Macédonien.
Il est faux qu’on ne puisse tenir de concile sans
que le prince soit présent, 66 : le huitième concile général.
Saint Paul ne s’associait pas ses amis de la maison
de César dans les jugements qu’il portait – Un prince qui se constitue
le juge des évêques prend la ressemblance de l’Antéchrist,
67 : S. ATHANASE.
Constantin reçut la sentence du concile
de Nicée comme venue de Dieu même, 67 : RUFFIN.
Dignité des évêques – Le schisme
et l’hérésie n’ont pas de source plus commune que le refus
d’obéir à l’évêque – L’intervention divine n’est
pas étrangère à l’élection épiscopale
– L’ennemi de Jésus-Christ ne s’acharne contre le pilote que pour
mieux consommer le naufrage de l’Eglise – Il n’y a de salut pour personne
que dans l’Eglise, 68-70 : S. CYPRIEN.
Saint Grégoire-le-Grand mettait les quatre
premiers conciles généraux sur le même pied que les
quatre Evangiles, et il partait le même respect au cinquième,
c’est-à-dire au dernier tenu jusqu’à lui – On doit se séparer
de tous ceux dont se séparent les conciles généraux,
et révérer tous ceux qu’ils révèrent, 70 :
S. GREGOIRE.
De saints moines déterminés à
combattre jusqu’au sang pour la défense des conciles généraux,
71 : NICEPHONE CALLISTE.
Autorité des décrets des anciens
conciles et des lettres synodiques des papes, 71 : le troisième
concile de TOLEDE.
Ce que les souverains pontifes ont écrit
pour les besoins de l’Eglise doit être reçu avec respect et
pris pour règle par tout le monde, 71-72 : S. NICOLAS I, S. LEON-LE-GRAND
et S. GELASE.
Les jugements du Saint-Siège sont sans appel,
tandis qu’on peut appeler à lui de toutes les parties de l’univers,
72 : BONIFACE I et GELASE I.
La forme de discipline établie par saint
Pierre a fait loi ensuite dans toute l’Eglise – L’Eglise n’avait rien à
recevoir du premier concile de Nicée – Ses privilèges ne
peuvent recevoir aucune atteinte, 73 : NICOLAS I.
Décisions de conciles réformées
par les papes dans les causes de saint Athanase, de saint Chrysostôme
et de Flavien, 74 : GELASE I.
Recours de saint Jérôme au Saint-Siège
dans ses doutes, 74.
Le concile de Chalcédoine demande au pape
saint Léon la confirmation de ses décrets, 75.
L’Eglise romaine n’a jamais dévié,
par aucune erreur, de la voie de la vérité – Sa doctrine
a fait le tourment des hérétiques – L’évêque
de Rome a pour mission de confirmer ses frères dans la foi – L’objet
constant de la sollicitude du siège apostolique a été
de conserver la foi inaltérable – La vrai foi ne sait point varier
avec le temps, 75-76 : S. AGATHON.
Autorité salutaire des conciles, 77 : S.
AUGUSTIN.
Deux moyens de discerner la vraie doctrine – Tous
n’expliquent pas l’Ecriture dans le même sens – Suivre ce qui a été
cru en tous lieux, en tout temps et par tous les fidèles – Un catholique
doit préférer le corps entier de l’Eglise à un membre
isolé – Il n’y a de vraiment catholiques que ceux qui aiment l’Eglise
– Profanes nouveautés de paroles, combien elles doivent être
évitées – Le propre des catholiques, c’est de conserver religieusement
le dépôt qui leur a été confié par leurs
pères – Il faut expliquer l’Ecriture selon les traditions de l’Eglise
universelle – Autorité des Pères quand ils sont unanimes,
77-82 : VINCENT de Lérins.
Elle ne saurait être suspectée de
partialité – Ils n’ont enseigné que ceux qu’ils ont eux-mêmes
appris, 84-85 : S. PACIEN.
§ 5. Stabilité des décrets des
conciles généraux, 86-88.
Continuer ses recherches après que la vérité
ait été trouvée, c’est vouloir aboutir au mensonge,
86 : EDIT de Valentinien III et de Marcien.
Tout ce qui a été décidé
une fois doit rester ferme et invariablement déterminé, 87-88
: S. GELASE I et S. LEON-LE-GRAND.
Présomption de discuter ce qui a été
déjà défini, 88 : S. LEON.
Question XII. Quel but s’est proposé la divine
Providence, en voulant qu’il y ait l’Eglise des pasteurs et des docteurs,
88-100.
Dignité des prêtres – Leur pouvoir
surpasse celui des rois – Ne blâmer jamais le sacerdoce, mais seulement
l’homme qui en abuse, 95-97 : S. CHRYSOSTOME.
Personne dans l’Eglise n’est au-dessus de l’évêque,
97-98 : S. IGNACE.
Aucune comparaison ne peut égaler l’élévation
de la dignité épiscopale, 98-99 : S. AMBROISE.
Un homme honoré du sacerdoce doit appartenir
exclusivement à l’autel, 99 : S. CYPRIEN.
Question XIII. Comment pourrons-nous obtenir ces précieux
avantages.
Il n’importe pas que ce soit par lui-même
ou par ses ministres que Dieu fasse connaître aux hommes ses volontés
– Nous devons écouter celui qui nous tient la place de Dieu comme
Dieu lui-même, en tout ce qui n’est pas ouvertement contraire à
la volonté de Dieu, 102 : S. BERNARD.
Ne pas oublier la loi de notre mère qui
est l’Eglise, 103 : S. EPIPHANE.
Question XIV. Quels sont les commandements de l’Eglise, 103-112.
§ 1er. Sur les célébrations des
fêtes, 104-106.
Fêtes ecclésiastiques – Obligation
d’observer les jeûnes, 104 : le premier concile de LYON.
Observer le jour du dimanche, 104-105 : le deuxième
concile de MACON.
Enumération des fêtes, 105 : le concile
de MAYENCE.
Ce qu’il faut faire ou omettre les jours de dimanche,
106 : le concile de TRIBUR.
§ 2. Sur l’obligation d’assister à la
messe, 106-107.
Ne pas sortir de la messe avant qu’on ait reçu
la bénédiction de l’évêque, s’il est présent,
107 : le premier concile d’ORLEANS.
§ 3. Sur le jeûne ecclésiastique,
107-111.
Antiquité du jeûne quadragésimal
et de celui de la quatrième et de la sixième férie,
107 : CANON DES APOTRES.
Jeûnes des quatre-temps, 108 : concile de
SELINGTADT.
Pourquoi on se prépare aux fêtes par
le jeûne, 109 : S. BERNARD.
Stations et jeûnes, 110 : TERTULLIEN.
§ 4. Sur la confession et la communion pascale,
111.
Peines prononcées contre ceux qui ne s’acquittaient
pas de ce double devoir – Demander à son propre prêtre la
permission de se confesser à un autre – se confesser au moins une
fois l’année, 111 : concile de LATRAN et de TRENTE.
Question XV. Quels sont les avantages que procure l’observation de ces divers commandements, 112-113.
Question XVI. En quels cas avons-nous besoin de l’autorité
de l’Eglise, 113-151.
On ne doit pas admettre d’autres Ecritures que
celle que reçoit l’autorité de l’Eglise, 117 : Premier concile
de TOLEDE.
L’Ecriture n’a pas d’autre autorité que
celle que lui reconnaissent les Eglises de Jésus-Christ, 117-119
: S. AUGUSTIN.
