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Abbé Jean-Benoît Vittrant, s.j.
(décès le 30 mai 1942, donc livre relevant du domaine public)
Théologie Morale Catholique
Bref Exposé à l'Usage des Membres du Clergé et spécialement des Confesseurs
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Table des Matières
Table Alphabétique

N°1-14 :    Introduction : La Théologie Morale
Nature, Méthode et Sources, Aperçu historique

Première Partie
Morale Générale
Principes et Notions Fondamentales

N°15-N°34 : Les Actes Humains (chap.1)
N°35-N°78 : Les Lois (chap. 2) + page manquante p.36 = N°58
N°79-N°96 : La Conscience (chap.3)
N°97-N°119 : Le Péché (chap. 4)
(péché mortel, péché véniel)
N°120-N°128  Peines ecclésiastiques et irrégularités

Deuxième Partie
Les Principales Vertus
Titre 1er
Les Vertus Théologales






N°129-N°139    N°133 la Foi
N°140-N°157 : N°140 l'Espérance N°142-157 La Charité surnaturelle

Titre 2
La Vertu de Justice et quelques questions annexes

N°158-N°178     la Vertu de Justice (chap. 1)

N°179-N°228     Le Droit (chap. 2)
N°229-N°251
N°252-N°300    Les Personnes capables d'un droit (N°230 et suiv. , chap. 3)

N°268-N°284    Les Contrats
N°285-N°307
N°301-N°343
N°308-N°341
N°342-N°365
N°366-N°395
N°395-N°432
N°433-N°446
N°447-N°463

Titre 3
La Vertu de Religion et la Vie Religieuse

N°464-N°472
N°479-N°502
N°503-N°521
N°522-N°535
N°536-N°571

Troisième Partie
Les Commandements

Titre 1 : Les Commandements de Dieu
Titre 2 : Les Commandements de l'Eglise

N°572-N°597
N°575 : La sanctification des dimanches et des jours de fêtes
N°598-N°628 :     N°598 : Le Devoir Pascal
                            N°610 : Le jeûne et l'abstinence
N°629-N°644
N°629 : Les lois de l'Eglise relative aux livres et aux lectures
N°645-N°650 : La Défense de brûler les cadavres
N°648 : Le denier du culte

Quatrième Partie
Les Six Premiers Sacrements
et quelques questions annexes

N°651-N°665
N°666-N°673
N°674-N°692 : Le Baptême
N°693-N°715 : La Confirmation, N°699 : la Sainte Eucharistie
N°716-N°726
N°727-N°745
N°746-N°783 : Le Sacrement de Pénitence et les Indulgences
N°784-N°806
N°807-N°845 : Les Obligations du Confesseur
N°846-N°857 : Les Abus de la Confession
N°858-N°872
N°862 : Le Sacrement des malades ou extrême-onction
N°873-N°900 : Le Sacrement de l'Ordre (la prêtrise)

Cinquième Partie
La Mariage et la Chasteté Chrétienne

Titre 1
Le Mariage Chrétien

N°901-N°955 : Le Mariage Chrétien : Sacrement (N°905)
Empêchement (918) (mariage mixte, impuissance, consanguinité, parenté spirituelle, différence de religion...

N°956-N°977 :Promesse de mariage, Préliminaires du mariage, examen médical.
N°978-N°993 :La Célébration du mariage (chap.5)
N°994-N°1028 : Effets et devoirs du mariage (chap.6)
N°1007 : Revalidation des mariages (chap.7)

Titre 2
La Chasteté Chrétienne

Introduction
La Chasteté en dehors du Mariage
N°1029-N°1036 Définitions et notions



Traduction du latin

N°1029

La luxure [ou les péchés sexuels] est la matière la plus fréquente et la plus abondante des confessions,

« La majeure partie des âmes va en enfer à cause des péchés sexuels [péchés d'impureté] : qui plus est, je n'hésite pas à affirmer que ceux qui se damnent vont en enfer ou bien pour ce seul péché ou au moins pas sans lui. »


N°1036

delectatio venerea illicita est peccatum grave ex toto genere suo, nam parvitatem materiae non admittit.


