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Sagesse Sexuelle Catholique - éthique Sexuelle Catholique
Discernement des Vocations Sacerdotales
Quelles Aptitudes sexuelles faut-il pour devenir prêtre ?




L’église catholique  précise dans plusieurs documents quels sont  les critères permettant de juger de la réalité d’une vocation sacerdotale d'un point de vue sexuel.

Ces documents de l'Eglise sont les suivants :

Instruction Quam ingens de la Sacrée Congrégation des Sacrements datée du 27 décembre 1930,
sur « L'examen des jeunes gens avant leur admission aux ordres »

Pie XI - Instruction de la Sacrée Congrégation des Religieux aux « Supérieurs Généraux des Instituts religieux et des Sociétés de Prêtres, sur la formation cléricale et religieuse des vocations sacerdotales et sur l'examen qui doit précéder les ordinations » 1er décembre 1931

Pie XI, encyclique Ad Catholici Sacerdotii, du 20 décembre 1935

Pie XII, exhortation apostolique Menti Nostrae, au clergé du monde, du 23 septembre 1950

Pie XII, encyclique Sacra Virginitas du 25 mars 1954

Instruction Magna equidem de la Sacrée Congrégation des Sacrements datée du 27 décembre 1955, à l’occasion du 25ème anniversaire de la première instruction, sous forme de circulaire aux «Excellentissimes Ordinaires des lieux à qui incombe le devoir de faire enquête des candidats avant leur promotion aux ordres »
 

La vocation sacerdotale, quel que soit d'ailleurs l'office concret réservé à un individu, reste très exigeante et seuls les types parvenus à une maturation psychique convenable peuvent en assumer les responsabilités sans inconvénients graves pour eux-mêmes et pour l'eglise. N'y aurait-il que les renoncements exigés par la chasteté, la vocation sacerdotale exigerait énormément du psychisme humain. Aussi l'instrution Magna equidem, de la Sacrée Congrégation des Sacrements,s'est-elle montrée très formelle là-dessus:

Quant à la probation de la vertu de chasteté chez les séminaristes, qu'on retienne le principe général: "Un séminariste peut rester chaste et pur s'il est physiquement et psychiquement normal; donc il doit être tel pour pouvoir répondre à la grâce divine de la vocation avec la plénitude de ses forces dans l'ordre physique et psychique; bref, le candidat aux ordres a nécessairement besoin de la santé de l'âme et du corps"

Le texte officiel se lit comme suit: « Quoad probationem virtutis castitatis m seminariorum alumnis istud habeatur « generale principium » : alumnum castum ac purum bene passe exstare si physice et psychice normalis sit: ideoque talis ut respondere queat divinae gratiae vocationis cum plenitudine virium suarum in ordine physico et psychico ut paucis dicam, candidatus ad ordines necessario indiget sanitate animi
et corporis " (Ad Catholici Sacerdotii (1935), A.A.S., XXVIII (1936), , p. 8

5 recommandations de l'Eglise catholique romaine concernant la situation sexuelle et affective des séminaristes qui se préparent à devenir prêtre:

Recommandation N°1 avoir connu au moins un an sans masturbation avant de commencer la théologie (= la 4ème année de séminaire)
(à plus forte raison tous types de relations sexuelles sont également prohibées)

Le problème de la chasteté doit être réglé au moins un an avant le commencement des études théologiques; il est nécessaire que le candidat ait déjà acquis 1'habitude de la chasteté (la preuve d'une chasteté éprouvée par l'expérience requiert une année de probation). Si après des épreuves répétées le doute persiste au sujet de la vocation, il faut écarter ce candidat du sacerdoce.
Magna equidem (1955), p.9

Le texte officiel latin est le suivant: « Castitatis problema "de more" oportet ut resolutum sit anno saltem theologica studia praecedente : necesse est ut alumnus « habitum castitatis » jam acquisierit «probatam castitatem experiendo ostendam », quae nempe probationem requirit circiter unius anni). Si post repetitas probation es dubium adhuc supersit de vocatione, reiciendus est alumnus a sacerdotio " (Magna equidem (1955), p.9