Livres canoniques de l’Ancien et du Nouveau Testament,
119-120 : Troisième Concile de CARTHAGE.
Nous devons recevoir les vérités
de tradition comme celles que contiennent les livres saints, 120-121 :
Concile de TRENTE.
Saint Augustin ne croirait pas à l’Evangile,
s’il n’avait pour le porter à y croire l’autorité de l’Eglise
catholique, 121-122 – Consulter l’Eglise dans ses doutes, 122-123 : S.
AUGUSTIN.
C’est à l’Eglise à juger du vrai
sens des Ecritures, 123 : Concile de TRENTE.
Les hérétiques citent les Ecritures
sans en avoir l’intelligence, 124.
Affectation ordinaire aux hérétiques
de citer les Ecritures – Ils se couvrent des paroles des prophètes
et des apôtres comme le loup de la peau de la brebis – Ils s’en servent
pour se transformer en apôtre – Ils imitent le démon qui citait
aussi les Ecritures à Jésus-Christ pour le tenter – Comment
le démon nous dit encore aujourd’hui de nous jeter en bas, 124-125
: VINCENT de Lérins.
Il s’agit bien moins de savoir lire l’Ecriture,
que de savoir la comprendre – L’Evangile consiste non dans les mots, mais
dans les pensées, 126-127 : S. JEROME.
Tout ne se trouve pas dans l’Ecriture, 127 : S.
EPIPHANE.
Nous devons affirmer avec confiance ce que nous
voyons confirmé par le consentement de l’Eglise universelle, 128
: S. AUGUSTIN.
Célébrer les conciles deux fois chaque
année, 128 : Canon des apôtres.
La sentence portée par les hommes est confirmée
par la sentence divine, 129 : S. JEROME.
Ceux à qui est confié le gouvernement
de l’Eglise ont le droit de réprimer et de punir autant que le permet
le bien de la paix – La rigueur des peines mise en perspective pour imprimer
la crainte – Il peut y avoir des raisons de dissimuler et de tolérer
des méchants dans l’Eglise, comme de les réprimer et de les
punir – Soumettre à l’anathème les pécheurs qui l’ont
mérité, pourvu que cela puisse se faire sans danger de schisme,
129-150 : S. AUGUSTIN.
Les évêques tiennent dans l’Eglise
la place des apôtres – soit que le pasteur lie justement, soit qu’il
lie à tort, le troupeau doit toujours redouter la sentence de son
pasteur, 131 : S. GREGOIRE.
Le lien mis entre les mains des prêtres s’étend
à l’âme et produit ses effets jusque dans le ciel, 131 : S.
CHRYSOSTOME.
Question XVII. Quel usage y a-t-il à faire et quel
fruit à tirer de toute cette doctrine sur les sacrements de l’Eglise,
132-136.
On ne trouve pas écrit tout ce qui a été
fait, 136 : S. AUGUSTIN.
Le caractère général des hérésiarques
est d’aimer la nouveauté, 136 : S. VINCENT DE LERINS.
Question XVIII. Comment peut se résumer toute la doctrine développée jusqu’ici, 137-140.
Question XIX. La doctrine chrétienne ne comprend-elle
pas quelque autre objet, 140-141.
On ne saurait sans les sacrements entrer dans la
véritable vie – Les hommes ne peuvent se réunir en corps
de religion, sans prendre pour points de ralliement certains sacrements
ou signes sensibles – Les sacrements de la nouvelle loi sont moins nombreux,
mais plus salutaire que l’ancienne, 140-141 : S. AUGUSTIN.
CHAPITRE IV. Des sacrements, 141.
Question I. Pourquoi les chrétiens ont-ils besoin d’être instruits sur les sacrements, 141-142.
Question II. Qu’est-ce que le culte divin, et combien
en distingue-t-on d’espèces, 142-147.
Le culte divin est une servitude vouée à
Dieu – La piété est la sagesse qui convient à l’homme
– Le culte intérieur consiste dans la pratique de la foi, de l’espérance
et de la charité – Les sacrements d’aujourd’hui procurent le salut,
au lieu que les autres se bornaient à promettre le Sauveur – Les
sacrements sont d’une merveilleuse vertu, et on ne peut les mépriser
sans sacrilège – Ils ont pour auteur Notre-Seigneur lui-même,
et ils nous viennent de la tradition apostolique – Sans la grâce
de l’Esprit-Saint, les sacrements n’auraient aucune efficacité –
Le mépris qu’on ferait de ces signes visibles mettrait un obstacle
invincible à la sanctification intérieure, 144-146 : S. AUGUSTIN
Vertu des sacrements, 146-147 : TERTULLIEN.
Tandis que l’homme consacre au dehors, l’Esprit-Saint
sanctifie au-dedans, 147 : S. GREGOIRE.
Comme notre âme est unie à notre corps,
Dieu nous donne les biens spirituels sous des enveloppes sensibles, 147
: S. CHRYSOSTOME.
Question III. Qu’est-ce qu’un sacrement, 147-153.
Chaque grâce particulière a son signe
particulier, 150 : S. BERNARD.
Les sacrements sont des signes sacrés, 150
: S. AUGUSTIN.
Jésus-Christ est l’auteur des sacrements,
150 : S. AMBROISE.
Les sacrements contiennent et confèrent
la grâce, 150-151 : les conciles de FLORENCE et de TRENTE.
Ils ont quelque ressemblance avec les choses dont
ils sont les sacrements – Ils causent par eux-mêmes le salut – Les
actions sacramentelles sont transitoires, mais leur vertu est permanente
– Le baptême de Jésus-Christ est toujours saint, quand bien
même il serait administré par des adultères et conféré
à des adultères, comme la lumière du soleil ne contracte
aucune souillure de la fange sur laquelle elle se porte, 151-152 : S. AUGUSTIN.
Effet des sacrements, 152-153 : concile de FLORENCE.
Question IV. De quelles parties se compose chaque sacrement,
153-154.
Chaque sacrement requiert un élément
qui en soit la matière, des paroles qui en soient la forme, et la
personne du ministre qui le confère avec l’intention de faire ce
que fait l’Eglise, 153 : le concile de FLORENCE.
Que la parole s’adjoigne au sacrement, et dès
lors le sacrement existe, 154 : S. AUGUSTIN.
Tous les chrétiens n’ont pas le pouvoir
d’administrer les sacrements – L’intention de faire ce que fait l’Eglise
est requise dans les ministres des sacrements, 154 : le concile de TRENTE.
Question V. Combien y a-t-il de sacrements, 154-157.
Il y a en a sept, 156 : les conciles de FLORENCE
et de TRENTE.
Question VI. Dans quels buts les sacrements ont-ils été
institués, 157-160.
Les hommes ne peuvent obtenir sans les sacrements
la grâce de la justification, 158 : le concile de TRENTE.
Les sacrements peuvent beaucoup par eux-mêmes,
159 : S. AUGUSTIN.
Ce sont des signes qui indiquent que nous sommes
à Dieu, 160 : S. BASILE.
Question VII. Que devons-nous croire au sujet des ministres
des sacrements, 160-166.
La condition du ministre ne fait rien à la vertu
du sacrement – L’image de l’empereur est également gravée,
n’importe que ce soit sur un anneau d’or ou sur un anneau de fer, 165 :
S. GREGOIRE de Nazianze.
Le Baptême de Jésus-Christ conféré
par Judas avait plus de vertu que le baptême de Jean, 165 : S. AUGUSTIN.
Question VIII. Que faut-il penser des cérémonies, et en particulier de celles qui accompagnent l’administration solennelle des sacrements, 166-184.