La délectation vénérienne illicite est un péché grave par son genre, (de son genre)

de fait qui n' admet pas de légèreté de matière »

Ex genere suo = par son genre, du seul fait de son genre


contra legem =contre la loi

péché mortel, atteint la fin dernière

coutume contra legem n'acquiert par de droit juridique

elles n'acquierent pas valeur de coutume


praeter legem = passer outre la loi, au delà de la loi, en plus de la loi , péché véniel, atteint le moyen, attaque le moyen


Chapitre 2 La Chasteté dans l'Usage du Mariage

p. 569 N°1047 : C'est pourquoi « Tous les baisers, les touchers, les étreintes, les regards, les paroles libidineuses échangés entre époux présents l’un à l’autre, dans les limites de l’honnêteté naturelle, sont licites, s’ils sont faits dans le but de favoriser l’acte. » (Saint Alphonse de Liguori, VI, 932)


« Elle n’est pas illicite, non plus, l’émotion vénérienne avec pleine volupté qu’a l’épouse immédiatement avant que l’homme ait dûment ensemencé, ou qu’elle se procure à elle-même par des touchers, si elle ne l’a pas eue. » (Saint Alphonse de Liguori, VI, 919)




p.570 N°1049 : « Les époux peuvent, pour une cause grave, faire quelque chose qui entraîne, par accident, une effusion de la semence. » (Saint Alphonse VI, 954)


N°1050 : « Aux époux sont permis les touchers et les regards s’ils se réfèrent à l’acte conjugal, s’ils lui servent de licite incitation. S’ils sont faits dans un autre but, pour le plaisir seul, ce ne sont que des péchés véniels, parce que le mariage les rend honnêtes et que le défaut de la fin due n’est pas mortel, à moins qu’ils ne représentent un danger de pollution. Auquel cas, ils sont mortels, en règle générale, tout au moins. » (Saint Alphonse III, 431)


N°1052 « L’onanisme consiste en ceci que l’homme, après avoir commencé l’acte conjugal, se retire avant l’insémination [du vagin], et répand sa semence à l’extérieur du vase de l’épouse [c'est à dire à l'extérieur du vagin], pour empêcher la conception. »


1054

(Saint Thomas [d'Aquin] 2a 2ae, q. 154, art. 2, ad. 3ème) nous dit : « A la troisième objection, on doit répondre que le luxurieux n’a pas pour but la génération humaine, mais la délectation vénérienne, qu’un être humain peut éprouver sans poser les actes d’où découle la génération humaine. C’est ce qu’on attend d’un vice contre nature. (Car un vice contre nature consiste dans des actes d’où ne peut pas procéder une génération. [des actes où toute procréation est impossible] ) »


Le Père Ledesma o.p. (+1616) dans son Traité sur le Grand Sacrement du Mariage écrit : « Les époux pêchent mortellement quand ils répandent volontairement la semence à l’extérieur du vase légitime….Car c’est un péché contre nature, donc mortel. » Le Père Sanchez, jésuite, (+1650) n’est pas moins formel : « L’effusion volontaire de la semence à l’extérieur du vase, ou toute façon d’agir qui y aboutit, est manifestement un crime mortel contre nature. » (de sancto matrimonii sacramento livre IX [page 572] Dispute XVII, note 12) parlant de la femmequi prend un remède anti-conceptionnel (et supposant la coopération de l'époux), il ajoute : «...Ils sont coupables d’une faute mortelle contre nature. De telle sorte qu’elle ne peut être exonérée par aucune bonne fin ». [aucune bonne intention ne peut enlever le fait que c'est une faute mortelle]


Saint Alphonse V1, 954 déclare clairement : « Les époux pêchent si, dans l’usage du mariage, ils font, après usage, quelque chose par laquelle est empêchée la conception ou est rejetée la semence conçue... La raison en est qu’ils agissent contre l’engagement et la fin principale du mariage. Ne sont pas des excuses suffisantes la pauvreté imminente ou le danger que représente l’accouchement. »


a) Saint office 21 mai, 1851 : « On demande au siège apostolique de quelle note théologique sont dignes les propositions suivantes :

1° Pour des raisons honnêtes, il est permis aux époux de se servir du mariage comme l’a fait Onan.