Nous croyons que si l'on observait davantage cette recommandation, on éviterait bien des difficultés au candidat, surtout en ce qui concerne ses chances de succès dans la vie, avant qu'il ne soit trop avancé en âge. Il arrive trop souvent encore, à notre avis, que certains sujets, doués par ailleurs
de qualités exceptionnelles d'intelligence, ou même de qualités authentiquement surnaturelles, soient persuadés que toutes les difficultés se régleront une fois engagé dans la voie du sacerdoce.
On peut avoir une foi magique et cruelle dans le surnaturel. On dira par exemple, "avancez; comptez sur la grâce; vous ne serez pas tenté au-dessus de vos forces" ou eneore : « tout rentrera dans l'ordre une fois engagé ». L'enseignement de l'Eglise est beaucoup plus réaliste et nuancé.

L'expérience prouve, par ailleurs, que si l'on conseille à de tels sujets de se diriger ailleurs, leurs difficultés sexuelles cessent ou à peu près si du moins on ne crée pas chez eux une fausse culpabilité.

Recommandation N°2

Quand s'est élevée ou s'est prolongée une période de crises, dépendant de l'âge ou de conditions particulières de tempérament (retard de crises), et que le jeune homme a paru doué d'une piété sincère et d'une vertu solide, on pourrait prolonger la période de probation pendant une autre année, de façon que le jugement définitif puisse être arrêté au dedans de la première année de théologie (de préférence avant la réception de la tonsure). Que l'on retienne cependant que la réadmission à la probation est un expédient exceptionnel. De façon générale, ceux dont la persévérance dans la pureté n'apparait pas certaine au commencement de la théologie doivent être renvoyés.

Ce texte est tiré des Directives de la Sacrée Congrégation des Séminaires et Universités, du 1er juillet 1955, et reproduites en appendice, dans le volume du IIe Congrès des directeurs spirituels des séminaires d'Italie. Ce volume a été édité, en 1956, aux Presses Vaticanes, sous le titre La Dire-
zione Spirituale nei Seminari. Le texte original se lit comme suit:
« Quando si verificasse o si prolungasse un periodo di crisi, dipendente dall'età o da particolari condizioni di temperamento (ritardo di crisi), e il giovane apparisse peraltro dotato di sincera pietà e solida virtù, si potrebbe prolungare il periodo di prova per un altro anno di Teologia (preferibilmente prima della Sacra Tonsura). Si tenga pero presente che il riammetterealla prova deve essere un espediente eccezionale. In via ordinaria, quelli di cui non appaie sicura la perseverenza nella purezza all'inizio della Teologia debbono essere eliminati » (op. cit., pp. 251-252).

Recommandation N°3

Si l'on découvre qu'un candidat a contracté l'habitude du vice solitaire [la masturbation] et qu'il a été entrainé depuis son enfance, surtout s'il s'est adonné à des relations coupables avec des adultes
ou avec des jeunes filles, et si ce jeune homme ne s'est pas amendé et n'a pas donné une preuve suffisante et prolongée de son amendement ou de la pratique de la chasteté, preuve proportionnée à la gravité et à la durée de la mauvaise habitude, mais de toute façon pas inférieure à une année entière, ce candidat doit être alors détourné de la milice cléricale [= du séminaire].
(Magna equidem, p. 8).

texte officiel latin : « Si quis proinde comperiatur alumnus peccato turpi solitario adsuetus et inde a pueritia moribus corruptus, praesertim ob foedam cum adultis aut puellis institutam conversationem, si sese non emendaverit et de peracta emendatione, seu de probata castitate congruens ac diuturnum experimentum non dedent, pro gravitate nempe ac diuturnitate pravi contracti habitus, quolibet vero casu uno saltem non inferius, est a clericali militia dimittendus »
(Magna equidem, p. 8).