§ 1er. De l’uniformité des cérémonies
en général, 169-170.
Accord nécessaire entre les Eglises, 169-170
: S. LEON, S. INNOCENT I et le quatrième concile de TOLEDE.
Obligation d’observer les cérémonies
reçues et approuvées dans l’Eglise catholique, 170 : Le concile
de TRENTE.
§ 2. Des cérémonies du baptême,
171-184.
Choix d’un parrain – Interrogations adressées
au postulant – Catéchisme – Imposition des mains – Signe de la croix
– Enregistrement du nom du postulant et de celui de son parrain – Le postulant
tourné d’abord à l’occident – Exorcisme et abjuration – Puis
il se tourne à l’orient – Profession de foi – Imposition des mains
– Onction en forme de croix – Bénédiction des fonds baptismaux
– Proclamation du nom du catéchumène et de celui de son parrain
– Triple immersion – Robe blanche – Onction du saint-chrême – Communion,
171-175 : S. DENIS l’Aréopagite.
Abjuration – Triple immersion, 175 : TERTULLIEN
et ORIGENE.
Sanctification de l’eau – Profession de foi – Onctions,
175-174 : S. CYPRIEN.
Consécration de l’eau et de l’huile – Onctions
– Triple immersion – Abjuration, 174 : S. BASILE.
Exorcisme, 174 : S. CHRYSOSTOME.
Le catéchumène tourné vers
l’occident, puis vers l’orient – Profession de foi – Onctions – Exorcismes
– Insufflations – Triple immersion – Onction du chrême après
le baptême – Transsubstantiation – Onction du front, des oreilles,
des narines, de la poitrine – Robe blanche, 174-176.
Catéchisme – Abjuration – Profession de
foi – Insufflations – Signe de croix – Sel bénit – Exorcismes –
Salive portée aux narines et aux oreilles – Onctions sur la poitrine
et entre les épaules – Consécration de l’eau – Triple immersion
au nom de la sainte Trinité – Onction du saint chrême sur
la tête, 176-178 : RABAN.
Exorcismes – Abjurations – Sel bénit, 179
: S. ISIDORE.
Attouchement des oreilles et des narines – Onctions
– Abjurations – Bénédiction des fronts – Exorcismes – Forme
du baptême – Profession de foi – Paroles qui accompagnent l’onction
faite à la suite du baptême – Lavement des pieds – Pourquoi
se tourner vers l’orient – Vêtements blancs – Confirmation – Communion,
179-181 : S. AMBROISE.
Pourquoi les exorcismes et les insufflations, 181-182
: S. AUGUSTIN.
Certaines choses que tous doivent observer, quoique
tous n’en pénètrent pas la raison, 182 : ORIGENE.
Il nous faut des figures matérielles pour
nous élever mieux aux choses intelligibles, 183 : S. DENIS l’Aréopagite.
Il vaut mieux être l’esclave de signes incompris,
que de tomber dans les filets de l’erreur en les interprétant à
contre sens, 183-184 : S. AUGUSTIN.
Article I. Du sacrement de baptême, 184-231
Question I. Qu’est-ce que le baptême, et quelle
en est la nécessité, 184-200.
La justification de l’impie ne peut se faire sans
le sacrement de la régénération ou le désir
de la recevoir – Ce sacrement est nécessaire au salut, 186 : le
concile de TRENTE.
Nécessité du baptême, 186 :
S. AUGUSTIN.
Nécessité de baptiser les enfants
à cause du péché originel, 188 : le concile de MILEVE.
Le baptême des enfants est de tradition apostolique
– Importance des fonctions du parrain, 188-189 : S. DENIS l’Aréopagite.
L’âge disparaît devant Dieu – Péché
originel dans les enfants, 189-190 : S. CYPRIEN.
Les enfants doivent être baptisés
à cause du péché originel, 190 et 191 : S. CHRYSOSTOME
et le concile de TRENTE.
Les enfants ne sauraient être vivifiés
en Jésus-Christ que par le baptême – Les enfants prévenus
de la mort avant d’être baptisés ne peuvent pas recevoir le
pardon du péché originel, 191-192 : S. AUGUSTIN.
Les hérétiques nous tournent en dérision
parce que nous baptisons les enfant – L’Eglise, qui est leur mère,
leur prête sa foi – Les hérétiques envient aux enfants
le Sauveur qui s’est fait enfant pour eux, 192-194 : S. BERNARD.
Les enfants sont délivrés par le
baptême de la puissance des ténèbres – Les exorcismes
et les abjurations sont une vérité même pratiqués
sur les enfants – Ils périraient éternellement, s’ils ne
recevaient une nouvelle naissance – Les enfants baptisés doivent
être placés parmi les croyants – Ayant péché
par un autre qu’eux-mêmes, ils croient aussi par un autre qu’eux-mêmes
– Autorité de l’Eglise – Les enfants mêmes des fidèles
seraient perdus si on ne les baptisait, 194-196 : S. AUGUSTIN.
Nous ne reconnaissons qu’un baptême, 196
: S. BASILE.
Le déluge figure du baptême, 196 :
S. AVITE.
Nous confessons un seul baptême – Réitérer
le baptême, c’est crucifier de nouveau Jésus-Christ, 197 :
S. DAMASCENE.
Les rebaptisations défendues, 197 : le premier
concile de CARTHAGE et celui de VIENNE.
Caractère des sacrements de baptême,
de confirmation et d’ordre – Les enfants baptisés doivent être
mis au rang des fidèles, 197-198 : le concile de TRENTE.
On ne peut pas plus recommencer le baptême
qu’un enfant ne peut rentrer dans le sein de sa mère – Les puissances
chrétiennes doivent prendre des mesures contre ceux qui tuent les
âmes, 198 : S. AUGUSTIN.
Réitérer le baptême, ce serait
le profaner, 199 : BEDE, S. AUGUSTIN et S. LEON.
Peines contre les rebaptisants, 200 : JUSTINIEN.
Question II. Qu’y a-t-il à observer en particulier
sur ce sacrement, 200-206.
L’eau matière du baptême, 201-202
: le concile de TRENTE et S. CHRYSOSTOME.
Forme du baptême chez les Latins et les Grecs,
202 : le quatrième concile de LATRAN et celui de FLORENCE.
Sans ces paroles précises, il ne saurait
y avoir de sacrement de baptême, 202 : S. AUGUSTIN.
Le baptême n’est pas parfait, s’il est donné
au nom de deux des trois personnes divines sans mentionner la troisième,
205 : DIDYME d’Alexandrie.
Un laïque et même quelqu’un qui ne serait
pas chrétien peut baptiser en cas de nécessité – Ceux
là sont véritablement baptisés qui, de bonne foi et
avec un certaine croyance en Jésus-Christ, ont reçu le baptême
conféré avec les paroles marquées dans l’Evangile,
quelqu’en ait été le ministre, 204-205 : S. AUGUSTIN.
L’administration du baptême appartient au
ministère apostolique, 205 : S. HILAIRE.
Validité du baptême donné par
les hérétiques, 206 : le concile de TRENTE.
Question III. Quels fruits et quels effets produit le
baptême, 206-226.
Effets du baptême, 200 : S. BASILE.
Le baptême procure le pardon de tous les
péchés et efface tous les crimes, 200-210 : S. AUGUSTIN et
BEDE.
Les grâces de l’Esprit-Saint ne sont distribuées
dans le baptême à chacun que selon le degré particulier
de sa foi et de ses sentiments de pénitence, 210 : S. DAMASCENE.