2°Cet usage du mariage est probablement bon, et n’est pas prohibé par le droit naturel.

3°Il ne convient jamais d’interroger à ce sujet les époux de l’un et l’autre sexe, même s’il est prudent de craindre que l’un ou l’autre des époux n’en abuse dans le mariage.

Réponse à la première demande : cette proposition est scandaleuse, erronée et contraire au droit naturel du mariage.

A la deuxième : cette proposition est scandaleuse, erronée, et condamnée implicitement par Innocent IX, avec d’autres, proposition 49a (Dens.-B. 1199).

A la troisième demande : « Cette proposition est fausse, trop condescendante, et dangereuse dans la pratique. »


b) Saint office 6 avril 1853 : « Aux demandes faites au sujet de l’usage imparfait du mariage, soit par onanisme, ou avec un condom, les éminents cardinaux inquisiteurs répondent.

1° L’usage imparfait du mariage à la façon d’Onan ou avec le condom, peut-il être licite dans certains cas ?

Réponse : Non, intrinsèquement mauvais.

2° Si la femme est au courant qu’on emploie le condom, peut-elle se comporter passivement ?

Réponse : Non. Elle permettrait ainsi qu’ait lieu une chose intrinsèquement illicite. »


c) Sacrée Penitencerie, 13 nov. l901 « Le curé Jean, embrassant humblement vos mains, propose avec respect le cas suivant : Mon paroissien Titus, homme riche, honorable, lettré et bon chrétien, [p.573] interrogé prudemment en confession de l’usage qu’il fait du mariage, a avoué que, même si cela répugnait à sa femme, il abrégeait toujours l’acte conjugal pour ne pas avoir de progéniture. Et après que je l’eus blâmé, il me répliqua qu’il agissait ainsi pour deux raisons : pour qu’un grand nombre d’enfants (il en a déjà deux) ne soit pas un fardeau trop lourd à porter, et pour que des maternités répétées n’épuisent pas son épouse. Après m’avoir entendu dire que ces raisons ne valaient rien, il me répondit qu’un confesseur illustre avait approuvé cette façon de faire pourvu que, dans ce retrait, le mari recherche le soulagement de la concupiscence et non la pollution. Étonné que ce professeur illustre, qui donna autrefois un cours magistral dans un grand séminaire, approuve une telle façon de faire, le curé Jean n’osa pas absoudre Titus qui s’entêtait à persévérer dans ses vues. Offensé de son refus, Titus se mit à publier partout que son curé était un ignorant et un orgueilleux qui corrige les décisions d’autrui, et qui impose aux pénitents des fardeaux insupportables. Troublé par toutes ces choses qui font tort et au curé et à la religion, le curé Jean demande humblement et révérencieusement à vos éminences que penser de ce qui s’est passé, et comment il doit se comporter avec ce Titus s’il revient se confesser et persévère avec entêtement dans sa façon de voir ? La Sacrée Pénitencerie, après avoir mûrement considéré la question, répond : Dans le cas qui nous est soumis, le curé a agi correctement, car il ne peut absoudre un pénitent qui ne veut pas s’abstenir de cette façon de faire, qui est de l’onanisme pur et simple. »


4° Enfin, le Souverain Pontife intervint solennellement.