Il serait illusoire de croire qu'une conversion, au cours d'une retraite fermée ou à l'occasion d'une quelconque circonstance surnaturelle, dispense d'une telle épreuve. Nous connaissons plusieurs cas où un prédicateur, un directeur de conscience ou un pasteur ont inconsidérément ignoré cette recommandation de l'église, au détriment des candidats.

Recommandation N°4
Doivent être écartés du sacerdoce
ceux qui ont de forts penchants naturels à la sensualité
    et qui manifestent de graves tares héréditaires,
ceux qui sont portés à la sensualité d'une façon particulière
    et qu'une expérience prolongée montre incapables de la vaincre,
ainsi que les jeunes gens enclins aux perversions sexuelles
    ou qui souffrent d'homosexualité.

Texte officiel latin : « Sunt a sacerdotio prohibendi qui natura fortiores patiuntur propensione ad sensum, et qui tristes exhibent hereditates parentum vitiis deditorum. Animadvertentum est ad ea,
quae Summus Pontifex Pius XI, f. r. Litteris Enc. Ad Catholici Sacerdotii, 20 dec. 1935 (A.A.S. XXVIII, pp. 5-23), declarat : « qui peculiari modo, ad libidinis illecebras sese pronum impertiat
[...] hi affines ad sacrum hoc munus non nati aptique sunt. »
Juvenes igitur[...] proni ad sexuales degenerationes [...], aut homosexualitate laborant [...], a sacerdotio suscipiendo arceantur » .(Magna equidem, p. 9)

Il est indéniable, par exemple, qu'un certain nombre d'homosexuels, manifestes et latents, sont inclinés à rechercher un milieu où leur homosexualité trouvera son compte, sous des formes plus ou moins sublimées, dans les amitiés sensibles ou dans l'intérêt faussement « apostolique » pour les enfants et les jeunes. Ceci n'est pas écrit pour blesser les personnes homosexuelles, il est bien précisé que cette attitude faussée n'est pas le cas de tous les homosexuels mais de certains

Recommandation N°5
Les directeurs examineront prudemment les aptitudes des candidats, en demandant conseil même à des spécialistes chaque fois que cela semblera nécessaire; alors, s'il reste un doute sérieux, surtout à cause de l'expérience de la vie passée des sujets, qu'ils usent de leur autorité pour dissuader ces derniers d'embrasser l'état de chasteté parfaite, et pour empêcher leur admission aux Ordres sacrés et à la profession religieuse.

Texte officiel latin: « Ejusmodi idoneitatem prudenter perpendant, :audita etiam peritorum sententia, quoties consentaneum fuerit; tunc vero, si serium dubium supersit praesertim ex anteactae vitae experientia, suam auctoritatem interponant, ut candidati a statu perfectae castitatis capessendo desistant, neve iidem ad sacros ordines vel religiosam professionem admittantur »
(Sacra Virginitas (1954), A.A.S., XLVI (1954) p. 181).

Si l'on recourt ainsi à un spécialiste, point n'est besoin de requérir de ce dernier une certitude concernant les aptitudes psychiques du candidat au sacerdoce: un « doute sérieux » suffit.
En effet, la vocation désirée requiert des garanties exceptionnelles, étant donné ses difficultés et obligations spécifiques. Par ailleurs, il ne faut pas non plus exiger une perfection idéale, surhumaine. Tous ne sont pas à éliminer parce qu'ils souffrent de quelque immaturation sexuelle; il faut, à notre avis, savoir apprécier les capacités de lucidité, de maîtrise de soi et de sublimation avant de déconseiller la vie sacerdotale pour motif de déviation sexuelle.

L'application judicieuse de ces normes et d'autres, qu'un directeur de conscience aurait avantage à connaitre et à méditer à mesure que se fait son expérience, éviterait bien des déboires. On inclinerait davantage à recourir, lorsqu 'un doute
sérieux se pose, à ceux qui sont spécialisés dans les questions du psychisme anormal. Ce ne serait jamais sans profit si on consulte un spécialiste compétent, expérimenté et respectueux des valeurs spirituelles.