Il est faux que le baptême n’efface les péchés
qu’à la superficie, 210 : S. GREGOIRE.
Tous nos crimes nous sont pardonnés dans
le baptême – La création, le déluge, le passage de
la mer Rouge, figures du baptême, 211 : S. JEROME.
Effets merveilleux du baptême – Ses divers
noms – Le baptême résulte de deux choses, qui sont l’eau et
l’esprit, 212-214 : S. GREGOIRE de Nazianze et CLEMENT d’Alexandrie.
Dix avantages du baptême – Ses divers noms
– La grâce du baptême nous rend plus purs que les rayons du
soleil, 214-216 : S. CHRYSOSTOME.
Le baptême est une pâque, 217 : S.
AMBROISE.
Tout ce qu’il y a de péché proprement
dit est ôté par le baptême, 217 : les conciles de FLORENCE
et de TRENTE.
Le baptême nous régénère
en Jésus-Christ, nous purifie dans tout notre être, change
nos dispositions les plus intimes, 217-218 : S. AUGUSTIN.
Un peu d’eau suffit pour effacer tous les crimes,
218 : LACTANCE.
Le baptême nous fait déposer le vieil
homme, 219 : S. CYPRIEN.
Il nous confère une telle grâce, que
la concupiscence ne puisse nous nuire, 219 : S. BERNARD.
Le péché a souillé toute la
race humaine, 220 : ORIGENE.
Par le baptême nous somme déchargés
des funestes suites de la faut originelle, 221 : S. RETICE.
§ 2. La concupiscence, 221-226.
La concupiscence est un péché improprement
dit, 221 : le concile de TRENTE.
Elle n’est pas un péché dans ceux
qui sont régénérés, quand ils ne donnent pas
leur consentement au mal – Elle est pardonnée dans le baptême,
parce que dès lors elle cesse d’être imputée – Ce qui
est un péché, c’est ce qu’on fait, ce qu’on dit ou ce qu’on
pense contrairement à la loi – Tous les maux de ce monde restent
au chrétien même fidèle pour servir de matière
de combat, 221-226 : S. AUGUSTIN.
Question IV. A quoi nous oblige l’avantage d’avoir reçu
un sacrement si salutaire, 226-231.
Se rappeler souvent les engagements du baptême,
226-231 : ORIGENE, S. AUGUSTIN, S. AMBROISE et S. CYRILLE de Jérusalem
– Au baptême qu’on a reçu doit répondre une vie toute
chrétienne, 231 : S. AUGUSTIN.
Article II : Du sacrement de confirmation, 232-261.
Question I. Quel est le sacrement qui vient après
le baptême, 232-257.
Statut des conciles d’Elvire, d’Orléans,
de Laodicée, de Meaux, de Florence, de Constance et de Trente, 232-234.
Zèle de saint Malachie à administrer
la confirmation, 234 : S. BERNARD.
Différence du baptême et de la confirmation
– L’évêque, ministre de ce sacrement – Ne pas le différer,
234 : S. PIERRE DAMIEN.
Onction du chrême – Le droit de confirmer
est réservé aux seuls pontifes, 234-235 : S. ISIDORE.
Pourquoi l’onction faite sur le front par l’évêque,
et sur le sommet de la tête par le prêtre – Matière
de ce sacrement – Ce que l’huile signifie, 235-236 : RABAN.
Question II. Comment prouver que la confirmation est un
sacrement, 237-242.
Par la confirmation le chrétien devient
l’oint de Dieu, 238 : S. CYPRIEN.
Les sacrements sont toujours saints, quelque soit
les ministres qui les confèrent, 238-259 : S. AUGUSTIN.
L’évêque impose les mains aux enfants
pour qu’ils reçoivent le Saint-Esprit, 239-240 : S. AUGUSTIN et
S. CYPRIEN.
L’évêque est le ministre de la confirmation,
240 : S. JEROME.
Question III. Quelles sont les choses requises pour le
sacrement de confirmation, 242-247.
Baume bénit, 243 : le deuxième concile
de BRAGUE.
Baume mêlé à l’huile pour la
confection du chrême, 244 : S. GREGOIRE.
La matière de la confirmation est le chrême
bénit par l’évêque, 245 : le concile de FLORENCE.
Quoique le signe soit fait sur le corps, c’est
dans l’âme qu’il imprime sont caractère, 246 : S. AMBROISE.
C’est un droit réservé aux seuls
évêques que celui de bénir le chrême et d’en
faire l’onction sur le front, 246 : S. LEON.
Le ministre ordinaire de ce sacrement, c’est l’évêque,
246 : le concile de FLORENCE et celui de TRENTE.
Les prêtres ne doivent pas servir d’autres
chrême que celui qui a été consacré par l’évêque,
ni se permettre de faire aucune onction sur le front, 247 : S. INNOCENT
I.
Question IV. Pourquoi fait-on aux baptisés l’onction
du saint chrême, 248-254.
L’évêque se sert du chrême dans
presque toutes les cérémonies pontificales, 249-250 : S.
DENIS l’Aréopagite.
L’action de l’évêque nécessaire
pour que quelqu’un reçoive le Saint-Esprit, 230 : S. CORNEILLE.
Les novatiens ne donnaient pas le saint chrême
à ceux qu’ils baptisaient, 250 : THEODORET.
Après que nous sommes sortis des eaux du
baptême, on nous a donné le chrême – L’huile, une fois
consacré, n’est plus simplement de l’huile, mais elle est la grâce
même de Jésus-Christ, 251 : S. CYRILLE de Jérusalem.
L’onction de la grâce figurée par
l’huile et le baume, 251-252 : S. AUGUSTIN.
Le chrême nous communique le Saint-Esprit,
252 : S. PACIEN.
Nous sommes oints pour être mis en état
de lutter contre le démon, 253 : S. AUGUSTIN.
Vase contenant le saint chrême miraculeusement
conservé, 254 : S. OPTAT.
Défense aux prêtres de faire le chrême,
254 : le deuxième et le troisième concile de CARTHAGE.
Ils le demanderont à l’évêque
diocésain, 254 : le quatrième concile de CARTHAGE, le premier
de TOLEDE et le premier de VAISON.
Vertus du saint chrême, 254 : le concile
de TRENTE.
Question V. Quels sont les avantages comme les effets
du sacrement de confirmation, 255-261.
L’effet de ce sacrement est de fortifier notre
âme – Pourquoi l’onction se fait au front, 259 : le concile de FLORENCE.
Le chrétien une fois confirmé n’a
point d’autre Esprit-Saint à recevoir, 259 : PIERRE le Vénérable.
Dons du Saint-Esprit conférés, 260
: S. AMBROISE.
L’onction du saint-chrême donne la perfection
au sacrement de baptême, 261 : S. DENIS l’Aréopagite.
Pourquoi le signe de croix imprimé sur le
front, 261 : S. AUGUSTIN.
Article III : Du sacrement de l’Eucharistie, 262.
Question I. Que signifie ce nom d’Eucharistie, 262-274.
C’est le sacrement des sacrements, 262 : S. DENIS
l’Aréopagite.
Le Sauveur y a renfermé le souvenir de toutes
ses merveilles – Une nourriture spirituelle – Un antidote – Le gage de
notre gloire à venir – Un symbole d’unité, 265 : le concile
de TRENTE.
Symbole d’actions de grâces, 264 : ORIGENE.