Le 31 décembre 1930, apparaissait l’Encyclique Casti Connubii. Or, dans ce document, nous trouvons le passage suivant : « L’église catholique à qui Dieu lui-même confia le soin d’enseigner et de défendre l’intégrité des mœurs et l’honnêteté, pour qu’elle préserve de toute tache la chasteté du lien nuptial, élève sa voix par notre bouche, en signe de sa mission divine, et de nouveau promulgue que tout usage du mariage dans l’exercice duquel, par l’industrie des hommes, l’acte est privé de sa vertu naturelle de procurer la vie enfreint la loi naturelle de Dieu, et que tous ceux qui le commettent sont entachés d’une faute grave. »





page 576, N°1054

page 576, remarque

b) « Uriner après l’acte conjugal n’empêche pas la conception. Ce n’est donc pas un péché. Mais si les femmes le font dans une intention perverse, elles peuvent pécher gravement. » (cf Saint Alphonse, 954, qui te permettra de résoudre le b) »


c) « L’union sexuelle à moitié faite, ou le dépôt de la semence à l’entrée du vagin, dans l’intention d’empêcher la naissance d’un enfant, est tout simplement de l’onanisme, en désir tout au moins. Elle doit donc être toujours gravement condamnée. » ( Cf réponse du saint office, le premier décembre l922. Vermeersch 1V 56 2)



page 580, N°1063 La Fornication

« La fornication est l’union, par consentement mutuel, d’un homme non marié avec une femme non mariée. »

page 587, N°1083 La Sodomie

« La sodomie est l’union sexuelle contre nature avec une personne humaine du même sexe, ou de deux personnes de sexe différent, d’une façon non permise.

Ainsi, l’union sexuelle est l’application d’un corps sur un autre. Aucune pénétration d’un organe sexuel n’est requise. » (Verm de cast. 343)



N°1084

« La sodomie peut être complète ou incomplète. La sodomie est complète quand, dans l’union sexuelle, l’agent obtient une délectation qui le comble, soit que, après la pénétration, la semence est éjectée dans un vase ou dans la bouche, entre les aisselles, entre les mamelles, entre les cuisses, ou dans d’autres parties du corps, même à l’extérieur,(p.588 :) et même si aucune semence n’est répandue, comme cela arrive entre femmes. » (Verm De cas. 343,344)


page 588, N°1086 La Bestialité

« La bestialité est une union sexuelle qui ne respecte pas l’identité de l’espèce, ou un accouplement avec une bête. »



N°1087 Remarques.

a)« Si le péché de bestialité est réservé, il s’agit de la bestialité consommée dans un vase naturel.


b) La nécrophilie ou l’union sexuelle avec une femme morte est un horrible péché mortel, à peu près seul de son espèce.


c) Les touchers impudiques avec une bête, même s’ils ne sont pas proprement des péchés de bestialité, ont une gravité spéciale, à tout le moins vénielle. Et si le toucher insidieux continue jusqu’à la pollution de l’animal, c’est un péché grave ordinaire, à cause d’un grave danger de délectation sexuelle et de pollution propre. (Saint Alphonse, III, 474)



page 592, N°1098 :

1 « Les baisers, les étreintes, les regards, les touchers et autres choses semblables, s’ils ont lieu en dehors du mariage avec l’intention d’accomplir un acte luxurieux, ou de se procurer une jouissance vénérienne, sont toujours des péchés mortels, même si la jouissance n’est pas allée jusqu’au bout. Car, faits dans cette intention, en dehors du mariage, ces gestes sont impudiques, et, de par sa nature, une telle délectation tend à s’assouvir. » Saint Alphonse de Liguori, III, 415, cf. 416,2

« Les médecins que leur profession amène à toucher ou à regarder les organes génitaux de l’autre sexe ne pêchent pas, même si, éventuellement, une pollution involontaire s’ensuit. » (Saint Alphonse de Liguori, III, 420, I)



« Même s’ils prévoient une pollution involontaire, il est permis aux curés et à d’autres confesseurs d’entendre la confession des femmes, et de lire des traités sur les choses honteuses. Il est permis aux médecins de regarder et de toucher les parties de la femme malade, et d’étudier ce qui a trait à la médecine. Il est permis aux autres, dans les piscines ou autre endroits semblables, de parler aux femmes, de les embrasser, de les étreindre, si la coutume du pays le permet. » (III, 483)



« Les regards professionnels (pour motif professionnel) sont permis aux peintres et aux sculpteurs, car l’art en est une juste cause. Et quand sont prises les précautions nécessaires, il diminue le danger de poursuivre la recherche du plaisir. » (Vermeersch, De Cast. 399)