Après examen, le défaut de chasteté pourra même s'avérer, en certains cas, susceptible de correction substantielle. Il n'est pas rare que de tels problèmes soient causés par une immaturité affective, un sentiment inconscient de culpabilité, d'anxiété névrotique, d'infériorité, etc., qui, à l'aide d'une
psychothétapie adaptée, peuvent se dissoudre. Ce qui autrefois pouvait apparaitre signe de non-vocation peut aujourd'hui, en raison du développement des techniques et de la compréhension de l'homme, être jugé autrement.

En relation immédiate avec le problème de la chasteté, il faut mentionner les réactions psychiques inconscientes d'un candidat en face de ses propres tendances sexuelles. Les. documents de l'église n'abordent pas directement ce problème. On ne doit pas s'en étonner, puisqu'ils s'adressent à ceux qui, dans l'église, ne sont pas munis de moyens spécialisés pour détecter les mécanismes inconscients de la personnalité. L'église toutefois laisse aux spécialistes en psychothérapie le soin d'apprécier, au point de vue psychothérapeutique, les méthodes qui permettent de constater ce qui se joue profondément et inconsciemment dans les divers troubles de la personnalité. « On prétend disposer de procédés éprouvés et reconnus adéquats pour scruter le mystère de ces profondeurs de l'âme, les éclairer et les remettre sur le droit chemin lorsqu'elles exercent une influence néfaste. Ces questions, qui se prêtent à l'examen d'une psychologie scientifique, ressortissent à votre compétence. Il en va de même pour l'utilisation de nouvelles méthodes psychiques [...]. Vous travaillez sur un terrain très difficile. Mais votre activité peut enregistrer de précieux résultats pour la médecine, pour la connaissance de l'âme en général, pour les dispositions religieuses de l'homme et leur épanouissement " (Discours de Pie XII aux psychothérapeutes catholiques, le 13 avril 1953, A.A.S., XLV (1953), pp. 278 et 286)
 

Intention droite et motivations anormales

L'église insiste beaucoup sur l'intention droite que doit avoir le candidat au sacerdoce. Il doit envisager sa vie comme un dévouement au service de Dieu et des âmes. Cette intention droite se purifie et s'affermit dans la charité envers
 
 

(...)
Grave responsabilité des directeurs, supérieurs et pères spirituels des séminaires et lieux de préparations à la profession religieuse ou au sacerdoce:

Que les directeurs et les supérieurs se rappellent que c'est sur eux que retombe l'obligation d'examiner les candidats aux Ordres; c'est à eux que se rapporte l'exhortation de Pie XI : « Que ceux qui dirigent les jeunes âmes songent à la grave responsabilité qu'ils assument devant Dieu, devant l'église, devant les jeunes eux-mêmes si, pour leur part, Ils ne font pas tout le possible pour empêcher une fausse orientation»
« [...] auctores fiant si suas cuiusque partes omni ope non expleant ne
eiusmodi erratum perpetretur » (Magna equidem, pp. 11-12).

Au sujet des incompatibilités psychiques, absolues et relatives, avec l'état sacerdotal.
Un texte de l'encyclique sur le sacerdoce permet de situer le problème :

Il ne sera pas trop difficile de s'assurer si quelqu'un a ou n'a pas, une vraie vocation sacerdotale. Celle-ci [...] se manifeste moins par un sentiment du cœur ou par un attrait sensible que par l'intention droite de l'aspirant au sacerdoce, intention jointe à cet ensemble de dons physiques, intellectuels et moraux, qui le rendent propre à cet état. Quiconque aspire au sacerdoce uniquement pour le noble motif de se consacrer au service de Dieu et au salut des âmes, et en même temps possède ou du moins s'efforce sérieusement d'acquérir une solide piété, une pureté de vie à toute épreuve, une science suffisante [...] montre qu'il est appelé par Dieu à l'état sacerdotal.