Nous y voyons Jésus-Christ, nous le touchons,
nous le mangeons même – Il nous y nourrit de son propre sang – Désir
que ce sacrement doit allumer en nous, 264-266 : S. CRYSOSTOME.
Nous y devenons un même corps avec Jésus-Christ
– Excellence de ce sacrifice – C’est le même corps de Jésus-Christ
qui est maintenant dans le ciel, 266-268 : S. CRYSOSTOME.
Ce sacrement l’emporte sur la manne dont se nourrissaient
les Hébreux – Nous y recevons le Fils de Dieu lui-même – Nous
nous y trouvons unis à lui selon la chair - Nous y devenons un même
corps avec lui, 268-273 : S. CYRILLE d’Alexandrie.
Il y demeure en nous quant à sa nature même,
275 : S. HILAIRE.
Le pain qui nous y est donné est son corps,
275-274 : S. IRENEE.
Sous l’espèce du pain, on vous donne le
corps, et sous l’espèce du vin on vous donne et sang, 274 : S. CYRILLE
de Jérusalem.
Question II. Que contient en particulier ce sacrement,
275-284.
Recevons avec une entière certitude le corps
et le sang de Jésus-Christ – Quoi que les sens puissent vous suggérer
là-dessus, consultez simplement votre foi, 276 : S. CYRILLE de Jérusalem.
Ce n’est pas du pain qui soit la figure du corps
de Jésus-Christ, mais il est changé dans ce corps même
– Si l’on ne voit pas sa chair, c’est pour ménager notre délicatesse,
277-278 : THEOPHYLACTE.
Les paroles de bénédiction une fois
prononcées conservent toujours leur effet, 278 : S. CYRILLE d’Alexandrie.
Le pain se change dans le corps de Jésus-Christ,
et le vin dans son sang, par l’effet des paroles de la consécration,
278-279 : S. AMBROISE.
Efficacité de la parole de Dieu – Pourquoi
les symboles du pain et du vin – Sacrifice de Melchisédech – Comment
saint Basile a pu dire que le pain et le vin sont la figure du corps et
du sang de Jésus-Christ. – Noms divers de l’Eucharistie, 279-283
: S. DAMASCENE.
Autre chose est le sacrement, autre chose est sa
vertu, 284 : S. DAMASCENE
Question III. Quelles sont les choses dont on doit principalement être instruit au sujet de ce sacrement, 284.
Question IV. Que faut-il penser de la vérité
de l’Eucharistie ou de la présence réelle, 284-325.
En quel sens grossier les Capharnaïtes prirent
les paroles de Jésus-Christ, 287-288 : S. CYRILLE d’Alexandrie,
S. AUGUSTIN et S. CYPRIEN.
Bien loin d’être dures, ces paroles sont
pleines de douceur – Elles ne sont pas non plus contraires à la
raison – Pourquoi les espèces du pain et du vin – L’Eucharistie
nous est donnée à adorer, à manger et à boire
– L’hérésie des sacramentaires confondue plus de mille ans
d’avance – De quelle manière la chair de Jésus-Christ nous
est donnée à manger, 288-291 : PIERRE le Vénérable.
L’Eucharistie n’est pas simplement l’image de Jésus-Christ
– Le nom d’antitype lui convient-il, 292 : le deuxième concile de
NICEE.
Transsubstantiation – Les prêtres seuls peuvent
consacrer, 293 : le quatrième concile de LATRAN.
Les accidents demeurent dans l’Eucharistie sans
leur sujet, 293 : le concile de CONSTANCE.
Jésus-Christ est contenu tout entier sous
chaque partie de chaque espèce – Il est dans le ciel et sur l’autel
à la fois – Les paroles de Jésus-Christ ont été
entendues par les Pères dans leur signification propre – Transsubstantiation
et concomitance, 293-294 : le concile de TRENTE.
L’Eucharistie est la chair de Jésus-Christ,
295 : S. IGNACE.
Notre chair se nourrit du corps et du sang de Jésus-Christ
– C’est lui que nous adorons et que nous touchons dans l’Eucharistie, 295
: TERTULLIEN.
Donner la communion à des indignes, c’est
livrer Jésus- Christ à la profanation de leurs lèvres,
296 : S. CYPRIEN.
L’intelligence du mystère de la présence
réelle figurée par la cinquième partie qu’il était
prescrit d’ajouter dans les anciens sacrifices, 297 : HESYCHIUS.
Qu’est-ce qu’un autel, que le lieu où reposent
le corps et le sang de Jésus-Christ, 298-299 : S. OPTAT.
µ
Au sang des animaux est substitué le sang
de la nouvelle victime – Les enfants eux-mêmes confessent la vérité
du corps et du sang de Jésus-Christ, 300-301 : S. LEON.
Après la consécration, c’est le corps
et le sang de Jésus-Christ – Ces mêmes signes sont devenus
réellement ce qui est l’objet de notre foi, 301-302 : THEODORET.
Recevez les mystères sans tâche de
Jésus-Christ, en croyant d’une foi ferme que c’est le corps et la
sang de notre Dieu – Le pain consacré par des pécheurs n’en
devient pas moins le corps de Jésus-Christ, 302-303 : S. DAMASCENE.
Avant les paroles de la consécration, c’est
un pain commun ; après la consécration, ce n’est plus du
pain, c’est la chair de Jésus-Christ – C’est la parole de Jésus-Christ
qui opère ce sacrement, la même qui a fait toutes choses –
qui a rendu une vierge féconde – qui a partagé les eaux de
la mer Rouge – qui a changé des eaux amères en une fontaine
d’eau douce – qui a fait surnagé le fer sur l’eau – Parole du canon
– Ce que la langue confesse, ce que le cœur ratifie, 303-305 : S. AMBROISE.
Rien n’est impossible à Dieu – Demander
à Dieu le comment, c’est dire une parole judaïque – c’est se
rendre digne du dernier supplice – Il faudrait aussi demander le comment
de tous les miracles rapportés, dans la Bible, 305-307 : S. CYRILLE
d’Alexandrie.
Pétrobruisiens, devanciers des sacramentaires
– Nier la présence réelle, c’est vouloir enlever Jésus-Christ
à son Eglise – Ecrivains ecclésiastiques qui ont soutenu
le dogme de la présence réelle – Objection de Bérenger
– Jésus-Christ a voulu et a pu faire que le pain fut changé
en son corps, et le vin en son sang, 307-309 : PIERRE le Vénérable.