« Si l’ardeur du plaisir ne produit pas l’orgasme, il est permis à celui qui en fait habituellement et facilement l’expérience de le déclencher par le toucher. » III, 483




« Les baisers, les étreintes, s’ils procèdent d’une vanité vénielle, du jeu, de la curiosité, de l’impétuosité, et même de la sensualité, ne dépassent pas la faute vénielle, s’il n’y a pas de délectation vénérienne, ni de recherche de délectation; si elle survient inopinément, et est aussitôt repoussée. » 418


« On doit dire la même chose du toucher ou du regard des parties honteuses de son propre corps ou de la vue des accouplements d’animaux. » 419


« Regarder des peintures obscènes par curiosité n’est pas une faute mortelle, si sont absents et la délectation honteuse et le danger qu’elle se produise. » 424






page 592-593 :

  «   Le regard et même le toucher ( ce qui est plus rare à cause du péril adjoint)  des parties honteuses d’un autre corps du même sexe causés par la curiosité ou l’irréflexion, quand on se baigne ou on se lave ensemble, ne sont pas des péchés mortels, s’ils sont  étrangers à toute passion ou au péril d’un consentement vénérien. » (425,7)


page 593 : « Regarder les parties moins honnêtes mais non honteuses de la femme comme les yeux, les bras, les jambes, ne constitue pas un péché mortel, s’il n’y a pas de péril de chute, et si le regard ne s’attarde pas. » (423)


Verba turpia : « Les paroles à double sens, la lecture de livres obscènes, l’assistance à des comédies immorales, les gestes, les lettres et les cadeaux inspirés par l’amour ne sont pas des péchés mortels, s’ils sont motivés par la simple curiosité, ou par passe-temps. »


« Pêchent-ils gravement tous ceux qui par leur argent ou leurs encouragements, apportent un concours important à des comédies immorales, même s’ils n’y assistent pas ? Je penche pour l’affirmative. Mais je ne taxerai pas de péché mortel les simples spectateurs, si est écarté le danger d’une honteuse délectation. » (427)


« Il est certain que ceux qui composent ou représentent ces comédies renommées pour leur immoralité ne peuvent en aucune façon être exempts de péché mortel. Parce qu’ils ont scandalisé les autres, même si telle n’était pas leur intention.» (428)


N°1099 LA DANSE :

« Les danses, dit saint Alphonse de Liguori, à moins qu’elles ne soient faites dans un but pervers, ou qu’elles ne comportent le danger d’exciter le plaisir vénérien en soi-même ou en autrui, ou dans toute autre intention condamnable, ne sont pas mauvaises en elles-mêmes, ni ne sont des actes libidineux, mais de simples réjouissances.»

page 594 :

N°1100 : « C’est pourquoi on peut à bon droit donner ce conseil. Celui qui en lisant un livre honnête, tombe sur un passage scabreux qu’il le parcoure à vol d’oiseaux, et continue sa lecture sans s’émouvoir. Qu’on ne choisisse aucun livre dans le but de favoriser de telles rencontres ! » (Verm. De Cast. 184, 4°)


N°1033 Mariage et Célibat
N°1035-N°1046  Les Règles de la chasteté parfaite
N°1035 les règles de la chasteté parfaite
N°1043 La chasteté parfaite et la médecine
N°1047-1062 : La Chasteté dans l'usage du mariage
Règles générales
L'onanisme conjugal et le néo-malthusianisme
Quelques questions pratiques
N°1063-1078 : La Fornication et ses aggravations
La Fornication




Les Aggravations de la Fornication
Le Viol et le Rapt
L'adultère
L'inceste
Le sacrilège
N°1079-1104-fin : Les Fautes contre nature [c'est à dire contraire à la fécondité biologique prévue par la nature]
Introduction
La masturbation + page 586, Numéro 1081
La sodomie [au sens d'acte sexuel entre personnes de même sexe]
La bestialité
La paresthésie sexuelle
Les péchés intérieurs et les fautes contre la pudeur
La conservation de la chasteté
Conclusion
 
 

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