Le texte officiel latin est le suivant: « Neque is, qui prudenti vigilantique cura Seminario praeest, quique concreditos sibi juvenes, alium ex alio, studiosa sollicitudine prosequitur, eorumque mentis dotes impulsionesque diligenter rimatur, perdifficulter dispexerit atque compererit quisnam ex iis ad suscipiendum sacerdotium superno nutu advocetur. Quae quidem ad sacra capessenda munia proclivis inclinatio, uti probe nostis.
Venerabiles Fratres, potiusquam ex intima conscientiae invitamento sensuumque motu, quae interdum deesse possunt, ex recta eorum propensione eruitur intentioneque mentis qui sacerdotio inhiant, cum iis corporis animique virtutum ornamentis conjuncta, quae eosdem ad hoc
officium amplectendum idoneos reddant. Qui ad sacrum hujusmod.i institutum ea una nobilique de causa contendat, ut divino famulatui animarumque saluti se dedat, simulque et solidam pietatem et probatam vitae castimoniam, et consentaneam ut diximus, doctrinam assecutus sit vel
assequi nitatur, is profecto, ut perspicuo patet, ad sacerdotale ministerium a Deo vocatur » (Ad Catholici Sacerdotii (1935), A.A.S., XXVIII (1936), p. 40

Mais s'il est relativement facile de discerner une vocation quand on a affaire à des candidats psychiquement normaux, il l'est beaucoup moins lorsqu'il existe des troubles psychiques.

L'eglise n'a d'ailleurs pas négligé d'en avertir les directeurs de conscience. Elle désire, de toute évidence, un équilibre psychique ou un psychisme normal pour ses prêtres.

(...)
Même pour un directeur de séminaire intuitif, expérimenté, informé des données de la psychologie moderne, certaines anormalités restent difficilement appréciables quant à leur gravité et à leurs
causes profondes. Il s'en inquiète et il s'en réfère à la compétence du psychologue clinicien ou du psychiatre. Il espère d'eux non seulement de la précision sur la gravité des difficultés psychologiques, mais également un jugement sur les possibilités de guérison.

Ces cas, où la compétence du psychothérapeute est le plus susceptible d'être mise à profit, peuvent se grouper, à notre avis, autour de deux préoccupations principales: assurer la chasteté et l' « intention droite ». Elles accrochent, sur le plan psychiatrique, le problème des « déviations sexuelles»
ou perversions, et des motivations inconscientes de la personnalité.

(...)
Chasteté et Sexualité

Les états d'âme incompatibles avec la chasteté sacerdotale sont de deux sortes: les uns conscients, les autres inconscients. évidemment, les premiers sont plus facilement décelables par le directeur de conscience, les seconds ne peuvent souvent l'être que par le psychothérapeute exercé aux méthodes investigatrices de l'inconscient.
Le directeur dirigera assez souvent un candidat au sacerdoce vers un psychothérapeute s'il croit que les difficultés sexuelles peuvent être dues, au moins en partie, à des conditions psychiques améliorables, surtout s'il y a lieu de croire à une vocation possible.
En tout cela, tant le psychiatre que le directeur de conscience devraient avoir à l'esprit certaines normes de l'église qui peuvent se résumer à cinq recommandations: (voir supra les 5 recommandations)

un document officiel de l'église catholique pour éviter aux personnes capables de se contenir sexuellement mais n'étant pas paisiblement hétérosexuelles [trouble de l'identité sexuelle, attirance homosexuelle] de rater leur vie en s'engageant dans le sacerdoce:
 [le sacerdoce n'est pas un remède à la tendance à l'homosexualité]
Instruction de la Congrégation pour l'Education catholique sur les critères de discernement vocationnel au sujet des personnes présentant des tendances homosexuelles en vue de l'admission au séminaire et aux Ordres sacrés
 


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