Offrande du saint sacrifice – Action de grâces
– Communion portée aux absents – Pourquoi elle est appelée
eucharistie – Ce n’est pas un pain commun – c’est la chair et le sang de
Jésus-Christ – Pourquoi choisir le dimanche pour l’assemblée
des chrétiens,
p.514 début
dimanche pour l'assemblée des chrétiens, p.309-311 : S. JUSTIN. - Oblation du Nouveau-Testament - Le corps et le sang de Jésus-Christ aliment de notre propre chair - L'Eucharistie composée de deux éléments, l'un terrestre et l'autre céleste, p.311-312 : S. IRENEE. - Il n'y a plus moyen de douter de la présence réelle du corps et du sang de Jésus-Christ, p. 313: S. HILAIRE. - La chair du Verbe de Dieu nous est donnée en toute réalité, p.313-314 : ORIGENE. -Ne pas trop différer de recevoir le corps et le sang de Jésus-Christ, ni le recevoir non plus témérairement, p.314 : le deuxième concile de CHALON-SUR-SAONE. - LEucharistie, principe de notre résurrection future, p.314-315 : S. CYRILLE d'Alexandrie. -Le Testament de Jésus-Christ n'a pas été que d'un jour - C'est son corps qu'il nous donne, et non celui d'un autre - Pourquoi il lappelle la chair du fils de lhomme, p.315-316 : PIERRE le Vénérable. - Forme ronde des espèces eucharistiques - Refuser de croire sur l'Eucharistie ce qu'en a dit Jésus-Christ, c'est se mettre hors de la voie du salut, p.316-317 : S. EPIPHANE et S. CYRILLE de Jérusalem. - Nous devons nous approcher de la sainte table sans former de doute sur la vérité du corps et du sang de Jésus-Christ, p.317 : S. LEON.- Jésus-Christ nous a promis d'être avec nous jusqu'à la fin des siècles d'une présence même corporelle, p.317 : le concile de VIENNE-. Jésus-Christ nous donne à manger cette même chair dont il était revêtu pour converser avec nous - Personne ne s'en nourrit qu'on ne l'ait auparavant adorée - Jésus-Christ se portait lui-même dans ses mains à la dernière cène, p.318 : S. AUGUSTIN. - Le corps que nous recevons en communiant est le même qui a été mis en croix - Pour nous exciter à l'aimer davantage, Jésus-Christ a voulu nous nourrir de sa chair même, p.319-320 : S. CHRYSOSTOME. - Paroles de saint André, p.320 : les prêtres d'ACHAIE.- Principe de lhérésie de Bérenger - Conciles de Verceil - de Tours - de Rome - Rétractations de Bérenger - Son inconstance, p.321-323 : GUITMOND, LA NFRANC et THOMAS WALDENSIS. - Décret des conciles de CONSTANCE et de TRENTE, p.323.
Question V. Que faut-il croire au sujet de la transsubstantiation, p.325-345.
Les prêtres seuls ont le pouvoir de consacrer, p.327-328 : le grand concile de LATRAN, S. CHRYSOSTOME, S. JEROME, S. JUSTIN, S. IRENEE, S. AMBROISE. - Ce sacrement ne peut exister qu'en vertu des paroles de Jésus-Christ, p.329-331 : BESSARION. - Le pain devient le corps du Verbe parce qu'il est transsubstantié, p.331 : S. GREGOIRE de Nysse. - L'invocation faite, le pain devient le corps de Jésus-Christ et le vin devient son sang, p.333 : S. CYRILLE de Jérusalem. - C'est Notre-Seigneur qui opère dans ce mystère tout le changement, p.333-334 : S. CHRYSOSTOME. - Le pain et le vin sont changés merveilleusement au corps et au sang de Jésus-Christ et ne font plus deux substances, mais une seule, p.334 : S. DAMASCENE. - Exemples de transsubstantiations naturelles - Il faut beaucoup plus de puissance pour créer ce qui n'était pas, que pour opérer un changement dans ce qui était déjà, p.334-338 : PIERRE le Vénérable. - Le pain transsubstantié au corps de Jésus-Christ, p.338 : conciles de LATRAN et de TRENTE. - Changement substantiel, p.338 : concile de ROME.- La substance du pain matériel ne demeure plus dans le sacrement après la consécration - Les accidents demeurent sans sujet dans le sacrement, p.338 : concile de CONSTANCE.- La substance du pain changée en celle du corps de
p.514 fin
p.515 début
Jésus-Christ, 539 : concile de FLORENCE. - Nature de ce changement, p.339 : LANFRANC. - La manne tombait du ciel, le corps de Jésus-Christ est au-dessus du ciel - Les Juifs ne possédaient que l'ombre, et nous, nous possédons la réalité - Exemples de changements - Ce sont les paroles de Jésus-Christ qui opèrent dans ce sacrement - Le corps que nous produisons sur l'autel est ce même corps qui est né d'une vierge - Avant la consécration c'est une autre substance ; après la consécration c'est le corps de Jésus-Christ, p.339-341 : S. AMBROISE. - Le pain transsubstantié - Le Verbe rend tous les fidèles participants de sa chair en s'unissant à leurs corps, p.342-343 : S. GREGOIRE de Nysse. - Absurdité de l'impanation, p.343-345 : GUITMOND.
Question VI. Le sacrement de l'Eucharistie doit-il être pour nous un objet de culte et d'adoration, p.345-360.
En quel sens nous adorons lescabeau des pieds de Dieu - Non-seulement nous ne péchons pas en l'adorant, mais nous pécherions en ne l'adorant pas, p.347-348 : S. AUGUSTIN. - S. AMBROISE. - Culte de Latrie dû à l'Eucharistie - Fête du saint-sacrement, p.349 : concile de TRENTE. - Il est évident qu'on doit adorer la chair de Jésus-Christ dans l'Eucharistie, p.349-350 : PIERRE le Vénérable. - Ce pain de vie produit l'immortalité, p.350 : EUSEBE. - Les riches mangent et adorent, mais sans être rassasiés, p.351 : S. AUGUSTIN. - C'est ce corps qu'ont révéré les mages, p.352-353 : S. CHRYSOSTOME. - Les anges entourent l'autel, p.356-358 : le même. - Les anges aident les prêtres dans la distribution de l'Eucharistie, p.358 : S. NIL. - Sainte Gorgonie recouvre la santé en s'approchant de l'autel, p.359 : S. GREGOIR de Nazianze.
Question VII. Que faut-il croire au sujet du sacrifice de l'autel, p.360-429.
Ordre du saint sacrifice dans les temps apostoliques - Consécration et élévation, p.366-367 : S. DENIS l'Aréopagite. - Pour remplir les fonctions du sacerdoce, il faut avoir sa conscience exempte de péché -Le sacrifice du corps du Seigneur surpasse incomparablement ceux de béliers et de taureaux, p.368-369 : S. BASILE. - La participation au sacrifice n'exclut pas l'accomplissement des autres devoirs, p.369 : TERTULLIEN. - Jésus-Christ immolé tous les jours - Le saint sacrifice célébré sur les tombeaux des martyrs - Jésus-Christ immolé figurément dans les sacrifices anciens, réellement au moment de sa passion, commémorativement au moyen du sacrement de l'autel, p.369-370 : S. AUGUSTIN. - Ce sacrifice n'est pas offert au Père seulement, p.370-371 : S. FULGENCE. - Désir de saint Maris - Mains de diacres servant d'autel, p.371-372 : THEODORET. - Sacrifice non-sanglant, p.372 : S. DAMASCENE. - L'Eglise ne peut exister sans sacrifice - Le sacrifice est le principal acte du culte divin - le signe auquel Dieu discerne ceux qui le servent d'avec ceux qui ne le servent pas - Jamais le monde n'a été sans sacrifices, p.373-375 : PIERRE le Vénérable. - Nous offrons tous les jours Jésus-Christ par la commémoration de sa mort - C'est toujours le même agneau, toujours le même sacrifice - Motif pressant de bâtir des églises dans les campagnes, p.375-376 : S. CHRYSOSTOME. - Effets du saint sacrifice pour le salut des navigateurs, p.377-378 : S. GREGOIRE. - Le saint sacrifice rompt les liens des péchés légers figurés par les chaînes des captifs, p.378-380 : BEDE.- Oblation usité sous le Nouveau-Testament, p.381 : S. IRENEE. - Sacrifice pour les morts, p.381-382 : S. CHRYSOSTOME, S. DAMASCENE. - Le mystère de la
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nouvelle alliance célébré chez toutes les nations, p.382-383 : EUSEBE. - Pourquoi Jésus-Christ a offert son sacrifice le soir, et pourquoi nous l'offrons le matin, p.383 : S. CYPRIEN-. Jésus-Christ recevant et offrant à la fois le sacrifice - Il a institué au moyen de son corps et de son sang, le sacrifice selon l'ordre de Melchisédech, p.384 : S. AUGUSTIN. - Jésus-Christ but lui-même le premier son sang - Nous prouvons par nos mystères eux-mêmes que le Christ a été immolé - Dieu voulait bien avoir pour agréable la même espèce de sang que les hommes offraient aux idoles, afin de les éloigner des idoles mêmes - Il veut être immolé lui-même à la place des animaux sans raison - Il consent à être mis comme par morceaux, afin de nous rassasier tous, p.384-386 : S. CHRYSOSTOME. - Les hérétiques nenvient aux fidèles le corps et le sang du Rédempteur - Les paroles : Faites ceci en mémoire de moi, prouvent que c'est un présent fait à tous les fidèles jusqu'à la consommation des siècles, p.387-388 : PIERRE le Vénérable. - Les anciens sacrifices étaient autant de figures des nôtres, p.388 : S. AUGUSTIN. - Le sacrifice des chrétiens sera aboli par l'Antéchrist, p.389-390 : S. CHRYSOSTOME. - L'eau doit être mêlée au vin dans le calice - L'Ecriture nous montre dans le grand-prêtre Melchisédech limage de lauguste sacrifice, p.390-391 : S. CYPRIEN. - Notre Sauveur accomplit encore aujourd'hui, par ses ministres, les rites du sacrifice selon lordre de Melchisédech, p.391 : EUSEBE. - Melchisédech figura le Christ - Le sacrifice du pain et du vin plus pur que les sacrifices sanglants, p.391-392 : S. JEROME. - Jésus-Christ institua avec son corps et son sang le sacrifice selon l'ordre de Melchisédech, p.392 : S. AUGUSTIN. - Le pain et le vin offerts par Melchisédech - Symboles mystérieux auxquels font allusion ces paroles : Je suis le pain vivant, p.392-393 : S. EPIPHANE. - Les sacrifices de l'ancienne loi n'étaient que des ombres de celui qui devait s'offrir un jour, p.393-394 : S. AUGUSTIN. - Le sacrifice chrétien est unique pour toute la terre - Il purifie, sanctifie et rend parfaits ceux qui l'offrent - Ce que Jésus-Christ a offert une fois, il a chargé son Eglise de loffrir de même dans tous les temps, p.394 : PIERRE le Vénérable. - Notre-Seigneur a enseigné à son Eglise à offrir chaque jour le même sacrifice par toute la terre - Il est naturel que ceux qui nient la résurrection, nient aussi la présence réelle, p.395-396 : S. IRENEE. - On peut reconnaître chez les chrétiens diverses espèces de sacrifices, p.396 :
S. CHRYSOSTOME. - Le sacrifice chrétien prédit par Malachie, p.397 : S. AUGUSTIN. -Les diacres n'ont pas le pouvoir d'offrir le saint sacrifice, p.398 : le premier concile de NICEE. - Jésus-Christ, dans la dernière cène, s'est déclaré prêtre établi pour l'éternité, selon l'ordre de Melchisédech - La messe est un sacrifice véritable et proprement dit - Les apôtres ont été établis prêtres, p.398-400 : le concile de TRENTE. - Ancienneté du nom de messe et origine de ce mot, p.402-404 : deuxième concile de CARTHAGE, concile dAGDE, S. AMBROISE, S. AUGUSTIN, concile de MILEVE, quatrième de CARTHAGE. - Le saint sacrifice peut être célébré plusieurs fois de suite, p.404 : S. LEON. - Pourquoi l'Eglise a institué des cérémonies, p.405 : le concile de TRENTE. - On fait usage de vases propres pour nous avertir de tenir nos âmes plus pures encore, p.406 : S. CHRYSOSTOME. - Usage d'étendre des linges sur l'autel, p.407 : S. OPTAT. - Vénération que méritent les vases sacrés, p.407-408 : S. JEROME. - Antiquité des prières de la préface - Mémoire des saints, des défunts -Utilité qui en revient -
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La messe est un sacrifice de propitiation, p.408-409 : S. CYRILLE. - Envoi que fit saint Grégoire-le-Grand en Angleterre d'ustensiles nécessaires au culte - Pallium, p.410 : le V. BEDE. - Pour quels morts le saint sacrifice ne doit pas être offert, p.410-411 : S. CYPRIEN. - Les morts sont aidés par nos oblations - Il doit leur revenir quelque consolation des sacrifices que nous offrons pour eux - Le saint sacrifice suffit pour expier les péchés de tout l'univers, p.411-412 : S. CHRYSOSTOME. - Ce sont les apôtres qui ont établi qu'on ferait mémoire des fidèles morts en célébrant les divins mystères - Témoignage de saint Athanase en faveur de l'usage de faire brûler l'huile et la cire auprès des tombeaux - L'usage de célébrer des anniversaires pour les défunts remonte aux temps apostoliques, p.412-415 :
S. DAMASCENE. - Ne doutons pas que les âmes des morts ne reçoivent du soulagement de nos prières et de nos sacrifices - Sainte Monique demande à ses deux fils qu'ils se souviennent d'elle, après sa mort, à l'autel du Seigneur, p.414 : S. AUGUSTIN. - Réponse aux arguments d'Aërius - Autorité de la tradition, p.415-416 : S. EPIPHANE. - Le sacrifice de la messe est propitiatoire pour les vivants, p.417 : S. BASILE. - Pourquoi il est offert, p.417-418 : S. CHRYSOSTOME, S. JEROME, S. AMBROISE. - Le sacrifice non-sanglant nous communique les fruits de la passion de Jésus-Christ, et nous associe à sa divinité, p.419 : S. GREGOIRE de Nazianze. - Efficacité merveilleuse du saint sacrifice pour la rupture des liens d'un captif, p.419 : S. GREGOIRE-LE-GRAND. - Fruits du sacrifice de la messe, p.421 : le concile de TRENTE. - Sacrifice non-sanglant, p.421-422 : S. GREGOIRE de Nazianze. - Jésus-Christ en même temps prêtre et victime - Lorsqu'il se donna en aliment à ses apôtres, il était déjà mystiquement immolé - Il s'offrit comme un agneau pour le salut de tout le genre humain, p.422-423 : S. GREGOIRE de Nysse. - Quel est le sacrifice non-sanglant qui s'offre dans toutes les églises, p.423-424 : S. CYRILLE d'Alexandrie. - Sacrifice offert par Jésus-Christ dans la dernière cène selon l'ordre de Melchisédech, p.424 : S. JEROME. - Ce sacrifice continue à s'offrir par les mains des prêtres, p.424 : OECUMEMENIUS. - Jésus-Christ est immolé tous les jours, p.425 : S. AUGUSTIN, THEOPHYLACTE. - L'unité du sacrifice n'en est point altéré - Multiplicité des sacrifices anciens, p.426 : THEOPHYLACTE. - Le sacrifice de l'autel n'est point, superflu - Pourquoi il se réitère tous les jours - L'Eucharistie opère ce qu'elle signifie - Elle renouvelle les effets de la rédemption et produit la rémission des péchés - L'esprit de l'homme est plus vivement ému à la vue des symboles eucharistiques qu'au simple récit de ce que Jésus-Christ a souffert, p.427-429 : PIERRR le Vénérable.
Question VIII. Doit-on recevoir l'Eucharistie sous une espèce seulement, telle que celle du pain, ou bien doit-on la recevoir sous les deux espèces du pain et du vin, p.429-458 ?
Autrefois on communiait dans les maisons particulières sous la seule espèce du pain, p.437-438 : TERTULLIEN, S. CYPRIEN, ORIGENE, S. BASILE. - Qu'on reçoive une simple parcelle ou plusieurs, la vertu en est la même, p.438 : S. BASILE. - Communion journalière pratiquée à Rome, p.438-439 : S. JEROME. - Miracle opéré sur une ruche d'abeilles, p.439-440 : PIERRE le Vénérable. - Preuve par le sixième chapitre de lEvangile de S. Jean qu'il suffit de la communion sous une seule espèce, p.440 : le concile de TRENTE. - Ce qu'il faut entendre par la fraction du pain, p.440-441 :
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S. AUGUSTIN. - Il y eut communion à Emmaüs et de même sur le navire où était saint Paul avec quelques disciples, p.441 : S. CHRYSOSTOME. - C'était le dimanche que les apôtres célébraient lEucharistie, p.441-442 : HESYCHIUS. - Communion à Emmaüs, p.442 : THEOPHYLACTE. - Usage de porter la communion aux mourants - Communion de Sérapion, p.443-444 : EUSEBE. - Soin qu'on prenait de ne rien laisser perdre de lEucharistie, et de la conserver dans des linges, p.444 : S. AUGUSTIN. - On emportait lEucharistie avec soi dans les voyages sur mer, p.444-445 : S. AMBROISE. - S. Ambroise reçoit le corps de Notre-Seigneur en viatique, p.445 : S. PAULIN. - Eucharistie mise en réserve, p.445 : S. AMPHILOQUE. - Eucharistie apportée à des mourants, p.446 : BEDE. - L'abbé Siméon communie sous une seule espèce, p.446-447 : THEODORET. - Histoire d'un enfant juif de Constantinople, p.447-448 : EVAGRE. - Miracle arrivé à Riom, p.448 : S. GREGOIRE de Tours. - Communion sous la seule espèce du pain des le temps de saint Bernard, p.448-449 : GUILLAUME de Saint-Thierry. - Loi établie dans lEglise de communier sous la seule espèce du pain, p.449 : le concile de TRENTE. - LEucharistie mise en réserve pour d'autres jours - Vertu attachée aux moindres parcelles eucharistiques, p.450 : S. CYRILLE d'Alexandrie. - Jésus-Christ est contenu tout entier sous chaque partie d'une hostie, p.450 : le concile de FLORENCE. - Il n'est pas moins entier dans la plus petite partie que dans l'hostie entière, p.450-451 : EUSEBE dEmèse. - Chaque espèce ne contient pas moins que les deux ensemble, p.451 : le concile de TRENTE. - Il y a folie à mettre en question s'il est permis de faire ce qu'on voit pratiqué par l'Eglise entière, p.452 : S. AUGUSTIN. - On doit considérer comme une loi l'usage de ne communier que sous l'espèce du pain - Enseigner le contraire, c'est se rendre punissable, p.451-452 : le concile de CONSTANCE. - Ceux qui ne consacrent pas eux-mêmes ne sont point tenus de communier sous les deux espèces, p.455-456 : les conciles de BALE et de TRENTE. - C'est obéir à l'Ecriture que de se conformer à une pratique que suit toute lEglise - Rompre l'unité c'est se séparer de l'Eglise, p.456-457 : S. AUGUSTIN.
Question IX. Quels sont les fruits d'une communion bien faite, p.458-479.
La communion nous rappelle le sacrifice que Jésus-Christ a fait de sa vie pour nous, p.461-462 : S. BASILE. - Sainte ivresse que cause l'Eucharistie, p.462 : S. AMBROISE. - L'Eucharistie est un témoignage de l'amour divin, un mémorial de la passion de Notre-Seigneur, un aliment spirituel, un gage de la gloire à venir, un symbole dunité, p.462 : le concile de TRENTE. - Le corps de Jésus-Christ a une vertu vivifiante, p.463-464 : S. CYRILLE dAlexandrie. - Autres effets de l'Eucharistie, p.464-465 : le concile de FLORENCE. - Par la communion nous sommes changés en Jésus-Christ même, p.465 : S. LEON. - L'Eucharistie est un antidote - Elle communique lincorruptibilité, p.465-466 : S. GREGOIRE de Nysse. - Elle est un viatique pour les mourants, p.466 : le premier concile de NICEE. - Saint Lucien, martyr, célébrant les saints mystères dans sa prison - Apparition de saint Pierre et de saint Jean à saint Chrysostôme, p.467-468 : NICEPHORE. - L'empereur Philippique se munit de la communion avant d'aller subir sa sentence de mort - Théodose, fils de l'empereur Maurice, fait de même, p.468 : GEORGE CEDRENUS. - Sainte Romule demande le viatique au lit de la mort, p.469 : S. GREGOIRE. - L'Eucharistie ralentit les mouvements de la concupiscence, p.469-470 : S. BERNARD. - Elle chasse les
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maladies, elle fortifie la piété, p.470 : S. CYRILLE d'Alexandrie. - Stratagèmes dont use le démon pour empêcher les communions fréquentes, p.471-472 : CASSIEN.- La communion fait de la terre un paradis, p.472 : S. CHRYSOSTOME. - Autres exhortations à la fréquente communion, p.473-477 : PIERRE le Vénérable, S. BASILE, S. AMBROISE, S. CHRYSOSTOME. - Quel malheur ce serait d'être éloigné de la communion, p.477-478 :
RUFFIN. - Communion de tous les jours usitée à Rome et en Espagne, p.478 : S. JEROME. - Raisons de désirer la communion fréquente, p.478 : CASSIEN.
Question X. Dispositions requises pour communier dignement et avec fruit, p.479-500.
Nécessité de l'examen de conscience, p.481 : THEOPHYLACTE. - De la confession, p.481 : S. ANSELME. - De la pénitence, p.481-482 : S. GREGOIRE-LE-GRAND, S. GREGOIRE de Nysse, S. AUGUSTIN. - Nécessité de la foi, p.482-483 : S. BASILE. -A quoi on s'expose en communiant indignement, p.483-485 : S. BASILE. - Témérité de ceux qui communient sans avoir expié auparavant leurs péchés, p.485-486 : S. CYPRIEN. - Ce qu'il faut entendre par l'épreuve que prescrit l'apôtre - Nécessité de la confession, p.486-487 : le concile de TRENTE, HESYCHIUS, S. CHRYSOSTOME. - Miracle qui fait rentrer en lui-même un mauvais prêtre - Autre miracle qui convertit également un jeune homme de murs dissolues -Autre en faveur d'un moine, p.487-491 : PIERRE le Vénérable- Désir de la communion, p.491-492 : S. CHRYSOSTOME. - Pureté intérieure et extérieure, p.493-495 : S. AUGUSTIN, CASSIEN. - Humilité, p.493 : ORIGENE, CASSIEN. - Châtiment réservé à ceux qui communient avec une conscience coupable, p.495-496 : S. CHRYSOSTOME. - Ceux qui communient indignement imitent Judas, p.496 : THEODORET. - Explication des paroles de saint Paul au sujet de la communion indigne - Impénitence finale d'un prêtre qui s'était fait une habitude de dire la messe en état de péché mortel, p.497-500 : PIERRE le
Vénérable.
FIN DE LA TABLE DU TOME DEUXIEME.